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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 07:37

Algérie - Le système rentier algérien, une source de tensions sociale et économique

vie algerienne

Il est unanimement admis par les analystes sérieux, privilégiant uniquement les intérêts supérieurs de l’Algérie, qu’un changement de lois n’apporterait rien de nouveau si l’on maintient le cap de l’actuelle gouvernance politique et économique.

Efficacité gouvernementale et gouvernance rénovée

Sans  changement  de système politique, il ne sert à rien de changer de personnel politique. C’est ce qui se passe en Algérie depuis des décennies. N’avons-nous pas  des ministres inamovibles ? Certains depuis les années 1980, la composition à 90% étant sensiblement la même depuis 2000. Les Algériens et les étrangers voient toujours les mêmes têtes sans bilans  avec des permutations perpétuelles, comme si l’Algérie était stérile  avec ce discours lassant et qui ne porte plus, on prépare la relève pour la jeunesse. L’essentiel  est d’éviter l’inertie. Or, les enquêtes  des  instituts de psychologie du travail internationaux montrent clairement que pour les managers économiques (PDG de grandes entreprises) ou des managers politiques (ministres),  qu’au delà de cinq années, pour 75% de cas, 25% étant des femmes ou hommes exceptionnels - ils deviennent amorphes et incapables d’innovation, avec le risque de s’entourer d’une cour aussi stérile d’où le danger d’une inertie générale alors que le monde évolue. Cela explique que souvent dans les grands pays démocratiques on limite les mandats présidentiels à deux. 

En dynamique, une nation qui n’avance pas recule forcément, la maîtrise du temps étant le principal défi des gouvernants au XXIème. Il semble bien  que la majorité de nos dirigeants ne tiennent pas compte de ce facteur temps, surtout que les réserves d’hydrocarbures iront vers l’épuisement dans 20/25 ans au maximum. Donc posant la problématique de la sécurité nationale. 

Comme analysé dans plusieurs de mes contributions depuis 1992, le gouvernement invoquant la crise économique, prône le patriotisme économique. Mais que l’on s’entende bien sur ce mot en évitant la  confusion du fait de l’ancienne culture bureaucratique entre le tout Etat, la diabolisation du secteur privé national et international, et un rôle plus accrue de l’Etat régulateur stratégique en économie de marché. C’est une différence de taille pour toute politique économique fiable devant tenir compte de cette dure réalité, malgré la crise mondiale, d’une économie de plus en plus globalisée. Il ne s’agit pas d’opposer le secteur d’Etat au secteur privé mais de soumettre le secteur d’Etat aux principes de l’efficacité dans un environnement concurrentiel supposant un management stratégique et non une gestion administrative. Lorsqu’on sait que l’assainissement des entreprises publiques en Algérie a coûté au Trésor public plus de 50 milliards de dollars entre 1971/2011  sans résultats probants, 70% des entreprises publiques étant revenues à la case de départ alors que ces montants auraient pu être consacrés  à la création de nouvelles entreprises dynamiques de quoi créer tout  un nouveau tissu productif et des millions d’emplois à valeur ajoutée. Bon nombre d’institutions internationales classe l’Algérie à un niveau déplorable entre 2006/2011, classement   qui ne reflète pas les potentialités énormes du pays. Les experts nationaux ont tous souligné le poids de la bureaucratie, l’instabilité juridique et le manque de clarté dans les nouvelles dispositions du gouvernement algérien. C’est dans cet esprit sans études d’impacts que rentrent les décisions hasardeuses du passage sans transition du Remdoc au Crédoc (crédit documentaire), qui n’ont pas eu d’impacts ni sur la traçabilité (existant déjà au niveau  du Remdoc) ni sur la baisse de la valeur des  importations  tout en pénalisant  la majorité des PMI/PME constituant 90% du tissu productif. Comme  la contrainte 51 % aux Algériens dans tout projet d’investissement et 70 % des parts algériennes dans les sociétés d’import étrangères alors qu’il fallait privilégier une balance devises excédentaires, l’apport technologique et managérial pour un partenariat gagnant /gagnant. Ce  qui a entrainé une chute de plus de 40% des IDE hors hydrocarbures sans compter les litiges au niveau des tribunaux internationaux, une loi n’étant jamais du point de vue du droit international rétroactive sauf si elle améliore la précédente.

