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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 23:35
Algérie - Il reste beaucoup à faire pour
une exploitation optimale de nos richesses patrimoniales
Un mois pour le patrimoine et des attentes
18 avril-18 mai : c’est le Mois du patrimoine en Algérie. Durant cette période, le patrimoine sera présenté à toutes les sauces et sous toutes ses formes tangibles et intangibles. Il en est du Mois du patrimoine comme du mois de ramadhan : les institutions culturelles officielles se réservent pour l’élaboration des programmes devant meubler ce mois. Il n’y aura que l’embarras du choix. On parlera, dissertera et présentera tout ce qui a été fait, ce qui le sera et ce qui devrait l’être pour les richesses et sites patrimoniaux algériens. En somme, on fera les bilans, en faisant cependant ressortir le «positif» par rapport au «négatif». Il est vrai que beaucoup a été fait pour le patrimoine, matériel et immatériel. Tout au long de l’année, l’Algérie a enregistré une foule d’actions visant la préservation, la prise en charge, la promotion et l’exploitation de nos richesses patrimoniales. Le lancement de différents chantiers, la concrétisation de nombreux projets, la réalisation d’une multitude d’opérations et l’organisation de plusieurs rencontres et manifestations ont illustré l’intérêt avéré que le ministère de la Culture et ses partenaires accordent au patrimoine. Des journées d’étude sur les ksour et le patrimoine immatériel à Béchar, qui ont bénéficié d’une enveloppe financière de six millions de dinars, se sont intéressées aux technologies de restauration des ksour, aux arts populaires et aux manuscrits et bibliothèques familiales. Le même souci pour la préservation du manuscrit s’est manifesté à Relizane où des spécialistes ont appelé à la revalorisation et la préservation de cet héritage et à redoubler d’efforts pour accélérer la sauvegarde de ces documents. A Tamanrasset, une opération d’inventaire a rassemblé plus de 300 manuscrits se trouvant au niveau des zaouïas ou chez des particuliers, et l’inventoriage se poursuit dans toute la région de l’Ahaggar. A Oran, c’est la restauration de Sidi El Houari qui bénéficie d’une attention prometteuse. Mais ce chantier est titanesque, et les quelques associations démunies militant pour la sauvegarde de ce patrimoine ne peuvent le prendre en charge, ni les autorités locales qui n’ont pas les moyens, techniques, humains et financiers, d’y faire face. Quant aux autorités publiques, elles ont déjà trop de chantiers, tout aussi importants sur les bras, pour pouvoir se consacrer entièrement à ce quartier. La commune d’Oran a cependant trouvé la parade en faisant appel à l’aide «extérieure». L’Union européenne, dans le cadre du programme de coopération euro-méditerranéen «Archimed», accordera une aide financière et une assistance technique pour la réalisation du projet de réhabilitation architecturale du quartier de Sidi El Houari. Ce ne sont pas toutes les communes et wilayas du pays qui peuvent cependant trouver cette aide «extérieure».   Elles sont donc obligées de s’en remettre au ministère de la Culture auquel parviennent des SOS qui viennent d’un peu partout. De la wilaya d’El Tarf, dans l’est du pays, quelque 132 stations préhistoriques, 71 sites archéologiques datant des périodes punique, romaine, turque et précoloniale et des cités qui ne sont pas encore datées, attendent qu’on s’en occupe. Ces sites découverts en 2006 par une équipe de chercheurs algériens et italiens qui ont mis au jour des artefacts préhistoriques, 36 fermes abritant 85 huileries composées de 255 éléments monolithiques, cinq tombes préhistoriques et deux autres romaines portant des inscriptions funéraires ainsi que quatre sarcophages creusés dans la roche, doivent être étudiés et ont besoin d’être protégés et mis en valeur. Or, c’est là un chantier qu’une direction de la culture ne peut, à elle seule, prendre en charge. Dans la wilaya de Oum El Bouaghi, les communes de Sigus et de Amirya voient les sites romains, byzantins et dolmens, qui ne sont pas même clôturés, exposés au vandalisme. Les pilleurs, à la recherche de pièces de monnaie anciennes en bronze et en or, y font des ravages et ont détruit un grand nombre de jarres en terre cuite. Et ce ne sont là que quelques exemples des «négatifs» que les associations et les différents acteurs engagés dans la défense du patrimoine signalent. Mais ils sont suffisamment éloquents et disent non seulement l’ampleur de la tâche, mais surtout, considérant justement cette ampleur, la nécessité d’unir tous les efforts, de réunir toutes les potentialités et de mettre à contribution toutes les opportunités pour réduire au maximum le «négatif» au bénéfice du «positif». Le Mois du patrimoine devra aussi susciter la réflexion et la prospection pour trouver ces solutions et aides afin que notre patrimoine devienne une véritable richesse, culturelle et économique.  
Source Horizons
 
