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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 00:13

Toulouse : la campagne à la ville

Ecologie. Pour encourager la biodiversité, la mairie de Toulouse laisse l'herbe haute « comme à l'abandon » et lance des coccinelles à l'assaut des pucerons.
Selon les saisons, différents types de fleurs des champs poussent sur le bord des routes toulousaines. Photo DDM, Xavier de Fenoyl.
C
occinelles prédatrices pour lutter contre les pucerons ; tondeuse qui sort moins souvent du garage ; herbes hautes sur les berges du Canal du Midi, et même prairies fleuries qui investissent les ronds-points, la nouvelle politique des espaces verts de Toulouse a comme un petit air de campagne.
« C'est une idée amusante, s'étonne Volz, un touriste allemand de Munich. Ça attire les insectes et ça doit être bien pour les oiseaux. »
À l'heure de l'écologie, la mairie se met au développement durable pour ses 450 hectares de jardins et espaces verts. Avec un seul mot d'ordre, une « gestion différenciée » : chaque site doit être aménagé en fonction de son utilisation.
Sur un terrain comme la Prairie des filtres, par exemple, où les Toulousains viennent pour se balader, jouer au foot… la mairie continue à tondre. Sauf en bord de Garonne, où l'on peut voir des herbes folles caresser le courant. « Quand on vient s'asseoir au bord de l'eau, tous ces moucherons tournent autour de nous » critique Gharbi, tout en battant l'air de ses mains pour chasser les insectes. Tous les promeneurs ne voient pourtant pas d'un mauvais œil ces nouveautés. Près de la Cité de l'Espace, des parkings entiers sont longés de fleurs des champs. « C'est plus naturel et plus sain ! s'enthousiasma Sandra, en s'interrompant dans son jogging. Il faudrait même aller plus loin en nettoyant l'eau du Canal du Midi. »
«Changer les mentalités»
Sur les berges du Canal, le retour d'une végétation luxuriante fait revenir les oiseaux qui y installent leur nid, les insectes qui s'en nourrissent (les libellules en particulier), les grenouilles... Selon la mairie, l'herbe haute jouerait « un rôle important dans le maintien des berges, l'oxygénation de l'eau et sa dépollution ».
« Le métier de jardinier est en train de se rapprocher de celui de sociologue. Il va devoir analyser l'utilisation de l'espace par les hommes, prédit Addy Amari, l'ingénieur en charge de l'entretien des espaces verts. Le plus dur à changer, ce sera les mentalités. » Déjà, les promeneurs redécouvrent les fleurs des champs. « On entend déjà un bourdonnement autour des prairies fleuries » observe Addy Amari.
Si l'entretien, ou plutôt l'absence d'entretien de ces prairies est un bon investissement écologique, nul doute qu'il est aussi un gain économique : moins d'essence pour la tondeuse, moins d'eau, de pesticides… D'ici trois ans, la mairie espère avoir posé les premières bases de cette nouvelle politique. En attendant, 180 panneaux explicatifs seront installés en septembre sur tous les sites concernés.
3 questions a Michèle Bleuse (Conseillère municipale déléguée à la biodiversité et aux espaces verts )
Vous avez donc décidé de laisser les espaces verts à l'abandon ?
Pas à l'abandon ! L'amalgame est souvent fait, mais c'est loin d'être le cas. Pour beaucoup de personnes, des herbes qui ne sont pas tondues à ras signifient que ce n'est pas entretenu. Mais même si on laisse pousser, on nettoie ces espaces.
Qu'est-ce qui vous a inspiré ce choix politique ?
Répondre aux exigences de développement durable était un engagement que j'ai pris pendant la campagne, en tant que membre des Verts.Aujourd'hui, je ne fais que tenir cette promesse. Et puis l'idée n'est pas neuve : elle est appliquée dans toutes les grandes villes de France.
Pourquoi avez-vous mis le principe en application aussi rapidement ?
Nous devons suivre le rythme des saisons ! Nous avons commencé immédiatement, dès le mois de mai, pour ne pas perdre un an.
« Même si on tond moins, on nettoie plus »
Mathieu Tajan est responsable de secteur pour l' entretien de rive gauche la Garonne. « On avait déjà commencé à prendre en compte le développement durable. Mais avec la nouvelle municipalité, l'accent est vraiment mis là dessus » explique-t-il.