Comme il convient de se demander pourquoi ces échecs répétés depuis 2007 aucune grande compagnie étrangère n’a été intéressée par les avis d’appel  d‘offre de l’Alnaft (structure dépendante du ministère de l’Energie) pour les gisements d’hydrocarbures, le dernier échec étant l’avis d’appel d’offre de mars 2011. Cela est plus patent pour l’aval, c'est-à-dire les segments pétrochimiques produits semi-finis et finis répondant aux valeurs internationales dont les parts de marché avec des structures oligopolistiques sont déjà pris au niveau mondial (amortissement déjà réalisé) où avec les 49/51% il  faut  s’attendre à aucun investisseur étranger potentiel. Cette situation de changement perpétuel de cadres juridiques démobilise tant les cadres du secteur économique public que les opérateurs privés nationaux et internationaux. Cela montre clairement la dominance de la vision administrative et non économique liée à l’absence de visibilité et de cohérence dans la démarche de la réforme globale, renvoyant au blocage systémique intiment lié aux aspects de gouvernance (Etat de droit notamment) du fait que l’on ne peut isoler la gouvernance de l’entreprise de la gouvernance globale.

C’est que l’Algérie est toujours dans cette interminable transition depuis 1986 vers l’économie de marché, qui doit se fonder sur des mécanismes concurrentiels dans tous les domaines, cohabitant une gestion administrée toujours dominante avec des embryons de libéralisation et le risque de passage d’un monopole public à un monopole privé spéculatif du fait de la non mise en place d’une manière cohérente de mécanismes de régulation nouveaux de marché avec un rôle stratégique de l’Etat régulateur. Comme en témoigne le poids de la bureaucratie, la corruption (renvoyant à la refonte de l’Etat), la léthargie du système financier, l’épineux problème du foncier et enfin l’inadaptation du système socio-éducatif et la dominance des emplois/salaires rentes (dévalorisation du savoir) montrant l’absence d’une politique salariale fondée sur le travail et l’intelligence malgré des discours que contredisent les pratiques sociales.

L’impact de la nouvelle donne internationale sur la gouvernance

Ce n’est pas à la population algérienne de changer de comportement mais d’abord à nos dirigeants devant donner l’exemple, qui n’ont pas encore fait leurs mues culturelles. Ils vivent encore à l’ère du parti unique. Or, nous avons deux options : soit satisfaire les appétits partisans par une redistribution passive de la rente en maintenant l’actuel système politique. Aux dernières élections législatives par rapport aux inscrits, les partis  FLN/RND/MSP ont représenté 13% tout en précisant que les partis FLN, RND et MSP  ne sont que l’éclatement de l’ancien parti unique du FLN des années 1980 pour donner l’illusion d’une façade démocratique avec la création de nombreux micro-partis et organisations satellitaires. Cela explique le peu d’impacts sur la société, ceux-ci incapables de mobiliser et de sensibiliser (non crédibles), laissant lors d’émeutes  les citoyens face aux services de sécurité. 

Sans intermédiation crédible de réseaux sociaux, combinée avec la panne économique où tout est irrigué par les hydrocarbures, 98% des exportations et important 75% des besoins des entreprises et ménages, donnant des taux de croissance et de taux de chômage fictifs,  cela ne peut que conduire à une déflagration sociale à terme. L’Algérie ne saurait invoquer sa spécificité face au printemps démocratique qui secoue le monde arabe et devrait méditer les nouvelles mutations politiques. Pour éviter les réformes du régime, certains dirigeants arabes se réfugiant dernière l’islamisme radical, le combat contre le terrorisme et invoquant la main de l’extérieur comme facteur de déstabilisation. 

Or ce sont des combats d’arrière-garde, les Occidentaux les ayant abandonnés malgré leur servitude, dans la politique n’existant pas de sentiments mais des intérêts), à l’instar des anciens dirigeants tunisiens, égyptiens, libyens et des actuels dirigeants yéménites et syriens. Avec l’avènement  d’Internet qui modèle l’opinion et l’entrée des sociétés civiles, ces discours ne portent plus ce qui préfigure d’ailleurs une reconfiguration des nouvelles relations internationales prenant en compte les exigences de dignité et de liberté au niveau des populations du Sud. Certes, le danger  extrémiste source d’intolérance est réel  mais les grandes puissances ont fait comprendre  aux  dirigeants arabes (et à certains dirigeants d’Afrique)  qui deviendront à terme de plus en plus minoritaires, se réfugiant derrière le  statut quo par le frein à la démocratisation avec une répartition inégalitaire des richesses et la corruption d’une certaine caste, que leurs comportements favorisent le terrorisme et l’islamisme radical et qu’ils en sont en grande partie responsables. 

