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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 12:00

 15 août 2005 -7 ème étape - Onda - Pietra Piana 

 

 Sur le chemin

Au refuge de Pietra Piana    

Lever 6h00 - Départ 7h00 

Je me suis réveillé aujourd'hui un peu plus tard que d'habitude il était environ 6h00.
Nous avons pris le chemin Georges et moi vers 7h00. 

Nous avons effectués, ensemble, une descente assez facile de 90 mn environ.
Nous avons franchi une passerelle avant d'etre rejoints par Francis suivi du reste du peloton.
A la bergerie qui suivait nous nous sommes ravitaillés en eau pain et fromage car cela nous faisait défaut.
La montée qui suivait s'averrait assez facile et nous arrivions au refuge de Pietra Piana sans difficulté majeure.
Cela allait bien mieux que la veille.
Je me suis restauré vers 10h30, mec suis reposé une bonne demie heure et suis arrivé sans encombre au refuge suivant. 

Il y faisait assez froid.
J'ai pu me doucher, faire la lessive et quelques étirements bien timides. La douche était tout juste tiède... Cela changeait tout de même des douches froides que je recevais régulièrement soit par absence totale d'eau chaude soit parce que j'étais un des derniers à arriver au refuge tous les jours

Le Pèlerin

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 23:51

  14 août 2005 - 6 ème étape  

Vizzavone (A Foce) - Onda
 

Lever 5h10 - Départ 8h00 

L'étape du jour s'annonçait facile aussi ne partions nous que vers 8h00.

Pourtant j'en baverai….En fait je n'arriverai qu'à 16h30 à Onda.


J'ai mis 5h pur franchir le premier col (Bocca Palmente) qui n'en finissait pas de monter.

Mais la descente fut une des plus difficiles que j'ai eu à affronter lors de ce GR. Pourtant elle ne semblait pas difficile, mais les genoux n'en pouvaient plus.

Mes collègues ont franchi l'étape en deux temps et trois mouvements puisqu'à 12h00 ils étaient à Onda. Moi je suis arrivé à 16h30; Le genou droit me faisait particulièrement mal et je n'avançais plus.

Je rencontrais en cours de descente un groupe de 3 marcheurs arrêtés prés d'une source; l'un s'exclama en me voyant descendre avec difficulté:

" Alors vous aussi, vous passez votre permis de mulet ?"...Et oui....

J'ai fait le minimum en arrivant au refuge et me suis endormi jusqu'à 19h45.

Les collègues m'avaient préparé de la soupe et des lentilles, une attention que j'appréciais particulièrement.

Je devais être vraiment fatigué car j'avais ronflé violemment pendant la sieste et je ronflerai toute la nuit... après m'être mis au lit vers 22h30....ces ronflements me valurent quelques gentils commentaires... Mais qu'y pouvais-je ?

 

Le Pèlerin

 

 

 

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 23:12

13 août 2005 - 5 ème étape

 

Boca di Verdé (1289m) Vizzavone (A Foce) 

 

Lever 5h15 - Départ 5h50

 

 

 

Ce matin, je ne bénéficierai pas du petit déjeuner qui nous était offert avec notre demie pension. En effet la route était longue, l'étape était annoncée pour 9h30 et il me fallait partir de bonne heure avant les autres afin de ne pas arriver trop tard.

 

J'avais donc bien préparé mon sac afin de ne pas réveiller mes collègues de chambrée qui ne partiraient qu'à 7h45 après avoir pris leur petit déjeuner chaud.

 

Quant à moi, je me contenterai d'un petit déjeuner froid, pris prés de la source et démarrais à la pointe du jour.

 

  

 

  

J'effectuais la montée sans problème majeur et me suis avancé.

 

Les collègues me rejoignirent un peu avant Campanella, une station de skioù nous nous sommes arrêtés pour nous restaurer quelque peu. J'étais quelque peu fatigué.

 

Dieu que cette étape était longue sans toutefois une quelconque difficulté majeure.

 

Il y avait des cotes qui n'en finissaient plus, alternant avec des descentes douloureuses pour mes genoux.

