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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 08:05

Santé - Des tomates contre l'AVC… sous conditions

tomates

 

Manger des tomates, c’est bon pour réduire le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) peut-on lire, ici et là. Oui, mais… Une équipe finlandaise vient effectivement de mettre en évidence les bienfaits du lycopène - un antioxydant de la famille des caroténoïdes- abondant dans les tomates rouges. C’est lui ailleurs, qui leur donne cette belle couleur rouge vif. Pourtant, un certain recul s’impose dans la prise en compte de ce résultat.

Les chercheurs ont recruté 1 031 de leurs compatriotes (uniquement des hommes) âgés de 46 à 65 ans. Leur taux de lycopène dans le sang a été mesuré au début de l’étude, puis plusieurs fois au cours des 12 années suivantes. Au cours de cette période, 67 AVC ont été observés. La bonne nouvelle – pour les amateurs de tomates – c’est que le risque d’AVC a été 2 fois moins élevé chez les participants dont le taux sanguin de lycopène était le plus élevé.

Pour Jouni Karppi (Université de Kuopio, Est de la Finlande) « ce résultat conforte l’idée selon laquelle la consommation de fruits et légumes joue un rôle majeur dans la prévention de l’AVC ». Avis partagé par le Dr Catherine Caris-Veyrat (INRA, Avignon), qui émet cependant quelques réserves.

« Pas de preuves formelles ! »

Chimiste à l’Unité INRA « Sécurité et Qualité des Produits d’Origine Végétale », elle nous explique que « le lycopène est la molécule qui donne sa couleur rouge à la tomate. Son efficacité en tant qu’antioxydant, est avérée in vitro. In vivo, c’est une autre affaire. S’il paraît y avoir une corrélation entre le lycopène et la prévention de l’AVC, le lien de cause à effet n’est pas clairement établi ».

Elle rappelle d’ailleurs, qu’au sein de l’Institut national de la Recherche agronomique une étude de 5 ans a été menée sur les vertus de cette molécule. « Le projet Européen Lycocard, pour ‘Lycopène et prévention des maladies cardiovasculaires’, n’a malheureusement rien donné de probant. Une chose est certaine en revanche. Manger des tomates ne peut absolument pas faire de mal ».

Si malgré tout vous êtes convaincu par les vertus du lycopène, notre spécialiste vous confie quelques secrets pour en profiter au mieux :

Les tomates vertes et jaunes ne renferment pas de lycopène. En revanche, la Noire de Crimée vous en apportera. « Cette tomate contient du lycopène » nous explique Catherine Caris-Veyrat, mais aussi de la chlorophylle. C’est le mélange du rouge et du vert qui lui confère sa teinte si particulière » ;
Vous trouverez davantage de lycopène dans la peau que dans la chair de vos tomates. Par conséquent, évitez de les peler… ;
La cuisson de la tomate enfin, améliore la bio-disponibilité de la molécule. En clair, le lycopène des tomates cuites est plus facilement absorbé par l’organisme.

Par conséquent, mieux vaut manger le fruit cuit et avec la peau… à condition que vous le digériez sans difficulté. Catherine Caris-Veyrat nous dispense un dernier conseil, « n’oubliez pas de marier la tomate avec un peu de matière grasse. Le lycopène en effet, est lipophile. Il a des affinités pour les graisses, et la digestion n’en sera que facilitée ».

Source: American Academy of Biology,

Interview du Dr Catherine Caris-Veyrat, 10 octobre 2012

Le Pèlerin

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 13:15

Sexualité -Faire l’amour deux fois par semaine réduirait de moitie les risques d’avoir une crise cardiaque
francaises amour toujours


Selon une étude, les hommes qui auraient des rapports sexuels au moins deux fois par semaine réduiraient de moitie leurs risques de souffrir de problèmes cardiaques
L’enquête réalisée auprès de 1000 hommes et publiée dans l'American journal of cardiology, prouverait que le sexe a des vertus préventives concernant les problèmes cardiaques. En effet, selon des chercheurs américains du new EngEand research institute, faire l'amour régulièrement diminuerait de 45% les risques de problèmes lies au cœur. L'étude qui a été réalisée auprès d'hommes âgés entre 40 et 70 ans a débuté en 1987. Les participants ont été interroges a propos de leur vie sexuelle sur une période de 16 ans ; on a en parallèle effectue un suivi concernant d'éventuels signes de problèmes cardiaques. L'âge, le poids, le taux de cholestérol et la pression artérielle des participants sont des facteurs qui ont aussi été pris en compte. Selon les chercheurs, l'aspect bénéfique sur la sante serait à la fois du aux effets physiques et émotionnels sur le corps. Une autre recherche réalisée précédemment par le national cancer Institute aurait démontré qu'un homme qui éjaculerait au moins 5 fois par semaine serait moins menace de souffrir d'un cancer de la prostate.
Source RMC.fr / info zigonet
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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 15:27

