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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 10:01

Prise en charge des cas de cancer du sein à Tipaza
Des efforts de prévention à soutenir

Les membres et les médecins spécialistes bénévoles de l’association Nour Doha (Lumière du jour) se sont déplacés, dans la matinée de jeudi dernier à Tipaza, pour animer une journée de vulgarisation sur la prévention des cancers du sein, du col de l’utérus et de l’ovaire.
Cette manifestation scientifique s’est déroulée au siège du centre de la Munatec de Tipaza. Selon la présidente de ladite association, Mme Gasmi, 7000 cas de cancers sont enregistrés annuellement en Algérie. Durant le premier trimestre 2009, l’association Nour Doha a pris en charge 120 cas de cancers. Cette même association a effectué sur la période allant du premier janvier 2003 à février 2009, quelque 19 000 consultations et diagnostics concernant le cancer. Lors de cette rencontre, qui s’est tenue pour la première fois à Tipaza, il y a eu quatre communications sur le cancer du sein, une communication sur le cancer de l’ovaire et une autre sur celui du col de l’utérus. Des médecins généralistes, des gynécologues, des radiologues, des chirurgiens et des sages-femmes, qui exercent dans les secteurs sanitaires de la wilaya, ont pris part à cette journée scientifique dont l’objectif visé était de débattre des voies et moyens permettant d’atténuer les souffrances des malades.
Selon le constat établi par Mme Gasmi, le cancer du sein et celui de l’ovaire sont de plus en plus répandus dans la wilaya de Tipaza. L’association Nour Doha, à travers les efforts des médecins spécialistes qu’elle regroupe, multiplie les rencontres avec les praticiens locaux pour débattre de la manière de diagnostiquer le cancer du sein dès la première consultation, ainsi que de la façon d’appréhender cette maladie et de la prise en charge des malades. L’un des soucis majeurs pour les cancéreux est d’abord l’accès à la radiothérapie, la chimiothérapie et l’indisponibilité de médicaments plus que vitaux pour le traitement du cancer du sein. « Les malades atteints du cancer doivent attendre des mois et des mois pour subir la chimiothérapie ou la radiothérapie », déplore la présidente de l’association Nour Doha.
Cette dernière a tenu à remercier les bénévoles de Ghardaïa, qui se sont mobilisés pour l’achat d’un équipement vital pour les consultations et les diagnostics du cancer au profit des populations de cette région du pays. « Nous espérons que de tels actes de solidarité se répandent dans toutes les wilayas du pays », dira ainsi Mme Gasmi, ajoutant que « l’Etat ne soutient nullement l’association ». Quoiqu’il en soit, les adhérents de Nour Doha, organisatrice de cette journée à Tipaza, se rendront prochainement à Bou Saâda, avant de rallier Béjaïa et Djanet, toujours dans le but de nouer des contacts avec les médecins de ces wilayas, essentiellement pour débattre avec eux et leur apporter un soutien quant aux questions liées au dépistage, au diagnostic et au traitement, pour mieux prévenir le cancer du sein et de l’appareil génital.
Source El Watan M’hamed H.
Le Pèlerin

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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 23:20

Tipasa: Une étoile pour Hadjret Ennous

Dotée d'une enveloppe financière de plus de cinq milliards de centimes, la réalisation de cette auberge avait démarré en mai 2007 et fut réceptionnée en décembre 2008.
Lors de la visite d'inspection qu'il avait effectuée au niveau de cette contrée, Mr Hachemi Djiar, le ministre de la Jeunesse et des sports, avait recommandé une extension à 80 lits de cette auberge de jeunes, en optant pour des dortoirs.
Mr le wali de Tipaza, intervenant à ce propos précisa que la tradition estivale dans cette région est ancrée chez les familles qui se rendent à Hadjret Ennouss, et de ce fait, le choix d'une voie piétonnière, jouxtant le port et une esplanade, contribuera à agrémenter le décor.
L'autre grand projet qui accompagnera cette auberge est constitué par une aire de détente alliant promenoir et balustrade avec vue sur mer, avec l'aménagement d'un escalier en pente vers la placette du port, où trôneront 02 kiosques avec esplanade, un parking de 34 places agrémenté de banquettes de détente et de regroupement familial. Plus loin seront aménagés des blocs sanitaires avec bassin de décantation, et une bâche à eau. La surface de ce projet est de 4 500 mètres carrés.
En annexe de cette surface de détente, on retrouvera une piscine semi-olympique, un court de tennis et une aire de pétanque en vue de préserver un immense espace qui jouxte la plage et le port de Hadjret Ennouss. Ainsi, l'extension de cette auberge de trois niveaux permettra d'avoir une capacité d'accueil de 80 lits.
Au niveau du rez-de-chaussée, il y a un immense réfectoire, 05 chambres, des sanitaires et un hall. L'étage supérieur comporte six chambres, un logement d'astreinte, une salle et une terrasse.
Tandis que le dernier étage comporte un cybercafé, une cafétéria et une immense terrasse.
Lors de notre visite du site, notre attention a été attirée par le décor rustique, mais d'une beauté du panorama, qui nous fait oublier qu'on est dans une région isolée et enclavée avec un site vierge à la limite du sauvage.