Ce n’est pas par philanthropie mais certes mus par des intérêts économiques et voulant éviter que des milliers de jeunes qui rêvent de s’enfuir vers les USA, le Canada et l’Europe viennent alourdir leur taux de chômage. Encore que l’exode de cerveaux massif des pays arabes et l’Afrique est souvent voulue par certain dirigeants arabes malgré certains discours de propagande à usage de consommation intérieure envers la diaspora  alors qu’ils ne font presque rien pour retenir ce qui reste,  vidant la substance de leurs  pays. C’est que l’élite ne peut s’assimiler à un tube digestif mais aspire  à conquérir des espaces de libertés par la participation à la gestion de la Cité.

Source Le Matin DZ Abderrahmane Mebtoul

Le Pèlerin

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 19:50

Biographie de Guy Bedos
Guy-Bedos.jpg
 Né à Alger le 15 juin 1934 à Alger

Son enfance se déroulant dans l'Algérie coloniale, Guy Bedos grandit dans un environnement de clivage et de mépris. Il arbore les scènes du music-hall avant de se lancer dans une carrière d'humoriste. Un film, 'Dragées au poivre', lui permet d'entamer sa carrière d'artiste ; il y rencontre Sophie Daumier. Dès lors, il se lie à cette jeune comédienne à la scène mais également dans la vie. Leur alliance est loin d'être infructueuse, en effet nombre de leurs sketches, tel 'Les Vacances à Marrakech', deviennent des classiques. Ils se séparent, mais Guy Bedos ne délaisse pas la scène pour autant et s'essaie en solo, il obtient notamment en 1990 le Molière du meilleur one-man show pour son spectacle au Zénith. Malgré son humour grinçant et son engagement politique prononcé, la virulence de ses propos ne dénigre en rien son bagou. Il réapparaît sur scène en duo avec Muriel Robin et retrouve son éloquence de toujours. Depuis c'est en solo qu'il reprend la route avec son nouveau one-man show 'En piste'. 
Vous désirez certainement en savoir plus, aussi je vous convie à cliquer sur les liens suivants :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Bedos

http://tele.fluctuat.net/guy-bedos.html

http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=3553.html
en cliquant sur le lien vous pourrez visionner un de ses meilleurs sketches :

La Drague

http://video.planet.fr/video/iLyROoafJepL.html#

dont je vous fournis le texte si dessous :

La Drague

 
S.D.: Qu'est-ce qu'il est collant ce type !
J'dis rien parce que je n'veux pas faire de scandale
Mais alors quel pot de colle !
Y s'fait des idées ou quoi ?
J'ai accepté de faire cette série de slows avec lui
Pour pas faire tapisserie d'vant les copines
Mais alors... j'en vois plus l'bout !

G.B.: Mine de rien j'suis entrain d'emballer moi !
J'emballe, j'emballe sec
Allez ! vas-y Jeannot ! Attaque ! Attaque ! Ca marche ! Ca marche !
Accroche-toi Jeannot ! La nuit est à nous...

S.D.: Ca n'en finit pas !
Qu'est-ce que je regrette d'voir dit oui à c'type
En plus y s'est aspergé d'eau de toilette
Mon Dieu ! J'sais pas ce que c'est cette eau de toilette, mais alors...
Drôlement incommodant !

G.B.: Elle est pas mal ma cavalière
Elle est pas terrible, terrible, mais elle est pas mal
Pour une fois j'ai pas hérité de la plus moche
Y a pas longtemps j'me suis coltiné une géante toute la soirée
Au moins celle-là elle est à ma taille
Elle est pas terrible, mais elle est à ma taille

S.D.: Pas du tout mon genre ce garçon
Moi j'aime les grands blonds alors j'suis servie
Comme métèque on ne fait pas mieux
J'suis sûre qu'y doit être Libanais ou quelque chose...
Quelle horreur !
Et puis alors il me donne chaud à me coller comme ça
Et vas-y que j'te colle, et vas-y que j'te colle !