Santé - Les bienfaits des tisanes2893205080_d21062f656.jpg Verveine

 

Sans même qu’il soit besoin de posséder des connaissances avancées en phytothérapie, l’usage de quelques plantes très connues est évidemment à la portée de tout le monde. Qui n’a jamais bu une tisane de tilleul ou de menthe ? Qui ne s’est jamais préparé une petite camomille pour mieux digérer ? Ce sont là des plantes que l’on consomme aussi facilement que le thé, et qui devraient toujours être disponibles parmi les réserves de la cuisine.
Les tisanes ne peuvent sans doute pas remplacer le traitement de choc des aromathérapiques, ni l’action ciblée des phytothérapiques modernes, mais dans la mesure où elles participent à notre alimentation quotidienne, elles contribuent à nous apporter, en plus de leurs principes actifs, des nutriments indispensables.
Anis (habète lahlawa) : voilà une tisane au goût délicieux qui assure une digestion confortable, favorise l’expulsion des gaz et calme l’aérophagie. Sa préparation requiert une décoction de trois minutes, à raison d’une cuillère à café par tasse. On en prend une tasse dix minutes avant le repas.
Basilic (h’baq) : cette plante très utilisée en cuisine, mais tout à fait susceptible d’être consommée en tisane, active les digestions lentes, et lutte contre les spasmes digestifs, l’aérophagie, les coliques gazeuses, les douleurs d’estomac et la constipation. L’infusion se prépare en dix minutes, à raison d’une cuillère à café par tasse. A prendre après le repas.
Camomille romaine (baboundj) : cette tisane assez amère mais néanmoins agréable est apéritive avant le repas, digestive après, et combat également les flatulences et l’aérophagie. On la préparera en infusion de dix minutes.
Chicorée (hindaba) : consommée à table sous forme de feuilles, ou en tisane sous forme de racines, la chicorée sauvage, ou Cichorium intybus, est un excellent tonique général, un stomachique, un apéritif, dépuratif, diurétique, et surtout un puissant cholérétique doublé d’un cholagogue relativement efficace. On l’indique avant tout en cas d’insuffisance biliaire, de nombreux problèmes hépatiques et dans la constipation, mais aussi en cas d’anorexie, d’asthénie, d’anémie, d’atonie gastrique, d’arthritisme, ou d’infections urinaires… On ne peut que conseiller à tous les hépatiques d’intégrer quasi quotidiennement de la salade de chicorée à leur dîner, mais également de consommer, avant chaque repas, une tasse de décoction de racines de chicorée, à raison de trente grammes par litre.
Lavande (khezama) : cette plante odorante est calmante et antispasmodique, diurétique et sudorifique. On peut donc l’employer en cas de grippe, de toux, d’asthme, de coqueluche, d’insomnies, de migraines, de vertiges ou de rhumatismes… La tisane se prépare en faisant infuser pendant dix minutes une cuillère à café de fleurs par tasse.
Menthe (naânâ) : stomachique, stimulant du système nerveux, antispasmodique gastrique, carminatif, antiseptique intestinal, analgésique intestinal, la menthe combat très bien les gastralgies, notamment lorsqu’il y a atonie digestive, aérophagie, spasmes gastrique, flatulences, ou intoxication gastro-intestinale. On fait infuser une cuillerée de feuilles de menthe par tasse pendant dix minutes, et on boit trois tasses par jour, après ou entre les repas.
Attention : ne pas en prendre trop tard le soir, car la menthe, à trop haute dose, peut empêcher de dormir.
Romarin (iklil) : excellent stimulant, le romarin est utile en cas de stress ou de surmenage, et convient parfaitement aux affections des voies respiratoires, aux fièvres, et aux troubles utérins. C’est aussi un hépatique de toute première qualité. Il régularise en effet aussi bien la vésicule biliaire que le foie, et facilite, de plus, la digestion. C’est, enfin, un très bon diurétique. La tisane de romarin se prépare en faisant décocter une cuillère à soupe de plante par tasse pendant au moins deux minutes, puis en la laissant infuser cinq à dix minutes.
Sarriette (zaâtar sauvage) : cette plante est avant tout stimulante. On la dit même aphrodisiaque. Mais elle aide aussi à digérer les viandes lourdes et les féculents, et elle évite les fermentations intestinales. L’infusion, de dix minutes, se prépare à raison d’une cuillère à soupe par tasse. A prendre après chaque repas.
Sauge (souak ennebi) : en tisane ou dans la soupe chaude, elle luttera avant tout contre les refroidissements et les affections des voies respiratoires, comme la bronchite ou l’asthme, mais ses autres usages thérapeutiques sont nombreux, puisqu’elle est à la fois antisudorale, tonifiante de l’estomac, stimulante, rééquilibrante du système nerveux, calmante en cas de douleurs menstruelles, fébrifuge… La tisane se prépare en faisant décocter une cuillère à soupe de plante par tasse, durant deux minutes, puis en laissant infuser cinq minutes.
Tilleul : cette plante calmante extrêmement connue possède des propriétés sédatives, hypnotiques et antispasmodiques. De plus, le tilleul fluidifie considérablement le sang. On l’emploiera donc en cas d’hyperviscosité et d’hypercoagulabilité sanguines, ainsi qu’en cas d’athérosclérose, et bien sûr, d’insomnie, de spasmes… ou même de migraines (feuilles seulement). L’infusion doit être bien dosée et jamais trop concentrée sous peine de devenir excitante, c’est-à-dire à raison d’une pincée par tasse ; et l’on en boira deux ou trois tasses par jour dont une au coucher.
Thym (ziîtra) : ce phytothérapique aux multiples indications est particulièrement apprécié dans les cas de toux, de bronchite, d’angines et de grippe, mais aussi comme stimulant général (physique, intellectuel, digestif…), comme vermifuge et enfin comme diurétique pour soulager la goutte, l’arthrite et les rhumatismes.
Verveine (louiza) : la verveine méditerranéenne est la «verveine odorante», ou «verveine citronnelle», à ne pas confondre avec la «verveine officinale» qui, elle, est inodore et compte de nombreux usages thérapeutiques. La verveine odorante, par contre, bien que tout de même digestive et antispasmodique, est surtout appréciée pour ses qualités gustatives. Une infusion de dix minutes, à raison de cinq feuilles par tasse, à la fin du repas, notamment en été, pourra parfaitement remplacer un thé à la menthe.

