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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 05:14

Le wali d’Adrar vient de prendre la décision d’interdire les circuits touristiques dans sa wilaya et les environs.

Timimoun l enchanteresseTimimoun est interdite aux touristes

 

Tous les consulats algériens en Europe viennent d’informer les touristes européens que sur la wilaya d’Adrar a interdit le tourisme dans son territoire en cette fin d’année. Cette interdiction mise en place probablement par le wali équivaut à une discrimination.

C’est chaque mois maintenant que des interdictions de ce type sont mises en place sur l'ensemble des régions les plus touristiques. Les mois derniers, c’étaient les régions du Tassili et du Hoggar qui ont été fermées suite à la présence de groupes armés. Ces régions ont été rouvertes puis fermées encore une fois, pour enfin être rouvertes sous la pression des agences de voyages locales qui ne vivent que du tourisme.

Maintenant, c’est au tour de la wilaya d’Adrar de subir l’interdiction sur décision du wali sans que celui-ci ne fasse parvenir la moindre information qui fonde sa décision. Ni même sur la durée de l’interdiction.

On connaît l'engouement tout particulier pour le Sahara en général mais aussi pour certaines régions comme l'oasis Rouge, le Tassili ou le Hoggar à l'occasion des vacances de fin d'année. A ce titre, cette décision aura inévitablement d'énormes conséquences sur le secteur touristique à Adrar.

Les touristes étrangers qui comptaient visiter l’oasis Rouge ont donc dû reporter leur projet de voyage pour certains, et changer de destination pour de nombreux autres.

N'aurait-il pas été mieux de consulter les agences de voyage sur place d’abord avant de lancer une interdiction aux conséquences économiques ravageuses ? Que vont faire les autres vacanciers nationaux qui ont réservé et programmé leurs vacances de fin d’année à Timimoune ? Si danger il y a, pourquoi les agences de voyages algériennes n’ont- elles pas reçues d’interdiction ? 

L'Etat, par la voix du ministre du Tourisme a pourtant décidé depuis longtemps que le tourisme saharien sera l’une de ses priorités. Cette décision montre les limites, voire les contradictions qui minent les étages de l’Etat. 

Source Le Matin DZ Fayçal Maarfia

Le Pèlerin

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 00:33

La maternité !

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Sarkozy visite une maternité pour faire sa propagande.  

Dans la première chambre, une jeune maman est aux anges : "c'est le plus beau bébé du monde !"

Dans la seconde chambre, idem... : "C'est le plus beau bébé du monde !"

Mais dans la troisième, une jeune maman pleure à chaudes larmes.

Sarkozy lui demande ce qu'il lui arrive.

-"C'est mon bébé, répond-elle".

- "Qu'est-ce qu'il a votre bébé, il est malade ?"

- "Mais non ! Il est en pleine forme ; il a même déjà  les dents qui poussent !"

- "Mais alors ? Pourquoi pleurez-vous ?"

" Parce que mon bébé, Il vous ressemble !"

Alors, Sarkozy s'approche du landau, regarde le bébé, et dit :

"Mais c'est vrai qu'il me ressemble ... peut-être sommes-nous de la même famille ?

Comment vous appelez-vous ?"

- "Marie DUPONT"

- "Ah ben non ... Il n'y a pas de DUPONT dans la famille Sarkozy ... mais il y a bien une ressemblance frappante ...

C'est curieux ... je me demande d'ou ça vient !"

"Moi je sais, d'ou ça vient !-, dit la jeune maman en redoublant ses sanglots-

"C'est à cause de mon mari ! Il est délégué syndical".

- "Ah ! Et alors ?"

"Et alors, tous les soirs, en rentrant à la maison, il dit :

" Le Sarkozy, moi, j'en ai plein les couilles ! "  

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 09:04

Gaz algérien - La situation actuelle du rythme d’extraction

gaz algérien-copie-1

L’Algérie détient 2,37% des réserves mondiales prouvées de gaz naturel, contre 1% pour le pétrole, selon certaines statistiques de janvier 2011, 12 milliards de barils selon la revue financière Gasoil, tenant compte de l’entrée de nouveaux pays pétroliers, 1,5% selon d’autres sources grâce aux techniques de récupération, ayant pompé entre 1962 et 2006 plus de 15 milliards de barils, soit plus que les réserves actuelles, mais récemment avec des coûts supérieurs à la moyenne des grands pays pétroliers.

