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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 12:32

Les Français restent parmi les plus productifs au monde

Economie - Halte au «french bashing»

Infographie - Sur plusieurs autres critères, l'Hexagone se classe parmi les pays les plus attractifs du monde, notamment dans le domaine de la recherche. Tour d'horizon des atouts de la France.
Halte au «french bashing» dont la presse anglo-saxonne est si friande depuis quelques années, la France gagne en attractivité sur de nombreux critères, avance l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII). Le «tableau de bord de l'attractivité de la France» de l'AFII se base sur neuf «déterminants de l'attractivité» (taille et dynamisme du marché; éducation et capital humain; recherche et innovation; infrastructures, environnement administratif et réglementaire; environnement financier; coûts et fiscalité; qualité de vie et croissance verte), pour évaluer la position de la France par rapport aux 14 pays de l'OCDE, dont l'Allemagne, les États-Unis et le Japon.
L'étude met en avant les nombreux atouts de l'économie française et surtout une amélioration de la situation dans l'Hexagone depuis quelques années.
La France plus compétitive
En un an, la France est passée du 13e au 10e rang en matière de poids des cotisations sociales pour les entreprises. L'AFII souligne ainsi «l'intérêt des réformes en cours et plus particulièrement le Pacte pour la croissance, la compétitivité et l'emploi» qui a permis à la France d'être plus compétitive.
«Le coût horaire du travail pour l'ensemble de l'économie en France a stagné en 2013, alors que la zone euro progresse (+1,4 %), ainsi que l'Allemagne (+2,6 %), l'Autriche (+3%) ou encore les Pays-Bas (+2,8 %). Seul le Royaume-Uni recule (-3,2 %) et l'Irlande stagne», précise l'AFII, qui ajoute que «par rapport aux principaux concurrents européens, la maîtrise du coût horaire en France a été marquée dans l'industrie».
Une main d'œuvre productive
La France est quatrième en termes de productivité horaire du travail. Par ailleurs, le pays se place également à la quatrième place en termes de personnel de recherche et développement effectif pour 1000 actifs.
L'éducation des cadres supérieurs est en effet développée sur le territoire. «Dans l'enseignement supérieur, la dépense annuelle par étudiant est supérieure à la moyenne des pays de l'UE mais bien inférieure à celle des États-Unis ou de la suède», explique l'AFII.
Autre atout de la population française: le taux de fécondité est au deuxième rang derrière celui de l'Irlande.
La France en pointe sur la recherche
La France est au premier rang devant les États-Unis pour le financement et les incitations fiscales à la recherche et au développement en pourcentage de son produit intérieur brut. «La fiscalité française des dépenses de recherche et développement est la plus avantageuse au monde, grâce au Crédit d'impôt recherche (CIR)», constate l'AFII.
Par ailleurs, elle «arrive au 6e rang mondial pour les dépenses de recherche et développement avec 55 milliards de dollars, derrière les Etats-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et la Corée», note l'AFII. Plus de la moitié de ces activités de recherche et développement sont réalisées dans l'industrie automobile, l'industrie pharmaceutique, la fabrication d'équipements radio, télé et communication, et la construction aéronautique, précise l'étude.
Un réseau électrique et des infrastructures performantes
Concernant les infrastructures la France n'est pas en reste: le pays est numéro un pour le prix de l'électricité, suivie de la Suède. «Avec moins d'une interruption par consommateur par an, la France dispose d'un réseau électrique performant et fiable», commente l'AFII.
L'internet haut débit fixe est également bien développé en France avec le deuxième taux de pénétration du classement, derrière les Pays-Bas.
Toutefois ces améliorations de la situation française ne sont pas toujours perçues à l'étranger et contrastent avec l'image de l'Hexagone souvent présenté comme un pays où le taux d'imposition est élevé avec un droit du travail complexe.
Graphique ici 
http://www.lefigaro.fr/medias/2014/1...2.5x468.19.jpg

Source Le Figaro Home Economie Conjoncture  Mathilde Golla,

Service infographie du Figaro Publié le 18/11/2014

Le Pèlerin
 

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 15:47

Economie: l'Algérie gagne 21 places dans le classement mondial de la compétitivité

La situation économique s’améliore en Algérie

L'Algérie a progressé de 21 places dans le classement mondial de la compétitivité publié par le Forum économique mondial (WEF) pour occuper le 79e rang grâce notamment à la "solidité de sa situation macro-économique".

