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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 23:03

Le désespoir, matrice du terrorisme algérien, 

 

Horizon bouché. Jeunesse désespérée. Vie politique inexistante... Le double attentat-suicide qui a provoqué un carnage, mercredi, à Alger - 33 morts et 222 blessés selon le dernier bilan -, au coeur même du pouvoir algérien, contre le Palais du gouvernement, n'a pas de quoi surprendre. Tous les ingrédients pour une telle tragédie étaient réunis. A peine remis de la " décennie de sang" qui a vu s'affronter islamistes armés et forces de sécurité (au prix de 100 000 morts au moins et de 7 000 à 18 000 disparus, selon les sources), les Algériens se retrouvent plongés dans le cauchemar du terrorisme et la hantise d'une reprise généralisée de la violence.


Indiscutablement, la méthode employée par le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), seul des groupes armés algériens encore en activité, récemment rallié à la bannière d'Al-Qaida, constitue un tournant. A une exception près, au milieu des années 1990, l'Algérie n'avait jamais connu d'attentats-suicides.

Aussi, la tentation est forte d'incriminer la politique de réconciliation nationale menée par le président Bouteflika depuis son arrivée au pouvoir, en 1999, en particulier le référendum de septembre 2005, lequel a offert une amnistie générale aux terroristes "repentis" de la décennie rouge. Trois mille détenus ont recouvré la liberté depuis l'année dernière, tandis que 300 combattants armés profitaient de l'occasion et abandonnaient le maquis pour réintégrer la vie civile.

Y a-t-il un lien entre cette clémence présidentielle - plus ou moins imposée à une population largement indifférente ou résignée - et les attentats- kamikazes de mercredi ? Certains journaux algériens débattent âprement de cette question depuis 48 heures. Beaucoup voient dans cette brusque et spectaculaire réapparition du terrorisme en Algérie la preuve ou la confirmation que le chef de l'Etat s'est fourvoyé en faisant preuve de mansuétude. "Voilà où nous a mené trop de laxisme", soulignent-ils avec amertume.

Aussi imparfaite que soit la politique de réconciliation nationale voulue par M. Bouteflika, aussi ambiguës que soient ses motivations profondes - ne s'agissait-il pas de blanchir les forces de sécurité pour leurs exactions pendant les années 1990 au moins autant que de faire descendre les combattants du maquis ? -, cela ne peut expliquer le carnage de mercredi.

Certes, certains "repentis" graciés ont pu décider, ces derniers mois, de repartir au combat et rejoindre les rangs du GSPC. Mais leur nombre est sans doute infime. Ceux qui ont choisi de se faire exploser devant le Palais du gouvernement et à Bab Ezzouar, mercredi, sont de nouvelles recrues. Ces combattants d'un nouveau type n'appartiennent pas à la génération du Front islamique de salut (FIS) et de son bras armé, l'AIS. Ils n'ont pas grand-chose à voir avec ceux qui se sont battus contre les forces de sécurité algériennes lors des "années de sang". Jeunes pour la plupart, les kamikazes algériens du 11 avril sont le pur produit des chaînes de télévision satellitaires du Golfe. Nourris des images de guerre d'Irak, de Palestine, du sud Liban et d'Afghanistan, ils n'ont pas de repères. Ils se moquent des anciens moudjahidins algériens. Loin de voir en eux les héros de la guerre de libération de leur pays, ils les tiennent pour des rentiers et des mafieux. Les seuls qui trouvent grâce à leurs yeux sont morts. Leurs modèles ? Des hommes capables de tenir tête à la toute-puissante Amérique, tels Ben Laden ou Nasrallah (le chef du Hezbollah au Liban), qu'ils admirent autant qu'ils exècrent George Bush et les responsables algériens, coupables à leurs yeux de "multiplier les courbettes" envers la Maison Blanche.

Les jeunes algériens rêvent comme jamais d'un ailleurs de plus en plus inaccessible, au fur et à mesure que l'Occident se referme sur lui-même. Chômage, injustice, mal-vie, paupérisation, hogra (humiliation)... Ceux qui ne font pas partie de la nomenklatura tentent de fuir ces fléaux par tous les moyens. Le phénomène des harragas, ces embarcations précaires où l'on s'entasse pour une périlleuse et souvent mortelle traversée de la Méditerranée, est en augmentation vertigineuse. L'Ouest algérien n'a plus le monopole de ces fuites désespérées. Depuis un an, l'est du pays est tout autant atteint par ces tentatives d'émigration forcenée.

