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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 23:22

Les Orgues en Algérie  

A tous les amateurs d’orgues en Algérie, je vous joins le lien de ce site dont l’ambition  est de mettre en ligne des informations techniques sur les orgues en Algérie, sur ceux qui ont été détruits ou déplacés, et sur ceux qui existent encore, restaurés ou qui mériteraient une restauration . 

http://orgue.algerie.free.fr:80/ 

Je vous en souhaite une bonne lecture 

Le Pèlerin

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:42
 La Passerelle du cimetière d’Hussein-Dey
 
Je vous avais crée un blog en décembre pour vous faire part de la re construction de la passerelle qui mène au cimetière…
La dernière fois je vous avais montré des photos de la passerelle alors inachevée
 
J’y suis retourné en avril…l a passerelle était terminée
Passerelle-Hussein-Dey-avril-2007--1-.jpg
Votre Serviteur sur la passerelle
Passerelle-Hussein-Dey-avril-2007--2-.jpg
Philippe également ( dessus et les deux dessous)
Passerelle-Hussein-Dey-avril-2007--3-.jpg
Passerelle-Hussein-Dey-avril-2007.jpg
J’y étais avec mon fils…J’en ai profité pour en prendre quelques photos
Je puis vous assurer que la passerelle est solide et que dans 200 ans, elle sera encore debout
 
Amicalement
 
Le Pèlerin
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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:36
Tipasa
Le RCD à la conquête de la partie ouest de la wilaya
 
Les candidats aux législatives du RCD à Tipasa ont été hier, dans le cadre de la campagne, les hôtes de trois localités de la partie ouest de cette wilaya. A savoir, Sidi Ghilès, Hadjret Ennous et Gouraya. "Ces sorties s’inscrivent en droite ligne avec notre planning électoral qui axe sa première partie sur le travail de proximité dans le but est de bien s’imprégner des problèmes ainsi que des attentes réelles de la population", explique le chef de bureau RCD à Tipasa. A propos du choix de cette partie occidentale, le même responsable déplore un déséquilibre énorme sur les plans social et économique par rapport aux autres localités de la wilaya. "A Beni Milleuk, Larhat ou Gouraya, les citoyens vivent tous, plus ou moins, le même calvaire. Cela dit, leurs revendications communes s’articulent essentiellement autour de la crise du logement, le chômage, le transport, notamment vers les zones enclavées et le manque d’infrastructures culturelles et sportives", explique le même responsable. Devant ces doléances formulées par des citoyens au cours de leurs différents périples, les candidats de la formation de Sadi proposent comme alternative toute une panoplie de solutions. "A Tipasa, le développement local repose sur trois secteurs essentiels : l’agriculture, la pêche, et le tourisme. Or, les problèmes que rencontrent les habitants de cette wilaya démontrent que beaucoup d’efforts, dans ces domaines, restent à accomplir. Ceci dit, nous envisageons, par le truchement de nos représentants élus, de promouvoir ces secteurs névralgiques pour la région, à travers des propositions concrètes qui contribueront à endiguer les déficits qu’accuse la région notamment sur le plan social", dira un autre responsable du RCD. La sortie des candidats de la liste RCD dans ces localités a permis aux citoyens, venus d’ailleurs nombreux, parler de leur désarroi en espérant que cette fois-ci les promesses récoltées ne soient pas vaines. "Nous espérons que ces élections permettront une amélioration de nos conditions de vie. Car, nous gardons toujours espoir de voir nos localités tirées de leur marasme qui n’a que trop duré", confie un jeune de Gouraya. Les prétendants RCD à la députation ont également expliqué aux citoyens les grands axes de leur programme national qui contient 100 propositions
 
Source Horizons
 
Le Pèlerin
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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:14

Rions ensemble- Souvenirs de jeunesse

Trois copines d'enfance se retrouvent après une longue
séparation, et parlent des hommes de leur vie :

"le mien ne conduit que des porshes et des lotus"
- "et moi, le mien, il fréquente des stars"
-- "et moi, le mien, il a une super queue : dix perroquets
 se perchent dessus, à l'aise"


La soirée avance, elles se détendent et avouent
avoir un peu exagéré.

