Algérie - Nomination d’un sélectionneur national adjoint : Ce n’est pas une priorité pour Raouraoua
Le choix d’un sélectionneur adjoint est-il vraiment la priorité du président de la fédération ? A en croire les bruits qui courent au niveau de la FAF, ce ne serait pas le cas.
Le nom du technicien qui viendra seconder Saâdane au niveau du staff technique ne sera connu que la veille du match face à la Tanzanie. Selon une source proche de la FAF, celui-ci ne sera nommé qu’après la première sortie de l’EN dans les éliminatoire de la CAN 2012. Pour preuve, le président de la FAF n’a entamé de négociations avec aucun technicien, algérien ou étranger soit-il.
Selon la même source, il n’a pas encore consulté les CV proposés. Raouraoua se penchera sur la question après le match amical face au Gabon, le 11 août prochain. Sa priorité pour l’instant reste le démarrage du premier championnat à l’ère du professionnalisme.
Ainsi, les pistes et les noms d’entraîneurs avancés jusque-là, à l’image de Bira, Peckerman ou autre Troussier, ne sont que des spéculations destinées à orienter et à influer sur les décisions du président de la Fédération. Par ailleurs, le premier responsable de la FAF a procédé à la nomination de Tasfaout au poste de manager général de l’équipe nationale. Une décision prise dans la précipitation pour mettre un terme aux spéculations et barrer la route aux éventuels opportunistes. En effet, elle va à l’encontre des règlements. Non pas parce qu’il n’a pas les capacités requises, mais parce qu’il est membre du bureau fédéral. Hormis le cumul, il ne peut pas prétendre à un poste rémunéré dans la mesure où il est bénévole au sein du BF. Cela dit, son prédécesseur, Walid Sadi, était dans la même situation.
Source Horizons Rédha Maouche
Le Pèlerin