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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:36

Bicentenaire de la naissance de l’Emir Abdelkader (6/6)

 

Le Centre de presse a reçu, jeudi dernier, le président de la Fondation Emir Abdelkader, M. Mohamed Boutaleb, et les membres du conseil scientifique de la Fondation. La tenue de la rencontre a été axée sur la commémoration du 200e anniversaire de la naissance du grand homme d’Etat que fut

 

Suite…..

 

La libération

 

Ce n'est que le 16 octobre 1852, au retour d'une tournée en France que le futur Napoléon III vient annoncer solennellement sa liberté à l'émir. L'émir Abd El-Kader n'oubliera jamais ce geste. Par la suite les deux hommes se revoient régulièrement. En quelque temps, l'entente entre les deux hommes était devenue excellente.

 

Après avoir fait serment, de sa propre initiative, de ne plus perturber les opérations françaises en Algérie (décembre 1852), il part pour Brousse puis Damas. Il enseigne la théologie à la mosquée des Omeyyades). En juillet 1860, les troubles confessionnels du Mont Liban se sont étendus à Damas. Des musulmans et des druzes attaquèrent les quartiers chrétiens, tuant plus de trois mille habitants. L'émir intervint pour arrêter le massacre et protégea, au péril de sa vie, la communauté des quinze mille chrétiens de Damas et les Européens qui y vivaient, grâce à son influence auprès des dignitaires de la ville. Il reçut la grand-croix de la Légion d'honneur et d'autres marques de reconnaissance venant du monde entier (notamment du Pape, du Tsar de Russie, etc.). Il consacre le reste de sa vie à des œuvres de bienfaisances, à l'étude des textes scientifiques et sacrés et à la méditation jusqu'à sa mort à Damas. Ses cendres furent récupérées en 1965 et se trouvent aujourd'hui au cimetière d'El-Alia à Alger.Ce transfert des cendres a Alger a été discuté, car Abdelkader avait clairement souhaité être inhumé a Damas auprés de son maître Ibn Arabi. Il faut lire aussi ce qu'en dit Assia Djebar dans son livre: Le blanc de l'Algérie.Albin Michel 1995 Image:Dernier voyage de l'Emir Abd El-Kader

 

Un personnage complexe

 

Abd El-Kader est également le concepteur de la capitale mobile : la Smala.

 

Pour la France coloniale de l'époque, il était le modèle de « l'indigène » éclairé et cultivé, pour l'avoir combattu avec honneur il fut respecté même par ses propre ennemis. C'était, de la part de la France, reconnaître l'ouverture d'esprit et la profonde humanité de l'homme d'honneur qu'il a été durant toute sa vie.Il a échangé une trés nombreuse correspondance avec des français.dont la contribution apporté au livre du Général Daumas sur le cheval. Il faut citer également les relations et les entretiens qu'il eut avec Monseigneur Dupuch, êveque d'Alger

 

Malgré ses contradictions, l'" Ami des Français " ,comme aimait le qualifier les européens, est aussi considéré en Algérie comme le père de la nation, le héros qui ne s'est rendu que pour préserver les Algériens d'un combat inégal et perdu d'avance. En Algérie, depuis quelques années, la figure du héros national s'est enrichie et les Algériens, grâce à toute une littérature mystique découvrent la dimension soufie du résistant à la conquête française.

 

Il est aussi et surtout l'un des plus grands mystiques du XiXème siècle, qui a laissé un ouvrage d'une profondeur rare sur son propre cheminement intérieur : le livre des Haltes, Qitab al-Mawaqif. il influença de nombreux penseurs ésotériques et orientalistes tel René Guédon. 

 

Source Wikipedia

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:29
L'échec de Windows Vista admis par Microsoft
 
Par deux fois cette semaine, Microsoft s'est rangé à notre opinion, qui veut que Windows Vista (alias Me II) soit une vaste blague dont personne ne veut.
En effet, le Géant de Redmond a pris deux décisions plus qu'inhabituelles cette semaine.
Sans que Microsoft ne lève (apparemment) le petit doigt, Dell a annoncé qu'il proposerait de nouveau Windows XP sur ses PC grand public. Pourtant, à la seconde où Vista a été commercialisé, Microsoft a tout fait pour nous empêcher d'acheter autre chose. Evidemment, Microsoft n'aurait pu agir ainsi dans l'univers professionnel, parce que les entreprises lui aurait ri au nez. Mais ce n'est pas un problème vis à vis du grand public : les particuliers achètent en effet souvent sans trop se poser de questions ce qu'on leur met sous le nez.

