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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 00:00

Dimanche 28 mai 2006 - Lascabanes – Lauzerte (Le Chartron)  

J’ai très bien dormi. Nous nous sommes réveillés vers 6h00 et avons pris notre petit déjeuner à 8h00. L’étape qui se présentait à nous ne faisait que 19Km et la tâche  était loin d’être insurmontable. 

Je pansais abondamment mes pieds avant de partir. 

Le départ me parut difficile….Mes pieds souffraient le calvaire. 

Nous reprenions le GR 65 2.5 Km après la grange. La forme ne semblait pas être au rendez vous et je marchais difficilement. Je m’arrêtais 4Km plus loin pour me restaurer et décidais d’ôter mes semelles orthopédiques. 

J’avais l’impression de marcher beaucoup mieux et je repartais allègrement, j’étais persuadé que désormais j’allais marcher désormais comme un cabri. 

Je retrouvais Gerda, Josette et Greg à l’entrée de Lauzerte. 

Sur le chemin

L’Eglise de Lauzerte était magnifique….Toutes les bâtisses étaient en pierre blanche. 

Malheureusement Intermarché avait fermé à 12h00 et je n’avais pu faire de provisions car tous les magasins étaient fermés….Aujourd’hui c’était fête et tous les villageois étaient rassemblés sur la place pour fêter cela. 

Dessus dessous l'église et la place de Lauzerte

Dessus dessous Lauzerte en fête - et surtout l'aligot

Gerda toujours divine

Je pris ce que je pouvais prendre à la boulangerie. 

Gerda avait son gîte sur place….Quant à nous, il nous fallait encore parcourir plus de 3km pour y arriver. Nous avons repris donc notre chemin. 

Lauzerte formait un promontoire sur la vallée et nous avions une vue très précise sur le chemin qui nous restait à faire…..ou presque…. 

J’avais repéré un lac collinaire 2Km plus loin….J’avais tant désiré m’y baigner chaque fois que j’avais traversé la région des lacs collinaires qu’ils soient gersois ou Lot et Garonnais….mais chaque fois j’avais trouvé quelqu’un pour m’en dissuader. 

Je laissais donc partir Josette et Greg….et lorsque j’arrivais aux abords du lac je m’y baignais longuement après avoir pris soin d’y entrer très progressivement. 

Une baignade de rève, mais j'en conserverai des séquelles

Après une demie heure de baignade, je reprenais mon chemin tout ragaillardi et arrivai au gîte du Chartron. En fait nous avion réservé ailleurs …mais il nous fallait marcher 6Km et en accord avec tous les intéressés nous avons décommandé l’autre gîte pour rester au Chartron. 

Le gîte paraissait sommaire mais rien ne manquait. 

L’accueil et la Patronne étaient parfaits. 

Nous avons passé une soirée formidable….Tous les Pèlerins étaient sympathiques….Nous avons dîné avec 2 Allemandes qui ont partagé avec nous notre chambre. 

Repas aux chartrons

Nous nous sommes couchés vers 21h30

Le Pèlerin 

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 00:28

Samedi 27 mai 2006 - Cahors – Lascabanes

 

 

Je m’étais donc réveillé vers quatre heures trente mais ne me lèverai que vers 6h00….

Après le petit déjeuner nous partions et prenions le pont Valentin dont je réussissais à prendre quelques photos toutefois. 

Tout le monde était là, il ne manquait que les 3+1 qui nous avaient quittés. 

Le Pont Valentré le matin

L’après Cahors démarre par une grosse grimpette et des escaliers qui commencent par vous mettre sur les  genoux. 

Mes pieds me faisaient toujours mal et je marchais de plus en plus difficilement. 

Je m’accordais une halte à Labastide - Marnhac qui était un village des plus mignons. 

Labastide Marnhac - Marie Claude, Arlette et Greg

Je bavardais longuement, si longuement que je fus obligé de prendre la route pour économiser 2Km ….Il faisait très chaud et la marche sur le goudron n’était pas des plus confortable pour les pieds. J’arrivais finalement à Lascabanes….Bien m’en avait pris de ne pas me presser. 