Source Le Quotidien d’Oran L. Houari

Le Pèlerin

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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 11:49

Marché d’Attatba (Tipasa)
Le prix de la pomme de terre en baisse

 

Le prix de la pomme de terre enregistre une baisse depuis ce mardi 21 avril au marché de gros des fruits et légumes d’Attatba.
En effet, le prix du kilogramme de ce légume de base varie désormais entre 30 et 40 dinars. Certains mandataires au marché de gros d’Attatba affirment que cette baisse de prix peut se poursuive pour atteindre un niveau de 24DA le kilo d’ici à la semaine prochaine. A souligner que ce sont les agriculteurs de Mostaganem, d’Oued Souf et de Aïn Defla qui approvisionnent les carreaux de ce marché de gros de fruits et légumes, en plus de ceux de la wilaya de Tipaza.

Source El Watan M’hamed H.
Le Pèlerin

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 10:52

Tipaza - Une aire de repos au profit des familles

Une enveloppe de 38,4 millions de dinars aura été investie par la wilaya de Tipaza pour aménager et créer une aire de repos pour les familles. La superficie du terrain réservé à cet effet avoisine les 12 700 m2. Cet espace se situe à la sortie ouest de la ville de Tipaza, en allant vers la corniche du Chenoua. En plus des espaces verts et des petits parkings, ce projet d’amélioration urbaine aura permis l’installation de six kiosques sur ce site. Cette réalisation devra toutefois bénéficier d’un suivi rigoureux par les responsables locaux pour éviter d’éventuels détournements de ces structures de leurs activités initiales telles que fixées par les cahiers des charges. La location de ces kiosques, souligne-t-on, devra bénéficier aux postulants les plus offrants.

Source El Watan M’hamed H.

Le Pèlerin

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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 08:17

plusieurs nouvelles de la wilaya de Tipasa / Tipaza

Tipasa Cherchell par la corniche - Beldj Un développement anarchique
Ceux qui empruntent la corniche du Chenoua ont dû se rendre compte du développement rapide mais anarchique du douar Beldj traversé par le cw. 109. Durant la saison estivale, les plages et les criques, qui bordent cette partie du littoral de la wilaya de Tipaza, sont envahies par les estivants.
Dans un tel contexte, il est évident que les besoins des populations de Beldj grandissent. La petite salle de soins, qui s’y trouve, n’arrive plus à contenir le flux des populations. Naturellement, l’implantation d’une nouvelle polyclinique est très attendue par les habitants de ce douar. C’est lors d’une récente visite de travail que le chef de l’exécutif de la wilaya, avec l’accord des élus de l’APC de Tipaza, avait annoncé la décision de démolir un ancien hangar, laissé dans un état d’abandon, pour y aménager une polyclinique. Cette nouvelle infrastructure du secteur de la santé s’ajoutera par conséquent à la salle des soins exiguë déjà existante.
Une enveloppe financière de 7 millions de dinars a été allouée pour l’étude de ce projet, les travaux de démolition du hangar et enfin pour l’achat d’une ambulance. Sur un autre plan, la pratique sportive dans cette importante agglomération rurale de la commune de Tipaza n’est pas en reste. En effet, une enveloppe financière de 17,5 millions de dinars a été accordée par la wilaya pour la réalisation des travaux de réhabilitation de l’unique stade de football de cette localité.
Par ailleurs, des travaux d’amélioration urbaine sont également prévus au profit de ce douar, mais ce projet ne sera engagé qu’à l’issue des travaux du cadastre. A signaler aussi, qu’un accord de principe avait été donné par le chef de l’exécutif de la wilaya pour la construction d’un CEM, afin d’atténuer les souffrances de nombreuses familles aux revenus très bas, et qui font face à beaucoup de problèmes pour payer les charges de leurs enfants qui fréquentent les CEM à Tipaza. Or, l’indisponibilité du terrain au niveau de la corniche du Chenoua est souvent soulevée, lorsqu’il s’agit de réaliser des équipements publics. Le futur CEM de Beldj dépendra donc de la disponibilité d’un terrain. En somme, Beldj, qui est un douar bien situé au bord du littoral au pied de la façade nord du mont Chenoua, s’est développé en un laps de temps très court. Ce développement a néanmoins été mené dans l’anarchie.
 Source El Watan  M’hamed H.

