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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 09:01

Une éclipse solaire partielle sera visible en l’Algérie mardi matin

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Une éclipse solaire partielle se produira dans la matinée de mardi prochain et sera visible en Algérie, a indiqué jeudi le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG).

L’éclipse débutera à Alger à 07h43 mn et se terminera à 10h10 mn. Elle verra son maximum à 08h52 mn, avec un taux de 56,3%, précise le CRAAG, ajoutant que dans les autres régions du pays la grandeur de cette éclipse sera variable de 30% à Tamanrasset à 60% à El Kala. Le phénomène, né de l’interposition de la lune entre la terre et le soleil, sera également partiel dans le monde et touchera ainsi les régions de l’Afrique centrale et de l’ouest et la Sibérie (Russie). Il atteindra son maximum au nord de la Suède avec un taux de 85,72%

Source  Algérie 360

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 08:51

Algérie - Jijel - Irriguer les plaines côtières

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Le projet d’irrigation des plaines côtières de la bande Jijel-Taher, sur une superficie de 4 885 hectares, donnera une nouvelle impulsion à l’agriculture dans cette wilaya du littoral.

«Cette action s’ajoute à l’étude de réhabilitation du périmètre irrigué de Belghimouze, sur une surface de 800 hectares», a indiqué, hier, le Directeur de wilaya de l’hydraulique (DHW). Ce même responsable estime que le projet d’irrigation des plaines côtières, inscrit en août 2002 à l’indicatif de l’Agence de gestion des irrigations et drainages (Agid), avant d’être transféré, en novembre 2010, à la DHW, doté d’une Autorisation de programme (AP) de 39 milliards de dinars, enregistre un taux d’avancement proche des 100%. «Ce projet n’a cependant été réceptionné que «partiellement» en raison de l’opposition des propriétaires de terrains riverains», a indiqué Tahar Iftini, précisant toutefois que les modalités d’expropriation sont aujourd’hui en voie d’achèvement. Le changement opéré en matière de tracés et les retards dans la réalisation imputables à l’entreprise spécialisée dans l’aménagement hydraulique, font également partie du lot de contraintes rencontrées par cet important projet destiné à irriguer d’importantes superficies agricoles, selon ce responsable qui a ajouté que la gestion de ce périmètre irrigué a été confiée à l’Office national d’irrigation et de drainage (Onid) en mai 2010. Le projet de Belghimouze porte sur une étude de réhabilitation de cette aire agricole de 800 hectares. Confié à un bureau d’études spécialisé pour un délai de six mois, ce projet est considéré comme «important» dans la mesure où il permettra de réhabiliter un grand espace agricole en vue de donner une nouvelle dynamique à la production agricole dans cette région. Une région, a rappelé le DHW, caractérisée par le maraîchage de plein champ ainsi que par la plasticulture dont les produits «inondent» les marchés de plusieurs régions de l’est du pays. Parmi les autres projets en cours d’exécution, le même responsable a noté l’aménagement de l’oued Boukraâ sur 3,8 km, l’ouverture et l’aménagement des pistes agricoles sur 90 km et la réalisation d’un réservoir de 11 160 m3 destiné à renforcer l’Alimentation en eau potable (AEP) de plusieurs localités. Le DHW relève cependant «certaines contraintes» contrariant la mise en œuvre des programmes du secteur. Il s’agit notamment, selon lui, du manque d’entreprises spécialisées dans le domaine hydraulique et l’insuffisance, voire l’absence de moyens de contrôle et de suivi des projets.

Source Infosoir R .L. / APS

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 08:41

Algérie - À cause d'une décision de justice - Des émeutes éclatent à Souk Ahras

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Des barricades ont été dressées par les manifestants au niveau de plusieurs rues de la ville paralysant du coup la circulation. Des slogans hostiles à la justice ont été scandés par des jeunes en furie.

