Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 00:19

Multimédias - TV Ecran plat – comment choisir ?


1 - Le choix entre deux technologies : LCD ou Plasma
LCD ou Plasma, Ready HD, Full HD ou HDTV1080p… Il n’est pas toujours simple de s’y retrouver, d’autant que l’arrivée de la haute définition apporte un choix supplémentaire. Décryptage. 1 - Le choix entre deux technologies : LCD ou Plasma
Fini le bon vieux tube cathodique, maintenant c’est LCD (cristaux liquides) ou plasma. Le choix entre les deux ne se pose vraiment que pour les écrans plats de salon de grande taille (à partir de 100 cm de diagonale) où les deux technologies sont en concurrence.
Pour résumer, le LCD offre le plus grand choix d’appareils aujourd’hui (85% du parc). Il est choisi pour sa polyvalence (TV, photo/vidéo, jeux…). La qualité est désormais au rendez-vous y compris dans les grands formats.
Le plasma reste présent sur les grandes et très grandes tailles d’écran (1,27 m de diagonale et au-delà) auxquelles il apporte une image plus naturelle, notamment dans le respect des couleurs sombres, visible sous tous les angles contrairement au LCD limité à 130° d’angle horizontal et à 90° en vertical. La longévité du plasma n’est plus un problème, mais il supporte moins les reflets dans une pièce très éclairée (effet miroir) qu’un écran LCD.
Autre point à surveiller : la consommation électrique. Les écrans plasma restent un peu plus gourmands au démarrage, ainsi que certains LCD à effet rétro-éclairé en permanence.

2- Choisir une taille d’écran adaptée à ses besoins

Ecran de salon, de cuisine, de chambre ou « grand spectacle »… vous devez avoir une idée de la vocation de votre nouveau téléviseur et de sa taille moyenne avant de craquer sur le premier venu.
La taille d’un écran plat se mesure en diagonale, exprimée en pouces (de 19’’ à 60’’) mais aussi par leur équivalent en cm : de 48 cm à plus 152 cm soit 1,50 m d’image pour des écrans géants.
Les tailles les plus vendues tournent autour de 32’’ et 37’’ (81 et 94 cm) pour les modèles standards, et de 40 à 42’’ (102 et 107 cm) pour les écrans dédiés à la HDTV (télévision haute définition). C’est là que vous trouverez le plus grand choix. Avec l’avènement de la HD, mieux vaut opter pour la taille supérieure, si votre budget vous l’autorise.

3 - Au mur, encastré dans un meuble ou posé sur un pied

Selon la configuration de la pièce qui l’accueillera, posez-vous la question de l’emplacement de votre futur téléviseur.
Sur le mur - à condition de prévoir un support mural à sa dimension - il se fait plus discret, moins encombrant avec un petit air d’écran de cinéma.
Sur un meuble TV adapté ou simplement posé sur son pied (généralement fourni), l’écran devient un élément important de votre intérieur. Dans tous les cas sachez estimer la distance idéale entre vous et le téléviseur : 4 fois la hauteur de l’écran pour un modèle standard, mais seulement 3 fois cette hauteur pour les modèles HDTV 1080p, car la vraie HD se regarde en pleine « immersion » dans l’image.

4 - Vérifiez le taux de contraste et la luminosité

Pour une belle qualité d’image, plus naturelle et aux couleurs profondes, mieux vaut choisir un écran plat qui présente un contraste élevé (5000:1 à 10 000:1 voire plus) ainsi qu’une luminosité importante (300 à 500 cd/m2 pour un LCD, le double pour un plasma).
Ces deux données techniques sont mises en avant par les fabricants car elles caractérisent la bonne dynamique de l’image. Les modèles récents d’écrans LCD à technologie LED sont les plus performants en la matière. Mais ils restent pour l’instant à un prix élevé.

5 - Ne pas oublier la rapidité d'affichage

La fluidité des images
qui s'affichent sur les écrans plats est un autre critère à prendre en compte. Cette valeur s'exprime en millisecondes (ms), soit le temps de réponse pour qu'un pixel (point d'affichage de l'image) passe du noir au blanc par exemple. Meilleure elle est, plus l'"effet de rémanence" (le flou qui apparait sur les images rapides) des écrans plats LCD diminue.
Privilégiez donc les appareils affichant moins de 10 ms.
Si vous êtes amateur de films d'action, optez pour l'option "technologie 100Hz" (ou plus), qui améliore la fréquence de balayage de l'écran.
D'après les spécialistes, c'est la profondeur du noir qui détermine la vraie qualité d'image du téléviseur. Le mieux, si vous en avez l'occasion, est d'aller comparer vous-même devant un mur d'écrans en magasin.

6 - Quel écran pour profiter de la télévision numérique haute définition (HDTV)?