"excusez-moi, j'ai un peu frimé. En fait, mon mec
 est chauffeur pour un concessionnaire de voitures de luxe"
- "j'en ai rajouté aussi, désolée. En fait mon mari est
 portier d'un grand hôtel"
-- "j'ai exagéré aussi, excusez moi... en fait le dixième
perroquet ne peut poser qu'une seule patte"

Le Pèlerin

 

 

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:12

 

Bicentenaire de la naissance de l’Emir Abd-el-kader (3/6)

 

Le Centre de presse a reçu, jeudi dernier, le président de la Fondation Emir Abdelkader, M. Mohamed Boutaleb, et les membres du conseil scientifique de la Fondation. La tenue de la rencontre a été axée sur la commémoration du 200e anniversaire de la naissance du grand homme d’Etat que fut

 

Suite…..

 

Le traité de la Tafna

 

Abd-el-Kader ne tarda pas à se faire de nouveaux partisans et à rappeler à lui les tribus qui l'avaient abandonné. Ayant appris le peu de succès de la première expédition de Constantine menée par les français, il crut le moment propice pour commencer les hostilités dans la province d'Oran ; il sut bientôt que le général Bugeaud devait marcher contre lui ; mais ce général, éprouvant quelques difficultés dans les moyens de transport, et voulant restreindre les hostilités à la province de Constantine, qui allait être le théâtre d'une seconde expédition, fit en 1837, avec l'émir, le traité de Tafna, qui sera par la suite source de malentendus.

 

 

Les critiques experts dirent que cette convention rendait l'émir maître de l'ancienne régence d'Alger, moins la province de Constantine ; que dans chacun des articles on le traite d'égal à égal, et on reconnaît sa souveraineté indépendante ; que la convention n'a aucune garantie, puisqu'elle repose uniquement sur le caractère moral et religieux d'Abd-el-Kader, etc., etc.

 

 

Après l'échange du traité, le général Bugeaud fit proposer une entrevue à l'émir pour le lendemain. Le rendez-vous était à neuf heures du matin, à trois lieues des bords de la Tafna. Le général y fut à neuf heures, accompagné de six bataillons d'infanterie, de dix escadrons de cavalerie et de quelques pièces de campagne. L'émir n'y vint pas à l'heure convenue. Vers deux heures, des cavaliers arabes annoncèrent qu'il avait été malade et marchait lentement que si le général s'impatientait, il pouvait pousser en avant. Les français marchèrent sans défiance plus d'une heure dans le détour d'une gorge étroite, entrecoupée de collines. Enfin le général aperçut l'armée arabe, rangée en bon ordre sur des mamelons épars. La maladie de l'émir était feinte, et le général français avait l'air d'être venu pour lui rendre hommage. Les officiers de l'escorte eurent quelques moments d'hésitation, se croyant dans un guet-apens; Bou-Amedy, chef de la tribu des Oulanahs, qui marchait au milieu d'eux, s'en aperçut et dit au général Bugeaud : " Sois tranquille, n'aie pas peur. — Je n'ai peur de rien, répondit le général, je suis accoutumé à vous voir en face. Seulement je trouve indécent que ton chef m'ait fait venir de si loin et m'ait fait attendre si longtemps. » L'émir était entouré de 150 à 200 chefs, revêtus de riches costumes et montés sur de magnifiques coursiers. Abd-el-Kader les précédait de quelques pas, guidant un beau cheval noir, merveilleusement dressé ; tantôt il l'enlevait des quatre pieds à la fois, tantôt il le faisait marcher sur les deux pieds dé derrière. Dès qu'il fut à portée de la voix, le général Bugeaud lance son cheval au galop, et arrive sur l'émir en lui tendant cavalièrement la main; celui-ci la presse fortement et lui demande des nouvelles de sa santé.

 

 

« Très-bonne, et la tienne ? » répondit le général, qui met pied à terre et engage Abd-el-Kader à en faire autant. Après quelques minutes d'un entretien insignifiant : « As-tu ordonné, dit-il, de rétablir les relations commerciales à Alger et autour de toutes nos villes ?

