23 octobre 2008
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Union Européenne - Feu vert des 27 pour la “Carte Bleue”

Attendu pour la fin de l’année en cours, l’aval des vingt-sept pays membres de l’Union européenne pour la mise en œuvre de la “carte bleue”, pour attirer vers le vieux continent des diplômés étrangers et une main-d’œuvre qualifiée, a été finalement donné hier à l’unanimité.
La République tchèque et la Bulgarie, qui s’opposaient au lancement du projet de la “carte bleue”, ont levé, hier, leurs réserves, permettant son adoption définitive par les ministres européens en charge des questions de l’immigration. Cet accord permettra la concrétisation de l’opération dans les meilleurs délais, bien que son application a été retardée jusqu’en 2011. En effet, ce nouveau document concernant l’immigration en Europe ne devrait entrer en vigueur que dans trente mois, selon l’“accord de principe” donné par les vingt-sept pays membres de l’Union européenne pour la mise en œuvre de cette carte bleue, censée rivaliser avec la “green card” américaine pour attirer des diplômés étrangers et une main-d'œuvre qualifiée. Ce délai de trente mois a été imposé par la République tchèque, parce que ses ressortissants, comme ceux des autres pays de l'Est qui viennent d'adhérer à l'UE, n'ont pas encore libre accès au marché du travail de tous leurs partenaires européens. Ces dernières entraves doivent être levées en 2011. Pour rappel, la “carte bleue”, qui s'adresse à des diplômés étrangers et leur permet de postuler à des emplois hautement qualifiés dans les États membres, vise à réguler l'immigration à des fins professionnelles et à répondre aux besoins d’une main-d'œuvre qualifiée de l'Union européenne. Elle vient compléter le dispositif mis en place avec le pacte pour l'immigration et l'asile, entériné par les dirigeants européens lors de leur sommet la semaine dernière. Il y a lieu d’insister sur les avantages salariaux qu’offre ce document aux postulants. En effet, les emplois, qui leur seront proposés, se distinguent par le fait que leur niveau de rémunération : le salaire offert à l'impétrant doit êtr 1,5 fois supérieur au niveau moyen des salaires dans l'État membre, où ils seront acceptés. Néanmoins, certains pays membres de l’Union européenne refusent de s’aligner sur ce taux et préfèrent limiter leur offre à 1,2 fois seulement. La “carte bleue” européenne est un document qui permettra à son titulaire et aux membres de sa famille d'entrer, de séjourner et d'accéder au marché du travail dans l'État membre demandeur pour un secteur concerné. Toutefois, ce permis de travail ne constitue pas une autorisation permanente, ni un titre de travail valable pour l'ensemble des pays membres de l'Union européenne. La rivalité avec la “green card” a été soulignée, même si le ministre français de l'Immigration, Brice Hortefeux, l’avait écartée lors de la précédente réunion de l’UE sur le sujet. “La carte bleue n'est pas la green card”, avait-il affirmé.
Source Liberté
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16 octobre 2008
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23:54
L'Europe offre le statut avancé au Maroc

· Les Européens unanimes s’engagent avec le Maroc dans un nouveau et ambitieux partenariat
· Joli coup pour la diplomatie marocaine
Mission accomplie pour le Maroc. Réunis en Conseil d’association le 13 octobre à Luxembourg, les ministres des Affaires étrangères de l’UE -en présence de leur homologue marocain Taïeb Fassi Fihri- se sont engagés avec un enthousiasme certain à accorder au Maroc le statut avancé qu’il réclame depuis plusieurs années.
Un nouveau statut tout à fait ambitieux dans la mesure où les actions et propositions retenues dans le nouveau partenariat couvrent un très large éventail qui va des relations politique, économique et financière jusqu’au rapprochement des deux partenaires en matière sociale et humaine, en passant par la participation du Maroc à certains programmes et agences communautaires (voir article ci-contre).