Selon le rapport global sur la compétitivité 2014-2015 de la WEF, l'économie algérienne se hisse au 79e rang, gagnant ainsi 21 places par rapport au classement du 2013-2014 (100e rang) et celui du 2012-2013 (110e rang).

Pour établir son classement global de compétitivité, le Forum se base sur 114 indicateurs regroupés dans 12 catégories dont l'environnement macro-économique dans lequel l'Algérie a occupé la 11e place parmi les 114 pays étudiés. Sur le critère de la taille du marché, l'Algérie est classé 47e mondialement.

Parmi les atouts qui ont permis à l'Algérie de grimper dans le classement, figure aussi les avancés enregistrées dans les secteurs de l'éducation, l'enseignement et la santé, notamment les efforts consentis en matière de prévention contre le sida et le paludisme.

Le rapport du Forum recommande, par ailleurs, une meilleure prise en charge du secteur financier croupissant à la 133 e place selon l’indice de la disponibilité des services financiers, la 133 e place en matière de solidité du système bancaire et la 72 e place concernant la facilité d'octroi de crédits.

Le WEF insiste également sur la nécessité de revoir le cadre institutionnel de l'économie algérienne et d'améliorer l'efficacité des marchés du travail et des biens ainsi que le marché financier pour "mettre la croissance du pays sur une trajectoire plus durable".

L'Algérie occupe le 136e rang en matière d'efficacité du marché des biens, selon le rapport qui déplore à cet égard la faiblesse d’intensité de la concurrence locale (136 e rang) et la complexité des procédures de lancement des projets (139 e rang).

Concernant les infrastructures de base, l'Algérie est classée 107e à l'échelle mondiale, indique le même rapport notant la mauvaise qualité des routes (107e place) des ports (117e place) et des infrastructures du transport aérien (128e place).

Le rapport souligne également qu'en dépit de la disponibilité des scientifiques et des ingénieurs (61e place), l'innovation demeure l'un des points négatif pour l'Algérie qui occupe la 128e place, selon cet indice.

Le classement du WEF est établi à partir des données économiques collectées auprès des 144 pays étudiés, outre les résultats d'enquêtes menées dans ces pays. En Algérie, l'enquête a été réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread).

Pour la sixième fois consécutive, la Suisse occupe le premier rang du classement, suivie du Singapour, des Etats-Unis et de la Finlande.

A l'échelle arabe, les Emirats Arabes Unis (12e) prennent la tête devant le Qatar (16e) et l'Arabie Saoudite (24e).

Source Radio Algérie

Le Pèlerin

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:53

Voici la carte des régions françaises qui exportent le plus

 

 

En matière d'export, chaque région a son point fort. Et certaines tirent mieux leur épingle du jeu que la moyenne nationale.

Commerce extérieur : Les régions françaises qui ont exporté le plus de biens

Les regions exportatrices

Des avions en Midi-Pyrénées, de la viande en Bretagne ou du vin en Aquitaine, chaque région française a ses spécialités. A partir des données 2013 des douanes, Challenges.fr vous propose de faire le tour de France des produits les plus exportés. Avec à la clé, de nombreuses surprises.

Globalement, les marchandises les plus souvent vendus à l'étranger sont, dans l'ordre, les avions, les produits pharmaceutiques et chimiques, les automobiles, le pétrole raffiné, les machines, le matériel électrique et les produits issus du monde agricole. Au total en 2013, ces exportations de biens (sans les services donc et hors matériel militaire) ont représentées 427 milliards d'euros, en baisse de 1,5% sur un an.

Ces régions qui exportent et celles qui n'y arrivent pas

Les régions qui exportent le plus vers l'étranger sont l'Ile-de-France (77,2 milliards d'euros), Rhône-Alpes (45,9 milliards d'euros), Midi-Pyrénées (44 milliards d'euros) et le Nord-Pas-de-Calais (32,4 milliards). La plupart du temps, ces performances sont liées à la taille de la population locale et à la vitalité des entreprises du secteur.

A l'inverse, certaines contrées de France ont les plus grandes difficultés à trouver des débouchés à l'international. C'est le cas de la Corse, qui a exporté en 2013 seulement 50 millions d'euros de marchandises. L'équivalent de ce que pourrait faire à elle seule une PME bien implantée à l'international! Parmi les autres régions à la peine, citons le Limousin (2 milliards d'euros d'exportations) et la Basse-Normandie (4,5 milliards d'euros).