 

J'arrivais tout de même aux bergeries une demie heure avant de passer au sommet culminant du jour à savoir Bocca di Palment. Il était alors 1545 lorsque j'attaquai la descente.

 

Il y avait une variante à prendre par la foret de Vizzavone (points jaunes). Cela semblait évident... Je prenais le chemin indiqué, mais celui ci me mènera 2km en aval du refuge qui n'était connu de personne.

 

Pour me consoler il est à noter que tout le monde se planta et que je fus encore celui qui fit le moins de rab.

 

J'arrivais enfin au refuge A.Foce  ;

 

Ce jour là je me suis cru vraiment égaré et m'apprêtais à passer une nuit hors du refuge indiqué... Enfin c'est avec joie que je les retrouvais tous y compris Michael et Nicolas tous attablés derrière une bière réparatrice.

 

Ce jour là j'avais marché pendant 12h40....Que la journée avait été longue.

 

Nous avons fait une méga tambouille au refuge et le soir j'étais à peu prés d'équerre.

 

Je me couchais vers 22h30.

 

 

 

Le Pèlerin

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 00:23

Corse Le GR20 Episode 2
1ère étape Conca (275m) Bavella
L'équipe au départ de Marseille

Marseille - Le sacré cœur

Le départ de Conca
Le massif de Bavella
Une brève halte
Un reos bien nécesaire

Dès notre débarquement nous avons pris une navette qui nous a emmené jusqu’à Conca (Georges avait bien fait les choses)
Départ de Conca à 9h15 sur les chapeaux de roue... Je sentis bien que malgré leur extrême dévouement j‘aurai des difficultés avec le reste de l‘équipée. Il est vrai que Francis , Georges et Lionel des anciens pompiers professionnels tous fraîchement retraités et hyper entraînés naviguaient avec plus d’aisance au milieu de ces chemins parsemés d’éboulis et de roches diverses. Francis était accompagné de son fils Arnaud plein de fougue ....Le père et le fils se tiraient la bourre . Lionel était accompagné de sa fille Cécile également vaillante; les suivre eut été pour moi trop difficile voire dangereux. C’est la raison pour laquelle je leur demandais de ne pas m’attendre.... Je ferai le GR à mon rythme.
Nous avons franchis la première pente soit 250 m de dénivelé en 27 mn
Nous primes la direction de Paleri. Dur, dur....Puis nous avons pris des éboulis des montées des descentes ...
Je commençais déjà à assurer le train à l’arrière et pour ajouter un peu plus de piment ‘ai perdu les balises j’ai bien perdu 3/4 d’heures et des forces dans la bataille car j’étais redescendu et je repartais direction sud.
Enfin je reprenais mon chemin.. et les collègues veillaient sur moi.. Francis vint à ma rencontre Il m’aida sur 800 m en me prenant le sac... Il marchait plus vite que moi avec mon sac de 22 kg que moi sans sac.... Ce sera la seule fois que je me ferai ainsi aider.
A midi nous avons fait notre premier arrêt casse croûte près d’une source.. 3/4 d’heure environ.... J’avais vraiment besoin de souffler mais je n’avais pas faim.
J’ai bu abondamment.
Nous sommes repartis direction Paleri, un refuge qui était fermé pour cause de désinfection.
Nous avons décidé donc de nous arrêter à Bavella.
Après Paleri, le chemin ascendant était vraiment pentu.. Je n’en voyais plus la fin.
La montée dura plus d’une heure avant d’attaquer la descente
En fait à l’approche de Bavella, je quittais le GR et m’égarai quelque peu (Deux fois dans la journée cela commence à faire beaucoup) je quittai le GR et errai pendant plus d’une heure et demie avant de trouver le refuge.
Finalement je retrouvais le GR et le refuge... Il était tout de même 19h45 soit 12h15 de marche arrêts inclus.
J’ai fait cuire mon premier repas lyophilisé plus les quelques provisions de bouche que j’avais prévues pour le voyage.
Je me sui endormi vers 22h30 ....il parait que j’aai assez bien dormi, mes ronflements puissants pouvant l’attester.
A suivre

Le Pèlerin

 

 

 
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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 00:15

   Randonneurs occasionnels qu’en pensez-vous?