En effet nous étions censés nous faire récupérer par la patronne de « la Grange de Marcillac » …..Mais la dame ne semblait pas pressée….Josette était arrivée des 14h00 et avais laissé nombre de messages….rien n’y faisait …..Nous n’avions droit qu’à un répondeur automatique qui nous laissait bien pessimistes. 

J’étais resté en contact avec Josette et des 14h15 J’étais à Lascabanes. 

Lascabanes était ombragé et très fleuri…..Nous nous sommes étendus sur l’herbe et avons attendu jusqu’à 16h35….Enfin nous embarquions, Gerda, Josette, Greg et moi. 

l'attente à Lascabannes 

La Grange de Marcillac

Greg faisait une fixation sur mon gilet à poches auquel je tenais temps…..Il était pratique, je l’avais acheté au Cebreiro et j’y tenais….I puait disait-il….Je ne pouvais pas tout de même le laver 2 fois par jour….Je le lui signifiais….Il ne m’en parlera presque plus…. 

Le soir nous eûmes droit à un excellent repas  presque à la hauteur du prix payé….Nous avons profité du parc le soir avant d’aller nous coucher  vers 22h00

Le Pèlerin

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12 mars 2007 1 12 /03 /mars /2007 00:25

Vendredi 26 mai 2006 - Varaire – Cahors 

 

 J’avais décidé de partir tôt ce matin. J’avais donc entièrement préparé mon sac que j’avais laissé dans la chambre à André. 

  Nous avons eu droit à un petit déjeuner copieux que la patronne avait pris soin de  nous laisser en libre service. 

 Greg faisait l’impasse sur cette étape car ses ampoules lui faisaient trop mal. Il fera l’étape avec « Factage ». 

 Je partais donc seul vers 6h15 ; Josette et André partiront quelques instants plus tard. La marche promettait d’être longue (33Km), mais elle ne me semblais pas trop difficile. 

 Je marchais toujours dans des chemins à demi caillouteux et dans de longs passages en forêt. Naturellement Josette et André m’avaient doublé assez rapidement mais je marchais toutefois assez bien. 

 Nous sommes au cœur naturel des Causses et le chemin est très agréable. 

 Rude sera toutefois la dernière partie du parcours. 

 Je prenais de plus en plus de retard et finis par m’arrêter 8Km avant Cahors après une grimpette assez sévère. 

Là je m’arrêtais à un centre hospitalier tenu par Espérance, une dame dont je me souviendrai toute ma vie. 

2 des 3 femmes les plus merveileuses rencontrées sur le chemin:

Gerda"de Nuremberg et Esperance d'Aïn Taya

Oh temps suspends ton vol..une bise de Claudine

 C’était une dame de 74 ans qui avait de l’énergie à revendre….Elle remontais le moral à tout le monde….et comme elle avait vécu plusieurs années à Aïn Taya en Algérie, nous ne cessions pas d’échanger des souvenirs. Elle avait le visage ridé disait-elle mais son cœur et son cerveau ne l’étaient pas.

 Je pris de nombreuses photos des lieux et lui promis de la re contacter et à qui je promettais d’envoyer les photos que j’avais prises lors de mon passage au centre. 

 Je m’y désaltérai et en profitais pour y casser une petite croûte. 

 
J’y trouvais également là Yves et ses 3 femmes qui décompressaient Ils repartaient le lendemain et ils avaient le cœur joyeux…. Ils nous feront défaut. J’y rencontrai également X un joyeux luron très cultivé avec qui je ferai encore un bout de chemin. 

 
Je passerai là plus d’une heure trente à me restaurer ; 


J’y trouvais là également Desie. Je ferai le reste du chemin avec Desie une jeune Hollandaise vivant en Ecosse…..Nous étions bavards l’un comme l’autre et nous bavarderons pendant toute la descente sur Cahors que nous rejoignions vers 17h00. 

 La soirée sur banale et inoubliable. 

Désie ..Elle volait sur ce chemin

 

Votre serviteur en vue de Cahors

Cahors le Pont Valentré

 
Banale car cela sera le train – train habituel…..Nous devions passer une partie de la soirée avec les trois, un mais ils se décommandèrent. 