La répartition des denrées les plus exportées région par région réserve par ailleurs quelques surprises. En Bourgogne par exemple, la vente de machines (moteurs, équipements hydrauliques, pompes, compresseurs, …) arrive en pole position devant… le vin et les autres boissons. Autre donnée statistique que l'on met peu en avant : l'importance de l'industrie des parfums et des cosmétiques en Picardie. La région abrite notamment des usines L'Oréal et Givenchy qui tournent à plein régime pour le commerce extérieur du pays.

Quand certaines régions plombent la balance commerciale du pays

les produits exportes

Reste à s'intéresser à la balance commerciale. Précisons à nouveau que celle-ci ne concerne que les échanges de biens et pas les services ou les flux financiers avec l'extérieur. Elle correspond donc au montant des exportations de biens auxquelles on retranche les importations. Ce qui donne une assez bonne idée de l'état de l'appareil productif par rapport à la consommation locale.

Ce qui frappe d'abord, c'est qu'une majorité de régions françaises sont dans le vert et exportent plus qu'elles n'importent. Elles sont 12 sur 22 dans ce cas. Et globalement, elles se trouvent quasiment toutes sur une diagonale partant du Sud-Ouest pour aller vers le Nord-Est.

Ensuite, seules quelques régions plombent vraiment le bilan national.

balance commerciale

A commencer par l'Ile-de-France qui affiche une balance commerciale dont le solde négatif atteint 54,6 milliards d'euros. A titre de comparaison, cette balance commerciale était de -73,6 milliards d'euros pour toute la France sur la même période. Les autres régions qui creusent de manière significative le solde du pays sont la PACA, la Haute-Normandie, le Nord-Pas-de-Calais ainsi que les Pays-de-La Loire.

Attention toutefois à ne pas faire d'interprétations hâtives ni à vilipender telle ou telle région. Du fait de leur positionnement géographique (avec un port de marchandises important par exemple) ou de leurs infrastructures (aéroports, grands axes routiers), certaines régions ont naturellement tendance à accueillir la plupart des importations, qui vont ensuite se déverser dans toute la France. Ainsi dans la région PACA, le Nord-Pas-de-Calais ou en Haute-Normandie, les produits pétroliers et le coke, qui représentent le gros des importations, ne sont qu'en transit et vont alimenter le reste du pays.

L'Ile-de-France est un cas un peu particulier. Elle dispose des plus gros aéroports du pays, qui vont accueillir une grande quantité des produits qui "voyagent" par ce moyen de transport. Elle dispose de centres de stockage qui servent également aux régions alentours. Ensuite, la région parisienne abrite une population à fort pouvoir d'achat. Ses habitants vont ainsi avoir davantage tendance à acquérir des biens que l'on ne fabrique pas en France (smartphones, ordinateurs, …). Enfin, la région est très spécialisée dans les services, qui ne sont pas pris en compte dans la balance commerciale.

Source Challenges / Corine Poulard 

Le Pèlerin

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 11:41

Selon le FMI, la France va rattraper le rythme de croissance allemand

Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé mardi sa prévision de croissance 2014 pour la France et estime qu'elle retrouvera l'an prochain un rythme proche de celui de l'Allemagne, et en ligne avec le reste de la zone euro.

  christine lagarde2

La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde,

 

Le FMI a désormais une prévision d Évolution de la croissance en zone euro et dans plusieurs pays de l'UE, selon le FMI e croissance 2014 de 1% pour la France, contre 0,9% avant, cette précédente projection datant de janvier.

Dans son rapport de printemps sur l'économie mondiale, le Fonds a par ailleurs maintenu sa prévision de croissance française pour 2015, à 1,5%. Le Produit intérieur brut français avait augmenté de 0,3% l'an dernier.

Ces chiffres, s'ils se confirment, permettraient à la France de rattraper le rythme du reste de la zone euro, et une croissance proche de celle de l'Allemagne, considérée comme le moteur économique par excellence de la région

La croissance française, annoncée à 1%, devrait rester à la traîne cette année, puisque le FMI attend 1,7% en Allemagne et 1,2% en zone euro. Mais en 2015, la France retrouverait exactement le même taux de croissance que la zone euro (1,5%), et serait sur les talons de l'Allemagne (1,6%).

Si l'économie française a dans l'ensemble moins souffert que d'autres de la crise débutée en 2008, rattrapant en fin d'année dernière son niveau de PIB d'avant crise, elle n'a pas non plus affiché depuis le même élan de reprise que d'autres pays.