Serge Girard vient de parcourir les 19 300 km reliant Paris à Tokyo en 262 jours. Un coup de maître mais pas un coup d’essai car ce cinquantenaire est déjà détenteur de quatre records du monde de course à pied sans aucun jour de repos. Et c'est ainsi que Serge Girard a traversé, à la petite foulée, les cinq continents… 

Il est arrivé mardi 5 septembre à Tokyo à la petite foulée… Il était parti de la Maison de la Radio, à Paris, le 18 décembre dernier. Deux cent soixante-deux jours plus tard, l'exploit est énorme et pourrait résonner comme un grand cri de refus de vieillir. Et pourtant, Serge Girard n'en est pas à son coup d'essai. Dès 1997, le Havrais parcourt les 4 597 kilomètres entre Los Angeles et New York en cinquante-trois jours. Deux ans plus tard, il s'attaque à l'Australie avec un périple de 3 755 kilomètres entre Perth et Sydney en quarante-six jours. Le plus gros reste à venir, en 2001, il traverse la Cordillère des Andes entre Lima et Rio de Janeiro, soit 5 235 kilomètres en soixante-treize jours. En 2003, il arrive au Caire après cent vingt-trois jours et 8 295 kilomètres au départ de Dakar. Record mondial de la course à chaque fois !
C'est pour boucler la boucle que Serge Girard s'est attaqué à la traversée Euro-asiatique. Il établit là encore un record du monde… Ce qui fait de lui un quintuple recordman du monde de cinquante-deux ans.
Il est, au demeurant, le seul homme à avoir traversé, à la course et sans jour de repos, les cinq continents. Lors de sa dernière course, ce joggeur de l'impossible aura traversé la France, l'Allemagne, l'Autriche, l'Italie, la Croatie, la Bosnie, l'Albanie, la Grèce, la Turquie, l'Iran, le Turkménistan, l'Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine et enfin la Japon… Soit la route de la soie.
Et pourtant, cet homme n'est pas un athlète retraité qui s'ennuie de la compétition ! Venu à la course à trente ans, ce conseiller financier aux AGF s'est progressivement mis à courir. 20 km, marathons, 24 heures, 48 heures, 6 jours et transcontinentales depuis près de dix ans. 

Un défi fou ! 

Comme tout performeur de haut niveau, le travail de Serge Girard est strictement encadré. Ainsi, durant son périple, il a été accompagné d'un kinésithérapeute pour la récupération, d’un logisticien, d’un cadreur, pour faire un film, et d’un informaticien pour se tenir au courant de la météo, par exemple. À partir de la Turquie, Serge Girard a également eu recours aux conseils de guides pour éviter de se perdre.
On repense forcément au film "Forrest Gump" et à Tom Hanks courant sans raisons apparentes à travers les États-Unis pendant deux ans !
Y-t-il un message à faire passer derrière ces exploits ("de l’absurde", diront certains) ? Apparemment pas. En 1993, lorsque qu'il réalise fait sa première traversée des États-Unis, Serge Girard s'était posé un défi hors du commun et incommensurable : établir ou battre les meilleures performances mondiales de la traversée de tous les continents.
Courir près de quarante mille kilomètres et être le meilleur. C’est désormais chose faite.

Paris/Tokyo en chiffres
50 paires de chaussures
100 paires de chaussettes
50 shorts
50 T-shirts
10 paires de semelles sur mesure
60 tubes de crème solaire haute protection
20 litres d’huile de massage

8 000 calories/jour
10 litres d’eau minérale/jour soit au total 3 000 litres
1 500 barres de céréales
160 kg de pâtes ou riz
50 kg de fruits 

Moyenne des pulsations cardiaques pendant la course : 130
Perte de poids estimée durant la course : 10 kg
Parcourt en moyenne plus de 10 000 km par an.
20 millions de foulées
460 marathons
275 jours de course
70 km par jour soit près de 2 marathons chaque jour
1 col à plus de 6000 m d’altitude
9 cols à plus de 5000 m d’altitude
140 cols compris entre 2000 et 5000 m d’altitude
150 000 m de dénivelé positif sur la totalité de la course
2 000 km de course à pieds en un mois à 5 000 m d’altitude en moyenne
Pas un seul jour de repos. 

