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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 11:30

Forte demande de participation nationale et étrangère

energie solaire

 

A un mois de son ouverture, le premier Salon international des énergies renouvelables et de la maîtrise d’énergie (Siereme), qui se tiendra du 11 au 15 octobre prochain au Palais des expositions des Pins maritimes, connaît un engouement sans précédent en termes d’intention de participation émanant d’opérateurs, aussi bien nationaux qu’étrangers, apprend-on auprès de Sadek Stiti, PDG de Batimatec Expo, société organisatrice de la manifestation.

Plus d’une centaine d’exposants, parmi lesquels 30 étrangers, sont attendus, selon cette même source, qui met en relief le thème particulièrement porteur des énergies renouvelables devant lequel s’ouvrent d’intéressantes perspectives de développement à travers le monde. L’industrie des énergies renouvelables alternatives aux produits fossiles et les technologies visant à rationaliser leur utilisation, connaissent en effet une explosion sans précédent qui préfigure une refonte des modèles de croissance de plus en plus soucieux de la préservation de l’environnement. L’Algérie, qui ne peut échapper à cette nouvelle démarche développementale, devra d’ores et déjà s’y préparer en engageant des actions multiformes, parmi lesquelles la communication devrait occuper une place déterminante.

Le salon Siereme, qui donnera l’occasion aux opérateurs concernés (industriels, promoteurs immobiliers, maîtres d’ouvrages publics et privés, autoconstructeurs, universitaires, chercheurs, etc.) de prendre connaissance des innovations en matière d’utilisation et de préservation d’énergies renouvelables, a précisément été conçu à cet effet. Un espace important sera alloué gratuitement aux petites entreprises et artisans du secteur des énergies renouvelables afin de les encourager à participer au salon, nous apprend le PDG de Batimatec Expo. Un appel a également été lancé en direction des inventeurs qui pourront, à cette occasion, présenter et promouvoir leurs produits et découvertes. On enregistre déjà la participation d’un ingénieur algérien en génie mécanique qui présentera une invention consistant à produire de l’électricité à partir d’une énergie propre et durable, selon notre interlocuteur.

De nombreuses ambassades auraient également pris attache avec les organisateurs du salon dans le but d’offrir à certaines de leurs entreprises l’occasion de présenter des produits et équipements innovants utilisant ou produisant des énergies renouvelables. A noter l’organisation en marge du Siereme, de journées techniques supervisées par l’Aprue avec, à la clé, des conférences animées par des experts algériens et étrangers, la diffusion des programmes d’équipements (appel d’offre de l’Aprue pour l’acquisition de 400 chauffe-eau solaires, équipement de maîtrise d’énergie en faveur de 600 logements, etc.).

L’Agence française de la maîtrise de l’énergie (ADME) sera présente pour animer une journée technique sur l’efficacité énergétique des bâtiments. Le Siereme, dont la préparation se déroule sous de très bons auspices, devrait accueillir environ 15 000 visiteurs, selon les pronostics du PDG de Batimatec Expo.    

Source El Watan Nordine Grim

Le Pèlerin

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 11:09

Tipasa - Assemblée générale ordinaire de la Chambre de commerce : Le torchon brûle entre le président et des membres de l’AG

ruines romaines tipasa

Sauf report de dernière minute, une Assemblée générale ordinaire (AGO) de la Chambre de commerce et de l’industrie de la wilaya de Tipasa (Chenoua), se tiendra aujourd’hui, dimanche, au chef-lieu de wilaya.