Si le désespoir est si profond en Algérie, c'est que les perspectives de changement sont nulles. Chacun sait que la vie politique est un leurre à Alger. Les élections législatives du 17 mai devraient en apporter une nouvelle fois la preuve. Le FLN, déchiré par des querelles internes, et le RND, coquille vide au service du pouvoir, remporteront haut la main ce scrutin, lequel sera boycotté, comme d'habitude, par 70 % de la population (officiellement, 35 % seulement).

Pas de surprise à attendre. La règle non avouée des quotas sera une fois encore appliquée, en y mettant plus ou moins les formes. Seule petite incertitude : le score du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, parti kabyle), qui a décidé de participer à ces législatives et n'exclut pas de réintégrer la coalition gouvernementale. Le RCD bénéficiera-t-il du quota initialement prévu pour Abdallah Djaballah, le chef du parti islamiste El Islah, écarté de la compétition, sans doute parce qu'il risquait de faire de l'ombre au FLN ? L'hypothèse n'est pas absurde.

Quoi qu'il en soit, les islamistes n'ont pas plus leur place en Algérie, aujourd'hui, qu'ils ne l'ont eue ces quinze dernières années. Aucune solution politique n'est en vue. Avec tous les dangers que cela comporte. Même ceux qui composent avec le pouvoir - Djaballah en était - se retrouvent tôt ou tard marginalisés, voire bâillonnés. Parce qu'il redoute de se retrouver dans une situation analogue à celle de décembre 1991 (qui avait vu le FIS emporter le premier tour des élections législatives), le pouvoir veille au grain. Mais il le fait de la façon la plus maladroite qui soit, en neutralisant au passage toute velléité démocratique.

Résultat : le ressentiment et la frustration grandissent. Il n'existe pas, en Algérie, de relations de confiance entre gouvernants et gouvernés. Les uns et les autres s'observent  de loin - avec méfiance. C'est la règle du chacun pour soi. Les uns, pour le meilleur, les autres, pour le pire. Pas étonnant, dans ces conditions, que ceux qui sont au bas de l'échelle lorgnent, tôt ou tard, du côté des islamistes extrémistes. Qu'ont-ils à perdre ? Dans ce terreau, jeune et prêt à tout, le GSPC et Al-Qaida ont de quoi puiser. Le gisement n'est pas près de tarir...

 

 

Source le Monde

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 11:18

Bicentenaire de la naissance de l’Emir Abd-el- kader (4/6)

 

Le Centre de presse a reçu, jeudi dernier, le président de la Fondation Emir Abdelkader, M. Mohamed Boutaleb, et les membres du conseil scientifique de la Fondation. La tenue de la rencontre a été axée sur la commémoration du 200e anniversaire de la naissance du grand homme d’Etat que fut

 

Suite…..

 

Le Maroc

 

En 1841, sous le gouvernement de Bugeaud, Mascara, Tlemcen, Borhan, Thazat, Tekdemt, Saïda et Tafraoùts tombèrent dans les mains des français. L'émir n'ayant plus ni villes, ni magasins, ni trésors, n'était plus qu'un chef dé partisans. La prise de la smala par le duc d'Aumale lui porta un coup terrible ; et, poursuivi à outrance par le général Bugeaud, il fut forcé de chercher un refuge au Maroc. Là, il sut attacher à sa cause le sultan Abd-er-Rahman. Comme marabout, il prêcha l'extermination des infidèles et souleva de nombreuses tribus marocaines ; il parvint aussi à se faire écouter par les premiers fonctionnaires de la cour de Fes, qui ne cherchaient qu'un prétexte pour déclarer la guerre aux français.