Effets sur l'emploi l'an prochain -

L'accélération prévue de l'activité économique ne devrait produire des effets sur l'emploi que l'an prochain, puisque le Fonds prévoit que le taux de chômage en France augmente à 11% cette année, contre 10,8% en 2013, avant de redescendre à 10,7% en 2015.

Même scénario pour le déficit courant de la France, exprimé en pourcentage du Produit intérieur brut: le solde, qui comprend notamment le déficit commercial, passerait de -1,6% l'an dernier à -1,7% cette année puis -1,0% en 2015.

Pour ce qui est de l'inflation, elle devrait rester très modérée, se stabilisant à 1,0% en 2014 puis accélérant un peu à 1,2% en 2015.

Le FMI ne rentre pas dans le détail pour l'économie française, soulignant juste la "reprise de la demande intérieure" dans le pays.

Son annonce est officialisée au moment où le nouveau Premier ministre Manuel Valls expose aux députés son programme économique.

Dans la matinée, deux autres chiffres plutôt positifs, du moins à première vue, avaient été publiés en France: celui du déficit commercial, en recul, et du déficit de l'Etat, également en baisse.

Mais la balance commerciale en particulier doit être interprétée avec précaution.

Ainsi les exportations, moteur de la croissance française devenues d'autant plus essentielles que la consommation intérieure est déprimée, ont légèrement reculé en février.

L'amélioration du solde commercial repose donc in fine sur une contraction des importations, notamment en matière d'énergie, pour cause de températures clémentes.

Pour l'instant, les prévisions du gouvernement français sont un peu en deçà de celles du FMI pour 2014, puisque Paris attend 0,9% de croissance, mais plus optimistes pour 2015, avec une estimation de croissance de 1,7%.

Cet écart n'est pas anodin, puisque la prévision de croissance gouvernementale joue un rôle crucial dans l'élaboration du budget, en particulier dans l'évaluation des recettes fiscales.

Le ministre des Finances Michel Sapin a d'ores et déjà reconnu, lundi à Berlin, que la France avait besoin "d'une croissance supplémentaire", laquelle serait le meilleur allié de la réduction des déficits français, qui a pris du retard par rapport aux promesses faites par Paris au niveau européen

Source L’Internaute

Le Pèlerin

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 23:00

Patron d'un fonds spéculatif, la nouvelle vie de DSK loin de la politique

DSK 2012

 

Dominique Strauss-Kahn s’est reconverti dans le hedge-fund…

Loin de la politique, Dominique Strauss-Kahn s'est reconverti il y a quelques mois en professionnel des marchés et vient de lancer discrètement mais avec ambition un fond d'investissement pour mettre à profit son parcours d'économiste reconnu. Il s'agit d'un tournant majeur pour l'ex-patron du FMI, qui s'éloigne encore un peu plus d'un retour en politique alors qu'un récent sondage non publié le plaçait en tête des personnalités politiques qui «pourraient faire mieux que François Hollande».

La reconversion de DSK, docteur en économie et ancien ministre de l'Economie de Lionel Jospin, remonte à plusieurs mois. En septembre dernier, le Groupe Anatevka, une banque d'affaires peu connue et immatriculée au Luxembourg, annonçait l'arrivée à sa tête de DSK et son changement de nom en LSK, pour Leyne, Strauss-Kahn and Partners. «DSK nous a rejoint en septembre dernier avec l'idée de construire avec nous une stratégie d'une compagnie financière globale», souligne son associé Thierry Leyne, interrogé par l'AFP.

Lancement d’un fonds spéculatif

Déjà présente dans le conseil en opérations financières ou le courtage, cette société se diversifie en lançant cette année un «hedge fund», autrement dit un fonds spéculatif. L'objectif de DSK est de constituer un fonds de 2 milliards de dollars, récoltés dans le monde entier, mais en priorité auprès d'investisseurs de pays émergents.

«DSK est très impliqué, c'est lui le chef d'orchestre», prévient Thierry Leyne, précisant que le fonds a une stratégie mondiale qui peut «s'intéresser à n'importe quel pays et n'importe quel actif». Il conteste d'ailleurs le terme de «hedge fund», qui désigne le plus souvent des fonds prenant des positions risquées ou profitant des failles des marchés.