C’est ce qu’a indiqué, Bouhenaf Kamel, membre du bureau de la Chambre. «C’est la première assemblée générale que tiendront les membres de la Chambre depuis les dernières élections tenues en avril 2010. La date de la tenue de l’AGO a été décidée au terme de la réunion du bureau le 25 août du mois écoulé», précisa-t-il.
Selon des échos émanant de membres de l’Assemblée générale et confirmés par deux membres du bureau qui en compte cinq, une motion de retrait de confiance contre l’actuel président de la Chambre sera introduite dans l’ordre du jour du conclave. «Jusqu’à présent, 17 parmi les 21 membres composant l’Assemblée générale ont déjà signé une pétition exigeant le départ du président de la Chambre. Lors de la prochaine AGO, nous comptons procéder au retrait de confiance de l’actuel président, puisque le quorum exigé par la réglementation en vue d’enclencher une procédure pareille est largement atteint», confie Bouhenaf Kamel.
Pour un autre membre du bureau, en l’occurrence Bechroul Zoubir, qui a eu à occuper dans le passé le poste du président de la Chambre de Chenoua, la procédure de retrait de confiance a été décidée en dernier recours puisque tout autre arrangement est, selon lui, désormais impossible. «Il faut d’abord souligner que les signataires de la pétition, dont je fais partie, placent l’intérêt de la chambre ainsi que le développement de la wilaya au-dessus de tout autre intérêt. Cela dit, depuis les élections d’avril dernier, la Chambre traverse quasiment une période d’inertie, durant laquelle, elle n’a pris aucune initiative ou contribué d’une manière effective à la dynamique économique sur le plan local. Or, de par sa place et ses missions, elle devrait être, au contraire, l’une des locomotives du développement.
Ce qui n’était pas vraiment le cas», explique, Bechroul Zoubir, la raison du retrait de confiance. A priori, les points de discorde entre le président et les pétitionnaires, ne se limitent pas à ce grief. «Depuis le scrutin de renouvellement des instances de la chambre jusqu'à maintenant aucune commission n’a été mise sur pied comme le stipulent le règlement intérieur et les statuts régissant le fonctionnement de la Chambre. Outre ce fait, la Chambre de Chenoua compte un seul vice-président au lieu de deux et cinq membres du bureau au lieu de six. C’est dire les dysfonctionnements organiques qui caractérisent notre structure», ajoute Bouhenaf.
A en croire les deux interlocuteurs, la situation s’est aggravée davantage à cause du manque de concertation et de coordination entre les membres de l’Assemblée et le président de la Chambre, notamment lorsqu’il s’agit d’entreprendre des initiatives communes. «Nous, la majorité des membres de l’Assemblée générale et du bureau, comptons porter notre confiance en Mme Hechad, l’actuelle 1re vice-présidente, pour être à la tête de la Chambre», souhaite les deux membres de la Chambre questionnés

Source Horizons Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 11:02

Santé - La gelée royale - Pour une reprise en forme

gelee-royale.jpg

 

Appréciée pour ses vertus nutritives et énergétiques, la gelée royale est la solution idéale pour vous maintenir en forme dès la rentrée et pendant tout l’hiver.
La gelée royale ressemble à un miel blanc mais seule l’abeille, reine de la ruche, s’en nourrit. Les ouvrières, elles, n’en bénéficient que les trois premiers jours de leur vie. (D’où son nom gelée royale). Mais la gelée royale diffère surtout de son voisin par ses nombreuses propriétés. Riche en glucides, protides, lipides, vitamines et sels minéraux, cette onctueuse pâte au goût amer porte vraiment bien son nom de «gelée royale». Sa formule exceptionnelle s’avère très efficace avant les premiers froids. La gelée royale augmente en effet la résistance aux chutes de température. Mais son pouvoir ne s’arrête pas là. Stimulante, elle ouvre les appétits même des personnes les moins affamées. Elle est également très utile pour redonner du tonus, de la vitalité et de la bonne humeur, souvent en baisse à l’entrée de l’automne. Bref, elle est votre alliée de l’hiver. Sa composition, très dense en apports nutritifs, est source de bien-être. Ses actifs, stimulants, tonifiants et euphorisants, offrent au corps et à l’esprit toute l’énergie nécessaire pour bien passer les saisons froides.
La cure de gelée royale
Pour profiter au mieux de toutes les vertus de la gelée royale, il est conseillé de la consommer à jeun. La meilleure formule : une demi-cuillère à café de gelée tous les matins au petit-déjeuner. Le petit plus : la laisser fondre sous la langue afin d’apprécier pleinement toutes ses propriétés. Attention toutefois pour les premières fois, la gelée royale peut surprendre par son parfum légèrement acidulé. Pour atténuer son goût, vous pouvez l’associer éventuellement avec du miel, puis un bon verre d’eau aidera à mieux l’assimiler. Il n’y a pas de contre-indications particulières à l’usage de la gelée royale. Mais en cas de doute, le médecin traitant demeure la personne la mieux placée pour juger si une cure est nécessaire ou pas.
Quand utiliser la gelée royale ?
Certes très utile à l’approche de l’hiver, la gelée royale peut, bien entendu, être dégustée en d’autres circonstances :
Un mois avant et quinze jours après une hospitalisation ou une convalescence ;
au cours de la grossesse et pendant la durée de l’allaitement. La maman en profite ainsi que le bébé ;
avant un voyage ;
En cas de fatigue, de stress ou d’angoisse ;
Un mois avant la préparation d’un examen ou d’une épreuve sportive. La gelée royale réduit le trac et favorise le rendement intellectuel et physique ;
Pour les personnes âgées, elle améliore les capacités intellectuelles et physiques. (Voir en pharmacie).

