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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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12 avril 2008 6 12 /04 /avril /2008 07:58

Berriane (Ghardaïa)

Les dessous d’un conflit

Le calme est revenu dans la ville de Berriane, après deux vagues de violences (du 19 au 21 mars et du 2 au 4 avril) intercommunautaires qui se sont soldées par un mort, une dizaine de blessés et une trentaine de magasins et de maisons pillés, saccagés et brûlés. Les renforts de services de sécurité sont cependant toujours en place.

la Wilaya de Ghardaia

Ces affrontements ont été provoqués par un échange incommode entre un groupe d’adolescents et une famille. Mais ils ont pris une dimension telle qu’ils suscitent moult interrogations. A l’origine : des pétards jetés par un groupe d’adolescents sur une famille de passage à pied sur la RN1 qui « coupe » en deux cette coquette ville de Berriane. Des scènes comme celles-ci sont, ailleurs, anodines, des plus habituelles à l’approche de la fête annuelle du Mouloud (l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohamed - QSSSL). A Berriane aussi, comme en témoignent de nombreux habitants. Elles soulèvent, certes, engueulades et bagarres qui font parfois des blessés. Mais jamais une « agression » de ce genre ne s’est transformée en un conflit ethnique, encore moins en un conflit entre rites. Comment toute la ville de Berriane s’est vite enflammée ? Que s’est-il réellement passé ? Quelles sont les causes réelles de ces événements tragiques qui ont défrayé la chronique de ces deux dernières semaines ?
Retour sur les faits

Deux versions existent. La première est celle développée et défendue par la communauté des Mozabites et selon laquelle le jet de pétards sur la famille appartenant à la communauté arabe n’a pas été commis délibérément et que l’agression a été « perpétrée » par la suite non pas par des Mozabites mais par des jeunes de la communauté arabe. « Nous étions menacés. Nous nous sommes défendus », clame Abou Rabia Souleymane, Mozabite. D’ailleurs, explique-t-il, la victime Ali Lassakeur (père de famille) « se trouvait chez sa tante (famille Tabouz) lorsque des cris et des bruits assourdissants envahissaient le quartier ». Selon notre interlocuteur, qui dit être témoin de la scène, un groupe de jeunes Arabes venus des autres quartiers en courant et en criant en pleine nuit au quartier « mixte » Kaf Hammouda, où vivent côte-à-côte Mozabites et Arabes. « Ils ont attaqué des maisons et des magasins de Mozabites. Face à cette agression, nous sommes sortis nous défendre. Ali Lassakeur aussi. Et voilà que le bruit d’un coup de feu provenant d’une maison habitée par une famille arabe retentit. Le tir tue Ali et blesse plusieurs autres Mozabites », soutient-il, affirmant que « le coup de feu a été tiré par un fusil de chasse ». Le frère de la victime, Houari Lassakeur, yeux rouges et larmoyants, confirme cette thèse : « Mon défunt frère était chez ma tante, à l’occasion de la fête du Mouloud. C’est en sortant de sa maison pour essayer de calmer les esprits qu’il a reçu ce coup de feu mortel. » Ces faits ont été corroborés par Taleb Ahmed, un autre Mozabite, un cadre supérieur, qui habite le même quartier et dont la maison a été doublement saccagée et brûlée. Le coup de feu est venu, précise le frère de la victime, du côté où habite Lakhdar Grine, directeur de l’OPGI de Berriane, accusé d’être l’auteur du meurtre et arrêté le lendemain matin et mis en prison en attendant qu’il soit jugé. La communauté arabe, la famille Grine en premier lieu, réfute cette thèse et affirme que les « provocateurs » étaient plutôt des Mozabites. « Des jeunes Mozabites ont jeté des pétards sur une dame accompagnée de sa belle-fille enceinte et d’un jeune de 17 ans. Le jeune et la dame ont protesté. Et le groupe de Mozabites s’en est pris à eux, allant jusqu’à déchirer les vêtements de la femme enceinte. Devant cette scène déshonorante, des jeunes Arabes sont intervenus pour apporter leur aide à cette famille. Et c’est là où tout a commencé », explique Ahmed Grine, cadre à Sonatrach et cousin de l’accusé, précisant que les jeunes Mozabites se sont ainsi fait tabasser. « Tard le soir, un groupe de Mozabites s’est rendu à Kaf Hammouda et a attaqué les maisons et autres biens immobiliers des Arabes. Le défunt Ali Lassakeur figurait parmi ce groupe. Sous l’effet de la