La multiplication des appareils à la norme HD (lecteurs Blu-ray, caméscopes, reflex numériques, box Internet…) et la diffusion des programmes de télévision en haute définition par le réseau numérique terrestre (TNTHD) ont créé un nouveau standard. Encore faut-il un écran adapté.
La haute définition c’est d’abord une question de résolution (nombre de points affichés dans l’image) et de logos. Jusqu’à présent nous avions les écrans estampillés HD Ready (1280x720p) et Full HD (1920x1080p). Depuis fin 2008, un téléviseur ne peut prétendre à être « HD » que s’il intègre un tuner TNTHD, la norme de compression ayant changé (Mpeg 4). D’où l’apparition de deux logos noirs en remplacement des précédents: HDTV garantit que le téléviseur est doté d'un tel tuner et HDTV 1080p, qui offre en plus une résolution de 1920 x 1080 pixels.
La mention « 1080p » est désormais synonyme de vraie HD, nécessaire pour profiter pleinement de tous les détails offerts par un film Blu-ray ou des programmes diffusés en HD (TF1, F2, Canal+, Arte…).7 - Connectique : une prise HDMI et un tuner TNT HD
Avec cette nouvelle génération d’écrans plats est apparue une connectique adaptée (prises, câbles) tout en gardant les anciennes (Péritel, YUV, etc.). La plus symbolique est l’HDMI, sorte de prise Péritel numérique. Elle peut transporter les nombreux flux audio et vidéo liés à la haute définition. Comme elle existe sous plusieurs variantes, il faudra en tenir compte lors de l’achat d’un cordon HDMI.
Le nombre des connecteurs audio-vidéo présents sur le téléviseur est un avantage surtout si vous souhaitez brancher de nombreux appareils type décodeurs, lecteur DVD, magnétoscopes, amplis… Mais vous n’aurez pas forcément besoin de 3 prises HDMI. Le Tuner TNT HD est compris désormais dans la plupart des nouveaux modèles.

8 - Ne pas négliger la qualité sonore du téléviseur

Les amateurs de son de haute qualité ou de sensations fortes peuvent être déçus par la qualité sonore de certains écrans.
C’est un critère trop souvent négligé au profit de l’image et pourtant les grandes marques ont fait de nets progrès : les options " son spatial SRS ", les effets " virtual surround " ou " Virtual Dolby Digital " selon les cas peuvent recréer une ambiance assez réaliste, même si le marketing en vante un peu trop les mérites.
Vérifiez l’existence de la stéréo Nicam et du bon emplacement des haut-parleurs en fonction de l’emplacement du téléviseur (mural ou posé sur son pied).

9 - Les « plus » : lecteur de cartes mémoire, prise USB, DLNA…

Les fabricants tentent de se distinguer par des petits « plus » qui peuvent se montrer utiles.
Les lecteurs de cartes mémoires sont pratiques pour visionner ses photos/vidéos directement à l’écran sans câble. Vérifiez leur compatibilité avec vos appareils.
Certains écrans sont pourvus d’une prise USB pour y brancher son ordinateur. D’autres disposent d’un adaptateur DLNA qui permet de lire les fichiers multimédia stockés sur un ordinateur. Une fonction utile surtout pour ceux qui manipulent de nombreux fichiers audio et vidéo via Internet.

10 - Support mural : un accessoire pas si accessoire

Pour « afficher » son écran, plusieurs types de support mural existent : plaque fixe ou inclinable et/ou orientable, bras pivotant, rotule... Chacun a ses avantages et ses inconvénients.
Question prix, la plaque fixe est la plus abordable (< 50€), le bras pivotant ou articulé, plus haut de gamme.
Faites votre choix en connaissant le poids de votre écran, ceux de grandes tailles demandant un support à la hauteur. Attention à la bonne circulation de l’air si le téléviseur est encastré, pour éviter toute surchauffe.

Source Seniorplanet


Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 10:49

P2P : les menaces n’effraient pas les télé chargeurs

La riposte graduée, qui arrive en France, mais qui est aussi à l’ordre du jour aux USA, en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Zélande, menace les télé chargeurs assidus de suspendre leur connexion à Internet s’ils sont surpris plusieurs fois de suite lors d’un téléchargement illégal. Cette menace ne semble pourtant pas effrayer les télé chargeurs les plus tenaces, puisque 37% des utilisateurs de P2P interrogés dans les pays concernés ont indiqué qu’ils allaient les ignorer purement et simplement.

Le P2P n'a pas peur des sanctions

Si la plupart des internautes pourraient arrêter définitivement de télécharger dès le premier avertissement prévu par la riposte graduée, d’autres pourraient avoir besoin de représailles plus sérieuses pour se décider. Ainsi, une étude menée récemment par les cabinets d’étude The Leading Question et Music Ally montre que 64% des internautes aux USA, en Grande-Bretagne et en France arrêteraient de télécharger dès le premier avertissement. Si ce chiffre semble encourageant, c’est lorsque l’étude se resserre au niveau des utilisateurs de P2P uniquement que le tableau est moins rose.
En effet, seulement 41% des utilisateurs de P2P interrogés s’annoncent prêts à stopper leurs échanges après un premier avertissement. Et même sous la menace d’une coupure de leur accès à Internet, 37% des interrogés s’annoncent malgré tout prêts à continuer à télécharger et partager des fichiers sur Internet. « Si un avertissement par courrier de la part des fournisseurs d’accès peut suffire à envoyer un message important aux mélomanes, cela ne sera pas assez pour décourager la véritable cible, qui sont les utilisateurs de P2P, de télécharger de la musique sans payer », reconnaît Paul Brindley, PDG de Music Ally

Source Tom’s Guide

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 09:00

Mulfimédias - L'idée a été adoptée, contre l'avis du gouvernement...


