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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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28 octobre 2007 7 28 /10 /octobre /2007 09:03
Comment préserver le patrimoine oral ancestral

Les formes de patrimoine immatériel, transmises par la parole et par l’exemple, de génération en génération, sont soumises à un processus de recréation collective.
Le patrimoine immatériel peut être défini comme l’ensemble des expressions culturelles et sociales qui, héritées des traditions, caractérisent les communautés. Ces formes de patrimoine immatériel, transmises par la parole et par l’exemple, de génération en génération, sont soumises à un processus de recréation collective.
Elles sont éphémères et donc particulièrement vulnérables. Afin de sauvegarder, de transmettre et de revitaliser le patrimoine culturel immatériel, l’une des composantes essentielles des trésors culturels et dans ce souci, la Ligue maghrébine de littérature populaire est née à l’issue de la 1re rencontre arabe de poésie populaire qui s’est achevée jeudi, après trois jours de travaux organisés à Tipasa. Les participants à cette rencontre ont annoncé, solennellement, la création de la première Ligue maghrébine de littérature populaire dont un bureau provisoire a été mis en place pour préparer l’organisation du congrès constitutif dans les prochains six mois. La cérémonie de clôture, qui a eu lieu en
présence du directeur de la culture représentant la ministre, Mme Khalida Toumi et du wali, M.Mohamed Ouchen, a été mise à profit par les participants pour rappeler la nécessité de veiller à la préservation de ce patrimoine culturel oral ancestral. Des recommandations appelant à la poursuite de ce genre de rencontres qui doivent être élargies à d’autres pays arabes, à l’organisation de cérémonies d’hommage aux grands noms de ce genre littéraire ancestral, à la réalisation d’une anthologie de la poésie populaire arabe ainsi que l’adoption de la publication des actes de ce colloque.
Les participants ont également appelé au respect de la décision prise lors du Sommet culturel arabe à organiser des colloques dans les pays qui ont abrité la manifestation, et appelé également le ministère de la Culture à réserver un budget à la Ligue algérienne afin qu’elle poursuive son travail de préservation de ce patrimoine oral. Les organisateurs de cette rencontre, la Ligue nationale de littérature populaire (une section de l’Union des écrivains algériens), ont, au cours de la cérémonie de clôture, offert une distinction honorifique à la ministre de la Culture (Dhariaâ de la Ligue algérienne).Le président de la Ligue algérienne a reçu, pour sa part, la médaille de l’académie ‘’Delta’’ d’El Mansourah (Liban) en guise de félicitations pour l’organisation de cette rencontre des poètes arabes. Durant les trois jours de travaux de cette rencontre, les participants venus d’Egypte, du Liban, du Maroc, de Tunisie et d’Algérie ont abordé le vécu de la littérature populaire et en particulier de la poésie dans les pays arabes, faisant un état des lieux de ce genre littéraire face à la modernisation accélérée des sociétés arabes. La rencontre de Tipasa a regroupé quelques grands noms et chercheurs sur la littérature populaire arabe dont Abdelhamid El Haouès, Ahmed Ghanim, les poètes Sayed Hidjab et Djamel Bekhit d’Egypte, George Zaki du Liban, Mustapha Yaâla et Ahmed El Massih du Maroc, Abderrahmane Ayoub de Tunisie. Les poètes algériens étaient présents à travers les représentants des ligues qui existent dans 38 wilayas, selon le président de la Ligue nationale, M.Toufik Oumane. Cette initiative qui est la bienvenue, vise à encourager tous les acteurs des actions d’identification, de préservation et de mise en valeur de leur patrimoine oral et immatériel.
 
Source : l’Expression
 
Le Pèlerin
 
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27 octobre 2007 6 27 /10 /octobre /2007 05:59

Port de Khemisti (Tipasa)

Le chantier de construction navale à l’arrêt

Filiale autonome de l’Entreprise de construction et réparation navale (Ecorep), le chantier de construction navale de Khemisti (CCNK) est à l’arrêt depuis le début de l’année 2007. 