Pour le gaz, elle se classe à la dixième position avec des réserves mondiales loin de la Russie, classée première, qui détient pas moins de 25,02%, soit 47 570 milliards de mètres cubes des réserves mondiales, l'Iran (15%), le Qatar (10%), le Turkménistan, l'Arabie Saoudite, les États-Unis, les émirats arabes unis, le Nigeria et le Venezuela. Pour le gaz, les réserves ont été consolidées, selon la revue internationale Gasoil, à 4500 milliards de mètres cubes au 1er janvier 2010. L’Algérie fournit à l’Europe 25/30% de ses besoins en gaz naturel, ce qui représente 70% des exportations algériennes, étant le troisième fournisseur de gaz de l’Europe après la Russie et la Norvège.

Pour l’Algérie, en dépit d’un redressement de situation en 2010 – 55,28 milliards de mètres cubes de gaz naturel exportés contre 52,67 milliards de mètres cubes en 2009 –, l’Algérie peine toujours à maintenir le niveau des volumes exportés au-dessus de 60 milliards de mètres cubes, un seuil qui était bien conservé entre 2001 et 2008. La production à un rythme rapide des gaz non conventionnels aux USA et en Europe explique en partie cette situation, alors que l’Algérie tablait sur des exportations de l’ordre de 85 milliards de mètres cubes pour 2011/2012, ce qui devient une impossibilité du moins pour cette échéance.

Le temps étant de l’argent, l’Algérie ne risque-t-elle pas de perdre des parts de marché au profit d’autres concurrents ? Par ailleurs, le prix du gaz non conventionnel, encore qu’existe un problème de la dégradation de l’environnement, grâce la technique du forage horizontal, est actuellement de 4/5 dollars, donnant les USA exportateur de gaz horizon 2020, pouvant freiner l’importation de gaz algérien pour ne pas dire l’annuler, où Sonatrach devait approvisionner la côte Est des USA.  Selon les statistiques internationales, le gaz non conventionnel devrait représenter environ 25% de la production mondiale en 2020. Concernant l’approvisionnement de l’Europe, et cela n’est pas propre à Sonatrach mais également pour le géant russe Gazprom, il faudra  tenir compte de la donne polonaise membre de l’Europe des 27 qui pourrait bouleverser la donne énergétique européenne.

D’après l’Agence américaine de l’énergie (rapport 2010), la Pologne aurait une réserve de quelque 5300 milliards de mètres cubes de gaz de schiste dans ses sous-sols, d’une valeur de 1380 milliards d’euros. Est-ce que la bulle gazière s’arrêtera horizon 2015 ou au-delà, lorsque les contrats à moyen terme de l’Algérie arriveront à expiration, ce qui influencera le niveau d’entrées en devises, du fait que le gaz représente plus de 40% des entrées en devises (…).

A. M. (*) Expert international en management stratégique directeur d’études ministère énergie/Sonatrach (1974/1979 - 1990/1995 - 2000/2006)

Source Liberté Dr Abderrahmane Mebtoul

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 09:01

«L’amitié n’a pas besoin de traité»

Claude Gueant Daho Ould Kablia-copie-1

Point de regret au sujet du non-aboutissement du projet de traité d’amitié entre l’Algérie et la France. Le ministre français de l’Intérieur estime que «l’amitié, ce n’est pas dans les traités mais dans les actions». Une affirmation faite à Alger au cours d’une visite éclair durant laquelle il a évoqué les questions de sécurité, de partenariat et celle de la circulation des personnes.

