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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 07:16

Algérie - Tourisme : les premiers fruits ?
algerie CAN 2010

«Cette qualification améliorera la destination Algérie ainsi que l'image de notre pays. L’Algérie a les capacités de redevenir un grand pays touristique», a déclaré récemment le premier responsable du secteur.
La qualification des Verts à la phase finale de la Coupe du monde est-elle en train de booster le tourisme dans notre pays ? L’on est tenté de le croire au vu des chiffres révélés récemment par les directions de tourisme de certaines wilayas du Sud. A Ghardaïa par exemple, 3 000 touristes étaient attendus pour les fêtes de fin d’année, a rapporté l’Agence presse services (APS) citant des sources officielles. De nombreux vols charters en provenance d'Europe ont été programmés afin d’acheminer ces touristes sur Ghardaïa et Timimoun, dans la wilaya d’Adrar, selon les mêmes sources. «La reprise est là. Elle est visible à travers l’affluence de touristes nationaux et étrangers que connaît la région durant les week-ends et périodes des fêtes», a déclaré, pour sa part, un professionnel du secteur. Même topo à Béchar où pas moins de 4 000 touristes étaient attendus, ont révélé des responsables locaux. Signe de cet afflux massif, «les hôtels de Béni-Abbès et Taghit affichent déjà complets pour les fêtes de fin d’année», ont-ils précisé. A Béni-Abbès par exemple, il n’y a pratiquement aucune chambre de libre pour la période allant du 20 décembre au 3 janvier prochains, ont relevé des professionnels du tourisme qui ont été contraints de se rabattre sur la formule «tourisme chez l’habitant» pour pouvoir satisfaire la forte demande qui s’est exprimée, ces derniers temps. Interrogé par des journalistes étrangers en marge de la 10e édition du Salon international du tourisme et des voyages (Sitev) qui s’est tenue récemment à Alger, sur l’impact que pourrait avoir la qualification des Verts au Mondial sur la relance du tourisme en Algérie, le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, Chérif Rahmani, a indiqué que l’Equipe nationale est l'ambassadrice de l'Algérie. Cette qualification «améliorera la destination Algérie ainsi que l'image de notre pays. L’Algérie a les capacités de redevenir un grand pays touristique», a-t-il poursuivi. Une chose est certaine en tout cas : le secteur du tourisme, qui a consacré un budget conséquent pour l’amélioration de l’image de l’Algérie à l’étranger à travers des campagnes publicitaires, vient de bénéficier d’un précieux coup de pub qu’il faudra rentabiliser au maximum.
Source Info soir K.L.
Le Pèlerin