Ceci fait évidemment partie du comportement monopolistique abusif classique, habituel chez Microsoft. Celui-ci a en effet toujours réussi à imposer son point de vue à ses principaux clients OEM. Or, jusqu'à présent, personne n'avait osé faire machine arrière, puisque ceci impliquait d'avoir à subir sa colère de Microsoft.

Mais Dell a sauté le pas. Ceci signifie que les ventes de Vista sont au moins aussi mauvaises que nous le pensions, faute autant au logiciel qu'aux pilotes. Dell n'a donc pas eu d'autre choix que d'inverser la tendance. Mais il ne faut pas imaginer pour autant que Dell a agit ainsi pour s'excuser d'avoir imposé un mauvais produit : difficile de croire en effet que le constructeur ait agi dans le strict souci du consommateur... Roulement d'yeux

En fait, ce qui s'est passé, c'est que les OEM se sont révoltés en sous-main et ont forcé Microsoft à faire machine arrière. Bon, certes, Microsoft a bien tenté de limiter la rébellion, mais n'a pu empêcher la décision de Dell. Cependant, on peut presque entendre le pas des défecteurs qui se tournent vers Linux et d'autres systèmes d'exploitation. C'est donc un tournant historique.

L'autre échec monumental imputable à Me II ? Le lancement en Chine d'une version OEM de Vista à 3$. Altruisme ? Certainement pas. je m'explique : en fait, jusqu'à présent, le piratage permettait de conforter le monopole de Microsoft. A partir du moment où on peut facilement pirater Windows (qui ne coûte alors plus rien), Linux perd son avantage prix.

Or, Microsoft a rendu Vista beaucoup plus difficile à pirater. C'est certes encore faisable, mais au prix de techniques suffisamment compliquées pour que la plupart soient obligés de l'acheter. Or, d'après vous, combien, dans un pays où le salaire moyen est de 100$, accepteront de dépenser 299$ pour Vista ? Linux regagne donc un avantage décisif.

A défaut de permettre le piratage, qu'a donc choisi Microsoft de faire ? Il a divisé le prix de Vista par 100 ! Certes, ce n'est pas une première historique, puisque Microsoft a déjà proposé une version étudiants d'Office 2003 à 150 $, mais cette fois, les mesures prises montrent que la situation est bien plus désespérée...

Or, quel que soit votre niveau de vie, la stratégie de Microsoft est de toujours chercher à vous appâter, d'un moyen ou d'un autre : qui sait ? Un jour, vous serez peut être suffisamment riche pour payer plein pot... Et c'est pour cela que l'on est à la croisée des chemins, qui imposent à Microsoft de telles décisions : si le prix de ses logiciels double, il y a davantage de chances pour que les utilisateurs commencent à s'intéresser sérieusement aux alternatives existantes.

On entrerait alors dans un cercle vicieux pour Microsoft. Ceci signifierait alors que les utilisateurs se libéreraient de leurs liens que sont les DRM de Vista ou les nouveaux formats de fichiers d'Office, toujours aussi obscurs et protégés par des brevets. Les utilisateurs pourraient alors se demander quel serait leur intérêt à travailler avec des outils Microsoft. Le Géant de Redmond pourrait alors passer un très mauvais quart d'heure... Donc, Microsoft a fait l'impensable, et préféré baisser ses prix. Enormément. Pour tenter de conserver sa rente de situation.

Ces deux décisions de Microsoft sont la preuve de ce que nous avancions il y a trois ans : l'éditeur a perdu de sa capacité à imposer leur choix à ses clients. Et va donc finir par mourir. Parce qu'il ne peut plus continuer sur sa lancée et n'a d'autres choix que d'offrir des réductions de 98% pour tenter de les conserver.

L'industrie informatique assiste donc à un changement sans précédent de puissance dominante. Et le plus drôle, c'est que les décisions prises par Microsoft sont les mauvaises. Le géant de Redmond fait vraiment face de gros ennuis en perspective...