Le Pèlerin
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10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 23:31

Le peuple français est-il "ouvert" ?



Cette excellent étude parue dans le quotidien économique les Echos du 19 avril montre que cela varie d'une région à un autre .....

La-France-et-son-sens-de-l-ouverture.jpg

Les bretons seraient plus ouvert que les lorrains .....quelle credibilité donner à ce genres d'enquêtes...

Le Pèlerin

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10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 23:27
La circulation du sang

La Maîtresse était en train de donner une leçon, à propos de la circulation du sang.
Essayant de mettre la situation plus claire, elle dit :
- Maintenant, si je me tenais sur la tête, le sang, comme vous le savez, circulerait à l'intérieur et ferait tourner ma figure au rouge.

- Oui, répondit la classe.

- Mais pourquoi alors, lorsque je me tiens debout, en position normale, le sang ne circule-t-il pas dans mes pieds?

Un jeune garçon lui répondit :
- Parce que vos pieds ne sont pas vides?
 
Le Pèlerin
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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 23:47
C,est pas facile de bien vieillir !

À un certain âge , il est facile de confondre.........
C'est un vieux couple encore très heureux. Ils ont tous les deux 84 ans.
Le mari meurt soudainement d'une crise cardiaque.
Leur fille accourt vers sa mère pour la consoler, et celle-ci lui confie :
Ton père est mort en faisant l'amour, le pauvre....
Mais qu'avez vous pensé à votre âge de continuer à faire de telles folies?
Tu sais ma fille, c'était devenu une habitude, et nous y allions bien lentement.
Tous les dimanches matin, on suivait le rythme des cloches de la messe de sept heures.
À Ding, c`était l'entrée et à Dong, c'était la sortie. On ne se fatiguait pas trop, tu sais, et c'était notre petit bonheur pour la journée et nous mettre en train pour la semaine...
Si ça n'avait pas été de ce camion de crème glacée avec son Gueding Guedang Gueding Guedang de fou, Ton père serait sûrement encore en vie...
De la part d’une Correspondante
 
Le Pèlerin
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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 23:19
Cours officiel de la devise :
L’euro franchit de nouveau la barre de 100 dinars