Tipaza: La maison de Jeunes se relooke

Cette réhabilitation concerne plusieurs infrastructures, notamment l'esplanade de la maison des Jeunes, qui devait être finalisée dans un délai de huit mois et achevée à fin mars 2009, mais il y a des reste à réaliser. En effet, dotée d'une autorisation de programme de deux milliards de centimes, la réhabilitation de cette infrastructures a nécessité une réévaluation de près de quatre milliards de centimes. Quant au Centre culturel, construit sur deux étages, son aménagement devra être finalisé au mois de juin 2009.
Sa réalisation est au niveau de 65 %. Le reste à réaliser concerne le lot de VRD et l'aménagement extérieur pour un montant de trois cent millions de centimes. Quant aux structures d'hébergement proprement dites, elles nécessitent plus de deux milliards et demi de centimes, car comprenant des logements d'astreinte. A ce propos, le ministre de la Jeunesse et des sports, Hachemi Djiar, en visitant cette infrastructure, estime qu'il ne faut plus investir dans des logements d'astreinte, mais construire plutôt des structures à réserver aux activités féminines. C'est la même consigne qu'il répètera aux maisons de Jeunes de la wilaya de Tipasa. L'auberge existante au niveau de cette maison de Jeunes comprend 50 lits, l'équipement global a coûté la bagatelle de 600 millions de centimes, tandis que les studios d'habitations ont coûté 700 millions de centimes.
Evoquant l'école des sports, le ministre a affirmé aux jeunes de Gouraya : «on vous donnera les moyens nécessaires, si vous disposez d'un terrain de sport». Le célèbre groupe de chansons berbères «Iyourayen», en s'exhibant devant le ministre de la Jeunesse et des sports, lors d'une chorale dansante, animée par de jeunes élèves de l'école de danse kabyle de Gouraya, avait demandé la dotation en studio d'enregistrement afin de permettre aux jeunes talents de la ville de se faire connaître au niveau national. Sur le volet des échanges interrégions, Hachemi Djiar avait préconisé une rencontre entre les directeurs de la Jeunesse disposant d'auberges en vue d'organiser les échanges interwilayate. La maison des Jeunes de Gouraya ambitionne d'être à la hauteur de sa réputation. Elle envisage la création d'une école de musique, d'un studio d'enregistrement, d'une crèche, des ateliers de théâtre, d'un labo photos et tant d'autres activités sportives et culturelles.
Source Le Quotidien d’Oran L.Houari

Célébration de la journée mondiale de l’hémophilie - Tipasa accueille les malades algériens

Le temps splendide de jeudi dernier aura permis à l’Association algérienne de l’hémophilie (AAH), présidée par Melle Latifa Lamhene, de mettre en pratique le programme prévu pour les hémophiles qui étaient accompagnés de leurs parents. Une ambiance conviviale y a régné de mercredi dernier à hier. Un séjour sponsorisé par le laboratoire pharmaceutique allemand, Bayer Schering.
Des ateliers pour des travaux manuels ont été créés. Les hémophiles se sont adonnés à des travaux manuels pour en faire des souvenirs. Un stand a été érigé au milieu du gazon du complexe par le laboratoire Bayer Schering, afin de faire bénéficier également les hémophiles de séances consacrées à l’éducation bucco-dentaire. Les problèmes de dépistage de l’hémophilie, une maladie qui concerne essentiellement les garçons, persiste encore en Algérie. La présidente de l’AAH a mis l’accent, grâce à ces rencontres à Tipaza, sur l’amélioration du diagnostic et les soins qu’il faut donner aux personnes atteintes de cette maladie. Une bonne prise en charge du malade, en matière de soins, fera bénéficier l’hémophile d’une plus longue espérance de vie.
En revanche, expliquent les membres du personnel d’encadrement de cette manifestation, à laquelle ont participé les praticiens et les cadres du secteur de la santé, l’absence de traitement de cette maladie entraînerait les hémophiles dans des souffrances physiques et psychologiques, allant jusqu’à l’invalidité et l’isolement. Les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) font ressortir 1 cas d’hémophilie sur 10 000 naissances. Le laboratoire Bayer Schering, en partenariat avec l’AAH, a fait rêver et fait évader vers des horizons lointains les hémophiles à partir des sites naturels extraordinaires de Tipaza d’une part, et d’autre part, ont permis de raffermir les liens de solidarité entre les hémophiles de 23 wilayas du pays, à l’occasion de ce séjour au complexe touristique de la Corne d’or, qui a marqué la 3e édition de la célébration de la journée mondiale de l’hémophilie.