Dans une déclaration politique très positive à l’endroit de la délégation marocaine, les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont notamment indiqué que le nouveau statut avancé accordé au Royaume a pour ambition «d’accompagner la dynamique endogène que connaît le Maroc et d’accélérer le mouvement du partenariat Maroc-UE». Sa concrétisation sera mutuellement bénéfique et le statut avancé devra se traduire, ajoutent les 27, par un «raffermissement de la coopération politique entre le Maroc et l’Union européenne». Les actions retenues pour ce nouveau partenariat forment une feuille de route ambitieuse et leur mise en œuvre se fera à court et à moyen terme.
En conformité avec la vocation et les principes de la Politique européenne de voisinage, le Plan d’action voisinage UE-Maroc et les conclusions du Conseil d’association de juillet 2007, les deux partenaires ont convenu de poursuivre la réflexion concernant la nature et la forme de l’instrument qui prendra le relais du Plan d’action et, éventuellement, du lien contractuel qui remplacerait l’Accord d’association.
Trois questions à Fassi Fihri
A l’occasion de la tenue de la 7e session du Conseil d’association Maroc-UE,
L’Economiste a rencontré le ministre des Affaires étrangères Taïeb Fassi Fihri.
L’Economiste: Quel bilan faitesvous à l’issue de ce partenariat?
- Taïeb Fassi Fihri: Aujourd’hui c’est une étape supplémentaire dans un itinéraire qui date des années soixante. C’est une construction supplémentaire dans les relations entre le Maroc et l’UE. C’est une étape qui n’était pas évidente surtout au moment où l’Europe s’interroge elle-même sur son propre devenir, qui a des difficultés avec son propre approfondissement, qui a des problèmes institutionnelles avec son Traité et qui en plus subit comme d’autres une crise financière.
Pour le Maroc, c’est une étape fondamentale qui n’était donc pas évidente et qui voit, dans ces conditions, l’UE prendre le temps, prendre le soin de s’engager à construire des relations supplémentaires avec ce proche voisin qu’est notre pays. C’est une démonstration qui n’est faite aujourd’hui que pour atteindre l’objectif final stratégique de coopération et de partenariat euroméditerranéen, il fallait des démarches de coopération renforcée et de différenciation. Et donc, avec le Maroc, on construit, j’espère, le modèle de demain.
- Quel rôle principal voyez-vous à ce nouveau statut avancé dans les relations Maroc/UE?
- Ce statut avancé s’ajoute à notre Accord d’association qui est entré en vigueur en 2000 ainsi qu’à la Politique européenne de voisinage à laquelle nous avons apporté tout notre soutien dans la mesure où elle a introduit ce facteur important de différenciation entre les pays de la rive sud de la Méditerranée. Ce nouveau statut est très important pour nous puisqu’il s’agit d’un encouragement à un travail en commun, car, comme vous le savez, l’oxygène politique et démocratique nous vient du Nord. C’est aussi un engagement pour accompagner la modernisation de nos économies, de nos infrastructures et la lutte contre la pauvreté. Des actions et mesures que nous allons mettre en œuvre dans les plus brefs délais.
- Le Maroc est-il vraiment prêt à assumer ses responsabilités dans ce nouveau statut qui prévoit quand même un catalogue impressionnant de mesures et d’engagements?
- C’est un catalogue de mesures à court et à moyen terme que le Maroc pense honorer sans trop de difficultés. En matière politique il n’y a aucun problème à ce que des partis politiques, marocains et européens, se rencontrent ou à ce qu’une commission mixte parlementaire euro-marocaine soit établie, c’est d’ailleurs une demande des uns et des autres. Sur le plan économique, nous continuons nos avancées. Concernant l’intégration du Maroc à des agences et des programmes communautaires, là aussi l’Union européenne se dit prête à soutenir financièrement la participation de notre pays dans une série de programmes et d’agences divers.
