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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 23:38

La bombe anale, nouvelle arme d'Al-Qaida

Terrorisme - Un nouveau type d'attentat suicide inquiète les services de sécurité intérieure à travers le monde...

                                                         Devinez où ?

La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), le nouveau service antiterroriste français, et l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), sont sur les dents après qu’un nouveau type d’attentat suicide a vu le jour en Arabie Saoudite, indique Le Figaro daté de lundi.

Le 28 août dernier, Abul Khair, recherché pour son appartenance à Al-Qaida dans la péninsule Arabique (Aqap), se présente au palais du prince Mohammed ben Nayef, qui dirige la lutte antiterroriste en Arabie Saoudite. Abul Khair prétend être un repenti et demande à voir le prince. Lorsque ce dernier le reçoit, l'homme se fait exploser, mais rate sa cible. Mohammed ben Nayef s’en sort avec une grosse frayeur et quelques égratignures.

Une méthode calquée sur celle des mules

Originalité de cet attentat suicide: le terroriste ne portait pas de ceinture d’explosifs, mais les avait cachés dans son fondement. Il a ainsi pu passer la sécurité, qui lui a laissé son téléphone portable, et a même patienté pendant une trentaine d’heures avant de rencontrer le prince Mohammed ben Nayef. L’attentat a par la suite été officiellement revendiqué par l’Aqap.

Quant à savoir si l'homme avait avalé l'explosif ou l'avait introduit par voie basse, «il n'y a pas de certitude sur le mode opératoire», selon les milieux antiterroristes français. Cette façon de faire passer un engin explosif, calquée sur les «mules» qui transportent de la drogue, inquiète autorités, compagnies aériennes, et sécurité aéroportuaire à travers le Globe.

Une bombe dissimulée à l’intérieur du corps du terroriste est en effet «indétectable», à moins d’utiliser des rayons X, comme l’a confirmé à 20minutes.fr ADP (Aéroports de Paris). La DCRI et l’Uclat cherchent un moyen de prévenir de telles attaques. Une note a été transmise aux différents services de police et de gendarmerie français, les appelant à «la vigilance» sur cette éventualité, même s'il «n'existe pas de méthode infaillible pour détecter les explosifs».

Source 20minutes.fr Anne Kerloc’h

Le Pèlerin

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 23:17

Abdelziz Bouteflika boude la France à cause du Maroc

Initialement prévu pour l'automne 2009, la visite d'État du président algérien Abdelaziz Bouteflika à de nouveau était reporté.

En effet, d'après une source diplomatique française, la visite du président algérien ne devrait pas avoir lieu avant le premier semestre 2010. La raison officiel de ce report, dont le nouveau président à vie, nous a habitué, serait l'absence de sujet à l'ordre du jour et le manque de confiance dans les relations bilatérale, du moins du point de vue algérien.

Ainsi donc depuis quelques mois les relations entre ces deux pays se sont brutalement dégradé. Dernier problème en date, la bavure, ou le meurtre selon certains, des moines de Tibéhirine, dont Paris accuse l'armée algérienne.

Mais officieusement, c'est bien le problème du Maroc, et en particulier, le Sahara marocain qui fait office de grain de sable entre les deux pays. L'Algérie ne digérant pas l'appui de la France au projet d'autonomie élargie que le Maroc propose pour résoudre ce conflit vieux de 34 ans, et dont la communauté internationale s'est félicité en la qualifiant de sérieuse et crédible.

Illustration de cet engagement en faveur du Maroc : le 30 avril dernier, la France avait bloqué une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU proposant l'élargissement du mandat du contingent des casques bleus au Sahara occidental (Minurso) à la surveillance des droits de l'homme au Sahara marocain. Résolution proposé par le Polisario mais bel et bien commandité par l'Algérie.

Mais la seconde raison probable à ne pas négliger, est aussi la visite d'État annoncée par des sources diplomatiques du ministère français des Affaires étrangères, du roi du Maroc SM Mohamed 6 en France, et ce, très probablement dans le courant du mois d'octobre, soit quelques semaines avant la visite prévus initialement du président Bouteflika.

