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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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27 avril 2007 5 27 /04 /avril /2007 23:01

Bicentenaire de la naissance de l’Emir Abd-el-kader (1/6) 

Le Centre de presse a reçu, jeudi dernier, le président de la Fondation Emir Abdelkader, M. Mohamed Boutaleb, et les membres du conseil scientifique de la Fondation. La tenue de la rencontre a été axée sur la commémoration du 200e anniversaire de la naissance du grand homme d’Etat que fut

 

L'émir Abd El-Kader est né en 1808 près de Mascara en Algérie - décédé le 24 mai 1883 à Damas Syrie, est un écrivain, poète, philosophe, résistant militaire et homme politique, fondateur de l'État algérien. Il se trouve aussi être un ami Napoléon III

 

Son père, Sidi Mahieddine, était un cheikh de l'ordre soufi Qadiri, sa mère, Zora, une femme savante de toute la contrée. Il naquit à La Zaayah, une école religieuse de la Guyathnali (les Tentes), à quatre lieues de Mascara, à gauche de la route qui va d'Oran à cette ville. La date la plus probable de sa naissance est le 6 mai 1807.

 

Éducation musulmane

 

Il eut une éducation religieuse musulmane. Abd-el-Kader était à peine âgé de huit ans que son père l'emmena avec lui dans un voyage qu'il fit à la Mecque. À leur retour, Ahmed-Bilhar, homme lettré et frère de Mahieddine, prit chez lui le jeune pèlerin et se chargea de son éducation, qui consista dans l'étude du Coran, les principes des sciences physiques et morales de la politique, de la géométrie et de l'astronomie, la gymnastique, l'exercice du cheval et le maniement des armes.

 

 

 

 

Voyages

 

Mahieddine fit une seconde fois le voyage de la Mecque avec son fils. C'était en 1820, le capitaine Jovas, commandant le Castor, brick du commerce français, prit à son bord le père et le fils, avec un certain nombre d'aspirants au titre de hadj, et les transporta à Alexandrie. Mahieddine et son fils, après avoir visité la Mecque et Médine, allèrent faire leurs dévotions à Bagdad, au tombeau du célèbre marabout Sidi Abd-el-Kader-el-Djelani, qui a des chapelles (koubbah) par toute l'Algérie et notamment à Alger. Ils recueillirent précieusement tout ce qui pouvait intéresser les populations du désert, et à leur retour ils racontèrent de vieilles légendes, d'anciennes prophéties, qui annonçaient qu'Abd-el-Kader deviendrait un jour le sultan des Arabes.

 

 

 

 

Pendant son séjour en Égypte, Abd-el-Kader avait été frappé des changements que Méhémet-Ali venait de faire subir à son armée et des améliorations apportées dans l'administration de ses états; il se sentit un immense désir de le prendre pour modèle, et son père l'encouragea dans ses idées.

 

 

 

 

Réfugiés tous deux dans leurs tentes, ils passaient leurs journées en prières. La vénération qu'ils s'étaient acquise avait tellement grandi, que les Arabes arrivaient en foule au Douar des Hachem, apportant comme offrandes du grain, du bétail, des chevaux, de l'or, de l'argent et des armes. C'est de cette époque que datent les nombreuses richesses d'Abd-el-Kader et sa haute influence sur toute la contrée.

 

 

 

 

Hassan-Bey, voulant mettre enfin un terme à ces menées révolutionnaires, prononça la peine de mort contre le père d'Abd-el-Kader ; mais il était trop tard.

 

 

 

 

L'arrivée des Français

 

La prise d'Alger par les Français venait de porter un coup terrible à l'empire des deys et à la domination turque. Le vieux marabout déchira le voile qu'il n'avait fait qu'entrouvrir et se mit à prêcher la guerre sainte. Des milliers d'Arabes accoururent et se rangèrent sous ses ordres ; on vit bientôt le puissant gouverneur d'Oran, Hassan, réduit à demander asile à celui dont il avait mis la tête à prix. Le marabout allait lui offrir l'hospitalité et ses services mais Abd-el-Kader s'y opposa énergiquement, et le bey d'Oran dût se rendre quelques jours après aux troupes françaises.