Le site de Serge Girard 

 

Source Planetmag

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

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11 mars 2008 2 11 /03 /mars /2008 00:00

Une balade à travers la forêt qui offre un beau point de vue sur le village médiéval et sa cathédrale, et passe par le gouffre de Lespugne.

Rando. Autour de Saint-Bertrand

randostbertrand.jpg

Cette balade familiale d'une dizaine de kilomètres (compter 3 heures) passe par Saint-Martin et la forêt. Elle permet de découvrir le gouffre de Lespugne et offre surtout un point de vue unique sur Saint-Bertrand de Comminges.

Cette petite agglomération rurale s'est d'abord dénommée Lugdunum Convenarum (Lyon des Convènes). Il s'agit en effet d'une ancienne capitale romaine qui compta plusieurs dizaines de milliers d'habitants. Des fouilles ont révélé qu'elle possédait des thermes, une basilique chrétienne, un temple consacré à Auguste, un forum. Elle était particulièrement bien située à la sortie de la vallée pyrénéenne de la Garonne (les vallées de Luchon et d'Aran se rejoignent un peu plus au Sud).

Mais si son histoire a commencé bien avant la conquête de la Gaule par Jules César, les invasions vandales ont eu raison du village originel, détruit au moins en partie aux Ve et VIe siècle. La vie recommença sous la houlette de saint Bertrand, évêque de Comminges (1083-1123), qui fit construire la cathédrale et le cloître (il entreprit également la construction de la Basilique Saint Just de Valcabrère). Un autre Bertrand, qui allait devenir pape sous le nom de Clément V, en 1305, donna à la cathédrale son visage actuel. Il y transporta les reliques de Saint Bertrand et fit ainsi de son tombeau le centre d'un grand pèlerinage.

Du haut de son rocher, Sainte-Marie domine l'entrée de la haute vallée de la Garonne. Elle abrite un trésor et des orgues du XVIe siècle.

La Révolution française avec la suppression du diocèse du Comminges en 1793 fit que la ville amorça alors son déclin, devenant simple chef-lieu de canton dans le district de Saint-Gaudens, puis commune en 1887. Mais la ville haute actuelle révèle encore aujourd'hui la splendeur passée dans ses nombreux vestiges : remparts, portes, maisons anciennes, rues étroites.

Rando pratique

Situation : Saint-Bertrand-de-Comminges, à 16 km au Sud-Ouest de Saint-Gaudens par les D 8, N 125 et D 26.

Parking: à l'entrée du bourg.

Balisage: 1 à 2 jaune, bleu jaune; 2 à 4, blanc , rouge; 4 à 8, jaune, bleu, jaune; 8 à 2, blanc, rouge; 2 à 1 jaune, bleu, rouge.

Difficulté particulière: Terrain parfois boueux et gué entre 2 et 3.

1. Du parking, partir à droite et prendre à gauche l'étroite route pour s'engager sur un chemin caillouteux qui monte au lieu-dit Le Mont.

2. Tourner à droite sur un large chemin. Il conduit au-dessus de Saint-Martin.

3. À hauteur du village, obliquer à gauche sur un sentier en lisière du bois de Ruère et atteindre une fourche.

4. Bifurquer sur le chemin à gauche, pour rester en lisière. Franchir le ruisseau. S'orienter vers l'Ouest en longeant la bordure des champs. Couper la piste forestière et descendre à la route. La suivre à gauche. Elle franchit un pont de fer et se poursuit sur 300 m. Continuer le chemin sur 30 m.

5. S'engager à droite sur un sentier qui rejoint la forêt. Au premier croisement, emprunter le chemin d'exploitation à droite sur 400 m.

6. Tourner à gauche sur le large chemin qui entre dans la forêt. Il oblique plein Nord en restant à niveau et gagne une intersection. Le chemin, à gauche, conduit au gouffre de Lespugue.

7. Continuer sur le chemin. Au croisement, suivre le sentier à droite qui passe un collet et descend dans la forêt. Il vire à droite en lisière. Prendre la route à gauche.