Des dizaines de jeunes des quartiers du centre-ville de Souk Ahras se sont regroupés de manière spontanée pour exprimer leur solidarité avec la famille Guendouz, en grève de la faim depuis dimanche dernier, pour protester contre une grave dérive judiciaire commise par la cour de Guelma (voir notre édition de lundi). Hier, des barricades ont été dressées par les manifestants à partir de 10 h au niveau des rues Frantz Fanon, Pasteur et Sainte-Monique, paralysant, du coup, la circulation pendant plus de 30 minutes.

Des pneus et des objets enflammés étaient déposés sur la chaussée au moment de notre arrivée sur les lieux. Des slogans hostiles à la justice ont été scandés par les jeunes en furie. «Aâdala Taâ El Bey» (justice corrompue), «Haouzou Taâ Essarka» (renvoyez les voleurs), et autres propos préjudiciables. D’autres ont dénoncé le mutisme des pouvoirs publics, les députés et sénateurs qui ont brillé par leur absence. A 11 h, le nombre des manifestants a dépassé les 200, et le mouvement a failli déborder. L’arrivée du chef de la sûreté de la wilaya et du P/APC de Souk Ahras au milieu d’un impressionnant cordon de sécurité, a réussi, momentanément, à apaiser les esprits. Mais les manifestants ont juré de recourir à des regroupements périodiques jusqu’à ce que soit revue la peine infligée, à tort, d’après eux, aux deux frères Guendouz. Le premier responsable de la sûreté a promis, de son côté, d’aviser les concernés.

Après quatre jours de jeûne, Rachid Guendouz, le père des deux victimes, a été évacué par les services de la Protection civile, en présence du même responsable, au service des urgences dans un état jugé inquiétant. Hormis le sérum, le sexagénaire gréviste refuse de renoncer à la grève qu’il compte «couronner» par le suicide. A rappeler que la cour de Guelma avait condamné Slimane et El Hachemi à une peine de dix ans de prison ferme pour une rixe où la partie plaignante a officiellement chargé son avocat d’annoncer, lors du procès, le retrait de la plainte. Mieux encore, la famille de la victime soutient les Guendouz dans toutes leurs démarches pour faire valoir leurs droits.

Source El Watan Abderrahmane Djafri

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 08:17

Algérie - Lancement d'une quinzaine de projets routiers à Alger en 2011

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Plusieurs projets de réalisation d'infrastructures  routières dans la wilaya d'Alger seront lancés en 2011 avec une enveloppe  financière globale de 30 milliards de dinars, a annoncé jeudi le ministre des  Travaux publics, Amar Ghoul.

"Environ une quinzaine de projets routiers seront lancés en 2011 dans  l'est, le centre et l'ouest de la capitale, en complément des projets d'infrastructures  et d'aménagements routiers précédents, pour rendre plus fluide la circulation  automobile à Alger", a déclaré Amar Ghoul à la presse à l'issue d'une visite d'inspection  de plusieurs projets en cours de réalisation.

Ces nouveaux projets, inscrits au titre du quinquennat 2010-2014, devraient  raccorder directement plusieurs zones urbaines à la rocade sud d'Alger (Ben  Aknou-Dar El Beida) et même au segment centre de l'autoroute Est-Ouest, a-t-il  précisé. 

Il s'agit essentiellement, selon le ministre, de réaliser un grand viaduc long  de 2 km reliant Baraki à Oued Ouchayah et le dédoublement des chemins de wilaya  121 (Ain Taya-Khemis El Khechna), 122 (Reghaia-RN24) et 149 (Tamenfoust-Rocade  sud).  

Selon les explications fournies par des responsable de la Direction  des Travaux publics d'Alger (DTP), les projets en question comprennent également  des liaisons routières de contournement des agglomérations de Saoula et Draria,  ainsi que la réalisation de trois trémies, à Said Hamdine (Bir Mourad Rais),  Garidi (Kouba), alors que la troisième devra relier la Place Addis Abeba (Mouradia)  au Val d'Hydra sur 1 km.      

Concernant l'équipement de l'autoroute Est-Ouest  (1.216km), Amar Ghoul a indiqué que les appels d'offre relatifs au projet de  réalisation des points de péage et des aires de repos le long de cette autoroute,  seront lancés après "la validation du cahier de charge par la Commission nationale des marchés". 