Pour ce « jardinier en chef », le métier a changé en seulement quelques années. « Avant on tondait par habitude : à un problème technique, on apportait une réponse technique. Aujourd'hui, on analyse le terrain avant de tondre ou de laisser pousser. Si on voit qu'un lieu commence à être utilisé comme une aire de pique-nique ombragée, on tondra pour s'adapter à la nouvelle utilisation. Ce sera la même chose si l'on s'aperçoit qu'un groupe d'enfants vient y jouer régulièrement au foot. »
Grâce à son métier, Mathieu est aux premières loges pour entendre les commentaires des passants. « Ce qui est certain, c'est que notre nouvelle politique ne laisse pas les gens indifférents : on est souvent interpellés. Certaines personnes comprennent très bien et approuvent notre politique. D'autres au contraire trouvent que ça manque d'entretien. En réalité, l'entretien n'est pas le même : dans une prairie fleurie, les papiers ne s'envolent pas avec le vent comme sur une aire tondue. Donc même si on tond moins, on nettoie plus. »
Moins de désherbants et de pesticides, pour Mathieu, c'est avant tout un progrès écologique. « Le développement durable, ça n'est pas uniquement la forêt amazonienne. C'est aussi devant sa porte. »
Le retour des recettes de grand-mère
Christophe Simoneau est chef du secteur extérieur chez Jardiland. Pour le spécialiste, les « plantes écologiques » sont en vogue. « On ressort les vieilles recettes de grand-mère. On peut par exemple sucrer son café juste avec des feuilles de Stévia, un édulcorant naturel. La plante était interdite en France jusqu'à l'an dernier, à cause des pressions des fabricants de sucre. On assiste aussi à un retour des variétés anciennes de tomates, jaunes ou encore en forme de piment… En fait, on assiste à un ras-le-bol de l'industrie en général, et à un retour du savoir des plantes, qui se perdait. » La préoccupation environnementale semble s'implanter aussi d'un dans l'esthétique des jardins. « Au départ, l'engouement était surtout économique. Mais l'aspect écologique est lui aussi bien présent. » Un jardin à la fois écologique et moins cher ? « Oui : quand vous avez un grand jardin avec du gazon, il faut tondre. Ça demande du temps et de l'essence. Pour faire ce que l'on appelle une jachère fleurie, il suffit de semer une fois des fleurs des champs. Sans s'en occuper, on aura pendant trois ans un massif fleuri. Ça divise le coût au moins par vingt. » Depuis environ un an et demi, tous les producteurs de grains s'y sont attelés, et chacun a développé sa collection.
Des potagers pédagogiques
Des potagers pédagogiques ont été installés dans le Jardin Compans et le jardin Raymond VI. Le but est de faire redécouvrir aux visiteurs les plantes qui produisent les légumes.
« Aujourd'hui, qui sait reconnaître un plan de tomates, ou de haricots ? » Interroge Addy Amari, l'ingénieur en charge des espaces verts à Toulouse.
À terme, la mairie souhaite créer des ateliers pour faire découvrir à tous, petits et grands, ces potagers.
A votre avis Faut-il laisser pousser la nature ?
Maurice Nicolas 53 ans retraité. « Limiter la mesure à des zones non piétonnes et peu fréquenté ». « Il me semble que cette mesure peut être à double tranchant. Il faut selon moi la limiter à des zones non piétonnes et peu fréquenté, sous peine de voir se développer de véritable dépotoir là où les herbes seront hautes. Je me demande également si cette nouvelle politique ne va pas donner une image de laisser-aller pour certains ».
Catherine Sané
48 ans vendeuse. « Introduire un côté campagnard à la ville est une bonne initiative ». « C'est une très bonne idée car je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de fleur en centre ville. Beaucoup de personnes ne vont jamais à la campagne et introduire un côté campagnard dans une grande ville me parait être une très bonne initiative. Par contre il faut penser aux enfants et laisser des espaces propres pour leur permettre de s'amuser »
Julie Faure
21 ans étudiante. « Des espaces propres aussi ». « Cette idée est très bonne tant que ces espaces ne deviennent pas des forets, ou des zones sales et abandonné. Par contre il faut aussi laisser des espaces propres et tondu pour que la repos dans les parcs et espaces verts reste possible, sans être attaqué par des petites bêtes. Toulouse est une très belle ville et il lui faut de la végétation. Si cette mesure signifie un retour de la nature, alors continuons ».
Source la Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 08:54