Ce qui serait une raison plus que valable pour ce dernier de reporter une énième fois sa visite officielle. En effet, dans un pays comme l'Algérie ou la fierté et l'orgueil démesuré, réelle ou simulé, occupe une place de choix dans la sphère politique, le président aux 3 mandats, se doit de ne pas donner l'impression de passer en second dans l'ordre d'importance des relations franco-maghrébine.

L'Algérie ayant toujours voulu se donner l'image de leader au Maghreb, pour des raisons aussi bien de politique intérieures qu'international. C'est d'ailleurs une des raisons de l'appui de ce dernier au Polisario.
En effet, la création d'un état fantoche sous perfusion et à la solde d'Alger au sud du Maroc, lui aurais donner certes une position géostratégique de choix.

Le résultat aurait était d'encercler la monarchie, et ainsi l'étouffer politiquement et économiquement en le coupant du reste de l'Afrique, mais aussi d'avoir un accès a l'Atlantique qui lui aurait permis d'exporter de nombreuses richesses minières du sud-ouest du Sahara algérien, et inexploitable actuellement à cause des couts logistique que cela engendrerais en le faisant évacuer par le nord et la méditerranée.

En conclusion, l'on ne peut qu'être étonné de constater a quel point Alger fait une fixation sur son voisin de l'ouest, au point même de gérer son agenda présidentielle en fonction de celui du roi du Maroc.

Source Continental News

Le Pèlerin

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 10:20

Le leader mondial des appareils régionaux a dévoilé à Toulouse la nouvelle version dans sa gamme : l'ATR 600.

Le nouvel ATR série 600 est facturé 21,3 millions de dollars prix catalogue contre 20,5 millions pour la version 500.

C'est devant un parterre d'industriels et de personnalités que l'avionneur ATR a présenté à Toulouse jeudi dernier son dernier né : l'ATR 600 à l'occasion d'un vol inaugural. Déclinés en 42 et 72 places, ces deux appareils sont une version améliorée par rapport à la série 500. Nouveaux moteurs, cabine intérieure redessinée, nouvelle avionique dans le cockpit… c'est un lifting en profondeur qu'a subi l'avion régional franco-italien.

Une cure de jouvence qui a déjà séduit sept compagnies aériennes qui ont passé commande de 59 exemplaires. La certification de ces nouveaux avions nécessitera 150 heures de vol d'essai pour la version 72 places et 75 heures pour la version 42 sièges.

Moins gourmand en carburant

Les premiers exemplaires entreront en service en 2011. La Royal Air Maroc devrait être le premier client livré. Grâce aux nouveaux moteurs et à plus de matériaux composites embarqués à bord (20 % au lieu de 18 %) la consommation par passager tombe de 2,8 litres/100 km à 2,4 litres. Moins gourmands, les moteurs n'en demeurent pas moins plus puissants de 5 % permettant de voler 300 mètres plus haut et d'améliorer les performances par temps chaud. Cette version modernisée a pour but de maintenir sa position de leader mondial de l'aviation régionale devant son rival canadien Bombardier. Depuis le début de l'année, ATR a engrangé 28 commandes. « Nous augmenterons ce chiffre d'ici la fin de l'année » rajoute Stéphane Mayer, le PDG d'ATR. En 2008, l'avionneur avait réussi à rafler 42 commandes. Le point haut avait été atteint en 2007 quand, porté par la flambée du pétrole, ATR avait moissonné 113 commandes. La crise rend aujourd'hui plus difficile le financement des avions et provoque des annulations (lire ci-contre).

Airbus - Un ATR de 90 places à l'étude

Avez-vous enregistré des annulations depuis le début de l'année ?

Quand nous avons fait le point en juin dernier, nous avons dénombré 22 annulations soit 10 % de notre carnet de commandes. Des clients demandent encore des reports de livraisons. Nous espérons qu'ils ne se transformeront pas en annulations. Nous avons livré 55 appareils en 2008. Pour 2009, nous serons à plus de 50 exemplaires. Mais 2010 s'annonce plus difficile pour le secteur en général. Toutefois nous tablons toujours sur un besoin de 2 900 avions d'ici 20 ans.

