Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 23:10

Haut Couserans 

La Cascade d'Ars  

 

 

Depuis La station thermale d'Aulus-les-Bains, c'est une randonnée facile, à travers une belle forêt de hêtres, qui permet d'atteindre en moins d'une heure la cascade d'Ars (1239 m), une des plus belles des Pyrénées. 

Impressionnante, avec ses 110 m de hauteur, elle est composée de trois grands ressauts qui, à la fonte des neiges, ne forment plus qu'un immense jet d'eau. 

Un sentier bien tracé permet d'atteindre ses différents paliers. Avec ses nombreux lacs, ses crêtes aériennes, sa faune et sa flore très variées, la vallée d'Ars est une des plus sauvages et des plus pittoresques du Haut Couserans. Au dessus de la cascade, les bons marcheurs peuvent découvrir l'étang des Truites et l'étang du Turon d'Ars, avec son Orry bien conservé.  

 

Information « La Dépêche du Midi» 

relayée par 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 23:43

 

Cité de Saint-Lizier  

Cathédrales et Palais des Évêques renferment des trésors à découvrir  

 

La Cité des Évêques du Couserans, une Longue Histoire, depuis l'occupation romaine, jusqu'à La Révolution Française

 

 

 

 

Saint-Lizier, cité des Consorani avant l'occupation romaine, est l'antique capitale du Couserans. Au Vème siècle, elle devint le siège de l'évêché du Couserans et le demeura jusqu'au Concordat de 1801. La cité de Saint-Lizier constitue un ensemble architectural et historique de classe nationale. Elle conserve d'importants remparts gallo-romains et possède deux cathédrales datant de l'époque romane.

 

 

 

Citadelle de l'oubli, Saint Lizier de Couserans pleure encore aujourd'hui sur sa gloire et ses fastes passés. Il est peu de cités qui connurent dans nos Monts Pyrénées un destin aussi curieux et une existence aussi tourmentée. Elle vit le jour avec la guerre, lors des expéditions conquérantes de Rome, connut son apogée avec la foi, durant les siècles de rayonnement de son évêché et s'éteignit avec la liberté dans les débordements de la Révolution française. Durant près de deux mille ans elle fut tout à la fois cité de la guerre, temple de la méditation et foyer de la civilisation. 

La cathédrale de Saint-Lizier, située au cœur du village, a subi au cours des siècles de nombreux remaniements qui n'ont pas détruit son harmonie. Dans le cœur, de magnifiques fresques attribuées au "Maître de Pedret" ont probablement été réalisées avant la consécration de la cathédrale en 1117. 

A côté de la nef est situé un magnifique cloître à deux étages dont seul le rez-de-chaussée appartient au style roman; ses arcades reposent sur des colonnes simples ou jumelées, ornées de très beaux chapiteaux historiés ou décorés d'entrelacs.  

Le trésor de la cathédrale (XIIème-XVème), composé d'objets fins et délicats, illustre l'importance spirituelle et temporelle de l'ancienne capitale reli­gieuse. On peut y admirer en particulier une crosse dite "de Saint-Lizier" en ivoire et argent (XIème-XIIème), une mître d'évêque en soie blanche brodée d'or (Xllème), l'ancienne châsse de Saint-Lizier en bois peint (XIIIème), une crosse en cuivre émaillé (travail de Limoges XIIIème) et le buste reliquaire en argent de Saint-Lizier qui est un chef- d'œuvre de l'orfèvrerie toulousaine du XVIème. 

 

Notre Dame de la Sède, la cathédrale supérieure, appartient à un ensemble de bâtiments ecclésiastiques ayant subi de nombreux remaniements depuis l'époque romane. Belles boiseries, stalles du XVIIème, salle capitulaire du XIIIème. 

A proximité de la cathédrale de Saint-Lizier, dans l'Hôtel Dieu construit en 1764, une remarquable pharmacie du XVIIIème, encore utilisée de nos jours, dévoile ses trésors: pots de médicaments en faïence et verre, coffret de chi­rurgien militaire, sphère armillaire... 