Source El Watan  M’hamed H.

Le Pèlerin

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16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 17:03

Des nouvelles pas très apaisantes de la wilaya de Tipasa

 

Explosion d’une bombe à Béni Mellik (Tipasa)- Deux blessés légers
Tôt ce matin, une bombe a explosé au passage d’une patrouille des forces de sécurité sur une piste surplombant la localité de Béni Mellik
, située entre Damous et Larhat, dans la wilaya de Tipasa. L’engin, dissimulé sous terre, a violemment soulevé le véhicule du convoi. On nous signale des blessures légères à deux éléments qui ont été évacués à l’hôpital de Gouraya. Il est à signaler que la semaine dernière une autre bombe avait explosé non loin du même endroit sans faire de dégâts.

Source Liberté

Un terroriste et deux membres d’un réseau de soutien arrêtés à Tipasa

Un terroriste et deux personnes soupçonnées d'appartenir à un réseau de soutien aux groupes armés islamistes ont été arrêtés, mardi 14 avril, par les forces de sécurité dans la région de Ahmer Al Aïn, dans la wilaya de Tipasa, à 80 kilomètres à l'ouest d'Alger. Selon une source sécuritaire locale, le terroriste présumé a été arrêté au moment où il tentait de se rendre dans un village situé entre Ahmer Al Aïn et El Afroune dans la wilaya de Blida. L'identité de cet islamiste armé n'a pas été révélée.
Les forces de sécurité ont arrêté le premier membre du réseau de soutien aux terroristes dans le village de Djermane, dans la région de Ahmar Al Aïn. Il était en possession d'une arme de type kalachnikov, selon la même source. Il est soupçonné d'être impliqué dans une attaque perpétrée la semaine dernière contre une station service dans cette région et des opérations de racket à Ahmer Al Aïn. Le second membre du réseau de soutien a été arrêté au village Houari Abdelkader, dans la même région, ajoute notre source.

Source TSA

Le Pèlerin

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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 13:27

Un terroriste et deux membres d’un réseau de soutien arrêtés à Tipasa

Un terroriste et deux personnes soupçonnées d'appartenir à un réseau de soutien aux groupes armés islamistes ont été arrêtés, mardi 14 avril, par les forces de sécurité dans la région de Ahmer Al Aïn, dans la wilaya de Tipasa, à 80 kilomètres à l'ouest d'Alger. Selon une source sécuritaire locale, le terroriste présumé a été arrêté au moment où il tentait de se rendre dans un village situé entre Ahmer Al Aïn et El Afroune dans la wilaya de Blida. L'identité de cet islamiste armé n'a pas été révélée.
Les forces de sécurité ont arrêté le premier membre du réseau de soutien aux terroristes dans le village de Djermane, dans la région de Ahmar Al Aïn. Il était en possession d'une arme de type kalachnikov, selon la même source. Il est soupçonné d'être impliqué dans une attaque perpétrée la semaine dernière contre une station service dans cette région et des opérations de racket à Ahmer Al Aïn. Le second membre du réseau de soutien a été arrêté au village Houari Abdelkader, dans la même région, ajoute notre source.