Source Mon Espace.net
 
Le Pèlerin
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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:23
L’Alliance présidentielle, le RCD, le PT et le FNA au rythme de plus de deux meetings/jour
Les trois partis de l’Alliance présidentielle (FLN, RND et MSP) et trois partis de l’opposition (RCD, PT et FNA) semblent mener la plus forte cadence de la campagne électorale comme en témoigne le bilan du cinquième jour de réclame politique en faveur des listes de chacun d’entre eux. Ces partis, ayant présenté le plus grand nombre de listes à ce scrutin (54 pour chacun des partis de l’Alliance présidentielle, 53 pour le RCD, 48 pour le PT et 47 pour le FNA), leurs leaders ont un programme de campagne des plus chargés. Au cinquième jour de la campagne, lundi dernier, ils ont animé, chacun, au moins deux meetings. Abdelaziz Belkhadem (FLN) a rappelé, à Sidi Bel Abbès, «les réalisations du FLN» et a souligné les efforts de l’ex-parti unique «sur la voie de la concrétisation de l’édification nationale». A Saïda, le SG du FLN a estimé que «l’Algérie a recouvré la paix et a renoué avec le processus de développement à la faveur de la politique de réconciliation nationale». A Mascara, Belkhadem a souligné que le «bloc parlementaire du FLN conforte la stabilité du pays». Ahmed Ouyahia (RND) a fait observer à Oum El Bouaghi que «la nonchalance favorise l’expansion et les développements dangereux de fléaux sociaux». Dans la même wilaya, à Aïn M’lila précisément, le patron du RND a estimé que «le programme du président de la République consolidera la paix et relancera l’économie nationale». A Batna, Ouyahia a martelé que «le RND soutient la réconciliation nationale par conviction». A Blida, Bouguerra Soltani (MSP) a relevé la nécessité de «l’émergence d’autres alternatives à la situation de crise actuelle». Le leader du MSP, parti siégeant depuis près d’une décennie au gouvernement, a réitéré sa volonté de «changement». A Djelfa, et après une visite de proximité à Médéa, le président du MSP a affirmé que son parti «œuvre pour l’émergence de compétences locales» et que le mouvement qu’il dirige «ne peut être considéré responsable de la situation actuelle de la wilaya». A Ksar Al Hirane (Laghouat), le successeur de Mahfoud Nahnah s’est adressé aux électeurs en leur signifiant sa fierté de les voir «participer aux élections législatives». Du côté de l’opposition, Saïd Sadi (RCD) a relevé, à la salle Aïssat Idir de Skikda, «l’impératif d’une implacable lutte contre la corruption» et «la nécessité de traduire dans les faits l’indépendance de la justice». Cela tout en développant quelques-unes des 100 propositions inscrites dans le programme électoral du RCD pour ces législatives. Pour sa part, Louisa Hanoune (PT) a appelé, à partir de Aïn Témouchent, à la mise en place d’une «politique économique et sociale répondant aux besoins du peuple» et a estimé que la venue de sociétés étrangères en Algérie «n’est pas un passage obligé». A Sidi Bel Abbès, Louisa Hanoune s’est déclaré déterminée à «consolider l’unité et la souveraineté nationale» et a dénoncé «les actes criminels perpétrés le 11 avril à Alger». Elle a plaidé ainsi «la vigilance pour faire face aux milieux hostiles à l’Algérie». Moussa Touati (FNA) a parlé, à Sétif, de «volonté de reconquête de la souveraineté [nationale] sur le pétrole et le gaz pour assurer l’avenir des générations futures». «Le temps est venu pour, notamment, ceux qui sortent des universités afin de conduire le changement», a-t-il dit avant d’appeler à El Hammadia (Bordj Bou Arréridj) à une «participation massive» à un scrutin devant être l’occasion pour la jeunesse d’«exiger aujourd’hui le vrai changement». Par ailleurs, et parmi les autres partis en course pour les législatives du 17 mai prochain, Kamel Bensalem (PRA) était lundi dernier à Tizi Ouzou où il a plaidé en faveur de «la réhabilitation de la commune comme structure de base de l’édifice institutionnel». Ali Boukhezna (MEN) a proposé, à Bordj Bou Arréridj, «la réduction, voire l’élimination de l’impôt afin de favoriser la création d’emplois». Salhi Chawki (PST) a martelé, à Tissemsilt, son «rejet de la politique de privatisation des entreprises publiques». Fatah Rebaï (Ennahda) a lancé un appel, à M’sila, pour que les ministres candidats aux législatives -issus du trio de partis de l’Alliance présidentielle : FLN, RND et MSP- «cessent d’utiliser les moyens que leur procure leur fonction à des fins électorales, ce qui est en contradiction avec les dispositions réglementaires interdisant ces pratiques».
Source La Tribune
 
Le Pèlerin
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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:09

L’élection présidentielle en France révèle des signes qui ne trompent pas.