Entouré d'un parc et d'un jardin en terrasses, le Palais des Évêques offre un magnifique panorama sur les montagnes du Couserans et la vallée du Salât. Il domine la cité médiévale de Saint-Lizier située sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle et où de nombreux monuments témoignent d'un passé prestigieux. Des origines jusqu'à la Révolution, les évêques eurent souvent à cœur d'embellir le site et d'accueillir les plus démunis. 

Le Palais des Evêques, bâti et aménagé au cours des siècles, L'an­cienne cathédrale Notre Dame de La Sède, édifiée sur une partie du rempart du Vème siècle, évoquent L'art religieux depuis Le Moyen-Âge. Dans Les caves et Les écuries sont présentées des expositions tem­poraires Laissant une grande place à L'art contemporain. Le site per­met de développer trois grands axes de collection : L'archéologie gallo-romaine est associée à La numismatique (échanges et tré­sors), L'ethnographie présente Les activités et rites de La vie quoti­dienne des pays de L'Ariège depuis Le siècle dernier, et L'histoire naturelle évoque La faune, La flore et Les ressources des Pyrénées ariégeoises. Les expositions permanentes évoluent au gré des acquisitions et des dons assurant La conservation d'un patrimoine unique et authentique: celui de l'Ariège et de ses habitants. 

Le Trésor de Saint-Lizier est conservé dans l'ancienne sacristie où L'on accède par la travée Est du Cloître. Il comporte plusieurs pièces rela­tives aux attributs des évêques, des reliquaires et des objets du diose au site. On ne peut pas quitter Saint-Lizier, sans être parti­culièrement impressionné par La grandeur passée de cette cité. Les hommes qui se succédèrent, d'abord au commandement de l'oppidum romain, ensuite sur Le siège épiscopal, nous ont Laissé un trésor archéologique de premier ordre que nous avons le devoir de trans­mettre aux générations futures. 

Information source : l’Ariégeois 

relayée par 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 23:43

 

Lacs, bases de loisirs : allez tous à l’eau 

 

Oui dit vacances dit soleil, canicule, farniente et l'envie de se rafraîchir et de plonger dans une eau claire et fraîche, ce qui nous dirige directement vers le point d'eau le plus proche. En Ariège, les sites ne manquent pas. Lacs de plaine de vallée ou de montagne, c'est au choix. Foix-Labarre. L'aire nautique de Labarre, à Foix, s'étend sur 16 ha. Située à l'entrée nord de la ville, juste derrière le camping, elle of­fre toutes sortes d'animations en juillet et août : canoë-kayak, pédalo, basket-bail aquatique, ca­notage, pêche, buvette, pique-nique pour petits et grands, etc. Tél. 0561654419 Mercus-Garabet. La base nau­tique propose le plaisir de la glisse avec le téléski nautique de 700 m de long qui tracte jusqu'à huit skieurs en simultané, grâce à un-double câble. Sur 45 ha, la base propose également des pédalos, des balades en bateaux électri­ques, des initiations à la voile avec les « cataminus » et les optimistes. Tél. 05 6105 80 50 Léran-Montbel. 570 ha d'eau sont à la disposition des touristes et des Ariégeois. C'est le plus grand bassin d'étiage du sud-ouest. Un peu plus de 70 ha sont réservés à l'activité touristique. Sur le site, fonctionne une école de voile. On peut y pratiquer également le canoë, la pêche, le voilier quatre places, le pédalo, le bateau électrique et la baignade. Un site privilégié d'observation ornithologique et les sentiers de randonnée et de vélo permettent Saint-Ybars. Ce lac de 7 ha est ouvert toute l'année. Aire de jeux collectifs, baignade surveillée l'après-midi, boulodrome, plage, tennis, pédalo. Tél. 05 616918 04 Sainte-Croix-Volvestre. Situé en plein coeur du Volvestre, le lac de Sainte-Croix, d'environ 2 ha, attire chaque année beaucoup de monde. Les uns s'adonnent à la baignade et au bronzage tandis que les autres préfèrent la pêche. La baignade est surveillée en juillet et août. Tél. 05 6166 72 16 Mondely (photo). En Séronais, le lac de Mondely s'étend sur plus d'une cinquantaine d'hectares ment snack et buvette. Tél. 05 6164 59 84 (en été). Biros.  