Surprise! La redevance télévisuelle va concerner aussi... les ordinateurs. C’est une décision des sénateurs, contre l'avis du gouvernement. L’amendement a été proposé par Catherine Morin-Desailly (Union Centriste) et Michel Thiollière (UMP).
Après environ une heure de débat, les sénateurs, échaudés par la marche forcée imposée par le gouvernement, ont étendu la redevance aux «terminaux» permettant la réception de la télévision. Et ce, malgré les remarques de la ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel, qui a jugé le «concept» de terminal trop flou.
L’idée devait au départ concerner les téléphones portables et les ordinateurs. Finalement, cela n’inclut que les seconds.

Une redevance par foyer, quelque soit le nombre de terminaux

Précisons qu'une seule redevance sera payée par foyer fiscal, même si le foyer comprend quatre ordinateurs et trois téléviseurs. En revanche, ceux qui n’avaient pas la télé mais un ordinateur seront désormais mis à contribution. «Il n'y a aucune raison plaidant pour que les Français qui n'ont pas de télévision mais la regardent sur leurs ordinateurs ne paient pas la redevance», a souligné Michel Thiollière.
En fait, l’élargissement de cette redevance répond au besoin d’assurer le financement de l’audiovisuel public, dépourvu de revenus publicitaires. «Si on ne veut pas augmenter suffisamment la redevance (qui devrait passer à 120 euros au 1er janvier 2010, une idée largement débattue aussi, ndlr), alors il faut élargir l'assiette, c'est le seul moyen», a plaidé Hervé Maurey (UC).
Reste à savoir si la commission mixte paritaire validera l’extension de cette taxe à son tour.
Celle-ci, qui réunit sept sénateurs et sept députés, doit se réunir le 28 janvier.

Source 20 minutes.fr


Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 13:23

Free ajoute 17 pays à son offre de téléphonie illimitée

Offre internet + téléphonie + télévision de Free évolue. L'opérateur a ainsi décidé d'ajouter 17 nouvelles destinations en illimité à partir du 1er février 2009. Afrique du Sud, Bahreïn, Bermudes, Colombie, Costa Rica, Géorgie, Guyane française, Inde, Laos, Liechtenstein, Lituanie, Macao, Macédoine, Malte, Îles Vierges, Albanie et Indonésie viendront rejoindre les 70 pays déjà proposés dans le forfait à 29,99 euros par mois. Pour les pays d'Afrique en revanche, il faudra encore s'acquitter d'un supplément.

Source Free.fr

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 05:38

Fibre optique : la tension monte entre Orange et Free

Stratégie - Les différends entre les opérateurs sur le déploiement de la fibre dans les immeubles ne sont pas prêts d’être résolus. Free refuse toujours de se joindre à l’accord SFR-Orange. Ce dernier, accusé de bloquer la situation par l’Arcep, rejette la faute sur Free.

Éric Besson, secrétaire d'État au Développement de l'économie numérique, tente depuis la rentrée de concilier les positions des opérateurs sur le déploiement de la fibre optique en France. Malgré de nombreuses réunions, Orange, SFR et Free ne parviennent toujours pas un accord. Dans ces discussions, l'Arcep joue un rôle de médiateur. Or le gendarme des télécoms est sorti de sa posture de neutralité pour prendre position contre France Télécom.

« Sur la partie terminale, en vertical (dans les immeubles), France Télécom veut imposer sa solution : la pose d'une fibre unique à laquelle se raccorderaient les concurrents. Cela pourrait en handicaper certains, tel Iliad-Free qui utilise une autre technologie », a déclaré Paul Champsaur, le président de l'Arcep, dans une interview au magazine Challenge publiée le 11 décembre. « Nous proposons de tester un compromis au surcoût minime et préservant la liberté des choix techniques : la pose de fibres en surnombre. Je m'interroge sur les raisons du blocage depuis l'été, par l'opérateur historique, des discussions sur le câblage terminal », ajoute-t-il.

Orange revendique une attitude ouverte et sans a priori...