G.B.: Dommage qu'elle ait les mains moites
Ça m'gêne pas des masses, mais elle a les mains moites
C'est parce que je dois lui faire de l'effet
C'est l'excitation, ça !
 
J'vais lui mordiller le lobe de l'oreille
Si elle m'fout pas une baffe c'est qu'j'ai ma chance
Ouais ! C'est pas dans la poche ! Faut s'accrocher
Accroche-toi Jeannot !

S.D.: Y m'a mordu l'oreille, y m'a fait mal ce con,
Il est con ce type
Ah ! Et puis alors qu'est-ce qu'y cocotte !
Cette eau de toilette... nauséabonde
Si y avait pas les copines qui m'regardent
Comment que j'te planterais là
Mais ça Arlette et Josie j'vais pas leur faire ce plaisir
Elles en sont vertes de m'voir danser, malades de rage
Alors ça maintenant tant pis, j'vais au bout...
Mais alors on peut dire qu'ça me coûte

G.B.: Elle en peut plus, j'la rends dingue la poulette
Et encore j'n'ai pas sorti le grand jeu
Attends un peu que j'me déchaîne
Allez vas-y, vas-y Jeannot ! Emmène-la au ciel !

S.D.: J'ai envie de vomir...
C'est la dernière fois que j'viens danser
Tant pis si j'coiffe Sainte-Catherine, mais alors !
Des excités comme ça merci bien !

G.B.: J'vais lui griffer l'dos avec mon pouce
Il paraît qu'elles adorent ça ces chiennes !
J'l'ai lu dans une revue spécialisée
On va voir c'que ça donne
J'vais partir du bas du dos et remonter jusqu'à la nuque

S.D.: Aïe ! Mais il est givré ce mec !
Il vient d'me labourer la peau du dos avec son ongle
Tu parles d'un plaisir ! Moi qui ai un mal fou à cicatriser
C'est bien ma veine ! Il a fallu que j'tombe sur un sadique
C'est tout moi ça !
Vivement qu'ça finisse ce slow parce que j'suis au bord de l'esclandre

G.B.: Bien joué Jeannot ! Elle est à point là, elle est à point...
Y a plus qu'à porter l'estocade, allez vas-y Jeannot !
Vas-y mon fils, il faut conclure maintenant !

S.D.: Berk ! berk berk berk berk berk !

G.B.: Et voilà l'travail ! C'est pas si compliqué les gonzesses
Il faut savoir s'imposer, c'est tout...
Inoubliable " Drague "