Une situation agonisante pour laquelle le nouveau PDG de l’Ecorep ne trouve pas d’explication. Projet conçu par les travailleurs de cette même unité, le chantier naval a été fortement salué par les investisseurs du secteur de la pêche compte tenu de sa qualité et de ses rendements. L’une des tâches de ce chantier est la construction des embarcations de 12 m. Une douzaine de commandes de navires de pêche est actuellement compromise en raison de l’arrêt du chantier. Les hauts responsables de cette entreprise et leur tutelle ont décidé de transférer les équipements et les commandes de navires de pêche en cours de construction au niveau de la défunte filiale de Jijel vers celle de Khemisti. Le transfert des sommes d’argent qui se chiffrent à des centaines de millions de dinars n’a pas eu lieu, en dépit de la décision du CPE. Pour rappel, les travailleurs du CCNK avaient organisé un sit-in au niveau du siège de la direction générale de l’Ecorep à Bou Ismaïl, le 9 octobre 2007. Livrés à eux-mêmes, les travailleurs du CCNK, qui construisaient des bateaux de pêche et de plaisance, dont le nombre est estimé à 125, vivent dans l’indifférence et la précarité la plus totale. « Je vous assure que certains pères de famille n’avaient même pas de quoi acheter du pain et du lait pour le mois de Ramadhan », déclare un membre de la section syndicale. « Nous essayons de nous entraider pour atténuer les souffrances des familles des travailleurs, les assister avec nos misérables moyens pour leur survie. Certains collègues arrivent au travail par l’auto-stop. Ils n’ont même pas de quoi payer le ticket du bus. Voilà dans quelle situation nous nous trouvons », conclut notre interlocuteur. Les visages des travailleurs du CCNK, sans salaires depuis quelques mois, ont du mal à dissimuler leur inquiétude et leur stress. Ces pères de famille s’interrogent sur leur avenir. Sans moyens financiers, le CCNK n’est plus en mesure de payer ses fournisseurs d’une part, et d’autre part, cette filiale de l’Ecorep est dans l’incapacité aujourd’hui de s’approvisionner en matière première pour achever les navires éparpillés dans le hangar. Interrogé sur les mesures à prendre pour débloquer la situation qui empoisonne le quotidien de cette unité de construction navale, le premier responsable du CCNK n’a pas daigné nous répondre dans l’immédiat. Pendant ce temps, les réunions marathons se succèdent et les travailleurs attendent toujours la délivrance.

Source El Watan

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21 octobre 2007 7 21 /10 /octobre /2007 08:42

Infrastructures de la Formation Professionnelle à Tipasa

Bientôt un institut d’enseignement spécialisé
 
 
Le secteur de la formation professionnelle dans la wilaya de Tipasa va s’enrichir prochainement d’un institut de l’enseignement professionnel (IEP) spécialisé en agriculture qui sera installé dans la commune de Meurad, selon le directeur du secteur de la wilaya,  M. Arezki Mohand Ouali. 
Cette décision, a-t-il indiqué, a été prise suite à la dernière visite du ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels qui a opté pour la transformation du CFPA de 300 postes de formation, en cours de réalisation à Meurad, en IEP avec un internat de 120 lits.
Ce nouvel institut viendra en complément à l’Institut national spécialisé en agriculture et en tourisme de la commune de Hadjout qui existe depuis 1983. Interrogé sur les projets en cours de réalisation dans la wilaya, le même responsable a signalé que trois CFPA sont en voie d'achèvement, respectivement à Cherchell, Ahmer el Aïn et Hadjout d’une capacité d’accueil de 300 postes chacun et d’un internat de 120 lits à Sidi Ghilès.   Ces nouvelles infrastructures vont permettre de créer 1200 nouveaux postes de formation à l’horizon 2009 qui viendront s’ajouter aux 3 079 enregistrés en 2007, a ajouté la même source. Le secteur de la formation professionnelle dans la wilaya de Tipasa dispose de 11 établissements. Ces établissements, répartis dans dix communes, possèdent une capacité pédagogique totale de 3 100 postes de formation (PF) dans une vingtaine de spécialités. Ces derniers se répartissent entre un Institut national supérieur de formation (INSFP) situé à Hadjout, 8 CFPA installés à Koléa, Bou Ismaïl, Bourkika, Menaceur, Tipasa, Sidi Ghilès, Gouraya, Fouka et deux annexes à Attatba et Damous. Leur capacité d’accueil en internat est de 227 lits pour l’INSFP de Hadjout, 120 pour le CFPA de Tipasa et 60 lits pour celui de Gouraya. Le secteur offre deux types de formation, à savoir celle dite résidentielle qui totalise à ce jour 3 327 postes et celle par apprentissage qui tourne avec un effectif total de 3 035 PF. La formation par apprentissage, qui permet une meilleure intégration des apprentis en matière d'emploi, a connu un développement important dans la wilaya depuis son introduction en 2003 puisqu’elle est passée de 2 200 à 3 035 stagiaires qui sont formés cette année dans 12 branches d’activité.  La formation en cours du soir est l’autre formule proposée, en particulier aux femmes au foyer et autres personnes désireuses d’apprendre un métier pour se prendre en charge. Il existe, par ailleurs, cinq établissements privés assurant une  formation dans diverses spécialités. Outre la direction de la formation professionnelle, trois autres secteurs développent des formations spécifiques. Il s'agit de celui du travail et de la Sécurité sociale avec le CNFPH de Khemisti pour enfants handicapés physiques et l’école de pêche de Cherchell et les annexes de Cherchell et Sidi Ghilès qui assurent des formations paramédicales.
Source Liberté
 