Quant à la zone de libre-échange globale et approfondie entre le Maroc et l’UE, elle mettra le temps qu’il faut en fonction des réformes que l’Europe elle-même introduira et en particulier dans sa Politique agricole commune.
Source L’Economiste
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16 octobre 2008
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23:00
Sahara Occidental: L’UE veut une solution basée sur le droit à l’autodétermination
Les travaux du septième conseil d’association Union européenne-Maroc, de lundi dernier, ont été sanctionnés par un communiqué des vingt-sept ministres européens des Affaires étrangères qui indique que l’UE est “pour une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permet l’autodétermination du peuple sahraoui”.
L'Union européenne semble se positionner davantage du côté de la légalité internationale dans le conflit du Sahara Occidental, si l’on en juge par le contenu du communiqué rendu public, à l’issue de la septième réunion du conseil d’association entre l’UE et le Maroc, qui s’est tenue lundi dernier au Luxembourg. Au grand dam de Rabat, les chefs européens de la diplomatie ont estimé qu'“il est important que les négociations, conduites par l'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies, puissent parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permettra l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental comme le disposent les résolutions des Nations unies”. Bruxelles affirme, par ailleurs, apporter son “plein appui à la pleine mise en œuvre de la résolution 1813 du Conseil de sécurité, adoptée à l'unanimité le 30 avril 2008, qui demande aux parties de faire preuve de réalisme et d'esprit de compromis et d'engager des négociations de fond”. Ce discours plus conforme à la légalité internationale, laquelle assure au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination, est contraire aux positions de certaines capitales européennes, notamment Paris et Madrid, qui soutiennent la proposition marocaine d’autonomie. Ainsi, l’Union européenne se dit convaincue que les parties en conflit, à savoir le Maroc et le Front Polisario, “doivent entrer dans une phase plus substantielle de négociations et faire preuve de retenue, de bonne foi, de réalisme, d'engagement et d'esprit de compromis”. En d’autres termes, aucune partie ne peut imposer quelque chose à l’autre comme tente de le faire le Maroc actuellement en faisant de son plan d’autonomie, la seule base de négociations avec les Sahraouis. D’ailleurs, il est clairement précisé dans le communiqué que l'UE a pris note de la proposition marocaine présentée le 11 avril 2007 au Secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, ainsi que de la proposition du Front Polisario présentée au Secrétaire général le 10 avril 2007. Partant de là, l’Union européenne exprime son “plein soutien aux négociations de Manhasset sur le statut futur du Sahara occidental, lancées l'année dernière avec l'adoption de la résolution 1754 du Conseil de sécurité”. Ne s’arrêtant pas à ce stade, les ministres européens des Affaires étrangères réaffirment que l'UE exprime “son attachement à la situation des droits de l'homme au Sahara Occidental et rappelle les obligations qui incombent à chaque partie”, et encourage, à cet égard, le Maroc à considérer la possibilité de l'organisation par voie terrestre des visites familiales. Dans le même ordre d’idées, Bruxelles invite le Maroc à sauvegarder la liberté d'association et de rassemblement, notamment dans les territoires occupés du Sahara Occidental, appelant les forces d'autorité marocaines à faire preuve de retenue dans le recours à la force.
Source Liberté
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10 octobre 2008
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Les propositions de réforme des collectivités territoriales affluent mais pourraient virer à l'usine à gaz.