 

 Il existe à Bonac-Irazein, une retenue d'eau d'environ 1 ha qui fait le bonheur des petits et des grands. A disposition sur place et près du lac, une patau­geoire, une aire de pique-nique, un boulodrome et des jeux pour enfants. Tél. 05 6196 03 61 Bethmale. A 25 km de Saint-Gi­rons en direction de Castillon-en-Couserans, sur la route du Col de la Core, le lac offre aux pêcheurs ses eaux limpides ou la truite est reine. Les environs du lac sont propices aux balades Les montagnes ariégeoises possèdent plus de 2.500 km de cours d'eau dont 400 recensés et répertoriés comme parcours praticables et accessibles aux sports d'eau vive : descente accompagnée, rafting, canoë-kayak. Voici quelques sites et clubs disponibles...

 

 

 

 

Stade d'eau vive du Rebech à Foix. Ce parcours de renommée internationale accueillera en 2010 les championnats du monde juniors de canoë-kayak. Long de 400 m, large de 10 à 40 m, il présente un dénivelé de 4 m, un débit d'utilisation de 15,100 m/s, et une niveau de difficulté de 1 à 4. Le stade propose en outre des activités libres ou encadrées (canoë, raft, nage en eau vive, etc.). Tél. 0561652065 

Station sports nature d'Auzat. Activités de loisirs autour des quatre éléments naturels (air, eau, roche et nature) : canyonning, descende, escalade, vélo, etc. Tél. 05 6164 87 53 Passeurs de vagues à Seix. Canoë-kayak, raft, canoë gon­flable, etc. Tél. 05 6166 84 88 Ariège Evasion à Ornolac. Canoë 3 et 2 places, kayak, canyonning. Tél. 05 61051111 Canoë-kayak club de l'Hers à La Bastide-sur-l’Hers et Léran. Canoë-kayak, raft. Tél. 0561017180.

 

Information de «la Dépêche du Midi» 

relayée par

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2006 1 23 /10 /octobre /2006 23:48

 

Ariège - Pays d’Olmes   

Dans  la fraîcheur du vert Pays  

 

On est tout près de l'Aude. Ici se rencontrent l'air médi­terranéen et l'air montagnard, ce qui donne une nature originale, alternant forêts de résineux et de feuillus. On est aussi en plein dans les terres cathares et cette époque troublée a laissé de pres­tigieux vestiges : les châteaux de Roquefixade et de Monségur notamment (voir pages suivantes). Autour de ces incontournables visites dans le coin, on découvre une nature authentique. Le Massif de Tabe (2368 m) veille sur ses trois vallées, l'Hers, le Touyre et le Douctouyre.

 

 

 

 

 

La forêt de Bélesta. C'est le paradis des résineux, à une altitude allant de 800 à 1000 mètres environ, avec près de 1000 mm de pluie par an. La forêt est composée en majeure partie de sapin pectine, puis d'autres essences ont été introduites : mélèzes, pins Weymouth (en voie de disparition) et pins sylvestres. La forêt a toujours eu besoin qu'on s'occupe d'elle, pour l'exploitation, le gardiennage, le marquage des bois à abattre... Les villageois des environs s'en chargeaient. Il y a plusieurs sentiers, notamment un qui va jusqu'au gouffre du corbeau : un trou impressionnant de 110 m de profondeur. Gorges de la Frau. Pendant environ cinq kilomètres, un chemin caillouteux et tortueux semble s'engouffrer dans les entrailles de la terre... Vous êtes dans les gorges de «l'effroi» («frau» en patois). Aux moments les plus spectaculaires, vous serez surplombés par plus de quatre cent mètres de rocs. Si le ruisseau disparaît souvent sous les cailloux et que l'endroit paraît bien sec, un gros orage peut le transformer en torrent ! Au début du siècle, on voulut d'ailleurs installer une route dans les gorges pour faciliter le travail des charbonniers qui descendaient le fruit de leur labeur à 'dos de mules. Un orage vint en une seule nuit tout détruire, les travaux ne reprirent jamais. Depuis, on a choisi de laisser tranquille ce petit coin de paradis.  