 

 

 

 

Mahieddine, choisi comme chef de l'insurrection arabe, marcha avec ses troupes contre la garnison turque de Mascara, et la massacra sans pitié ; plus tard il combattit les Français sous les murs d'Oran, et y déploya un grand courage. Le jeune Abd-el-Kader s'y distingua particulièrement ; il semblait être à l'abri des balles et des boulets; il eut deux chevaux tués sous lui. Le burnous blanc qu'il y portait, et qui y fut rougi du sang des siens, a été conservé comme une relique.

 

 

 

 

Depuis la prise d'Alger, le parti arabe semblait avoir recouvré sa liberté, mais il était pour ainsi dire sans chef : Mahieddine, tout influent qu'il était, n'était pas souverain. Quelques tribus ne lui obéissaient pas. D'un autre côté les Arabes voyaient avec inquiétude la conquête française s'étendre. La soumission d'Ibrahim, bey de Mostaganem, acheva de les décourager ; il y eut une assemblée générale des chefs de tribus pour procéder à l'élection du sultan des Arabes. Le rendez-vous eut lieu dans la plaine de Ghris, dans un lieu nommé Ersebia. Il fut question de nommer Mahieddine ; mais celui-ci leur dit que le marabout Sidi-el-Arrach était plus digne que lui d'un si grand honneur. Le conseil se retira pour se réunir le lendemain. Ce jour-là, on vit arriver Sidi-el-Arrach : Frères, dit-il, en élevant les mains vers le Ciel, cette nuit, le célèbre marabout Mahi Abd-el-Kader m'est apparu au milieu de sa gloire, et m'a dit : « Sidi-el-Arrach, retiens bien ces paroles d'où dépend le salut de notre race. Je ne connais qu'un seul homme qui, par ses vertus, son courage et son intelligence-, soit digne de commander aux Arabes : c'est Abd-el-Kader, troisième fils de Mahieddine. Je t'ordonne donc de répéter demain au conseil ce que tu viens d'entendre. Allah et son prophète s'intéressent à la cause de ses enfants et veulent qu'elle triomphe. »…Mahieddine intervint alors et ajouta : « J'ai entendu les mêmes paroles que Sidi-el-Arrach, et j'ai reçu les mêmes ordres, mais je mourrai dans l'année qui suivra l'avènement de mon fils. Telle est la prophétie de mon aïeul. » 

 

Sources Internet diverses ( à suivre) 
Le Pèlerin ( à suivre)
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:53
Ce week-end, visitez les dessous des serres municipales
 
Le printemps est là ! C’est le moment pour les jardiniers de la ville de montrer le patrimoine fleuri municipal. Les 28 et 29 avril, les serres municipales situées au 19 boulevard de la Marne ouvrent grand leurs portes au public. De 9h à 18h, les visiteurs pourront aller et venir dans les allées des serres pour découvrir toutes les fleurs qui iront fleurir la ville, les collections d’espèces rares ou encore le Conservatoire national de la violette.
Les jardiniers de Toulouse seront sur les lieux pour répondre aux questions et prodiguer des conseils éclairés sur les plantes, les fleurs, la taille, l’entretien… Les professionnels de la nature expliqueront aux visiteurs la protection biologique intégrée pratiquée dans les jardins de la ville ainsi que des techniques de compostage et la culture biologique accessible à tous. Et pour sensibiliser tous les amoureux du jardinage au respect de l’environnement, cette année, chaque participant recevra à l’issue de la visite un guide du jardinage écologique ainsi qu’un sac de compost.
Les enfants ne seront pas en reste. Ils pourront décorer des petits pots en terre dans lesquels ils rempoteront un oeillet d’Inde pour l’emmener ensuite chez eux et voir grandir la fleur qu’ils auront plantée.

Lisez l'article complet sur toulouse.fr :


Source Jeudimaire
 
Le Pèlerin
http://www.toulouse.fr/-2182.html
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:37

Rions ensemble 

Tchou Tchou

 

Au moment où le train démarre, un homme se penche à la fenêtre et salue un copain resté sur le quai en criant :


- Salut, Georges! Et merci pour ce superbe week-end. Ta femme est vraiment une sacré baiseuse!

- Excusez-moi, lui demande un passager, j’ai du mal à y croire. Vous avez réellement dit à cet homme que sa femme était une sacrée baiseuse? 
 


- Oui, j’ai dit ça, mais en fait, ce n’est pas vrai du tout. C’était juste pour ne pas lui faire de peine. 