Orange n'a pas tardé à répliquer. L'opérateur a publié le jour même un communiqué intitulé : « Mise au point sur les expérimentations de déploiement de la fibre optique en France ». « Tous les griefs [de l'Arcep] sont infondés, explique Yves Parfait, directeur du projet la fibre d'Orange France. Nous avons toujours adopté une attitude ouverte sur la fibre. »

Sur le plan du câblage horizontal (en souterrain), l'opérateur rappelle ainsi qu'il propose depuis plusieurs mois une offre opérationnelle d'accès à son infrastructure de génie civil, ses fourreaux. Sur le plan du câblage vertical (dans les immeubles), principal enjeu de la polémique entre les opérateurs, « nous avons de bonne foi, à la demande de l'Arcep, mené des discussions avec nos concurrents de manière pragmatique et ouverte depuis plusieurs mois », indique Yves Parfait.
Le directeur du projet la fibre d'Orange France souligne qu'un accord sur le déploiement a été signé avec SFR en septembre dernier. Ne prévoyant qu'un déploiement monofibre - une seule fibre est posée pour chaque client, le partage des infrastructures se fait donc au pied des immeubles ou dans la rue - cet accord avait été dénoncé par Free. En octobre, pour répondre aux recommandations de l'Arcep, Orange et SFR ont amendé leur accord en acceptant de tester une solution de déploiement multifibre - quatre fibres par client, une pour chaque opérateur de fibre en France, à savoir Orange, SFR, Numericable et Free -, solution prônée par Free qui déploie depuis un an de son côté deux fibres par foyer.
... et accuse Free de bloquer la mise en ouvre d'un accord.

Dans la foulée de cet accord, Orange indique avoir appelé les autres opérateurs, Numericable et Free, pour leur proposer de participer à une expérimentation de la solution multifibre dans quelques immeubles du XVe arrondissement de Paris. Si les discussions sont « bien avancées » avec Numericable, avec Free, en revanche, la situation bloque.

« Free a refusé jusqu'à présent les propositions d'accord qui lui ont été faites, en exigeant le déploiement systématique de la solution multifibre, explique Yves Parfait, alors même que la viabilité et l'économie de cette solution n'ont pas encore été expérimentées. Rien ne peut justifier d'imposer a priori aux acteurs du marché la solution de fibrage vertical multifibre exigée par Free. »
L'expérimentation de déploiement multifibre menée par Orange et SFR, rejoints peut-être prochainement par Numericable, devrait être opérationnelle à la fin de l'année. Un bilan pourra donc être fait à la fin du premier trimestre 2009. Quant à la solution monofibre, Yves Parfait rappelle qu'une expérimentation visant à raccorder des clients Free dans des immeubles fibrés par Orange a déjà été menée cette année, et que « cela fonctionne parfaitement ». Le directeur du projet la fibre d'Orange France souligne en outre que la volonté d'ouverture n'est pas mutuelle : Free ne nous a pas encore communiqué d'offre détaillée pour accéder aux immeubles parisiens qu'il raccorde ».
« C'est donc bien plutôt Free qui bloque ainsi la mise en œuvre d'un accord général sur la mutualisation du fibrage vertical, préalable indispensable au déploiement à grande échelle de la fibre », conclut Yves Parfait, en ajoutant qu'Orange reste « désireux de trouver des solutions dans une approche équilibrée et sans a priori ».

Commentaire du Pèlerin

Orange veut se faire encore plus de beurre,

De par sa position dominante, dont il ne doit pas abuser,

Sa volonté de marginaliser Free qui a permis de tirer les couts vers le bas…que ce soit sur le triplay ou sur les mobiles,

Je fais confiance à l’imagination et à la créativité de Free pour trouver une solution favorables aux internautes

Source L'Internaute


Le Pèlerin

 

Partager cet article
Repost0
18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 00:51

Fibre optique : Free refuse un accord avec SFR et Orange


En septembre dernier, Eric Besson, le secrétaire d'Etat au Développement de l'Economie numérique, avait exprimé le souhait qu'un accord incluant l'ensemble des opérateurs impliqués dans le déploiement de la fibre soit finalisé d'ici à la fin du mois d'octobre. A défaut, il a menacé de saisir le gendarme des télécoms, l'Arcep, afin qu'il prenne une décision réglementaire à caractère contraignant. Depuis, toujours aucun accord n'a été signé.

Le 24 septembre dernier, Orange et SFR annonçaient avoir conclu un accord portant sur les conditions opérationnelles du déploiement de la fibre : initialement monofibre, il a été amendé mi-octobre par les deux opérateurs et comporte désormais une expérimentation de type multifibre, comme le prône Free (lire l'article Fibre optique : Orange et SFR tendent la main à Free du 16/10/2008).

Mais Free n'a pas voulu rejoindre cet accord. Début novembre, les services d'Eric Besson auraient tenté de forcer la main à Free en lui envoyant un protocole d'accord pour l'inciter à rejoindre l'alliance conclue entre Orange et SFR, selon "Les Echos". Dans un premier temps, Free se serait engagé à le signer, le jugeant "équilibré". Mais, suite à l'ajout de clauses par Orange et SFR, le FAI aurait fait marche arrière. Maxime Lombardini, le directeur général d'Iliad, la maison mère de Free, aurait envoyé la semaine dernière une lettre à ses deux concurrents pour leur répéter que leur accord était "inacceptable" et "non conforme aux principes de bonne gestion préconisés par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes", précise le quotidien économique.