Réfléchissez-vous à un nouveau modèle d'ATR ?

Nous regardons toujours vers l'avenir. C'est vrai qu'un turbopropulseur de 90 places est une demande qui revient souvent de la part de nos clients. L'horizon pour un nouvel avion se situe aux alentours de 2015.

Source la Dépêche du Midi

Le Pèlerin

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 09:16

Le décret exécutif a été promulgué hier au JO : 6.000 dinars pour les jeunes chômeurs

La nouvelle sera accueillie avec une grande joie par des centaines de milliers de jeunes chômeurs algériens.
La nouvelle sera accueillie avec une grande joie par des centaines de milliers de jeunes chômeurs algériens. Le gouvernement vient d’instaurer un nouveau dispositif d’aide à l’insertion sociale «des jeunes sans revenus, en situation de précarité sociale, notamment ceux issus des déperditions scolaires».

Une indemnité mensuel le de 6.000 dinars sera versée aux jeunes chômeurs âgés entre 18 et 40 ans pour une durée d’insertion fixée à une année renouvelable une seule fois. Le décret exécutif n° 09-305 du 20 Ramadhan 1430, correspondant au 10 septembre 2009 relatif au dispositif d’activité d’insertion Sociale, paru hier au Journal Officiel et émargé par le Premier ministre Ahmed Ouyahia, fixe, avec amples détails, les dispositions générales de ce nouveau dispositif. Le décret exécutif élaboré suite à l’examen des résultats du rapport du ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger sur la situation des couches les plus défavorisées, se fixe comme objectif d’aider à l’insertion sociale des jeunes sans revenus, en situation de précarité sociale. Le gouvernement espère également, à travers ce nouveau dispositif, garantir «une valorisation d’actions pour le développement d’intérêt local, notamment dans les communes et domaines peu couverts ou exploités de manière insuffisante ainsi que la lutte contre la pauvreté et la marginalisation».

Il s’agit, en réalité d’un dispositif d’aide à l’insertion professionnelle bis (DAIP). «Le dispositif concerne les domaines d’activités d’utilités publique et sociale, notamment la protection de l’environnement, les activités relatives au patrimoine matériel, à l’agriculture, l’artisanat, le tourisme, la culture, les services, l’encouragement du savoir-faire et le développement d’activités d’intérêt local ainsi que l’entretien des établissements sociaux et médico-sociaux, l’aide et l’accompagnement des personnes âgées et l’aide à domicile en direction des personnes handicapées». Les jeunes bénéficiaires seront «placées auprès des organismes d’accueil suivants: collectivités locales, administrations publiques, entreprises publiques et privées, établissements et institutions intervenant dans le domaine social et des services, artisans, associations, coopératives agricoles». Dans son article 4, le décret stipule que «les personnes insérées dans le dispositif bénéficient des prestations d’assurance sociale en matière de maladie, de maternité et d’accidents du travail et de maladies professionnelles conformément à la législation et la réglementation en vigueur». Des commissions de wilaya seront mises en place dans les prochaines semaines et auront pour mission d’étudier et de se prononcer sur l’éligibilité des bénéficiaires au dispositif et de la sélection des organismes d’accueil, dénommée ci-après «commissions de sélection». Les jeunes chômeurs, qui veulent bénéficier de ce nouveau dispositif, doivent s’inscrire auprès des services de la direction de l’action sociale de wilaya (DAS). Ils pourront bénéficier d’une formation compatible avec les tâches qui leur sont confiées, au sein de l’organisme d’accueil ou dans un établissement de formation professionnelle. Un contrat sera établi entre le bénéficiaire, l’organisme d’accueil, la direction de l’action sociale de wilaya et l’agence de développement social. Les relations entre l’organisme d’accueil et la direction de l’action sociale de wilaya sont régies par convention dont le modèle-type est fixé par arrêté du ministre chargé de la Solidarité nationale.