 

De  la part d’une Correspondante 

Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:34
Les Don Quichotte ont jusqu'au 2 mai pour quitter leur campement dans le centre de Toulouse, avant l'intervention de la force publique. Des solutions sont en cours.
 
Le  2 mai. C'est la date à laquelle les enfants de Don Quichotte devront quitter leur campement dans le centre-ville de Toulouse, ont indiqué mardi 24 avril, à l'issue d'une réunion les sans-domicile, la préfecture et la mairie. Ces derniers bénéficieront d'un logement: nuits d'hôtels, "habitations modulaires" (des préfabriqués aménagés en dortoir) près d'un restaurant social et locaux d'associations humanitaires.
"Si cette (...) proposition est rejetée par les intéressés et que le campement n'est pas levé à compter du 2 mai 2007, le maire de Toulouse saisira en référé le tribunal de grande instance afin de demander la libération du domaine public", ont prévenu la préfecture et la mairie.

Concours de la force publique


"Si l'autorité judiciaire se prononce en ce sens, le concours de la force publique sera accordé et mis en œuvre sans délai, dans le cas où les intéressés n'auraient pas alors quitté volontairement les lieux", poursuit le communiqué.
Les Don Quichotte attendent de visiter mardi après-midi les préfabriqués, pouvant accueillir une quinzaine de personnes, avant de prendre une décision.
34 situations individuelles ont été réglées et 17 "sont en cours d'orientation", ont précisé les autorités. Les Don Quichotte soulignent que le cas de huit personnes n'a pas encore été résolu.
Les Don Quichotte s'étaient installés près du monument aux morts depuis le 2 janvier.
 
Source le Nouvel Observateur
 
Le Pèlerin 
 
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:33

la Station de sports d’hiver de Tikjda   

 

Un stade olympique au sommet du Djurdjura 

Le spectacle est frappant en arrivant sur le site d’Aswel, à 1700 m d’altitude et que l’on découvre le revêtement en tartan d’une piste d’athlétisme de 400 m, cernée par les pics rocheux du Djurdjura.

Il reste donc suffisamment d’ambition en Algérie pour mettre en chantier un projet de cette nature. Ici, c’est l’homme face à la nature, et l’ambition contre la résignation. En parlant du Djurdjura, Mouloud Feraoun écrivait : « Les villages minuscules qui se terrent à son pied ont l’air d’une multitude apeurée qui se prosterne devant un Dieu sévère. » Il faut vaincre une peur insondable pour engager un chantier au sommet de ces immensités rocheuses. Le Comité olympique algérien est sans doute venu à la recherche de son mont Olympe sur les cimes du Djurdjura. La légende raconte déjà que le ministre a été héliporté le jour de l’inauguration, le 14 juillet dernier. La plaque inaugurale, seule construction en béton autorisée par le Parc national du Djurdjura, porte l’inscription : Centre sportif olympique du Djurdjura. En septembre prochain, ce seront des représentants du Comité international olympique qui arriveront pour homologuer le stade et la piste d’athlétisme. La réalisation a coûté 3 milliards de centimes, alors que cela coûte le double pour réaliser un stade dans un cadre habituel, comme nous le dira le directeur du centre olympique de Tikjda. Le rabais de 50% a été obtenu par voie de sponsoring, a-t-il indiqué, ajoutant que le CIO et la Fédération internationale d’athlétisme ont participé au montage financier, aux côtés des sponsors algériens. Un milliard et demi a été également consacré à la rénovation du centre d’hébergement laissé à l’abandon jusqu’à 2004, sous la tutelle du MJS. Le site d’Aswel comprend un stade (gazon naturel prévu fin août), une piste réglementaire de 400 m, trois sautoirs (longueur, hauteur, triple saut), deux aires de lancers (javelot, marteau et poids) ainsi que deux chalets (une salle de musculation et un vestiaire). Le recours aux chalets est rendu obligatoire en raison de l’interdiction du béton par l’administration du Parc national du Djurdjura. La surface totale du site d’Aswel est de 4,5 ha. Les équipements pour les sautoirs ne sont pas installés mais devront l’être avant la venue de la délégation du Comité international olympique. Le centre d’hébergement sportif de Tikjda, situé 7 km en contrebas du stade et à 1400 m d’altitude, a été ouvert le 6 juillet dernier après plus de neuf mois de travaux de rénovation. Patrimoine de la jeunesse et des sports, il était laissé à l’abandon pendant les années d’insécurité avant d’être transféré au Comité olympique en 2004. Donné en « gérance » pour cinq ans, le transfert est devenu définitif depuis la dernière visite ministérielle, selon les indications recueillies sur place. La structure s’appelle désormais « Centre de préparation des équipes nationales en altitude ». Le centre d’hébergement de 260 lits est doté de deux salles de musculation, trois saunas et un étage médical. L’équipe nationale d’athlétisme est la deuxième délégation à séjourner au centre de Tikjda, en préparation des championnats arabe et du monde. Lors de notre passage au centre dans l’après-midi de jeudi dernier, les athlètes étaient pris par une activité particulière : la sieste. L’arrivée du comité olympique sur les monts du Djurdjura a soulevé beaucoup de crainte, parfois des levées de boucliers. Pourquoi cette crispation ? Le directeur du centre de préparation dira à ce propos que l’ouverture du site de Tikjda « n’arrange pas ceux qui reçoivent les enveloppes en devises pour des stages d’entraînement à l’étranger ». Pourquoi aller au Mexique, en Italie ou au Maroc si l’Algérie dispose d’un site de préparation en altitude, fait remarquer notre interlocuteur, soulignant qu’à l’avenir, ce seront des bons de commande qui seront adressés au centre de préparation en Algérie, au lieu et place des enveloppes qui étaient directement remises aux groupes sportifs. L’infrastructure nationale sera au contraire source de revenus en devises, en recevant des équipes étrangères. Avec le temps -qui n’est pas compté en ces lieux-, les tensions vont s’apaiser. Alors, le Djurdjura ne sera pas connu uniquement pour la grotte du Macchabée, il sera aussi réputé pour son stade olympique 