Source El Watan

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 08:15

Algérie –Abus de mendicité

mendicite

L’épineux problème de la mendicité a fini par atterrir dans l’hémicycle du Conseil de la nation. A ce niveau de prise en charge d’un phénomène qui a de tout temps miné la société, il est attendu des solutions d’une grande portée à défaut de son éradication pure et simple. Il est vrai que dans un pays où le pouvoir d’achat est insignifiant et le chômage galopant, il n’est pas aisé de distinguer le vrai nécessiteux du mendiant professionnel omniprésent. Le mérite d’une approche pragmatique et officielle sera alors de définir le profil des personnes ne méritant pas seulement la compassion de la société, mais surtout une aide organisée des pouvoirs publics acheminée à travers des canaux officiels garantissant le respect de la dignité humaine.

Les retombées d’une telle politique seront aussi multiples qu’inestimables. Elle mettra fin à l’abominable exploitation des enfants et des malades par ces mendiants véreux, mus par le gain rapide et facile ainsi que tous les réseaux qui les dirigent dans l’ombre. Si la menace d’emprisonnement est brandie contre tous ceux qui font de l’innocence et de la détresse des enfants un moyen pour s’enrichir, il y a lieu aussi d’impliquer et de responsabiliser le mouvement associatif qui gravite autour de l’enfance. Ce dernier doit remplir sa mission de défense et de protection de cette frange fragile de la population. Car pour l’heure, force est de constater une totale inertie de la part de ces associations, mis à part une certaine effervescence qui s’empare de leurs membres à l’approche des dates commémoratives.

L’implication effective dans la lutte contre la mendicité ne doit évidemment pas se limiter qu’aux autres et à la simple répression des effets visibles qui indisposent le regard des gestionnaires du pays et qui témoignent de leur responsabilité. Il doit être surtout question de s’attaquer aux origines de la paupérisation des couches sociales qui fait le lit de la mendicité et un terrain propice pour des imposteurs de tout acabit. Et c’est là le rôle dévolu aux représentants du peuple chichement payés.

Source El Watan Ali Guissem

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 07:24

Rétrospective de l'année 2010 à Souk Ahras  Harraga, grève de la faim et suicides

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L’année 2010 a connu des changements à la tête de plusieurs directions et structures décisionnelles, notamment au niveau du poste de premier responsable de l’exécutif, ceux du secrétaire général de la wilaya, du directeur de l’administration locale, du directeur de la règlementation et des affaires générales et des chefs de daïra de Merahna, Ouled Driss, Oum Laâdhaiem et Heddada.

Cette valse qui n’a pas épargné d’autres membres de l’exécutif, des officiers de police et des magistrats, touchera d’autres secteurs dans les mois à venir. L’année 2010 aura été, aussi, celle de l’épilogue de l’affaire du ciment. Au moins 19 entrepreneurs, dont un est déjà incarcéré, ont été interpellés par les services de la gendarmerie nationale, pour spéculation, falsification de documents, faux et usage de faux et atteinte à l’économie nationale. Souk Ahras, wilaya épargnée par le phénomène des harraga à cause de son éloignement de la côte, a eu à accueillir, le mois de décembre de l’année en cours, 36 clandestins originaires des wilayas de Annaba et Skikda. Ils ont été arrêtés par les gardes-côtes tunisiens, non loin de la ville de Tabarka alors qu’ils se dirigeaient vers la Sardaigne à bord d’une embarcation de fortune. Les mis en cause comparaîtront prochainement devant la justice pour sortie illégale du territoire national. La large mobilisation suscitée par l’affaire Gharbi et l’implication des forces vives de la nation a abouti à une commutation de sa peine capitale en une condamnation à 20 ans de prison ferme.