Sources diverses Internet et de Correspondantes

Le Pèlerin

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 08:03

Camus – L’Ami des Algériens
albert-camus.jpg

Sur tous les étals des librairies algériennes, on retrouve : l’Etranger, la Peste, l’Homme révolté, et bien d’autres romans de l’auteur français natif d’Algérie, en l’occurrence Albert Camus. Et ces œuvres sont exposées à des prix accessibles à toutes les bourses, à des coûts inférieurs, parfois, aux livres de Kateb Yacine ou de Mouloud Feraoun, et ce, dans le seul but de faire connaître et encourager la jeunesse algérienne à découvrir Camus, à faire aimer cet humaniste qui a tant défendu l’absurdité de la condition humaine.
Contrairement à ce qui a été dit ce 4 janvier, jour de la commémoration du 50e anniversaire de la mort de l’écrivain, dans les colonnes de la revue l’Express, que les Algériens éprouveraient un malaise, voire un rejet, envers l’auteur, comme l’intitule l’article «Camus, le mal-aimé des Algériens…» (http://www.lexpress.fr/culture/alber t-camus-mal-aime-de-la-pressealgerienne_ 839869.html) Pure spéculation, inexactitude, nous déclare la directrice de maison d’édition Dar el Manel. Les Algériens respectent l’homme de lettres qui s’est engagé à leurs côtés pour crier haut et fort l’anticolonialisme français et dénoncer l’injustice et l’oppression faite au peuple algérien. Ce prix Nobel a mené un combat pour l’Algérie, a été ferme dans sa position. Et en proposant, en 1956, une trêve civile, Camus a suscité la colère du président du Conseil, P. Mendès, et provoquait la colère des antagonistes qui scandaient dans les rues d’Alger «A mort, Camus !» «Comment l’Algérie blessée d’autrefois et l’Algérie guérie d’aujourd’hui pourrait-elle renier celui qui a failli se faire tuer par ses frères pour elle ?» s’interroge, notre interlocutrice, Mme Fennouche. Par ailleurs, nous fait remarquer un professeur de lettres étrangères, les médias francophones algériens ne consacrent pas la une de leurs journaux à cet écrivain, à l’instar de Frantz Fanon, car ce dernier a condamné le colon et aussi milité pour l’indépendance, ce docteur a marqué la mémoire des Algériens pour son soutien à la liberté. Là est la différence, mais Camus s’est levé devant le monde entier défendant la cause algérienne, et cela nous suffit pour aimer Camus, ajoute cet intellectuel. L’œuvre du fils de Mandiovi est enseigné dans nos universités, présent dans nos librairies, débattu dans nos salles de conférences. Nous connaissons les valeurs des hommes de lettres, notamment ceux auxquels la terre algérienne a été une source d’inspiration et nous savons respecter les choix et les engagements des humanistes. Pas d’amalgame entre histoire, littérature, position et opinion, souligne ce professeur. Aussi, nous rappelons aux intellectuels du monde entier, plus particulièrement aux Français, qu’Albert Camus est l’ami des Algériens et nous le commémorons à notre manière, soit à l’algérienne, conclut cet homme de lettre.
Source Le Soir d’Algérie Bennaceur
Le Pèlerin

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9 décembre 2012 7 09 /12 /décembre /2012 11:11

Un petit poème à la manière de Ronsard pour nous ….. Les plus anciens !!!

Ronsard-la-rose.jpg

 

Mignonne, allons voir si l'arthrose

Qui ce matin tant m'ankylose

Depuis qu'a sonné mon réveil

Pour clore une nuit de sommeil

Aura perdu de sa vigueur

Après un footing d'un quart d’heure.

 

Las ! Voyez comme sont les choses,

Il faudrait que je me  repose.

Mes maux, loin de se calmer

Las, las, ne cessent d'empirer.

 

Ô vraiment, marâtre nature

Avec l'âge la douleur perdure !

Donc, si vous m'en croyez, mignonne,

Tandis que votre âge fleuronne

En sa plus verte nouveauté

Avant que ne ternisse votre beauté,

Pour assouvir toutes envies

Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie ! "

Le Pèlerin

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 08:19

Que c’est beau…!! Bonheur à partager

A lire jusqu'au bout, c'est extrêmement sérieux et ça donne à réfléchir !
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées, couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'assoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
"Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager", commenta-t-elle.
Epilogue :
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve double. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent. L'origine de ce message est inconnue, mais dit-on, il porte-bonheur à chaque personne qui le transmet.
Le Pèlerin

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 08:50

"Je t'aime moi non plus", disque de 69... 1969 !

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Serge-Gainsbourg-et-revolution-des-moeurs.jpg

Serge Gainsbourg, précurseur artistique de la révolution des moeurs

 

A l'époque, il fallait oser ! Pour avoir enregistré un disque aussi sulfureux, Gainsbourg et Jane Birkin risquaient la prison. A la place, ils furent n°1 au hit-parade.

Gainsbourg était un grand séducteur, et la conquête de Brigitte Bardot fut le coup de maître de sa carrière de dragueur. "Ecris-moi la plus belle chanson d'amour", lui avait-elle demandé. Ce sera « Je t'aime, moi non plus ». Mais leur amour fit long feu... Gainsbourg était réellement effondré lorsque Brigitte le quitta.

Ils avaient enregistré un duo en grand secret

C’était le titre sulfureux en question. Or, au moment où le disque s'apprêtait à sortir, Brigitte implora Serge d'arrêter le processus par égard pour son mari, le richissime Allemand Gunther Sachs. L’enregistrement de 1967 se trouva bouclé dans un coffre-fort pour une durée de vingt ans. Mais rien n’interdisait à Gainsbourg d’enregistrer la chanson avec quelqu’un d’autre. Le choix ne manque guère, puisqu'il a dans son écurie de voix sensuelles, toutes les plus belles filles du moment: Mireille Darc, Michèle Mercier, Minouche Barelli, France Gall, parfaite désormais pour une chanson encore plus hardie que « Les Sucettes ».