 

 

 

Source El Watan  

 

Le Pèlerin
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:29
Tipasa
Des femmes trônent sur quatre listes
 
Des 23 listes présentées aux prochaines élections législatives à Tipasa, quatre, d’entre elles sont pilotées par des femmes. Même si elles sont venues d’horizons politiques différents, ces têtes de listes comptent, outre la transmission aux citoyens de cette wilaya les idéaux ainsi que les programmes électoraux de leurs partis, démontrer à leurs semblables masculins que même en politique la parité est une réalité palpable et qui s’impose d’elle-même.
D’ailleurs, les grandes lignes de leurs discours de campagnes font de la promotion de la notion de l’égalité entre la femme et l’homme un objectif dont l’aboutissement ne pourrait être, selon les quatre, que positif. Ayant consacré 20 ans de sa vie au mouvement associatif, Sebti Tafida, fonctionnaire à la wilaya, a été choisie par le mouvement El Infitah pour chapeauter sa liste.
"Je suis présidente de l’association Ligne du front national 54 et fonctionnaire à la wilaya de Tipasa depuis sa création. De par ces deux expériences, je considère, avec toute modestie, que mon parcours m’a permis de mieux connaître les réalités de notre société ainsi que ses aspirations, partant, mes propositions ne peuvent s’inspirer que de celles-ci et du projet de société d’El Infitah", déclare-t-elle, avant d’ajouter que "je compte également porter à l’hémicycle de l’APN, si je suis élue, le message de notre jeunesse qui ne demande qu’à être impliquée dans les grandes décisions qui la concernent et qui touchent le destin de l’Algérie ".
L’autre tête de liste, à Tipasa, proposée par le Front national indépendant pour la concorde (FNIC) est une élue APW du parti de Louisa Hanoune. Après son élection à l’assemblée de la wilaya, Takkouche Kheira, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, a préféré déserter les rangs du PT. Car, comme elle explique, "des divergences d’ordre politique avec la direction du parti des travailleurs ont influé la décision de mon retrait de cette formation ".
Luttant sous différentes casquettes et sur plusieurs fronts, la tête de liste du FNIC, est également une syndicaliste dans le secteur de l’éducation. Enseignante d’anglais dans un CEM de Sidi Ammar, elle table sur la représentativité de sa liste comme atout majeur pour réussir sa campagne afin de ratisser large. " Les candidats portés sur ma liste sont pratiquement tous issus des administrations qui gèrent différents secteurs, notamment ceux touchant le développement local.
Cela dit, je suppose que nos propositions sont loin de toute démagogie, bien au contraire, elles puisent leur substance des connaissances ainsi que de nos expériences", arguera-t-elle. Propulsée aux commandes de la liste du PT, Nessira Fatiha, TS en santé, compte faire des positions de sa formation son cheval de bataille, lors de cette campagne électorale.
" Par définition, le député est à la fois un législateur et un contrôleur de l’action gouvernementale, donc, sa mission première est d’envergure nationale, d’où alors l’accent que nous allons mettre, durant cette campagne, sur nos convictions politiques au sein du PT.
D’une manière plus explicite, je sensibiliserai les citoyens de cette wilaya, entre autres, sur la nécessité de la renationalisation des hydrocarbures, la sauvegarde de la souveraineté nationale, la défense du secteur public et la réconciliation nationale", fait-elle savoir, sans oublier aussi d’insister sur la proposition d’une loi portant statut des handicapés et la promotion de l’égalité entre l’homme et la femme au Parlement.
La quatrième femme tête de liste, Kerdjani Saida, défendra, quant à elle, les couleurs du PST. A la tête des listes ou parmi les candidats en lice pour ces joutes, la femme marque, d’une manière effective, de son empreinte l’ensemble des listes.
" Le temps où la femme est réduite à jouer le rôle de figurante en politique est révolu, aujourd’hui, composer avec elle pour tout projet, soit-il politique, est une réalité irréversible. D’ailleurs, ce n’est qu’une petite reconnaissance des sacrifices qu’elle a consentis pour que l’Algérie reste debout", tient à dire une moudjahida de Cherchell
 