La conscience politique des Français est en déclin autant que leur conscience morale. Les valeurs qui étaient, il n’y a pas très longtemps, celles des Français et qui se révélaient à chaque fois déterminantes pour choisir l’homme ou les hommes qui devaient présider aux destinées de la République, semblent avoir perdu leur place au sein de la société française.

Une société où la majorité a redéfini, sur fond de crises multiples dont les tenants sont souvent mal perçus, voire même identifiés à travers le prisme déformant de la politique politicienne, son système de valeurs. Cette crise de la conscience, ainsi définie, est plus grave quand on voit qu’elle est accompagnée d’une absence de rationalisation de l’acte de voter, puisque les faits qui sont là montrent qu’une star de l’audimat politicien, comme Sarkozy, a réussi à passer au second tour de la présidentielle et pourrait même devenir le président de la République française.

Sarkozy, dont le programme politique se confond singulièrement et paradoxalement avec ses erreurs en tant que ministre de l’Intérieur, a nourri ce programme de tous les symptômes des crises sociales qu’il a lui-même causées.

Que dire, par ailleurs, de la comparaison entre Sarkozy et Royale, sinon qu’elle ne peut se faire que sur le plan de la différenciation ? Une différence sur deux plans : celui de l’envergure morale et politique. Sur ce registre, cette grande dame est imbattable et, en tant que candidate qui envisage un destin national, elle a su être proche de toutes les tendances politiques sans se compromettre avec les «idéaux extremistes».

Sur le second plan : elle est une femme. Et c’est sur ce registre qu’elle perd de la vitesse, étant encore, en l’an 2007, à l’avant-garde de ce qui peut arriver en France :

qu’une femme devienne présidente de la République.

En fait, la France profonde, y compris ses femmes, est foncièrement misogyne, à défaut de clairvoyance, pour percevoir plutôt son salut dans la nécessité d’être absolument «sarkophobe».

Le Pèlerin

 

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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:04

 

Rions ensemble - Au Feu

 

Un avocatavait acheté une boîte de 24 cigares très rares et très chers et les a ensuite assurés contre le feu entre autres.

Dans le mois qui suivit, ayant consommé son entière réserve de cigares et n'ayant pas encore effectué le premier paiement de sa police d'assurance, l'avocat envoya une réclamation à sa compagnie d'assurance.

Dans sa réclamation,l'avocat indiqua que les cigares avaient été perdus "dans une série de petits incendies".

La compagnie d'assurance refusa de payer en citant la raison évidente:que l'homme avait consommé les cigares de façon normale.

L'avocat intenta une poursuite... ET IL GAGNA!

En délivrant son verdict le juge fut d'accord avec la compagnie d'assurance que la réclamation était de nature tout à fait frivole, mais ; Le juge indiqua cependant que l'avocat détenait une police de La compagnie qui garantissait que les cigares étaient assurés et que ces derniers étaient absolument protégés ! contre le feu sans définir ce qui constituait un incendie "acceptable".

Le juge déclara donc la compagnie dans l'obligation de rembourser l'avocat.

Au lieu d'avoir à endurer des procédures d'appel longues et coûteuses, la compagnie d'assurance accepta le jugement et paya donc 15 000 $ à l'avocat pour sa perte de ses précieux cigares dû aux regrettables incendies.

Une fois que l'avocat eut encaissé le chèque, la compagnie d'assurance le fit arrêter pour 24 chefs d'accusation d'incendies criminels!

Avec sa propre réclamation d'assurance ainsi que son témoignage du procès utilisés contre lui, l'avocat fut accusé d'avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant d'assurance.

Il fut condamné à 24 mois de prison avec sursis ainsi qu'à une amende de 24 000 dollars.

 

 

De la part d’une Corresondante

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

1.    

 

 

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2 mai 2007 3 02 /05 /mai /2007 23:00
Tipasa
Célébration de la Journée internationale de la liberté de la presse
L’Association des journalistes et correspondants de presse de la wilaya de Tipasa (AJCPWT) a concocté un programme d’activité conséquent pour marquer la célébration de la Journée internationale de la liberté de la presse.