Source TSA

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13 avril 2009 1 13 /04 /avril /2009 08:50

Tipasa et Cherchell - De nombreux

projets en vue
Secteur de l’hydraulique à Tipaza D’importants projets en vue

Le problème lié à l’alimentation en eau potable (AEP) au niveau de la commune de Tipaza devra être définitivement résolu dans les quelques années à venir, selon les affirmations du premier responsable du secteur de l’hydraulique de la wilaya, Hadj Youcef Gabi.
Les investissements réalisés dans ce domaine depuis 2005 et ceux envisagés pour les prochaines années transformeront ainsi radicalement la situation au niveau du chef-lieu de la wilaya quant à l’accès à l’eau potable. De fait, le secteur de l’hydraulique semble être pleinement engagé dans la réalisation de nombreux projets en matière d’AEP et d’assainissement pour répondre aux besoins d’une population appelée à croître considérablement dans les prochaines années. Actuellement, la commune de Tipaza, qui compte 35 000 habitants, n’est pourvue que de 2 réservoirs d’une capacité globale de 4000 m3 et bénéficie d’un apport quotidien en eau potable évalué à 6 000 m3.
Le doublement projeté du réseau d’AEP permettra de porter ce volume d’eau à 17 500 m3. Dans ce sens, une enveloppe de 800 millions de dinars a été dégagée pour la réalisation d’une nouvelle conduite d’AEP à partir du barrage de Boukourdane jusqu’à la commune de Tipaza, soit un linéaire de 27 km d’une part et la construction de 4 réservoirs d’une capacité totale de stockage estimée à 10 000 m3, en plus d’une station de reprise. Cet important projet de renforcement en AEP des populations des communes de Sidi Amar, Nador et Tipaza, avait été entamé, rappelons-le, au mois de septembre 2008 et devra être achevé au mois de juin prochain.Par ailleurs, le premier responsable du secteur de l’hydraulique de la wilaya de Tipaza affirme que parmi les projets stratégiques prévus dans ce même domaine figure la construction, à compter de 2010, d’un réservoir d’une capacité de 30 000 m3.
En plus de la multiplication de petits projets d’AEP et d’assainissement dans les zones rurales et enclavées, il est évident que la mise en marche des stations de dessalement d’eau de mer érigées le long du littoral de la wilaya constituent des investissements à même de mettre la population locale à l’abri des problèmes d’approvisionnement en eau potable. Il en est de même pour le barrage de Kef Eddir (125 millions de m3), implanté en amont de la localité côtière de Damous, ainsi que pour le projet d’un barrage de 60 millions de mètres cubes à Taourira, au sud de la commune de Messelmoune. Néanmoins, parmi les points noirs qui risquent de continuer à perturber le fonctionnement des réseaux d’AEP, demeurent les fréquentes coupures d’électricité et les multiples fuites d’eau dont peinent à venir à bout les services de l’ADE.
Cherchell - Bientôt un port commercial
Un port commercial annexe pour la région centre du pays pourrait être implanté à Cherchell ou bien dans l’un des petits ports situés à l’est de la capitale.
« La décision n’est pas encore prise », avait déclaré Amar Tou, ministre des Transports, lors de sa dernière visite à l’I.S.M de Bou Ismaïl. Dans cette optique, l’étude d’une voie ferrée reliant Zéralda à Cherchell est également prévue. De même, un appel d’offres pour l’étude du projet de contournement de la ville de Cherchell sur un linéaire de 17 km, pour permettre aux automobilistes de rallier Alger à partir de Cherchell par la voie express a été lancé, selon les responsables du secteur des travaux publics. Autant d’accès qui sont à même de favoriser les mouvements de marchandises acheminées par bateaux.
Source El Watan  M’hamed H.

Le Pèlerin

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12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 11:00