Source Le Soir d’Algérie

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 11:00

Le Président-directeur général de la compagnie, Abdelwahid Bouabdellah, est conscient de ces désagréments et il l’a fait savoir.

airalgerie.jpg

 

Pieds et poings liés», la Compagnie nationale du transport aérien, Air Algérie traverse une zone de turbulences. Des retards récurrents que les voyageurs ont fini par adopter, notamment durant la saison estivale, un manque d’avions fréquent, des problèmes relatifs à l’arrimage du fret, mais également des défaillances dans les domaines de l’exploitation des appareils...Le président-directeur général de la compagnie Abdelwahid Bouab-dellah, est conscient de tous ces tracas. Et il l’a fait savoir à plusieurs reprises, notamment lorsque sa compagnie a été placée sous les feux de l’actualité durant la saison estivale. «Je crois que cette année, nous avons dépassé les records en matière de retards, mais cela n’est pas dû à la volonté d’Air Algérie», a-t-il reconnu. M.Bouabdellah soulève également un autre problème à même de justifier les tourments que subit Air Algérie: «Les délais de réparation de pannes sont considérablement plus longs pour des raisons d’approvisionnement en pièces de rechange qui a été rendu très compliqué à cause de la nouvelle procédure de la loi de finances complémentaire 2009.» Des propos crus qu’il est rare d’entendre de la part d’un responsable d’une entreprise par-dessus tout publique. «C’est très compliqué de gérer une entreprise publique en ce moment car il y a de la suspicion partout», finit-il par lâcher. Des désagréments qui, de toute évidence, se répercutent sur le fonctionnement d’Air Algérie qui endosse des imperfections qui ne sont pas nécessairement liées à sa gestion. L’exemple le plus frappant est celui de la Omra de cette année. Partis aux Lieux Saints pour effectuer une Omra, 22.000 Algériens sont dans l’expectative et leur attente risque de s’éterniser. Il n’y a pas assez d’avions pour leur permettre de rentrer chez eux. Des retards inquiétants qui bloquent cette frange de la population algérienne à l’aéroport du prince Mohamed ben Abdelaziz sis à Médine. C’est le ras-le-bol notamment en l’absence d’initiatives parvenant d’Air Algérie. Une situation qui porte préjudice à l’image de l’entreprise. Jusqu’à vendredi, 10 vols ont été annulés. Des réunions d’urgence ont eu lieu afin de suivre les derniers rebondissements de cette «affaire». Les jours s’égrènent et le nombre des vols annulés est en augmentation. Cette situation, on ne peut plus alarmante, a fait réagir le ministre du Hadj, le docteur Fouad El Farissi qui a pris contact avec des responsables algériens. La Omra, le Hadj, la période estivale...Air Algérie n’arrive pas à sortir la tête de l’eau. Malgré les assurances de son P-DG qui a promis monts et merveilles aux voyageurs, beaucoup reste à faire au sein de cette compagnie. Ce n’est pas un secret, Air Algérie traverse une mauvaise passe. Il y a quelques jours, le président de l’Assosciation nationale des techniciens de l’aéronautique (Anta) Lemnouar Azzoug, a été suspendu de son poste, selon notre confrère El Watan. Son seul tort, selon le même journal, est d’avoir alerté le ministre des Transports en mai dernier sur certaines défaillances techniques au sein de la compagnie. Il y a quelques jours, l’Union européenne a averti la compagnie, en lui accordant un délai jusqu’au 5 novembre prochain, pour se conformer à toutes les réglementations en vigueur sur la sécurité, sans quoi elle sera interdite de vol dans l’espace aérien européen. Une information qui a été démentie par M.Bouabdellah.