Le Pèlerin
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16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 06:34
Tipasa
4 milliards de dinars pour la protection du littoral
Avec ses 14 communes situées le long des 120 kilomètres que compte le littoral de la wilaya, les responsables locaux se sont retrouvés face au phénomène de la pollution.

A ce titre, le chef de l’exécutif a initié un programme de protection du littoral contre la pollution et qui connaît un taux d’avancement appréciable si l’on en juge par le nombre de projets qui ont été réceptionnés, en particulier la station de traitement et d’épuration des eaux usées (Step) de Hadjout et prochainement celle du chef-lieu de wilaya sans compter les 17 stations de relevage et les 50 km de conduite de collecte des eaux ménagères.
 La partie est de la wilaya, à savoir les villes de Bou-Ismaïl, Fouka, Douaouda et Khemisti, a eu la part du lion du fait que 661 millions de dinars ont été employés dans cette partie à l’achèvement d’un collecteur principal des eaux usées sur 22 km et de 9 stations de relevage équipées, dont 8 sont déjà terminées.
 Il ne reste qu’à brancher toutes ces stations ainsi que le collecteur principal de Bou-Haroun à la station d’épuration de Bou-Ismaïl proposée par les responsables de la wilaya qui ont reçu l’accord de principe du ministère des Ressources en eau selon le directeur de l’hydraulique. Selon le même responsable, la réalisation de ce schéma de protection du littoral Est de la wilaya qui a été lancé en 2004 en priorité en raison de la densité urbaine importante dans cette zone balnéaire avec une population estimée à 125 000 habitants et des nombreux points de rejets directs en mer, a nécessité une enveloppe financière de 563 millions de dinars sur le DSD et 90 millions de dinar débloqués dans le cadre du PSRE (programme de soutien à la relance économique). En attendant l’inscription de la Step de Bou-Ismaïl (qui en plus du traitement des eaux ménagères les récupérera pour l’irrigation), les responsables de la wilaya avaient recommandé la réalisation de bassins de filtration pour résoudre les problèmes posés par les treize rejets en mer actuels dont un énergiquement décrié par les citoyens de cette commune en raison de la pollution qu’il a provoquée au niveau du rivage.
Pour atténuer les effets de cette pollution, les membres de la commission de wilaya qui effectuent des prélèvements réguliers dans cette zone entre le CNDPA (Centre national de documentation sur la pêche et l’aquaculture) et l’ISM (Institut supérieur maritime) ont sommé 16 entreprises installées dans la zone industrielle de Bou-Ismaïl de réaliser des bassins de filtration pour leurs rejets et ce en conformité avec la réglementation en vigueur.
Celle-ci est contenue dans la loi 03/10 portant «protection de l’environnement dans le cadre du développement durable». Les dernières mises en demeure au nombre de 8 ont été transmises le 30 septembre 2007 après la cinquième sortie sur le site des membres de la commission. Le chef-lieu de wilaya a lui aussi bénéficié d’un programme de protection avec la réception en décembre 2007 de la station de traitement et d’épuration des eaux usées qui a coûté la bagatelle de 1 287 000 DA avec une capacité de traitement de 70 000 équivalents/habitant la Step de Tipasa  traite les eaux des communes de Tipasa, Sidi-Amar et Nador.
Par ailleurs, 30 km de conduites ont déjà été installés, précise la Direction de l’hydraulique qui ajoute qu’il a également été réalisé 8 stations de relevage (2 à Tipasa, 3 au Chenoua, 2 à Sidi-Amar, 1 à Sidi Moussa) qui  seront rattachés à la Step du Chenoua qui sera mise en service avant la fin de l’année.  La zone d’activité de Sidi-Amar en particulier le douar Bakdiche où 6 km de conduites ont été réalisés, sera elle aussi connectée à la station de Tipasa. La Step de Tipasa viendra en complément à celle de Hadjout (70 000 équivalents/hts) réceptionnée en juillet 2006 et qui a coûté 1 035 millions de dinars et couvrira les communes de Hadjout et Meurad en même temps qu’elle protégera les stations (SP1, SP2, et SP3) de transfert de l’eau de l’oued Nador vers le barrage de Boukerdene.
Les travaux pour la protection de Mitidja Ouest Ahmer El-Aïn, Bourkika et Sidi-Rached (en particulier la nappe de Mazafran) seront lancés dans les prochains jours grâce à une autorisation de programme de 300 millions de dinars destinés à réaliser 26 km de conduites et une station de relevage. La  partie ouest de la wilaya de Tipasa avec une population de 100 000 habitants ne sera pas en reste puisqu’une étude du schéma d’assainissement des localités côtières y est programmée avec en perspective une Step à Gouraya et des stations monoblocs pour les petites localités.
Source la Nouvelle République 
 