panique, quelqu’un a dû se servir de son arme. Rien ne prouve que c’était mon frère Lakhdar qui ne possède pas d’arme », indique Abdelkader, frère du mis en cause, exprimant cependant sa compassion pour la famille du défunt. « Le fusil qu’aurait utilisé Lakhdar, souligne-t-il, appartient à mon père qui habite à 200 mètres de sa maison. Comment aurait-il pu sortir et aller prendre le fusil de la maison de son père sans qu’il ne soit vu par les gens qui étaient à l’extérieur ? » La communauté arabe jure ainsi qu’elle n’a fait que se défendre. Les membres de la famille Grine et d’autres familles dont Nadja et Bekkaïr citent une série d’agressions commises avant et après ces douloureux événements. « Mon fils, marié depuis des années à une Mozabite, a été tabassé le 7 avril jusqu’à la mort. Son visage a été complètement défiguré au point où il a été transféré en urgence à Alger. Les services de sécurité ont voulu me faire croire qu’il s’agissait d’un accident de la route. Je les comprends. Ils ont peur que les affrontements reprennent. Mais les traces de coups sont visibles sur son corps. En plus de cela, mon petit-fils a vu de loin la scène. Ils étaient une vingtaine, tous cagoulés. J’ai déposé une plainte contre X. Mais je suis convaincu que cela n’est nullement étranger aux derniers événements », dit le vieux Tayeb Nadja qui espère que les agresseurs soient rapidement retrouvés et jugés. Les deux communautés se rejettent ainsi la responsabilité dans ces événements. Qui dit vrai ? Difficile de répondre ! Même l’enquête menée par la Gendarmerie nationale n’a pas déterminé avec exactitude les responsabilités des uns et des autres. C’est la parole du Mozabite contre celle de l’Arabe ! Se référant aux premiers résultats de l’enquête, le commandant de la gendarmerie de Ghardaïa, Mokhtar Benguedira, confirme que les affrontements ont été provoqués par cette « histoire » de pétards, sans pouvoir confirmer ou infirmer l’une de ces deux versions. Une chose semble être cependant confirmée, à ses yeux, c’est que le tir ayant tué Ali Lassakeur est bien sorti du fusil de chasse saisi et remis pour analyse balistique au laboratoire scientifique de la Sûreté nationale d’Alger. Le commandant Benguedira explique, par ailleurs, que l’intervention des services de sécurité s’est faite dès l’arrivée des renforts venus de Ghardaïa. Les éléments disponibles au niveau de la brigade de Berriane n’étaient pas suffisants pour opérer une quelconque intervention dans les quartiers théâtre d’affrontements, précise-t-il.
Ressentiment et animosité
Mais au-delà des faits, tout le monde à Berriane, que ce soit du côté des Arabes ou des Mozabites, s’accorde à dire que les derniers événements ne sont que la conséquence logique d’un cumul de ressentiments et d’animosités. Les Beni M’zab rappellent les événements de 1990 provoqués par les résultats des élections locales où la liste du parti dissous FIS (Arabes) se retrouvait en ballottage avec celle des indépendants (Mozabites) avant que cette dernière ne prenne le dessus. Les affrontements ont fait deux morts. « Les deux morts étaient des Mozabites. Le meurtrier a été arrêté, jugé et condamné à 5 ans de prison ferme, mais au bout de sa deuxième année d’incarcération, il a été gracié. Je trouve cela injuste. Il fallait qu’il purge sa peine », dénonce un Mozabite qui a requis l’anonymat. La plaie ne s’est donc pas encore refermée et il a suffi de peu pour qu’éclate l’abcès. Aussi, ils n’apprécient pas qu’ils soient considérés comme des kharidjites, comme cela est mentionné dans le manuel scolaire de l’éducation islamique destiné aux classes de la 5e année primaire. « Les élèves de la 5e année étudient depuis deux ans que les ibadites (Mozabites) sont des kharidjites. Cela est une contrevérité historique », fulmine un groupe de Mozabites rencontré au centre-ville. Du côté de la communauté arabe, on parle de la goutte qui a fait déborder le vase. Plusieurs agressions qui se sont produites au cours de ces trois dernières années et de nombreuses voitures brûlées depuis le début de l’année 2007, indique-t-on. « Toutes les personnes agressées appartiennent à la communauté arabe ainsi que les voitures brûlées », fait remarquer un membre de la famille Nadja qui évoque également un « faux barrage dressé par un groupe de délinquants mozabites connus de tous ». Ahmed Grine atteste, quant à lui, que les Mozabites rejettent les autres. « C’est la nature