L’agence de développement social sera chargée de la gestion et du contrôle du dispositif en partenariat avec la direction de l’action sociale de wilaya. L’article 20 du décret exécutif précise que «l’organisme d’accueil est tenu de réunir les conditions adéquates pour l’insertion sociale des bénéficiaires, d’accompagner et d’encadrer les bénéficiaires durant la période d’insertion sociale, d’aviser, en cas de rupture unilatérale du contrat, la direction de l’action sociale de wilaya, l’agence de développement social et le bénéficiaire dans un délai d’un mois avant la date de résiliation du contrat». Le financement de ce nouveau dispositif sera pris en charge par le budget du ministère chargé de la Solidarité nationale. «Les dotations financières allouées au dispositif sont gérées par l’agence de développement social», signale-t-on dans l’article 24.

Source le financier

Le Pèlerin

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 23:55

Les experts estiment à 400 milliards d'euros, l'équivalent d'une centaine de centrales nucléaires de nouvelle génération.
 

le montant des investissements nécessaires sur une période de quarante ans. À elles seules, les méga-installations solaires coûteraient quelque 350 milliards d'euros. Le reste serait utilisé pour construire un réseau haute tension reliant l'Afrique au continent européen, afin de transporter l'énergie produite. Selon les prévisions, les premiers foyers allemands doivent être approvisionnés en électricité africaine d'ici à dix ans. Les initiateurs du projet estiment qu'ils pourraient être en mesure de produire 15 % de l'énergie consommée en Europe d'ici à quinze ans.
L'assureur bavarois Munich Re confirmait, mardi, avoir distribué les invitations pour une réunion de lancement du projet le 13 juillet à Munich. Parmi les entreprises fondatrices du consortium, Deutsche Bank, E.ON, RWE et Siemens ont d'ores et déjà confirmé leur participation. Plusieurs ministères allemands, des responsables de la Commission européenne et du Club de Rome participeront à la réunion de lancement.
Risques politiques
«Nous voulons lancer cette initiative, afin de pouvoir poser sur la table des plans concrets d'ici deux à trois ans, a expliqué Torsten Jeworrek, président du conseil de surveillance de Munich Re à la Süddeutsche Zeitung. Nous sommes très optimistes quant à la participation de l'Italie et de l'Espagne. Nous avons aussi reçu des signaux encourageants d'Afrique du Nord.» Il doute d'une éventuelle participation française, car «la France continue de miser très fort sur l'énergie nucléaire».
Les représentants de Siemens sont enthousiastes. «Desertec est un projet visionnaire et très excitant. Une surface de 300 kilomètres sur 300 kilomètres dans le Sahara, équipée de miroirs paraboliques suffirait pour couvrir les besoins en énergie de la planète entière», explique-t-on chez Siemens.
Torsten Jeworrek juge qu'«à long terme le réchauffement climatique est un problème plus inquiétant que la crise financière». D'après lui, le coût pesant sur les compagnies d'assurances lié aux catastrophes naturelles provoquées par le réchauffement climatique augmente de 3 à 4 % par an et deviendra insupportable à terme. En 2008, l'indemnisation de ces catastrophes a coûté 200 milliards de dollars aux assureurs.
Solarworld, numéro un allemand de l'énergie solaire, reste sceptique quant à l'issue d'un tel projet. «Si l'on construit des centrales solaires dans des pays aux régimes politiques instables, estime son patron Frank Asbeck, on entrera dans le même système de dépendance qu'avec le pétrole.»
Source: Le Figaro
Le Pèlerin

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 23:51

Humour – Amour quand tu nous tiens…!!!

Un couple à la dérive va consulter un conseiller matrimonial. Le sexologue dit:

- Alors, résumez-moi votre problème. Je vous écoute.

À ce moment-là, la femme part dans une longue diatribe sur tous les petits problèmes de leur mariage, pendant que le mec tire la gueule dans son coin, sans broncher.

Comme la femme enfile des kilomètres de phrases sans presque reprendre sa respiration, le conseiller se lève, attrape la femme par les épaules et lui roule une longue pelle de cinéma, avant de la reposer sur sa chaise, interdite et silencieuse. Puis le sexologue dit au mari :

Voilà ce qu'il faut faire. Deux fois par semaine et vous aurez la paix !

Le mari lui répond:

C'est d'accord. Je pourrais vous l'amener le mardi et le jeudi...