 

 

Bugeaud

 

Le tournant de la guerre fut la nomination du maréchal Bugeaud comme gouverneur général de l'Algérie en 1842. Celui-ci changea complètement de tactique de l'armée française, aidée de nombreuses troupes composées d'Algériens : troupes régulières (zouaves et spahis) et corps irréguliers : les goums). Il harcela les troupes d'Abd El-Kader, en cherchant à les couper de leur base. L'émir fut refoulé sur les hauts plateaux steppiques avec sa smala, capitale ambulante estimée à 30 000 personnes.

 

 

Abd El-Kader essuya un grave revers le 16 mai 1843, avec la prise de la smala par le duc d'Aumale dans la région de Boghar. Il rassembla le reste de ses troupes, sous le nom de déïra, et se tourna vers le sultan du Maroc. Celui-ci, qui avait des visées sur l'ouest algérien, intervint mais fut défait à la bataille de l'Isly (oued près d'Oujda) le 14 août 1844.

 

 

Dans le traité de Tanger (10 septembre 1844), il fut convenu qu'Abd-el-Kader serait mis hors la loi aussi bien en Algérie que dans le Maroc. Ce traité délimita la frontière entre les deux pays.

 

 

Les français n'avaient pas oublié le guet-apens de Sidi-Brahim, où leurs soldats, commandée par le colonel Montagnac, furent égorgés sans pitié par les troupes de l'émir.

 

 

En 1845, beaucoup de tribus des Hauts-Plateaux s'étaient soumises aux Français. L'Emir vint les punir. Le Goum des Ouled Nail, sous le commandement de Si Chérif Bel Lahrech qu'Abdelkader avait nommé khalifa, prit part à ces opérations. Il alla ensuite en Kabylie où deux combats eurent lieu contre les Français en février 1846. Les Kabyles ne voulurent pas suivre l'Emir qui vint dans la région de Djelfa et la sillona en tous sens, poursuivi par les Français, mais aidé par la population. Des combats eurent lieu à Ain Kahla, à Zenina et à l'oued Boukahil.

 

 

Abd El-Kader tenta de relancer la révolte en 1847, mais échouant à rallier les tribus kabyles, il dut se réfugier au Maroc.

 

 

Le général de Lamoricière avait appris qu'Abd-el-Kader, refusant de se rendre au sultan du Maroc, s'était entendu avec ses principaux officiers pour tenter une dernière fois la fortune. Le 13 septembre, un ex-brigadier du 2° chasseurs d'Afrique qui s'était échappé de la Deïra, accourt annoncer au général que l'émir veut livrer encore un combat avant de se retirer vers le Sud avec ceux qui voudront l'y suivre.

 

 

Le Pèlerin  ( à suivre)

 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 08:39
Histoire du 1er Mai
Journée de 8 heures et Fête du Travail
Le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200.000 travailleurs américains d'obtenir la journée de huit heures. Le souvenir de cette journée amène les Européens, quelques années plus tard à instituer la Fête du Travail.
Une revendication nationale
Au cours du IVe congrès de l'American Federation of Labor, en 1884, les principaux syndicats ouvriers des États-Unis s'étaient donné deux ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à huit heures. Ils avaient choisi de débuter leur action un 1er mai parce que beaucoup d'entreprises américaines entamaient ce jour-là leur année comptable.
Arrive le 1er mai 1886. Beaucoup de travailleurs obtiennent immédiatement satisfaction de leur employeur. Mais d'autres, moins chanceux, au nombre d'environ 340.000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Le 3 mai, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester, à Chicago. Une marche de protestation a lieu le lendemain et dans la soirée, tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C'est alors qu'une bombe explose devant les forces de l'ordre. Elle fait une quinzaine de morts dans les rangs de la police.
 