Source l’Expression Fouad Irnatene

Le Pèlerin

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 10:58

Les représentations dureront jusqu’au 2 octobre prochain

cirque-Amar.jpg

 Les organisateurs ont voulu innover en transformant la scène en une piscine qui abritera des numéros typiquement italiens.

Le célébrissime cirque Amar ou Florilegio, c’est selon, vient de «jeter l’ancre» au stade du 20 Août 1955 dans la ville de Skikda, et ce après avoir effectué une longue tournée à travers la Turquie, la Syrie et le Liban.  Appartenant à la non moins célèbre famille Togni dont la renommée n’est plus à démontrer, le cirque italien offre un spéctacle d’une qualité aussi bien professionnelle que fantaisiste. Jeudi dernier a donc été donnée la première représentation du cirque lequel activera jusqu’au 2 octobre prochain. Rencontré sur les lieux, le directeur artistique, Steve Togni, a bien voulu nous parler du spectacle en déclarant: «Je tiens tout d’abord à vous dire que nous sommes très heureux de revenir ici en Algérie et particulièrement dans la wilaya de Skikda pour la troisième fois. Nous avons pour l’occasion innové l’ensemble de nos numéros et nous présenterons des spectacles inédits au public que nous espérons  nombreux.»

La nouveauté cette année consiste, entre autres, en l’installation d’une piscine ou plutôt la transformation de la scène en piscine. «Nous avons pensé donner un spectacle dans l’eau: genre Venise. Nous allons pour cela disposer 30 000 l d’eau dans la piste; ça va être une piscine avec une fontaine de 20 m de hauteur. Ce sera un spectacle typiquement italien», expliquera M. Togni. Des spectacles aussi fantaisistes qu’époustouflants seront, par ailleurs, présentés au public. Ainsi, il est  question de numéros de trapézistes et de clowns. Des animaux aussi impressionnants les uns que les autres tels les lions, crocodiles, tigres blancs, hippopotames et otaries, feront également leur show au grand bonheur des enfants mais aussi des adultes.

La seule fausse note du programme concerne cependant les tarifs des tickets d’entrée, lesquels ont été revus à la hausse, cette année, variant entre 500 à 800 DA la place. Seuls les enfants de moins d’un mètre bénéficient d’un accès gratuit. Le directeur artistique tiendra, néanmoins, à donner cette explication: «Nous sommes conscients que ces prix ne sont pas à la porté de tout le monde, surtout pour les familles nombreuses, mais nous avons été contraints de revoir nos prix à la hausse puisque cette année nos deux sponsors, Sonatrach et Sonelgaz, n’ont pas contribué à notre tournée; seul Hammoud Bouaâlem est resté fidèle. Nous avons entendu parler des problèmes que rencontre actuellement Sonatrach, mais il ne faut pas oublier que c’est une entreprise citoyenne et nous aurions sincèrement souhaité son soutien.»