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 06:17

L’hiver à Menaceur (Tipasa) : La bonbonne en attendant le gaz de ville
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Dans la wilaya de Tipasa, l’hiver, diront les habitants d’ici, s’est bien installé depuis maintenant un peu plus de deux semaines, poussant fatalement les familles, surtout celles résidant dans les montagnes, à faire face tant bien que mal à sa rigueur. Et si l’introduction du gaz de ville dans les zones urbaines de Tipasa a favorisé davantage l’utilisation des chauffages, ce n’est pas toujours le cas dans les autres localités qui dépendent toujours de la bonne vieille bonbonne de gaz butane. Boudali Mohamed, paysan, habitant le douar Iazabene, de la commune montagneuse de Menaceur. Son village est distant de 7 km du chef-lieu de la commune en partant vers Miliana. « Nous avons énormément souffert durant les rudes hivers du manque de gaz butane, surtout lorsque la route est impraticable. La seule solution qui s’offrait alors à nous était de ramasser du bois mort dans les maquis environnants »,  se rappelle-t-il. Et d’ajouter : «mais d’année en année il y a eu amélioration dans l’approvisionnement de notre village en gaz butane».
Il explique que les citoyens de Iazabene ont recours à deux méthodes pour combler leurs besoins en gaz butane. «Soit on achète la bonbonne dans les points de vente ouverts à Menaceur, soit on attend le passage des revendeurs qui nous la cèdent en moyenne à 240 DA l’unité au lieu de 200 DA son prix taxé», précise M. Boudali. Et comme le confirme un propriétaire de dépôt de gaz butane à Hadjout, aujourd’hui on ne peut plus parler de crise ou de pénurie. « De temps à autre on note des perturbations temporaires dans la distribution.
Dans le pire des cas elles ne dépassent pas quatre heures de temps. En outre, notre activité régresse d’année en année en termes de ventes. Je me souviens qu’avant, à pareille période, des chaînes humaines se formaient devant les portes de notre point de vente», affirme-t-il.  Dans les villes de Tipasa, les clients fidèles des dépôts de gaz sont inéluctablement ceux qui vivent ou plutôt qui survivent dans les bidonvilles. Ces familles aux conditions précaires dépendent intégralement des bonbonnes de gaz butane. « Nous sommes résignés ma famille et moi, à recourir à la bouteille de gaz butane», se résigne un habitant du bidonville du douar Si Lyes à Hadjout.
Pour éclaircir davantage la situation actuelle qui prévaut à Tipasa en matière d’approvisionnement en gaz butane, Annane Messaoud, le directeur de l’énergie et des mines de la wilaya, informe que le taux de branchement au réseau de gaz de ville à Tipasa atteint 38% au terme de l’année 2008. « A la fin de cette année, ce taux passera à 43%. Il nous restera donc 11 localités, situées notamment dans la partie ouest du territoire de la wilaya, à raccorder pour couvrir Tipasa en entier », dira-t-il. En attendant, la priorité pour la direction de l’énergie et des mines est de garantir une distribution optimale du gaz butane, notamment dans les zones déshéritées et les localités enclavées.
« A chaque début de campagne d’hiver qui débute pour nous de septembre et qui se prolonge jusqu’au mois de mars, on met en place dans chaque daïra de la wilaya une cellule de suivi dont la mission principale est de relever d’éventuelles carences en termes d’acheminement de gaz butane dans les différentes localités afin d’y remédier », indique-t-il. « En cas de coupure de route impraticable à cause des aléas du climat, on demande au fournisseur d’acheminer les bouteilles de gaz butane vers le chef-lieu des communes concernées », assure-t-il.
Source El Watan Amirouche Lebbal.
Le Pèlerin