Infos route pour vous les Toulousains

Panneau radar automatiqueIls sont de moins en moins viusibles

 

Un petit nouveau est arrivé boulevard Carnot dans le sens centre ville ==> grand rond : limitation à 50km/h pas de panneau de signalisation pour annoncer le radar et on ne le voit pas

2ème Nouveau radar !!! Route d'Espagne sens Toulouse-Muret vers Kiabi !!! Route limitée à 60km/h... Faites tourner..

3ème Avenue Honoré Serres dans le Sens pont des Minimes centre ville radar vitesse non signalé récemment installé et non indiqué.

4ème Route de Narbonne direction Ramonville Toulouse vers le lycée Bellevue radar vitesse non signalé

5ème Route de Narbonne direction Toulouse Ramonville vers la chunga au feu tricolore.

6ème Pour ceux qui vont au Pas de la case Nouveau RADAR SANS PANNEAU à 1 km après le péage de Pamiers direction Toulouse . Route limitée à 130 km/h... Près des transports DENJEAN

7ème Avenue de Grande Bretagne en direction de Purpan et en venant du Centre ville vers l'hôtel Palladia radar vitesse non indiqué

8ème . Le long du canal du midi à hauteur de la piscine Lèo Lagrange juste avant le feu devant la statue Paul Riquet. Pas de signalisation sur le trottoir de gauche.

SOYEZ SYMPAS FAITES SUIVRE POUR QUE CHACUN CONSERVE SES POINTS

Le Pèlerin

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 08:44

La vie des Hôpitaux de Toulouse et celle de Toulouse Purpan en particulier
L'un des premiers de France en termes de performance
Inauguration.jpgInauguration de l'hôpital Purpan
Purpan.jpgPurpan - façade prfincipale - entrée
galleriepurpandisparue.jpgGalerie de Purpan disparue

Riches d’une histoire de huit siècles, les Hôpitaux de Toulouse sont constitués de plusieurs Etablissements de soins, Purpan, L’hôpital des Enfants, Rangueil, La Grave/Casselardit, La Fontaine Salée, répartis sur Toulouse et le département de la Haute-Garonne. Berceau des soins, l’ Hôtel-Dieu Saint Jacques du XIIème siècle et l’ Hôpital La Grave du XVIème, près des berges de la Garonne, représentent l’un des patrimoines historiques les plus prestigieux de la ville de Toulouse. Ils sont les témoins des valeurs humaines et professionnelles qui ont fondé la tradition et la culture de l’Hôpital.
La longue histoire des Hôpitaux de Toulouse commence approximativement vers 1080, avec la fondation de l’hôpital Saint-Raymond. Bâti à côté de la basilique Saint-Sernin, il est destiné à accueillir les pèlerins allant à Saint-Jacques-de-Compostelle.
http://www.chu-toulouse.fr/rubrique.php3?id_rubrique=253#art529
http://www.chu-toulouse.fr/ 
 L’histoire de l’Hôpital Purpan y est détaillée de façon très riche
Cette recherche est destinée à tous les intéressés ainsi qu’au club informatique Arobe Arènes qui rassemble la mémoire du quartier des Arènes Romaines, sur lequel se situe l’Hôpital Purpan.
Le Pèlerin   

 

 

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 17:07

Toulouse - Le salon de l'érotisme, «sortie familiale »

Star-du-X-au-salon-de-l-erotisme-Toulouse.jpgDans les allées du salon, une star du X dans un bolide

 

Mais qu'est-ce qui fait le succès des salons « érotiques » comme celui de Toulouse, ouvert jusqu'à ce soir dans le hall 7 du parc des expositions ? « Nous constatons une proportion énorme de couples qui viennent dans les salons de l'érotisme, expliquent les organisateurs. Ces salons sont une sortie familiale. Ils permettent à chacun de renouer ou de dé-diaboliser sa sexualité. C'est un événement pour adultes en quête de plaisir et d'érotisme. »

