Il y a tant de conneries qui se racontent sur notre pauvre terre … !
Le patron dit à son employé :
– Est-ce que tu crois à la vie après la mort?
– Heu, oui patron… Pourquoi cette question?
– Ah… Alors tout va bien. Parce que hier, après que tu as quitté le travail plus tôt pour aller à l’enterrement de ta grand-mère, elle est passée pour te donner le bonjour et te reprocher de ne jamais aller la voir. Je lui ai promis de te passer le message.
le poulet fermier
Un vendeur de volailles qui vend des poulets fermiers voit arriver un acheteur qui lui dit :
– Je voudrais acheter un vrai poulet de Bresse, mais si vous me permettez je vais le trouver moi-même.
Il choisit un poulet, lui met l’index dans le derrière, suce son doigt et dit :
– Celui-là est de Saint-Sever.
Il fait de même pour un autre :
– Celui-là est de Loué.
Il en fait plusieurs, avec la même opération, jusqu’au moment où il dit :
– Voilà, celui-là est de bien de Bresse.
A ce moment le vendeur de volaille lui demande s’il peut venir derrière le comptoir, ce que fait l’acheteur, le vendeur lui dit alors en baissant son pantalon et son slip :
– Je suis de l’Assistance publique, en faisant avec moi comme pour les poulets, vous ne pourriez pas me dire où je suis né et d’où je viens?
Le p’tit dernier
Le père est sur le point de mourir. Sa femme est à ses côtés.
Le père qui était silencieux depuis un bon moment, se tourne vers sa femme…
– Marie-Jeanne, je vais mourir; on a toujours bien vécu ensemble hein?
– Oui mon vieux Simon et tu vas me manquer.
– Merci Marie-Jeanne… Mais y’a une chose qui m’a toujours laissé curieux, tu sais le petit dernier, j’ai toujours pensé qu’il ne venait pas de toi et moi.
Il ne ressemble pas aux 9 autres. Veux-tu me dire avant de mourir s’il est bien de nous deux celui-là, ça m’a toujours intrigué. Tu peux ben me le dire à cette heure que je vais mourir…
– Reste tranquille mon vieux Simon, le petit dernier est bien de nous autres. Ce sont les 9 premiers qui ne sont pas de nous deux.
– !!!???!!!
Les trois Samouraïs
Trois samouraïs veulent mesurer leur adresse au sabre. Ils se choisissent un juge qui sera le gage de l’équité de la joute qui va se dérouler entre les trois guerriers.
Le juge qui s’y connaît en tournoi de samouraïs leur a apporté de quoi se mesurer : il ouvre une petite boîte dans laquelle il y a une mouche.
Le katana du premier samouraï sort de son fourreau en un éclair, et la mouche retombe sur le sol, coupée en deux ! Le juge est satisfait par cette première performance, et il félicite le premier samouraï.
Lorsque le deuxième samouraï est prêt, le juge ouvre une nouvelle boîte et laisse s’envoler une autre mouche. Cette fois-ci, le deuxième samouraï donne deux coup de sabre dans l’air, et la mouche retombe, coupée en quatre ! Cette fois, le juge est vraiment impressionné. Et il le dit au deuxième samouraï.
Mais il reste un troisième concurrent. Lorsque celui-ci est prêt, le juge ouvre sa troisième boîte contenant une troisième mouche… Le samouraï sort son sabre et dessine une arabesque dans l’air, et range son sabre, mais la mouche continue à voler.
Le juge dit alors :
– Mais la mouche vit toujours !
– C’est vrai, répond le troisième samouraï, mais elle ne pourra plus jamais se reproduire !
Le Pèlerin