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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 06:01

Tipasa - Les vergers sous la menace d’une bactérie

oranger avec ses fruits

 

Selon des arboriculteurs possédant d’importants vergers dans la wilaya de Tipasa, plusieurs milliers d’arbres fruitiers restent menacés par une redoutable bactérie appelée «feu bactérien».
Selon ces arboriculteurs, cette bactérie a déjà fait des ravages dans des vergers de la wilaya de Tipasa. Ce redoutable fléau a déjà contaminé, dans la seule wilaya de Tipasa, plusieurs hectares de poiriers, de pommiers et de néfliers sachant que dans un hectare, il y a en moyenne 1 000 arbres fruitiers.
Le poirier Santa Maria, qui est la variété la plus sensible à cette maladie, a été détruit en grande partie par cette bactérie. Cette dernière a fait sa première apparition dans la wilaya de Tipasa en 2010. Elle a infecté plusieurs hectares d’arbres fruitiers dans la zone comprise entre Hattatba et Koléa.
Une source contactée à ce sujet estime qu’il y a un relâchement de la vigilance face à ce mal redoutable dû à une faiblesse de réaction de certains arboriculteurs. D’autres arboriculteurs mettent à l’index le manque de moyens phytosanitaires pour combattre ce fléau.
En revanche, certains observateurs estiment qu’il y a insuffisance de professionnalisme sachant qu’il a été noté un manque d’empressement des agriculteurs à suivre les conseils prodigués par l’arrêté fixant les conditions et les modalités d’arrachage des arbres contaminés. Mais selon d'autres arboriculteurs, «l’arrachage constitue une forme radicale de lutte contre la propagation de cette bactérie tueuse», tandis que d’autres rejettent carrément cette méthode du moment «qu’il existe des méthodes plus souples de traitement des arbres contaminés, notamment le sectionnement des branches, le curetage de celles qui ne le sont pas et la diminution de l’irrigation des vergers».
Pour les arboriculteurs réfractaires à l’arrachage des arbres, ces derniers avancent un chiffre faramineux des pertes qu’ils auront à subir.
Des experts en arboriculture définissent «le feu bactérien» comme étant la plus dangereuse maladie bactérienne des arbres fruitiers à pépins que l’Algérie ait connue.
La bactérie responsable de l’infection, «Erwinia amylovora», est un parasite réglementé contre lequel la lutte est obligatoire et permanente dans plusieurs pays.
Cette maladie, qui a déjà touché 38 pays notamment ceux d’Europe, a incité plusieurs d’entre eux à éditer des documents et plaquettes élaborés dans un contexte d'explosion de la maladie du feu bactérien, à des fins de grande diffusion pour une information de vigilance et de pratiques d'éradication, dans l'intérêt de la filière professionnelle et amateur. Dans nombre de ces pays européens, la réglementation contre «le feu bactérien», qui est une bactérie nuisible et extrêmement dangereuse pour l’arboriculture, a défini de rigoureuses et strictes conditions de contrôle et de circulation des végétaux soumis à un passeport phytosanitaire européen (PPE).
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 15:49

Tranches de vie dans une cité d’autrefois….

Un-concert-a-Cherchell-de-Nora-Sari.jpg

 