Tipaza: Option pour l'eau dessalée

Ce programme de dessalement de l'eau de mer, qui fonctionne selon la technologie d'Osmose inverse, concerne le site de Fouka, d'une capacité de production de 120 000 mètres cubes par jour, et le site de Oued Sbet dans la daïra de Gouraya, d'une capacité de 100 000 mètres cubes par jour.
La station de dessalement de l'eau de mer de Fouka, d'une superficie de huit hectares est un projet lancé par la Société MIYAH-TIPAZA-SPA, constituée le 21 mai 2007 et composée de la Société ALGERIA WATER INVESTISSEMENT répartie entre la SNC LAVALIN à hauteur de 51 % et la Société ALGERIAN ENERGY COMPANY à hauteur de 49 %.
Les bénéficiaires de cette eau dessalée sont la société algérienne Sonatrach et l'Algérienne des eaux (ADE). L'impact de ce programme est de desservir en eau potable les wilayate déficitaires en eau de Tipasa et d'Alger. Le projet a été lancé en février 2008 et sa réalisation nécessite un délai de 24 mois. Le maître de l'oeuvre est constitué par un partenariat canadien et espagnol. Le montant de l'investissement est de 180 millions de dollars US, dont le capital est réparti entre les sociétés citées plus haut, notamment l'Algerian Water Investiment et l'Algerian Energy Company.
Cet investissement est constitué par 80 % d'emprunt national, dont le prêteur est la société CPA et 20 % en fonds propres.
Le tarif du mètre cube d'eau est de 0,7505 dollars US, soit 52,73 Dinars le mètre cube, que devront débourser Sonatrach et l'ADE. La mise en service de cette station serait fixée au 21 avril 2009, si aucun glissement de délai n’était annoncé entre-temps, à l'image de l'important projet de centrale électrique de 1.200 mégawatts de Hadjet Ennouss, qui n'a toujours pas été réceptionné.
Quant à la station de dessalement de l'eau de mer de Oued Sebt dans la daïra de Gouraya, d'une capacité de 100 000 mètres cubes par jour, elle sera réalisée par la Société internationale BIWATER INVEST HOLDING COMPANY (société à capitaux bahreïni), est sera construite sur un site de six hectares et réalisée dans un délai de 24 mois avec mise en service en 2010. Cet investissement de 115 millions de dollars US se structure comme suit : - 20 % en fonds propres et 80 % issus d'un emprunt national, dont le préteur est la Banque BNA. Le projet est lancé par la Société AEC (ALGERIAN ENERGY COMPANY) à hauteur de 49 % et par la société BIWATER INVEST HOLDING COMPANY (société à capitaux bahreïni) à hauteur de 51 %.
Les potentiels acheteurs de cette eau dessalée seront Sonatrach et ADE, pour un contrat s'étalant sur 25 ans. Le prix du mètre cube d'eau est fixé à 0,6794 dollars US soit 44,53 Dinars algériens.
L'ouverture du chantier a connu des glissements. En effet, prévu avoir lieu au début 2007, l'accord préliminaire ne s'est concrétisé que le 28 juillet 2008 et la station finalisée ne semble pas pouvoir être mise en service en 2010 comme prévu. Le maître de l'ouvrage est la société MIYAH OUED SEBT.
Ainsi, le projet de convention signé récemment entre le maître de l'ouvrage et le constructeur permettra la concrétisation d'obtention de la procédure de permis de construire.

Source Le Quotidien d’Oran

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 07:58

Tipasa: Que devient la zone d'activité de Hattatba ?

 

Située à 1 500 mètres de l'intersection menant vers la ville de Hattatba, via la route nationale, cette zone d'activité de 10 hectares avait été identifiée en 2004 par le CALPI, en vue de promouvoir des activités de production, de l'artisanat et de PME/PMI pour toute la wilaya de Tipaza. Cependant, la situation de cette immense parcelle de 10 hectares est devenue complexe du fait qu'à l'origine, elle constituait une zone d'extraction de tuf destiné à l'élargissement de la route nationale N°11.
Toujours dans le cadre de l'historique de cette zone d'activité de Hattatba, sa gestion fut confiée à l'EPLF, qui n'avait ni finalisé ni géré le projet, cela avait permis à un investisseur de s'installer et de travailler sur un projet de production sur une grande superficie de la zone d'activité. Devant cette situation, en août 2007, il a été procédé à l'annulation de la mission de l'EPLF sur le site sachant que son rôle n'est pas de gérer une zone d'activité, mais la gestion et la promotion des logements.
Ce fut l'agence foncière de Tipaza qui s'est substituée au rôle de l'EPLF sur le site. L'agence foncière a donc repris tout le dossier et l'a traité conformément à la réglementation. Ce transfert de gestion et de prérogatives avait permis de régulariser la situation de la zone d'activité. A ce titre, des priorités furent arrêtées, notamment pour la réalisation des VRD, du raccordement de la zone d'activité au réseau primaire et secondaire.
La Sonelgaz fut mise à contribution pour procéder à l'alimentation de la zone d'activité en gaz de ville et son raccordement au réseau électrique, tout en veillant à lutter contre les constructions illicites qui furent érigées dans le périmètre de cette zone.
Cette zone d'activité, longtemps squattée par des indus occupants qui habitaient illicitement au vu et au su de tous, connaîtra-t-elle le même sort que celle de Sidi Amar ?

Source Le Quotidien d’Oran

Le Pèlerin

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