 

 

Non, je le ferai dès que tu m'auras rendu Tlemcen.

 

 

Je ne puis le faire qu'avec l'approbation de mon roi.

 

 

Combien faut-il de temps pour avoir cette approbation ?

 

 

Il faut trois semaines.

 

 

C'est trop long, interrompit Ben-Arrach, lieutenant de l'émir, qui s'était approché : dix à quinze jours suffisent.

 

 

Est-ce que tu commandes à la mer ? répliqua Bugeaud.

 

 

Nous attendrons jusqu'à ce jour, dit l'émir.

 

 

Tu ne fais tort qu'aux tiens, répliqua Bugeaud, en les privant du commerce dont ils ont besoin. Quant à nous, nous pouvons nous en passer, puisque nous recevons par la mer tout ce qui nous est nécessaire. »

 

 

Ainsi se termina cette entrevue qui fut sans résultat, car elle avait été sans but.

 

 

Par cette convention, la France reconnaissait son autorité sur l'ensemble du beilik de l'Ouest (sauf Oran, Arzew, Mostaganem et Mazagran), sur le beilik du Titteri et sur la province d'Alger (à l'exception d'Alger, de Blida ainsi que de la plaine de la Mitidja et du Sahel algérois). Dans ces territoires, les deux tiers de l'Algérie, Abd El-Kader s'efforce d'organiser un État indépendant et souverain, sur une base religieuse, embryon de l'état algérien moderne

 

 

Reprise de la guerre avec les Français

 

 

 

 

L'expédition des « Portes de fer », en pays kabyle

 

 

Le 5 mai 1839, il demanda et obtint l'appui de l'empereur du Maroc, ainsi que la concession du territoire situé entre Ouchda et la Tafna.

 

 

Il voulut annexer le Constantinois en y nommant un « khalifa ». En réaction, la France organisa l'expédition des « Portes de Fer » en octobre 1839, expédition qui fut considérée comme une violation du Traité de la Tafna. À partir de ce moment, la guerre reprit avec violence. Au mois d'octobre, dans l'ouest de la Mitidja il prend en embuscade le commandant Raffet et une centaines de soldats français; ces derniers marchent contre lui et reprennent Cherchell, Mildah, Milianah, etc.

 

 

Le Pèlerin ( à suivre) 

 

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:08
Saïd Sadi au premier jour de la campagne électorale :

La fraude a déjà commencé, j’en ai la preuve


Plusieurs consulats ont reçu des consignes, selon M. Sadi, pour favoriser les partis de l’alliance présidentielle en mettant à leur disposition tous les moyens dont ils ont besoin lors de la campagne électorale. Dès sa première sortie électorale, le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) annonce la couleur en déclarant une guerre sans merci à toute tentative de fraude.
A défaut d’empêcher une telle pratique, le parti se jure de dénoncer toute pratique de ce genre. Ainsi, dès le début de la conférence de presse qu’il a animée jeudi au siège de son parti à Alger, M. Sadi Saïd a affirmé détenir des preuves que la fraude a déjà commencé à l’étranger.
Il dit même avoir des preuves concrètes à ce sujet. Ainsi, explique M. Sadi, les consuls algériens et les ambassadeurs ont reçu des instructions pour «favoriser les partis de l’alliance présidentielle». Selon lui, des candidats de ces partis dans certains pays et même dans la capitale ont déposé des dossiers de candidature incomplets, mais qui ont été acceptés, en leur accordant un échéancier pour les compléter, malgré l’expiration des délais impartis par la loi.
Hormis ces exemples, le premier responsable du RCD ne donne pas davantage de détails sur les «preuves» ou encore les «instructions» qu’il évoque. Une chose est toutefois sûre, selon lui : «Tous les instruments sont mis en marche pour servir les partis de l’alliance présidentielle.» Le RCD ne demande pourtant pas l’impossible, dit-t-il, et réclame juste que «les voix qui lui sont accordées à travers l’urne lui soient maintenues».
Pour réduire les pratiques de fraude, M. Sadi sollicite l’aide des citoyens en leur demandant de participer massivement à ces élections pour «contrecarrer toute tentative de fraude». «Afin de s’opposer à toute tentative de fraude le jour du vote, il est important que le taux de participation soit conséquent et que les citoyens soient à nos côtés pendant la surveillance des urnes», affirme-t-il.
 