«Les passions sont les seuls orateurs qui persuadent toujours...», disait le duc de La Rochefoucauld... Quant à moi, je complète cette maxime à ma manière, en confiant que l'auteure Nora Sari, qui a de la passion, persuade mieux qu'un éloquent qui n'en a point...
C'est alors que je dis, qu'en plus de sa passion qui nous est transmise à travers l'ouvrage Un concert à Cherchell, d'une rare beauté - je l'avoue -, Nora Sari a cependant plus d'éloquence et, j'ajouterai, plus d'élégance dans le choix des mots que ceux qui s'ingénient à vouloir échapper au réel, en s'insinuant dans les méandres du pédantisme où le grotesque l'emporte sur la pensée et donc sur l'essentiel...
L'auteure, Nora Sari, parce que mue par un désir particulièrement puissant de retour aux sources, nous livre, à travers ce récit autobiographique, dans une vision romanesque pétrie d'emphase, la vie d'une Cité telle que conçue autrefois par des familles que l'ancestralité poussait constamment à se surpasser pour célébrer de hautes valeurs qui les unissaient dans la pratique de leurs us et coutumes. Dans Cherchell la millénaire, l'antique capitale de nos ancêtres, les rois numides, ce «Concert» n'est autre qu'une saga familiale d'où «émerge un environnement coloré, riche, emprunt d'une culture et d'un art de vivre existant bien avant l'Occupation française et dont l'art culinaire et la musique arabo-andalouse constituent la clé de voûte».
Et elle a fouiné..., elle a fouiné cette Nora pour enfin nous présenter ce chef-d'oeuvre où se mêlent l'Histoire, la vraie, aux aventures et aux traditions, à travers un rituel, où la vie de tous les jours est passée au peigne fin, décrite dans les moindres détails en un style haut, envoûtant, exhalant ces fragrances d'une langue soignée et joliment dite.
La citadinité dans toute sa plénitude
Lorsqu'on connait l'amour que voue l'auteure à l'écriture plus souple et moins obscure pour revisiter ce passé fait de choses vues ou vécues, toutes les «histoires», dans ses mémorables souvenirs d'enfance, allaient nourrir son enthousiasme pour écrire, avec la minutie au féminin, cet ouvrage qui vient présenter de belles et intelligentes pages dans lesquelles nous sont contées des familles dans leur intimité, et des événements dans leur entière vérité, qui méritent plus qu'un regard distrait. Alors, elle nous concède dans ce travail de prospection et de recherche auprès des familles - qui lui a pris du temps assurément - de bonnes connaissances sur notre patrimoine séculaire du «Vieux-Cherchell». Elle nous invite à une magnifique balade dans le passé, à travers laquelle nous rencontrons Kaïda El Meddaha pour en savoir plus sur ses cantiques sacrés, ses poèmes et ses chants puisés dans les tréfonds de la mémoire de la Cité, dame Zounêni, sympathique créatrice de talent, dans ses maximes et dictons, qui excellait dans son art lors des cérémonies d'enterrement de «gens de la ville», tante Fatma qui officiait admirablement pendant ses fameuses soirées réservées spécialement aux «bouqalate». On ne peut oublier ces autres «icônes» qui incarnaient l'art et la culture et égayaient les familles avec leurs chants de la balançoire à Sidi Yahia, ou pendant la cérémonie du henné et les traditionnelles solennités du mariage selon le rite de Sidi Maâmar.
Ainsi, après tant d'années de journalisme culturel, Nora Sari dégage ce trop-plein de «bonnes choses» qui occupait son esprit, fait son immersion dans le monde, ô combien fascinant de l'écriture et prouve sa consécration parmi les Grands aux plumes disertes et convaincantes, en offrant à ses lecteurs un produit de cette propension. Et comment ne doit-elle pas figurer parmi ceux-là, quand son premier ouvrage est d'une facture généreuse, tant sur le plan du contenu, car riche en couleur de par ses «chroniques cherchelloises», que sur le plan du style, chatoyant, limpide et agréable..., tel une conversation? N'est-ce pas ce qui dénote, assurément, cette virtuosité lorsqu'elle conjugue ses verbes avec aisance, aux modes et aux temps convenus, dans de belles phrases où foisonnent de somptueuses idées, que d'aucuns lui envieraient? Il faut lire ses annales pour comprendre que ce n'est nullement du dithyrambe!