La monnaie unique européenne continue de s’apprécier sur le marché international des changes entraînant, dans la foulée, une hausse des cours sur le marché algérien des devises, qu’il soit officiel ou officieux. Alors qu’il y a à peine quelques mois le taux de changes officiel de l’euro était plus haut que celui pratiqué sur le marché parallèle, les cours sont actuellement plutôt presque au même niveau, avec un très léger avantage pour l’officiel.
En effet, une semaine après avoir atteint la barre symbolique de 100 dinars à la vente sur le marché parallèle, l’euro a de nouveau réalisé cette performance mais, cette fois, sur les cotations officielles de la Banque d’Algérie. La dernière cotation datée de dimanche 29 avril 2007 établissait le cours de la devise européenne à 100,19 dinars à la vente et 94,40 à l’achat.
C’est la première fois depuis plusieurs mois que le cours officiel franchit la barre de 100 dinars pour un euro. Une progression qui s’est faite doucement mais sûrement puisque les cours sont passés de 99,16 dinars à la vente mercredi dernier à 99,96 dinars en début de cette semaine pour se fixer à 100,19 dinars dimanche, soit une augmentation de 1,03 % en l’espace d’une semaine.
Les cours à l’achat n’ont, quant à eux, progressé que de 0,97 % durant cette même période qui a vu le marché parallèle se déprécier de près de 5 %, puisqu’un euro s’échangeait hier chez les cambistes officieux à 100 dinars à la vente, contre 105 il y a une semaine.
A l’achat, les cours parallèles ont également connu une légère baisse de 1 % sur le marché parallèle avec 1 euro pour 99 dinars hier, contre 1 euro pour 100 la semaine écoulée. La tendance au resserrement de l’écart entre le cours officiel et officieux de la devise européenne se poursuit après avoir été amorcée il y a déjà plusieurs mois.
Aujourd’hui, l’écart est de moins de 0,2 %, alors que la cotation officielle de la Banque d’Algérie était, l’été dernier, d’un niveau supérieur jusqu’à 4,5 % à celui des cambistes du marché parallèle. Une situation qui n’est pas pour déplaire aux responsables du secteur des finances qui comptaient justement sur cette tendance pour encourager l’ouverture de bureaux de change du moment que le marché parallèle n’offre plus de marges aussi importantes par rapport au marché officiel.
Cette envolée de la devise européenne en Algérie a été impulsée par son évolution sur le marché international où elle a atteint, hier, le niveau historique de 1,3680 dollar après avoir franchi la veille 1,3616 dollar pour la première fois depuis la fin du mois de décembre 2004.
Les choses pourraient même aller plus loin puisque les analystes estiment qu’il pourrait atteindre 1,38 dollar d’ici à trois mois, ce qui ne manquera pas de se répercuter sur l’Algérie. Une hausse des cours bénéficierait aux cambistes officieux même s’ils souffrent depuis quelques semaines d’une faiblesse de l’offre par rapport à la demande.
Cependant, cette situation risque de porter préjudice aux entreprises algériennes qui effectuent la plus grande partie de leurs importations dans la zone euro. C’est d’ailleurs face aux craintes de ces fluctuations internationales que les opérateurs économiques nationaux n’ont cessé de réclamer la mise en place d’un marché des changes à terme où les devises s´échangeront pour un montant et à un cours déterminé pour une livraison à une date future et prédéterminée.
Ce marché permettrait aux entreprises importatrices, de matières premières notamment, de connaître d´avance le coût de leur approvisionnement et parer, ainsi, aux aléas des marchés internationaux.
Source le Jeune Indépendant
Le Pèlerin
 
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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 23:07
A Toulouse, trions pour la planète
 
Quelques mois après une grande campagne sur la propreté des rues, axée sur le problème des déjections canines et soutenue par le film d'animation "La pluie" (... de crottes), la ville de Toulouse remet le couvert. Cette fois-ci, la campagne vise à sensibiliser les Toulousains aux enjeux du tri sélectif. La mairie a fait appel aux mêmes concepteurs de l’agence Légendes et aux réalisateurs toulousains d’Imako-Tat spécialistes du cinéma d’animation pour concevoir « Le combat » sur le tri sélectif, diffusé à la télévision, au cinéma et sur Internet. Ce second film met en scène la même mère de famille et son bébé, dans une rue toulousaine. Confrontée à un monstre d’ordures ménagères, elle entreprend de le combattre, armée d’un parapluie, et vient à bout des déchets en les triant. Une manière décalée pour montrer que le tri, c’est facile et rapide.
Par ailleurs, le guide propreté a été actualisé avant d’être réédité. Il rappelle tous les bons gestes de l’éco-Toulousain, le fonctionnement de la collecte des déchets ménagers, le tri sélectif, et la gestion de tous les types de déchets. Il est disponible à l’accueil du Capitole, dans les mairies de quartiers et en téléchargement sur le site de la ville.
Toulouse plus écologique, c’est vraiment à nous tous de le décider !
 