Pas de polémique non plus au sujet de l’immigration. Le ministre français, interpellé au sujet des négociations relatives à l’accord sur la circulation, à l'emploi et au séjour des ressortissants algériens sur le territoire français, dira que les négociations entamées il y a moins d’une année avançaient à un bon rythme après avoir été relancées. Une réunion entre les deux parties avait été déjà programmée tandis qu’une autre se tiendra bientôt «dans un bon climat». Il n’en dira pas plus à ce sujet, se contentant de rappeler que si la France était tenue à des engagements au niveau européen sur les questions de l’immigration, elle gardait une marge de manœuvre pour des accords spécifiques avec des pays comme l’Algérie. Un pays avec lequel la France continue de vouloir «un partenariat d’exception ». Un vœu exprimé, dit-il, par les présidents des deux pays. Bouteflika est-il attendu en France ? La réponse viendra d’Ould Kablia qui explique que ce genre de visite se réglait dans le cadre du canal diplomatique et que les ministres des Affaires étrangères étaient les mieux placés pour l’évoquer. Ould Kablia a estimé, hier, que la réunion avec son homologue français avait été certes «écourtée» au regard d’un agenda chargé et d’une visite de moins de 24 heures mais qu’elle avait permis d’évoquer des questions «fondamentales» et «essentielles» que les collaborateurs des deux côtés de la Méditerranée auront pour mission d’approfondir pour donner aux relations bilatérales l’élan que les deux présidents souhaitent leur donner. Contexte régional oblige, les deux ministres ont évoqué les différents mouvements qui ont secoué la région. Non, l’islamisme ne semble pas inquiéter le ministre français qui dit «faire confiance» aux pays ayant connu des mouvements populaires pour réussir leur transition démocratique. Interrogé sur la gestion du Conseil du culte musulman, Claude Guéant dira que ce dernier s’est imposé dans le paysage politique français, estimant qu’il appartenait à ses membres de déterminer le meilleur mode de représentativité. Le ministre algérien avait un avis dessus : il considère que la Mosquée de Paris devait garder le rôle qui est le sien. Claude Guéant ne le contredira pas, affirmant que la Mosquée de Paris avait un rayonnement considérable. Le point de presse se terminera sur ce ton concordant, les dossiers qui fâchent n’ayant pas été publiquement évoqués.

Source Le Soir d'Algérie Nawal Imès

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:51

La crevette royale et la langouste, nouvelles cibles

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La crevette royale et la langouste sont exploitées au détriment du marché national qui bénéficie des restes de l’opération de calibrage.

La côte algérienne fait face depuis quelque temps à un phénomène étrange au sein de la spirale de la contrebande et du trafic en tout genre.

Après celui de l’ivoire, celui des espèces animales que renferme le parc naturel d’El-Kala, des gravures rupestres du Hoggar et du Tassili, outre le trafic des stupéfiants, des médicaments, du carburant, du corail, des camelins, caprins, ovins, des espèces rares de tortues, des fils de cuivre, sans compter le sable, et surtout des hommes par le biais des harraga, voilà que nous assistons à l’apparition de nouveaux “produits” qui font l’objet d’un trafic international de grande dimension, en l’occurrence la crevette royale et la langouste.

Même si le 1er responsable du secteur de la pêche à Annaba estime qu’il n’existerait pas, du moins dans la région, de trafic de la crevette royale et de la langouste, étant donné que des patrons de pêche ont été autorisés à en exporter, des sources bien informées révèlent dans ce contexte l’existence d’un réseau de trafiquants, aux mécanismes bien huilés, en charge du ramassage et de la vente en pleine mer de ces produits très demandés sur le marché européen. à Beni Saf ou encore à Annaba dont le large est intimement confondu avec le plateau continental qui constitue le milieu propice à l’évolution de la crevette royale, cette dernière, à la limite des eaux territoriales algériennes,   est “transbordée” sur des bateaux de pêche espagnols, français et italiens, révèlent des gens de la mer qui ont préféré garder l’anonymat. Pour preuve, précisent nos sources, la chute vertigineuse de la production en crustacés, ces dernières années, au niveau de tous les ports de pêche du pays.à titre d’exemple, la production en crustacés à Beni Saf, qui dépassait il y a quelques années 200 t, a diminué de plus de moitié. La production annuelle en crustacés au port de Annaba, qui a vu une augmentation en embarcations au même titre que les autres structures maritimes du pays, a chuté elle aussi de presque la moitié par rapport à l’année 2002 où la flottille était presque nulle. Selon nos sources, la crevette royale et la langouste sont exploitées au détriment du marché national, qui bénéficie des restes de l’opération de calibrage, car il n’est commercialisé sur les étals de nos marchés que les “rejets” de ces crustacés.