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 00:45

Les stations proposent des sites aménagés et sécurisés.
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« La luge, c'est la première activité de glisse que l'on pratique, le premier contact avec la neige, avec les batailles de boule-de-neige. Enfants, avec mes deux frères, au début, on n'avait pas de luge. On se glissait dans des grands sacs plastiques pour dévaler les pentes de notre terrain. On était vite trempés. Ensuite, on utilisait des couvercles de poubelles. Plus tard, on a eu notre première luge, en bois ». Frédéric Faure, originaire de l'Ardèche et installé aujourd'hui à Tarbes, emmène désormais ses enfants goûter aux joies des premières descentes en luge dans les multiples champs de neige des Hautes-Pyrénées.
Saint-Lary, Peyragudes, Luz, Gavarnie, Val Louron, le Hautacam, possèdent, certes, des pistes de luges, à côté de leurs espaces débutants, mais cette activité ludique et familiale est plutôt la panacée des espaces nordiques.
Dès qu'il y a de la neige, à Payolle, le week-end, le pourcentage de luges au m2 est impressionnant. Les champs de neige ne manquent pourtant pas dans la station campanoise. Les lugeurs disposent de pistes vierges et préparées, à côté de la piste d'imitation au ski alpin. L'accès aux pistes de luges y est gratuit comme dans la plupart des stations. C'est le cas au pont d'Espagne où la piste de luge borde l'espace de ski alpin et le chalet du Clôt. Il faut toutefois acquitter le parking du pont d'Espagne (journée : 5 €).
L'espace nordique de Nistos propose deux stades de luge aménagés et préparés. L'accès est payant : adultes, 4 € et enfants, 3€.
Tapis-luge au Val d'azun
Mais la « Rolls » des pistes de luge, on la trouve au Val d'Azun, au col de Couraduque. La station a créé, il y a deux ans, un « Nordic park ». L'originalité de cet espace ludique. Il est desservi par une remontée. En l'occurrence un tapis roulant. Fini les remontées de pente harassantes avec le petit ou la petite, et des fois les deux, dans la luge. En plus à partir de 6 ans, il peut monter tout seul avec sa luge. Où ses skis de fond ou de piste. Car l'espace se compose d'une piste de luge et d'une piste de descente à skis pour les débutants. Le site est par ailleurs équipé de deux terrasses solarium avec tables pour pique-niquer. Certes, ce grand luxe a un prix. Le pass famille nordic park (2 adultes et 2 enfants) se monte à 16€. Il donne aussi accès aux pistes de raquettes de la station.
Portrait à Superbagnères, un randonneur d'exception - Olivier Cottereau : la montagne pas à pas
À 40 ans, papa d'un petit garçon de 13 mois, Olivier Cottereau est un homme heureux. « Après mes études, j'ai travaillé en tant que commercial, deux ans et demi. J'ai vite compris que cela ne m'allait pas, lâche-t-il dans un demi-sourire. Il me manquait de l'oxygène, des grands horizons. Alors j'ai décidé de revenir à Luchon et j'ai choisi de vivre de ma passion ». La randonnée, Olivier la pratique depuis tout petit. « Mon père était secouriste en montagne, chez les CRS. Nous en avons fait des ballades avec lui, mon frère et moi. À 7 ans, il m'a amené au Maupas, tranquillement, en plusieurs jours… Le rêve, pour un petit garçon ! » Aujourd'hui, Olivier cumule les brevets d'État et calque ses activités sur le rythme des saisons. L'hiver, il est moniteur de ski et organise des ballades en raquettes, sur le Luchonnais et en Espagne. L'été, ce sont les randonnées en montagne, le Vtt, l'arapaho. « C'est indispensable pour arriver à travailler sur une année complète, constate Olivier. Sinon, on ne peut pas s'en sortir. L'hiver, les gens font appel à nous pour pratiquer la montagne en toute sécurité, à cause des risques d'avalanches. Ils apprécient de sortir loin des sentiers battus, de découvrir une nature préservée. L'été, c'est plus du sport loisir, le plaisir de la descente ou l'envie de découvrir les canyons. » Olivier a monté une société avec son frère Thierry. À quelques minutes de partir vers Superbagnères en compagnie un comité d'entreprise avide de se dégourdir les jambes après une matinée de réunion, il avoue ne pas regretter son choix de vie. « Pas de bouchons, pas de transport, pas de pollution, on est heureux à Luchon».
Agenda
Le Père Noël sur les pistes de Bolquère-Pyrénées 2000. Le 24 décembre, les enfants se retrouvent pour partager une tradition de noël : le « Caga Tió » est une tradition ancestrale des Noëls d'antan catalans. La bûche recouverte d'une couverture est rossée de coups par les enfants pour libérer par magie mille et une friandises.
Infos et réservations : Office de Tourisme de Pyrénées 2000 avenue du Serrat de l'Ours.66210 Bolquère 04 68 30 12 42. Toutes les informations utiles sur le portail des Pyrénées : www.lespyrenees.net
Journées traîneaux en Ariège. Les jeudi 24 et vendredi 25 décembre sont organisées des journées « traîneau spécial du Père Noël » sur Angaka. Les enfants (et grands enfants) viendront remettre en mains propres leur liste au père Noël. Au cours d'un tour en traîneau, ils découvriront leur idole toute droite sortie du Grand Nord, dans son abri de neige.
Info et réservations. 05 61 01 75 60 . angaka@free.fr. Espace Nordique de Beille Les Cabannes. http://www.angaka.com
Adresses à retenir. Du snow en toute liberté grâce aux espaces réservées et protégés des stations pyrénéennes. Les surfeurs pratiquant le freestyle pourront s'en donner à cœur joie en enchaînant des figures et des sauts sur des parcours spécialement aménagées avec modules, bosses, obstacles,...Le tout en musique!
Les stations équipées d'un snowpark sont Gourette, Artouste, Cauterets, Domaine du Tourmalet (Barèges et La Mongie), Gavarnie-Gèdre, Luz-Ardiden, Piau-Engaly, Saint-Lary Soulan, Peyragudes, Luchon-Superbagnères, Guzet, Les Monts d'Olmes, Ax-3 Domaines, Puyvalador, Les Angles, Font-Romeu, Formiguères, Espace Cambre d'Aze, Cerdagne Puigmal, Porté-Puymorens…Course de ski de randonnée inscrite au calendrier national le 27 décembre ! Il s'agit comme son nom l'indique de parcourir 1000m de dénivelé sur l'Espace Cambre d'Aze en réalisant le meilleur temps. Organisée par le Club SMCC (Sport Montagne Cerdagne Capcir) affilié à la Fédération Française de Montagne et d'Escalade, cette course se déroulera pour la deuxième fois et est inscrite au calendrier national.
Le Cambre d'Aze est le seul endroit où on peut mesurer 1000 m de dénivelé positif. La course se fera sur 3568 m de distance et 29% de pente, en présence de chronométreurs et d'arbitres officiels.
Le départ est prévu de l'espace débutant à Saint Pierre dels Forcats. Inscriptions à partir de 7h30 ouvert aux licenciés. Départ de la course à 09h30.
Inscriptions site internet du Club SMCC: http://www.smcc-ffme.frRenseignements : +33 (0)4 68 04 61 60 + 33 (0)4 68 04 61 60 http://www.cambre-d-aze.com/fra/evenements.html 
Un manège des neiges au Hautacam
La mountain luge du Hautacam, c'est une petite « montagne russe » au cœur des Pyrénées. Ce manège des neiges, unique sur la chaîne des Pyrénées a été installé en décembre 2007. Il s'inscrit dans la politique de diversification des activités de loisirs de la station du Hautacam. Elle offre 700 m de descente avec des virages relevés, des bosses. La mountain luge se pratique seul ou à deux. Les enfants de 3 à 7 ans doivent être obligatoirement accompagnés par un adulte. En période de vacances scolaires, la mountain luge fonctionne de 11 heures à 17 heures. Tarifs : gratuit pour les 3-7 ans. 1 descente : 3 €; 5 descentes : 12 €; 10 descentes : 23 €; 20 descentes : 42€.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 00:17