En proposant la suppression des départements, le rapport Attali avait ouvert la boîte de Pandore. À l'époque, Nicolas Sarkozy avait rejeté cette idée. Mais depuis, la question de la réorganisation des collectivités territoriales fait son chemin. Le Président a demandé à Édouard Balladur de présider une commission chargée de faire des propositions, sur le modèle de celle qui avait préparé la réforme des institutions. Bref, le gouvernement semble décidé à entrer dans le vif du sujet. Si la suppression des départements est l'hypothèse la plus souvent évoquée, d'autres pistes sont également suggérées dans le rapport de la mission d'information de la commission des lois de l'Assemblée que préside Jean-Luc Warsmann, et qui a été adopté hier à l'unanimité. Ce document préconise une refonte à géométrie variable des collectivités territoriales : fusion entre régions, fusion départements/région sur la base du volontariat dans le cadre d'une nouvelle entité qui « pourrait être dénommée « grande région ». Elle aurait en charge l'ensemble des compétences dévolues pour l'instant à chaque région et à chacun des départements qui la composent. Un nouvel ensemble pourrait aussi naître du « regroupement volontaire des régions, pour rendre la carte territoriale plus cohérente », selon Warsmann. Autres propositions du rapport : « la création de métropoles en fusionnant conseil général et intercommunalité » ou encore « la transformation d'une intercommunalité et de ses communes membres en une collectivité unique, à l'instar de la formule Paris-Lyon-Marseille ». La France ne comporterait plus partout le même nombre d'échelons administratifs. Les collectivités bénéficieraient d'un délai d'un an pour décider de leur regroupement. Au-delà ou si des désaccords se font jour, « c'est le préfet ou le législateur qui tranchera », indique Warsmann. L'objectif de cette réforme ? « La boîte à outils que nous proposons vise à réduire le nombre de collectivités », explique Warsmann qui fonde cette réorganisation sur l'exclusivité des compétences par échelon territorial et la suppression des financements croisés. Jusqu'à présent, tout ce remue-ménage autour des collectivités territoriales fait fi de la dimension politique du problème (lire ci-dessous) et n'aborde pas l'épineuse question de la fiscalité, au risque de transformer ce dossier en une gigantesque usine à gaz. Le socialiste Martin Malvy s'inquiète : « Vouloir fusionner Départements et Régions constituerait une erreur majeure. Le problème est un problème de compétences à clarifier entre les collectivités locales, mais aussi entre l'État et ces collectivités qu'il a trop tendance à considérer comme les variables d'ajustement de ses propres politiques. Avant de réformer il convient de dresser l'état des lieux, en France et en Europe. »
Régions : fusions en perspective
Parmi les propositions émises actuellement dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales, le regroupement des régions revient sur le devant de la scène. Le projet n'est pas nouveau. Il vise entra a utres à muscler nos régions ou à les renforcer face aux leurs homologues européennes. L'exemple le plus couramment cité est celui de Haute Normandie et de Basse-Normandie qui pourraient fusionner. Mais il n'est pas impossible d'imaginer que des régions du Midi se regroupent également pour faire davantage le poids face à l'Espagne. Reste que ces hypothèses ont été fréquemment évoquées dans le passé mais n'ont jamais abouti. Le vaste chantier que semble vouloir lancer le gouvernement favorisera-t-il ce type de projet ?
Un dossier politique explosif
Avec la réforme des collectivités locales, le gouvernement s'engage dans un chantier très périlleux sur le plan politique. D'abord parce qu'il concerne les élus qui sont toujours réticents lorsqu'on envisage de toucher à leurs mandats, ce qui semble inévitable avec la suppression ou la fusion de certains échelons territoriaux. Dès lors, de nombreuses questions demeurent en suspens : dans l'hypothèse de la fusion de deux régions, qui sera le président? Dans le cas de la création d'une nouvelle entité unifiant départements et région, qui resteraient en place, les élus régionaux ou les conseillers généraux ? Ensuite à l'UMP, deux lignes s'affrontent. «Certains sont partisans d'une vaste réforme concernant l'ensemble des collectivités locales, d'autres préfèrent poser le problème seulement au niveau du binôme Régions-départements», explique un député UMP. Enfin, au sein du parti présidentiel, les propositions se font en ordre dispersé. Alors que Jean-Luc Warsmann a présenté hier un rapport au nom de la commission des Lois de l'Assemblée, Jean-François Copé a annoncé la mise en place d'un groupe de travail Assemblée-Sénat des parlementaires de son parti et du Nouveau Centre pour travailler sur la question. Gérard Larcher, le nouveau président du Sénat, veut avoir aussi son mot à dire. Du coup, Édouard Balladur a fait savoir qu'il était prêt à présider une commission visant à faire des propositions, mais à condition «qu'il n'y ait pas de confusion entre une multitude d'organismes qui feraient la même chose.»