 

Fontaine de Fontestorbes. Les ouvriers peigniers de Lesparrou ont longtemps chéri la fontaine de Fontestorbes, la «fontaine dérangée» en occitan. Son débit alimentait l'Hers et réglait l'activité des usines ainsi que leur propre rythme de travail. De juillet à novembre, dès que le débit de la rivière baisse, la source devient intermittente. C'est dû à un siphon : un débit insuffisant provoque son désamorçage et donc l'arrêt de la sortie d'eau. Pendant cet arrêt, l'eau s'accumule en amont, remplit complètement le sipho, et le réamorce. Il y a alors sortie brutale d'eau, le siphon se désamorce, et ça recommence...  

 

Roquefort les Cascades. Caché au fond d'une vallée isolée, un lieu magique qui semble tout droit sorti d'un conte celtique. Plusieurs chemins mènent à la cascade de la Turasse, d'où l'eau tombe d'une vingtaine de mètres sur une mousse d'un vert presque irréel. Pour profiter pleinement du site, mieux vaut y aller après quelques pluies. Dans un recoin, on trouve une des plus belles cascades, et on peut même se baigner dans son bassin... si l’on n’en craint pas l'eau fraîche.  

 

Information de «la Dépêche du Midi» 

relayée par

Le Pèlerin

 

 

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2006 7 22 /10 /octobre /2006 23:16

 

Pays d'Olmes - le lac de Montbel

Cette immense étendue d'eau est la véritable plage des Ariégeois

Entre Ariège et Aude, c'est Là qu'il faut se fendre pour prendre son bain de soleil au bord de l'eau

 

 

Vingt ans après sa mise en eau, Le lac de Montbel est devenu une Locomotive touristique pour l'Ariège. Il attire chaque été de nombreux vacanciers dont beaucoup d'étrangers et est particulièrement apprécié  par ceux qui  pratiquent La  voile et la planche à voile. Cette imposante retenue destinée à l'irrigation, est entourée par les villages de Léran, Montbel, Camon et Chalabre dans l'Aude voisine. Il existe un plan d'eau à niveau constant pour les activités sportives et touristiques et qui a bénéficié de divers amé­nagements : embarcadère, base nautique, buvette, club de voile.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur un fond argileux, le lac, réservoir de 60 millions de m3, fonctionne en totale gravité. La retenue principale à l'aval, tout comme l'arrivée de l'aqueduc souterrain à l'amont, alimentent chacune une microcentrale électrique. Des digues de col ont été aménagées sur la commune de Léran pour retenir l'eau. L'alimentation du lac s'ef­fectue par un aqueduc souterrain captant les eaux de l'Hers sur la commune du Peyrat. Dès le départ, une partie du lac était vouée à l'aménagement touristique. Une digue a été construite, reliant les hameaux des Baylards et de Luga, et créant ainsi un plan d'eau à niveau constant entre les bois de Parregas et de la Fajane.

 

 

Mis en eau en 1984, le Lac s'étend sur 570 ha, dont 420 ha sur La seule commune de Montbel. Ses berges s'étirent sur 16 km. La retenue principale à L'aval accuse une hauteur de 40 mètres et alimente une microcentrale électrique. ne deuxième microcentrale est alimentée à l'amont, à la sortie de L'aqueduc venant du Peyrat.

 

 

C'est un Lieu de grande richesse faunistique. Sur le plan ornithologique, 195 espèces d'oiseaux ont été observées sur le Lac, ce qui lui vaut d'ailleurs d'être classé comme site d'importance régionale avec un observatoire ornithologique. Au point de vue piscicole, c'est le domaine des grands carnassiers : brochets, perches, carpes, silures et sandres, mais aussi des salmonidés, truites et saumons. La pêche en barque (moteur non thermique) est autorisée. Des concours de pêche aux carnassiers ont lieu régulièrement sur le plan d'eau, orga­nisés par la Fédération départementale de la Pêche et attirent les meilleurs pêcheurs du sud de la France.