Le Pèlerin
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16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 06:28
Wilaya de Tipasa
120 douars raccordés au réseau d’eau potable
 
120 douars de la wilaya de Tipasa ont bénéficié,  durant l’année 2007, de l’alimentation en eau potable (AEP) dans le cadre du  programme de revitalisation des espaces ruraux lancés ces trois dernières années,  notamment dans ce qui est appelé les zones à promouvoir.         
En plus des opérations de désenclavement tous azimut, qui ont sorti  les localités des zones montagneuses de l’oubli et de la mal vie, le secteur  de l’hydraulique a déployé de gros efforts financiers pour le renforcement de  l’AEP des zones rurales des localités situées dans les daïra de Damous, Gouraya,  Cherchell, Sidi Amar, Hadjout et Ahmer El Ain.
Ces projets ont porté essentiellement sur la mobilisation des eaux souterraines  à savoir la réalisation de forages, le captage de sources pour les localités  montagneuses et le branchement au réseau de distribution à partir du barrage  de Boukourdane pour celles situées dans les communes de Sidi Amar, Hadjout et  Ahmer El Ain.           Ces opérations ont touché, à ce jour, 51.420 habitants recensés au niveau  des 120 douars qui se répartissent sur 15 communes sur les 28 que compte la  wilaya.         
Le coût total de l’investissement, qui a permis de couvrir l’ensemble  des centres ruraux de la wilaya, est évalué à 868 millions de dinars.         
D’autres projets similaires de raccordement au réseau, de forage et  autres captages d’eau sont en cours de réalisation et seront, en principe, réceptionnés  en janvier 2008,  selon des sources proches de la direction locale de l’hydraulique.         
Ces projets, en voie d’achèvement, toucheront une population totale  de 22.572 habitants qui vivent dans 39 autres douars dont la plupart sont situées  dans les zones montagneuses de Sidi Amar, Damous et  Gouraya.  24 autres localités qui comptent une population globale de 18.000 habitants  vont bénéficier prochainement du lancement d’une opération d’AEP qui touchera  une population de 100.000 habitants
 
Source El Moudjahid  
 
Le Pèlerin
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2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 23:49