Cette année, le festival propose une nouveauté, un espace féminin. Des stripteaseurs offrent un show réservé aux femmes, les maris étant priés d'attendre à l'extérieur. De nouveaux spectacles érotiques réalisés par des artistes européens venus de milieux comme le cirque, le théâtre et la danse sont aussi présentés. Une hôtesse de choc attend le visiteur pour un show privé, au nouveau Bar gogo avec ses danseuses. Le public retrouve les séances de dédicaces des stars du X françaises, ou les comptoirs sex shop. Enfin, un véritable tournage X en direct ajoute du piment à ce voyage dans le monde du sexe. Spécialisé dans le tournage de film X,Gérard Legay explique: « Nous prévenons les spectateurs qu'il faut ne faut pas essayer de reproduire ce qu'on voit dans un film porno avec sa partenaire. Comme dans tous les films, il y a des petits trucs. »

Source la Dépêche du Midi

Le Pèlerin 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 00:19

Toulouse - Studios de cinéma à Francazal : objectif 2012

Holywood-Toulouse-Francazal.jpg

Le tour de table des actionnaires serait sur le point d'être conclu, élément déterminant pour que l'État accepte enfin de céder la précieuse ressource foncière au projet d'installation de studios de cinéma sur l'ancienne base aérienne.

Paradoxalement, le silence qui enveloppe le projet d'installation de studios de cinéma sur l'ancienne base aérienne de Francazal depuis la rentrée de septembre est plutôt de bon augure. Après les révélations de « La Dépêche du Midi » début juin 2011 et l'emballement médiatique qu'elles ont provoqué, c'est désormais dans le secret de leurs rencontres régulières que Bruno Granja, le porteur de cet incroyable projet, les Américains de Raleigh et les services de l'État, lèvent un à un les obstacles qui se dressent naturellement devant ce qui constitue pourtant une formidable occasion de diversification de l'économie de la grande agglomération toulousaine. « Oui, le projet avance », confirme Bruno Granja, cet architecte de Cugnaux devenu désormais le patron de la société française d'exploitation qui gérera le site de 45 hectares dédié à la production cinématographique, publicitaire et musicale. « Aujourd'hui, nous avons acquis la confiance et l'appui des services de l'État et des élus locaux, départementaux et régionaux », affirme Bruno Granja qui a été reçu, fin septembre, au ministère de la Culture où son projet a retenu l'attention des conseillers de Frédéric Mitterrand.

Il vient également de rallier un nouvel allié de poids. « Daniel Fillâtre, le président de la faculté du Mirail, est prêt à examiner avec nous les conditions d'une délocalisation de la section « Cinéma » de son établissement sur notre site qui pourrait alors accueillir un campus d'environ quatre cents étudiants », révèle Bruno Granja. De la même façon, la Cinémathèque de Toulouse et tous les professionnels régionaux de la filière accompagnent son projet, dans sa dimension artistique et sociale. Le jeune architecte est logiquement plus discret sur le montage financier de son ambitieuse opération estimée à plus de 100 millions d'euros. Mais de source proche du dossier, le tour de table des actionnaires auquel se joindraient les studios Raleigh, serait sur le point d'être conclu, élément déterminant pour que l'État accepte enfin de céder sous une forme restant à préciser (vente, bail emphytéotique, convention), la précieuse ressource foncière.

Dès lors, le compte à rebours auquel les Américains sont très attentifs, pourrait être déclenché : lancement des travaux, recrutement du personnel, négociation des espaces commerciaux du site début 2012, et tournages des premiers films en septembre de la même année.

Des centaines d'emplois et une reconnaissance internationale

Les studios de Londres vieillissent, ceux de Cinecitta en Italie agonisent tandis qu'à Alicante, la Ciudad de la luz, trop exiguë, étouffe sous la demande à laquelle les nouveaux studios de Budapest ne peuvent pas répondre. Bref, il reste, selon l'industrie cinématographique américaine, un potentiel d'activité à exploiter en Europe de l'ouest dont pourrait se saisir Francazal. « Il s'agirait, en terme de surface, de l'un des plus grands studios d'Europe et peut-être du monde », souligne Bruno Granja. L'opération doit aussi produire plusieurs centaines d'emplois directs et indirects. « C'est un projet réellement social», insiste Bruno Granja. « La majorité des emplois nécessaires à la bonne marche d'un studio est issue des métiers de l'artisanat : peinture, menuiserie, coiffure, couture, cordonnerie, ferronnerie, etc., qui peuvent s'adresser à des populations en difficulté ou non-diplômées ». Il insiste enfin sur « la bonne affaire touristique que Toulouse et sa région peuvent réaliser grâce à la reconversion artistique de Francazal ».