C'est alors, qu'au-delà de son style merveilleux, l'ouvrage qui est présenté aux lecteurs, est une composition de souvenirs vivants où est racontée la citadinité dans toute sa plénitude, dans tous ses atours, ayant pour cadre une Cité qui, aujourd'hui, même convertie à la laideur, à cause de l'indifférence ou du mépris de ses responsables, c'est selon, ne peut mourir pour son formidable patrimoine immatériel, qui est là, inaltérable, se transmettant fidèlement comme un bel héritage..., de génération en génération. N'est-ce pas cette richesse qui a encouragée l'auteure à aller de l'avant, en se faisant admettre avec mérite dans cet attirant chapitre de l'écriture romanesque? Enfin, et on ne le dira pas assez, n'est-ce pas cet élan de nostalgie collective, qui lui a fait franchir le Rubicon avec cette oeuvre, menée avec une adresse toute particulière, pour estomper la cruauté du présent qui, lui (le présent), nous concernant, est fait malheureusement d'oubli et d'abandon?
Tranches de vie dans Cherchell d'autrefois
En tout cas, avec ses 98 nouvelles qui commencent à Dar el Hakem, cette maison d'hôte, en une préparation grandiose pour un festin en l'honneur de «celui que l'on respecte, celui que l'on admire jusqu'à la vénération: le proviseur du lycée franco-musulman d'Alger, le cheikh Ahmed Ibnou Zekri», avec un petit passage à Alger, à El Biar plus exactement, pour ses fêtes et ses soirées, et qui se terminent enfin, au même lieu, à Dar el Hakem où le virtuose Dahmane Ben Achour devient, pour la soirée, le maître de céans..., l'auteure nous raconte le «Tout-Cherchell», paisible et serein, en des tranches de vie, par des expressions fortes qui décrivent un vécu, non seulement plein de mouvements, mais aussi de noblesse. Elle nous confie cette oeuvre merveilleuse - j'utilise ce qualificatif sans excès de ma part -, qui est à juste titre la démonstration de son substantiel exercice de prédilection, qui exprime fidèlement son respect et, par moment, toute sa vénération en de nobles sentiments à l'égard de ces acteurs et actrices qui font ses récits... A tous les siens, à tous les Cherchellois d'Algérie et d'ailleurs, surtout à la mémoire de son paternel, le Marchand d'alphabet - avec une majuscule -, elle tient à leur traduire sa reconnaissance en exergue de son ouvrage pour lequel elle a utilisé toute son énergie à couler sa pensée dans ce dédale bien structuré où émane la mémoire d'une Cité, autrefois millénaire.
C'est ainsi que pour en «finir avec Shahrazade», elle est allée droit vers ce qui gratifie l'émancipation d'une société qui se décrit comme multiculturelle... Elle insiste sur celle d'antan qui fut chargée d'Histoire, et qui doit être rappelée, en ce temps de grandeur qui n'est plus, «à nos enfants et aux enfants de nos enfants, afin qu'ils sachent, que, dans une petite ville du littoral algérois, il existait une civilisation, un art de vivre, loin des clichés éculés du petit indigène pauvre et nu-pieds...» Ce sont les termes de sa dédicace, quand elle m'a fait l'honneur de m'offrir son livre qui venait à peine de paraître. Oui, il existait à Cherchell une formidable culture qui poussait de ses vigoureuses racines..., et dont son extension considérable dans le temps et l'espace relevait de cette frappante unité d'atmosphère qui était, sans doute, en grande partie le fait de la religion, de son influence sur la civilisation, et de la référence constante à des sources communes.
C'est dire que l'ouvrage de Nora Sari, qui est une réflexion sérieuse sur le mode de vie d'une Cité, de ses hommes et ses femmes dans leur environnement d'alors, lui a fait ressentir le besoin de le porter dans le registre de son enfance pour analyser les comportements, les joies et les peines d'un ensemble dans son univers d'autrefois. Ce sont toutes ces aventures singulières et non moins fabuleuses qu'elle a dessinées, en marquant les intonations qui leur siéent. Cette façon d'écrire, on ne peut plus captivante, assurément, lui a permis de mieux raconter la réalité sociale pour la réfléchir parfaitement en ces temps maussades que nous vivons.
Et c'est ce qu'elle a su nous faire revivre, dans le «rythme du terroir», avec la fougue de l'artiste qui lui est reconnue, depuis longtemps..., depuis ses fameux articles dans les rubriques culturelles de grands quotidiens et périodiques du pays. Car, dans le style qui lui appartient, et qui regorge d'attributs et d'anaphores - sans calcul redondant - elle privilégie cette écriture où elle entretient avec ses mots un rapport vivant, plutôt que de les aligner systématiquement, dans un carrousel d'expressions alambiquées, fastidieuses et insipides. L'auteure s'est attachée dans ce présent travail à la forme qui fouette et qui, loin de s'en cacher, est allée dans «l'élégance impertinente». Et il fallait s'y attendre avec Nora, à travers de belles chroniques où sa prose, comme le soulignait Emile Dermenghem, en parlant de notre belle langue, «quand elle est écrite, on dirait qu'elle danse...».