8. Franchir le pont à droite et monter à Labat. Traverser le hameau, poursuivre sur la route. Au carrefour, emprunter la route à droite sur 100 m. S'engager sur le chemin à gauche.

9. Partir à gauche et, par l'itinéraire utilisé à l'aller, retrouver le parking.

Carte IGN 1847 07 Extrait du topguide Midi-pyrénées à pied par la FFR.

Source la Dépêche du midi

Le Pèlerin

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9 mars 2008 7 09 /03 /mars /2008 00:22

Les Grands Treks de la Planète

 

II n'est plus beaucoup d'endroits sur la terre qui n'offrent l'opportunité de grandes marches. Et maintenant que l'époque des explorateurs se trouve, de ce point de vue, quasiment révolue, on peut* parler des « grandes classiques du trekking ». Toutes les destinations présentées ici sont proposées au catalogue de voyagistes spécialisés. 
 
 

 

Asie
 

        Népal

II fut un temps où on ne prononçait jamais le mot « trekking » sans que suive le mot « Népal ». Les grandes classiques ont pour nom tour de l'Annapurna et camp de base de l'Everest, mais de nouvelles vallées s'ouvrent chaque année au trekking.

        Pakistan

Camp de base du K2, glaciers du Karako-rum (dont le fameux Baltoro).

•Inde

Et plus précisément le Ladakh : la grande traversée du Zanskar est la plus célèbre, mais il y a aussi la traversée du Sham, la vallée de Markha, le désert de Rupshu...

        Chine

Puisque le Tibet en fait partie... Camp de base de la face nord de l'Everest, chaîne du Kula Kangri. Il y a aussi le deuxième désert de la planète : le Taklamatan, sans doute le plus extrême de tous les treks.

 

Afrique

        Sahara

Le Sahara algérien est actuellement inac­cessible pour cause d'insécurité. Dommage pour ces dizaines d'itinéraires exploratoires, du Hoggar au Ténéré, à travers les Grands Ergs, de l'Algérie au Niger et à la Libye (autres pays d'accès malaisé !).

        Maroc

Dans l'Atlas, montagne et verdure domi­nent le grand désert. Une ascension facile : le djebel Toubkal (4 165 m), point culminant de l'Afrique du Nord.


        Tunisie

Solution de remplacement (mais magni­fique) à l'Algérie, le grand désert de sable commence dans le sud du pays, et de nom­breuses méharées faciles y sont proposées, ainsi que des « treks chameliers » (les cha­meaux portent les sacs), autorisant des randonnées d'une semaine peu coûteuses et fort exotiques.

        Kenya-Tanzanie

La photo la plus courante du Kilimandjaro, toit mythique de l'Afrique (5 892 m), repré­sente ce dernier vu du Kenya. Mais l'ascen­sion se fait par la Tanzanie, où il se trouve ! Deux itinéraires au choix : la voie normale par les refuges, qui arrive directement au som­met, et la voie Machame, avec nuits en bivouac et arrivée par le fond du cratère.

        Zaïre

Avec les mystérieuses montagnes de la Lune où vivent les grands gorilles, et le parc de Ruwenzori.

        La Réunion

Le volcan géant, perdu en plein océan, aux flancs couverts d'une végétation exubérante, est devenu une très grande classique du trek­king avec un itinéraire qui traverse l'île de cirques en pitons. 

Moyen-Orient
 
        Israël-Égypte-Jordanie

Marcher sur les lieux de la Bible, c'est réunir le physique et le spirituel : les hauts lieux en sont le Sinaï et son monastère de Sainte-Catherine, ainsi que le désert de Judée. Mais il y a aussi Pétra, Wadi-Moussa, et les sites supposés de Sodome et Gomorrhe.

        Yémen

Le seul nom fait rêver, ainsi que la réputa­tion guerrière de ses montagnards ; mais puisque nous évoquions la Bible... Saviez-vous que les rois mages vinrent du Yémen ? Ce pays ouvert depuis peu au tourisme garantit toute la force de l'authenticité.

 
Régions Nordiques
 

        Alaska

Là se dresse le mont McKinley (6 200 m) dont le piémont offre des possibilités d'ex­ploration dans un univers à la Jack London.