Ainsi, les barons du trafic en haute mer viennent de boucler la boucle. En ces temps houleux, la contrebande existe bel et bien. Et cette évasion furtive de ces crustacés de choix, qui vont garnir les assiettes de la gastronomie outre-Méditerranée, interpelle à plus d’un titre les autorités du pays afin que soit mis le holà à cette hémorragie effrénée, pour ne pas dire rapacité, cupidité, prédation, qui portent préjudice à l’ensemble des rouages du pays et une atteinte flagrante à la composante de la sécurité humaine qui doit régir la société algérienne. Le trafic qui mine l’économie algérienne sape le commerce, gangrène la société et réduit en un tas de loques la jeunesse, ce bras armé attaque par ce fléau pernicieux et insidieux que représente la drogue. L’Algérie est frontalière avec 7 pays, à savoir la Tunisie, la Libye, le Niger, le Mali, la Mauritanie, le Sahara occidental (RASD) et le Maroc.

Son ouverture sur la Méditerranée fait qu’elle se trouve à quelques encablures de la France, de l’Espagne et de l’Italie notamment. Les zones désertiques, les régions fortement boisées, les massifs décapés sont infestés par ces réseaux de trafiquants qui, tels des vampires, sont insatiables, sans scrupule. Cette forme de trafic et de l’ordre d’une rébellion déguisée contre les lois en vigueur.

Source Liberté B.Badis

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:36

Il était le capitaine emblématique de la Séleçao

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L'ancien international brésilien Socrates, 57 ans, est mort des suites d'une infection intestinale, a annoncé hier dans un communiqué l'hôpital Albert Einstein de Sao Paulo. Selon le journal brésilien Folha de Sao Paulo, Socrates a été inhumé hier à l'issue d'une cérémonie privée à Ribeirao Preto, à 300 km de Sao Paulo, où il avait débuté sa carrière en 1974 sous les couleurs de Botafogo.

La Fédération brésilienne a annoncé qu'une minute de silence serait observée avant le coup d'envoi des matches du Championnat national hier, «en l'honneur de l'un des plus brillants joueurs de l'Histoire de l'équipe nationale du Brésil». «Des buts magnifiques et un football magistral», rend hommage son ancien club de Corinthians dans un communiqué à l'un de ses joueurs les plus marquants. Hier «a commencé tristement pour le football brésilien, et principalement pour les Corinthianos», poursuit le club pour qui «ses supporters disent au revoir au Magrao (maigrichon)». «Mais en même temps nous sommes reconnaissants pour l'honneur qu'il nous a été fait d'avoir vu l'un des plus grands joueurs de l'Histoire du football revêtir le maillot des Corinthians». Hospitalisé en soins intensifs dans la nuit de vendredi à samedi, l'ancienne idole des Corinthians, qui avait été capitaine de la Seleçao lors des Mondiaux 1982 et 1986, avait reconnu avoir souffert d'alcoolisme.

L'alcool, «un compagnon»

Ce père de six fils est décédé à 4h30 locales (07h30 à Alger) hier, a indiqué l'hôpital. Samedi l'hôpital avait annoncé que Socrates, frère de Raï, autre ancien international brésilien, se trouvait dans un «état grave», en soins intensifs, en raison d'une infection intestinale. Socrates Brasileiro Sampaio de Sousa Vieira de Oliveira «respire à l'aide d'appareils et subit un traitement de dialyse», indiquait alors le communiqué médical. Sa femme avait précisé à la presse locale qu'il avait été hospitalisé dans la nuit de vendredi à samedi à la suite d'une intoxication alimentaire. Déjà en août et septembre derniers, Socrates avait été hospitalisé d'urgence et avait passé plusieurs jours en soins intensifs en raison d'une grave hémorragie digestive. L'ancien milieu de terrain, diplômé en médecine et surnommé à ce titre «Le docteur », avait alors reconnu avoir eu des problèmes avec l'alcool. Dans un récent entretien accordé à la chaîne SporTV, Socrates avait déclaré que l'alcool avait été «un compagnon pour lui mais qu'il n'avait jamais affecté ses performances sur le terrain». Socrates, capitaine de la Seleçao lors des Mondiaux 1982 et 1986, a notamment porté les couleurs de Botafogo (1974-1978), des Corinthians Sao Paulo (1978-1984) et de la Fiorentina en Italie (1984-1985).