C’est avec beaucoup d’émotion, mais surtout de passion, que Steve Togni poursuivra: «Vous savez, nous offrons un produit de qualité européenne et nous avons espéré l’offrir à des prix algériens parce que notre objectif est de toucher l’ensemble de la population, pas uniquement une catégorie distinguée parce que chaque enfant a le droit de partager ces moments qui seront ancrés dans sa mémoire à tout jamais.»Pour la petite histoire l’appellation cirque Ammar n’est pas anodine. Certes, le cirque Florilegio est de droit algérien, mais c’est surtout afin de rendre hommage au célèbre Ahmed Ben Amar qui, avec ses fils, a réussi à créer un des plus grands cirques d’Europe.

«Cirque Amar» est un nom qui fait écho dans la mémoire collective des Algériens. «Nous voulons renforcer la culture du cirque en Algérie, une dizaine d’algériens se produisent d’ailleurs avec nous et nous prévoyons de lancer des formations à leurs profit afin de garantir la continuité du métier», conclura le directeur artistique.             

Source El Watan Dadel Daoud

Le Pèlerin

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 23:59

Mazères: l’Hôtel d’Ardouin, un écrin pour les collections mérovingiennes

hotelardouin.gif

Bâti en 1580, à l’époque où l’or bleu faisait la fortune du pays de Cocogne, l’hôtel d’Ardouin alliant brique et pierre blanche, enchâssé dans son jardin renaissance, accueille aujourd’hui le musée du Vieux Mazères.

Classé monument historique en 1955, cette demeure a connu plusieurs vagues de restauration.

Réhabilitation de l'ensemble de la toiture, des façades, des jardins, mise en lumière du bâtiment et depuis peu l'aménagement des salles d'expositions sur les deux étages supérieurs en vue d'y installer les collections mérovingiennes du site de Bénazet qui a fait l’objet de plusieurs campagnes de fouilles.

Cette nécropole située sur la commune de Mazères en bordure de l’Hers a livré un matériel archéologique d’une richesse inouïe: du mobilier, des parures vestimentaires…

Si bien que Louis Marette, maire de la bastide médiévale a décidé de confier cette précieuse collection à la direction départementale de l’archéologie afin de la restaurer avant de l’exposer dans les nouvelles salles de l’hôtel d’Ardouin.

C’est à l’architecte toulousain Jacques Liberman que l’on doit l’aménagement des salles et à Nicolas Portet, spécialiste de cette période pour avoir dirigé les fouilles du site de Tabariane (près de Mirepoix), la muséographie.

Le coût des travaux de ce centre d’interprétation de l’époque mérovingienne s’élève à 340.000€ (avec la participation de l’État, l’Europe, le Conseil Régional, le Conseil Général et les autofinancements de la commune) sur une superficie de 225m2.

Les visiteurs devraient découvrir l’histoire de cette dynastie à la charnière de l’antiquité et du moyen-âge (486-751) au travers de vastes salles d’expositions, la mise en valeur du matériel archéologique, la reconstitution de sépultures, des outils pédagogiques (films, expositions, maquettes, bornes interactives)…

Le tout en respectant les normes de conservation permettant d’obtenir le label «musée de France»

Un projet valorisant le patrimoine et l’histoire du pays des Portes d’Ariège qui devrait ouvrir au public au début de la saison estivale 2009.  

Source Ariegenews

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 23:42

France – Sud-Ouest - Doit-on encore croire aux cèpes ?

cepe.jpg

 

Chez Terrassier, Annie Cousseran rêve d'une belle poussée de têtes de nègres, comme en 1998.