Depuis sa création, l’association milite pour faire de cette journée un symbole de solidarité pour que la presse joue son rôle sans aucune contrainte. Mlle Seddiki Djamila, présidente de l’association, œuvre dans le sens de la préservation de l’éthique journalistique et le respect de la profession.
A ce titre, depuis son élection à la tête de l’association elle a su toujours concilier la profession en accordant un intérêt particulier à tout ce qui touche à l’ensemble de la corporation en prodiguant des conseils aux plus jeunes pour les inciter au respect de la personne et de la profession journalistique. La journée sera célébrée à la villa Engelvy à partir de 9 heures du matin le 2 mai 2007 au lieu du 3 mai, date anniversaire de cette journée. Au cours de cette rencontre festive, il est prévu une exposition de photos sur le développement local ainsi que les différents articles de presse des confrères suivie par une série de communications qui seront animées par les directeurs de journaux : M. Djakoun Abdelwahab de la Nouvelle République, le directeur de Midi Libre, un représentant du ministère de la Communication. Les débats seront animés par MM. Ahcène Djaballah et Mostefaoui Belkacem , professeurs à l’ISIC (Institut des sciences de l’information et de la communication). Par ailleurs, un hommage particulier sera rendu à feu Abderrahmane Mahmoudi, directeur du journal Le Jour d’Algérie, et notre regretté Khaled Mahrez, secrétaire général de la FIJ, et bien sûr à tous les confrères qui ont payé de leur vie pour que vive l’Algérie libre et digne.
Nous saisissons l’opportunité de cette commémoration pour remercier M. Mohamed Ouchen, wali de Tipasa, pour son aide et sa sollicitude envers notre association et lui exprimer toute notre reconnaissance et nos plus vifs remerciements.

Source la Nouvelle République
 
Le Pèlerin
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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 23:50
France 24
Un succès en Algérie
France 24 vient de recevoir les résultats de l’étude du baromètre TNS SOFRES menées en Algérie du 2 au 24 avril. Cette enquête a été lancée lors de l’ouverture du Canal arabe le 2 avril 2007. Les scores obtenus montrent une forte progression de la notoriété de la Chaîne.

La notoriété spontanée de France 24 en Algérie a été multipliée  par 3, passant de 8% (1re vague) à 24 (2 e vague ). La notoriété globale de France 24 est passée de 51% à 79%, l’Algérie représentant maintenant le taux de notoriété le plus élevé des 5 pays mesurés,et ceci  devant le Sénégal (57%), la France (511%), l’Italie (36%) et la Grande-Bretagne (25%). 51% des leaders d’opinions algériens, soit plus d’un leader sur deux, ont regardé au moins une fois France 24, au cours des 3 dernières semaines, contre 34% à la première vague. 95% de cas leaders d’ opinion, qui ont regardé régulièrement ou de temps en temps, contre 79% à la première vague. Ceci montre un développement très important du taux de fidélisation à la Chaîne. Le contenu séduit beaucoup les téléspectateurs.
Source la Nouvelle République
 