Algérie - Lakhdar Brahimi à partir de Polytech: “Les diplômés algériens ont raison de rejoindre l’étranger”
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Etudiants sans espoir en Algérie

La présence de Lakhdar Brahimi, en fin d’après-midi de lundi passé, à l’École nationale polytechnique d’Alger, n’est pas passée inaperçue. Il était présent sur les lieux pour participer à la cérémonie organisée à la mémoire du défunt professeur Abdelaziz Ouabdessalam, mort le 25 octobre dernier. Son intervention a été suivie avec beaucoup d’attention par l’assistance. Après avoir rendu hommage à son ancien professeur, l’ex-ministre des Affaires étrangères (1991-1992), aujourd’hui âgé de 74 ans (le 1er janvier, il en aura 75) s’est “penché” sur le système universitaire du pays. “Tout à l’heure, j’ai entendu certains dire qu’ils regrettaient que les diplômés partent à l’étranger, eh bien qu’ils aillent”, commencera-t-il, en abordant le sujet sur un ton plus au moins sévère. Il continua en lançant “tant qu’on ne peut pas leur assurer ce qu’il faut ici alors ils ont raison de rejoindre l’étranger (…) C’est de la responsabilité du pays et de la société de leur procurer le nécessaire”.
Visiblement, l’ex-représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, en avait gros sur le cœur. Il essaya ainsi de donner son point de vue en faisant un parallèle avec l’Inde. “En 1983, les ambassadeurs indiens de par le monde n’avaient même pas de fax pour envoyer des documents à leur ministère des Affaires étrangères et ils étaient obligés d’aller à la poste. À la même époque, l’Algérie avait pourtant le CERI (Centre d'études et de recherche en informatique, devenu depuis l’INI, Institut national d’informatique, ndlr)”, et rappellera que l’ex-colonie britannique a commencé à développer le secteur informatique dès que Rajiv Ghandi est devenu Premier ministre (d’octobre 1984 à décembre 1989). Connaissant bien les pays de ce continent, Lakhdar Brahimi a également prédit que les prochains prix Nobel seront en majorité des asiatiques.
Toutefois, le diplomate algérien reste optimiste “ni l’Inde ni la Chine n’ont les ressources humaines et naturelles que l’Algérie possède (…) Plus de 20 ans après, nous pouvons faire ce qu’ils ont réalisé, c’est à notre portée”, en y ajoutant une condition “si nous multiplions des centres d’excellence comme celui dans lequel on se retrouve”. La présence de Lakhdar Brahimi est venue auréoler la cérémonie qu’ont organisée conjointement les enseignants de Polytech et les membres de l’ADEP (Association des diplômés de l’École polytechnique). À ses côtés, il y avait beaucoup d’autres personnalités ayant connu le défunt professeur Ouabdessalam.
Parmi eux, on pouvait distinguer l’ancien directeur du programme intergouvernemental d'informatique de l'Unesco, le professeur Youcef Mentalecheta, et surtout le propre fils de l’ancien directeur de l’école, Farid Ouabdesselam, président de l'université Joseph-Fourier de Grenoble (France). Il faut aussi préciser que l’hommage rendu à l’une des plus grandes figures scientifiques du pays, a été, comme a tenu à nous l’affirmer un membre de l’ADEP, une occasion pour confirmer la réconciliation de la famille des polytechniciens qui vit depuis près d’une année beaucoup de turbulences.
Source liberté Salim Koudil
Le Pèlerin