Source Algerie-Dz.com

Le Pèlerin

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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 07:06
Aux grands maux, les grands remèdes
aliments bio 
Savoir - Outre l’art des herbes dont ils sont passés maîtres les Chinois ont mis au point, il y a plus de 2000 ans, une nouvelle science médicale, l’acupuncture, la guérison par les aiguilles.
Vous êtes-vous jamais posé cette question : Avant l’avènement de la radioscopie, du scanner et des injections intramusculaires, comment les hommes se soignaient-ils ? car il fallait bien qu’ils le fassent. Réponse : par les herbes tout simplement.
Depuis l’antiquité ils ont appris à identifier chaque herbe, à en connaître chaque vertu, et parfois même chaque contre-indication en cas de complication. Selon une étude très pointue, les Algériens seraient les meilleurs pharmacologues du monde au point, précisent certains historiens, que la plupart de leurs traités sont actuellement utilisés en Afrique subsaharienne, particulièrement au Niger.
Sans pousser les investigations aussi loin, nous remarquerons que, dans notre propre entourage, les anciens continuent d’utiliser la médecine des herbes quand la médecine classique dite moderne, échoue.
Contre une verrue qui refuse de disparaître, ils préconisent par exemple l’application de bave d’escargot sur la proéminence ou de l’eau utilisée par les bijoutiers pour tailler leurs pièces.
Certains herboristes ne se contentent pas d’utiliser une seule herbe pour guérir un mal, mais une potion à base de plusieurs herbes dont la part de chacune a été méticuleusement contrôlée pour venir à bout de maux complexes tels que la gastrite.
Outre l’art des herbes dont ils sont passés maîtres, les Chinois ont mis au point il y a plus de 2000 ans, une nouvelle science médicale, l’acupuncture, la guérison par les aiguilles.
Les résultats sont troublants et laissent perplexes. Indépendamment de cette médecine traditionnelle qui fait appel, soit aux herbes, soit aux aiguilles, c’est la médecine moderne actuelle qui impose aujourd’hui sa prééminence.
Elle est le fruit de plusieurs siècles de recherche, de tâtonnements, de victoires et d’échecs.
Elle évolue, s’adapte en fonction des découvertes, se remet souvent en cause, patine, mais va toujours de l’avant même si elle n’a pas tout résolu. Il y a cependant une troisième et dernière médecine dont on parle peu parce que ses résultats ne sont pas spectaculaires mais qui pourtant avance, lentement, mais sûrement : la psychiatrie.
Dès qu’on prononce ce mot, le nom de fou vient tout de suite à l’esprit, celui de possédé ou d’envoûté aussi. Celui de raqui suit aussitôt.
Il faut cependant reconnaître au Dr Charcot qui dirigeait l’hôpital La Salpetrière au siècle dernier à Paris d’avoir posé cet axiome essentiel dans le métier de psychiatre : un fou est d’abord un malade et doit être traité en tant que malade.
Raqui, un métier ?