 Inoubliable car je fis connaissance d’Arlette et Marie Claude de Chambéry

 
Arlette
et Marie Claude devaient occuper une chambre qu’elles devaient partager avec Jacques et son fils….mais ces derniers dormaient déjà profondément des 21h00 …..Alors elles avaient étalé toutes leurs affaires dans le couloir pour vaquer à leurs occupations….Elles furent prises d’un fou rire qui en disait long sur leur bonne humeur.

 Finalement je me mis à rire avec elles ; j’entrais délicatement leurs sacs dans la chambre qu’occupaient Jacques et son fils avant de leur souhaiter une bonne nuit. 

 Je fis un saut sur Internet….Ma boite aux lettres était pleine et je répondis aux courriers les plus urgents. 

 Je me couchais vers 22h30 et ronflerai toute la nuit malgré « Douce Nuit » 


 Ce ronflement (ou du moins les conséquences rapportées) me gênait de plus en plus et je passerai une mauvaise nuit.


Je me réveillais très tôt le matin…..Les pieds me faisaient déjà mal  

Le Pèlerin


 

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11 mars 2007 7 11 /03 /mars /2007 00:23

Jeudi 25 mai 2006 

Cajarc – Varaire  

 

Départ 7h20 Arrivée 14h00 

 

 

Je voulais plus tôt mais il y avait trop de monde autour de la cuisine pour me permettre de m’échapper sans faire du bruit. 

Finalement je suis parti encore plus tard que d’habitude….Je prenais tout de même un cachet d’Aspirine car je me sentais fébrile et j’avais besoin de ressources supplémentaires et comme je ne prenais aucune vitamine…. 

Finalement la forme semblait être au rendez-vous.

Une petite pause

Les lavoirs de Varaire

dessus et dessopus le gîte

Dessus dessous au gîte fort apprécié

Josette et André étaient partis devant, moi derrière, Greg faisait la fermeture car il souffrait également d’ampoules sous le pied, ce qui le faisait souffrir. 

Le Rythme était assez élevé….

Nous eûmes naturellement droit à notre grimpette juste après Cajarc, puis le chemin devint fort agréable. 

Nous avons eu de nombreux passages en forêt, mais aussi de nombreux chemins caillouteux…..toujours nos petits chênes. 

Après avoir passé Limogne en Quercy je filais sur Varaire au travers du Causse ; j’atteignais Varaire non sans difficulté. 

En effet, si je marchais relativement bien le matin, je m’étiolais ensuite sois le poids du chemin et celui de la chaleur. 

Varaire est un tout petit village presque perdu… Qui de plus est, toutes les boutiques étaient fermées….C’était en effet le jour de l’ascension. 

Le lendemain nous ne devions traverser que peu de villages et nous ne savions que faire pour nous alimenter…

Pour le moment nous avions notre demi-pension ce dont nous profitions….Le repas était plus que correct.   

Enfin, l’étape n’avait tout de même pas présenté de difficulté majeure et nous avons avalé cette étape sans trop de problème (Aie, j’oubliais Greg qui souffrait). 

Les particularités de cette étape furent les nombreux lavoirs où les gens se tenaient à genoux pour laver et que nous ne retrouverons que sur cette étape. 

J’avais quant à moi de nombreuses ampoules au talon….Je les traitais tous les soirs et j’arrivais presque à les oublier. 

Je découvrirai là Gerda, une dame extraordinaire. Gerda était une dame d’un âge respectable qui était partie de Nuremberg en mars 2006, avait traversé l’Allemagne puis la Suisse souvent sous la neige. Elle était dotée d’une volonté extraordinaire et d’une force physique insoupçonnée lorsqu’on la regardait. 

Elle était distinguée, élégante, humble…..Une foule de qualités faisaient de cette dame une femme extraordinaire. 

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

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10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 19:23

Mercredi 24 mai 2006 - Figeac – Cajarc  

 

Départ 7h00 31.6 Km 

 

Un dolmen sur le chemin

 

 

 

  Le gîte à Cajarc

 

 

  Cajarc et les bords du Lot

 

 

Josette franchit le Lot

 

 

L'église de Cajarc

 

 

Le départ fut assez laborieux, car il y avait une solide grimpette qui nous permit d’observer rapidement la cité que nous venions de quitter. 