Source El Watan
Le Pèlerin
 
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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:03

  Tipasa
Séminaire régional sur le tri collectif des déchets ménagers

L’Inspection régionale de l’environnement en étroite collaboration avec la Direction de l’environnement de la wilaya de Tipasa ont organisé au centre de l’Anaj, durant la journée du 25 avril 2007, une rencontre au profit de 12 wilayas du centre, à savoir : Alger, Blida, Tipasa-Médéa, Boumerdes, Tizi-Ouzou, Bouira, Tissemsilt, M’sila, Aïn-Defla, Chlef et Djelfa ainsi que le mouvement associatif et les étudiants. Ce séminaire entre dans le cadre de la politique environnementale prônée par le ministère de l’Environnement pour mettre en place un ensemble d’objectifs visant la vulgarisation de la protection de l’environnement ainsi que la mise en œuvre d’une politique qui consiste à la prise en charge des déchets à l’effet d’un recyclage.


Le but de cette journée d’étude porte essentiellement sur le tri à la source, la collecte sélective et le recyclage des déchets ménagers et assimilés et d’informer et sensibiliser les habitants de Tipasa aux enjeux du tri sélectif des déchets ménagers dans le but de susciter le débat et de conduire à un changement des comportements. Il s’agit donc à terme de faire adopter puis intérioriser par le citoyen le comportement du tri sélectif des déchets ménagers à la source, ce qui est en soi tout un programme.
Cependant, ayant conscience que dans ce type d’opération ne se mesure pas sur le court terme car il s’agit en premier lieu de mobiliser le plus grand nombre d’acteurs de terrain afin de renforcer la dynamique du réseau ensuite de montrer de la manière la plus évidente la corrélation entre le tri sélectif des déchets et la protection de l’environnement et enfin informer et sensibiliser la population avec des cibles précises quant au tri sélectif des déchets ménagers et assimilés.
Le second volet de ce séminaire s’articule autour de la pédagogie et l’enfant car pour la première fois en Algérie un programme ludique et éducatif est proposé aux apprenants des 1er et 2e paliers de l’enseignement pour les sensibiliser à l’importance d’une gestion saine et rationnelle des déchets ménagers. A cet égard, l’intérêt accordé aux enfants est double : ils peuvent en tant que tels jouer un grand rôle de prescription auprès de leurs parents. Ils seront un relais efficace des autres campagnes de sensibilisation et d’information destinées aux adultes.
Ils sont aussi importants en ce sens qu’ils constituent la génération future. Or, en la matière les expériences européennes l’ont aisément démontré par une éducation de l’environnement qui débute à un âge précoce. L’investissement à travers l’enfant constitue une garantie que les générations futures intégreront facilement l’environnement comme une donnée importante dans leur comportement quotidien, en ce sens qu’ils deviennent une cible prioritaire.
Toute action pédagogique est liée intrinsèquement à la psychologie de l’enfant et à ses modes de représentations imaginaires, ainsi que la stratégie à adopter pour la réussite d’un tel projet par la construction d’un ensemble de supports de communication à destination des élèves sous une forme ludique attrayante et bien sûr faire de la mascotte "Dounia" un personnage central.
Durant son intervention le Dr Hamana, inspecteur régional de l’environnement, a souligné la nécessité du rôle du citoyen à la protection de notre environnement : "Le changement global et durable de notre environnement ne peut se faire sans l’apport de la population et des décideurs." Sur le chapitre de la responsabilité de la salubrité publique, l’inspecteur de l’environnement a mis en avant "le rôle des élus locaux qui doivent prendre en charge le volet environnemental par le strict respect des lois qui visent à assurer aux citoyens un cadre de vie plus propre en procédant régulièrement à l’assainissement des ordures ménagères dont ils ont la charge".
M. Hamana a exhorté l’assistance à relancer le travail de proximité compte tenu que la gestion des déchets s’avère être un lourd fardeau tant qu’il n’y aura pas une gestion intégrée. Il a en outre mis en évidence le danger de ces jeunes qui récupèrent les déchets au niveau des décharges publiques sans aucune protection (gants, masques), vu les nombreux dangers qui les guettent mettant ainsi leur santé en péril. Les autorités locales et la santé doivent selon lui assister ces jeunes en leur prodiguant des conseils sur les risques qu’ils encourent.