Capitale incontestée des cèpes dans le département, Vaïssac espérait une poussée en ce début d'automne. Seulement voilà ! Le basidiomycète qui a fait la renommée du village ces vingt dernières années n'en fait qu'à sa tête et a tendance à se faire rare, au grand dam du maire, Francis Delmas : « Ca fait quatre ans qu'il n'y a plus de marché aux cèpes à Vaïssac et c'est dommage, car Vaïssac a acquis une certaine notoriété grâce aux cèpes. Malheureusement, les conditions climatiques, très sèches en septembre ne sont pas favorables à la poussée des champignons. La météo nous annonce la pluie pour ce week-end, mais il faudrait qu'il tombe au moins 70 à 80 millimètres d'eau, et il faut au moins 12 à 15 jours pour qu'il y ait une poussée. Je me souviens d'un 15 août exceptionnel en 1998, ou après deux gros orages, il y avait eu une poussée extraordinaire de cèpes. C'est la nature qui commande » explique t-il. Chez Terrassier à Vaïssac, Annie Cousseran, qui en fait sa spécialité espère, elle aussi un bel orage qui ferait pousser le précieux tête-de-nègre, tant apprécié dans l'assiette : « Il s'en est ramassé quelques-unes au printemps, mais depuis quelques années, il faut vraiment les chercher. Il y a eu un peu de pluie sur Caussade et il n'est pas encore trop tard. » souligne t-elle. Amateur de chevaux et grand chercheur de champignons, Michel Delmas de Négrepelisse est lui plutôt pessimiste : « Au printemps il y a eu quelques girolles, mais actuellement, les bois sont très secs et il faudrait d'abord une pluie fine, suivie de beaucoup d'eau, au moins 100 millimètres. Et pour qu'il y ait des cèpes, il faut qu'il continue à faire chaud, car s'il fait froid, il n'y en aura pas. Les cèpes sortent tant que la terre est chaude. L'année dernière j'en ai trouvé jusqu'aux premières gelées » assure-t-il. Pas de pluie pas de cèpes, mais un bel orage pourrait rapidement changer la donne.

Source La Dépêche du Midi

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 23:39

Quand on donne des leçons à la Télé on se doit d’avoir une conduite exemplaire

jean-luc-delarue.jpg 

Certains pensaient que la réunion au sommet prévue à France Télévisions pour statuer sur l'avenir proche de Jean-Luc Delarue allait accoucher d'une décision clémente. Finalement, il n'en est rien puisqu'il a été suspendu d'antenne pour une durée certes "provisoire", mais néanmoins "indéterminée".

Dans une interview que le Président Rémy Pflimlin a accordé au quotidien La Voix Du Nord (daté du samedi 18 septembre), ce dernier a fait savoir que le journaliste était actuellement "dans une spirale qui ne correspond plus à ce que doit être un animateur de la télévision publique… […] Ce qui est arrivé à Jean-Luc Delarue en terme d'image, n'est pas conforme avec l'exemplarité que doit avoir le service public”.
Et M. Pflimlin de bien préciser le fond de sa pensée et celle de ses proches collaborateurs : "On ne peut pas avoir des pratiques addictives et délictueuses et être tous les jours à l'antenne, partager des émotions, donner des leçons aux gens". En revanche, le grand patron de la télé publique n'a pas fermé la porte à Jean-Luc Delarue, dont il a salué le professionalisme et avec qui il se dit prêt à discuter, le moment venu.

Source La Dépêche du Midi

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 23:39

Carla Bruni réagit en "femme de gauche"

La journaliste lui demandait si elle comprenait les réactions "hostiles" de ceux qui estiment qu'elle a "changé de camp" en épousant Nicolas Sarkozy. Oui, Carla Bruni-Sarkozy les comprend, elle l'a dit mercredi lors d'un entretien diffusé sur France Inter. "Je comprends absolument toutes les réactions et c'est en cela que je me sens une femme de gauche, dans la liberté que j'accorde aux autres. Je pensais que c'était cela la gauche".

L'interview a été enregistré au domicile parisien de la chanteuse, dont le troisième album, "Comme si de rien n'était", sortira vendredi. "Si les gens ne l'écoutent pas parce que j'ai épousé le président de la République, je le comprends, si les gens l'écoutent parce que j'ai épousé le président de la République, j'en suis ravie, et si les gens, surtout, l'aiment, c'est ce qui compte pour moi", affirme Carla Bruni.