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 00:08

Humour - . Les avantages du lifting
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Une vieille dame très coquette raconte à sa meilleure amie :
- Je me suis fait effacer les rides en ayant recours à la chirurgie esthétique. 
- Ah bon, et qu'est-ce qu'ils t'ont fait ?
- On m'a tendu la peau du visage au maximum. Depuis, c'est incroyable, je n'ai plus mal au dos!
- Quel est le rapport ?
- Facile à deviner : maintenant ma peau est tellement tirée que, pour remonter mes bas, il me suffit de lever les sourcils...
Le Pèlerin

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 08:50

Rencontre secrète pour sauver la terre d'un astéroïde
Insolite. Scientifiques russes.
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Des scientifiques russes vont se rencontrer prochainement au cours d'une réunion à huis clos. Objectif : empêcher qu'un astéroïde géant s'écrase sur la planète Terre dans 26 ans. C'est l'annonce faite hier par le directeur de l'Agence spatiale russe, Anatoli Perminov. « Mieux vaut dépenser quelques millions de dollars pour créer un système permettant de prévenir une collision que d'attendre qu'elle se produise en entraînant la mort de milliers de personnes », a-t-il ajouté, sans entrer dans les détails.
Si l'astéroïde Apophis, d'un diamètre d'environ 350 mètres, heurtait la Terre au cours de son passage attendu vers 2036, la collision créerait un nouveau désert de la taille de la France, selon l'agence de presse russe RIA Novosti.
De son côté, l'Agence spatiale américaine (NASA) avait indiqué en octobre que selon de nouveaux calculs, la probabilité d'une collision entre l'astéroïde et la Terre en 2036 s'était réduite de manière significative.
Toujours selon RIA Novosti, l'astéroïde pourrait passer à 30 000 kilomètres de la Terre en 2029 (soit plus près) que certains satellites géostationnaires) et pourrait entrer en collision avec la planète bleue sept ans plus tard.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 08:36

Lettre à tous les lecteurs
11-mars-2007--25-.jpg 
Votre Serviteur

Voici une décennie qui s’achève.
Cette décennie aura connu bien des péripéties avec alternance du bien et du moins bien.
Le blog se porte bien, mais c’est de plus en plus difficile à gérer et je passe de nombreuses heures tous les jours devant mon écran pour vous faire partager mes coups de cœurs, mes informations mes blagues et bien d’autres choses encore
J’apprécierais avoir un peu plus d’idées de votre part…..Des morceaux de blogs, voire quelques idées intéressantes afin de vous faire des blogs à la demande…Enfin la balle est dans votre camp…
Le blog totalise plus 1 250 000 visiteurs, plus de 3 200 000 pages lues et vos commentaires me sont d’un grand réconfort
A l’aube de la nouvelle année 2010  je vous présente à tous mes lecteurs abonnés ou non tous mes vœux de bonheur, santé, joie et convivialité.
Le bien être de tous passe aussi par une participation active de chacun afin d’aller vers l’autre …Le Pèlerin