Interrogations sur les compétences de DSK

Le lancement de ce fonds pose toutefois un certain nombre de questions, à commencer par les compétences d'investisseur de DSK. S'il a une longue expérience des marchés, ne serait-ce que pour avoir été patron du Fonds monétaire international (FMI), ce dernier «n'a jamais eu d'expérience dans le domaine de la gestion spéculative», rappelle Christopher Dembik, analyste financier chez Saxo Banque. En outre, «l'évolution suivie par DSK peut paraître surprenante compte tenu de son passé politique socialiste, de centre-gauche, d'autant que les fonds spéculatifs ont une mauvaise image même si la régulation est de plus en plus stricte», estime-t-il.

Thierry Leyne se montre confiant quant aux capacités de l'ex-homme politique. «DSK est à la fois capable de stratégie de long terme en identifiant de grandes tendances mais aussi de pouvoir réagir en temps réel aux événements qui peuvent survenir», selon lui. «Beaucoup de gens sont demandeurs de l'analyse économique de DSK», ajoute-t-il. Reste à obtenir des résultats rapides, vu que l'univers des «hedge funds» est ultra-compétitif et que toute contre-performance peut s'y révéler désastreuse.

Source 20minutes.fr AFP

Le Pèlerin

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 08:28

Quatre pays africains rejoignent le peloton des émergents, selon Coface

coface

 

L’assureur-crédit Coface a identifié dix nouveaux pays émergents parmi lesquels figurent quatre pays africains. Ces nouveaux pays émergents apparaissent aujourd'hui comme des relais de croissance aux grands émergents, dont les perspectives, après dix ans d'une course effrénée, s'annoncent moins encourageantes. Les dix nouveaux émergents ne sont pas, toutefois, égaux en matière d’environnement des affaires. Ce qui conduit Coface à en distinguer deux groupes: le premier groupe comprend le Pérou, les Philippines, l'Indonésie, la Colombie et le Sri Lanka. Désignés sous l’acronyme des «PPICS», ces cinq pays ont pour point commun d'offrir aujourd'hui un réel potentiel de développement doublé d'un environnement des affaires serein (évaluation A4 ou B, un niveau similaire à celui des BRICS aujourd’hui), soit pas ou peu de corruption, des délais de paiement respectés, une information la plus transparente possible, etc.

En même temps que les «PPICS», l'assureur-crédit identifie un autre peloton de champions en devenir, en l’occurrence le Kenya, la Tanzanie, la Zambie, le Bangladesh et l'Ethiopie. Ils présentent, eux aussi, un réel potentiel de croissance, mais avec un environnement des affaires très difficile (évaluation C) ou extrêmement difficile (évaluation D), ce qui pourrait être un frein à l’exploitation de leur potentiel. «Naturellement, les pays du second groupe auront plus de difficultés et pourraient mettre plus de temps à pleinement exploiter leur potentiel de croissance. Cependant, leurs problèmes en matière d’environnement des affaires sont à relativiser : en 2001, la qualité de la gouvernance au Brésil, en Chine, en Inde et en Russie était comparable à celle de ces 5 pays aujourd’hui», commente Julien Marcilly, responsable risque pays de Coface.

Afin de distinguer les nouveaux pays émergents, à qui les BRICS sont en train de céder la place, Coface a retenu plusieurs critères dont deux essentiels :

1) Les pays qui bénéficient d’une croissance potentielle élevée en accélération, et dont l’économie est diversifiée et résiliente aux chocs de croissance

2) Les pays qui ont des capacités de financement suffisantes pour financer la croissance (un niveau d’épargne minimum, nécessaire pour éviter le recours massif à l’épargne étrangère) sans risques de bulle de crédit ou qui n’ont pas déjà des marchés d’actions d’une taille comparable à celle des pays de l’OCDE.

Ces dix nouveaux émergents, dans un environnement moins porteur, présentent une photographie macroéconomique plus chatoyante que les BRICS à leurs débuts. Les nouveaux champions affichent des taux d'inflation inférieurs d'environ 2,8 points à ceux des BRIC à l'époque et un niveau d'endettement public proche de 40 % du PIB, contre 54 % pour les BRIC. Les dix nouveaux émergents contrastent d'autant plus avec les BRICS qu'ils ne subissent pas, pour l'instant du moins, les mêmes contraintes que leurs aînés. En 2013, plusieurs des émergents traditionnels (pas seulement les BRICS) ont vu s'afficher leurs vulnérabilités avec des sorties de capitaux court-terme massives.