Superstition - Il s'est même trouvé parmi eux des individus qui portaient une batterie de 12 amulettes recouvertes de cuir ou de cuivre.
Au plan de la santé mentale, nous nous trouvons aujourd'hui face à deux écoles, du moins dans les pays musulmans.
La roquia et la médecine du psychiatre. Sur ce plan, il y a beaucoup à dire car l'art de la roquia est devenu un métier qui nourrit bien son homme et qui fait des émules particulièrement au Maroc.
Une émission consacrée au sujet par Medi1 montre l'immense dépendance de nombreux citoyens du royaume concernant cette médecine.
Mais il faut faire la part des choses.
Qu'est-ce que la roquia et qui peut être raqui ?
La roquia consiste à combattre et à guérir un mal psychologique uniquement par l'invocation des sourates du Coran. C'est ce qu'on appelle la roquia chari'ia c'est-à-dire légale et autorisée par l'Islam.
Elle ne peut être pratiquée que par un homme du culte qui maîtrise parfaitement le Coran. L'autre roquia, la plus connue et la plus répandue au royaume, s'apparente à de la «cha’ euada» qui veut dire sorcellerie.
Normal dans un pays où les citoyens ont peur de deux choses quel que soit le milieu dans lequel ils évoluent :
Le s'hour (la magie noire) et l’aïn (le mauvais œil)
Il semblerait que cette peur soit tellement ancrée dans les esprits que de très hauts dignitaires de la cour vérifient chaque matin qu’on ne leur a pas collé quelque chose derrière le koursi.
Ils ont peur de tout et de tous et restent suspicieux au-delà des limites permises.
Les Algériens ne font pas exception et la plupart d'entre eux sont sur leurs gardes même si pour la consommation extérieure, ils nient faire cas de ce genre de problèmes, «du Moyen-âge précisent-ils». Il y a 20 ans, sinon un peu plus que le spectacle des Algériens qui se déshabillaient dans les bains maures était pitoyable, navrant, spécialement dans certaines régions du pays.
Il n'y en avait pas un qui n'avait pas son amulette son talisman ou son grigri bien caché sous la chemise.
Il y avait même parmi eux des individus qui trimballaient autour de leurs épaules une batterie de 12 amulettes recouvertes de cuir ou de cuivre. Sans doute la panoplie complète pour juguler le mauvais œil, le mauvais sort, la jalousie des collègues, la haine des envieux et, bien sûr, le petit machin supplémentaire pour attirer la chance, les bonnes grâces, les bonnes notes et les bonnes promotions
Une séance impressionnante
Exorcisme - Le saint homme crie de toutes ses forces au djinn qui habite la victime et lui demande de sortir tout de suite de son corps. La malade pleure, hurle de douleur, tremble de tous ses membres et sa voix est déjà celle de quelqu'un d'autre.
Appât du gain facile, il était clair que la science du raqui allait être vite déviée de sa fonction principale et dépouillée de son sens qui est celui d'aider les autres. A charge aux autres de rétribuer ou non le raqui par le salaire qu'ils voulaient bien lui donner.
Au Maroc par exemple, certaines séances de raqui coûtent très cher en plus des ingrédients rares sur le marché qu'il faut trouver. Selon un confrère de Médi1, certains produits peuvent coûter jusqu'à 3 000 dirhams et les séances sont généralement astreignantes.
Il n'empêche que la chaîne a eu le courage de sauter le pas et d'aller au fond des choses. Avec le consentement du raqui et de la famille du patient, Medi1 a ainsi réussi à transmettre une séance de désenvoûtement, sans rien couper, sans rien cacher aux spectateurs comme certaines images dites violentes et sans rien édulcorer non plus. Nous entendrons les cris de terreur d'un djinn qui selon le raqui habiterait la malade.
Cette patiente de 18 ans serait envoûtée et sa famille a préféré voiler son visage pour lui assurer un total anonymat. L'opération est plutôt brutale et sans temps mort. Le saint homme crie de toutes ses forces au djinn qui habite la victime et lui demande de sortir immédiatement de son corps. La malade pleure, hurle de douleur, tremble de tous ses membres et sa voix est déjà celle de quelqu'un d'autre. Le raqui est imperturbable et ne lâche pas prise.