Source Horizons
 
Le Pèlerin
 
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:21
L’UE accorde 220 millions d’euros à l’Algérie

Ce programme, s’étendant sur trois ans, tient compte de la mise à niveau des petites et moyennes entreprises.
Les relations algéro-européennes ne cessent de se consolider. L’agriculture, le tourisme, l’enseignement supérieur...sont autant de secteurs concernés par ces rapports. Pour mieux les fructifier, l’Algérie bénéficiera, pour la période 2007-2010, d’un financement européen de 220 millions d’euros. Ce programme servira à soutenir des projets de diversification économique, des programmes sociaux et de formation universitaire, convenus, hier au Luxembourg, entre les deux parties sur la base du programme du gouvernement algérien. Un mémorandum relatif à ce programme de coopération dit «Programme indicatif national» pour la période 2007-2013, a été signé hier au Luxembourg au cours d’une séance plénière du 2e conseil d’association UE-Algérie par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Mohammed Bedjaoui, le ministre fédéral allemand et président du Conseil de l’UE, M.Franck-Walter Steinmeier et la Commissaire européenne aux relations extérieures et à la politique européenne de voisinage, Mme Benita Ferrero-Waldner. Pour la partie algérienne, cet accord servira, à plus d’un titre, l’économie nationale. D’autant plus qu’il «tient pleinement compte des priorités du programme du gouvernement», notamment celles relatives à la mise à niveau des petites et moyennes entreprises. Avec une enveloppe financière estimée à 40 millions d’euros, d’aucuns estiment que ce volet a bénéficié de la part du lion du programme. Quant aux autres projets qui bénéficieront de l’expertise et du financement européen, ils ont trait à la diversification de l’économie algérienne, notamment l’agriculture et le tourisme, deux secteurs potentiellement générateurs d’entrées en devises. D’autres secteurs ont été retenus pour cette coopération avec l’UE, principalement l’assainissement hydraulique nécessaire à l’optimisation de la mobilisation des ressources hydriques et la préservation de l’environnement, la recherche universitaire et la nécessaire liaison avec le secteur économique, et l’organisation du secteur de la santé. Aussi, ce programme concernera aussi bien la modernisation du système pénitentiaire que la réinsertion sociale des détenus considérée par l’Algérie comme un objectif prioritaire pour la prise en charge des séquelles de la tragédie nationale. Ce programme entre dans le cadre du nouvel instrument de financement de la coopération et de partenariat qui remplace les programmes MEDA à partir de cette année.
En ce sens, les observateurs n’hésitent pas à mettre l’accent sur l’échec dudit programme. Les pays de la rive sud de la méditerranée reprochent à leurs partenaires de la rive nord de vouloir les «gouverner à distance». En outre, le programme Meda n’a pas pris acte du problème de la circulation des personnes. Un casse-tête qui ne cesse de revenir au-devant de la scène à chaque occasion.
Par ailleurs, les deux délégations ont signé le protocole d’adaptation de l’Accord d’association (AA) aux 10 nouveaux membres de l’UE qui ont adhéré en 2004 à l’Union européenne après la signature de l’accord en 2002. Il s’agit de la Tchéquie, l’Estonie, Chypre, la Lettonie, la Lituanie, la Hongrie, Malte, la Pologne, la Slovaquie et la Slovénie. La même procédure sera également, appliquée ultérieurement pour la Bulgarie et la Roumanie, qui ont rejoint l’UE en janvier 2007.
En ce qui concerne l’accord d’association, celui-ci engage, dès son entrée en vigueur, tous les pays membres de l’Union.
 