Les rudes épreuves auxquelles a été soumis l’homme font encore couler beaucoup d’encre. Privé de prise en charge médicale, le moudjahid a fait valoir son droit à la médecine par une grève de la faim. Une famille entière vient de lui emboîter le pas pour protester contre la condamnation, après appel, de Slimane et El Hachemi à une peine de dix ans de prison ferme pour tentative d’homicide volontaire avec préméditation. Un chef d’accusation que même la famille de la victime réfute. Le mois d’octobre de l’année écoulé a été également marqué par un triste évènement qui a suscité moult questions : le décès de deux jeunes âgés respectivement de 26 et 34 ans, après consommation de psychotropes périmés. Cette affaire a remis à l’ordre du jour, le suicide, un phénomène national qui a atteint la cote d’alerte.  

Source El Watan Abderrahmane Djafri

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 07:21

Algérie - Secteur de l’hydraulique - L’année des grands barrages

barrages eau a gogo

 

L’année qui s’achève a été marquée par la réalisation de nombreux projets, dont plusieurs barrages ayant contribué à l’amélioration de l’alimentation en eau potable et de l’irrigation des terres agricoles. C’est notamment à l’ouest et au centre du pays que les barrages les plus importants ont été réalisés, mais ni le sud ni l’est du pays n’ont été en reste. Une enveloppe de 26 milliards de dollars est consacrée à l’achèvement des projets en cours et au lancement d’autres.

Le secteur des ressources en eau a connu, en 2010, la réalisation de nombreux projets ayant permis l’approvisionnement de différentes régions du pays de cette ressource vitale et contribué à l’irrigation de grandes superficies de terres agricoles. Invité, ce matin, de la chaîne III de la radio nationale, le premier responsable du secteur, Abdelmalek Sellal, a évoqué ces réalisations et les projets inscrits dans le cadre du plan quinquennal du développement pour la période 2010-2014.

«Les grands projets réalisés en 2010 sont, entre autres, le projet de transfert Mostaganem-Arzew-Oran (MAO), qui a permis l’approvisionnement de la région oranaise. Koudiet Asserdoun, deuxième grand barrage du pays qui alimente toute la région du sud de la wilaya de Tizi Ouzou et une partie de la wilaya de Bouira. Ce transfert continue vers Médéa, M’sila et Boughezoul et se terminera à la fin de cette année», a souligné le ministre. M. Sellal a également évoqué d’autres transferts qui ont été mis en service, tels le barrage Tichy Haf, qui alimente près d’une trentaine de communes, le grand barrage de Gargar dans la région de Relizane, le barrage de Kramiss qui approvisionne en eau toute la région de Dahra. D’autres grands projets ont été, précise le ministre, lancés et seront réceptionnés prochainement. C’est le cas du transfert des hautes plaines sétifiennes, dont une grande partie sera mise en service à la fin 2011, le reste en 2012. Un autre transfert a également été lancé depuis deux mois à partir du grand barrage de Beni Haroun vers le nouveau barrage de R’kiss, qui se termine en juin 2011 pour alimenter toute la région d’Oum El-Bouaghi et un autre grand transfert à partir de Beni Haroun vers le barrage de Koudiet Lemdouar dans la wilaya de Batna, «pour améliorer et pérenniser définitivement l’alimentation en eau potable de Khenchela, Batna et surtout créer un grand périmètre agricole dans cette région».

Le gros projet qui est en cours de lancement concerne le transfert de Chet El-Gharbi, au sud de Tlemcen, et qui va toucher le sud de la ville, le nord de Naâma, le sud de Sidi Bel Abbes et la région ouest de Saïda. «L’appel d’offres vient d’être lancé et les travaux vont démarrer incessamment», a encore affirmé l’invité de la radio nationale. Il a ajouté que l’étude d’un des grands transferts à partir du sud de la région d’El-Goléa et Laghouat, un projet baptisé «Djelfa 2010», qui permettra un transfert de 600 millions de mètres cubes par an à partir de Goléa vers le sud de Tiaret et vers le sud de M’sila, en alimentant Djelfa sur le parcours, est en cours. «Les études sont en phase finale et le lancement devrait se faire en 2012», a précisé le ministre. Une bagatelle de 26 milliards de dollars a été allouée au ministère pour terminer les travaux en cours et lancer les projets décidés. Concernant le traitement des eaux usées, M. Sellal a souligné que l’objectif est d’atteindre une capacité d’épuration de un milliard de mètres cubes d’ici à 2014.