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 07:53

Votre Serviteur Vends à Encausse les Thermes, terrain plat en

bordure de route à 300 mètres d'un rivière à truites le Job


Entre Encausse et Lespiteau (à 1800 m du village)
Eau électricité en bordure du terrain
Superficie 5750 m2 environ
Prix demandé ....à débattre
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Le Pèlerin

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 01:00

Humour – Amour et Désespoir
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La fille est désespérée. Elle pleure. Elle a rompu avec son copain et perdu son emploi. La vie n'a plus de sens pour elle. Elle veut se suicider.
Un gars approche.
-Faut pas pleurer. Tu es jeune. Il peut t'arriver plein de belles choses.
- Comme quoi?
- Tu pourrais faire de beaux voyages. Découvrir le monde.
- Ouais, mais je suis seule. Je n'ai pas d'argent.
- Ben viens avec moi. Je vais t'emmener en Amérique.
- Comment?
- Tu montes dans le bateau. Je te cache. On ne paie pas et je vais te nourrir tous les jours.
- Et on va découvrir le monde?
- Promis.
La nuit, elle monte sur le bateau et se cache dans une pièce inutilisée.
Pendant plusieurs semaines, il lui apporte de la nourriture tous les jours et, chaque fois, ils font l'amour comme des enragés en parlant des pays qu'ils vont visiter.
Un jour, dans une ronde, le commandant découvre la passagère clandestine.
- Qu'est-ce que tu fais là?
- Ben mon copain me nourrit et nous faisons l'amour tous les jours en attendant d'arriver en Amérique
- En Amérique? Ça va être long, tu es sur la navette du port de Marseille!
Le Pèlerin