Ce que Jane voit d'un oeil inquiet.

Gainsbourg fait une nouvelle conquête, Jane Birkin

De l'aveu de Jane, leur rencontre fut loin de ressembler à un coup de foudre. Mais leur couple devint néanmoins une réalité... bien que Jane doute de la fidélité de Serge : elle n'a pas assez confiance pour laisser son bonhomme dans un petit studio d'enregistrement, seul, avec une créature de rêve. Elle prend son courage à deux mains, et, bien qu'elle n'ait jamais enregistré un seul disque, les voilà partis à Londres au printemps 1969... Londres, où la chanson audite sera n°1 du hit-parade en octobre.

Serge était déjà une vedette en France, il va connaître la consécration planétaire

Le succès démarre d'abord par le circuit des boîtes de nuit car la plupart des radios censurent le disque pour cause d’apologie de la sodomie, se référant aux paroles “Je vais et je viens, entre tes reins”). Lorsqu'il rentre à Paris, Serge fait écouter l’enregistrement au directeur de sa maison de disque, qui s’alarme : "Vous, en tant qu'auteur-compositeur-interprète-producteur et moi en tant que distributeur, nous risquons la prison ! ». Le Vatican attise le scandale en demandant l’interdiction du disque, le directeur artistique italien est mis en prison. La maison de disque initiale, qui prend peur, le retire de la vente. L’enregistrement passe de label en label ce qui explique que la même chanson se retrouve sur disque AZ, Major Minor, Philips, Fontana, etc. La version la plus recherchée par les collectionneurs étant celle dont la pochette offre une photo de Jane entièrement nue, photo tirée du film de Roger Vadim,« Don Juan '73 » dans lequel elle tient la vedette avec l’autre dame de coeur de Gainsbourg, B.B. (voir notre illustration). Il est intéressant de noter que, sur chaque édition, toute la vedette est donnée à Jane, alors que Serge est mentionné en toutes petites lettres et n'apparaît pas sur les photos.

« Je t'aime, moi non plus » n’a pas fini sa carrière

Le disque, évidemment, est un succès dans le monde en 1969. Mais il donnera naissance au film « Je t’aime, moi non plus » réalisé par Serge, sur les écrans en 1976. C'est un film noir, brillant mais porte-malheur, un quasi-échec commercial (150 000 entrées à Paris), et les acteurs furent plus ou moins mis au placard après sa sortie : Hugues Quester dût retourner au théâtre pendant deux ans car on ne lui proposait plus, au cinéma, que des rôles d'homosexuel... Joe Dallessandro, superstar new-yorkaise des films underground d’Andy Warhol, retourna, fauché, en Italie... Et Jane, elle-même, après ce rôle d’androgyne, ne se vit rien proposer d’intéressant jusqu'à « Mort sur le Nil » en 1978. Une traversée du désert. Le seul qui n'en pâtit pas fut Gérard Depardieu, car sa participation était vraiment très discrète.

Et la version originale, dans tout ça ?

La version avec Brigitte Bardot sortit en 1986. La publicité de l’époque indique qu’il s’agit de la version “originelle”. Presque originelle, devons-nous préciser : enregistrée 18 ans auparavant, elle méritait un léger remixage, ce dont s’acquitta Serge. Pour le grand public, en tous cas, l’oeuvre est authentique, la firme Philips ayant pris soin d’orner la pochette d’une photo d’époque (décembre 1967), prise, en studio, durant les séances d’enregistrement du titre maudit. Le plus étonnant est l’explication de cette publication tardive, qui aurait bien pu ne jamais voir le jour : B.B. donna, finalement, son consentement, à condition que les bénéfices du disque soient portés au compte d’une association animalière.