— Djinn, sors de cette femme, sors, c'est un ordre.
La jeune femme se débat entre en transe, puis pleure
— Je ne sortirai pas de ce corps, crie-t-elle.
— Qui es-tu, lui demande le raqui ?
— Un djinn
— Es-tu musulman ?
— Non je suis juif
— Sors de ce corps, qui ne t'appartient pas, répète encore le raqui, sans se laisser démonter par la folie furieuse qui s'est emparée brusquement de la jeune femme.
— Je ne sortirai pas
— Ce corps ne t'appartient pas, sors…
Au bout d'un moment et lassée par tant d'énergie dépensée en vain, la jeune femme se calme peu à peu et se laisse approcher par le raqui.
Il lui essuie alors son front couvert de sueur, applique la paume de sa main sur sa tête et récite quelques versets.
La jeune femme se relâche complètement et dans un râle, sombre dans un sommeil profond.
Mise en scène pour la télévision ou télévision réalité, une chose est sûre : après ce qu'on a vu dans ce reportage, on n'a plus envie d'avoir affaire aux djinns qu'ils soient juifs ou musulmans.
Qu’en pensent les psychiatres ?
Croyance - Les démons qui logeraient dans le corps des schizophrènes ne sont en fait, précisent-ils, que leurs démons intérieurs. Ils ne sont ni musulmans, ni chrétiens, ni athées.
Et que pensent les psychiatres de ces séances de désenvoûtement ? Y croient-ils ? Dans le cas contraire, quelles explications donnent-ils à ces pratiques qu'ils balaient généralement d'un revers de la main ?
Il faut reconnaître que Medi1 a fait preuve avec ce documentaire de beaucoup de professionnalisme et de maîtrise du sujet.
La chaîne a donné la parole à deux raquis, à des malades, à leurs familles, au public, à un sociologue et bien sûr à un médecin psychiatre.
Elle n'a pas tranché dans le sujet, n'a pris aucune position et s'est surtout contentée de rapprocher les points de vue pour aider à mieux appréhender le sujet. Tout le monde est tombé d'accord sur un point, y compris le psychiatre ; la roquia légale dite «chariia» doit être sauvegardée des manipulations des commerçants du temple. D'autant, soutiendra le praticien, que les malades atteints de schizophrénie ont tous les mêmes symptômes.
Se référant au documentaire visionné quelques minutes auparavant, il expliquera que la patiente qui se débattait et qui était au bord de la transe n'est, en fait, qu'une schizophrène du premier degré et que le djinn n'avait strictement rien à voir avec elle.
Le djinn, soutiendra-t-il, est une invention du faux raqui pour mettre en valeur ses pouvoirs et ses compétences. Le psychiatre expliquera avec force détails que les mêmes symptômes en cas de schizophrénie sont observés chez tous les malades qui en sont atteints. Cela a été observé en clinique.
Les lèvres sont bleues comme vidées de leur sang, l'élocution est hachée, décousue, sans fil conducteur, les membres se raidissent et le patient devient, par moments, fou furieux et même violent.
Le discours qu'il débite n'a aucun sens, il est brouillon et reste l'expression d'un dérangement intérieur que le médecin doit identifier avec patience pour trouver la juste thérapie.
Les psychiatres parlent d'élément déclencheur, d'élément susceptible d'avoir provoqué de tels dégâts.
Les démons qui logeraient dans le corps des schizophrènes ne sont en fait, précisent-ils, que leurs démons intérieurs. Ils ne sont ni musulmans, ni chrétiens, ni athées.Ils sont leur mal et par conséquent la piste de leur guérison.
Seuls les raquis «chare'i» (légaux) sont en mesure, grâce à l'appui du Coran, de savoir si oui ou non le sujet est atteint par ce type de perturbation.
Lignes rouges
En matière de roquia comme en matière de fetwa, on n'a pas le droit de laisser faire n'importe quel charlatan. Les autorités du culte devraient dresser des lignes rouges bien visibles et bien en vue pour que les apprentis sorciers du dogme ne puissent prospérer en toute liberté.
Il y va de la santé morale et physique des musulmans.
Source Infosoir Imaad Zoheir
Le Pèlerin
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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 07:13