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 00:47

Toulouse - Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Femme.jpg

 

À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, vendredi 25 novembre 2011, la Ville de Toulouse veut sensibiliser les Toulousains au travers d'une campagne d'information et une projection-débat. de Toulouse n’est pas épargnée par ce phénomène. Afin d’évoquer cette question avec les Toulousaines et les Toulousains et de permettre un échange avec les associations locales d’aide aux victimes de ces violences, la Ville de Toulouse invite le public à une projection du film Où va la nuit au cinéma ABC le jeudi 24 novembre à 18h30.
Ce film de Martin Provost avec Yolande Moreau sera suivi d’un échange avec les associations toulousaines spécialisées sur cette question (Association Pour l’Initiative et l’Autonomie des Femmes, Stop à la Violence Intra- familiale- Protection Enfance et Adolescence, Association pour Vivre Autrement ses Conflits, Olympes de Gouges….). L’entrée est gratuite.

La Ville s'engage !

La lutte contre les violences faites aux femmes constitue un axe prioritaire du plan toulousain pour l’égalité des femmes et des hommes dans la vie locale, présenté au public par Pierre Cohen, député-maire de Toulouse en mars 2011.
En 2009, la Ville a mis en place un dispositif de logements temporaires pour les femmes victimes de violences conjugales. Toulouse a aussi signé la Charte européenne pour l'égalité des femmes et des hommes dans la vie locale et donc pris des engagements en matière de communication.

Source Toulouse.fr

Le Pèlerin

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 08:29

 Métro de Toulouse - Qui c’est ?

Qui_cest.jpg

 

Toulouse est une ville moyenne de 500 000 habitants pour une agglomération de près de 900 000 habitants. La ville est en pleine expansion…Sa croissance tant sur le plan démographique que sur le plan économique est la plus élevée de France

Le métro de Toulouse est un réseau de transport en commun en site propre desservant la ville de Toulouse (Haute-Garonne). Il utilise la technologie du véhicule automatique léger (VAL), véhicule sur pneumatiques développé par Matra. Il est composé de deux lignes en site propre d’une longueur totale de 27,5 km parsemées de 37 stations, dont une seule (Jean Jaurès) permet la correspondance d'une ligne à l'autre.

La première ligne « A » fut inaugurée en juin 1993, après cinq années de travaux, et reliait Basso Cambo à Jolimont, avant qu'une extension de trois stations vers Balma Gramont soit réalisée en décembre 2003. La seconde ligne « B » fut quant à elle inaugurée en juin 2007.

Depuis, plusieurs projets d'extension furent évoqués par différentes parties prenantes, mais hormis celui de la ligne B vers Labège, aucun d'entre eux ne furent inscrits dans les Plan de déplacements urbains successifs de l'agglomération toulousaine. Cette possibilité d'extension vers Labège est actuellement évoquée sous la forme d'une ligne de tramway pouvant être transformée en infrastructure supportant une extension de la ligne B de métro à terme.

En 2010, le métro accueillait environ 260 000 voyageurs par jour ouvré sur ses deux lignes. Le dernier record de fréquentation connu date du 16 octobre 2009 avec 212 000 voyageurs sur la ligne A et 200 000 sur la ligne B. Quant à la seule ligne A, son record de validations a été battu avec 217 500 passagers le vendredi 10 décembre 2010

Le métro a été récemment complété par un tramway «Les Arènes – Beauzelle » de 11 km et va être prolongé par le tramway Garonne ….4 km pour rejoindre le centre ville. Ce projet est prévu d’être opérationnel en 2013.

Figurez-vous que La semaine dernière, j'étais tranquilou dans le métro toulousain appuyé contre la barre et plongé dans mes rêves, quand vlatipa que des mains me cachent les yeux et qu'une jolie voix féminine se met à jouer aux devinettes en me criant "Qui c'est ?".