Tipasa
Une nouvelle mégapole

Le signal vient d’être donné par M. Mohamed Ouchen, wali de Tipasa, pour  les préliminaires d’une nouvelle urbanisation de la ville de Tipasa à l’issue d’une visite de travail et d’inspection effectuée au chef-lieu de wilaya. Cette métropole antique à vocation historique, culturelle, touristique et balnéaire est déterminée par sa fonction mono administrative et une structure urbaine disloquée, ce qui n’a pas permis l’émergence d’une trame citadine commode favorisant le statut de chef-lieu de par les contraintes liées à la protection des sites archéologiques et des terres agricoles. Afin de corriger ces dysfonctionnements et redonner au chef lieu le rang qui lui sied, l’autorité de wilaya a engagé, dès l’année 2004, une recomposition urbaine à travers la révision du PDAU et l’adoption de trois (AU1, AU2 et AU3), avec des équipements à vocation moderniste.
Le premier périmètre urbain d’une superficie de 16 ha jouxtant le siège de la wilaya réservé à un pôle administratif a retenu l’attention du wali. En effet, une vingtaine d’équipements publics en cours de réalisation ont été examinés. Il s’agit des sièges administratifs des services déconcentrés de l’Etat, d’organismes prestataires de services, d’une cour de justice et d’une station de radio locale. Les intéressés par ces projets ont été averti quant au respect de la volumétrie pour ne pas obturer la vue panoramique dominant la mer et adopter un cachet architectural assorti avec les repères qui tiennent compte de la vocation de la ville et de l’environnement. Par la suite, la délégation a visité l’assiette d’un terrain de 200 ha au sud-est de la ville qui a fait l’objet d’une étude de restructuration pour être destinée au futur pôle de développement des équipements structurants où plusieurs projets sont prévus à l’instar d’un centre universitaire de 4000 places pédagogiques avec un institut d’archéologie de 500 places, un institut de droit, sciences sociales et sciences politiques et relations internationales de 2000 places, un institut des sciences économiques, des sciences commerciales et de gestion de 1500 places et une cité universitaire de 2000 lits. Un concours d’architecture national et international a été lancé et deux bureaux d’études ont été retenus pour préparer les travaux d’exécution de ces infrastructures qui seront lancés d’ici la fin de l’année en cours. Pour ce faire, une enveloppe budgétaire de 1400 millions de dinars a été allouée pour engager des travaux de VRD hors sites.
Il est prévu également un pôle d’excellence du tourisme sur une superficie de 11 ha  avec  un complexe hôtelier et une école  nationale de tourisme, des équipements sanitaires, à savoir un hôpital de 120 lits et un centre médico-pédagogique ainsi que des équipements de proximité qui accompagneront la zone d’habitat de type semi-collectif et mixte.  Enfin la troisième zone multifonctionnelle située à la sortie ouest de la ville qui s’étend sur 50 hectares sera, selon le wali, la nouvelle agora urbaine. Dans ce pôle constitué d’un promontoire surplombant la mer, il sera injecté des équipements qui remplissent les fonctions administratives et de services à l’exemple d’un palais des congrès, d’une mosquée, d’un hôtel grand standing, d’une tour d’affaires, d’un musée, d’un centre culturel islamique, d’un lycée, de nouveaux sièges de l’APC et de la daïra dont les travaux de réalisation ont été lancés en même temps qu’un programme de logements en habitat collectif de prédominance promotionnelle. Par ailleurs, il a visité la future zone d’équipements qui s’étend sur une superficie de 89625 m2 située dans le prolongement de ce nouveau pôle urbain, 128 lots ont été dégagés, ce qui nécessite une enveloppe financière de 78,4 millions de dinars pour les travaux de VRD primaires (voirie, assainissement, AEP, éclairage). Cette zone qui sera affectée aux investisseurs à partir du mois d’octobre permettra de promouvoir les activités du tertiaire supérieur.
Au port de Tipasa, le wali a inspecté les travaux d’aménagement du port de plaisance et de pêche afin d’encourager l’activité touristique et préserver les sites et monuments historiques contre l’effet destructif de la houle. Le chef de l’exécutif a sommé l’entreprise portugaise de réorganiser son chantier en renforçant les moyens humains, matériels et l’approvisionnement régulier en matériaux. Aussi pour traiter les eaux usées des communes de Sidi-Amar, Sidi Moussa, Nador et Tipasa qui se déversaient dans la mer, une station d’épuration a été réalisée pour un montant de 1287 millions de dinars avec une capacité de traitement de 10 640m3/j, soit l’équipement de 70 000 habitants.
Le volet culturel, les espaces de loisirs et de détente ne sont pas en reste dans la mesure où il a été engagé des travaux  d’aménagement d’une esplanade de promenade et de détente qui démarre du complexe touristique de Matares jusqu’à Chenoua-Plage et qui sera agrémentée de kiosques multiservices, de salles de jeux, de parkings pour créer une liaison entre la ville de Tipasa et l’agglomération de Chenoua.
Dans la même optique, le wali s’est enquis de l’état d’avancement à Chenoua des travaux du futur complexe culturel qui regroupera sur trois niveaux, des salles de conférences, de concerts musicaux, des ateliers d’art dramatique, des salles d’exposition d’art moderne et d’objets archéologiques et d’artisanat, des salles de lecture et enfin cet ensemble sera doté d’un planétarium pour les férus d’astronomie.