Source Infosoir A.H.

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 07:15

Algérie - 2010, année faste, année noire, elle a été marquée par la corruption

corruption algerie-copie-1

"Que celui qui n'a jamais pêché jette la première pierre !" Si l'on venait à appliquer cette prédication, cela risquerait sûrement de donner un désert de pierrailles tant le nombre de pierres jetées et tant le phénomène de la corruption s'est largement et profondément ancré au sein de la société.

Phénomène atypique, phénomène du siècle, il est en tout cas devenu un langage universel à voir le nombre d'affaires relevant de la corruption.

Métro d'Alger, ports d'Oran et d'Alger, Tassili Airlines, pêche affectée par l'odeur nauséabonde du thon pourri, l'hydraulique, les chemins de fer, Algérie Télécom et autoroute Est-Ouest, pour clore ce tableau déjà si bien garni. Autant d'affaires de corruption et de malversations dont la  plus marquante en cette année 2010 reste l'affaire Sonatrach. Si dans les années 2000 l'Algérie a connu son plus grand scandale économique grâce à l'affaire Khalifa, une décennie plus tard, ce sont des dizaines de milliards de dinars qui ont fluctué, depuis, dans l'informel sous forme de bakchich.

La vie politique et économique en a été lourdement affectée, semant doute et panique au sein des sphères  managériales du pays. La chronologie des affaires. En janvier 2010, une enquête du DRS avait percé la plus grosse affaire en  mettant à jour le scandale de corruption de la Sonatrach. Son P-DG, Mohamed Meziane et treize cadres dirigeants dont trois vice-présidents, ont été inculpés par la justice pour divers affaires de corruption. Deux des vice-présidents, un ancien P-DG de la banque publique, le Crédit populaire d'Algérie (CPA), et son fils, dirigeant un bureau d'études, ainsi que les deux enfants du P-DG de Sonatrach et la toute récente mise sous mandat de dépôt de l'ancien P-DG par intérim Abdelhafid Feghouli. L'affaire  de l'autoroute Est-Ouest a mis en cause quatre personnes, dont le secrétaire général du ministère des Travaux publics, arrêtées car soupçonnées d'avoir touché des pots-de-vin dans des contrats liés à ce mégaprojet.

Le président-directeur général de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA) est, à son tour, rattrapé par le même scandale lié à la corruption. Ce dernier  relève du ministère des Transports. Il est soupçonné d'avoir passé un ou plusieurs marchés dans le cadre des nombreux projets placés sous la responsabilité de l'Entreprise du métro d'Alger. Cela a mené à la mise en détention provisoire du directeur de la planification du même ministère. Celui-ci, aurait  été également poursuivi pour corruption dans le cadre du marché d'équipement du projet du métro d'Alger, estimé à 380 millions d'euros. Dans le même contexte de la corruption, la lutte engagée a permis de se pencher sur le cas de Tassili Airlines où une vingtaine de marchés avaient été octroyés de gré à gré par des responsables de la compagnie aérienne dont les actions sont détenues par le groupe Sonatrach. Le domaine agricole a fait, lui aussi, parler de lui

Le département de M. Benaïssa a connu, de son côté, détournement, dilapidation et autres gabegies. Les services de sécurité ont avancé un nombre de 4000 dossiers relatifs aux exploitations agricoles collectives et individuelles (EAC et EAI) remis entre les mains de la justice. Ainsi, les investigations menées par les services de la Gendarmerie nationale depuis novembre 2005, dans le cadre de l'enquête sur le foncier agricole, se sont soldées par la remise de milliers de procès-verbaux aux juridictions des parquets généraux. Les multiples efforts consentis  dans la lutte contre la corruption n'ont pas été à la hauteur du crime économique. La création d'un office central de la répression de la corruption, tout comme la redynamisation de la Cour des comptes et les supplémentaires prérogatives données à l'IGF ainsi que la révision du code des marches publics, la déclaration du patrimoine "familial" et tout récemment l'implication des assurances et des impôts ainsi que la prise en compte des signes apparent de richesse, démontrent l'ampleur de ce fléau

Source Le Maghreb Azzedine Belferag

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 07:07

Algérie - Plusieurs mesures d’allégement fiscal pour la relance du secteur du tourisme

thermalisme algerien

 

Le ministre du Tourisme et de l’artisanat, Smail Mimoune , a affirmé jeudi à Alger que l’Etat a pris une série de mesures d’allégement fiscal pour la relance du secteur du tourisme.