Lieux et personnages s'impliquent dans un décor fastueux
Voyons ce qu'elle a brodé dans cet esprit, lorsqu'elle décrit ces merveilles «qui naquirent des mains expertes de Houria», la couturière: «Que de somptueuses robes du soir en soieries, gaufrées, brodées, perlées, chinées, lustrées, mordorées, en cristal, ou en crêpe de chine n'ont-elles pas ravi tant de citadines et provoqué la jalousie de tant d'Algéroises venues assister à des fêtes à Cherchell, persuadées que les toilettes avaient été achetées à Paris!». N'est-ce pas que c'est bellement exprimé? En effet, et je n'irai pas jusqu'à vous parler de toutes les chroniques de Nora Sari qui nous rappellent tant et tant de belles «choses», dont ces figures emblématiques de la ville, qui faisaient son décor et, bien entendu, nous concédaient ses rites et ses traditions. Parmi celles-ci, citons les non moins illustres Yamina Yousfa, trônant dans son matriarcat, la tante Fatma, et autres Kaïda et Zounêni, déjà citées, Tetteni, Aïcha la femme du rabbin, Béba Saïd et son fils El Ferki, le chantre Abdelhakim Garami, et autres Cheikh Ouel Hendi et sa mystérieuse oie, le peintre Abderrahmane Keymoun et le docteur Briault. Tous et toutes ont fait l'actualité, chacun et chacune dans son registre, dans son personnage..., comme dans une pièce de théâtre.
Même les lieux, indépendamment des personnes, s'impliquaient dans ce décor fastueux, luxuriant et agréable à la fois. Tout se mouvait dans «Cherchell d'hier», chaque coin et recoin présentaient leur histoire. Et c'est ce qu'a enregistré Nora Sari, avec pertinence, pour nous les présenter dans un assortiment étincelant qui rehausse assurément son écrit. De même que la «sqifa», le vestibule, dans la langue de Voltaire, a son rôle dans ce théâtre de tous les jours. Écoutons l'auteure dans une description sensationnelle:
«Ah! Si toutes les «sqifate» pouvaient raconter, narrer, avouer les secrets inhumés entre leurs quatre murs! Que de vies, que de bonheurs et de drames distillés à demi-mot, que de sermons réprouvant une attitude offensante, que de prêches vantant les vertus ou les tares de quelque parent ou parente, que d'homélies doctement énoncées, que de serments jurés sur la tête des enfants ou au nom de Dieu et de tous les marabouts de la région, que de confidences partagées sous le sceau du secret, que de cachotteries dissimulées mises à jour furtivement, à la dérobée, que de mystères élucidés, que de tragédies mises à nu, que de voyages initiatiques, de processions déambulatoires, de pèlerinages longuement effectués et vécus à travers les arcanes de la mémoires des unes, les replis de la conscience des autres, les tréfonds de la souffrance de certaines..., les murs de toutes les «sqifate» ne recèlent-ils pas?»
Que d'événements et de mystères déclinés dans cet espace réduit, mais non moins mythique, que la tradition devait imposer dans les moeurs de la Cité! Quelle dextérité quand l'auteure les ramasse en une narration talentueuse qui nous fait dire, sans risque de nous tromper: l'ouvrage de Nora Sari «a fait mouche»! Et comment, ne fait-il pas mouche quand l'auteure, «Prof» de Lettres françaises, connaît fort bien les extases lorsque son intuition et sa fécondité sont à leur apogée? Comment ne fait-il pas mouche quand sa plume s'incruste sur des pages pour suivre la cadence de son imagination exaltée et que tout n'est qu'éclat et harmonie? Oui, l'ouvrage de Nora Sari a fait mouche, puisqu'en plus de sa beauté et de sa richesse au niveau des textes, il place le lecteur aux premières loges, lui permettant de goûter aux remarquables chroniques d'un temps passé, que la nostalgie, qui s'y accroche, lui fait revivre au présent.
Que dire encore de l'ouvrage Un concert à Cherchell? Beaucoup de choses assurément, si je pouvais abuser de l'espace du journal. Car, franchement, je ne peux restituer, en une seule page, la valeur, la beauté et la magnificence - ne lésinons pas sur les mots - d'un ouvrage qui vient nous rappeler un pan de notre vie, ce que fut Cherchell «hier» et qui n'est plus «aujourd'hui», dans le tourbillon de la désurbanisation, de la déstructuration, et disons de la déshumanisation que subissent les glorieuses Cités de notre pays. Mais cela ne m'empêche pas d'être heureux d'avoir écrit quelques phrases pour le présenter et inviter les lecteurs à s'en imprégner davantage en le lisant, et en le relisant sans modération, parce que ce n'est pas un ouvrage sur lequel on peut se permettre de passer à côté...
Un concert à Cherchell de Nora Sari Éditions L'Harmattan, 367 pages