Source Le Soir d’Algérie

Le Pèlerin

 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:31

L’Etat tergiverse, la grogne des retraités se généralise

retraites en colere

Les retraités d’Alger, d’Oran, de Constantine, d'Annaba, de Mila et bientôt de Sétif sont sortis dans la rue pour protester contre leur situation déplorable.

La Fédération nationale des travailleurs retraités (FNTR) est en concertation permanente avec ses différentes sections à travers les wilayas du pays pour une action d’envergure nationale. Désormais, en dépit des ses bons offices, le secrétaire général de l’UGTA n’a pas été écouté par les pouvoirs publics et donc sa promesse n’a pas été suivie d’effet. Le mois de novembre vient de s’écouler et rien ne se profile à l’horizon. Pourtant les cartes ont été jouées au lendemain des travaux de la quatorzième tripartite.

Pour rappel, le chef de l’exécutif n’a pas manqué d’avancer des arguments extrêmement osés. L’équipe de l’UGTA a semblé réservée et c’est normal étant donné les résultats obtenus. L’euphorie du patronat est compréhensible car ils ont eu la part du lion. Le premier ministre, à travers son verbiage habituel, tente de se jouer de l’amertume des travailleurs. Il se vante d’avoir été à la tête d’un gouvernement qui en espace de moins de deux ans a permis une augmentation du SNMG de 50% mais ne souffle pas mot à qui profite cette augmentation. Certainement pas aux bas salaires et encore moins aux retraités mais aux cadres dirigeants dont le traitement est indexé au SNMG conformément au décret 90/290 du 29 septembre 1990. Mais sans doute par un calcul tendancieux, il reconnaît indirectement que de nombreux retraités touchent à peine 75% du SNMG c'est-à-dire en brut 11 250 DA à ce jour et 13 500 DA à partir de 1er janvier 2012. De nombreux observateurs et analystes trouvent scandaleux d’évoquer de tels niveaux de rémunération lorsqu’on sait qu’elles ne représentent qu’à peine la moitié du budget que réserve un cadre supérieur pour entretenir ses animaux domestiques. Plus grave, il exclue la possibilité d’agir sur l’IRG pour alléger les petites pensions des retraités qu’ils ont bien payé depuis plus de 32 ans. Pour cela, il évoque des difficultés budgétaires de l’Etat de s’acquitter des salaires des fonctionnaires. Selon lui, le budget prévoit des dépenses de 7400 milliards de dinars pour des recettes, ne dépassant pas 3900 milliards de dinars. Or, cette difficulté n’est pas du ressort des salariés et encore moins des retraités. Il lui suffit uniquement de réduire le train de vie de l’Etat. De nombreux chapitres restent compressibles. 

Pour ce qui concerne la revendication relative à la suppression de l’article 87 bis  de la loi 90/11 portant relation du travail, le premier ministre la réduite à une simple contrainte budgétaire. A en croire un député du RCD, le président de la chambre du parlement est arrivé jusqu’à des manœuvres pour précipiter l’annulation d’un amendement qu’il a introduit. Cet article est une bourde dans cette loi qui a bouleversé l’ancien statut général des travailleurs (SGT). Il faut souligner que les éléments qui déterminent le salaire national minimum garanti à savoir : la productivité moyenne nationale, l’indice des prix à la consommation et la conjoncture économique restent des facteurs "bateau". Chacun peut les interpréter à sa manière et de la façon qui l‘arrange. Ce qui est facile à comprendre, c’est que nos responsables politiques sont trop loin pour constater que le citoyen lambda n’est pas victime de l’indice d’inflation que l’organe officiel donne, mais plutôt de la spéculation que l’Etat n’est pas en mesure de juguler. Le fait de déclarer publiquement que même si la tripartite était arrivée à un accord pour augmenter le SNMG de 10 000 dinars, les travailleurs, trouveront  toujours quelque chose à dire, le premier ministre verse dans la provocation. On peut sérieusement se poser la question à qui appartient le pétrole, est-ce à tous les Algériens ou seulement à un sérail qui a déjà ses comptes devises sous d’autres cieux ?       

