Algérie - Des atouts solides et une détermination sans faille
Quelques indications statistiques permettent de donner un aperçu de ce constat que tout le monde fait et qui n’a rien à voir avec les spéculations — et autres provocations — des nostalgiques de l’ère de la tragédie nationale. Le travail a repris et, par conséquent, le chômage a baissé pour ne se situer qu’à un niveau assez gérable, avant d’être éradiquer dans les toutes prochaines années. L’Etat s’est donné les moyens de lancer le plus ambitieux programme de soutien à la croissance durable qu’un pays du Sud n’ait jamais connu. On peut voir, dans les toutes prochaines années aussi, les fruits de cet effort exceptionnel d’investissements directs dans les gros ouvrages (autoroutes, chemins de fer, barrages et habitat). Les réalisations sont achevées dans les délais et la télévision nous montre chaque jour le bonheur de ces familles, ces désespérés, occupant leur logement neuf, utilisant le gaz de ville ou recevant, pour la première fois, de l’eau dans leur foyer. Ces images, seuls les Algériens sincères, les patriotes qui ont misé sur l’avenir, la paix, la réconciliation et la fraternité peuvent les apprécier, parce qu’ils comprennent la joie des plus démunis d’entre eux comme ils ont souffert de leurs difficultés dans le passé. Pas ceux qui ont misé sur le terrorisme et la faillite économique et financière du pays que forcément ce retour graduel à la paix, à la sécurité totale, à la prospérité et à l’espoir d’une Algérie nouvelle n’arrange pas. Pas du tout. On le voit depuis quelque temps dans cette campagne qui ne dit pas son nom pour décourager les investisseurs étrangers, intéressés à s’établir chez nous. Ces derniers temps, tout le monde le sait, le terrorisme, dans sa difficulté à se redéployer et sous les coups sévères des forces de sécurité, s’est livré à des attentats barbares, en Algérie, comme à l étranger, y compris dans les pays occidentaux où pèse la menace permanente de ce phénomène. Ces milieux, qui ne souhaitent rien de bien aux Algériens, se sont lancés dans des campagnes les plus insidieuses contre notre pays, invitant — directement ou indirectement — les étrangers à fuir l’Algérie. Faut-il donc rappeler que ce sont ces mêmes milieux d’ici et de la-bas qui ont accompagné le terrorisme dans les années 1990, lorsque celui-ci ciblait l’économie nationale. Ces supports du terrorisme avaient alors appelé au boycott international de l’Algérie et à sa mise en quarantaine diplomatique et sur les places boursières internationales. Jusqu’au jour où notre diplomatie, sous la conduite du Président Bouteflika, a défait le cercle d’isolement international et ranger l’Algérie parmi les voix les mieux écoutées de la rive sud de la Méditerranée, la place de la région la plus fréquentée par les hommes politiques, diplomates et personnalités civiles les plus connues. Tout ceci, en plus des hommes d’affaires qui se disputent âprement les marchés proposés par appels d’offres internationaux. L’Algérie, les étrangers le savent mieux que quiconque, est l’un des marchés les plus porteurs du monde où il est possible de faire fructifier son capital. Tout l’indique : la sécurité, les réserves de change qui seront au niveau des 100 milliards de dollars cette fin d’année, la législation en matière de fiscalité avantageuse et la volonté politique du Président Bouteflika de coopérer sincèrement avec les pays amis.
Voilà des vérités, une réalité vérifiable et des arguments qui sont imparables, des atouts en main de l’Algérie, marché demandé plus que demandeur où les affaires sont possibles mieux que dans n’importe quelle partie de la zone où nous sommes. Le reste n’est que spéculation d’une agence de presse, par-ci, aux ordres et pour des motifs politiques trop évidents, une feuille de chou, par-là, ou de quelques aventuriers toujours décidés à solder leurs comptes avec une Algérie qui avance trop vite et trop bien et ne parvenant donc pas à se faire à cette réalité qui inspire confiance et espoir aux Algériens.