 

Source La Nouvelle République

 

Le Pèlerin

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2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 06:47

Le ministre de l’éducation était à Tipasa hier

Benbouzid fustige les réflexes intégristes dans les écoles

Le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, a été surpris lors de sa visite de travail effectuée hier dans la wilaya de Tipasa par la séparation des filles et des garçons qui étudiaient dans une seule classe.

« Je ne veux plus de politique dans un établissement scolaire, déclare-t-il. Je n’admettrai jamais et je n’accepterai pas la division entre les filles et les garçons dans une seule classe. Notre école est républicaine. L’ère du FIS fait partie du passé. Il a été écrasé par l’Etat. Hassiba Ben Bouali se trouvait bien aux côtés de Ben Boulaïd et ses frères aux maquis. Cette période du FIS est révolue et ne se reproduira plus dans notre pays », ajoute-t-il. Les autorités de la wilaya de Tipaza ont volontairement fait visiter au membre du gouvernement les différents types d’établissements scolaires depuis Damous jusqu’à Bou Ismaïl pour qu’il prenne compte de l’inexistence du chauffage dans les classes en raison de l’insuffisance des moyens financiers mis à la disposition de la wilaya de Tipaza. A cet effet, il avait instruit son plus proche collaborateur de se pencher sérieusement sur cette situation inacceptable, pour doter toutes les classes scolaires de la wilaya de Tipaza des équipements de chauffage avant la fin de l’année en cours. « La réforme de l’enseignement en Algérie n’est pas uniquement une question pédagogique, mais aussi une question de moyens, pour aspirer à une éducation de qualité », dira-t-il. Disponibilité des livres, introduction de l’informatique et de l’internet, cantine, espaces verts, tels étaient les points sur lesquels le membre du gouvernement avait insisté. Néanmoins, Benbouzid n’a pas manqué d’encourager la wilaya de Tipaza sur les efforts fournis en matière de réalisation d’infrastructures scolaires.

Source El Watan

 

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 23:30

Formation professionnelle à Tipasa

Des innovations

Pour la rentrée de septembre 2007, le secteur de la formation professionnelle de la wilaya de Tipasa a accueilli 3536 nouveaux stagiaires.

Mais l’innovation pour cette année est l’apparition de nouvelles spécialités, à savoir les métiers sur la préservation et l’entretien de l’environnement. En effet, les élèves peuvent rejoindre l’institut de la formation professionnelle de Hadjout pour bénéficier d’une formation dans le traitement des eaux usées et celle de l’environnement et propreté. Ce même institut vient de créer également une filière base de données en informatique-administration, alors que des sections de protection des végétaux, de machinisme agricole, de maintenance des équipements de froid et climatisation existent déjà. Le centre de formation professionnelle de Tipaza vient de lancer la formation de gouvernante d’hôtel, alors qu’il existe déjà dans ce même établissement les filières de pâtisserie, de cuisine collective, de commis de restaurant et de boulangerie viennoise. En plus de la formation résidentielle, la direction de la formation et l’enseignement professionnels de la wilaya de Tipaza, qui dispose d’un institut national spécialisé de formation professionnelle, de 8 centres de formation professionnelle et d’apprentissage et de 3 annexes, propose la formation par apprentissage pour 17 branches professionnelles, la formation pour les femmes aux foyers et la formation en cours du soir. Toutes les vocations de la wilaya de Tipaza (agriculture, tourisme, pêche) sont concernées. Le secteur n’est pourvu que de 342 lits pour assurer l’internat des stagiaires au sein de 5 établissements. Il existe 5 écoles privées agréées par la direction de la formation professionnelle dans la wilaya de Tipaza, avec une capacité pédagogique globale de 280 places. Des conventions ont été signées entre le secteur de la formation professionnelle et ses partenaires, en l’occurrence la Direction du logement et équipements publics (DLEP), l’OPGI, la chambre de l’artisanat et la direction de la pêche, ayant permis la facilitation et l’accès à 211 stagiaires apprentis. Le taux de réalisation des conventions avoisine 42%. En matière de statistiques pour cette rentrée du mois de septembre 2007, il était prévu la présence de 8535 élèves, tandis que le besoin en encadrement concerne 26 enseignants et 2 conseillers. La clôture des inscriptions des jeunes élèves a été fixée au 20 octobre prochain.