Source Horizons
 
Le Pèlerin
 
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:16
Campagne électorale des Législatives 
Les partis à la conquête des électeurs
 
Le coup de starter de la campagne électorale sera donné, demain, annonçant les retrouvailles de la classe politiques avec le peuple. Les leaders des partis se lanceront dans des courses effrénées à travers le territoire national pour défendre leurs programmes en vue de gagner la sympathie des électeurs.
Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du RND, entamera sa campagne à partir de l’extrême-est du pays où il aura à animer deux meetings populaires, la matinée, au chef lieu d’El-Taref et l’après-midi à El-Hadjar dans la wilaya de Annaba.
D’ici la fin du mois en cours, Ahmed Ouyahia devra visiter la quasi-totalité des wilayas de l’Est. En effet, le programme du patron du RND fait état de l’organisation de meetings à Skikda, Souk-Ahras, Tébessa, Oum El-Bouaghi, Sétif, Msila et Batna. Ouyahia animera, également, des rassemblements à Djelfa, Médéa et Blida dans les premiers jours du mois de mai prochain.
La région Ouest sera visitée par le SG du RND, dans la dizaine de jours qui précèdent le jour du scrutin. Pour le FLN, "le programme des déplacements du premier responsable n’a pas été élaboré encore", avons-nous appris hier de Si Affif, membre de l’instance exécutive de ce parti. Notre interlocuteur précisera que "chaque tête de liste a élaboré son propre programme. Des meetings seront animés dans toutes les daïras et les communes du pays."
Saïd Sadi, le président du RCD, a choisi de commencer sa campagne à partir d’Alger où il aura à faire une rencontre de proximité avec la population de Bab El Oued, et ce, après le point d’information qu’il aurait organisé au siège de son parti. Saïd Sadi risque, lors de sa tournée, de se trouver face à face ave Boudjera Soltani, le président du MSP, qui compte, lui aussi, faire une tournée de proximité dans les quartiers d’Alger. Une virée qui commencera à partir, nous indique Mokri, à partir du Palais du gouvernement.
Alger accueillera aussi, Moussa Touati, le président du FNA qui s’y rendra l’après-midi de jeudi après la fin du rassemblement qu’il aurait animé la matinée à Tablat, dans la wilaya de Médéa.
Le mouvement Islah, quant à lui, a opté de partir en campagne avec trois délégations. Boulahia, le président du mouvement, tiendra son premier meeting à Batna avec la présence de Souilah, président du conseil consultatif.
Les deux responsables, avons-nous appris de Kadri, président du groupe parlementaire du MRN, prendront par la suite des destinations différentes.
L’autre mission, ajoute la même source, sera menée par Djahid Younsi, le SG de ce mouvement qui animera ce jeudi un meeting à la wilaya de Mostaganem. Toujours dans le camp islamiste, Fethi Rebai, le président de Nahda, commencera son marathon à l’Est du pays, nous a fait savoir Boulefat le chargé de communication de ce parti. Fethi Rebai, selon la même source, sera, jeudi, à Tebessa et à Aïn Melila et le lendemain à Khenchela et Batna.
Les citoyens auront le loisir de retrouver ces politiques qui se montreront, le temps d’une campagne, des plus modestes et des plus attentifs à leurs préoccupations
 