Nous sommes désormais sur le Causse, ses chemins caillouteux et ses petits chênes si typiques du Lot. Nous ne quitterons pas ce type de chemin pendant tout l’après midi.  

Nous y trouverons même quelques dolmens (voir photo ci-dessus)   

Nous traverserons successivement Faycelles, Gréalou ; le soleil était de plus en plus chaud et l’avais des ampoules aux pieds énormes (des porte avions disais-je) 

Je n’en pouvais plus lorsque je suis arrivé à Cajarc (la ville de notre ex Président Pompidou) vers 16h00…..C’est fou ce que le Massif central a pu générer de Présidents de la République….. !   

Josette et André étaient arrivés depuis 14h00 ;  

Greg s’était également arrêté 45 mn comme moi mais 150 m après moi, ce que je ne savais pas….Il m’avait laissé un petit mot au passage.  

Nous avons dîné au gîte. Jacques et son fils s’étaient mis aux fourneaux et le repas fut fort réussi.   

Le soir nous avons effectué une promenade en ville, Josette, André et moi.  

Greg plus solitaire était allé faire un tour en ville de son côté.

Le gîte très sommaire était en attente de rénovation ….et nous étions les uns sur les autres….C’est là que je fis connaissance de Daisy, une Hollandaise, vivant en Ecosse, une fille solide comme un roc  

Coucher 22h00    

Le Pèlerin

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 00:00

Mardi 23 mai 2006  

 

Livinhac -le - Haut ? Figeac 

 

Je me levais vers 6h20 et nous nous levions le camp à 8h00. 

La journée s'annonçait moins pénible. 

 

J?ai marché avec un arthrosique. Il se soignait par homéopathie et ne faisait que de petites étapes avec arrêt toutes les heures . Aujourd'hui il ne fera que 12 km..Il n'est pas encore arrivé à Saint Jacques !!. 

 

 Nous avons eu droit à une longue montée après Livinhac. Comme je discutais beaucoup cela me faisait perdre du temps mes collègues de route en ont profité pour filer. En plus de cela  je me tromperais deux fois de chemin. 

La journée était éprouvante.  Il faisait chaud et je manquais d'eau.... 

Le profil de l'étape n'était pas impressionnant mais le chemin était très casse patte. 

Le chemin était assez caillouteux et les chevilles se faisaient sensibles. Le soleil nous assommait, tout pour me faire souffrir. Je commençais à avoir des ampoules énormes et je n'en pouvais plus en arrivant.   

 

 

Votre serviteur prends un peu de repos sur le chemin

 

 

 

Sur le chemin avec Greg

 

 

Dessus et dessous Figeac

 

 

Jacques aux fourneaux

 

 

Repos sous la halle de Figeac

 

 

Repas du soir au gîte

 

 

 

Je passais successivement Montredon, Saint Félix, Lunan avant d'arriver à Figeac. A Figeac, le gîte où nous avions réservé était excentré par rapport au centre ville?..Il nous fallut faire plus d'un Km pour nous y rendre....Heureusement qu'il y avait une navette, gratuite d'ailleurs pour nous permettre de retourner au centre de la ville...y faire des courses, puis y passer la soirée. 

Greg nous  fit la cuisine et nous avons mangé de façon excellente. 

La ville de Figeac me parut fort agréable avec une abbaye datant de l'an 755. 

L'architecture de Figeac est très typique avec ses constructions avec colombage, ses vieilles pierres...J'y reviendrai également ...Nous avons fait notre promenade  en ville et nous prendrons un bière réconfortante sous la halle de Figeac. 

Coucher 22h30  

 

Le Pèlerin

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 00:30

Lundi 22 mai 2006 

Conques – Livinhac -le – Haut 

Départ 7h10 26 Km 

Les Dijonnais fort sympathiques quittaient le chemin pour Dijon. Ils ont tenu à nous accompagner un bout de chemin en guise d’au revoir.

Adieu les Dijonnais

Après un au revoir chaleureux nous réprimes le chemin…. Le départ fut très très rude…..ouf…. 

En haut de la côte il y a une cloche que Greg actionna lors de son passage (voir photo ci dessous).  