En outre, les sénateurs devraient se montrer très sourcilleux envers une réforme qui remodèlera le collège des grands électeurs qui est chargé de leur apporter ses suffrages...
Source La Dépêche du Midi
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10 octobre 2008
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Aventure. Un véliplanchiste de 61 ans se lance de-main dans une traversée de la Méditerranée.
Alain Gabet compte rejoindre Oran en 7 à 12 jours. Tout dépendra de la météo.
C'est un véritable exploit que va tenter Alain Gabet, véliplanchiste de 61 ans, à partir de demain: la traversée de la mer Méditerranée en funboard, un challenge itinérant de 1 200 km (650 milles) ralliant la France à l'Algérie via l'Espagne. Il partira de Port-la-Nouvelle et rejoindra Oran, sa ville natale. Il naviguera sur du matériel exclusivement de série, entre le lever et le coucher de soleil, soit 8 à 10 heures par jour). Le ravitaillement, la sécurité et la couverture médiatique seront assurés par un bateau suiveur de 10 mètres pouvant suivre la planche jusqu'à 30 nœuds. Les ravitaillements et les changements de voile se feront eux aussi sur l'eau. Alain Gabet ne remontant sur le bateau d'assistance que le soir venu. Un voyage qui ne devrait pas durer plus de 12 jours
Alain Gabet, c'est 30 ans d'aventure en mer. Depuis 1977 où il faisait ses premières glissades sur une planche, il ne cessa de participer à des régates puis à des traversées: 1995, traversée Nice-Calvi en 12h58, record battu; 1996, tour de Corse en 11 jours; 1998, traversée Maroc-Canaries en 12h15, record battu; 2000, participation à la TAWR (traversée de l'Atlantique); 2002, traversée Italie-Corse-Sardaigne en trois jours; 2004, traversée de la mer Méditerranée France-Tunisie; 2007, traversée Golfe du Lion France-Espagne / Défi de la tramontane. Un palmarès éloquent, mais ces exploits n'ont pu se réaliser qu'avec la participation et l'assistance de «Raids et Aventures», une association forte d'une dizaine de membres actifs qui organise des raids et apportent une aide à tous ceux qui veulent mettre au point un projet longue distance.
Alain Gabet partira donc demain vendredi 10 octobre (sous réserve d'une météo favorable) vers 10 heures, de la plage du Casino. Nous serons au départ pour lui souhaiter «bon vent!»
Source La Dépêche du Midi
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21 septembre 2008
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23:09
Le Maroc et l’UE présenteront un texte sur un "statut avancé" en octobre
Lors du prochain Conseil d’association qui aura lieu au Luxembourg le 13 octobre, le Maroc et l’Union européenne présenteront un texte sur le "statut avancé" demandé par le Royaume.
Les négociations entre le Maroc et l’UE sur ce statut avancé a fait "des avancées et des propositions concrètes et pragmatiques qui touchent l’ensemble des volets, notamment politique, économique et humain", selon Youssef Amrani, responsable au ministère marocain des Affaires étrangères.
Le statut avancé que demande le Maroc devrait se traduire par un raffermissement de la coopération à tous les niveaux. Rabat estime que le partenariat entre le Maroc et l’UE devra couvrir un large spectre d’activités, allant du militaire à la gestion civile des crises
Source 20Minutes.fr
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17 septembre 2008
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23:00
La SNCF introduit le concept de passe-clé USB

La compagnie ferroviaire teste un nouveau dispositif d'abonnement dématérialisé pour les réseaux TER et RER.
