La fréquence des témoignages et des observations s’intensifie - Ovnis, mythe ou réalité ?
Des observations d'ovnis ont déjà été faites dans le passé, mais les rapports d'observations sont devenus plus fréquents depuis les années 1950, notamment aux États-Unis.
Au mois d’octobre 2010, des New-Yorkais stupéfaits découvraient à leur réveil un ciel constellé d’Objets volants non identifiés (Ovnis). Tout le monde les a vus et personne ne pourrait dire le contraire.
Le maire a déclaré à l’adresse des citoyens qui voulaient expliquer l’inexplicable que ce jour-là, il n’y avait pas de lâcher de ballons.
L’histoire ne dit pas comment s’est terminée la confrontation entre crédules et sceptiques dans les cafés du Bronx et de Manhattan, mais l’incident a vite été oublié. Les habitants de la plus grande cité du monde ayant d’autres chats à fouetter.
Mais au-delà de cette apparition d’ovnis que rien n’explique et qui n’a rien d’un phénomène marginal, il ne se passe pas une semaine en effet sans que des apparitions semblables soient signalées à travers les cinq continents.
En France, les gendarmes ont recueilli des milliers de témoignages, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale sur ces étranges objets. Certains étaient franchement farfelus, d’autres à la limite de la bonne blague. Même chose en Grande-Bretagne où l’événement a littéralement passionné dans les pubs, à l’heure des buveurs de bière. Mais là encore, les autorités ont fait preuve de beaucoup de discernement. C’est ainsi, par exemple, qu’ils ont découvert que la photo d’une soucoupe volante prise par un astronome amateur n’était, en fait, qu’un vulgaire montage de deux tasses de café l’une inversée sur l’autre… ainsi que le célèbre canular monté par des paysans en mal de notoriété. Ces derniers avaient défriché, à la tombée de la nuit, une partie de leur parcelle en forme de cercle en prenant soin de brûler au chalumeau ses bordures pour faire croire à la chaleur dégagée par l’arrivée d’un ovni sur leur propriété. En revanche, de multiples témoignages, plus sérieux et plus crédibles venant de commandants de bord sont catégoriques. «Nous avons été suivis et doublés pendant notre traversée par de curieux engins mobiles à une vitesse vertigineuse et qui dégageaient une lumière très vive…»
Ces affirmations incroyables ont été confirmées plus tard par des aiguilleurs du ciel qui ont noté la présence de taches inhabituelles sur leur radar près de ces avions et qui ont brusquement quitté leur écran.
Les scientifiques s’en mêlent
L’apparition épisodique et parfois répétée d’ovnis dans le ciel n’a pas manqué d’attirer l’attention des scientifiques du monde entier et, dans certains pays, même celle des états-majors de l’armée.
Les chercheurs américains ont eu l’idée de créer une agence internationale capable de recueillir, de classer et de répertorier tous ces phénomènes. Et dans la foulée de leurs investigations, tous les cas litigieux qui tenaient de plusieurs versions à la fois, ont été classés. Pour le même ovni par exemple, tel riverain jugera l’avoir vu clignoter avec une lumière rouge, un autre prétendra que la lumière était, au contraire, verte et un autre enfin affirmera que l’engin était immobile et dépourvu de tous feux. Des techniciens rompus à ce genre de «témoignages-visions» se fixeront pour tâche de vérifier point par point toutes les assertions qui seraient corroborées par des versions identiques. Leur tâche est de suivre, pas à pas si l’on peut dire, en temps réel, la progression de ces objets, leur disparition... Mais ils n’obtiendront rien de plus. Le casse-tête est tel que c’est l’impasse et que ce sera toujours l’impasse. Tant qu’aucun ovni n’a été «chassé» et «capturé» et sa structure mise à plat, le mystère demeurera entier. Il ne reste plus aux amoureux des étoiles et des constellations ainsi qu’aux poètes qu’à rêver. Mais ce qui est aujourd’hui une fiction sera sans doute une réalité demain. Des civilisations interstellaires existeraient-elles ? Pourquoi pas. Si rien ne prouve leur existence à la fin fond du cosmos, rien non plus ne le réfute. Comme rien n’interdit de penser que d’autres formes de vie et d’intelligence pourraient évoluer quelque part dans l’univers. Des millions d’années sont nécessaires à l’homme pour arriver à explorer une partie seulement de la création.
Considérer que ces objets volants, mobiles et lumineux et de surplus insaisissables sont des soucoupes qui viendraient d’une autre planète, le pas est, peut-être, vite franchi. Certains y croient pourtant. Et si c’était le cas ? Et si une rencontre du troisième type était possible ? En attendant, ces ovnis soulèvent plus de questions qu’ils n’apportent de réponses. C’est sans doute ce qui fait tout leur charme et qui enflamme les imaginations.
Exagération et fantaisie
Le mystère qui entoure les ovnis, enflamme les imaginations si bien que de nombreux témoignages sont faux.
Selon certaines statistiques que nous tenons pour fiables et que nous n’avons aucune raison de mettre en doute, 8o% au moins des témoignages sur les apparitions d'ovnis à travers le monde ne tiennent pas la route. Ils sont ou erronés ou exagérés ou carrément fantaisistes.
Ce sont les 20% qui restent qui posent problème car on ne leur trouve aucune explication logique ni scientifique solidement argumentée.