Trois syndicalistes anarchistes sont jugés et condamnés à la prison à perpétuité. Cinq autres sont pendus le 11 novembre 1886 malgré des preuves incertaines.
Sur une stèle du cimetière de Waldheim, à Chicago, sont inscrites les dernières paroles de l'un des condamnés, Augustin Spies : «Le jour viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd'hui»
Manifester pour la journée de 8 heures
Trois ans après le drame de Chicago, la IIe Internationale socialiste réunit à Paris son deuxième congrès. Celui-ci se tient au 42, rue Rochechouart, salle des Fantaisies parisiennes, pendant l'Exposition universelle qui commémore le centenaire de la Révolution française.
Les congressistes se donnent pour objectif la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé). Jusque-là, il est habituel de travailler dix ou douze heures par jour (en 1848, en France, un décret réduisant à 10 heures la journée de travail n'a pas résisté plus de quelques mois à la pression patronale).
Le 20 juin 1889, sur une proposition de Raymond Lavigne, ils décident qu'il sera «organisé une grande manifestation à date fixe de manière que dans tous les pays et dans toutes les villes à la fois, le même jour convenu, les travailleurs mettent les pouvoirs publics en demeure de réduire légalement à huit heures la journée de travail et d'appliquer les autres résolutions du congrès. Attendu qu'une semblable manifestation a été déjà décidée pour le 1er mai 1890 par l'AFL, dans son congrès de décembre 1888 tenu à Saint Louis, cette date est adoptée pour la manifestation.»
Le 1er mai 1891, à Fourmies, une petite ville du nord de la France, la manifestation rituelle tourne au drame. La troupe équipée des nouveaux fusils Lebel et Chassepot tire à bout portant sur la foule pacifique des ouvriers. Elle fait dix morts dont 8 de moins de 21 ans. L'une des victimes, l'ouvrière Marie Blondeau, habillée de blanc et les bras couverts de fleurs, devient le symbole de cette journée.
Avec le drame de Fourmies, le 1er mai s'enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens.
Quelques mois plus tard, à Bruxelles, l'Internationale socialiste renouvelle le caractère revendicatif et international du 1er mai. L'horizon paraît s'éclaircir après la première guerre mondiale. Le traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919 fixe dans son article 247«l'adoption de la journée de huit heures ou de la semaine de quarante-huit heures comme but à atteindre partout où elle n'a pas encore été obtenue».
Les manifestations rituelles du 1er mai ne se cantonnent plus dès lors à la revendication de la journée de 8 heures. Elles deviennent l'occasion de revendications plus diverses.
La Russie soviétique, sous l'autorité de Lénine, décide en 1920 de faire du 1er mai une journée chômée. Cette initiative est peu à peu imitée par d'autres pays (dont la France en... 1941).
Le 1er mai en France
En France, dès 1890, les manifestants du 1er mai ont pris l'habitude de défiler en portant à la boutonnière un triangle rouge. Celui-ci symbolise la division de la journée en trois parties égales : travail, sommeil, loisirs.
Le triangle est quelques années plus tard remplacé par la fleur d'églantine. En 1907, à Paris, le muguet, symbole du printemps en Île-de-France, remplace cette dernière. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban rouge (*).
Le 23 avril 1919, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.
Les manifestations du 1er mai 1936 prennent une résonance particulière car elles surviennent deux jours avant le deuxième tour des élections législatives qui vont consacrer la victoire du Front populaire et porter à la tête du gouvernement français le leader socialiste Léon Blum.
C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la Fête du Travail et de la Concorde sociale et devient chômé. Cette mesure est destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy. Son initiative revient à René Belin. Il s'agit d'un ancien dirigeant de l'aile socialiste de la CGT (Confédération Générale du Travail) qui est devenu secrétaire d'État au Travail dans le gouvernement du maréchal Pétain.
À cette occasion, la radio officielle ne manque pas de préciser que le 1er mai coïncide avec la fête du saint patron du Maréchal, Saint Philippe (aujourd'hui, ce dernier est fêté le 3 mai) !
En avril 1947, la mesure est reprise par le gouvernement issu de la Libération qui fait du 1er mai un jour férié et payé... mais pas pour autant une fête légale. Autrement dit, le 1er mai n'est toujours pas désigné officiellement comme Fête du Travail. Cette appellation n'est que coutumière.
Le Pèlerin
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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 07:36
la Sismicité en Algérie
1.   Historique
Historiquement, l’Algérie est connue pour etre une zone sismique très active. Les investigations de paléosismicité effectuées après le séisme d’El Asnam ont permis de révéler l’existence de traces d’anciens séismes (sismites) qui auraient affecté cette région.
Ces travaux ont montré l’existence de plusieurs séismes importants avec rupture en surface (Ms> 6,5) ayant affecté la région depuis au moins 600 ans environ. Ces données de paléosismicité permettant également d’estimer la récurrence des évènements sismiques qui auraient marqué cette région.
L’activité sismique en Algérie du Nord connue remonte (d’après le CRAAG) au 02 Janvier 1365, date à laquelle s’est produit le séisme à Alger. Depuis, de nombreux séismes se sont produits, parmi eux certains violents et meurtriers. Parmi ces séismes nous pouvons citer ceux qui ont touché Alger en 1716, Oran en 1790, Gouraya en 1891.
Dans une période plus récente, on peut citer les séismes d’Orleansville (09.09.1954), d’El Asnam (10.10.1980) de Constantine (27.10.1985), de Tipaza (29.10.1989), de Mascara (17.08.1994)), d’Alger (04.09.1996), de Ain Temouchent (22.12.1999, de Beni Ouartilane (10.11.2000) et de Boumerdes-Alger, 21.05. 2003).
2- Caractéristiques de la sismicité algérienne
 