Le Pèlerin

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 23:28
Revivez la splendeur de ce magnifique oiseau qu'est l'A380
Cliquez sur le lien ci-dessous pour actionner une vidéo qui vous fera frémir
http://www.gillesvidal.com/rue89/airbusA380.htm
Source Airbus
Le Pèlerin
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 23:01

Aude - Pyrénées - Nature et Emotions fortes

L’Aude est un paradis de verdure où chante une rivière... point de départ de toutes les équi­pées. C'est le lieu où terre et eau convergent pour donner à tous les amoureux des activités de nature les sensations les plus fortes, pour combler leurs envies d'évasion. Nichée au bord de l'Aude, fleuve au cours capricieux, la cité de Quillan exprime cette double appartenance à l'eau et à la terre. La ville est entourée des montagnes du piémont pyrénéen qui s'élèvent progressivement de 600 à 1500 mètres et plus. Le terrain d'aventure est là. Les randonneurs viennent sur le territoire "Aude en Pyrénées" pour découvrir les 190 kilomètres de sentiers de randonnée. Pour ceux qui marchent comme pour ceux qui pédalent, la nature offre un décor en perpétuel chan­gement; vallées, collines, plateaux, falaises rocheuses s'enchaînent pour des paysages différents grimpant vers le ciel, ou s'alanguissant en bordure des cours d'eau... La montagne proche offre des possibilités de balades selon le niveau de chacun, en direction des sommets, mais aussi des itinéraires tous azimuts, soigneusement plani­fiés par des topo-guides, ouvrant vers des horizons mul­tiples. .. Les plus appréciés sont les sentiers à thèmes : "Le labyrinthe vert" de Nébias vous invite dans son dédale de rochers moussus et son sentier nature unique, le sentier des dinosaures vous transporte au pays de ces géants, s'arrête au chantier de fouilles et se termine par la visite du musée d'Espéraza, le "sentier des oliviers, Roc de Capio" aux senteurs méditerranéennes s'élève au-dessus de Ginoles. La beauté des paysages qui s'offrent au détour d'un sentier, parfois au bout de la route, est à couper le souffle. De nombreuses curiosités du Pays Cathare sont à découvrir : sites naturels (gorges, sources, lacs, forêts), villages de montagne, flore et faune...
Une Terre nature au cœur du Pays Cathare riche de surprises
Révélation des activités de nature, le VÎT est adapté au terrain accidenté du secteur et permet de parcourir autrement le territoire en empruntant les boucles du site VTT FFC. Certains itinéraires sportifs seront l'occasion du dépassement de soi alors que d'autres raviront toute la famille. Dans la vallée, les routes sinueuses des circuits "cyclo"rattraperont les méandres de l'Aude et ses eaux argentées où résonnent les échos des activités eau vive.
Plusieurs bases étalées depuis les gorges de Saint Georges jusqu'aux tumultueuses gorges de la Pierre Lys proposent une mosaïque d'activités sur les 12 kilomètres de descente : rafting, canyoning, nage en eau vive, canoë et kayak, selon l'humeur du courant.
La roche et l'eau se mélangent dans un décor grandiose où les pêcheurs taquinent la truite et l'ombre commun pendant que les grimpeurs escaladent les parois verticales des gorges de la Pierre Lys.
Plus d’informations
Office de Tourisme Intercommunal "Aude en Pyrénées"
Square André Tricoire BP 8 - 11500 Quillan .
Tel 00 33 (0)4 68 20 07 78 - Fax 00 33 (0)4 68 20 04 91
tourisme.quillan@wanadoo.fr
www.aude-en-pyrenees.fr
Le Pèlerin

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 08:38

Ariège Pyrénées - Où sont passés les cèpes?

À la campagne, les feuilles commencent à roussir, les châtaignes avancent les pointes de leurs bogues, la buée nappe les vitres : les petits matins sentent l'automne, alors que l'été se poursuit dans l'après-midi. Et les voitures envahissent les chemins creux… N'y manque que les cèpes ! Pleuvra, pleuvra pas ? Faute d'eau, les précieux bolets se font attendre. Jusqu'à quand ?