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 00:10

Algérie – Economie - On a reculé, mais on n’a pas mieux sauté !
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Cinq ans, 2005/2009, c’est l’espace temps du plan de relance lancé par l’Algérie. Coût de l’opération : 200 milliards de dollars. 2010/2014. Lancement d’un nouveau dispositif à hauteur de 150 autres milliards de dollars. Ceci, pour les moyens. L’Algérie a les moyens de sa politique… financière. Chez ces gens-là, on ne communique pas ! Mais, sur le plan de la réflexion, avions-nous réalisé un bilan tout à fait objectif, soumis à un débat contradictoire, dépassionné à même de corriger les effets pervers du précédent plan ? Un plan qui aura permis à une minorité d’accumuler des richesses mal acquises et à la majorité du peuple de s’appauvrir davantage. Les résultats sur le plan socioéconomique sont là. On n’a qu’à regarder autour de nous.
Dans la rue bien sûr, théâtre de la vraie vie. Une vie dominée par la misère, où les fléaux en tout genre se conjuguent au pluriel. Nous sommes-nous posés, dans les salons cossus de la capitale, la question de savoir si l’on est dans la bonne voie ?  Peut-être bien que oui ! Peut-être bien que non ! On ne le sait pas et on ne le saura jamais. Chez ces gens-là, on ne communique pas !  Mais, ce qu’ils semblent ignorer, c’est que toute action impliquant le pays entier ne devra sa réussite que si le peuple est associé. Sans quoi, toute initiative digne de ce nom est vouée à l’échec. Le monde d’aujourd’hui, de 2010, a changé. C’est l’ère de la communication où tout est soumis à débat, où l’on ne dicte plus rien. Faudra bien commencer un jour à inclure les Algériens dans les grandes décisions qui concernent leur pays.
Tiens ! Puisque nous sommes à la veille d’une nouvelle année, période rêvée pour faire de nouvelles résolutions. Enfin, c’est juste une idée, comme une autre... Ils peuvent toujours essayer. Même si je ne crois plus au père Noël.
Alger n’est pas l’Algérie
Le plan de relance concerne des projets répartis sur pratiquement l’ensemble du territoire national. Tous ces projets auront certainement un effet de mouvement susceptible d’entraîner d’autres investissements et impacts massifs au niveau régional.
D’où la nécessité absolue d’impliquer en amont et en aval la société civile au même titre que les partenaires économiques. Un plan de relance, de par l’importance de ses missions, apportera des bouleversements profonds en tous points de vue. Tout s’en trouvera chamboulé.
Nouveaux schémas urbanistiques, nouvelles constructions et architectures, des modes de déplacement et de locomotion inédits pour la région et beaucoup de désagréments et nuisances à subir des années durant. Les citoyens seront directement et durement perturbés dans leurs vieilles et tranquilles habitudes. Aussi, pour mieux leur voler leur quiétude, eux qui n’ont rien demandé à personne, on se doit de monter un véritable plan de communication.
Une stratégie en mesure de répondre à leurs préoccupations spécifiques, de les convaincre du bien-fondé de l’action, de les sensibiliser et enfin les mobiliser autour de ce qui devrait permettre à leur région de prospérer.
Après tout, une route, par exemple, ne peut se réaliser sur des terres privées, occupées ou en exploitation agricole que si ses propres possesseurs sont totalement acquis au concept. Alors pourquoi ne peut-on pas en faire des alliés... Le défi d’un plan de relance se gagne sur le terrain.
La relance par la consommation
Parmi les outils d’un plan de relance, il y a la relance par la consommation. La politique de relance par la consommation consiste à distribuer du pouvoir d’achat aux ménages afin qu’ils accroissent leurs dépenses de consommation. L’idée est que les entreprises chercheront à satisfaire une demande plus importante en accroissant leur offre et en relançant leurs propres investissements. Cette tendance à augmenter la consommation, et non l’épargne, deviendrait possible si le plan de relance soutenait le pouvoir d’achat des ménages de manière conséquente. De façon à dépasser les paliers de l’inflation toujours supérieurs aux insignifiantes augmentations salariales consenties par l’État. En fait, l’une des bases même du principe de relance s’en trouve faussé au départ.
La relance par l’investissement
La relance par l’investissement consiste à augmenter les investissements publics de l’État, des entreprises publiques et des collectivités locales (routes, écoles, recherche, infrastructures ferroviaires ou énergétiques, économie d’énergie, services publics, logement social...).
Elle peut également consister en un soutien financier apporté aux investissements des entreprises). 200 000 nouvelles PME attendues, avec la création de 3 millions d’emplois. La dernière loi de finances complémentaire 2009 et la loi de finances 2010 y ont été élaborées dans ce sens.
Dans notre situation, le gouvernement considère que la relance par l’investissement est plus efficace que la relance par la consommation.
Il mise sur le fait qu’une telle politique va favoriser les capacités de production, la modernisation et la compétitivité de l’économie et des entreprises, tout en entraînant une croissance de l’emploi. En Algérie, le contenu en importations (c’est-à-dire la quantité de biens et de services importés pour satisfaire la demande intérieure) est très élevé. On importe beaucoup et on n’exporte presque rien, en dehors des hydrocarbures.
Investissement public
Dans, “investissement public”, il y a public. Pourquoi alors faire comme s’il n’existait pas ? Tout le monde peut constater à la ville nouvelle de Sidi-Abdallah (notamment à Mahelma et Rahmania), l’absence totale de communication et le mépris affiché par l’agence des villes nouvelles (ANSA) vis-à-vis des habitants de ces, jadis, paisibles localités où toute activité économique est aujourd’hui inexistante. Plus personne ne peut plus désormais prétendre au moindre projet de construction ou d’aménagement de sa propre demeure acquise en toute légalité.  Plus personne ne plus exploiter le moindre lopin de terre agricole. Une véritable frustration pour tous ces fellahs de la première heure. Et cela dure depuis près de vingt ans. Voilà ce que signifie pour certains responsables zélés la notion de plan de relance économique.
liberterabahlarbi3c@hotmail.com
Source Liberté Rabah Larbi
Le Pèlerin

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