Source L’Expression Kamel Bouchama

Le Pèlerin

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 09:44

Tipasa - 4 militaires tués et 3 autres blessés dans l’explosion de deux bombes à Armamel

attentat-terroriste-pres-de-Damous.jpg

 

Quatre militaires ont été tués et trois autres grièvement blessés, tôt hier matin, au passage d’un convoi militaire à Armamel, 10 km au sud du chef-lieu de commune de Damous, située à 90 km à l’extrême nord-ouest de la wilaya de Tipasa, à la limite de Aïn Defla, selon une source locale.
Les deux engins de la mort auraient été actionnés à distance sur les lieux caractérisés par un relief fortement accidenté et fort boisé, précise la même source.

Les victimes ont été évacuées vers l’hôpital de Damous, indique une source sécuritaire. Après cet attentat, un ratissage a été opéré par les forces combinées renforcées par des éléments héliportés pour neutraliser les assaillants.

Il est à rappeler que trois terroristes ont été abattus à Aboucha dans la commune de Tacheta (Aïn Defla) le mois dernier.

Il est aussi à noter qu’un cantonnement militaire est posté dans cette région pour surveiller les grands travaux d’un barrage hydraulique d’une capacité de 80 millions m3, situé à la limite de la wilaya de Aïn Defla et de la commune
de Tacheta.

Source Le Temps Saïd B.

Le Pèlerin

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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 00:20
Tipasa : réalisation d’un complexe pour la pétanque  

complexe-petanque-tipasa.jpg

Encore un autre joyau du secteur des sports qui voit le jour à Tipasa, à proximité de la piscine et du stade de football.

 

Le futur club communal de Tipasa disposera d’une magnifique infrastructure construite selon les normes internationales. Elle est destinée à la pratique de la pétanque. Le bloc administratif comprend l’ensemble des locaux pour tenir des réunions, abriter les bureaux de la ligue, les vestiaires et un centre d’accueil des délégations. L’inconvénient, c’est la promesse de l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports qui s’était engagé à prendre en charge financièrement le projet de l’Ecole de formation de pétanque, lors de sa visite de travail sur le site.

Selon un responsable de la wilaya, le MJS n’a pas pris en considération les engagements de Hachemi Djiar. Il n’en demeure pas moins que le coût des travaux (éclairage interne, clôture, espaces verts, gradins, bâtiment) de cette infrastructure sportive avait été prélevé à partir du PCD de Tipasa. Le chef de daïra de Tipasa a indiqué que ce projet avait été inscrit en 2011. Son coût avoisine les 50 millions de dinars. Les boulodromes, au nombre de 10, ont été construits aux normes internationales, 6 sont consacrés au jeu court et 4 au jeu long.
Source El Watan M'hamed Houaoura

Le Pèlerin

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 09:19

Bou Ismaïl - La récupération du papier carton à l’honneur

Bou Ismail

 

Dans le cadre de «la préservation de l’environnement et de la lutte contre la pollution industrielle», Mme Dalila Boudjemaâ, secrétaire d’Etat à l’Environnement a visité mardi passé, les deux sites de l’impressionnant complexe papetier Tonic de Bou Ismaïl.
A l’origine de cette visite de Mme Boudjemaâ, l’évaluation de l’avancement des travaux de plusieurs projets dont «une station d’épuration des eaux usées de l’entreprise Tonic, devant traiter 500 m3 par heure dont 100 m3 d’eaux usées par heure devant être rejetés à l’égout et le reste sera recyclé au niveau des machines de production de papier».
Cet ensemble est accompagné d’une station d’épuration de 12 000 m3 par jour et «vise à atténuer les impacts environnementaux sur le littoral et les riverains, économiser l’eau et éviter tout gaspillage à travers le processus de recyclage des eaux épurées», a précisé Mme la secrétaire d’Etat à l’Environnement.
Il a été précisé, dans ce cadre, que le complexe papetier Tonic, «outre qu’il soit actuellement approvisionné par des eaux de surface à raison de 5 000 m3 d’eau par jour par le biais de 300 camions par jour effectuant plusieurs rotations, vient de réaliser une jonction d’alimentation en eau potable à partir de la station de dessalement d’eau de mer de Fouka». Ce complexe papetier, à l’origine de statut privé, a été récupéré depuis 2011 par l’Etat. Plus de 5 000 travailleurs étaient menacés de licenciement à la suite des problèmes qu’avait connus ce complexe qui a fait l’objet d’une opération de redressement décidée par les pouvoirs publics.
Une solution qui a permis au méga-complexe papetier, unique en Afrique, de récupérer plus de 2 700 travailleurs avec la perspective d’atteindre plus de 3 200 en 2016. Mieux ! Ce complexe s’est engagé dans des défis majeurs, à l’instar du lancement de partenariats avec des sociétés internationales, notamment le projet de fabrication de carton compact d’une capacité de 110 000 tonnes par an. Le défi étant lancé, une EPE/SPA, propriété de l’Etat, est née, dotée d’un capital social de 30 milliards de dinars. C’est à ce titre que la secrétaire d’Etat à l’Environnement s’est adressée aux cadres de Tonic, pour dire la fierté de l’Etat algérien d’avoir «récupéré et remis sur les rails le fleuron de l’industrie papetière algérienne», qu’elle a qualifiée d’«entreprise citoyenne, sachant qu’elle joue plusieurs rôles, notamment dans la résorption du chômage, la création de 270 petites entreprises annexes, dont 90 unités de transformation et le reste chargé de la collecte des déchets». Elle précisera, à cet effet, que «30 000 tonnes de déchets récupérés ont été recyclés en 2013 avec la perspective de recycler plus de 80 000 tonnes en 2014». «L’Algérie a la possibilité de récupérer plus de 2 millions de tonnes de déchets de papier par an, partant du principe que le seul domaine de l’administration consomme plus de 572 000 tonnes/an de papier», dira-t-elle. Interpellée sur les techniques modernes d’incinération, notamment dans le secteur hospitalier, la secrétaire d’Etat à l’Environnement précisera qu’«au niveau de l’hôpital de Kouba, un incinérateur pilote est installé et que le secteur hospitalier n’a qu’à s’en inspirer. Pour les hôpitaux ou cliniques, désireux d’incinérer leurs déchets médicaux, des incinérateurs sont prévus au niveau de chaque centre d’enfouissement technique (CET)».
S’agissant de l’éducation environnementale, la secrétaire d’Etat à l’Environnement dira que plus de 7 800 clubs verts ont été mis en place dans le secteur de l’éducation, dotés et accompagnés de programmes scolaires dédiés à l’environnement.
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 09:48