Le bio n'est pas meilleur pour la santé

fruits-legumes-fibres.jpg

 

Une étude américaine n'a pas décelé d'avantages nutritionnels ou sanitaires significatifs.

Faut-il encore manger bio? La question mérite, une nouvelle fois, d'être posée après la publication cette semaine dans la revue Annals of Internal Medicine, d'une étude dont les conclusions montrent clairement que les aliments issus de l'agriculture biologique ne sont pas meilleurs pour la santé que ceux produits par l'agriculture conventionnelle ou «chimique». Alors que le consommateur les paie en moyenne, et au bas mot, 25 % plus cher!

Cette fois, le coup est parti des États-Unis. Souhaitant répondre avec des arguments solides aux patients qui leur demandent s'ils doivent ou non «passer au bio», des médecins de l'université de Stanford ont épluché pas moins de 237 études scientifiques dans lesquelles aliments biologiques et conventionnels étaient comparés de façon rigoureuse.

L'exception du phosphore

À leur grand étonnement, les chercheurs ont constaté qu'il n'y avait pas de différence significative entre les deux catégories de produits. Que ce soit sur le plan des apports nutritionnels ou de la réduction des risques sanitaires. «J'ai été totalement surprise», avoue le principal auteur de l'étude, le Dr Dena Bravata, qui ne s'attendait visiblement pas à un tel résultat.

Contrairement à ce qu'affirment les promoteurs ou les adeptes de l'agriculture biologique, le contenu en vitamines, en minéraux, en protéines ou en lipides est à peu près le même dans les aliments bio et non bio. Seul le phosphore fait exception avec un avantage significatif pour les premiers, mais comme les carences sont rares, l'intérêt sanitaire est faible. Dans la catégorie particulière des fruits et légumes, les chercheurs avouent ne pas avoir été capables de déceler la moindre différence, même après avoir passé en revue des «tonnes d'analyses», selon l'expression du Dr Bravata.

Pas significativement plus pollués

Plus surprenant encore, les médecins californiens ont constaté que les aliments conventionnels n'étaient pas significativement plus pollués ou néfastes pour la santé que leurs homologues bio. Certes, le fait de manger des fruits et légumes bio réduit en moyenne de 30 % l'exposition aux pesticides, en particulier chez les enfants. Mais le Dr Bravata note que les concentrations en résidus des fruits et légumes conventionnels ne dépassent pas les limites sanitaires autorisées. En outre les produits bio ne sont pas totalement exempts de pesticides… Par ailleurs, l'une des études analysées par l'équipe de Stanford suggère que le léger excès de pesticides retrouvé dans les urines d'enfants proviendrait des insecticides domestiques (antimoustiques) plutôt que de leur alimentation.

Sur le plan microbien, les risques de contaminations bactériennes (en particulier les Escherichia coli, responsables d'une quarantaine de morts l'an passé du fait de la contamination de graines germées bio) sont identiques quel que soit le régime, bio ou non. Seule différence, le risque de présence de bactéries résistantes à certains antibiotiques est 33 % plus élevé dans la viande de poulet ou de porc non biologique. Les rares études portant directement sur la santé humaine (17 seulement sur le total) n'ont pas non plus mis en évidence de surcroît de maladies allergiques de type asthme ou eczéma chez les consommateurs de produits non bio.

Protection de l'environnement et bien-être des animaux d'élevage

Ce n'est pas la première fois, au cours des dix dernières années, que les bénéfices réels ou supposés de l'alimentation bio sont remis en question. En 2003, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa, aujourd'hui Anses) avait déjà conclu que «les faibles écarts» constatés entre les deux catégories de produits «n'apparaissent pas significatifs en terme d'apports nutritionnels». Six ans plus tard, la Food Standards Agency, l'équivalente anglaise de l'Afssa, aboutissait à la même conclusion après avoir procédé à l'examen de 162 études scientifiques publiées sur le sujet au cours des 50 dernières années. Et en mai 2010, deux chercheurs de l'Inra, Gérard Pascal et Léon Guéguen, ne décelaient pas eux non plus «d'avantage nutritionnel ou sanitaire significatif».

Les médecins californiens affirment que leur but n'est pas de dissuader les consommateurs de se tourner vers le bio mais d'éclairer leur choix. «Si on laisse de côté les aspects sanitaires, il y a bien d'autres raisons d'acheter des aliments bio», note le Dr Bravata en citant les préférences de goût (même si, là encore, aucune étude n'a mis en évidence de différences significatives), la protection de l'environnement ou le bien-être des animaux d'élevage. Certes, sauf que ces préoccupations ne sont pas l'apanage des seuls agriculteurs bio. De plus en plus d'agriculteurs conventionnels, aussi bien en France qu'aux États-Unis s'engagent dans une démarche de qualité qui n'a rien à leur envier (réduction des apports d'engrais et de pesticides notamment). Le tout sans vendre leur production notablement plus cher…

Source Le Figaro.fr Marc Mennessier

Le Pèlerin

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 06:24

Découverte : la vitamine D, vitamine du désir ?

  Vitamine-D.jpg

 

 

Le désir sexuel est très lié au psychisme, bien sûr, à la relation de couple, oui, mais pas seulement... Il dépend aussi d'une hormone, la testostérone. Et là, une vitamine joue un rôle peut-être essentiel : la vitamine D ou vitamine du désir.

La vitamine D, vitamine du désir sexuel ?

Moins de vitamine D, moins de désir ?

La vitamine du désir sexuel masculin... et féminin ?

Comment faire remonter votre taux de vitamine D ?

La vitamine D, vitamine du désir sexuel ?