La version de Bardot : un quasi-échec

Au lieu du raz-de-marée auquel les artistes et leur compagnie discographique pouvaient s’attendre, en raison de l’intérêt historique d’une telle parution, les ventes s’avèrent très faibles, au point, même, que le 45 tours ne parvint pas à entrer au hit-parade. Ce fut, finalement, un non évènement. Pourtant, indiscutablement, la version avec B.B. est, vocalement, supérieure à celle réalisée avec Jane Birkin. Mais nous n’étions plus en 1969, le titre ne choquait plus personne. L’effet de surprise ne se reproduisit pas. Les moeurs avaient évolué. En outre, en -presque- vingt ans, le grand public s’était familiarisé avec la voix de Jane, et n’était pas près de lui retirer sa cote d’amour. Celle de Brigitte, en revanche, était moins présente dans le coeur des Français. B.B s’était retirée du monde du spectacle ; il était logique que d’autres occupent une place que, de toute évidence, elle ne souhaitait pas reprendre.

Sources diverses Internet

Le Pèlerin

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 08:47

Une chanson des années 60 - Qui sait, qui sait.. !!!

Tu Jures que tu m'aimes ................

Bien plus que moi je t'aime

Pourtant je dis quand même

Qui sait, qui sait, qui sait ? ?

 

Tu dis que sur la terre

C'est moi que tu préfères

Que nul ne peut te plaire

Qui sait, qui sait, qui sait

 

Un soir dans une danse

Une autre s'avance

Déjà ton cœur frivole

Dans sa robe tourne et vole

 

Ce baiser que tu oses

Poser sur sa joue rose

Tu dis c'est peu de choses

Qui sait, qui sait, qui sait

 

Tu dis que dans la danse

Les tendres confidences

N'ont guère d'importance

Qui sait, qui sait, qui sait

Qui sait qui sait qui sait qui sait

 

La preuve est confondante

Frôlant son doux corsage

Lequel est le moins sage!

Qui sait, qui sait, qui sait

Qui sait qui sait qui sait qui sait

 

Pour peu que l'amourette

Te tourne la tête

Vas-tu m'être infidèle

Pour une telle bagatelle

 

Mais si jamais tu oses

Moi-même je suppose

Ferais la même chose

Qui sait, qui sait, qui sait

Qui sait, qui sait, qui sait

 

Paroles Les Soeurs Etienne

Le Pèlerin

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 06:37

Marilyn Monroe , certains l'aiment froide : la tombe voisine est à vendre

La veuve de Richard Poncher, dont le défunt mari reposait juste au-dessus de la tombe de Marilyn Monroe, a mis en vente aux enchères sa tombe vendredi sur E-bay, pour un prix initial de 500 000 dollars. Quatre jours après, et six jours avant la clôture des enchères, la dernière offre porte le prix de cette funèbre résidence à 4 503 100 dollars.

L'annonce proposant cette tombe du cimetière de Westwood Village Memorial Park, à Los Angeles, vante « l'opportunité, unique dans une vie, de pouvoir passer l'éternité juste au-dessus de Marilyn Monroe ». Drôle de conception de la vie et de ses opportunités.

Elsie Poncher espérait ainsi pouvoir payer sa maison de 1,6 million de dollars à Beverly Hills. Vu la tournure prise par les enchères, et les 4,5 millions de dollars qu'elle devrait au minimum empocher, ses finances ne devraient plus être un problème.

La première offre, de 2 200 dollars, a été bien vite dépassée par une surenchère de 1,7 million de dollars, deux jours après la mise en vente.

« Si tu ne m'installes pas face à Marilyn, je te hanterai pour l'éternité »

Richard Poncher était un riche entrepreneur, assez proche de la pègre à Chicago. Propriétaire d'une douzaine de Rolls Royce, il aurait notamment conçu deux voitures blindées pour Al Capone.

Il avait racheté ce tombeau au joueur de base-ball Joe Di Maggio, l'ex-mari de Marilyn, en 1954, précisant à sa femme : « Si je crève et que tu ne m'installes pas face à Marilyn, je te hanterai pour l'éternité. »

Afin de satisfaire ce fantasme posthume, Elsie Poncher avait donc enterré son mari sur le ventre, dans cette tombe, juste au-dessus de celle de la star des années 50. Aujourd'hui hantée par le fantôme de la vénalité, la veuve semble bien s'accommoder de celui de son défunt mari, qu'elle n'hésite plus à exhumer.

Le patron de PlayBoy Hugh Hefner a pour sa part acheté la tombeau d'à côté pour 75 000 dollars, tandis qu'un autre emplacement libre à deux rangs de Marilyn serait en vente pour 250 000 dollars. Avec des prix grimpant plus vite que dans l'immobilier, vous avez tout intérêt à investir.