"En tant que femme indépendante"

"On est en 2008 et bien souvent les femmes, même en se mariant et même avec quelqu'un qui a une fonction aussi importante que celle de mon mari, gardent leur métier", a-t-elle dit, en soulignant qu'elle défendait ce point de vue "pas en tant que femme du chef de l'Etat", mais "en tant que femme tout court, en tant que femme indépendante".

"La femme de Tony Blair, qui (...) est restée avocate tout au long du ministère de son mari au Royaume-Uni, m'a dit qu'il était mal vu pour elle aussi qu'elle soit restée avocate, qu'elle a tout de même plaidé tous les jours, qu'elle a tenu à garder son métier et que ça a été fondamental pour elle", a-t-elle ajouté. 

Source AFP

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 11:06

«Celui qui n’a pas sa nourriture ne détient pas la prise de décision.»

 agriculture

Cette vérité, oubliée ou omise malgré son importance plus que jamais d’actualité, a été rappelée hier par nos spécialistes. Ces derniers proposent trois stratégies pour aboutir à une autonomie alimentaire, seule à même de garantir une totale souveraineté.

Intervenant hier lors d’une conférence de presse consacrée à la sécurité alimentaire dans les pays arabes, le président de l'Union nationale des agronomes (UNA), Zane Yahia, a proposé trois stratégies à même de réaliser cet objectif dans les pays arabes. Il s'agit, en premier lieu, de promouvoir l'éducation. «Il faudrait orienter les populations vers d’autres régimes alimentaires, c'est-à-dire échanger notre régime alimentaire basé essentiellement sur la consommation des produits à base de céréales, par un autre régime basé sur la consommation d’autres denrées produites dans les pays arabes.» La deuxième stratégie consiste, selon, M Zane, à promouvoir la productivité, notamment agricole. «Sans le développement et la modernisation de notre agriculture, nous ne pourrons pas atteindre la sécurité alimentaire.» Dans ce contexte, tous les autres intervenants ont mis en exergue la nécessité d'investir dans l'agriculture, premier pilier de la sécurité alimentaire. La troisième stratégie dont a parlé M. Zane, concerne la nécessité de réduire l'exposition à la volatilité du marché par l'amélioration de l'efficience d'approvisionnement et par une utilisation plus efficace des instruments financiers et des couvertures de risques. Rappelons qu’en 2008 la quasi-totalité des pays arabes ont subi un choc alimentaire, suite à la flambée des prix des produits agricoles de large consommation sur le marché international, tels que la poudre de lait, les céréales, les huiles. Ce choc a rappelé à ces pays leur vulnérabilité face à la moindre crise alimentaire. Cette année-là, les experts ont constaté une hausse du taux de pauvreté au sein des populations, vu que les citoyens ne pouvaient plus faire face à la cherté de ces produits. Lors de son intervention, le président d'honneur de l'UNA, M. Seraï, a souligné l'importance de mettre en place des politiques agricoles sur des bases scientifiques, l'amélioration des qualités de semence afin d'avoir de meilleurs rendements, l’investissement dans le développement humain et la formation, le financement des travaux et des centres de recherches œuvrant dans le domaine agricole et, enfin, la réalisation de barrages pour l'irrigation des terres agricoles. Pour sa part, le représentant de l'ambassade du Soudan à Alger a mis en exergue la nécessité d'encourager la production des céréales et le développement du niveau général des échanges entre les pays arabes. «Celui qui n’a pas sa nourriture ne détient pas la prise de décision», a-t-il conclu.
Il faut savoir que 50% des produits que consomment les pays arabes sont importés. Ils sont dépendants de l’importation d’une multitude de produits agricoles, largement consommés dans ces pays, notamment les céréales sur lesquelles est basé le régime alimentaire des populations arabes. Cette dépendance s’accentue de plus en plus, vu la stagnation de l’agriculture dans ces contrées, en plus de l’explosion démographique qui caractérise ces pays.

Source Infosoir M.D

Le Pèlerin

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