Source la Nouvelle République

Le Pèlerin

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 23:03
Il Avait obtenu deux sièges Sur quatre En 1997
 
Le RCD en quête des suffrages de l'immigration
 
Engagé «avec succès» - selon ses termes - en 1997, forfait en 2002, le RCD renoue avec la joute législative de l'autre côté de la Méditerranée. Enjeu de cette élection prévue du 12 au 17 mai : quatre sièges à pourvoir dans l'hémicycle du bd Zirout Youcef au profit des Algériens de France.

En campagne officielle depuis jeudi, deux listes bariolées aux couleurs du RCD se sont lancées - chacune de son côté - dans un mini-tour de France électoral. Avec l'ambition de «disputer» les quatre sièges, un pari jugé impossible au regard des contraintes du mode proportionnel.

En 1997, premier scrutin législatif organisé en France, le parti de Saïd Sadi avait glané deux sièges contre un pour le RND et un pour le FLN. Il avait boudé la consultation suivante - mai 2002 - sous les effets des événements sanglants de Kabylie.

Avec quatre sièges sur les huit attribués aux nationaux établis à l'étranger, les Algériens de France se taillent la plus grosse part. Un quota défini par le législateur au regard de la taille d'une immigration qui représente à plus de 90 % la «diaspora» algérienne implantée hors du pays.

L'ordonnance du 25 février 2002 relative au découpage électoral et au nombre de sièges à pourvoir à l'APN a configuré la France en deux circonscriptions. La première, dite «Zone 1» ou «France nord», comprend les départements couverts par les consulats généraux de Paris, Lille et Strasbourg et les consulats de Bobigny, Nanterre, Pontoise, Vitry-sur-Seine et Metz.

La «Zone 2» ou «France sud» concerne les électeurs algériens administrés par les consulats généraux de Marseille et Lyon et les consulats de Besançon, de Grenoble, Nice, Saint-Étienne, Nantes, Montpellier, Toulouse et Bordeaux. Autant de villes connues pour être des lieux marquants des flux migratoires algériens en France.

A l'appui de son challenge dans la «Zone 1», le RCD a choisi de miser sur deux noms connus de sa famille politique. Membre de la direction nationale et médecin de vocation, le Dr Rafik Hassani ouvre la liste aux côtés de Hachemi Souami, membre du Conseil national et longtemps journaliste à la télévision et à la radio nationale. Ce dernier a déjà siégé à Zirout Youcef entre les printemps 1997 et 2002 au titre de député de l'immigration.

Pour la «France sud», le RCD a confié le challenge législatif à Saïd Saï, un concessionnaire «auto» de Marseille, et Abderrahmane Maameri, un salarié de l'aérien à Lyon. Au-delà de l'Hexagone, le Dr Moumen Abib, un spécialiste dans la médecine nucléaire, conduit, à partir de Bruxelles, la liste du parti pour le reste de l'Europe.

Selon un exercice désormais classique, le RCD-Immigration mènera sa «réclame électorale» en axant sur deux démarches : la campagne de proximité dans les quartiers à forte implantation algérienne et le tour des radios communautaires (France Maghreb, Beur FM, Radio Soleil, Radio Gazelle, Radio Salam, etc...).

Singularité d'un scrutin organisé en terre étrangère, les législatives comme les trois dernières présidentielles (1995, 1999 et 2004) et les trois derniers référendums (1996, 1999 et 2005) sont soumis à des contraintes réglementaires.