Source Le Matin DZ Rabah Reghis,

Consultant/chercheur

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:25

Guéant confirme une rumeur sur DSK et alimente les polémiques

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POLEMIQUE - Les propos du ministre de l'Intérieur sur un contrôle de l'ancien directeur du FMI au bois de Boulogne, en 2006, ont mis le feu aux poudres...

Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant, l'un des hommes les plus proches de Nicolas Sarkozy, alimentait dimanche les polémiques autour de Dominique Strauss-Kahn, en révélant que l'ex-patron du FMI avait été interpellé en 2006 dans un haut-lieu de la prostitution à Paris.

Claude Guéant qui, par ses fonctions successives dans l'administration et au gouvernement, est l'un des meilleurs connaisseurs en France des grands et petits secrets de la police, a confirmé dans une interview au Journal du Dimanche une rumeur qui courait Paris depuis des mois.

«Oui, j'ai entendu parler de cette histoire au cours de laquelle monsieur Strauss-Kahn avait été contrôlé au bois de Boulogne par les fonctionnaires en charge de la surveillance de cet endroit lors d'un contrôle de routine», déclare-t-il. «Mais il n'y a aucune procédure à ce sujet. Il n'était pas tombé dans un guet-apens de la police! Il n'était pas suivi. Ce n'est quand même pas la faute de la police s'il était là-bas ce soir-là!», ajoute-t-il.

Vaste espace vert jouxtant les quartiers chics de l'ouest de Paris, le bois de Boulogne est aussi un lieu bien connu où exercent chaque nuit des dizaines de prostituées et travestis.

«Guéant en fait trop! Cela finit par être suspect»

«A l'époque, Dominique Strauss-Kahn habitait sur le Bois de Boulogne. Un soir, en rentrant chez lui, il a fait l'objet d'un contrôle de routine, et rien de plus», a répliqué son avocat, Richard Malka. «D'ailleurs, en 15 ans de résidence là-bas, il s'est fait contrôler à plusieurs reprises, y compris en compagnie de sa femme», la journaliste Anne Sinclair, a-t-il déclaré à l'AFP.

Les proches de DSK se demandaient dimanche pour quelles raisons le ministre de l'Intérieur avait choisi de confirmer cette rumeur. L'ex-patron du FMI semble pour longtemps hors-jeu de la compétition politique française après sa mise en cause pour tentative de viol à New York. Et les révélations s'accumulent sur la vie sexuelle très libre qu'il pu mener.

«En quoi DSK est-il encore un danger pour le pouvoir? Que cherche-t-on? Pourquoi veut-on en rajouter et en rajouter encore? De quel secret DSK est-il dépositaire qui menacerait le pouvoir? Claude Guéant en fait trop! Cela finit par être suspect», s'est interrogé le député socialiste Jean-Christophe Cambadélis.

«La prostitution, le proxénétisme, je les ai en horreur»

Libéré de toute charge pénale dans l'affaire du Sofitel de New York, DSK doit encore y affronter une procédure civile. En France, la justice a également renoncé à le poursuivre après des accusations de tentative de viol émanant d'une jeune journaliste, Tristane Banon.

Il demande cependant à être entendu par des juges de Lille (nord), car son nom a été cité dans une affaire de prostitution et de proxénétisme impliquant des chefs d'entreprises et des policiers qui, avec DSK, avaient pris part à des soirées libertines.

«La prostitution, le proxénétisme, je les ai en horreur», a-t-il déclaré récemment à son biographe, Michel Taubmann, ajoutant que «d'habitude, les participantes à ces soirées ne sont pas des prostituées».