« La météo a prévu la pluie pour le mois de décembre ! » s'exclame en riant Robert Rouanet. L'auteur d'un guide des champignons du Tarn et de Midi-Pyrénées lâche le verdict d'un spécialiste : « S'il n'y a pas d'eau, il n'y a pas de champignons ». Le mycologue ariégeois Nicolas de Munnik « Le champignon a besoin de stress » va dans le même sens : « La mycologie n'est pas une science exacte. Mais par empirisme, on a pu constater que les champignons sortent plus volontiers après la pluie. Et là, nous en sommes à plusieurs mois d'une sécheresse tenace ! »

Consolation : le réchauffement

Et cela se confirme sur le terrain. Jean-François est aujourd'hui retraité mais tout au long de sa vie professionnelle, il a pris ses vacances en septembre pour aller traquer le bolet dans ses chers Monts de Lacaune. « Cette année, pas un seul ! Je suis allé dans un endroit (il ne dira pas où !) que l'on appelle « l'usine à cèpes ». Rien du tout ! Les paysans du coin sont désemparés et malheureux… »

« On ne trouve rien, dans le Tarn assure Robert Rouanet, à part au bord des étangs et des ruisseaux, dans les zones naturellement humides… » Mais il ne s'agit pas forcément de cèpes, mais de champignons plus mystérieux, dont l'amateur non éclairé doit se méfier !

« C'est très dur », soupire Odette, une Aveyronnaise experte qui d'ordinaire, recrute 50 kg de cèpes à chaque sortie. « Les abords de Rodez, ce n'est même pas la peine. On commence à en trouver quelques lactaires délicieux à Brameloup ou en Lozère. Pour les girolles, c'est très pénible, parce qu'elles se cachent sous les feuilles. »

Morale : il faut attendre une grosse pluie et laisser faire la nature (« Et la lune nouvelle ! » rajoute Odette) avant de prendre le panier. On peut aussi se consoler en songeant que le réchauffement climatique devrait provoquer plus de précipitations dans les zones tempérées. Les champignons bénéficieront alors des meilleures conditions pour prospérer. Auteur de guides réputés, le biologiste Hervé Chaumeton remarque déjà : « Ce qu'on appelle les années à champignons sont plus nombreuses qu'avant, et cela ira en augmentant dans les années futures. » Ouf ! Les usines à cèpes ne sont pas près d'être délocalisées.

Nicolas de Munnik « Le champignon a besoin de stress »

Spécialiste des champignons, Nicolas de Munnik habite en Ariège.

Pourquoi est-ce que les champignons ne poussent pas ?

Nicolas de Munnik : Ce que nous appelons le champignon est en quelque sorte le « fruit » d'un ensemble plus complexe. Le mycélium est dans le sol, c'est un système racinaire complexe, et ce sont ses fruits qui émergent. C'est un peu comme si, pour un pommier, on ne voyait que les pommes apparaître à la surface de la terre.

DDD : Comment sortent-ils ?

Il faut une série de stress pour que le champignon fructifie. Il faut d'abord qu'il ait fait chaud et sec, c'est le choc hydrique. Ensuite un petit coup de froid est nécessaire, c'est le choc thermique. Et enfin, il faut de l'eau, et là vraiment beaucoup d'eau, une grosse pluie battante et pas simplement une petite ondée délicate. Certains même pensent que la grêle, c'est encore mieux pour les champignons, sans doute parce que cela signifie un gros orage : ce sont ces fortes précipitations qui vont déclencher la poussée.

DDD : Combien de temps faut-il attendre alors ?

L'expression « pousser comme un champignon » est parfois exagérée. Il faut dix à vingt jours pour que le champignon se forme, sauf les trois derniers jours, où il se gonfle d'eau et d'air. C'est pour cela que les cèpes jeunes sont plus durs et les plus vieux spongieux.

En cuisine: patience et imagination

En plein été indien, pour patienter en cuisine, on a tellement envie de champignon qu'on a vu des cuisinières faire sauter des aubergines, parfumées en fin de cuisson d'un hachis d'ail et de persil. Ce parfum!