Caractéristiques de la sismicité algérienne sur la base des informations fournies par la sismicité historique, par les études de sismotectonique, de sismologie, de paléosismologie, d’aléa sismique, le CRAAG posséde aujourd’hui des indications importantes sur l’activité sismique en Algérie du Nord.
Cette activité se concentre essentiellement dans la région Nord du pays, quoique de façon très épisodique, quelques micro secousses sont enregistrées dans la partie saharienne. Dans la région Nord, la région tellienne est la plus active.
Le zonage effectué indique que les régions d’El Asnam, Oran et Alger sont les régions les plus menacées puisque dans ces zones, les séismes les plus importants se sont produits. Cette sismicité est liée aux mouvements tectoniques complexes de convergence de la plaque africaine au Sud et de la plaque eurasienne au Nord.
La région de l’Est algérois, reconnue sismotectoniquement active depuis 1995 (travaux de Boudiaf, 1996 et 1998) a été sérieusement affectée le 21 mai 2003 par un tremblement de terre de Magnitude MI= 6,8 causant d’importants dégâtshumains et matériels. Les autres régions du pays sont caractérisées par une sismicité diffuse localisée dans les zones de nappes telliennes dans les régions des Babors, du Hodna et du Constantinois.
Une importante activité sismique se trouve localisée dans les zones côtières et en mer Méditerranée. Dans cette région de la Méditerranée occidentale concernée par le contact entre les plaques africaine et eurasienne : la tectonique de compression qui en découle génère de nombreusesfailles actives dont le rejeu provoque les séismes.
3 Zonage sismique
Le zonage sismique du territoire Algérien élaboré par le CRAAG, montre que la bande tellienne notamment dans sa frange littorale est soumise au degré d’aléa sismique le plus élevé
Il s’agit là de tendances lourdes, qui sans une politique volontariste d’aménagement du territoire ne peuvent que s’aggraver et aboutir aux ruptures indésirables, qu’implique ce scénario de l’inacceptable. Des politiques vigoureuses devraient donc être entreprises sans délai, pour espérer pouvoir réduire le phénomène de concentration des populations et des activités sur un territoire relativement vulnérable, et réguler la configuration générale au risque sismique du pays durant les vingt (20) prochaines années.
L’objectif prioritaire visé est le désengorgement de la bande littorale, pas seulement pour une meilleure maîtrise et organisation de l’urbanisation et la valorisation des régions Hauts
- Plateaux et Sud mais aussi pour mieux protéger les populations et le potentiel économique des aléas sismiques.
Cette opération de grande envergure pourrait trouver une opportunité de mise en œuvre de la nouvelle politique de reconquête du territoire.
Source :algerie-monde.com
 
Le Pèlerin
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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:53
Les contribuables invités à déclarer leurs revenus en ligne à partir du 2 mai

Le service sera accessible dès le début mai. Une réduction de 20 € est à nouveau accordée aux contribuables internautes.