        Canada

On pense surtout aux montagnes Rocheuses et aux forêts immenses mais d'accès difficile (d'où l'usage du canoë).

        Spitzberg

Montagnes et glaciers dans un domaine effectivement boréal mais fréquentable aussi par les marcheurs (au Groenland, mieux vaut utiliser le traîneau à chiens ou le kayak).

        Islande

Terre de mystère et de démesure, on en connaît les geysers et les solfatares, mais on sait moins qu'en une seule journée de marche on peut y trouver volcans et lacs chauds, couloirs de neige alpins, sables sahariens et mousses irlandaises.

        Laponie

La Laponie recouvre une partie de la Fin­lande, de la Suède, de la Norvège et de l'ex-URSS. Patrie du soleil de minuit, des rennes mais aussi des moustiques, on y passe de la grande forêt (taïga) aux steppes (toundra).
 

Amérique du Sud et Centrale
 

        Antilles

La traversée de la Guadeloupe n'est pas un itinéraire difficile, mais permet de se faire une petite idée de ce à quoi ressemble P« enfer vert », avant de retrouver les plages.

        Pérou

Si la lecture de Tintin (Le Temple du Soleil) vous a fait rêver, le Pérou vous offre de magnifiques marches d'altitude, comme le Machu Picchu, la vallée sacrée des Incas, la cordillère de Huayhuash ou de Vilcanota.

        Equateur

De la forêt vierge à l'ascension des vol­cans Cotopaxi ou Chimborazo.
        Bolivie

Entre le lac Titicaca et le bassin de l'Ama­zonie, à travers les déserts des Andes, l'am­biance véritablement particulière des hauts plateaux.

        Chili-Argentine

La Patagonie elle-même est accessible, avec les massifs du Fitz Roy et de Paine.

        Mexique

A la découverte des civilisations maya et de la Sierra Madré (où vivent les Tarahuma-ras, ces Indiens coureurs-nés). Il y a aussi l'ascension du Popocatepetl.

 

Europe

 

        Autriche

 

Le Tyrol, plus folklorique encore que ses cartes postales, et les Dolomites sont les hauts lieux de la marche en montagne.

        Crète

L'île grecque située à la latitude de la Tuni­sie offre encore un littoral et des montagnes seulement accessibles aux marcheurs, même débutants.

        Espagne

Sierra de Guara et canyons pour les spor­tifs, monts Cantabriques et Aragon pour ceux qui s'attachent à la vieille Espagne. Sans oublier, bien sûr, la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.

        France

Si un pays au monde permet des treks variés, c'est bien le nôtre. Impossible de les détailler ici, mais citons les hautes routes alpines ou pyrénéennes, les itinéraires de Saint-Jacques-de-Compostelle, le sentier du Littoral qui permet de longer la mer de la Belgique à l'Espagne, les balades gastro­nomiques...

        Italie

Elle permet des treks d'ambiances très dif­férentes : montagneux dans les Alpes du Grand Paradis ou à travers les Dolomites ; campagnards et plus culturels en Toscane.

 

         Pologne

Dans les forêts de Bialowieza (dans le nord du pays) vivent encore des bisons, tandis que les Bieszczady (aux confins de la Slovaquie et de l'Ukraine) sont de vraies rfiontagnes du bout du monde.

        Slovaquie

A l'extrémité de l'arc alpin, le massif des Hautes Tatras compte les forêts et les mon­tagnes restées les plus sauvages de toute l'Europe.


        Suisse

Les Alpes conservent un charme suranné : dans le Valais et les Grisons, on a l'impres­sion de marcher dans une carte postale !

 

        Turquie

Passé Istanbul, c'est déjà le Moyen-Orient. On marche le long de la côte entre Antalya et Izmir, on visite les demeures troglodytes de Cappadoce, on fait l'ascension des monts Taurus et Kackar, sans oublier l'Ararat et l'Arche de Noé.

 

Source Randonnées et Trekking editions Solar

 

Le Pèlerin

 

 

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31 août 2007 5 31 /08 /août /2007 23:57

Randonnées - En finir avec les ampoules

Les randonneurs estivaux sont les proies de prédilection de ces petites brûlures douloureuses mais sans gravité. Revue de petits gestes simples qui permettent d'éviter les ampoules marche ou de shopping gâchée par les ampoules ?