Le Pèlerin
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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 23:28
Marché mondial du transport aérien
Les profits devraient fortement augmenter en 2007
Le trafic aérien international a enregistré une baisse de 5,9% en 2006, contre 7,6% en 2005, alors qu’un bénéfice net de 3,8 milliards de dollars est attendu pour cette année, a indiqué l’Association internationale du transport aérien (IATA).
Cette association table sur le retour à la rentabilité estimant que « la leçon à tirer de 2006 est que la recherche d’une croissance rentable est payante ». Les efforts des compagnies dans la réduction des coûts et l’accroissement du rendement placent l’industrie sur les rails pour un bénéfice net de 3,8 milliards de dollars cette année, contre une perte de 500 millions de dollars en 2006. Le taux de remplissage des appareils a atteint 76% l’an dernier, un record, ajoute l’IATA. La peur des attentats mais aussi la guerre en Irak et le syndrome de la grippe aviaire avaient considérablement ralenti l’activité du secteur. Il faut savoir que le kérosène est passé en tête des coûts d’exploitation des transporteurs aériens devant les dépenses de personnel. Il représente quelque 20% des coûts d’un vol. Les compagnies aériennes sont impuissantes face à l’irrésistible flambée du cours du baril. L’or noir, c’est leur cauchemar permanent. Pour les inciter à faire des économies, l’IATA a préconisé la disparition du billet d’avion en papier au profit du billet électronique. Il est programmé pour cette année et doit permettre aux compagnies d’économiser 3,5 milliards de dollars par an. Air Algérie se prépare à l’introduction du billet électronique. Air France propose de voyager l’esprit léger avec le e-service. British Airways permet aux voyageurs à partir d’Alger d’effectuer leur enregistrement en ligne 24h avant l’heure prévue du départ sur le site internet www.ba.com. Les compagnies s’efforcent également de remplacer les appareils vieillissants par des avions moins gourmands en carburant. Airbus table sur une croissance annuelle de 5% du trafic passager d’ici 2022 et pour la même période sur le renouvellement de 40% de la flotte mondiale, soit plus de 16 000 appareils de plus de 100 places ! Le duel avec l’américain Boeing déplace la bataille sur deux nouveaux fronts : les passagers et les aéroports. La croissance du trafic aérien a été la plus rapide au Moyen-Orient (15,4% en 2006). L’Afrique a progressé de 8,6%, l’Amérique du Nord de 5,7%, l’Asie-Pacifique de 5,3%, tout comme l’Europe. Le trafic en Amérique latine a en revanche reculé de 2,4%, en raison principalement de restructurations régionales. L’Organisation mondiale du tourisme (OMT) a réaffirmé la forte synergie entre le transport aérien et le tourisme et leur contribution commune au développement économique.
Source El Watan
Le Pèlerin
 
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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 23:26

 

Bicentenaire de la naissance de l’Emir Abd-el-kader (5/6)

 

Le Centre de presse a reçu, jeudi dernier, le président de la Fondation Emir Abdelkader, M. Mohamed Boutaleb, et les membres du conseil scientifique de la Fondation. La tenue de la rencontre a été axée sur la commémoration du 200e anniversaire de la naissance du grand homme d’Etat que fut

 

Suite…..   

 

La défaite

 

Le 21 décembre 1847, à cinq heures, la Dêïra passe la Kiss et entre sur le territoire détenu par les français. Abd-el-Kader, seul à cheval, est en tête de l'émigration; le général Lamoricière, prévenu à temps, ordonne à deux détachements de vingt spahis choisis, revêtus de burnous blancs et commandés par les lieutenants Bou-Krauïa et Brahim, de garder le passage que devait prendre la Deïra; pour parer à tout événement, il fait prendre les armes à sa colonne et se porte sur la frontière ; il avait à peine fait une lieue et demie que des cavaliers-envoyés par Bou-Krauïa le prévinrent qu'il était en présence d'Abd-el-Kader. On vole aussitôt à son secours. Au bout de quelques instants, il rencontre Bou-Krauïa lui-même avec des hommes dévoués à Abd-el-Kader, chargés de porter sa soumission à M. de Lamoricière.

 

 

L'émir avait remis à Bou-Krauïa une feuille de papier sur laquelle il n'avait fait qu'apposer son cachet, car le vent, la pluie et la nuit l'avaient empêché d'y rien écrire. Àbd-el-Kader demandait une lettre d'aman pour lui et ceux qui l'accompagnaient.

 

 

Le général ne pouvait, pour les mêmes causes, répondre à l'émir ; mais il remit aux envoyés son sabre et le cachet du commandant Bazaïin, en leur donnant verbalement la promesse de l'aman le plus solennel.

 

 

Abd-el-Kader renvoya ses deux officiers et le lieutenant Bou-Krauïa avec une lettre dans laquelle il demandait l'aman, à condition qu'il serait conduit à Alexandrie ou à Saint-Jean-d'Acre. M. de Lamoricière y consentit par écrit.

 

 

Le 24 décembre, Abd-el-Kader fut reçu par les généraux Lamoricière et Cavaignac et le colonel Montauban, au marabout de Sidi-Brahim, théâtre de ses triomphes. On l'amena ensuite à Nemours (Dgemma-Ghazouat) devant le duc d'Aumale qui l'y attendait. Le prince ratifia la parole donnée par le général Lamoricière, en exprimant l'espoir que le roi lui donnerait sa sanction. Le gouverneur général annonça à l'émir qu'il le ferait embarquer le lendemain pour Oran, avec sa famille ; il s'y soumit sans émotion et sans répugnance. Avant de quitter le prince, Abd-el-Kader lui envoya un cheval de soumission, pour consacrer son vasselage et sa reddition.