Qui dit printemps dit aussi, et c'est moins drôle, déclaration des revenus auprès de l'Administration fiscale. A partir du 2 mai, le service de télé déclaration sera ouvert sur le site du ministère des Finances aux contribuables qui souhaitent effectuer cette procédure à distance (1). Si ceux qui optent pour la déclaration papier ont jusqu'au 31 mai pour la déposer, les télédéclarant, eux, bénéficient d'un délai supplémentaire, comme l'an dernier. Ils pourront envoyer leur télé déclaration jusqu'au 12 juin dans la zone A, jusqu'au 19 juin dans la zone C et les DOM et jusqu'au 26 juin dans la zone B et la Corse. Pas de changement non plus en ce qui concerne la réduction d'impôts : les contribuables qui se servent de la Toile se verront accorder une réduction de 20 euros. L'an dernier, ce sont près de 5,7 millions de Français qui ont choisi Internet pour déclarer leurs revenus auprès de l'Administration fiscale. Cette année, ce chiffre devrait être dépassé.
Opération « Un coup de fil, c'est déclaré »
Malgré cet engouement, l'Administration fiscale ne craint pas de bugs ou de saturation, comme en 2005. « Ces mauvais souvenirs sont derrière nous », assure-t-on à la Direction générale des impôts. En 2006, excepté un embouteillage provoqué par des retardataires de la déclaration papier le 30 mai (date limite d'envoi par La Poste des déclarations de revenus), le service en ligne n'a pas enregistré d'engorgements majeurs grâce au renforcement de sa plate-forme Internet. L'infrastructure peut désormais supporter jusqu'à 10 millions de déclarations en ligne et 25 000 peuvent être réalisées chaque heure, contre 6 500 en 2005.
Le ministère de l'Economie incite néanmoins les internautes à effectuer leur démarche en ligne le soir ou pendant le week-end, et à profiter des délais réservés à la télé déclaration. Afin d'éviter les heures de pointe, les internautes peuvent suivre l'affluence en temps réel sur le site des impôts pendant toute la campagne de déclaration.
En marge d'Internet, une expérimentation, baptisée « Un coup de fil, c'est déclaré », sera lancée dans les cinq départements normands. Les contribuables dont la déclaration pré remplie ne nécessite ni correction ni complément pourront accomplir leur démarche d'un simple appel à un numéro dédié.
(1) Pour pouvoir télé déclarer leurs revenus, les contribuables doivent s'inscrire sur le site du ministère, afin d'obtenir un certificat électronique. Ceux qui se sont abonnés en 2006 seront tranquilles pendant deux années encore. En cas de perte de son mot de passe, de changement d'ordinateur ou de reconfiguration du disque dur sans avoir fait de sauvegarde, il faudra résilier le certificat et recommencer toute la procédure.
Source 01net.fr
Le Pèlerin
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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:43

Et Quoi encore

 

 

Un homme entre dans son restaurant préféré, et s'assoit à sa table habituelle. Il lance un regard furtif aux alentours et découvre une femme magnifique installée à une table proche. Elle est seule.

 

            L'homme demande alors au serveur de déposer sur la table de cette femme une bouteille du Champagne le plus cher qu'il ait en réserve, pensant que si la femme accepte la bouteille, ce sera une bonne entrée en matière.

 

            Le serveur apporte la bouteille à la table de la femme :

 

            - C'est de la part de ce monsieur, dit-il en le désignant du menton.

 

            La femme regarde la bouteille avec froideur durant une seconde, puis décide d'écrire un petit mot à son admirateur, qu'elle confie au serveur.

 

            Sur ce petit mot, on peut lire :

 

            "Pour que j'accepte cette bouteille, il faudrait que vous ayez une Mercedes dans votre garage, un million d'euros à la banque et 20 cm dans votre pantalon."

 

            Après avoir lu le mot, l'homme sourit, puis se met à écrire sa réponse au dos de la missive :

 

            "Pour accéder à votre requête et dans le seul but de vous être agréable, je pourrais revendre ma Ferrari Modena 360 et ma BMW 850 pour qu'il ne me reste plus que la Mercedes 600 SEL dans mon garage. Je pourrais également dilapider au casino, ou offrir à la Croix Rouge , 119 millions d'euros sur les 120 que je possède pour n'en garder qu' 1 seul, mais ... même pour une femme aussi belle que vous, je ne me ferai jamais enlever 5 cm !!! P.S. Rends-moi la bouteille, conasse ! "