Je ne reconnais pas la voix... Je me laisse prendre au jeu et je réponds "Je donne ma langue au chat !". Puis tout ce passa très vite, les mains quittent mon visage, on se fait face... Je ne la connais ni d'Eve ni d'Adam... mais elle non plus... Elle s'était trompée de bonhomme... Une seconde de confusion, et on éclate de rire ensemble. La fille est mignonne, mais on a au moins vingt ans de différence d'âge. Elle me présente ses excuses, je lui propose de lui offrir un verre. Elle accepte...
PS sur la photo ce n'est pas moi, je suis aujourd'hui plus vieux et moins sexy...

Le Pèlerin

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 07:19

Rugby: Le Toulousain Thierry Dusautoir "joueur de l'année"

Thierry-Dusautoir.jpg

Thierry-Dusautoir-2.jpg

 

Thierry Dusautoir, le capitaine et troisième ligne de l'équipe de France battue dimanche par la Nouvelle-Zélande (8-7) en finale du Mondial de rugby, se consolera avec le titre de "joueur de l'année 2011" décerné par l'IRB lundi lors d'une 8cérémonie à Auckland.

La Nouvelle-Zélande, championne du monde, a été sacrée "équipe de l'année", et son entraîneur Graham Henry couronné "entraîneur de l'année".

Le capitaine des Bleus aura été exemplaire tout au long de ce Mondial malgré le parcours chaotique de son équipe jusqu'à la finale âpre et serrée de dimanche. Habituellement peu bavard, il avait même pris la parole devant ses coéquipiers suite à la retentissante défaite face aux Tonga dans le dernier match de poule (19-14) le 1er octobre.

Le "coup de gueule" du capitaine avait porté ses fruits et ses partenaires avaient suivi son exemple, omniprésents contre l'Angleterre (19-12) en quarts de finale.

Son match énorme à l'Eden Park d'Auckland a rappelé celui qui l'avait révélé en quarts de finale du Mondial-2007 face aux mêmes All Blacks, à Cardiff. Des Néo-Zélandais qui depuis cette rencontre l'ont surnommé "The Black Destroyer (le "destructeur noir").

Dimanche, le N.6 tricolore a inscrit l'essai de sa formation, son sixième en équipe nationale.

Il a participé à six des sept matches des Bleus lors du Mondial, à chaque fois comme capitaine, ne manquant que la rencontre contre le Canada, laissé au repos par son entraîneur Marc Lièvremont.

Le capitaine des Bleus a été élu par un panel d'anciens joueurs internationaux dirigé par le champion du monde 1991 et 1999 australien John Eales et composé du Sud-Africain François Pienaar, du Français Raphaël Ibanez, de l'Ecossais Gavin Hastings, de l'Anglais Will Greenwood, du Gallois Scott Quinnell, de l'Irlandais Paul Wallace, de l'Argentin Agustin Pichot et du Néo-Zélandais Tana Umaga.

"On est fiers pour lui", a réagi son coéquipier Vincent Clerc, joint par l'AFP au téléphone à Auckland. "Il le mérite depuis pas mal d'années, ce n'est que justice que l'ensemble du rugby international le récompense (...) Il a fait beaucoup pour le groupe. Quand on est en finale de Coupe du monde et vu sa prestation, c'est logique que Thierry soit récompensé".

Clerc pense toute fois qu'il ne s'agit nullement d'une "consolation": "Ca ne remplacera jamais un titre de champion du monde. Je suis sûr que ce titre de meilleur joueur il aurait préféré l'échanger contre celui de champion du monde. C'est sa distinction à lui".

A bientôt 30 ans (il les aura le 18 novembre), Dusautoir succède au palmarès au Néo-zélandais Richie McCaw. Un seul Français avait eu les honneurs de cette distinction créée en 2001, Fabien Galthié, actuel entraîneur de Montpellier, en 2002.

Dusautoir, né à Abidjan, 49 sélections, a réalisé le Grand Chelem dans le Tournoi des six nations en 2010 (2e en 2011 derrière l'Angleterre) et compte quatre titres de champion de France (2005 et 2006 avec Biarritz, 2008 et 2011 avec Toulouse), ainsi qu'un titre de champion d'Europe (2010).