Légalement, l'affichage électoral - portraits et programmes des candidats- ne peut se décliner que dans les halls des 18 missions consulaires algériennes et au travers des spots électoraux de Canal Algérie. Dans les faits, les choses se passent différemment. Les candidats se sont toujours affichés sur les murs de Barbès, Ménilmontant, Belleville, Saint-Denis, Aubervilliers, Lille, Marseille, Lyon.

Interdit par la réglementation municipale relative à l'affichage, le collage de portraits a, le plus souvent, été toléré par les autorités françaises. Aussi, habitué à l'agitation militante en France, le RCD a-t-il bien l'intention d'investir quelques façades.

A Paris intra-muros, dans les banlieues d'Ile de France et en province. Sans compter la distribution des prospectus électoraux dans les marchés électoraux.

De passage, l'autre semaine, à Paris, Saïd Sadi en a profité pour donner, par anticipation, le coup de starter de la campagne en France. Une campagne dont la thématique devrait être centrée sur les «propositions concrètes» du RCD en faveur de l'immigration.

Alors que la joute électorale ne fait que commencer, le RCD cherche à se poser comme le précurseur des «quelques avancées» en faveur des Algériens de l'étranger. «Nous sommes les premiers à avoir demandé des sièges pour l'immigration à l'APN, dit Rafik Hassani. Nous sommes également les premiers à avoir plaidé la mise en place d'une structure gouvernementale dédiée à la communauté».

Source l’Expression
 
Le Pèlerin
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28 avril 2007 6 28 /04 /avril /2007 23:51
 
La représentation de la France à l’Eurovision
Rire ou pleurer
 
Le 12 mai, à Helsinki, la France sera représentée à L'Eurovision par les rigolos Fatals Picards, élus aux dépens des déconneurs Wampas. Leur chanson, L'Amour à la Française, potacherie en franglais et pâle revisitation du It Is Not Because You Are de Renaud (oublions le For Me Formidable d'Aznavour), mise donc sur le clin d'œil, le second degré. C'est dire si ces sacrés Français ont toujours une rame de retard. Parce que le coup de la bonne blague tournant en dérision la mièvrerie ambiante, Lordi, le victorieux orchestre hard gore finlandais, l'a déjà fait. Peu probable que ça marche deux fois de suite, Marie Myriam peut dormir en paix. Ça fait trente ans que la France n'a pas gagné l'épreuve. Ce qui, en soi, nous est bien égal. Là où on tique, c'est en découvrant la qualification automatique, chaque année, du « Big 4 », autrement dit de l'Espagne, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et de la France. Qu'importe si l'Irlande, au hasard, détient le record de victoires. À écouter les commentaires des Fogiel, Montiel ou Drucker, on se doutait qu'il existait des pays secondaires. On apprend que c'est dans le règlement. Elle est belle l'Europe de la chanson.
 
Source Télérama
 
Le Pèlerin
 
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28 avril 2007 6 28 /04 /avril /2007 23:43
Sauté d'agneau aux graines à roussir
proposée par : C Certain
 
ingrédients : 4 tranches de gigot, ou des petites tranches d'1cm d'épaisseur coupées dans l'épaule ou le gigot, 1 C.A.S. de graines à roussir (si vous n'en trouvez pas il s'agit d'un mélange à parts égales de graines de cumin, moutarde et fenugrec broyé) 2 oignons, poivre
Hachez les oignons, mélangez dans un plat la viande, les graines, l'oignon et poivrez généreusement. Laissez mariner pendant au moins 2 heures.
Faites sauter à la poêle à grand feu la viande avec les oignons dans un peu d'huile pendant quelques minutes, en remuant souvent. Quand tout est bien doré, salez, servez bien chaud.
 
Accompagnez de riz blanc, de semoule ou de boulghour, ainsi que de différents condiments : salade de tomate ou de chou, raita à la menthe (voir recette) piments grillés ou en saumure, tadziki (voir recette), harissa, quelques olives... Si vous disposez d'un barbecue, vous pouvez bien évidemment embrocher ces morceaux sur des brochettes et les faire griller rapidement, ce sera encore meilleur !
 
 
Le Pèlerin
 
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