Une étude vient de montrer que la vitamine D jouait sans doute un rôle sexuel. C'est une découverte, car cette vitamine est connue depuis longtemps pour éviter le rachitisme. Elle est aussi de plus en plus étudiée dans la prévention et le traitement des cancers, des infarctus et des accidents vasculaires cérébraux. Et voici qu'elle semble avoir une action sexuelle...
Une équipe de chercheurs (1) a montré que chez l'homme, le taux de testostérone était corrélé au taux de vitamine D. Autrement dit, plus vous avez de la vitamine D dans le sang, plus votre testostérone est élevée. Et quand votre vitamine D diminue, le taux de testostérone baisse aussi.
Or, la testostérone est l'hormone du désir sexuel. Quand elle est trop basse, la libido se met en veille... tout comme l'érection chez l'homme.

Moins de vitamine D, moins de désir ?

Découverte : la vitamine D, vitamine du désir ?

La vitamine D, vitamine du désir sexuel ?

Moins de vitamine D, moins de désir ?

La vitamine du désir sexuel masculin... et féminin ?

Comment faire remonter votre taux de vitamine D ?

La vitamine du désir sexuel masculin... et féminin ?

Pour l'instant, les chercheurs ont étudié cet effet sur la testostérone uniquement chez les hommes. Mais il est probable qu'il existe aussi chez les femmes. Et chez elles, la testostérone joue aussi un rôle essentiel sur le désir sexuel.

Comment faire remonter votre taux de vitamine D ?

Dès les beaux jours, exposez-vous 20 minutes au soleil par semaine, en maillot de bain. Ou s'il ne fait pas suffisamment chaud, portez des manches courtes, et profitez de chaque rayon de soleil.
En attendant, pendant l'hiver, osez demander à votre médecin de pratiquer un dosage de votre vitamine D. Si votre taux est trop bas, il vous prescrira un complément. Prendre un complément est simplissime. Il suffit de prendre une ampoule tous les mois ou tous les 2 mois. Et sachez que cela bénéficiera à votre santé générale autant qu'à votre libido. La vitamine D est bonne pour améliorer l'immunité, pour prévenir les cancers, les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux. Pourquoi priver votre corps d'une vitamine si utile ?
(1) Association of vitamin D status with serum androgen levels in men (E. Wehr et col. Clinical endocrinology, publié en ligne le 29 Dec 2009).

La vitamine D est souvent à un taux assez bas dans le sang dans la population générale. En hiver c'est pire, puisqu'elle est fabriquée par la peau lors de l'exposition au soleil. En hiver, difficile de se mettre en maillot de bain 20 minutes par semaine, ce qui correspondrait à l'exposition idéale ! C'est peut-être une des raisons pour laquelle, au printemps, dès que le soleil réapparaît, l'intérêt sexuel se réveille.
La vitamine D est aussi apportée par les bonnes graisses de type huile de poisson (la fameuse huile de foie de morue !) et nous n'en consommons pas suffisamment.

Source e-santé.fr

Le Pèlerin

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 06:32
Selon les résultats de plus de 200 études passées à la moulinette
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Sciences - Selon les résultats de plus de 200 études passées à la moulinette par des chercheurs de Stanford...
Du poulet fermier élevé au grain, des abricots cultivés sans engrais ni pesticides, du lait garanti sans hormones... Le marché du bio a explosé et devrait atteindre 5 milliards d'euros par an en 2015 en France et 100 milliards d'euros dans le monde. Mais selon un nouveau rapport, il n'y a «pas de preuves» que consommer bio ait un impact positif sur la santé.
Les chercheurs de Stanford ont passé au crible 17 études sur l'homme et plus de 200 sur les aliments. Les résultats ont été publié, lundi, dans la revue Annals of Internal Medicine.
Pas de différence sur la qualité nutritionnelle
C'est parfois l'un des arguments avancés par l'industrie bio: les chercheurs n'ont pas constaté de différence nutritionnelle entre des produits «traditionnels» et «organiques». Des différences existent, par exemple, entre deux carottes, mais la composition du sol, l'état de maturité ou des aléas génétiques jouent davantage que le mode de culture.
Si les produits bio contiennent moins de pesticides, la différence est jugée «non significative» car la concentration en composés toxiques est déjà réglementée de près.
Les critiques relèvent cependant que les études sur l'homme n'ont duré que deux ans, ce qui n'est pas suffisant pour mesurer les conséquences sur le long terme. Ils expliquent également qu'il existe d'autres raisons pour acheter bio, notamment gustatives ou environnementales.
Source 20 minutes.fr
Le Pèlerin
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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 06:45

Selon une revue médicale française indépendante

pamplemousse.jpg

 

Cette revue affirme que le pamplemousse est fortement déconseillé avec de "nombreux médicaments".

La consommation de pamplemousse "au cours d'un traitement médicamenteux" est fortement déconseillée par la revue médicale française indépendante Prescrire en raison d'interactions possibles avec des "dizaines de médicaments". Le pamplemousse est connu depuis des années pour agir sur le métabolisme de "nombreux médicaments" avec des effets indésirables graves parfois observés, souligne cette revue dans son numéro de septembre.