Source Journal du Net


Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 00:28

Bruxelles pointe les failles de la loi anti-piratage

Dans une lettre envoyée à Paris, la Commission européenne s'interroge sur le bien-fondé de certaines mesures du projet de loi "Création et Internet". Elle pointe notamment le risque de sanctions disproportionnées
Bruxelles demande des comptes à Paris en matière de lutte contre le piratage. La Commission européenne vient d'adresser au gouvernement Français une longue liste d'observations concernant le projet de loi Création et Internet, qui doit être examiné début 2009.
Ce courrier, que révèle "La Tribune", ne constitue pas en soi une remise en cause du projet de loi. Les membres de la commission affirment même "partager l'objectif du projet". Cependant, une partie des observations soulevées par la Commission s'en prend au bien-fondé de certains dispositifs prévus pour lutter contre le piratage.
La Commission européenne souhaite en premier lieu s'assurer que les sanctions prévues par le projet de loi soient "nécessaires et proportionnées" par rapport aux infractions commises. Elle s'interroge notamment sur la raison pour laquelle il serait confié à une autorité administrative (l'Hadopi), plus qu'à un organe judiciaire, le "pouvoir de décider s'il y aurait violation ou non d'un droit d'auteur".
Sur le point de la proportionnalité, les Etats membres s'étonnent que le projet de loi n'épargne pas la double peine aux pirates. Aucune disposition n'empêche en effet un ayant droit de saisir, pour un même fait, l'Hadopi et une juridiction pénale, faisant ainsi planer la menace d'amendes élevées et de peines d'emprisonnement en plus d'une coupure de connexion Internet. La riposte graduée avait pourtant pour objectif d'éviter le recours aux sanctions pénales pour les pirates. Lors de l'examen au Sénat, l'Union centriste avait déposé un amendement censé prévenir les cas de double peine, qui a finalement été rejeté.
Les membres de la Commission se préoccupent également de la compatibilité du texte avec la réglementation communautaire. Ainsi la suspension de l'abonnement d'un pirate récidiviste, sanction ultime de la riposte graduée, semble peu compatible avec la directive européenne dite de "service universel". Ce texte garanti en effet un ensemble minimal de services, parmi lesquels figure "l'accès fonctionnel" à Internet, c'est-à-dire au moins à bas débit.

Surveillance généralisée, pas de procès équitable...

Autre point à éclaircir selon Bruxelles : l'utilisation par les internautes de "moyens de sécurisation" mis à disposition par les FAI. Ces logiciels, installés directement sur les ordinateurs des internautes, les empêcheraient de télécharger de manière illégale. Si Bruxelles ne trouve a priori rien à redire sur le principe de ces outils, elle averti cependant Paris : ils ne devront en aucun cas aboutir pour les FAI à "une obligation générale de surveillance" de leurs abonnés, ce qui serait contraire à la directive européenne sur le commerce électronique.
La Commission s'inquiète aussi d'une éventuelle interférence entre les mesures du projet de loi "allant au-delà de l'information" (filtrage des réseaux, coupure de connexion, etc.) et certains objectifs communautaires "importants", comme "l'accès universel aux services de communication en ligne", la diffusion du haut débit ou "les droits et libertés des utilisateurs". Car Bruxelles juge également disproportionnée, la privation de l'accès à la messagerie électronique, du téléphone ou de la télévision en cas de coupure d'accès.
Les Etats membres craignent encore que le projet de loi ne garantisse pas une défense acceptable aux pirates présumés. "Le fait que les recommandations (les messages d'avertissement de la riposte graduée, ndlr.) envoyées aux abonnés de manière systématique ne soient pas sujettes à recours pourrait mettre en danger le droit fondamental à un procès équitable", estime la Commission européenne.
Elle note également que l'abonné victime d'une erreur de traitement de la part de l'Hadopi "pourrait se voir imposer une suspension sans avoir la possibilité de faire valoir sa position à défaut de voie de recours". Lors de l'examen au Sénat, un autre amendement avait été déposé par l'Union centriste pour permettre aux internautes de contester les avertissements reçus. Le texte a finalement été retiré.
Enfin, Bruxelles semble également regretter le manque de mesures permettant de développer une offre légale attractive, censée transformer le piratage en un risque superflu (lire Les sénateurs veulent rééquilibrer la loi antipiratage, du 28/10/2008). "Il serait utile que le projet notifié, outre les éclaircissements demandés (...), précise également que les mesures proposées seront complétées par d'autres dispositions législatives visant à soutenir le développement des contenus en ligne", suggère le courrier européen.

Source Journal du Net


Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 09:19

Entre Google et la presse française, la guerre est déclarée


La hache de guerre a été déterrée entre la presse française et Google. Les hostilités ont été lancées au cours d'une séance des états-généraux de la presse écrite, lors d'une audition, jeudi à Paris, d'un des dirigeants du géant américain, Josh Cohen, le "patron" de Google News, venu spécialement de New York.