 

 

 

 

L'accès au Lac de Montbel peut se faire à partir du village de Léran vers les digues, le club nautique et le débarcadère ou par le CD 28, vers la plage de Montbel.

 

 

 

 

 

Information de l'office de Tourisme de Tarascon

 

 

Relayée par :

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2006 7 22 /10 /octobre /2006 12:58

 

Lavelanet 

La capitale ariégeoise du textile 

 

La ville de Lavelanet, situé au creux des montagnes, est la capitale ariégeoise du textile. Au pied du massif et du pic de Saint-Barthélémy, Soularac, Caussou et du Han, la cité continue de tisser son histoire. Le fil, les machines étranges et les procédés énigmatiques qui font vivre le tissu collent à la peau de Lavelanet depuis des temps immémoriaux.

 

 

 

 

Retour en arrière. Au troisième siècle, Caracalla, un empereur romain, s'y fournit déjà en draps. Plus tard, les tisserands, qui ont fait la renommée de la ville et dont l'histoire est initialement liée à celle des Cathares, ne se doutaient pas qu'un jour, leur ville deviendrait l'un des plus importants centres du textile de l'Europe

 

Au XVIIème siècle, le métier se généralise et favorise l'apparition des entreprises sous-traitantes. À l'époque, le tissage était effectué par les ouvrières à domicile. Plus tard, la modernisation aidant, l'ensemble de la filière a été concentré dans les usines. Cardeurs, tisserands à bras, pareurs, peigneurs abois et de laine prospé­rèrent sur les bords de la rivière. La cité lie le textile au quotidien pour des milliers de familles qui voient dans le fil plus qu'un métier : une passion et un savoir-faire unique. Malgré les nombreux coups durs portés à cette industrie, beaucoup continuent chaque jour de réinventer leur métier. 

Les anciennes cheminées de briques rouges sont toujours debout, témoignage de la mémoire collective fièrement dressées dans l'ombre du passé de la ville. Si beaucoup de cheminées sont désormais arrêtées, la rivière, elle, continue de couler. Les eaux gra­nitiques sont encore utilisées, bien adaptées aux techniques tel­les que le foulonnage, la teinture et le lavage.  

MUSÉE DU TEXTILE 

Et les musées ? S'il en existe un à ne pas manquer, c'est bien celui du textile. Très représentatif du genre, il explique le travail des hommes et des femmes qui ont fait la fierté de la cité. Direction l'usine Dumons où une centaine de machines sont présentées dont certaines, de vraies pièces de collection, datent du Xllème siècle. 

Le musée est ouvert tous les jours en juillet et en août. 

Enfin, si vous n'êtes que de passage en voiture, rappelez-vous qu'à Lavelanet, le tissu des sièges auto mobiles est fabriqué dans les usines qui sont à l'entrée de la ville.

Pour un complément d'information, cliquez sur le lien ci-dessous:

http://www.tourisme.fr/office-de-tourisme/lavelanet.htm

Information de «la Dépêche du Midi» 

relayée par

Le Pèlerin

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2006 5 20 /10 /octobre /2006 23:25

 

Mazères : Halle et Trésors de la bastide

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Durant toute la période des beaux jours, profitons de la fraîcheur des rives de l’Hers. Il se passe rarement un week-end sans que Mazères, d'une façon ou d'une autre, ne revête ses habits festifs. Mais même lorsque cela arrive, pas de souci. Levez les yeux et vous ne vous ennuierez pas un instant dans la bastide. L'idéal pour profiter d'une belle balade, est de se mettre dans la peau des autochtones et de se donner rendez-vous sous la Halle couverte.  

 

La Halle

 

 

 

 La Halle existe depuis le Moyen Age. Mais elle a été détruite, et n'est reconstruite qu'en 1845. Sous l'imposante charpente se tenait autrefois le marché aux grains. Demandez aux bistrots autour ou prêtez-vous à une petite investigation et vous découvrirez les vieilles mesures. Le «QG» de toutes les fêtes, c'est ici, et tous les jeudis matins, la Halle s'anime avec le marché. Tout autour de la Halle, il ne faut pas oublier de lever les yeux pour voir en panoramique plusieurs maisons à colombages datant principalement du XVIIe siècle.