Toutefois, quelques faiblesses par rapport aux BRICS dans les années 2000 persistent. Premièrement, les 10 «nouveaux émergents» identifiés ne représentent actuellement que 11% de la population mondiale alors que les BRICS représentaient 43% de cette population en 2001. Deuxièmement, leur niveau de PIB ne représente que 70% de celui des BRICS en 2001. Enfin, les BRICS enregistraient en moyenne un excédent de la balance courante alors que les «nouveaux émergents» connaissent un déficit d’environ 6% du PIB. «La croissance des économies développées étant aujourd’hui structurellement plus faible, les «nouveaux émergents» pourront moins bénéficier du commerce vers ces pays que les BRICS dans les années 2000. Leur rythme d’expansion dépendra davantage de leur marché intérieur et de leurs exportations vers les autres pays émergents», conclut Julien Marcilly.

Coface est leader mondial de l'assurance-crédit, avec 4600 collaborateurs dans 66 pays. Cette filiale de la banque d’investissement française Natixis (groupe BPCE) propose aux entreprises du monde entier des solutions pour les protéger contre le risque de défaillance financière de leurs clients

Source Ecofin

Le Pèlerin

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 23:19

Europe: difficile de réduire encore la dépendance au gaz russe

Gazprom-Sotchi.jpg

Une usine de Gazprom à Sotchi le 30 novembre 2013 Yuri Kadobnov

 

Paris - Une production déclinante dans les eaux du Vieux Continent, un marché du GNL siphonné par l'Asie, un gaz américain ou de la mer Caspienne encore inaccessible, des troubles en Afrique du Nord: continuer à réduire sa dépendance au gaz russe risque de s'avérer difficile pour l'Europe.

Les récents efforts de diversification de l'Union européenne ont porté des fruits: la part du gaz russe dans les importations des 28 pays de l'Union européenne est ainsi passée de 45,1% en 2003 à 31,9% en 2012, selon Eurostat.

«L'Europe est sortie d'une certaine dépendance vis-à-vis du gaz russe, même si Gazprom restera un acteur clé en Europe», résume Pascale Jean, spécialiste du gaz chez PriceWaterhouseCoopers.

Le géant du gaz russe le souligne d'ailleurs à l'envi: sa part dans les importations européennes a nettement rebondi l'an dernier et, en volume, le gaz russe importé en Europe est bon an mal an resté globalement stable depuis 10 ans.

Autre point: la production gazière de l'Union européenne (hors Norvège donc), qui couvre actuellement environ un tiers de la demande, devrait baisser d'environ 15 à 20% d'ici 2020 et de 25% à 30% d'ici 2030.

«Il est probable que la part du gaz russe en Europe augmente à nouveau au cours des prochaines années, que cela nous plaise où non», pronostique Tim Boersna, chercheur spécialisé dans l'énergie à l'institut américain Brookings.

A la baisse de la production en mer du Nord britannique, largement entamée, et celle attendue au large des Pays-Bas, devrait s'ajouter celle de fournisseurs importants comme l'Algérie. «Le marché dictera de plus en plus que ce sera le gaz russe qui comblera le vide», souligne-t-il dans une note.

Le marché du gaz européen se retrouve aujourd'hui au carrefour des deux grands évènements imprévus de la planète énergétique ces dix dernières années: le boom du gaz de schiste américain, et Fukushima.

Avec l'arrêt de tous les réacteurs nucléaires japonais, l'appétit déjà croissant de l'Asie pour le gaz (notamment sous sa forme liquéfiée, le GNL) s'est fortement accru, tous comme les prix asiatiques. Les méthaniers, qataris notamment, qui avaient permis à l'Europe de se passer un peu des Russes, mettent le cap en priorité vers la Chine, la Corée ou le Japon, plus lucratifs.

L'attaque terroriste à In Amenas, dans le sud algérien, l'an dernier ou les fréquents arrêts du gazoduc Libye-Italie ont aussi jeté une ombre sur la fiabilité de l'approvisionnement nord-africain.

- A l'Ouest, du nouveau -

«Faute d'augmentation significative des exportations de gaz d'Afrique du Nord et avec l'émergence tardive d'exportations supplémentaires venues d'Azerbaïdjan, (l'approvisionnement européen) se résumera à une concurrence entre la Russie et les producteurs de GNL», a estimé l'Agence internationale de l'énergie dans son récent rapport sur le gaz dans le monde d'ici à 2018.

«Heureusement pour la Russie, la soif de GNL en Asie signifie que l'offre supplémentaire de GNL y sera largement absorbée, ne laissant qu'une faible quantité pour l'Europe», notait l'agence.