Source Horizons
 
Le Pèlerin
 
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 23:05
Législatives
Le RCD présente ses candidats «apparentés»
Deux candidats « apparentés » au RCD conduisent la liste du parti à Oran. Leurs parcours et celui des autres membres ont été présentés mardi lors d’une conférence de presse animée par Messaoud Babadji, porte-parole local en présence des concernés.
En tête, Mohamed Farid Khemisti, avocat du barreau d’Oran est connu pour avoir d’abord abrité localement le comité CNSA (sauvegarde de l’Algérie) à sa naissance en décembre 1991. Il est aussi défenseur des Droits de l’homme pour avoir intervenu sur plusieurs fronts (des syndicalistes, des citoyens de Bethioua, les militants du MDS poursuivis pour avoir appelé au boycott lors des dernières échéances, etc.) « Il s’est opposé à sa propre corporation pour défendre la loi », dira-t-on de lui en évoquant une embûche qu’on a voulu dresser pour empêcher l’actuel bâtonnier de se présenter aux élections. En seconde position, Fatma Boufenik est militante féministe depuis 1989 et a participé à toutes les actions politiques favorables à l’abrogation du code de la famille. Elle vient juste de rentrer d’un rassemblement de femmes démocrates au Vénézuela. Militant du RCD, Ait Rahmane Mohamed Said, syndicaliste (Cosifob) est 3ème sur la liste mais il était déjà candidat du parti en 1991.
Demander des comptes
En 4ème position, Omar Adelkader n’est pas non plus adhérent au RCD mais il a toujours milité dans le camp démocratique après un passage à l’ANR durant les premières années qui ont suivi la création de la formation de Redha Malek. Le RCD a également présenté un 5ème candidat en la personne de Omar Hammâr, adhérent, retraité et actuellement administrateur d’une cité. « Dans un esprit d’ouverture vers la société civile, après discussion, nous avions opté pour la nécessité de présenter des candidats représentatifs ayant une culture démocratique que la société connaît à travers leur parcours militant et à qui elle peut, demain, demander des comptes », explique le porte-parole local du parti de Said Sadi qui a élaboré une plateforme de 100 propositions pour l’Algérie de demain devant inspirer le contenu de la campagne électorale locale. La réorganisation territoriale pour une régionalisation dans le cadre de l’unité (Etat unitaire régionalisé) a été l’un des points mis en avant lors de cette rencontre qui consacre également le retour au week-end universel comme un slogan de campagne.
Source El Watan
 
Le Pèlerin
 
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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 09:38

Wilaya de Tipaza 

Absence de l’affichage des prix chez les commerçants  

En application de la loi n°04-02 du 23 juin 2004, relative aux règles applicables aux pratiques commerciales, notamment sur les prix, les tarifs et les conditions de vente, les éléments de la direction du commerce de la wilaya de Tipaza avaient entamé une campagne d’information et de sensibilisation auprès des commerçants du chef-lieu de la wilaya, considérés comme étant une cible privilégiée pour rendre efficace cette action.

 

 

La commune de Tipaza compte au total 1100 commerçants, dont 450 exerçant dans le commerce des services et 464 dans le commerce du détail. Les fonctionnaires de l’administration du commerce avaient expliqué surtout les infractions et les sanctions qui seront prononcées à l’encontre des commerçants qui ne respectent pas les clauses de la loi. Le défaut d’information sur les prix et les tarifs entraîne une amende allant de 5000 DA à 100 000 DA, tandis que le défaut de communication des conditions de vente est puni d’une amende de 10 000 à 100 000 DA. Cette initiative de l’administration du commerce de la wilaya de Tipaza est destinée à assainir le secteur pour préserver le consommateur d’une part, et faire éviter les pratiques commerciales illicites, pour épargner les commerçants de la fermeture de leurs locaux et la saisie de leurs marchandises, d’autre part. Après la campagne de sensibilisation, les fonctionnaires du secteur du commerce passeront à l’action. Néanmoins, l’absence de l’affichage des prix chez les commerçants y est toujours. Pendant ce temps, les ménages continuent à subir la loi des commerçants. Au fait, cette mesure touche-t-elle ces commerçants qui exercent l’activité sans documents officiels ? Les enfants, qui envahissent les marchés avec leurs marchandises pour les écouler sans le respect des normes commerciales, sont-ils concernés par cette action des fonctionnaires de l’administration du commerce ? C’est surtout dans les localités de Koléa, Hadjout, Cherchell, Bou Ismaïl, Ahmeur El Aïn, Bourkika, Fouka que l’activité commerciale est importante. C’est à ce niveau que le contrôle rigoureux doit avoir lieu, si réellement l’Etat veut prendre en main ce secteur.  

Source El Watan     

 

Le Pèlerin 

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