D’une durée de cinq jours – il s’achève jeudi, 21 novembre –, ce cours fait partie d’une série d’échanges qui ont lieu durant ce mois de novembre dans le cadre de la coopération entre l’Algérie et la France en matière de sécurité intérieure.
Les risques auxquels la Protection civile algérienne doit faire face évoluent au fur et à mesure du développement du pays et nécessitent, en effet, une formation continue. Le stage ayant pour objet la gestion des incidents dans le métro, moyen de transport que les Algériens ne connaissent que depuis peu, est l’action phare de ces échanges. Ce n’est, néanmoins, pas la seule action entreprise durant ce mois de novembre en cours.
Deux autres formations, la première concernant le sauvetage déblaiement (recherche des personnes ensevelies suite à un séisme, une coulée de boue ou une explosion de grande ampleur, ndlr), dispensée par un expert militaire français, et la deuxième sur la pédagogie de formation pour les cadres de la Protection civile, menée par deux sous-officiers sapeurs-pompiers, se déroulent au même moment.
Et, à Constantine, un séminaire de trois jours débute aujourd’hui pour clôturer une autre série d’échanges ayant eu lieu précédemment à Alger et Oran sur «les stratégies pénales et sanitaires dans le traitement de la toxicomanie».
Placé sous le patronage de l’Office national de lutte contre les drogues et toxicomanie (l’Onldt), il rassemble pour la troisième fois des spécialistes, magistrats, policiers et médecins, en présence de six experts français.
Source Le Soir d’Algérie L. H.