Il faisait partie de six prétendants aux côtés des Néo-Zélandais Piri Weepu, Jerome Kaino et Ma?a Nonu, et des Australiens David Pocock et Will Genia.

Source L’Internaute Actualité

Le Pèlerin

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 11:24

Toulouse - Trois jours au Zénith pour le Dalaï-Lama

dala-lama-toulouse.JPGLe Dalaï-Lama en 2008, lors de l'inauguration du temple de Lérab

 

Le Dalaï-Lama arrive aujourd'hui à Toulouse, pour deux journées d'enseignement et lundi une conférence publique au Zénith. On attend 10 000 fidèles…

Emotion dans la communauté bouddhiste de la région. « Sa Sainteté » Tensin Gyatso, quatorzième Dalaï-Lama, chef spirituel et temporel des Tibétains en exil, arrive aujourd'hui à Toulouse. Il sera accueilli par les représentants de l'association Chemin de sagesse, qui regroupe tous les centres bouddhistes de la région, et qui se félicite d'avoir pu faire venir son maître spirituel à Toulouse.

Vajra Yogini et Nalanda à Lavaur, Chanteloube en Dordogne, Lérab Ling et son somptueux temple à Roqueredonde, dans l'Hérault… : les bouddhistes ne sont pas des centaines de milliers dans la région, peut-être 15 000 ou 20 000 mais en tout cas, ils sont très actifs, et de plus en plus nombreux.

Ainsi, ce sont près de 10 000 personnes qui sont attendues pour trois jours au Zénith de Toulouse. Au programme, deux journées d'enseignements, consacrées aux étapes de la méditation, une réflexion basée sur l'enseignement d'un érudit indien du VIIIe siècle, Kamalaschila ; et le lundi 15 août, une conférence publique sur le thème l'Art du bonheur, avec une présentation de Stéphane Hessel. La traduction sera assurée par le moine et écrivain Matthieu Ricard.

Le symbole du Tibet

La dernière fois que le Dalaï-Lama était venu en France, il était notamment venu inaugurer le centre de Lérab Ling à la lisière de l'Aveyron et de l'Hérault, sur le plateau du Larzac, en compagnie de Carla Bruni-Sarkozy.

Prix Nobel de la paix, Tensin Gyatso est un personnage hors du commun. Le quatorzième Dalaï-Lama vit en exil depuis l'invasion du Tibet par les Chinois et milite depuis, si ce n'est pour l'indépendance de ce petit pays, du moins, pour une certaine autonomie et le respect de la langue et la culture tibétaine. Son charisme lui a valu d'être reçu par la plupart des grands dirigeants de la planète, au grand dam de Pékin, qui le considère comme un délinquant.

Ces derniers temps, le chef spirituel assure qu'il veut confier le pouvoir temporel sur le Tibet à d'autres : un Premier ministre en exil a été élu par les Tibétains en exil. Le Dalaï-Lama évoquera le sort du Tibet lundi avec une délégation d'élus et de parlementaires de la région. Visite spirituelle donc, mais aussi toujours politique.

Le chiffre : 14e

dalaï-Lama  Succession. Le premier Dalaï-Lama est apparu au Tibet à la fin du XIVe siècle.

« Il n'importe guère qu'un être soit croyant ou non : il est beaucoup plus important qu'il soit bon »

Tensin Gyatso, Dalaï-Lama

Guichet fermé et grand écran

Pas la peine d'espérer voir le Dalaï-Lama si vous n'avez pas réservé votre place. Les inscriptions tant à la conférence publique qu'aux enseignements sont closes depuis des mois. La conférence publique sera cependant retransmise en direct sur un écran géant sonorisé installé à côté du Zénith de Toulouse, avec un accès libre pour ceux qui n'auraient pu avoir de place à l'intérieur du Zénith.

Voir aussi sur : www. dalailama-toulouse2011.fr

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 02:55

Toulouse - La Cinémathèque et ses films X

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Ninon Sevilla, star du rumbera, polars matinés d'érotisme dans des cabarets.