Répondant à une question orale posée par un député de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mimoune a affirmé que l’Etat a adopté plusieurs mesures fiscales en vue de relancer l’investissement dans le domaine du tourisme, depuis la promulgation de La loi de finances complémentaire (LFC 2009). Parmi les mesures prises, le ministre a cité « l’exemption de l’impôt sur les activités professionnelles concernant le chiffre d’affaires réalisé en devises en matière d’activités touristiques hôtelières, balnéaires, de restauration et voyages ». Il s’agit également de la réduction de taxe sur la valeur ajoutée de 17% à 7% sur les prestations relatives aux activités touristiques et l’application d’un taux d’intérêt de 3% pour les crédits bancaires destinés à la modernisation des hôtels dans le nord et de 4,5% pour la modernisation des structures hôtelières du sud du pays, a-t-il ajouté.

Source  Algérie 360

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 05:13

Koléa (Tipaza) - 2 741 RDV pour le passeport biométrique

passeport biometrique

 

En attendant la généralisation du nouveau passeport biométrique, les services de la daïra de Koléa continuent à établir l’ancien passeport dont la date butoir de validité est prévue pour le 24 novembre 2015. Cependant, l’établissement des nouveaux passeports biométriques a été lancé à titre pilote au niveau de la daïra depuis le 4 avril écoulé. Selon les autorités locales, 2 741 personnes concernées se sont présentées à leurs rendez-vous au service du biométrique depuis le coup d’envoi de l’opération au 21 décembre 2010, à raison d’une quinzaine de rendez-vous /jour. 1 560 personnes se sont manifestées et ont eu leurs rendez-vous maintenus et confirmés, mais 1 181 autres ont été différés ou reportés pour de multiples raisons dont l’absence du concerné ou des problèmes au niveau des dossiers. Parmi ces dossiers maintenus, l’on compte 1 453 adultes et 107 enfants âgés de moins de 12 ans. Ces derniers dont l’âge ne permet pas le prélèvement des empreintes, ont été uniquement pris en photo. Pour les autorités locales de Koléa, le personnel mobilisé pour cette opération du biométrique – devenue un acte simple – est suffisant et actuellement rodé au niveau de tout le service notamment l’accueil, la vérification, la saisie, la certification et l’enrôlement. Enfin, pour les cartes d’identité nationale, c’est un non-stop de rendez-vous au niveau du service concerné soit une trentaine quotidiennement car leur établissement ne passe pas par la phase de l’enrôlement selon nos interlocuteurs. Toutefois, il y a lieu de signaler que le retrait de l’extrait de naissance «12 S» au niveau de la daïra qui compte trois communes (Koléa, Hattatba et Chaïba), constitue une contrainte pour les services de la commune notamment pour Koléa et également pour les citoyens. La commune de Koléa connaît un grand afflux de demandeurs du «12 S» suite aux importants taux de naissances quotidiens au niveau de son hôpital qui était un CHU auparavant. Quelque 1 681 demandes sont en cours de traitement selon nos interlocuteurs et en fonction de la disponibilité des documents. A travers ces trois communes de la daïra, 7 461 passeports ont été délivrés dont les 2/3 au niveau de la commune de Koléa. Ce qui constitue un gros travail pour les éléments chargés de l’établissement du document et la longue attente de beaucoup de citoyens qui nous ont exposé leurs préoccupations par rapport à la lenteur de délivrance. Les autorités locales nous ont confirmé l’insuffisance de documents. Ce qui les pousse à délivrer en priorité le «12 S» d’abord aux demandeurs les plus distants et surtout pour les cas urgents (maladies…).

Source Infosoir Souad Labri

Le Pèlerin

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