de la communauté mozabite ibadite qui est recroquevillée sur elle-même qui a conduit à cette situation conflictuelle. Les ibadites ont leurs propres cimetières, leurs mosquées, leurs écoles et refusent de mélanger leur sang avec les autres », indique-t-il, convaincu qu’il ne s’agissait pas d’une « affaire de voyous ». Les Mozabites se montrent placides face à ce qu’ils qualifient d’« attaques infondées ». « Il est primordial de respecter les différences des uns et des autres et de les accepter. Nous sommes une communauté qui a sa culture, son mode de vie, sa langue, qui tient toujours à son ancienne forme organisationnelle et perpétue sa civilisation », réplique un Mozabite qui met en exergue la nature conservatrice de sa communauté. « Cela ne nous empêche pas d’être en contact avec d’autres communautés, d’établir de bons rapports avec elles dans le respect mutuel… », souligne-t-il. Selon Bekkaïr Abdelkader, chercheur en histoire, vivant à Berriane, les derniers événements de Berriane sont dus à plusieurs facteurs dont l’explosion démographique qu’a connue la ville au cours de ces trente dernières années. Cette expansion démographique a provoqué, explique-t-il, des problèmes multiples : chômage, crise de logement… La ville a aussi connu une extension anarchique. Ces « gourbis » de misère sont devenus, avec le temps, un foyer pour les délinquants qui s’adonnent au trafic de drogue, soutient-il. M. Bekkaïr met en avant également le changement de mentalité qui fait que la jeunesse, notamment mozabite, intègre des formations politiques et écoute de moins en moins les notables. Pour preuve, souligne-t-il, malgré de multiples appels lancés par les « sages » de la ville, le calme n’est revenu qu’après l’arrivée des renforts des services de sécurité. Il estime que le « conseil des aâzaba », structure spirituelle mozabite régie par les imams et les chouyoukh, est en train de perdre de son influence auprès des jeunes. Certains partis politiques, quant à eux, voient « des forces occultes » derrière ces événements qui cherchent à déstabiliser la région. C’est l’avis du RCD et du FFS. La raison : le changement de la carte politique dans la région. « Il y a ceux qui n’ont pas apprécié le fait que le RCD remporte l’APC de Berriane », souligne Tebakh Balehadj, élu du FFS à l’APW de Ghardaïa. Les avis sont ainsi parfois contradictoires et les explications des uns et des autres se contredisent. Mais il est clair que les stigmates des événements qui se sont produits par le passé sont toujours là et continuent à réveiller le vieux démon. A cela s’ajoute la différence sur le plan culturel, traditionnel et rituel qui attise les tensions entre les deux communautés. L’absence de dialogue permanent aggrave la situation.
Source El Watan
Le Pèlerin
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commentaires

L
Bonjour<br /> Je crois avoir débattu mille fois de ce sujet qui n’est pas propre à l’Algérie mais que l’on retrouve un peu partout dans le monde chaque fois qu’il y a plusieurs communautés sur un même lieu<br /> L’Ecosse à failli obtenir son indépendance<br /> La Catalogne le voudrait aussi<br /> En Ukraine comme en Crimée c’est le même problème<br /> En Kabylie certains Kabyles demandent aussi leur indépendance et je comprends fort bien que vous ayez le même type de requête<br /> Je ne pense pas que l’indépendance sera la solution <br /> Toutefois la lutte pour faire reconnaitre sa culture, sa langue doit rester l’un de vos combats<br /> Pour cela faut-il encore lutter contre le pouvoir centralisateur qui n’a que faire de la reconnaissance de votre spécificité<br /> On n’a rien sans rien et tout en respectant la démocratie il vous appartiendra de défendre vos idées<br /> La première des choses sera de militer et non pas de se desinteresser de la politique<br /> Oh nul doute que cela prendra du temps<br /> Mais avec le temps la patience et la ténacité dans les idées vous finirez bien par imposer ces idées qui sont des idées de démocratie et du droitv au respect des minorités<br /> Bon courage et bonne chance<br /> Cordialement votre,<br /> Le Pèlerin
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L