Cèpes, serrano et cerfeuil

Plusieurs centaines de kilos de cèpes sont arrivés la semaine dernière aux Halles du Sud-ouest, le marché de gros de Toulouse. Leur provenance est lointaine, mais on désespère d'avoir les cèpes du pays… Toujours au marché-gare, Yannick Roux, le cuisinier du restaurant le Karo, les guette : « C'est un produit assez cher, on le prépare donc en privilégiant son authenticité », prévient-il. Sa fricassée : les chapeaux et les queues bien séparés sont coupés en gros dés de 3 à 4cm et poêlés rapidement dans l'huile d'arachide. Egouttés pendant une nuit, il en réserve l'huile et le jus de cuisson. Le lendemain, au moment du repas, il les fait sauter au beurre avec des cerneaux de noix, de l'échalote, des copeaux de jambon serrano et du cerfeuil. Authentique, astucieux et délicieux ! Quant au jus qui aura pris au réfrigérateur, on peut le récupérer avec de la crème pour accompagner un rôti de veau.

Autre amoureux du cèpe, le chef de Rodez Jean-Luc Fau aime les préparer pour lui comme son grand-père l'aimait: doucement et longuement cuit au four, à l'huile et à l'ail.

Si l'envie de cèpes est trop forte, fouillez congélateur (1) et placards, vous y trouverez peut-être les champignons de l'an dernier (qui n'était pourtant pas une grande année), derrière une petite conserve de foie gras… Transformez vos trouvailles en idée de fête : un chausson de cèpes au foie gras. Faites revenir les cèpes à la poêle, parsemez d'ail et persil à la fin. Dérouler une pâte feuilletée ronde, déposez-y les cèpes sur une moitié, surmontez de cubes de foie gras et refermez la pâte en chausson. Dorez à l'œuf battu et enfournez une vingtaine de minutes. Les parfums que ce plat dégage sont ceux des bois d'automne, quand ils regorgent de cèpes…

1. Il y a deux options pour congeler les cèpes. Soit on les y place crus, bien brossés, soit on les précuit au préalable: coupés en morceaux, passés à la poêle, et arrêtés à mi-cuisson, on les laisse ra refroidir avant de les congeler. Ainsi ils conserveront leur fermeté.

En cuisine: patience et imagination

En plein été indien, pour patienter en cuisine, on a tellement envie de champignon qu'on a vu des cuisinières faire sauter des aubergines, parfumées en fin de cuisson d'un hachis d'ail et de persil. Ce parfum!

Cèpes, serrano et cerfeuil

Plusieurs centaines de kilos de cèpes sont arrivés la semaine dernière aux Halles du Sud-ouest, le marché de gros de Toulouse. Leur provenance est lointaine, mais on désespère d'avoir les cèpes du pays… Toujours au marché-gare, Yannick Roux, le cuisinier du restaurant le Karo, les guette : « C'est un produit assez cher, on le prépare donc en privilégiant son authenticité », prévient-il. Sa fricassée : les chapeaux et les queues bien séparés sont coupés en gros dés de 3 à 4cm et poêlés rapidement dans l'huile d'arachide. Egouttés pendant une nuit, il en réserve l'huile et le jus de cuisson. Le lendemain, au moment du repas, il les fait sauter au beurre avec des cerneaux de noix, de l'échalote, des copeaux de jambon serrano et du cerfeuil. Authentique, astucieux et délicieux ! Quant au jus qui aura pris au réfrigérateur, on peut le récupérer avec de la crème pour accompagner un rôti de veau.

Autre amoureux du cèpe, le chef de Rodez Jean-Luc Fau aime les préparer pour lui comme son grand-père l'aimait: doucement et longuement cuit au four, à l'huile et à l'ail.