Promis depuis de longues années, le nouvel abreuvoir gazier de la mer Caspienne tarde lui à se matérialiser. Les projets de gazoducs dans le «couloir sud» évitant la Russie ont certes un peu avancé, mais devront subir la concurrence de South Stream, le gazoduc soutenu par Gazprom qui doit être inauguré en 2015.

La Norvège, qui espère accroître légèrement ou du moins conforter sa production gazière d'ici à 2020, pourrait profiter d'un positionnement plus méfiant de l'Europe à l'égard de Moscou. Déjà devenu brièvement en 2012 premier fournisseur de l'UE devant la Russie, le royaume scandinave pourrait encore grappiller quelques points de parts de marché, selon des analystes.

Les récentes découvertes en mer dans l'est de la Méditerranée (Chypre, Israël) ont aussi suscité des espoirs européens.

Mais le regard de l'Europe se tourne de plus en plus de l'autre côté de l'Atlantique, vers les surplus de gaz de schiste des Etats-Unis, devenus premier producteur mondial. D'autant que la prospection de gaz de schiste en Europe s'est avérée décevante ou trop controversée jusqu'à présent.

Les projets d'usines d'exportation de GNL américaines se sont multipliés, bien qu'une seule (Sabine Pass) soit en chantier. Quatre autres sont à un stade d'autorisation relativement avancé.

«Le GNL américain devrait devenir la principale source d'approvisionnement d'urgence dans le monde, ce qui sera particulièrement précieux pour les acheteurs européens», souligne Will Pearson, analyste d'Eurasia.

Mais les premières cargaisons américaines n'arriveront qu'en 2016, «et la mise en route sera progressive», tempère-t-il. D'autant que l'Asie devrait là aussi attirer une bonne partie des méthaniers.

En attendant ce GNL américain, l'Europe reçoit déjà le charbon dont les Etats-Unis n'ont plus autant besoin. Un charbon polluant qui s'est avéré un substitut important au gaz depuis deux ans en Europe.

Source 20minutes.fr AFP

Le Pèlerin

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 20:25

Pacte de responsabilité - Accord entre trois syndicats et le patronat

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La vice-présidente de l'organisation patronale CGPME Geneviève Roy (d) et le vice-président du Medef Jean-François Pilliard à la table des négociations sur le Pacte de responsabilité, le 5 mars 2014

Economie - Le texte doit encore être soumis aux instances dirigeantes de ces organisations...

Le patronat (Medef, UPA, CGPME) et trois syndicats (CFDT, CFTC et CFE-CGC) ont abouti mercredi à un accord sur les contreparties du pacte de responsabilité, a annoncé le Medef à l'issue d'une nouvelle séance de négociation.

Pour revivre cette journée de négociation, c'est ici

Le texte doit encore être soumis aux instances dirigeantes de ces organisations. La CGT et Force ouvrière ont émis, elles, un avis négatif sur le projet présenté par le patronat.

«Il n'y a pas d'engagements chiffrés» sur les créations d'emplois attendues des entreprises en échange de 30 milliards de baisses de cotisations promises par le gouvernement, a expliqué le chef de la délégation du Medef Jean-François Pilliard. Mais «le texte détaille de façon rigoureuse les dispositifs qui seront en place au niveau des branches (professionnelles) pour aller vers des objectifs» en matière d'emplois, a-t-il indiqué.

Contreparties

La négociatrice de la CFDT Véronique Descacq s'est dite satisfaite des «engagements» obtenus. «La CFDT est restée intransigeante sur ses demandes d'engagements chiffrés en matière d'emplois, de classification et d'investissements», a-t-elle assuré.

Le gouvernement, qui considère le pacte comme son arme ultime contre le chômage, avait demandé aux partenaires sociaux de parvenir à un accord d'ici à la fin mars sur les contreparties. «La bataille du pacte, c'est la bataille de la croissance. Redonner des marges de manoeuvre aux entreprises, ce n'est pas faire des cadeaux aux entreprises», a récemment assuré le Premier ministre Jean-Marc Ayrault.

Source 20minutes.fr avec AFP

Le Pèlerin

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 20:09

France - DSK: Le sondage embarrassant jamais publié

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Dominique Strauss-Kahn, le 8 juin 2013.

 

Politique - Malgré ses ennuis judiciaires, DSK apparaît comme l’homme politique idéal pour sortir le pays de la crise, selon un sondage que «Le Parisien magazine» a finalement décidé de ne pas publier…

En politique, on peut renaître de ses cendres. La preuve avec cette anecdote relayée par France Info ce mardi matin. Selon la radio, un sondage politique commandé par Le Parisien magazine à l'institut BVA est tout bonnement passé à la trappe, car ses résultats étaient jugés embarrassants.