Nous avons été rattrapés par Yves et ses 3 femmes ; toutes étaient mariées et elles marchaient sur le chemin depuis longtemps.   Elles avaient accepté la présence d’Yves car il était sympathique …..   

Lorsqu’ils avaient 2 chambres de deux, les filles tournaient pour loger avec lui….en tout bien tout honneur….. Yves avait le sens du raccourci, ainsi nous avons visité Noaillac et Decazeville pour un chemin certes goudronné mais fort agréable. 

Nous sommes arrivés à Livinhac le haut vers 14h30. 

L’étape n’avait pas présenté  trop de difficultés, mis à part le départ un peu pénible. 

La Patronne était assez dynamique… 

Gîte moyen, loin du centre 

Greg nous a fait encore la cuisine 

J’y ai rencontré Anne Marie une fille vraiment sympa….Elle quittait le chemin….Sa fille devait accoucher sous peu et elle devait rentrer. 

La journée avait été agréable dans l’ensemble. 

J’avais encore ronflé fortement malgré « Douce Nuit » 

Le Pèlerin

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 05:36

9 Dimanche 21 mai 2006 - Golinhac – Conques 

 

Sur le chemin

 

Une figure du chemin

 

 

Conques la basilique ( dessus et dessous)

ci dessous L'intérieur de la basilique

Conques

Josette Greg et votre serviteur à Conques

Un attirail bien particulier 

Josette n’a pas fermé l’œil de la nuit à cause des ronfleurs….et comme elle ne supporte pas les boules Quies….  

Nous démarrerons de Golinhac vers 7h00.  

Le chemin était verdoyant et magnifique et ne semblait pas présenter de difficultés majeures.  

Je m’arrêtais à Senergues (11.4 Km) pour déjeuner puis filais ensuite vers Conques.  

La descente sur Conques se montra moins difficile que je ne le craignais.  Le dernier kilomètre se montra cependant fort caillouteux et assez glissant.  

Je découvrais enfin Conques….Cela faisait si longtemps que je devais y venir.  

Tout y est beau ….La Cathédrale de Conques est régie par l’ordre des Prémontrés……  

J'effectuais une longue visite des lieux avec Josette ….Une crêpe garnie servie vers 16h00, me gava tellement que je n’avais plus faim lors du dîner.  

L’Eglise et son tympan….L’intérieur fort majestueux…..Les grandes orgues dont nous aurons le droit d’en écouter un concert jusqu’à 22h00.  

Je pris de nombreuses photos des lieux.  

Au refuge j’avais pris possession d’un lit qu’un autre Pèlerin se chargeait de me subtiliser….Il est vrai que j’avais tellement mis d’ordre sur mon lit que….J’avais laissé mes affaires contre mon lit pourtant….

Nous eûmes droit à notre repas, un repas satisfaisant.  

Le soir lorsque je me suis couché, vers 22h15 ce monsieur dormait. Je décidais donc de laisser toutes mes affaires contre ce lit et alla me coucher ailleurs….Le lendemain je me levais assez tôt alla récupérer mes affaires contre mon lit devenu sien, mais le zèbre ne se réveilla pas.  

Je passerai toutefois une bonne nuit.  

Conques était si joli que je décidais d’y revenir après mon retour sur Toulouse  

 

 Le Pèlerin

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 00:14

 Samedi 20 mai 2006 

Espalion - Golinhac

Je me réveillais vers 5h45. Nous avion Rendez vous avec Josette à 6h50 au centre de la ville.  

 

Nous avons repris notre chemin?et comme d?habitude les 3 premières heures me parurent assez aisées.   

Pourtant la montée après Espalion était assez raide mais je la passerai assez aisément.  

Pour une fois, nous étions tous regroupés, Josette, Jacques et André, un Parisien d'origine polonaise que nous avions rencontré la veille et qui marchait désormais avec nous.  

Finalement le groupe s'étiolera et je me retrouverai le dernier lors de notre passage à Estaing, où se situe la récente acquisition de notre ex-Président Giscard d'Estaing, un château magnifique, dont je pris de nombreuses photos. 