Source Jeudimaire
 
Le Pèlerin.
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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 23:04

Qu'est-ce  qu'un  " Pied-Noir " ?

 

 

 

Quand la France a colonisé l'Afrique du Nord: l'Algérie depuis 1830 et ensuite la Tunisie et le Maroc, les habitants appelés ou surnommés Pied-Noir" par les autochtones étaient des immigrants volontaires et (/ou) involontaires venus d'Europe : France, Corse, Espagne, Italie, Sicile, Malte, Grèce, Crète, ...

 

Ils n'étaient pas  musulmans mais chrétiens (Catholiques ou Protestants) pour la majorité.

 

A l'heure de la décolonisation, un " Pied-Noir "est un descendant, né en Afrique Française du Nord, de ces immigrants Européens ou un descendant de l'ethnie juive Sepharade d'immigration antérieure.

 

Un " Pied-Noir "peut être de n'importe quelle classe sociale : dans une très large majorité, il n'est pas un "Gros Colon" capitaliste qui a fait "suer le burnous", un "suceur du sang du peuple autochtone" ou un "tortionnaire sanguinaire".

 

Les Métropolitains qui continuent de croire que tous les "Pieds-Noirs" sont des "racistes invétérés" ont sûrement moins fréquenté les Arabes que les "Pieds-Noirs" : ils n'ont pas joué aux mêmes jeux depuis la plus tendre enfance, n'ont pas fréquenté les mêmes bancs de l'Ecole Publique ou Privée, n'ont pas mangé à la même table, n'ont pas dormi près d'eux (dans le même dortoir) dans leur adolescence, ne les ont pas côtoyé au cours du service militaire puis dans le cadre professionnel de leur vie d'adulte…

 

Arrêtons de faire croire que, dans les colonies,  les Indigènes travaillaient surveillés par des Colons Européens qui les exploitaient.

 

N'oublions pas que la Colonisation est l'œuvre de l'Etat Français (Royaume, Empire ou République) qui a défini sa politique à Paris avec l'approbation des Représentants élus du Peuple Français.

 

Finissons de culpabiliser les "Pieds Noirs" : ils ne sont pas responsables des drames humains engendrés par les erreurs des gouvernements successifs.

 

Nous les "Pieds-Noirs" et nos frères "Français-Musulmans" n'avons nous été juste bons qu'à mourir pour notre patrie la France au cours des guerres de 1870, 1914-1918, 1939-1945, Indochine, Afrique Française du Nord ? Non ! Non et Non !

 

Nous tous revendiquons à être reconnus comme des "FRANÇAIS A PART ENTIERE" autant que les Alsaciens, les Lorrains, les Bretons, … et non pas comme des "FRANÇAIS ENTIEREMENT A PART".

 

Source l’Internaute

 