Les sondés devaient se prononcer sur la personnalité politique la plus capable de faire mieux qu’Hollande. Et surprise: parmi les quatorze noms cités, Dominique Strauss-Kahn est arrivé en tête. Ainsi, 56% des sondés ont estimé qu'il ferait plutôt mieux que François Hollande. Alain Juppé arrive en deuxième position avec 53%. Suivent Nicolas Sarkozy et Manuel Valls, loin derrière, à 49 et 48%.

Le «Parisien magazine» fait marche arrière

C’était la première fois depuis longtemps que le nom de DSK était testé dans un sondage. Mais Le Parisien magazine aurait estimé qu’il n'était pas possible de publier ce sondage car, selon France Info, «il aurait fallu dans un même temps poser la question: "Etes-vous pour ou contre le retour de DSK?"». Mais publié ou pas, ce sondage fera parler de lui.

Pourquoi souhaitez-vous (ou ne souhaitez vous pas) le retour de Dominique Strauss-Kahn en politique? Dites-nous dans les commentaires ci-dessous ou via contribution@20minutes.fr

Source 20minutes.fr Delphine Bancaud

Le Pèlerin

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 00:48

Comment bien entretenir sa voiture ?

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Bien entretenir sa voiture, c'est d'abord faire des économies. Moins de passages chez le garagiste donc moins de dépenses. C'est aussi rallonger le «temps de vie» de votre voiture et préparer, si besoin, une meilleure revente. Voici les 10 commandements (ou suggestions) pour bien entretenir sa voiture.

1- Abritez votre auto ! Certes, ce n'est pas toujours facile de faire dormir votre véhicule dans un garage ou sous tout autre abri couvert. Mais c'est encore le meilleur moyen d'éviter une fatigue rapide de la carrosserie.

2- Le nettoyage. À l'intérieur comme à l'extérieur, nettoyez régulièrement (au moins 2 fois par mois) votre voiture. Utilisez à ce titre des produits spécifiques à l'automobile, notamment pour ce qui est des plastiques intérieurs et de la carrosserie.

3- Faites chauffer le moteur ! Même si les moteurs de nouvelle génération sont solides, prenez le soin d'y aller doucement lorsque vous mettez le contact pour la première fois de la journée (le matin par exemple). On roulera ainsi tout doucement les dix premières minutes. Autre petit truc : laissez tourner le moteur 10 secondes avant de couper le contact.

4- Vérifiez les niveaux au moins 1 fois par mois : huile, liquide de frein, liquide de refroidissement, voire liquide direction assistée. Si vous détectez un problème, remettez à niveau et revérifiez quelques jours plus tard. Si le problème persiste, demandez conseil à votre garagiste.

5- Les pneus : vérifiez régulièrement l'état de vos pneus. Utilisez les témoins d'usure (petites bosses en caoutchouc disposées au fond des rainures principales). L'usure et le vieillissement des pneus peuvent être dangereux pour la tenue de route. Ils peuvent aussi jouer sur la consommation du véhicule et l'usure des amortisseurs (donc, engendrer des frais supplémentaires).

6- Plaquettes et disques de freins : vérifiez également et régulièrement l'état de vos plaquettes et disques de freins. Si vous constatez une usure «anormale », foncez (façon de parler) chez votre garagiste.

7- La révision des 10 000 km : prenez rendez-vous chez votre garagiste et ne négligez pas ce point. La révision des 10 000 comprend la vidange de l'huile moteur, le changement du filtre à huile et du filtre à pollen, la vérification des disques et plaquettes de freins et l'état de la batterie.

8- La révision des 30 000 km ou 2 ans. Les tâches à effectuer : purger le liquide de refroidissement et le liquide de freins, vérifier les courroies de distribution, la ligne d'échappement, le niveau d'huile, les soufflets de cardan, les soufflets de transmission et les durites du moteur.

9- La révision des 60 000 ou 3 ans. Cette révision comprend le changement des bougies sur les moteurs essence, le changement du filtre à gazole sur les moteurs diesel, le changement de la courroie de distribution, du filtre à air, la vidange de la boîte de vitesses pour les véhicules automatiques et la vérification des niveaux.

10- La révision des 100 000 km. Il est conseillé de remplacer le kit de distribution et les amortisseurs. Une vérification des airbags est également la bienvenue.

Source Le Soir d’Algérie Mehdi Mehenni

Le Pèlerin

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