Tipasa perd ses atouts - La politique du tourisme  reste un vœu pieux.

Centrale electrique de Hadjeret Ennous

L’Usine d’Hadjeret-Ennous un crime écologique

polution-tipasa.jpg

Des paysages naturels sublimes sont transformés en dépotoirs.

 

Théoriquement, le tourisme est l’une des principales vocations de la wilaya de Tipasa. Malheureusement, ce bout du littoral méditerranéen s’est transformé en un dépotoir à ciel ouvert. Pourtant sa richesse plurielle est reconnue. Les paysages naturels sont de véritables cartes postales avec ses forêts et son littoral. La présence de ruines de monuments historiques, de musées, des saints marabouts, appartenant aux civilisations qui avaient vécu dans ce territoire, nous rappelle la richesse historique des localités de cette wilaya, hélas inexploitée. Au lieu d’être mises en valeur, les forêts sont «agressées» par le béton, et les autres espaces sont livrés au vandalisme.

Le littoral n’est pas épargné par ce tsunami polluant et dévastateur. Les fonds marins sont jonchés de pneus, de câbles en acier, d’objets en plastique, alors que la surface de l’eau à la couleur azur est recouverte de lubrifiants et d’objets flottants. Des navires de toutes sortes ne se gênent pas pour opérer leur vidange en pleine mer. Les pêcheurs, avides de gain facile, utilisent l’explosif pour exterminer la faune et la flore marines.

Le désastre des déversements des eaux usées sur le littoral n’a pas cessé et la pollution continue à faire des ravages, en dépit des investissements consentis en matière de construction des Centres d’enfouissement technique (CET) et l’inscription des projets de réalisation des STEP. Les discours politiques «creux» ne se concrétisent pas à la base, selon les normes et dans les délais. Absence de contrôle et de suivi. Pourtant, des dizaines de milliards de centimes sont investis par les pouvoirs publics. A l’instar des autres wilayas, dans les villes de la wilaya de Tipasa, on fait beaucoup plus dans la gesticulation pour satisfaire les décideurs.

Des spectacles d’une ère révolue que de nombreux responsables locaux veulent perpétuer. L’environnement fonctionne d’une manière bureaucratique. Peut-on alors évoquer le tourisme avec un état des lieux insalubre et déliquescent ? La culture environnementale et touristique n’existe pas. Réhabiliter les monuments et autres espaces naturels peut contribuer à encourager les familles à se rendre dans la wilaya de Tipasa, non seulement pour se reposer, mais aussi pour découvrir et apprendre, afin de se cultiver. Hélas, dans cette wilaya, les autorités des localités attendent la visite du chef de l’exécutif de la wilaya ou d’un ministre pour procéder au nettoyage du port, à la démolition des constructions illicites dans les forêts, à interdire aux commerçants d’occuper illégalement les trottoirs, à colmater les fuites d’eau… Il est évident que la multiplication de ces tares ne favorise pas l’essor de l’activité touristique.