 L'Eglise 

 

Attenante à la Halle, elle est typique des églises de la région. Une partie de son chœur a été construit à la fin du XVIIe siècle, puis l'édifice est agrandi au XVIIIe et XIXe siècles. Le clocher date de 1830, la flèche de 1885. A l'intérieur, il faut s'attarder sur les stalles qui viennent de la deuxième abbaye de Boulbonne. Et surtout sur les cinq grandes toiles peintes des XVIIIe et XIXe siècles, qui ont retrouvé depuis peu toute leur splendeur d'antan.  

 

L’Hôtel d'Ardouin  

 

Un peu plus loin, en se dirigeant vers la rivière puis en bifurquant sur une rue à droite, on découvre l'hôtel d'Ar­douin, classé monument historique. C'est un bâtiment pastelier construit en 1580, aux façades de briques et fenêtres à meneaux. Par l'escalier à vis de la tour hexagonale, on accède à une échauguette dominant la ville. Séminaire du diocèse de Mirepoix en 1697, propriété de la ville depuis 1741, il abrite dans ses caves voûtées le «Musée du Vieux Mazères» : celui-ci présente des objets néolithiques, mérovingiens, une collection de pierres sculptées provenant de la première abbaye de Boulbonne, une évocation de Gaston Fébus et la maquette de son château mazérien, ainsi qu'une documentation sur la culture du pastel.  

 

Belles maisons et temple protestant  

 

Puis on peut aller vers la rue Boulbonne, où se trouve le temple protestant, construit au XIXe siècle. Rien d'étonnant puisque la ville a longtemps été une citadelle protestante. On s'engage dans la rue du Temple. Les bâtisses des numéros 2 et 5 sont d'anciennes maisons des «Dames Régentes» où furent gardées prisonnières des filles de familles protestantes au milieu du XVIIIe siècle. Dans la rue parallèle, rue du Pont Vieux, au n°36 se trouve la Tour Martimor ou du Boutou (XVIIème) avec fenêtre à double cintre, et un blason du XVe siècle. On peut alors revenir sur la rue principale, la rue Martimor, riche en hôtels et maisons particulières remarquables.  

 

La rue Martimor  

 

Pour bien profiter de toutes les richesses de la rue, il faut prendre le temps de flâner, ne pas avoir peur du torticolis et ne pas avoir oublié ses lunettes de soleil pour ne pas être ébloui par grand ciel bleu. Au n° 28, maison XVIIIe avec colombages sur deux étages ; au n°7, fenêtres en plein cintre (XVIIIe) ; au n°9, façade de briques et sculptures du XVIIe... Et, surtout, au numéro 10, l'hôtel Martimor (XVIIIe) avec sa cour et ses fenêtres aux grilles en fer forgé qui relèvent le décor «à la grecque» du stuc.  

 

La Mairie  

 

On revient sur ses pas, mais ce n'est pas grave, comme ça, on est sûr de ne rien avoir manqué de la rue Martimor, qu'il faut parcourir en sens inverse jusqu'à la rue de l'Hôtel de Ville. Construite en 1575, l'actuelle mairie s'appelait alors la «Castellane ». Ce bâtiment abrita Marguerite de Navarre et le fu­tur Henri IV lors de leur séjour à Mazères puis devint château des abbés de Boulbonne (1629). Cet hôtel a été démoli puis reconstruit en 1978. Seule l'aile gauche date de l'époque de construction (fenêtres à meneaux).  

 

Pour un complément d’information sur la ville, cliquez sur le lien suivant:  

 

http://www.citaenet.com/mazeres/  

 

Information de «la Dépêche du Midi» 

relayée par

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
19 octobre 2006 4 19 /10 /octobre /2006 23:29

 

SPORTS  D'EAU  A   SAVERDUN

 En canoë ou kayak  

L'aventure de la descente sur l'Ariège

 

 

 

A mi-chemin entre Toulouse et les Pyrénées Saverdun, une cité qui offre sports d'eau et randonnées

 

 

 

Située à deux pas de Toulouse et de la plaine du Lauragais, fort bien desservie par la nouvelle autoroute "L'Ariégeoise" A 66, cette ville environnée de prés et de champs invite aux balades champêtres dans ce paisible paysage de plai­es et de collines de la basse vallée de l?Ariège. De nombreux sentiers de randonnée font le bonheur des adeptes du tourisme doux. Saverdun est la porte du "plat pays", avec les Pyrénées en toile de fond.