Après avoir lancé la vente de billets insérés dans les téléphones portables, la SNCF a initié une phase pilote d'une durée de quelques mois pour tester une clé USB qui servirait de titre de transport pour les abonnés TER et RER. Cet outil permettrait également de recharger l'abonnement depuis Internet.
L'usage sera similaire à celui d'une carte Navigo : dans une approche "sans contact", l'abonné devra passer la clé USB à quelques centimètres des bornes d'accès dans les gares. Et les contrôleurs auront accès aux informations incluses dans les clés via un PDA.
La compagnie ferroviaire a donc confimé les informations diffusées initialement par le MagIT. Gemalto, groupe français spécialisé dans les systèmes de cartes à puce et les communications sécurisées, est dans la boucle pour accompagner ce projet. Selon Gizmodo.fr, la carte clé-USB de 4 Go s'appelle Weneo.
Selon les éléments recueillis par l'AFP, ce dispositif pilote sera disponible dans dix régions qui ont déjà adhéré au système de cartes sans contact mis en œuvre par la SNCF.
Mobitick, Ticketfone...Les tests s'enchaînent
Autre piste connexe explorée : un lecteur de carte à brancher sur un PC via un port USB qui permettra de conserver sa carte d'abonnement mais de payer directement depuis un ordinateur. La SNCF veut-elle faire revivre les périphériques de paiement électronique pour les particuliers ?
Régulièrement, la SNCF teste de nouveaux dispositifs pour dématérialiser les billets. Ainsi, en 2005, le système Mobitick permettait d'acheter un billet virtuel via son opérateur mobile. Au cours de l'été 2006, la division Recherche de la SNCF avait testé Tiketfone permettant d'acheter et recevoir son billet sur téléphone portable via I-mode ou Wap.
Source : http://www.bonweb.fr
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16 septembre 2008
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23:42
La carte grise passe à l'ère électronique
En janvier 2009, de nouvelles cartes grises avec zone de lecture optique et de nouvelles plaques d'immatriculation pour les véhicules feront leur apparition.
Après les passeports, les cartes grises auront leur zone de lecture optique. Elle se trouvera en bas au recto de la carte et devrait faciliter le contrôle des policiers et des gendarmes. Elle permettra, en effet, d’interroger automatiquement les bases de données de fichiers. En fin de semaine dernière, Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, a présenté ce nouveau modèle de certificat d’immatriculation qui entrera en circulation le premier janvier 2009.
La future carte grise vire au saumon et présente en plus de la zone de lecture optique, d’autres dispositifs de sécurité : un hologramme qui, selon l’orientation du document, montre une voiture, une carte de France ou une carte du monde, un numéro d’immatriculation perforé au laser, un filigrane de Marianne, des caractères déformés, une encre noire passant au vert sous les rayons ultra-violets, etc.
Les automobilistes verront également apparaître à cette date des plaques minéralogiques inédites dans le cadre de la mise en place du nouveau système d’immatriculation des véhicules (SIV). Une identité sera attribuée à vie au véhicule même en cas de changement de propriétaire ou d’adresse. Cela devrait apporter "plus de simplicité et de sécurité" aux conducteurs selon la ministre de l'Intérieur. L’immatriculation prendra la forme de deux lettres-trois chiffres-deux lettres avec un numéro de département et un logo de région en option
Source : http://www.bonweb.fr
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16 septembre 2008
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23:00
Natation. Laure Manaudou de retour avec Philippe Lucas?

La championne de natation Laure Manaudou n'a pas encore fait le choix de son nouvel entraîneur et poursuit sa réflexion, a informé mardi matin l'avocat de la championne Me Didier Poulmaire, infirmant ainsi une information donnée sur le site internet Eurosport.fr.