La théorie du complot? Des «foutaises» pour Guéant

Dans son entretien au JDD, le ministre de l'Intérieur réfute également comme du «fantasme» ou des «foutaises» la théorie du complot, avancée par Michel Taubmann et le journaliste américain Edward Epstein. Ces derniers estiment que l'épisode de New York a pu être un piège tendu à DSK pour l'écarter de l'élection présidentielle française du printemps prochain, dont il était le favori.

DSK lui-même s'était démarqué de ces théories, en publiant jeudi un communiqué dans lequel il se disait nullement «engagé» par les écrits et les témoignages censés les corroborer.

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:21

France - Avertisseurs : ils ne diront plus jamais radar

Panneau radar automatique

La nouvelle réglementation concernant les avertisseurs de radars est entrée en vigueur le 28 novembre 2011. 01net. fait le point sur ces nouveaux assistants et leurs fonctions, rebaptisés « outils d'aide à la conduite ».

En mai 2011, le gouvernement annonçait de nouvelles mesures pour lutter contre la mortalité sur les routes. Les panneaux de signalisation de radars fixes ainsi que les avertisseurs de radars étaient pointés du doigt par le gouvernement qui décida de durcir le ton en annonçant de nouvelles mesures. Des mesures prises à la va-vite, de l’aveu même de Franck Marlin, député UMP de l’Essonne, qui parlait de « citoyens bafoués ». Les réactions furent immédiates parmi les automobilistes ainsi que chez les constructeurs.

Finalement, le 28 juillet dernier, les membres de l’Afftac (Association française des fournisseurs et utilisateurs de technologies d’aide à la conduite), d’autres partenaires (Avertinoo, Takara, Eklaireur, etc.) et le ministère de l’Intérieur signaient un protocole d'accord visant à redéfinir les fonctions des avertisseurs de radars. L’ultimatum était posé. Les constructeurs avaient quatre mois pour se plier aux nouvelles règles et transformer ainsi leurs appareils en outils d’aide à la conduite.

Un protocole qui redéfinit les règles

L'utilisation du mot radar, que ce soit pour indiquer un appareil fixe ou mobile, est désormais interdite. Une vraie contrainte pour les constructeurs qui doivent revoir toutes les notices d’utilisation, les logiciels intégrés et même les boîtiers, afin de faire disparaître toutes les mentions liées à ce terme.

Les nouveaux outils d’aide à la conduite, donc, devront désormais signaler des zones « dangereuses », ces dernières peuvent être déclarées comme telles par les services de l’Etat (1) ou des sociétés d’autoroute, « à fort trafic » (en s'appuyant sur le calendrier Bison futé) ou encore « à risque » grâce à des alertes déclarées par les utilisateurs. C'est sous ces dernières alertes que les utilisateurs pourraient déclarer un point de contrôle, reporté ensuite en zone à risque. Ces voies dangereuses s’étendront sur 4 km sur le réseau autoroutier, au moins 2 km hors agglomération et au moins 300 m en agglomération. Coyote portera même cette dernière zone à 500 m. On note que certaines voies rapides, tel que le périphérique parisien, sont définies comme faisant partie de l’agglomération.

Des dangers multiples

Les nouveaux outils d’aide à la conduite se targuent de contribuer à l’appréhension de la route. Leurs messages d’alerte seront donc plus nombreux et plus précis. A partir de lundi prochain, les différents appareils n'indiqueront plus seulement des zones dangereuses, mais aussi des ponts, tunnels, fortes pentes et virages dangereux. On trouvera aussi des zones à forte fréquentation (écoles, colonies de vacances, hôpitaux, maisons de retraite, etc.) ou encore des zones de danger temporaire (travaux routiers, animaux sur la voie, chaussée glissante ou rétrécie, intervention d’exploitation en cours, dévoiement temporaire de chaussée, accident ou embouteillage ponctuel, etc.).

Ajoutons à cela des alertes pédagogiques, qui rappelleront quelques règles de bonne conduite (« Pensez à faire une pause toutes les deux heures », par exemple).

Où en sont les constructeurs ?