D'habitude, les films érotiques et pornographiques sont cachés au fond des tiroirs. Pas pour Christophe Bier, qui vient de publier avec l'aide de vingt-sept collaborateurs, un « Dictionnaire des films érotiques et pornographiques français ». 1813 films répertoriés, un livre qui dépasse le kilo, aucune illustration. Un ouvrage conséquent qui veut dépasser le simple index de titres et de réalisateurs. Parmi les rédacteurs, deux membres de la Cinémathèque de Toulouse : Serène Delmas et Frédéric Thibault. L'établissement possède d'ailleurs certaines copies uniques des films commentés. « C'est avant tout un traité de sexologie », explique Frédéric Thibault, « un témoignage de l'évolution de la sexualité. » La preuve avec les choix éditoriaux effectués : les films répertoriés ont connu une distribution en salle et ont été tournés sur pellicules 16 ou 35 mm, il ne s'agit pas du tout-venant.

Fascination et révulsion

Surtout, les notices de films sont « cliniques », ajoute le rédacteur toulousain. « On a inclus les avis du comité de la censure, pourquoi telle scène était coupée et ainsi de suite ». Christophe Bier a cherché des personnes qui abordent le sujet avec sérieux. « Je voulais une pluralité des regards, ce qui explique le nombre de rédacteurs. Avec deux consignes : ne pas faire de second degré, qui est, une marque de mépris et ne pas tomber dans le piège de la description du physique. » Récemment, aux États-Unis, des « porn studies », branche de la sociologie étudiant les mécanismes de domination et de représentation des corps ont ouvert dans des facultés américaines . Un exemple parmi tant d'autres qui montre que le genre « fascine, révulse, met à mal les codes établis de la critique classique ». Autant de raisons qui font qu'il est étudié, en l'occurrence par des rédacteurs, mais aussi conservé par des établissements reconnus. Christophe Gauthier, le conservateur, conclue d'ailleurs : « vous savez, ce n'est peut-être pas le genre le plus méprisé… »

Renseignements sur le livre www.serious-publishing.fr

Natacha Laurent

Pourquoi apporter votre soutien à ce projet ?

Ce dictionnaire recoupe la démarche que nous menons, entre autres, à la Cinémathèque : prêter attention aux marges du cinéma. C'est ce que nous faisons avec nos collections depuis la création de l'établissement dans les années cinquante, par Raymond Borde. Voilà pourquoi nous avons mis à disposition des rédacteurs certains de nos films, répertoriés dans ce livre.

Y a-t-il une notion de bon ou mauvais film dans vos collections ?

Notre rôle n'est pas celui de critique de cinéma ou de porter aux nues des œuvres d'auteur. On s'intéresse aussi aux pratiques sociales et culturelles qu'un film peut apporter. Nous n'avons pas à nous positionner de façon arbitraire sur une valeur artistique : pas de mépris ni de dédain. Et puis, cette même valeur n'est jamais identique selon les époques. On l'a bien vu avec certains films mis de côté à leur sortie qui sont depuis devenus cultes.

Ce type de soutien sera-t-il renouvelé ?

Nous menons déjà de nombreuses actions pour tous les genres de films aux marges du cinéma.

Nous possédons ainsi une collection très riche en œuvres de série B ou série Z. Et nous organisons, chaque année, le festival Extrême Cinéma, qui explore les frontières du 7e Art, dont c'est la 13e édition en novembre 2011.

« Ces films valent la peine d'être conservés »

« Nous avons neuf pôles d'excellence dans nos collections et parmi ceux-ci, le fond «Films de genre, fantastique, érotisme'», rappelle Christophe Gauthier, conservateur de la cinémathèque. Sur les 1813 films présentés dans le livre, l'établissement toulousain en possède 200 à 220, dont certains qui ne sont conservés qu'à Balma. Mais la collection va bien au-delà. « Nous avons aussi bien des films clandestins des années 20-30 que des films classés X de la fin des années 1970, destinés à un réseau de salles totalement en perte de vitesse », explique-t-il. Une politique d'enrichissement volontaire des collections qui rentrent pleinement dans la mission de conservation. « Bien sûr, il y en a un grand nombre dénué d'intérêt, mais nous ne cherchons pas de critère qualitatif. Il y a une richesse de ce genre, une production de masse qui en fait un fragment de notre culture. Beaucoup de ces films, pour des raisons diverses, ont échappé au dépôt légal. Si on ne les conserve pas, ils sont donc perdus pour de bon. Sans compter que c'est un genre qui défie les codes cinématographiques. Ils valent la peine d'être conservés. »

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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