Le Pèlerin

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8 mai 2007 2 08 /05 /mai /2007 23:52
Que faire en cas de morsure de serpent ?
Vous pensez qu’il faut aspirer le venin avec la bouche pour éviter qu’il se propage dans le corps ? Faux ! C’est une idée reçue. Au cas où, vérifiez que vous connaissez les bons gestes
Les vacances sont propices aux balades en pleine nature. Et qui dit nature, dit insectes et reptiles… Rassurez-vous cependant, la France est loin d'être un pays risqué.
Le seul serpent venimeux que vous pouvez croiser, c'est la vipère. Sa morsure est identifiable par deux petits points, souvent entourés d'une auréole rouge. Heureusement la vipère n'est pas toujours agressive et injecte son venin seulement une fois sur deux. En plus sur les 2000 à 3000 morsures par an, seules 2 ou 3 sont mortelles, cela reste donc exceptionnel. Les vipères sont présentes le plus souvent dans le sud et dans les montagnes.
Si vous ne les brusquez pas, elles vous laisseront tranquille. Par contre, évitez de soulever des pierres ou de mettre les mains dans des troncs d'arbre.
Comment les reconnaître ? Elles mesurent 50 à 60 cm de long, ont une tête triangulaire caractéristique, et sont de couleur brune ou grise avec un dessin dorsal noir en zigzag.
Quels sont les bons gestes à retenir ?
» Si une personne se fait mordre, allongez-la rapidement et inclinez le membre touché vers le sol, ainsi le venin se diffuse moins rapidement.
» Appelez les secours d'urgence. Au cas où ce ne serait pas possible, allez directement aux urgences les plus proches, en prenant soin de déplacer la victime avec calme et délicatesse pour qu'elle bouge le moins possible.
» Rassurez-la. Toutes les morsures ne sont pas dangereuses, et le venin n'est pas toujours injecté. Par ailleurs, même si le serpent a injecté son venin, celui-ci met plusieurs heures pour se diffuser dans tout le corps. Donc pas d'affolement.
» Retirez les bagues et bracelets qui pourraient gêner la circulation du sang.
» En attendant, et selon les moyens dont vous disposez, vous pouvez nettoyer la plaie à l'eau et au savon pour désinfecter. Ensuite, faites un petit bandage, non serré. Et pour atténuer la douleur et éviter les gonflements, appliquez si possible de la glace.
A ne pas faire en cas de morsure :
» Ne vous prenez pas pour un super aventurier en voulant aspirer héroïquement le venin de la victime. N'inciser pas non plus pour faire "sortir" le venin. Enfin, n'injectez pas vous-même un sérum anti venimeux. Même si c'est une bonne idée que de vouloir éviter la diffusion du venin dans l'organisme, ces gestes sont dangereux pour la victime et pour vous-même lorsqu'ils sont mal faits. Par exemple, il suffit que vous présentiez la moindre petite plaie dans la bouche (c'est très fréquent et pas forcément visible) pour que du venin passe également dans votre corps. Et là vous ne pourrez plus aider la victime !
» Ne faites pas de garrot. Si vous bloquez la circulation du sang, un œdème va se former, et la peau ne sera plus oxygénée correctement.
» N'appliquez pas d'alcool ou d'éther sur la plaie car cela favorise la diffusion du venin.
» Pas de "remontant". Ne donnez pas du thé, du café ou encore de l'alcool à la victime car cela aura pour effet d'augmenter les battements du cœur et par conséquent de favoriser la diffusion du venin.
Enfin, si vous allez dans un pays tropical, le risque est largement plus grand. Renseignez-vous avant de partir auprès de votre médecin.
Source l’Internaute
Le Pèlerin
 
 
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8 mai 2007 2 08 /05 /mai /2007 23:38
 
Rions un peu, c'est y possible
Une bruyante, laide et très méchante dame entre chez Auchan avec
ses deux enfants en leur criant des injures sans arrêt. Le préposé à
l'accueil de Auchan lui dit : '' Bonjour et bienvenue chez Auchan.
Vous avez de beaux enfants. Est-ce qu'ils sont jumeaux?''.
La méchante dame cesse de crier assez longtemps pour dire : ''Ben sûre que non.
Le plus vieux a 9 ans et l'autre a 7 ans. Pourquoi diable
pourriez-vous penser qu'ils sont jumeaux? Êtes-vous aveugle ou stupide?''