 

 

 

De la part d’une Correspondante

 

 

Le Pèlerin

 

 

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:41
Concert à Notre-Dame d’Afrique
Un organiste de renom
C’est dire que ce genre d’événement qui se tient à la cathédrale se bonifie avec le temps. On y vient d’ailleurs de partout et il n’est guère rare d’y rencontrer des habitants du quartier voisin, assis sur les bancs de la cathédrale.
L’on fait remarquer, d’ailleurs, que les gens, plutôt réfractaires, ont assisté aux répétitions de l’organiste et sont repartis tout contents. Les morceaux choisis par Daniel Matrone, natif de la ville d’ Annaba, qu’il quittera à l’âge de 14 ans, sont considérés par les organistes comme difficiles à jouer : on s’y casse volontiers les dents ou plutôt les mains. Matrone saura, lui, en rendre la quintessence, avoueront des mélomanes, venus nombreux assister au concert. Ces morceaux sont ceux composés par des musiciens d’Outre-Rhin. Leurs contemporains reconnaîtront en eux les précurseurs du genre baroque. La chaconne en fa mineur de Johann Pachelbel, compositeur connu de nos jours pour ces canons repris par les Village people, entamera ce programme riche. Suivra la toccata et fugue en ré mineur de Jean-Sébastien Bach. Celui-ci fut de ceux qui ont donné une impulsion considérable au genre baroque. Le mot bien senti d’un connaisseur attestera du rayonnement de celui dont le nom en allemand signifie ruisseau : « S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu. » Johann Ludwig Krebs, disciple préféré de Bach aura aussi sa part dans ce concert. Sa fugue en ré majeur sera joué avec entrain par un matrone des grands jours. Il jouera également des morceaux de son cru ; une cantilène et une toccata en hommage à cet autre organiste passionné de l’Algérie, Camille Saint-Saëns, et un troisième morceau en hommage à la ville qui l’a vu naître, Hippone, dont il visitera le cimetière dans les jours à venir. Le retour au pays natal ne s’est pas fait sans appréhension. La descente de l’avion a été pour l’organiste un moment d’intense joie, reconnaît-il. Il avouera avoir été au bord des larmes en jouant avec l’orgue, transféré dans la cathédrale en 1930 de la Villa Georges. Le public, auquel s’est joint l’ambassadeur de France, le directeur d’Air France ainsi que Djilali Mehri, restera suspendu aux doigts de l’organiste. Ils ne se feront pas violence pour l’applaudir à tout rompre à la fin du concert. « Ce public est l’un des meilleurs que je n’ai jamais connu », fera remarquer, en substance, Daniel Matrone. Lui-même organiste de talent, Pierre Mourlevat, chargé de mission économique à l’ambassade de France, ne tarira pas d’éloges sur son collègue dont il facilitera la venue en Algérie. L’événement a été une réussite, à entendre les mélomanes. Toujours sourcilleux, Saïd Khitman de la mission économique de l’ambassade et Lefebvre, recteur de la basilique, y sont pour beaucoup. Il est à noter, par ailleurs, que les accords devant entériner le début des travaux de restauration de la cathédrale ont été signés « finalement » mercredi dernier. « Devant être entamés en février dernier, ces travaux commenceront au plus tard le 10 juin », relève Monseigneur Teissier, archevêque d’Alger. Ainsi, la wilaya d’Alger, maître d’ouvrage délégué, apportera sa contribution à un montage financier auquel participent plusieurs donateurs, parmi lesquels la région Paca et l’homme d’affaires Djilali Mehri, mécène reconnu. Des ouvriers algériens seront formés aux techniques de la restauration des monuments.
Source El Watan
Le Pèlerin
 
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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:40
Tipasa sera dotée d’un centre de facilitation
Baliser le terrain de l’investissement
 