Si l'envie de cèpes est trop forte, fouillez congélateur (1) et placards, vous y trouverez peut-être les champignons de l'an dernier (qui n'était pourtant pas une grande année), derrière une petite conserve de foie gras… Transformez vos trouvailles en idée de fête : un chausson de cèpes au foie gras. Faites revenir les cèpes à la poêle, parsemez d'ail et persil à la fin. Dérouler une pâte feuilletée ronde, déposez-y les cèpes sur une moitié, surmontez de cubes de foie gras et refermez la pâte en chausson. Dorez à l'œuf battu et enfournez une vingtaine de minutes. Les parfums que ce plat dégage sont ceux des bois d'automne, quand ils regorgent de cèpes…

  1. Il y a deux options pour congeler les cèpes. Soit on les y place crus, bien brossés, soit on les précuit au préalable: coupés en morceaux, passés à la poêle, et arrêtés à mi-cuisson, on les laisse ra refroidir avant de les congeler. Ainsi ils conserveront leur fermeté.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 08:26

Toulouse - Les sex-shops en berne

Commerce. En centre ville, l'activité subit la crise de plein fouet avec un chiffre d'affaire en chute libre.
Ces enseignes déstockent et bradent leurs articles pour s'en sortir.

 

«Ma boutique ne périclite pas encore, elle survit », lance dans un sourire amer Jérémy Farouz, patron du Beso, love shop ouvert il y a un an rue Denfert. Une façon pour ce jeune chef d'entreprise de dire que le sexe ne rapporte plus comme avant : « J'ai été à deux doigts de fermer, poursuit-il mais la boutique est viable, alors j'arrive à garder la tête hors de l'eau ».

Sans crier gare, la crise a touché de plie fouet le marché du sexe. Le quartier Belfort, considéré comme l'endroit « chaud » de Toulouse, avec son quadrillage de rues émaillées de sex-shops et de boutiques X, vivote : « Ici, les gens ne passent pas par hasard, reprend Jérémy Farouz. Ils sont tous là pour la même chose. Sauf que depuis un an, ils viennent moins ».

En traversant la rue, on pousse la porte de la Boîte à Film : « Depuis le début de l'année, la fréquentation a beaucoup chuté, remarque Thierry Malvoisin, le responsable. Les clients, dont les pères de famille et les retraités se font plus rares ». Ici, on loue des DVD hard et on peut aussi visionner des projections en cabines : « C'est la prestation la moins chère. Avec un jeton à 7 €, on peut mater quarante minutes. On s'en tire grâce à cela ».

déculpabiliser

« La baisse du chiffre d'affaire a démarré il y a quatre, cinq ans avec le téléchargement de films sur Internet, poursuit Thierry Malvoisin. Regarder du sexe derrière un écran déculpabilise le public au même titre que les grandes surfaces en périphérie où l'on vient désormais presque en famille ». Si la Boîte à Films a survécu, ce n'est pas le cas de plusieurs autres enseignes de la rue Denfert. Fermées depuis des mois. « Toulouse n'a plus la priorité de ce genre de magasin. Albi, Auch ont désormais leurs boutiques. La ville rose ne récupère donc plus cette clientèle ». Au magasin Story X, rue Héliot, les choses ne vont guère mieux : « Internet massacre les prix, note le gérant. Le chiffre d'affaire a chuté de 15 % à 20 % depuis l'an passé ». Le responsable tente de trouver des raisons à cette chute vertigineuse : « Nous sommes trop concentrés sur le quartier, pas moins de huit magasins sur une surface réduite ».

À Star X, précurseur dans ce domaine sur la ville, on brade à tour de bras : « Le sexe reste un loisir, note Daniel, employé. En période de crise, ce n'est plus prioritaire. On fait des petits prix : 5€, 8 €, ça nous garantit une marge ». En 2007, ce magasin réalisait entre 300€ et 500€ de chiffre d'affaire. Cette année, la moyenne se situe entre 30€ et 80 €. Enfin l'interdiction en 2007 par un décret de François Fillon, du Poppers - un vasolidilateur à base de nitrite d'amyle utilisé en médecine pour certaines maladies cardiaques - a contribué à pénaliser les sex-shops. « Ce produit détourné et utilisé comme une drogue euphorisante, s'est retrouvé sur les étalages des sex-shops sous forme de petits flacons à respirer à pleins poumons », explique un professionnel. Son retour il y a deux mois sur les comptoirs devrait à nouveau doper le chiffre d'affaire des boutiques du sexe.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

 

 

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