Alors d’où proviennent ces objets ? Par qui ont-ils été envoyés, pourquoi et surtout par quels moyens sont-ils arrivés et dans quel but ?
L’équation a beau être examinée sous différents angles, analysée sous différents paramètres, rien de rationnel ou de ce qui s’en approche ne permet aujourd’hui d’échafauder la moindre hypothèse.
Et puisque ni le réchauffement de l’air ou la déformation liée à la lumière ne sont à l’origine de ces apparitions mystérieuses et encore moins la présence d’un quelconque effet d’optique, force est de reconnaître que ces «engins» viennent fatalement d’ailleurs.
Et pour être plus conséquent, de quelque part… Des chercheurs très sérieux et à la réputation bien assise se sont livré pourtant une bataille de chiffonniers autour du syllogisme suivant : «Faut-il considérer ces apparitions comme une réalité virtuelle projetée par un monde réel et donc qui existe ou, au contraire, comme une réalité concrète projetée par un monde virtuel, et qui n’existe pas ?» Nous sommes en plein délire philosophico-scientifique.
En d’autres termes, faut-il considérer ces objets visibles comme une manifestation de la réalité ou comme la réalité d’une manifestation invisible ?
Qu’importent les arguments des uns et les spéculations des autres. Une chose paraît arranger tout le monde et tous les laboratoires de recherches : la science est en présence de phénomènes qui la dépassent, sur lesquels elle n’a aucune prise.
Elle ne peut ni les identifier ni les prévoir et reste donc totalement impuissante.
New York nous a donné l’occasion de rouvrir ce vieux dossier des ovnis qui passionne des millions de personnes dans le monde, et à cette occasion nous rappellerons que dans cette même ville, des apparitions tout aussi étranges ont eu lieu, il y a quatre ans sur la façade d’une célèbre église : la vision de l’image du Christ !
Des milliers de citoyens incrédules ont fait la queue pour la voir. Le FBI a même ouvert une enquête pour s’assurer qu’il n’y avait pas de canular à la source. En vain.
Qui a projeté cette image sur les murs, comment a-t-il pu le faire et surtout par quel miracle a-t-il réussi un pareil défi technologique impossible à réaliser en l’état actuel de la science.
Des chercheurs à l’écoute
Des organismes gouvernementaux très sérieux ont créé des cellules et des veilles d’écoute pour enregistrer d’éventuelles ondes radio qui proviendraient d’une autre galaxie...
Les scientifiques ont généralement horreur des réalités non prouvées. Au point que nombre d’entre eux ont quitté ce monde sans jamais croire en Dieu, ni à ses nombreux signes. Les trois religions monothéistes attestent pourtant de la présence d’un Créateur.
Depuis quelques années, un certain nombre de chercheurs, notamment des astronomes échafaudent des hypothèses de plus en plus hardies, de plus en plus téméraires.
Les spéculations ont l’avantage de libérer non seulement l’imagination mais surtout l’intuition. Un savant russe, un communiste qu’on ne peut accuser de fanatique religieux, a eu ce mot qui en dit long sur la dimension infinie de l’univers : «Ce serait faire preuve d’orgueil et de prétention que de croire que nous sommes seuls dans l’univers. C’est une aberration que de le penser.»
D’autres chercheurs qui ont fait l’effort de se débarrasser du conformisme et de l’orthodoxie scientifique, n’ont pas hésité à mettre les pieds dans le plat en posant tout simplement et tout bêtement la question qui brûle toutes les lèvres : «Et si ces ovnis dont la vitesse et la capacité de mouvement n’ont rien de commun sur terre et dont on ne connaît ni la structure ni la provenance étaient après tout des engins venus de l’espace ?» Cette hypothèse pour osée qu’elle soit et si elle n’a pas encore soulevé l’enthousiasme des physiciens, est pourtant en train de gagner du terrain aujourd’hui.
Du reste des laboratoires et des organismes gouvernementaux très sérieux ont créé des cellules d’écoute, des veilles d’écoute pour enregistrer d’éventuelles ondes radio qui proviendraient d’une autre galaxie.
Des ondes radio ont, en effet, été reçues mais la communauté scientifique a été incapable d’en situer la source, d’en identifier l’origine et surtout d’en interpréter le contenu, si tant est qu’il y a un contenu.
Bien sûr, ce ne sont pas quelques ondes radio et quelques centaines d’ovnis venus de l’espace ou d’on ne sait où qui confirmeront l’existence de civilisations extraterrestres. Seulement, rien ne justifie leur présence ou la fréquence de leur apparition.
Un savant américain a trouvé sans doute un début de solution : «Nous avons toujours pensé que nous étions la dernière création de l’univers et que nous fermons la boucle. Et si au contraire nous étions la première et que la voie était ouverte à d’autres spécimens, à d’autres formes et peut-être à d’autres intelligences ?»
Un sujet très recherché par les cinéastes
Si la présence d’ovnis dans le ciel a contraint des chercheurs à passer des nuits blanches en laboratoire, elle a fait, en revanche, la fortune de nombreux écrivains qui ont exploité le filon. Le cinéma et la télévision s’empareront vite du sujet.
Aujourd’hui, les grands films à succès ont pour décor des planètes étranges de l’espace avec toutes sortes de créatures bizarres.
Source Infosoir Imaad Zoheir
Le Pèlerin