Bonjour Sadoue<br /> Le sujet n’est pas facile.<br /> Tous les pays du monde connaissent de tels problèmes <br /> Comment concilier l’histoire les traditions et la nécessité d’avoir un pays fort et respect é et souvent bien centralisateur<br /> La Démocratie n’est pas un vain mot et la régionalisation, la délégation sont des mots magnifiques lorsque l’on sait les mettre en œuvre<br /> On ne peut taxer les Berbères de toutes sortes d’avoir agi contre les intérêts de leur pays<br /> Le Pouvoir centralisateur doit accorder aux Berbères de Ghardaia, de Tizi-Ouzou ou bien d’ailleurs, leur spécificité, leur culture. <br /> La non mise en œuvre de telles réformes et le refuge dans un pouvoir centralisateur excessif dénote la faiblesse du pouvoir par un excès d’autocratisme doublé d’un manque de confiance du pouvoir en place, dont les fondements seront alors sans cesses mis en cause<br /> Cordialement,<br /> Le Pèlerin
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T
Bonjour, ce qui me fait vraiment mal dans les évènements de Ghardaia et que lorsque c'est un mozabite qui est victime mort ou blessé, les journaux comme El Watan ou le Soir d'Algérie le mette en première page avec des larmes de crocodiles, mais lorsque la victime est Chambi et bien on ne parle même pas ou juste un petit article illisible à l'intérieur des pages.Voila ou mène le Régionalisme et le racisme
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K
 salam a vous les mouzabit ne sanpas des berbers pourcoi vous det qe ills sont berber aparament vous nesavez rien a lhistoir de lalgerie ?
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L
<br /> Khaled Salam<br /> <br /> Je connais certainement moins l'histoire de l'Algérie bien que vous bien que j'y sois né là bas avant vous<br /> Je vous dis qu'il y a 2 communautés qui ne s'entendent pas....Et si chacun y mettait du sien on pourrait regler les problèmes autrement que par le sang.....Si cela peut vous rassurer je vous<br /> ai rapporté là un article du quotidien "El Watan" qui je pense est aussi lu à Ghardaïa et à Berriane....Mais je vais me renseigner plus profondément ...J'ai de nombreux amis Mozabites<br /> originaires de Ghardaïa ....d'autres qui ne le sont pas....et de nombreux militants du RCD....qui e pense ont été actifs sur ce sujet...Je vais me faire une opinion personnelle plus précise et je<br /> vous répondrai de façon plus adéquate<br /> Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à mes blogs<br /> Cordialement,<br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />
A
Ce qui se passe à Bérriane est une manipulation des partis Kabyles le RCD et le FFS ce qui n'ont pas réussie à faire en Kabylie ils le font en ce moment à Bérriane en manipulant les jeunes Mozabites, les kabyles de Tizi-Ouzou issuent des accadémie Berberes sont le virus et le cancer de l'Algérie, mais un jour ces gens vont payer, car l'Algérie silencieuse se réveillera un jour in chaallah
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L
<br /> Salut Akram,<br /> <br /> Oui tu as raison; il est temps que l'Algérie se réveille, dans un sens ou dans un autre, mais qu'elle se réveille...rien n'est pire que l'inertie....Alors je salue tous ceux qui maintiennent<br /> l'Algérie éveillée, qu'ils soient Kabyles, Mozabites ou autres.....Il est temps de se réveiller et de se retrousser les manches<br /> Je te souhaite une bonne journée.<br /> <br /> Cordialement,<br /> Le Pèlerin <br /> <br /> <br />
D
-je veu ajouter un mot de solidaritee a nos frere (imzavyen)ne t inquietez pas,vos freres les chawi,les touareg,les kabyle et les chenwi sont la.
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L
<br /> Salut didinUSA<br /> <br /> Je salue la communauté et j'espère qu'il n'y a pas d'incitation à la haine<br /> Cordialement,<br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />
D
-je veu ajouter un mot de solidaritee a nos frere (imzavyen)ne t inquietez pas,vos freres les chawi,les touareg,les kabyle et les chenwi sont la.
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L
<br /> Salut didinUSA<br /> <br /> Je salue la communauté et j'espère qu'il n'y a pas d'incitation à la haine<br /> Cordialement,<br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />
D
-a monsieur le savon tajemmi banouh, stp  de quelle  universitie ou institu as tu ces histoires,je crois  en egypte ou saoudi,ok,tan fait pas,j espere que votre race repete ce que tu as dis le jour ou les chaoui,kabyle,touareg,mouzabit seront reunir,et vous allez avoir une bonne reponse, et tu vera  si on est venu de niger et mali  ou bien c est toi qui a venu avec tes anes et tes chameaux  au nom du dieu que vous avez trahi.