 

 

On rapporte que, lorsqu'Abd-el-Kader remit ses armes au duc d'Aumale, le prince prit le pistolet en disant : « Ceci est pour le roi ! » puis il donna le sabre à M. de Lamoricière : « Ce sabre est pour vous, général, vous l'avez bien gagné. »

 

 

L'émir demanda avec instance la faveur de quitter Oran le plus tôt possible. On lui offrit de partir immédiatement sur la frégate à vapeur l'Asmodée, ce qu'il accepta. L'Asmodée mit à la voile emportant l'émir et sa suite, composée de 61 hommes, de 21 femmes et de 15 enfants des deux sexes, en tout 97 personnes. On y remarquait sa vieille mère, deux de ses beaux-frères, ses trois femmes et ses deux fils, dont le plus jeune avait huit ans. Parmi les femmes se trouvait une jeune française nommée Juliette, née à Arles, qui avait été faite prisonnière avec sa mère. La traversée fut mauvaise et les captifs arabes furent très fatigués. Arrivé à Toulon, Abd-el-Kader fut déposé au Lazaret, puis transféré au fort Lamalgue,puis au chateau de Pau ou il séjournera plusieurs années jusqu'au3 Novembre 1848 et qu'il quittera ensuite pour le chateau d'Amboise.Son séjour à Pau a laissé aux palois un grand souvenir et lui même a exprimé des regrets en quittant cette ville.Voici ce que l'on peut trouver sur le site de la ville de Pau qui, en cette année 2007, va célébrer les deux cents ans de la naissance d'Abdelkader.Cet homme au destin hors ligne, fondateur de la nation Algérienne, a quarante ans quand il arrive à Pau, le 29 avril 1848. Dans la diligence qui le conduit de Sète en Béarn, l'émir a ces mots pathétiques : « Je vois ces plaines verdoyantes, ces vergers, ces forêts, ces fleuves et ces rivières ; tant d'abondance ! Quel besoin ont les Français d'occuper mon Pays, de sable et de rochers ? ».

 

 

Durant toute sa captivité à Pau, du 29 avril au 3 novembre 1848, le grand guerrier ne bougera pas de ses appartements d'un château fraîchement rénové, refusant la promenade et ne quittant sa chère Smala que le soir pour aller dormir dans le donjon Fébus. « Je suis en deuil et un Arabe en deuil ne quitte pas sa tente ; je suis en deuil de ma Liberté, je ne quitterai donc pas ma chambre ».

 

 

L'image romanesque du grand chef vaincu, du patriote inflexible, attire les curieux en quête d'un frisson romanesque. A Pau, Abd el Kader ne refuse pas les visites, bien au contraire. Au cours de ces entretiens, il ne cesse de rappeler à la France son manque de parole et d'en souligner la gravité. Très vite, l'image du chef de guerre exotique cède le pas à celle d'un hôte aimé, révéré.

 

 

Au moment de partir pour Amboise, entouré d'amis palois émus aux larmes, l'émir se retourne et déclare : « En quittant Pau, je laisse un morceau de mon coeur ».

 

 


La parole de la France n'est pas tenue par les régimes et les gouvernements successifs. L'émir est retenu en captivité pendant cinq années. Dès son accession à la Présidence de la République, Louis-Napoléon Bonaparte songe à le libérer.

 

 

En janvier 1849 il organise une réunion au Palais de Saint-Cloud, le maréchal Bugeaud est présent, mais les difficultés du nouveau président avec la Chambre et son Ministre de la Guerre lui font remettre à plus tard ce qu'il considère comme une affaire d'honneur.

 

 

Le Pèlerin  ( à suivre)

 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 23:08

Condomania

 

Une entreprise brésilienne a décidé de tirer parti de la passion des Brésiliens pour le football en commercialisant des préservatifs aux couleurs des principaux clubs du pays.

Le pdg de la compagnie Dharman, Renato Marson, a annoncé dans une interview au journal Valor qu'il avait signé un accord avec la ligue de football brésilienne pour une ligne de préservatifs vendus en paquets aux couleurs des équipes. La ligne touchera un pourcentage de 15% sur les ventes.

 

De la part d’une            Correspondante

 

 

Le Pèlerin

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