Les constructeurs et membres signataires de l’Afftac travaillent depuis le mois de juillet pour modifier leurs produits afin qu’ils restent 100 % légaux. Au sein de Coyote, on met à jour les boîtiers, comme le Mini Coyote Plus, et l'application pour mobile depuis la fin du mois de septembre.

Du côté de Wikango, depuis octobre dernier, un message apparaît sur l’écran des appareils de type Wikango Max, incitant les utilisateurs à les actualiser. La mise à jour de l’application mobile passe, elle, par la boutique en ligne (AppStore, Android Market...).

Pour sa part, Inforad annonce la disponibilité dès aujourd'hui (25 novembre) de la mise à jour. Ainsi, les possesseurs d’Inforad CI peuvent dès à présent brancher leur boîtier à un ordinateur pour procéder à la remise en règle de leur boîtier. Eklaireur et Avertinoo, adhérents de l’Afftac et fournisseurs d’applications sur mobiles, devront également se plier à la règle.

Un court sursis pour les GPS

Nous avons contacté TomTom et Garmin, commercialisant tous deux des GPS connectés faisant appel à la communauté Coyote, pour savoir où ils en étaient. Ces constructeurs profitent d’un délai supplémentaire (tout comme d’ailleurs les autres fabricants de GPS, même non connectés). Assez court toutefois, puisqu’ils devront se pencher sur les modifications à apporter à leurs boîtiers dès le début de l’année 2012. Dans le meilleur des cas, la migration devra s’opérer dans les six mois. Un décret devrait être prochainement publié au journal officiel afin de fixer le sort de ces autres produits.

En revanche, ce que l’histoire ne dit pas, c’est comment le gouvernement compte s’y prendre pour empêcher les utilisateurs de se servir de leur GPS ou de leur application smartphone disposant d'une base de radars fixes et mobiles (sauvegardée dans leur appareil). Faut-il s’attendre à ce que les contrôles routiers s’agrémentent à l’avenir d’une analyse des outils de guidage électronique ? Faut-il craindre de se faire confisquer ses appareils ? Pour l’heure aucune réponse ne nous est fournie. On sait toutefois que les utilisateurs d'un produit qui n'aurait pas été mis à jour sont passibles d'une amende de 1500 euros et d'un retrait de 6 points sur leur permis de conduire.

(1) CNIR (Centre national d'information routière), CRIR (centre régional d'information routière), outils de surveillance du trafic, gestionnaire de voirie, etc.

Source bonweb.fr

Le Pèlerin

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 08:18

Economie - Le pétrole à 250 dollars le baril en cas de sanctions contre l'Iran

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Le prix du pétrole grimpera à 250 dollars le baril si les Etats-Unis et l'Europe décident des sanctions sur l'achat du pétrole iranien, a prédit le chef de la commission économique du Parlement iranien, Arsalan Fathipour, cité hier par le quotidien Kayhan.

«Si les Etats-Unis et certains pays européens imposent des sanctions contre le pétrole et le gaz iranien, le prix du baril du pétrole grimpera à 250 dollars», selon M. Fathipour. L'Union européenne a élargi jeudi la liste des sociétés et des personnalités iraniennes touchées par les sanctions visant le programme nucléaire iranien controversé, et a annoncé l'étude de nouvelles mesures contre les secteurs pétrolier et financier de l'Iran. La France et l'Allemagne souhaitent notamment imposer un embargo sur l'achat de pétrole iranien. La Chine, l'Inde, le Japon, la Corée du Sud et la Turquie sont les principaux acheteurs de pétrole iranien, mais Téhéran vend tout de même quelque 450 000 barils/jour (près de 18% de ses exportations) aux pays de l'Union européenne, essentiellement l'Italie, l'Espagne et la France, selon les chiffres du Département américain à l'Energie (EIA). Dans le même temps, le Sénat américain a voté jeudi des sanctions contre la Banque centrale iranienne qui contrôle les transactions sur le pétrole, malgré les réticences de l'administration du président Barack Obama qui craint des perturbations sur le marché pétrolier. Les tensions autour de l'Iran, deuxième producteur de l'OPEP après l'Arabie saoudite, ont fait monter le prix du pétrole ces derniers jours.

Source Le Soir d’Algérie

Le Pèlerin

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