Selon une page publiée mardi matin sur le site Eurosport.fr, "Laure Manaudou, une des immenses déceptions de la délégation française lors des derniers jeux Olympiques de Pékin, sera de nouveau entraînée par Philippe Lucas"
Me Poulmaire interrogé par l'AFP sur cette nouvelle a affirmé que "l'information d'Eurosport n'est pas fondée. Laure Manaudou est actuellement en vacances et poursuit sa réflexion".
Eurosport.fr, sans donner de source précise annonce que "selon (ses) informations, Laure Manaudou (...) va retrouver Philippe Lucas, l'entraîneur qui l'a portée vers les sommets de la natation, après leur rupture acide au mois de mai 2007."
Me Poulmaire, qui estime ces informations infondées, avait annoncé mercredi dernier que la championne avait arrêté son choix sur un nouveau technicien mais était encore à la recherche d'une structure d'entraînement.
"Laure a arrêté son choix sur l'entraîneur. Elle sait avec qui elle a envie de travailler. Maintenant, nous réfléchissons sur la meilleure base d'entraînement, sur l'environnement le plus optimal pour la suite de sa carrière", avait expliqué Poulmaire à l'AFP, précisant que rien n'était encore finalisé avec cet entraîneur qu'il n'avait pas nommé. "On est en discussions", avait-t-il seulement indiqué.
La championne olympique 2004 et triple championne du monde, qui s'entraînait depuis janvier avec Lionel Horter, a mis fin à sa collaboration avec le technicien mulhousien après avoir échoué aux Jeux. A Pékin, Manaudou a terminé dernière du 400 m nage libre, dont elle détenait le titre, et avant-dernière du 100 m dos, où elle avait été médaillée de bronze aux JO-2004.
Manaudou, qui aura 22 ans le mois prochain, a pâti dans sa préparation de ses nombreux changements d'entraîneur depuis les Championnats du monde en mars 2007. En un an et demi, l'égérie de la natation française a eu quatre techniciens.
Aux dernières nouvelles Philippe Lucas aurait démenti…Nous verrons bien…Affaire à suivre...
Source la Dépêche du midi
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13 septembre 2008
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07:27
Le gouvernement et le Président «doivent être les gardiens de la laïcité»
Nicolas Sarkozy accueille le pape Benoît XVI le 12 septembre 2008 à l'Elysée.
Les propos du chef de l'Etat sur la «laïcité positive» lors d'un discours à l'Elysée, où il a accueilli le Pape Benoît XVI ce vendredi, ont aussitôt fait réagir l'opposition et les fervents défenseurs de la séparation de l'Eglise et de l'Etat.
«La laïcité implique que la religion est une affaire individuelle, dans un Etat respectueux de la liberté des cultes», a souligné Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste, dans un communiqué. «Ceux qui ont la responsabilité de gouverner la République, et le président en premier lieu, doivent être les gardiens de ces principes», a-t-il continué. «Nouvelle polémique» inutile
Selon Julien Dray, la «priorité immédiate (du gouvernement) doit être de rassembler les Français: la France a déjà assez de problèmes pour ne pas ouvrir de nouvelles polémiques».
Le sénateur PS Jean-Luc Mélenchon a quant à lui accusé le pape et le président Nicolas Sarkozy d'avoir «une politique commune», visant à remettre en cause «la laïcité de notre République». «Il s'agit de promouvoir en France le concept de “laïcité positive” qui s'oppose à la loi de 1905 en prévoyant le retour des Eglises comme actrices de la vie institutionnelle et publique», poursuit le sénateur de l'Essonne.
Appel à la «mobilisation de tous les laïques»
«Pour la première fois dans l'histoire de la France républicaine, un Pape et un président de la République affichent une politique commune. En ce sens, déjà, la laïcité de notre République est en danger», conclut-il.
Le Conseil national des associations familiales laïques a lui aussi dénoncé «l'intrusion permanente dans le champ politique» de la religion depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, «qui porte atteinte à la séparation de l'Eglise et de l'Etat». Le Cnafal appelle à la «mobilisation de tous les laïques».
Source 20Minutes.fr
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