Estaing

Votre Serviteur au pays de Giscard

Pont magnifique à la sortie d'Estaing

 
 
 
Sur le chemin

 

Après Estaing, nous longerons le Lot puis nous ne cesserons de monter et descendre.  

Puis la route se mit à monter de façon plus agressive?.d?autant plus que j?étais à court d'eau. Finalement je  vis un panneau « Source à 1000 m) et cela devint une obsession.  

Je doublais d'ailleurs le reste du groupe auquel s'était joints nos sympathiques . Il me tardait de boire.  

Je rencontrerai un peu plus tard un couple (le frère et la soeur) qui m'accompagnera jusqu'à Golinhac.  

La pluie s'était mise à tomber de façon assez drue 8 Km avant Golinhac et nous atteindrons la ville,  munis de nos ponchos.  

Le gîte était confortable. Un seul petit problème, nous étions à 500 m de l'auberge où nous devions dîner et prendre notre petit déjeuner. Cela fait faire un peu d'exercice surtout lorsque l'on oublie quelque chose.  

La dame qui m'accompagnait m'enseigna les vertus de la « molène » pour décongestionner les jambes. je n'en retrouverai plus le chemin. 

Nous avons dîné à 19h30 ; le repas servi était d'excellente facture. 

Je retrouverais à l'Auberge nos Albigeois qui faisaient plaisir à voir.  

Notre Albigeois était fier de son épouse qui marchait aussi vite que lui admirable.  

Je dormirai profondément jusqu4à 5h30.

Douce Nuit n4aura pas été trop efficace puisque apparemment j'avais assez ronflé.  

Je ne sais pas si cela était de mon fait mais je vis un couple dans la cuisine (Ginette et Jean). En fait nous avions été si nombreux à ronfler. 

 Le Pèlerin

 

 

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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 00:12

 Vendredi 19 mai 2006 - Saint Chély d'Aubrac - Espalion 23.7 Km en passant par Saint Côme d'Olt  

 

Départ 7h00 Arrivée 15h05  

 

 Le début de l'étape fut assez facile ; la végétation était fort agréable .

 

Mais nous ne cesserons pas de monter et descendre.  Les fleurs variées étaient admirables.   

 

Nous marchions assez bien et passions successivement à Les Cambrassats, Lestrade.   

 

Nous passions à La Rozière (12.6 Km) en 3h10 comme indiqué sur le guide.   

 

A partir de là j'ai commencé à lambiner. Jean Claude, malgré son problème d'Orteil a filé avec Josette ; je ne les reverrai qu'à Espalion.   

 

J'arrivais difficilement à Saint Côme d'Olt qui me parut magnifique. J'y déjeunais là avec Greg.  

Je pris de nombreuses photos.  

Je rencontrais 3 Allemandes qui avaient laissé leurs époux en Allemagne pour prendre le

chemin.   

 

La fin entre Saint Côme et Espalion me parut difficile.   

Je n'étais pas fatigué mais je manquais de tonicité et n'avais pas la volonté d'avancer plus vite. 

 

 

En traversant le Lot

 

 

  Saint Côme dessus et dessous

 

 

 

 

A la reception à Espalion (gîte manqué)

 

  Espalion Henri ci-dessus, Josette ci-dessous

 

 

 

   

 

 

J'arrivais enfin à Espalion..Je m'étais encore trompé de gîte.  

 

Josette encore elle m'arrangeât le coup et nous nous retrouvions à l'hôtel Moderne très confortable et d'un prix fort raisonnable. 

 

Après les activités d'après marche (lessive, étendage et toilette) nous visitions Espalion.  

 

J'en profitais pour acheter « Douce Nuit » un spray qui était censé m'empêcher de ronfler. Les résultats ne seront pas ce que j'attendais.    

Nous finirons dans un restaurant fort appréciable où nous mangerons plus qu'il n'en fallait. Je me souviens de ma salade gasconne, de mon faux filet de l'Aligot et du dessert dont j'abuserai un peu trop ; le tout arrosé d'un excellent Marcillac.  

 

Il me fallait prendre des forces car l'étape du lendemain s'annonçait fort difficile. 

 

Je me coucherai vers 22h30  

 

Le Pèlerin

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