Josh Cohen ne s'attendait sans doute pas à entendre un dirigeant d'un des plus grands groupes de presse français lui dire:
"Nous vous considérons comme un danger pour notre existence, pour nos entreprises. En l'espace de quelques mois, l'"ami" Google est devenu le "danger" Google dans le domaine publicitaire. Vous êtes devenu notre pire ennemi. Nous ne demandons pas la pitié, mais un meilleur partage des revenus. C’est comme cela que nous comprenons notre partenariat".
Une accusation reprise par les représentants des principaux groupes de presse français qui participent au "pôle 3" des états-généraux, celui qui est consacré à l'impact du numérique [Rue89 participe aux travaux du pôle 3 et j'ai personnellement assisté à cette réunion].
Un autre grand patron de presse a qualifié Google de "prédateur" et l'a même menacé d'un recours devant la Commission européenne à Bruxelles, arbitre des règles de la concurrence et des abus de position dominante au sein du marché unique européen. Un autre a accusé Google de contribuer à la mort de l'"écosystème de l'information".
Au coeur du conflit, le "partage inégal" des revenus publicitaires entre les éditeurs de presse et Google, ce dernier reprenant gratuitement les contenus des médias en ligne pour alimenter son moteur de recherche et son site d'actualité décliné en plusieurs langues, et fournissant des revenus aux sites par le biais des "Google Ads", ces liens payants contextualisés .
usqu'ici, les éditeurs se satisfaisaient du renvoi de trafic vers leurs sites par Google, générateur de recettes publicitaires; Mais la baisse tendencielle des prix de la pub en ligne, ainsi que l'entrée en force de Google sur le marché publicitaire à travers le rachat de la société DoubleClick ont changé la donne.
Comme l'explique le blog spécialisé écosphère d'Emmanuel Parody,
"avecGoogle qui se met à proposer de la publicité vendue à la performance (cpc) dans les formats de type carré ou bannière (le display qui assure l’essentiel des revenus des medias), force est de constater qu’il participe activement à vider la baignoire".
Josh Cohen, qui était accompagné de Mats Carduner, le patron de Google France, a été pris par surprise par ces attaques en règle de la part des principaux poids lourds de la presse française. Il avait fait une présentation assez consensuelle de son groupe, en tendant la main aux éditeurs pour "améliorer la monétisation" de leurs contenus, développer la relation entre Google et les éditeurs, et même travailler ensemble pour "renforcer la protection des données privées", autre point sensible du fonctionnement de la multinationale américaine.
Il a vainement tenté de plaider que Google n'était pas à l'origine des problèmes de la presse, en particulier l'érosion des ventes et des recettes publicitaires sur les éditions papier, et pouvait au contraire faire partie des solutions. Mais il n'a pas été entendu par ses interlocuteurs qui attendaient des propositions concrètes, et un peu plus de transparence de la part du géant américain qui n'a même pas voulu révéler à huis clos son chiffre d'affaires en France.
Cette séance faisait suite à plusieurs autres réunions au cours desquelles les inquiétudes avaient été exprimées face à la montée en puissance de Google, non seulement dans le domaine des moteurs de recherche où la société a acquis une position de quasi monopole, mais, de plus en plus, dans la publicité. On a même entendu un des grands acteurs du monde de la pub en France appeler à la constitution d'un "front anti Google" parmi les éditeurs de presse français.
Ce bras de fer est révélateur de l'aggravation de la crise de la presse au cours des derniers mois, qui s'est spectaculairement illustrée aux Etats-Unis par la faillite du groupe Tribune ("Chicago Tribune", "Los Angeles Times"...). Les groupes de presse réalisent qu'ils ne retrouvent pas sur le web les recettes qu'ils perdent sur le papier, et accusent Google en particulier de contribuer à tirer les tarifs vers le bas.
Il est néanmoins clair qu'une guerre déclenchée à partir de la seule France ne peut pas parvenir à infléchir le modèle suivi par Google, et que c'est au niveau européen que devrait se poursuivre ce débat. Pour les grands groupes d'éditeurs, confrontés à une crise aigüe, l'enjeu est vital. 

Source Rue89.com

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 00:40

TV écran  plat – Comment bien choisir

LCD ou Plasma, Ready HD, Full HD ou HDTV1080p… Il n’est pas toujours simple de s’y retrouver, d’autant que l’arrivée de la haute définition apporte un choix supplémentaire.

Décryptage.

1 - Le choix entre deux technologies : LCD ou Plasma

Fini le bon vieux tube cathodique, maintenant c’est LCD (cristaux liquides) ou plasma. Le choix entre les deux ne se pose vraiment que pour les écrans plats de salon de grande taille (à partir de 100 cm de diagonale) où les deux technologies sont en concurrence.

Pour résumer, le LCD offre le plus grand choix d’appareils aujourd’hui (85% du parc). Il est choisi pour sa polyvalence (TV, photo/vidéo, jeux…). La qualité est désormais au rendez-vous y compris dans les grands formats.