Un centre de facilitation relevant de la direction de la PME-PMI de la wilaya de Tipasa verra prochainement le jour. Etant le premier de la région centre du pays, la tâche de cette structure consiste en l’orientation, le suivi, l’accompagnement ainsi que la transmission d’informations aux futurs investisseurs et ceux qui ont déjà entamé la phase d’exploitation. L’infrastructure qui accueillera ce centre a été achevée et dotée de tous les équipements nécessaires à son lancement. Reste, selon des sources proches de la direction de la PME-PMI, la constitution d’une équipe qualifiée qui prendra en charge les différents services de cet organisme. Pour les investisseurs de Tipasa, notamment ceux qui ont bénéficié des formules ANSEJ et ANGEM, ils trouvent que l’ouverture de ce genre de structure serait d’un grand apport pour le développement de leurs affaires, car une bonne partie des problèmes rencontrés ont maille à partir avec le manque d’informations ou la méconnaissance de quelques procédures administratives en vigueur. Cela dit, "cette initiative aurait le mérite de baliser le terrain de l’investissement pour mieux appréhender les risques qui peuvent survenir dans la vie d’une entreprise", espère un entrepreneur dans le bâtiment
 
Source Horizons
 
Le Pèlerin
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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:36
La Dolma Calamar, une recette facile

Ingrédients: 

Pour 4 personnes
- 6 calmars
- 200 gr de merlan
- 1 biscotte
- 1 œuf dur
- 2 gros oignons
- 1 cuillère à soupe de persil haché
- 1 feuille de laurier
- 1 pincée de thym
- 4 cuillères à soupe de vinaigre blanc
- 2 cuillères à soupe de beurre
- 2 cuillères à soupe d’huile
- Poivre Sel
Préparation
 
Nettoyez les calmars. Séparez la calotte des tentacules. Lavez et égouttez le tout. Faites revenir pendant 5 mn les tentacules dans la moitié du beurre et de l’huile. Après les avoir égouttés, hachez-les et ajoutez-y un oignon émincé, la biscotte trempée et pressée, la chair de merlan, ainsi que l’œuf et le persil. Assaisonnez et malaxez. Farcissez les calottes des calmars avec cette préparation Laissez reposer après avoir cousu les calottes. Faites revenir pendant quelques minutes l’oignon émincé dans l’autre moitié d’huile et de beurre, en y ajoutant le sel et le poivre. Ajoutez 1/2 litre d’eau, le vinaigre, le thym et le laurier. Après ébullition, plongez les calottes farcies et laissez cuire sur un feu doux pendant 1 heure.
Source bahdja.com
 
Le Pèlerin
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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:22

Ghoul l’a affirmé
La 2e rocade d’Alger sera achevée en juillet 2008 

Lancement effectif des travaux le 15 mai. 

Le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul, a affirmé  jeudi  dernier à Blida que son département ministériel a pris toutes les mesures pour  que la deuxième rocade d’Alger soit "impérativement achevée au mois de juillet  2008".        M. Ghoul, qui s’est longuement informé sur la consistance du projet  de réalisation du tronçon qui traverse la wilaya de Blida sur une longueur de  8 km, a également indiqué que cette deuxième rocade sera accompagnée et meublée  par des aires de services et des aires annexes qui seront inscrites dans le  cadre d’un cahier de charges précis.   Ce dernier, dira-t-il, doit prendre en charge convenablement le volet  architectural des constructions de ces aires en même temps que toutes les  commodités  que peuvent donner ces aires de services.        
Le ministre des Travaux publics a également ajouté que son département  ministériel a pris la décision, à travers un texte réglementaire, de baliser  le couloir de la 2e rocade "pour que celui-ci ne devienne pas un couloir  urbain".        
La deuxième rocade d’Alger qui prend en charge, selon le ministre, non  seulement la capitale mais aussi les préoccupations d’une bonne partie des wilayas  de Tipasa, Blida, et Boumerdès, permettra le délestage de l’actuelle rocade  Ben Aknoun-Dar El-Beida pour faire basculer jusqu’à 65 % du trafic actuel sur  cette rocade vers la rocade d’Alger.       
 L’autre objectif, a-t-il souligné, est de désenclaver les régions des  wilayas précitées dans le but de créer une nouvelle dynamique et de nouveaux  espaces socioéconomiques importants qui peuvent meubler ces infrastructures  en harmonie avec le développement du pays et de créer une symbiose entre les  grands projets structurants et le maillage de projets secondaires. 

Source : El Moudjahid 

 

Le Pèlerin 
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