 

 

 

Avec ses berges aménagées de l'Ariège, Saverdun est le lieu idéal pour pratiquer le canoë-kayak sur l'Ariège ou le jet ski (lac de  Ginestière). Vous trouverez les locations nécessaires sur place et si vous souhaitez vous initier aux plaisirs des sports d'eau ive, vous pourrez effectuer des descentes sur le cours d'eau en compagnie de moniteurs.

Saverdun est aussi une ville historique. Par a position stratégique, elle est du XIIème siècle au VIP siècle la forteresse des puissants Comtes de Foix. Simon de Montfort s'empara de la ville, mais devra laisser la place lors de la bataille de Muret en 1213.

 

 

 

Rattachée au diocèse de Toulouse, puis à celui de Rieux, la ville connaît d'importants bouleversements au moment des guerres de religion. De la tour Gaston Fébus du châ­teau, il ne reste que quelques maisons à colombages. Belle vue depuis le Calvaire sur la plaine du Lauragais et les Pyrénées. À proximité de Saverdun se trouvent le Manoir du Vigne, les châteaux de Roudeille et de Larlenque (XVIIe et XVIIIe).  

 

Je vous propose également le lien ci-dessous:

 

 http://www.tourisme.fr/office-de-tourisme/saverdun.htm

 

Information de l'Office de Tourisme de Saverdun    

relayée par  

 

Le Pèlerin
 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
18 octobre 2006 3 18 /10 /octobre /2006 23:56

 

Pamiers - Elle ne céda jamais à l'hérésieet son patrimoine religieux est important 

Aux d
étours des chemins, entre vallons, coteaux et plaine, Pamiers et les villages alentour vous invitent à la découverte  

Pamiers est aussi une ville d'histoire. Les Wisigoths s'y installent au Ve siècle. Le roi de Toulouse, Théodoric, laisse à son fils Frédéric un territoire qui prend le nom de "Frédélas" (domaine de Frédéric), la future Ramiers. Le fils de Frédéric, Antonin, se convertit au catholicisme et évangélise le pays. Après son assassinat, l'abbaye Saint Antonin est construite sur les lieux de son martyre. En 1111, un paréage est conclu entre l'abbé Isarn et le comte de Foix Roger II qui donne le nom de Ramiers au château du Castella (castrum Apamie). La ville prendra définitivement ce nom au Xlle siècle. 

Au moment de la Croisade contre les Albigeois, Ramiers fait figure de fief de l'orthodoxie catholique au travers de son évêque, Jacques Fournier, qui deviendra pape sous le nom de Benoît XIII, Parallèlement, se développent les commerces de draps et de vins. Ramiers est aussi la ville natale du musicien Gabriel Fauré (1845-1924), le plus célèbre compositeur de son époque, et de Théophile Delcassé, ministre des Affaires étrangères au moment de l'affaire Dreyfus. 

Ce riche passé est partout présent et il faut se rendre à l'abbaye de Cailloup pour commencer une visite de la ville par ses origines. Depuis Ramiers, prendre la direction Escosse en traversant le pont sur l'Ariège, puis suivre la deuxième rue à gauche jusqu'à l'aire de parking. Un chemin balisé mène ensuite facilement au grand pré au milieu duquel a été construite l'abbaye, en surplomb de la rivière, endroit idéal pour pique-niquer en famille.  