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L
<br /> Hello didinUSA<br /> <br /> All my best to your community....!!!<br /> Take care of your friends ..I hope your words will not tease anybody ....<br /> God will recognise nice or naughty guys<br /> I hope you are in the first category<br /> Regards,<br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />
A
l'algerie est un pays arabe et la minorité berbere ne dictera jamais ses coutumes primaires et primitives c'est pourquoi je demande la creationdes partis politiques nationalistes arabes en algerie et je demande de declarer les berberes comme ennemie supreme de la nation arabe algerienne qui n'est que la continuité pure et logique de l'histoire arabe depuis carthage ;je conseille les algeriens de ne jamais donner des droits aux berberes parce que ces derniers  sont vos ennemies et sont des etrangers qui ont occupé la terre arabe carthaginoise apres qu'ils ont ont fui leur pays berbere d'origine qu'est le nord du mali et le nord du niger.vive la republique arabe algerienne 
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L
<br /> <br /> Bonsoir Al Moujehid,<br /> <br /> J'apprécie la chaleur des contacts la fraternité le dialogue la convivialité ....Je ne retrouve rien de tout cela dans vos propos....S'il y abeaucoup de gens comme vous en Algérie je<br /> coprends pourqoui l'Algérie a tant de mal à se remettre<br /> L'Algérie a besoin de gens qui se réunissent autour d'un projet qui prone le rassemblement et non  la haine...<br /> Je vous salue Al Moujehid<br /> <br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br /> <br />
T
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T
D'autres témoignages :<br /> http://oubekkou.spaces.live.com/blog/cns!1024386E1022D859!186.entry(Copier le lien puis le coller dans l'explorateur, si nécessaire)
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T
Peut-être une explication :http://www.tahiabladi.com/index.php/1118/questions-sur-les-les-evenements-de-berriane/#more-1118
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L
<br /> désolé mais je n'ai pas pu ouvrir le lien ....Google ne connait pas.....Tant pis c'est dommage<br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> le Pèlerin<br /> <br /> <br />
A
bonjour;mes chérs internautes je veux vous informez que " les beni m'zab sont des vrais arab ,pas des bérbéres donc il y'a pas de place chez nous a oued m'zab pour le rcd et le ffs ,laissez nous traquille allez ailleurs les arabs et les mouzabites peuvent regler leur problémes entre eux svp partez de chez nous salutations 
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L
<br /> Bonsoir ,<br /> <br /> Je n'ai pas la compétence;<br />  <br /> - pour en juger<br /> - pour emmettre un avis sur votre point de vue....<br /> .....Toutefois ce n'est pas en se repliant sur soi-même que l'on résoud les problèmes<br /> peut être que l'histoire vous apportera des solutions.<br /> <br /> Merci pour l'intérêt que vous portez à mon blog<br /> <br /> Cordialement,<br /> <br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />
S
Il est claire que cette région berbere subit la dictature de la communauté arabe. D'ailleurs c'est ce qui se passe dans toute l'algérie et je dirai même de toute l'afrique du nord. Une poignée d'individus rejetés de l'arabie a semé de force et grace aux soutiens locaux sa culture et sa langue. Pour achever ce travail de fourmis qui a débuté depuis 14 siècles, ils créent des problémes pour détruire les forteresses qui leur renvoient leur non algérianité. Il est clair que ces arabes ne lacheront pas la lutte tant qu'il reste des amazigh qui tiennent à leur langue et àl leur culture. Le but de faire faire de notre peuple un peuple sans identité, un faux peuple arabes comme le revendiquent ceux qui ont baissé les bras et qui sont rentrés dans le rang.continuons à exister, à défendre notre langue et notre culture c'est ainsi qu'on leur fera voir chaque jour qu'ils ne sont pas chez eux.
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T
Ce n'est pas vrai vous êtes un vrai raciste, tout le monde sais que les Arabes ne sont pas des colonisateurs, c'est juste une minorité (5 % ) qui est venu en Afrique du Nord pour porter le message de l'islam, et pour te civiliser,toi le barbare
L
<br /> Tout un programme Sadoue<br /> <br /> Je partage globalement votre avis...<br /> <br /> Je vous fais cette réponse provisoire depuis un cyber en ariège...mais je me propose d'y revenir dès  mon retour à Toulouse<br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> Le Pèlerin<br /> <br /> <br />