Les villes de Tipasa méritent mieux, compte tenu de leurs diverses potentialités historiques, culturelles et naturelles. L’absence d’un mouvement associatif sérieux et soucieux de l’épanouissement des activités créatrices de richesses et l’insouciance des responsables locaux pas du tout engagés dans le développement de leurs régions respectives, réduisent la célébration des Journées nationales du tourisme et de l’environnement à des gestes stériles.                                                                                                  

Source El Watan M'hamed Houaoura

Le Pèlerin

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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 07:47

Gouraya - La proximité du Ramadan affecte la saison estivale

gouraya sidi braham

Avant le rush...!

 

On assiste chaque année à l’approche de la saison estivale à un rush lors des week-ends sur les zones touristiques de Gouraya et Damous.
Cette année ne fait pas l’exception, mais le mois de Ramadan atténue quelque peu la fréquentation de ces lieux. Les estivants de Blida, Alger, Médéa et de Khemis Miliana, qui ont pour tradition de prospecter, dès la mi-mai, les bâtisses, villas et appartements à louer lors des grandes chaleurs sont moins nombreux qu’à l’accoutumée. M. Abdelkader, un responsable d’agence immobilière chargé de prospecter pour ce type d’estivants, est formel : «Cette année, je n’ai reçu qu’une dizaine de Blidéens, des clients attitrés afin qu’on prospecte pour leur compte des locations de un ou 2 mois à Gouraya, Damous ou Larhat.» Cette baisse d’activité est due selon lui «à la proximité immédiate du mois de Ramadan qui réservera des surprises, au-delà de l’Aïd, qui aura lieu en plein mois d’Août et posera des problèmes de disponibilité de bungalows et d’appartements dans ces régions. Il a été constaté en outre que les traditionnels camps de toile de Messoulmou, Oued Sebt, Hadjeret Ennouss et de Oued Bellah se préparent timidement en prévision de ce mois de Ramadan. En effet, les plages sont dans un état d’abandon. Les rejets de la mer en algues et goudron offrent des paysages désolants. Cependant, l’afflux massif des cols blancs lors des week-ends dément ce constat de désintérêt pour les plages. Le cortège de véhicules de ces «millionnaires du vendredi et samedi» le long du tronçon autoroutier Mazafran jusqu'à Cherchell est impressionnant. Plusieurs gendarmes motorisés en application du fameux Plan Delphine y veillent, avec une mise en œuvre rigoureuse des omniprésents radars pour venir à bout des fous du volant. Traditionnellement, et depuis plusieurs années, le Plan Delphine, conçu et élaboré par les services de la gendarmerie, qui gère la circulation routière et autoroutière le long de la côte algérienne, a été reconduit cette année. A l’instar de ces dispositions, il reste l’aléa concernant la disponibilité hôtelière. En effet, en marge de la Journée nationale du tourisme qui a été célébrée le 25 de ce mois, des conférences ont été organisées pour la circonstance, où il a été proposé des systèmes d’hébergement chez l’habitant. C’est à ce titre que M. Haffad, un expert consultant en aménagement touristique, a évoqué la question de l’écotourisme qui est un segment de marché du tourisme durable. Mettant l’accent sur la responsabilité collective du développement touristique, il dira que «tous les Algériens sont responsables du développement touristique de l’Algérie».
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 20:45

Tipasa : bilan positif pour le secteur des forêts

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Le bilan du département ministériel de Rachid Benaïssa vient de faire ressortir pour cette année un bilan positif pour la wilaya de Tipasa.

En effet, elle devance les wilayas de Médéa, Mila, Tiaret, Khenchela, Aïn Defla, Tissemssilt, Béjaïa, Jijel, Skikda et Guelma en taux de réalisation du programme de plantation oléicole. C’est la wilaya de Sidi Bel Abbès qui ferme la marche.
Le volume réalisé dans le chapitre des plantations fruitières et oléicoles a atteint une superficie de 1768 ha pour la saison 2012/2013.
Pour l’année 2013, le secteur des forêts de la wilaya de Tipasa vient de bénéficier d’une enveloppe d’un montant de 113 801 000 DA pour réaliser la plantation fruitière sur une superficie de 11 ha, la fixation de berge sur une surface de 50 ha, la construction d’une correction torrentielle en gabions de 3000 m3, la réalisation de 16 bassins de retenue d’eau d’une capacité de 25 m3 et enfin l’aménagement d’un captage au niveau de 2 sources à eau.

Les «hommes verts» avaient procédé à l’ouverture et l’aménagement des pistes au niveau de plusieurs douars pour désenclaver les zones rurales et améliorer les déplacements des populations.
Il n’en demeure pas moins que le souci majeur des forestiers demeure les constructions illicites qui ont été érigées, notamment dans la partie Est de la wilaya, d’une part, et d’autre part, les incendies de forêt.  «Les hommes verts» luttent contre ces fléaux avec les moyens dont ils disposent.