 

Source El Watan

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:55
Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnel à Tipasa
El Hadi Khaldi ouvre la rentrée scolaire 2007/2008
C’est au CFPA  du chef lieu de Tipasa que M. El-Hadi Khaldi ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnel accompagné de M. Mohamed Ouchene, wali de Tipasa ainsi que des cadres du secteur de la formation.

L’ouverture s’est déroulé dans l’un des atelier du centre par une lecture du message que le premier responsable du secteur de la formation professionnelle a voulu transmettre à l’ensemble des cadres et les stagiaires des 48 wilayas  du pays. Dans son allocution, le ministre a exhorté l’ensemble du personnel et des différents partenaires à donner un peu plus d’importance aux métiers de l’artisanat qui ont tendance à disparaître de nos traditions  pourtant ancestrales.
 A ce titre, le ministre a évoqué un ensemble de mesures susceptibles de vulgariser les métiers traditionnels qui ont fait les beaux jours de l’Algérie durant la période faste. Ces petits métiers très longtemps mis aux oubliettes sont tout un pan de notre patrimoine culturel et artisanal qu’il faut à tout prix protéger et les faire vivifier pour permettre aux générations futures de s’imbiber de cet art si noble et recherché. En ce qui concerne la visite de travail et d’inspection le ministre s’est enquit sur place sur les chantiers des deux nouveaux CFPA d’une capacité de 300 places pédagogiques l’un à Hadjout l’autre dans la commune de Meurad. Le ministre s’est par la suite dirigé à Attaba où il procédé à l’ouverture d’une annexe ainsi que le contrôle du nouveaux CFPA de Douaouda Ville
 A noter que le nombre de stagiaires admis dans les CFPA de Tipasa s’élève cette année a 8 148 élèves où ils sont dans différentes filières. Pour cette année 4 nouvelles spécialités ont été retenues : Gouvernante d’hôtel (CFPA Tipasa), informatique/administration et bases de données, environnement et propreté, traitement des eaux les trois filières se feront à L’INSFP de Hadjout.
 
Source La Nouvelle République
Le Pèlerin
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:51

Télécommunication : Haïchour à Tipasa
“l’Algérie vit une révolution technologique»

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a qualifié la couverture en télécommunications et en services postaux dont bénéficie la wilaya de Tipasa de très appréciable.
Au cours de sa visite effectuée hier à travers les importantes infrastructures locales relevant de son secteur, M. Haïchour s’est déclaré, en effet, très satisfait de la densité postale locale, au-dessus de la moyenne nationale, avec 8.644 habitants par bureau de poste.
Contrairement donc au reste des grandes villes du littoral, Tipasa n’est pas en déficit, ses 68 bureaux, dont 59 informatisés, couvrent parfaitement son territoire, excepté pour la région de Hadjout qui nécessite l’ouverture d’un nouveau bureau de poste.
 Avec 12 caisses automatiques entre GAB et DAB installées à ce jour, la wilaya attend, cependant, l’arrivée de la monétique puisqu’elle fait partie des bénéficiaires du premier lot des cartes à puce. La distribution de son premier quota de 120.000 cartes magnétiques débutera à partir du mois de décembre, annonce-t-on. En matière de transmission, la région est également bien desservie avec un réseau de 370 km de fibre optique et 18 liaisons par faisceaux hertziens. Algérie Télécom compte dans la wilaya 62.998 équipements téléphoniques abonnés entre filaire et WLL, dont le taux de saturation ne dépasse pas les 81,57%, soit 51.393 abonnés raccordés.
Le réseau ADSL, dont le premier client à la toute nouvelle offre haut débit «ANIS» a été enregistré hier, est assis sur 5.376 équipements (Fawri, Easy, Djaweb et EEPAD) desservant actuellement 3.202 clients.
Par ailleurs la couverture en télécommunications à Tipasa compte 784 kiosques multiservices avec 3.751 lignes téléphoniques, plus de 500 publiphones et 35 cybercafés.
Du côté de la téléphonie mobile également de gros investissements ont été consentis par l’opérateur historique Mobilis qui y compte 70 stations de base, 02 agences commerciales pour une densité téléphonique de 21,94% couvrant 141.000 clients «arrachés» à la concurrence.

Source El Moudjahid

Le Pèlerin

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