Des fans de Jim Morrison festoient devant sa tombe

Attention néanmoins au profil de la célébrité que vous choisissez comme base à votre investissement funéraire. Le voisinage de la tombe de Jim Morrison, au cimetière du Père-Lachaise, est vraisemblablement beaucoup moins fructueux.

Les riverains, ou du moins leurs familles, auraient porté plusieurs plaintes, à cause des fans venant se recueillir sur cette tombe : cérémonies sous le signe de la drogue et de la musique, plaques vandalisées…

Certains ont même taggué les tombes environnantes pour indiquer la direction de la Mecque des rockeurs. Une patrouille de sécurité a dû être engagée pour surveiller le périmètre

Source AFP

Le Pèlerin

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 06:58

Le Légendaire Omar SharifInterview d'omar SharifOmar Sharif  est né le 10 Avril 1932 à Alexandrie en Egypte. D'origine syro-libanaise et de son vrai nom Michael Shalhoub, Omar Sharif est découvert par Youssef Chahine qui le fait débuter dans Ciel d'enfer en 1954. Dans son film suivant, Les Eaux noires, le cinéaste égyptien lui offre déjà un rôle plus consistant, en vedette avec l'actrice Faten Hamama que le comédien épouse par ailleurs.
Omar Sharif est décrit comme un homme adorable, amoureux du dialogue avec les gens, amoureux des courses d’équitation et qui aurait adoré avoir vécu la vie qu'on lui a attribuée...
Si vous désirez en savoir plus cliquez sur les liens ci-dessous:
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=2883.html 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Omar_Sharif
http://www.cinemovies.fr/perso-Omar+Sharif-1-2-0.html 
http://www.lexpress.fr/mag/cinema/dossier/entretiencine/dossier.asp?ida=429343 
Le Pèlerin  

 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 14:01

Arielle Dombasle «Une grande amoureuse»

Arielle Dombasle nue dans Paris Match

Arielle Dombasle «Une grande amoureuse»

Ce qui m'attire chez elle, c'est le style. J'aime la manière qu'avait Simone de Beauvoir de s'habiller et de se produire aux yeux des autres, femme ravissante cachée derrière des tailleurs rêches et des turbans austères. J'aime l'idée qu'elle ait choisi d'être cette femme-là, à une époque où la féminité se parait d'atours affriolants. Mais ce que j'aime plus encore, c'est l'amoureuse qu'elle a été, tombant dans tous les pièges. Elle s'est crue capable d'une liberté bien au-dessus de ses forces. C'était une belle tentative, et j'aime aussi l'idée que ça n'ait pas marché... Plus tard, Simone de Beauvoir allait s'asseoir sur un petit banc, seule, près de la tombe de Sartre. Cette image d'elle, pleurant l'amour de toute une vie, me touche infiniment.

Mais la belle Arielle Dombasle est un coquine et bien plus coquine qu'on le croit. Elle semble joue les prudes mais régulièrement elle joue assez dévêtue dans certains films. En début d'année, Arielle Dombasle a même participé à un show sexy au Crazy Horse le célèbre cabaret.

A plus de 50 ans, la belle Arielle Dombasle a une plastique irréprochable, fine comme une adolescente. On pourrait la croire nunuche comme beaucoup de jolie fille, Arielle Dombasle est bien plus intelligente qu'on le croit et la compagnie de son philosophe de mari Bernard-Henry Levy doit lui permettre de prendre de la hauteur. Peu de femme de plus de 50 ans peuvent encore poser nue avec autant d'élégance et demeurer au sexy. Au delà d'un physique exceptionnel, Arielle Dombasle dispose d'une très belle voix qui lui a permis de sortir des albums. Elle a également une filmographie qui s'étoffe régulièrement de grands succès.

Quelle femme de plus de 50 ans n'aimerait pas disposer de ce corps qu'elle exhibe souvent dans ses films.
Cette femme a tous les talents. Elle est d'une rare beauté, bonne chanteuse et elle se défend dans la comédie et de surcroit elle pas trop bête

Pour acceder à son album photo, cliquez ici

Sources Internet diverses

Le Pèlerin

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