Le plasma reste présent sur les grandes et très grandes tailles d’écran (1,27 m de diagonale et au-delà) auxquelles il apporte une image plus naturelle, notamment dans le respect des couleurs sombres, visible sous tous les angles contrairement au LCD limité à 130° d’angle horizontal et à 90° en vertical. La longévité du plasma n’est plus un problème, mais il supporte moins les reflets dans une pièce très éclairée (effet miroir) qu’un écran LCD.

Autre point à surveiller : la consommation électrique. Les écrans plasma restent un peu plus gourmands au démarrage, ainsi que certains LCD à effet rétro-éclairé en permanence.

2- Choisir une taille d’écran adaptée à ses besoins

Ecran de salon, de cuisine, de chambre ou « grand spectacle »… vous devez avoir une idée de la vocation de votre nouveau téléviseur et de sa taille moyenne avant de craquer sur le premier venu.

La taille d’un écran plat se mesure en diagonale, exprimée en pouces (de 19’’ à 60’’) mais aussi par leur équivalent en cm : de 48 cm à plus 152 cm soit 1,50 m d’image pour des écrans géants.

Les tailles les plus vendues tournent autour de 32’’ et 37’’ (81 et 94 cm) pour les modèles standards, et de 40 à 42’’ (102 et 107 cm) pour les écrans dédiés à la HDTV (télévision haute définition). C’est là que vous trouverez le plus grand choix. Avec l’avènement de la HD, mieux vaut opter pour la taille supérieure, si votre budget vous l’autorise.

3 - Au mur, encastré dans un meuble ou posé sur un pied

Selon la configuration de la pièce qui l’accueillera, posez-vous la question de l’emplacement de votre futur téléviseur.

Sur le mur - à condition de prévoir un support mural à sa dimension - il se fait plus discret, moins encombrant avec un petit air d’écran de cinéma.

Sur un meuble TV adapté ou simplement posé sur son pied (généralement fourni), l’écran devient un élément important de votre intérieur. Dans tous les cas sachez estimer la distance idéale entre vous et le téléviseur : 4 fois la hauteur de l’écran pour un modèle standard, mais seulement 3 fois cette hauteur pour les modèles HDTV 1080p, car la vraie HD se regarde en pleine « immersion » dans l’image.

4 - Vérifiez le taux de contraste et la luminosité

Pour une belle qualité d’image, plus naturelle et aux couleurs profondes, mieux vaut choisir un écran plat qui présente un contraste élevé (5000:1 à 10 000:1 voire plus) ainsi qu’une luminosité importante (300 à 500 cd/m2 pour un LCD, le double pour un plasma).

Ces deux données techniques sont mises en avant par les fabricants car elles caractérisent la bonne dynamique de l’image. Les modèles récents d’écrans LCD à technologie LED sont les plus performants en la matière. Mais ils restent pour l’instant à un prix élevé.

5 - Ne pas oublier la rapidité d'affichage

La fluidité des images qui s'affichent sur les écrans plats est un autre critère à prendre en compte. Cette valeur s'exprime en millisecondes (ms), soit le temps de réponse pour qu'un pixel (point d'affichage de l'image) passe du noir au blanc par exemple. Meilleure elle est, plus l'"effet de rémanence" (le flou qui apparait sur les images rapides) des écrans plats LCD diminue.

Privilégiez donc les appareils affichant moins de 10 ms.

Si vous êtes amateur de films d'action, optez pour l'option "technologie 100Hz" (ou plus), qui améliore la fréquence de balayage de l'écran.

D'après les spécialistes, c'est la profondeur du noir qui détermine la vraie qualité d'image du téléviseur. Le mieux, si vous en avez l'occasion, est d'aller comparer vous-même devant un mur d'écrans en magasin.

6- Quel écran pour profiter de la télévision numérique haute définition (HDTV) ?

La multiplication des appareils à la norme HD (lecteurs Blu-ray, camescopes, reflex numériques, box Internet…) et la diffusion des programmes de télévision en haute définition par le réseau numérique terrestre (TNTHD) ont créé un nouveau standard. Encore faut-il un écran adapté.

La haute définition c’est d’abord une question de résolution (nombre de points affichés dans l’image) et de logos. Jusqu’à présent nous avions les écrans estampillés HD Ready (1280x720p) et Full HD (1920x1080p). Depuis fin 2008, un téléviseur ne peut prétendre à être « HD » que s’il intègre un tuner TNTHD, la norme de compression ayant changé (Mpeg 4). D’où l’apparition de deux logos noirs en remplacement des précédents: HDTV garantit que le téléviseur est doté d'un tel tuner et HDTV 1080p, qui offre en plus une résolution de 1920 x 1080 pixels.

La mention « 1080p » est désormais synonyme de vraie HD, nécessaire pour profiter pleinement de tous les détails offerts par un film Blu-ray ou des programmes diffusés en HD (TF1, F2, Canal+, Arte…).