Les procédures administratives avaient été engagées par l’administration forestière contre les occupants illégaux des terres forestières.
Le secteur des forêts, considéré comme un secteur du second collège, offre plusieurs opportunités dans la création de l’emploi et de la richesse, avec ses chapitres relatifs à l’apiculture, l’élevage du cheptel caprin et l’aménagement des espaces de loisirs.
Redonner une vie au patrimoine forestier de la wilaya de Tipasa et réhabiliter les activités artisanales dans les zones forestières font partie des principaux objectifs de l’administration forestière de Tipasa, qui compte consolider sa performance à l’échelle nationale.     
Source El Watan M'hamed Houaoura

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 04:47

Un dealer arrêté après 4 mois de cavale à Gouraya

gouraya sidi braham 

A l’origine de cette affaire, une information parvenue en date du 14 février 2013 aux services de la police de Gouraya, ville située à 60 kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Tipasa.
Selon la cellule de communication de la police de Tipasa, cette information fait état de l’existence d’un dealer qui s’adonnait à la vente de la drogue dans la ville de Messelmoun, distante de 50 kilomètres du chef-lieu. Les services opérationnels de la police de Gouraya ont effectué des investigations en vue de localiser avec précision le suspect. En effet, une souricière a permis d’appréhender un premier suspect, le dénommé Z. A., un consommateur de drogue, en possession de 75 grammes de cannabis et de 5 000 dinars et dont les aveux avaient permis aux policiers de remonter la filière et de connaître le fournisseur, B. M., âgé de 36 ans et résidant à Cherchell. Le procureur de la République saisi de l’affaire en date du 20 mars 2013 a placé sous mandat de dépôt le dénommé Z. A. et lancé un avis de recherche à l’encontre de B. M., le principal dealer et fournisseur de drogue, qui se trouve en état de fuite. Le dealer courait toujours, jusqu’au jour où, à Bou Ismaïl, il fut intercepté par la police en date du 13 mai 2013 sur la base d’informations. Le mis en cause fut pris en pleine transaction, à bord d’une Peugeot. Quant à ses clients, ils opéraient à partir d’un véhicule Toyota. Les personnes arrêtées, T. M. 34 ans et M. H. 24 ans, ont été présentées au procureur près le tribunal de Cherchell après investigations et fouille du véhicule et placés sous mandat de dépôt pour possession d’armes blanches prohibées. Quant au cerveau de la bande, le dénommé B. M. 36 ans, il fut également arrêté et placé sous mandat de dépôt à la prison de Blida pour détention et commercialisation de drogue.
 
Source Le Jour d’Algérie Larbi Houari

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 05:59

La ville de Koléa rend un hommage posthume à deux journalistes

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La ville de Koléa, distante de 40 kilomètres d’Alger, vient de rendre un hommage posthume au journaliste du Soir d’Algérie Djamel Deraza, assassiné au cœur de la Maison de la presse lors d’un attentat terroriste le 11 février 1996, ainsi que d’autres journalistes, à l’instar de Allaoua Aït Mebarek, Mohammed Dorbane et Naïma Illoul de l’ENTV. A cette occasion, le maire de la ville de Koléa dira, non sans émotion, que «Djamal Deraza était un enfant de Koléa, c’était un ami. A la veille de son tragique décès, il collectait des fonds pour une œuvre caritative et de bienfaisance locale. Il a laissé une fille qui est aujourd’hui présente avec nous dans la salle». Un hommage similaire a été rendu à un autre journaliste, en l’occurrence Kechad Djamal, décédé en 2008 à la suite d’une longue maladie. Le maire de la ville de Koléa, tout en évoquant le parcours du disparu, dira que «ce journaliste a été à la pointe du combat contre le terrorisme, qu’il avait combattu à Boufarik durant la décennie noire. Il avait été dans plusieurs organes de presse, notamment le Matin, El Watan, la Chaîne 3 et était l’auteur d’une œuvre littéraire». Des distinctions, des cadeaux et des récompenses ont été octroyés aux familles des défunts, mais aussi à plusieurs journalistes présents à la cérémonie. Il convient de préciser, par ailleurs, que plusieurs retraités de la mairie furent honorés dans le cadre de ces cérémonies, ainsi que les sportifs de la ville, notamment les athlètes médaillés, les haltérophilistes et les sportifs de combat qui avaient décroché des titres mondiaux, continentaux et nationaux. 
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

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