Des dizaines de médicaments sont concernés par ces possibles interactions avec l'agrume. Parmi ceux-ci : les statines contre le cholestérol, les benzodiazépines (tranquillisants), les immunodépresseurs (inhibiteur du système immunitaire) ou encore les inhibiteurs calciques, substances utilisées pour traiter des troubles cardiaques. "La gravité des quelques observations publiées est à elle seule une bonne raison de ne pas consommer du pamplemousse, notamment du jus de pamplemousse, au cours d'un traitement médicamenteux", juge la revue dans un communiqué.

Nombreux effets indésirables

On ignore les mécanismes précis expliquant ces interactions. De nombreuses substances présentes dans le pamplemousse ont été mises en cause. D'après certaines "hypothèses", le pamplemousse provoquerait l'inhibition d'enzymes qui habituellement métabolisent les médicaments, conduisant à des risques de surdosage. Dans d'autres cas, plus rares, on observe au contraire une diminution de la concentration de substances médicamenteuses dans le sang, ce qui nuit à l'efficacité du produit. Les effets indésirables observés peuvent être graves : destruction musculaire (rhabdomyolyse), insuffisance rénale aiguë, tremblements invalidants, chocs hémorragiques, avec "parfois une évolution mortelle", selon la revue.

Alors que le rôle potentiellement perturbateur du pamplemousse est connu depuis des années, des travaux plus récents indiquent que d'autres jus, notamment le jus d'orange, pourraient également exposer à des effets indésirables de médicaments, selon cette revue connue pour donner des évaluations indépendantes sur les nouveaux médicaments. Les interactions avec les aliments, lorsqu'elles existent, sont toutefois clairement indiquées dans les notices des médicaments en question. Celles-ci mentionnent les aliments à éviter et la nature du risque encouru. En outre, il appartient au médecin et au pharmacien de mettre en garde le patient contre d'éventuelles interactions alimentaires.

Source LePoint.fr  AFP

Le Pèlerin

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 23:55
 Santé – Souffrez vous d’acouphènes
Acouphenes.jpg
Sifflements, Bourdonnements des oreilles, Vertiges, voire perte d’équilibre, tels sont les premier symptômes des personnes souffrant d’acouphènes.
Nous somme paraît-il 6 millions à en souffrir en France, soit 10% de la population. Mon spécialiste ORL me précise que le pourcentage est plus élevé parmi les Pieds Noirs, car nous avons, paraît-il, plus que les autres, souffert psychologiquement…Je ne parle pas de mes collègues Algériens, car là je n’ai pas de statistiques. Depuis l’on a fait des progrès en France …et au moindre petit pépin vous avez droit à la 'cellule psychologique'….ce dont nous ne disposions pas à l’époque….
En ce qui me concerne, cela fait prés de dix ans que mes oreilles sifflent…Je m’y suis habitué…Que voulez vous y faire, Claire Chazal en souffre ….Alors vous….me dit la première ORL, au tout début, lors du constat du phénomène…
Je ne voudrais pas parler de grandes théories, car là ce n’est pas ma tasse de thé .. Alors je pourrais tout de même vous faire part de ma situation et vous dire ce que je fais ….non pas pour guérir ..mais pour gérer la situation…
De votre coté si vous avez un quelconque tuyau, je vous prierais de m’en faire part. A toutes fins utiles je joins le lien de l’Association France Acouphènes :
Bien Amicalement,
Le Pèlerin
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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 23:29
Et si le sperme rendait les femmes heureuses   spermatozoide
Le sperme bon pour le moral ? C’est ce que révèle une étude américaine. Le sperme serait composé d’au moins trois antidépresseurs : la mélatonine, la sérotonine et la thyrotropine. Leur présence dans le sang des femmes favoriserait « le bien-être mental et le sentiment d’affection ».
En comparant les pratiques sexuelles de 293 femmes ainsi que leur santé mentale, des chercheurs américains de l’Université d’État de New York sont arrivés à la conclusion suivante : les femmes qui ont régulièrement des rapports sexuels non protégés sont moins déprimées que celles qui ont des rapports avec un préservatif. Les résultats de l'étude, publiés dans les Archives of Sexual Behaviour Journal, révèlent que les femmes qui ont des rapports protégés sont tout autant déprimées que les femmes abstinentes.
En plus de contenir des antidépresseurs, le sperme est composé de cortisol, un agent chimique qui augmente le sentiment d’affection et qui aide à dormir. L’ocytocine et l’estrone, également présents dans le liquide séminal, favorisent la bonne humeur.
Mais attention, avoir des rapports non protégés nécessite au préalable d'avoir réalisé un test sanguin.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin
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