 7 - Connectique : une prise HDMI et un tuner TNT HD

Avec cette nouvelle génération d’écrans plats est apparue une connectique adaptée (prises, câbles) tout en gardant les anciennes (Péritel, YUV, etc.). La plus symbolique est l’HDMI, sorte de prise Péritel numérique. Elle peut transporter les nombreux flux audio et vidéo liés à la haute définition. Comme elle existe sous plusieurs variantes, il faudra en tenir compte lors de l’achat d’un cordon HDMI.

Le nombre des connecteurs audio-vidéo présents sur le téléviseur est un avantage surtout si vous souhaitez brancher de nombreux appareils type décodeurs,

lecteur DVD, magnétoscopes, amplis… Mais vous n’aurez pas forcément besoin de 3 prises HDMI. Le Tuner TNT HD est compris désormais dans la plupart des nouveaux modèles.

8 - Ne pas négliger la qualité sonore du téléviseur

Les amateurs de son de haute qualité ou de sensations fortes peuvent être déçus par la qualité sonore de certains écrans.

C’est un critère trop souvent négligé au profit de l’image et pourtant les grandes marques ont fait de nets progrès : les options " son spatial SRS ", les effets " virtual surround " ou " Virtual Dolby Digital " selon les cas peuvent recréer une ambiance assez réaliste, même si le marketing en vante un peu trop les mérites.

Vérifiez l’existence de la stéréo Nicam et du bon emplacement des haut-parleurs en fonction de l’emplacement du téléviseur (mural ou posé sur son pied).

9 - Les « plus » : lecteur de cartes mémoire, prise USB, DLNA…

Les fabricants tentent de se distinguer par des petits « plus » qui peuvent se montrer utiles.

Les lecteurs de cartes mémoires sont pratiques pour visionner ses photos/vidéos directement à l’écran sans câble. Vérifiez leur compatibilité avec vos appareils.

Certains écrans sont pourvus d’une prise USB pour y brancher son ordinateur. D’autres disposent d’un adaptateur DLNA qui permet de lire les fichiers multimédia stockés sur un ordinateur. Une fonction utile surtout pour ceux qui manipulent de nombreux fichiers audio et vidéos via Internet.

10 - Support mural : un accessoire pas si accessoire

Pour « afficher » son écran, plusieurs types de support mural existent : plaque fixe ou inclinable et/ou orientable, bras pivotant, rotule... Chacun a ses avantages et ses inconvénients.

Question prix, la plaque fixe est la plus abordable (< 50€), le bras pivotant ou articulé, plus haut de gamme.

Faites votre choix en connaissant le poids de votre écran, ceux de grandes tailles demandant un support à la hauteur. Attention à la bonne circulation de l’air si le téléviseur est encastré, pour éviter toute surchauffe.

Source Seniorplanet

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 07:09

Free réaffirme sa volonté de diviser par deux les prix du

Le fournisseur d'accès à Internet est  plus que jamais candidat pour être le quatrième opérateur mobile, indique son directeur général.
Free tient à devenir opérateur mobile. Son directeur général, Maxime Lombardini, estime dans une interview au "Figaro" que son arrivée serait bénéfique à tout le monde. Aux consommateurs d'abord, à qui il promet une facture divisée par deux. Selon lui, un foyer de trois personnes dépenserait actuellement 2 000 euros par an, ce qui correspond à 55 euros par personne et par mois.
Les opérateurs mobile profiteraient également d'une entrée de Free dans le secteur, en les forcant à investir et innover. Le dirigeant de Free estime que les opérateurs sans réseaux (MVNO), qualifiés de "fausse bonne idée en terme de concurrence", sont "en mort clinique".
Free, qui serait prêt à investir un milliard d'euros dans un réseau mobile, veut faire du quadruple play en incluant à terme les appels mobile dans le forfait illimité. Mais pour le moment, la baisse des terminaisons d'appel n'est pas suffisante pour le permettre, selon Maxime Lombardini. 
Sur la fibre, Free dit vouloir investir un milliard d'euros d'ici à 2012. Le FAI juge toujours illégal l'accord signé en septembre entre Orange et SFR (lire Fibre optique : Free dénonce l'illégalité de l'accord entre Orange et SFR, du 26/09/08). Il appel cependant à une rencontre avec les autres FAI et l'Arcep pour fixer "un schéma qui préserve le futur, protège les copropriétaires, les consommateurs et assure le maintien d'un haut niveau de concurrence". Par ailleurs, Free menace de répercuter sur l'abonnement une taxe pour financer l'audiovisuel public. 
Ce n'est pas la première fois que le FAI joue sur le registre du pouvoir d'achat pour obtenir la dernière licence 3G. En août dernier, le vice-président du conseil d'administration d'Iliad, Xavier Niel, avait déjà affirmé que le projet de Free dans la téléphonie mobile permettrait à un foyer français de trois personnes d'économiser 1 000 euros par an

Source: l’Internaute


Pèlerin

Partager cet article
Repost0