 Je vous propose également le lien ci-dessous:

http://pamierstourisme.com/page_sommaire/index.htm

Information Office de Tourisme de Tarascon   

relayée par  

 

Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
17 octobre 2006 2 17 /10 /octobre /2006 23:38

 

Mirepoix la Médiévale 

La Place des couverts et la Cathédrale constituent un patrimoine de qualité

 

Sous les magnifiques couverts sculptés de la bastide médiévale, sculpteurs, peintres et potiers exposent tout l’été 

 

 

 

 

 

 

 

 

Haut Lieu touristique pour la beauté de son patrimoine et la place qu'elle occupa dans l'histoire, la petite cité de Mirepoix attire par sa quiétude de nombreux artistes en quête de séré­nité. Tout ici favorise l'inspiration. Le cœur de la bastide médiévale bat au rythme de la place centrale dite des Couverts: ces galeries promenades aménagées au Xllème siècle sous les maisons, aux poutres sculptées de personnages fantasmagoriques. Chaque été, la place est le lieu d'exposition privilégié des artistes qui ont élu domicile dans la cité ou ses environs. Pays d'art et d'histoire, le terroir de Mirepoix est fertile aux créateurs qui ont trouvé là matière à s'exprimer. Aller à leur découverte est une véritable promenade dans le monde du rêve et de la poésie...

Mirepoix est bâtie aux pieds du château fort de Terride dont on peut voir encore l'imposante bâtisse, sur les bords de la rivière l'Hers. C'est sans doute de là que vient l'étymologie de nom de la ville: "Miropey", littéralement "regarde" et "poisson". Les armes de la ville comportent en effet un poisson "d'azur à une truite d'argent, au chef cousu de gueules, chargé de trois étoiles d'or". 

Le 18 juin 1279, les digues de l'étang de Puivert se rompent bruta­lement et la cité de Mirepoix est entièrement détruite par cette inondation. Elle sera reconstruite en 1289, selon le plan régulier des bastides. 

Ses maisons sont bâties le long de rues rectilignes (les Cours corres­pondent aux anciens fossés comblés), autour de la place centrale du XIIème siècle, dite des Couverts. Ces galeries couvertes sont soutenues par des piliers de chêne. Les poutres horizontales supportant les colombages sont sculptées de têtes humaines aux expres­sions souvent singu­lières. En venant de la route de Pamiers, on y accède par la Porte d'Aval (d'en bas), ultime vestige des anciennes fortifi­cations. 

La place s'ouvre par la halle sur le parvis de la cathédrale, édi­fice remarquable à plusieurs titres. Sa première pierre fut posée par les sei­gneurs de Mirepoix, lors de la reconstruc­tion de la ville, le 6 mai 1297. Dédiée à Saint-Maurice, elle est construite en une seule nef ogivale qui est la plus grande de France et la seconde d'Europe. Elle mesure 21,50m, devançant celle de la cathédrale Saint-Vincent de Carcassonne (20,26m) et celle de Saint Etienne à Toulouse. 

En 1317, le pape Jean XXII en fit un siège épiscopal et, en 1343, un vaste chœur fut réédifié avec une travée de cinq chapelles rayon nantes (l'église originale avait une nef et huit chapelles). La par­tie la plus précieuse est sans aucun doute le labyrinthe; il serait le dernier posé en France et dans tout l'Occident sur le sol d'une église. Il est constitué d'un dallage en méandres que les fidèles du Moyen-Âge suivaient à genoux et sur lequel les maîtres d'œuvre ont inscrit leurs noms. Sur les clefs de voûtes, sont sculptés Saint-Maurice, patron de l'église, Saint-Martin, Saint-pierre, Saint Dominique, Saint-Gaudéric et la Vierge. C'est entre vers 1500 que Philippe de Lévis la dota d'un portail gothique et d'un élégant clocher. 

 

 

  

De l'extérieur, c'est justement la longue flèche pyramidale de son clocher qui retient le regard. Construit en pierres de taille, il a été achevé en 1506. Ses deux étages sont éclairés par des fenêtres à meneaux. La flèche à huit pans qui s'élance vers le ciel est terminée par une croix située à près de 70 m de hauteur. À droite du porche, une réhabilitation récente à mis en valeur la façade de l'ancien évêché dont il faut remarquer les fenêtres à meneaux.  

 

Information de l’Office de Tourisme de Mirepoix  

Relayée par 

 

Le Pèlerin

 

Partager cet article
Repost0