 
''Je ne suis ni aveugle ni stupide'' de répondre le préposé à
l'accueil.
'' Je ne pouvais tout simplement pas croire vous vous soyez fait
sauter deux fois''.
De la part d’une Correspondante
Le Pèlerin
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8 mai 2007 2 08 /05 /mai /2007 23:38

Mougheul

 

Ensorcelée par la magie de sa source

 

 

 

Au programme du quatrième jour du festival, la visite de Mougheul. Une région réputée par ses mausolées et ses 17 tombeaux des "awlya salihine" (saints patrons) qui l’entourent. Située au nord de Kenadsa à 50 km de Bechar. Elle est à 15 km seulement des frontières algéro-marocaines. Contrairement aux autres villages où nous nous sommes déjà rendus depuis le coup d’envoi du festival du tourisme saharien, à Mougheul le temps était glacial.
Selon le premier responsable de la commune, cette ville à vocation agro-pastorale, est à une altitude atteignant les 900 mètres. Souvent, il neige dans cette région plate. A ce niveau nous avons eu l’opportunité de contempler les beaux jardins et visiter le ksar Ben Samer.
Sur le bas du mur, à l’entrée, il a été déposé à même le sol des anciens outils qu’utilisaient autrefois les femmes de cette région. Au centre du ksar on remarque une horloge solaire, dont la création remonte au 12e siècle. C’est l’œuvre du savant M’Barek Ouaïssa. Une sacrée montre. Ayant la forme d’un demi-cercle, elle comporte 9 bouts de bois espacés équitablement selon les sessions d’irrigations.
Si l’ombre du grand bâton en bois cloué au centre, pour servir d’aiguille, se place sur le 4e bout, cela veut dire qu’il est exactement midi. Cette montre solaire, la seule en Algérie, selon le président de l’APC de Mougheul, a été conçue pour remplacer la montre à eau qu’utilisaient naguère les autochtones de la région.
En fait, Mougheul est constitué de quatre tribus. Il s’agit des Aït Kadi, des Aït Bousaïd, des Aït Masse et enfin de Ouled Ammara. Ils sont en tout 1000 habitants, tous rassemblés dans le Ksar Samart. La solidarité est leur devise, nous dira le P/APC qui a pris l’initiative de présenter le site aux touristes. Ces derniers écoutaient ses explications dans un silence religieux.
Le cachet berbère ressort de chaque partie du Ksar, que ce soit à la " Djamaâ ", ou à la Casbah et même à la Tamasght. Selon notre guide ce dernier point représente le lieu où les dirigeants des quatre tribus se rencontrent pour partager les rentes. Aujourd’hui le ksar est déserté par ses habitants. Comme tous les ksour de la région, il fait l’objet d’une opération de restauration initiée dans le cadre du PNUD. Les travaux de la première tranche, lancés en 2002, sont en phase d’achèvement. Toutefois, il reste beaucoup à faire. Une partie du ksar menace ruine.
Les habitants de la nouvelle ville, les vrais propriétaires de Ksar se disent insatisfaits du travail de l’entrepreneur chargé de restaurer le site. Selon eux, la matière utilisée n’est guère solide. Un adage dit que " celui qui part à Mougheul et ne boit pas de sa source aura de la fièvre". Mougheul vit de la magie de sa source. Vu la qualité de ses eaux qui coulent en permanence, les autorités locales ont décidé de construire une usine pour la mise en bouteille. Il y a également de splendides jardins et palmeraies.
C’est là où les fêtes sont célébrées. Lors de notre promenade, nous avons rencontré deux mariés habillés en tenue traditionnelle. Ravis par notre présence, ils nous ont invité à déguster les gâteaux et de partager leur repas préparés sur place. Au menu : des légumes et de la viande cuits à la braise. Selon les rites de la région, la cérémonie du mariage dure 11 jours. Au lieudit Taghzout, des vues panoramiques s’offrent à nos yeux. Mais aussitôt froissés par la misère qui se lit sur les visages des petits bambins venus, dans le but de goûter au plat traditionnel marocain "El bastila" offert aux invités

 

 

 

Source Horizons

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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