Dues à des frottements répétés qui provoquent un décollement de la partie superficielle de la peau (épiderme), les ampoules, ou phlyctènes, sont le cauchemar des marcheurs, aguerris ou débutants. Si les pieds sont leur zone de prédilection, elles peuvent apparaître n'importe où du moment qu'il y a frottement : sur les mains pour les tennismen et rameurs, ou même sur les fesses pour les cyclistes.

Pour éviter les ampoules, le plus logique reste encore de limiter les frottements, sachant également que les conditions atmosphériques jouent un rôle prépondérant dans l'apparition des ampoules. Plus il fait chaud, plus l'on transpire et donc plus ça frotte : c'est le cercle vicieux des ampoules. Parfois, l'explication est beaucoup simple : des mauvaises ou des nouvelles.
10 conseils aux marcheurs occasionnels pour prévenir leur apparition :

A l'achat, choisissez vos chaussures en fin de journée : le pied est alors bien gonflé comme c'est le cas après une journée de marche.
Prendre les chaussures avec une taille ou deux de plus pour anticiper la prise de volume pédestre après une journée de marche sous le cagnard.
Le choix des chaussures est primordial pour éviter les ampoules. Faites vous conseiller par un vendeur qui saura ce dont vous avez besoin selon votre profil et les activités prévues.
Veiller à "faire" les chaussures avant de les utiliser. Les étrenner le premier jour de marche est le meilleur moyen de se faire des ampoules.
Porter des chaussettes adaptées, bien épaisses. Avant, on conseillait systématiquement des chaussettes en coton ou en laine, mais aujourd'hui, il est possible de trouver des chaussettes "spécial rando". Généralement renforcées au niveau des zones vulnérables, elles sont faites dans des matières synthétiques étudiées pour diminuer la transpiration et les frottements. Dans tous les cas, éviter les petites socquettes d'été, même s'il fait trop chaud.
Protéger les zones exposées (orteils, talons, etc.) par un sparadrap hypoallergique ou un pansement "seconde peau". Egalement appelé pansement colloïdal, il protège tout en laissant respirer la peau. Ils se présentent dans différentes tailles ou formes qui s'adaptent quelle que soit la zone à protéger : talon, orteil, etc.
Mettre du talc dans les chaussettes ou sur les mains pour éviter l'humidité et les frottements.
Le spray anti-transpirant
dans les chaussures peut également s'avérer bien pratique pour éviter la macération et la prolifération des bactéries.
Masser les zones vulnérables avec une pommade grasse avant l'effort.
10» Couper les ongles de pieds à ras, en évitant de laisser des saillies.

Une fois ouvertes, les ampoules peuvent s'infecter et là c'est le drame : les germes en profitent pour s'y incruster.
L'alcool est d'ailleurs à éviter pour désinfecter. Préférer l'éosine ou la bétadine.

Coureurs professionnels, randonneurs et rameurs

Ces personnes doivent avoir une hygiène pédestre, ou manuelle pour les rameurs, irréprochable. Cela passe notamment par :

» Ne pas prendre de bains de pieds prolongés et chaud qui fragilisent la peau.
»
Se nettoyer régulièrement et à fond les zones vulnérables : entre les orteils, les talons, etc.
» Appliquer de la crème anti-frottements en massages réguliers sur tout le pied, en insistant sur les zones vulnérables.

»
Tanner la peau : ça n'est pas pour faire un joli sac à partir de votre peau, simplement l'endurcir, la rendre plus épaisse pour diminuer le risque d'apparition d'ampoules. Le pédicure ou podologue prescrira une solution tannique, le plus souvent à base de jus de citron et de camphre, à badigeonner sur les pieds, que l'on hydratera avec attention après. Ces opérations, tannage-hydratation, doivent être faites tous les jours pendant environ un mois pour être vraiment efficaces.

Tanner la peau

Pour les personnes sujettes aux ampoules à répétition, un tannage de la peau des pieds peut être préconisé. Une version maison du tannage peut être pratiquée en appliquant chaque matin le jus d'un demi-citron sur les pieds. Veiller à bien hydrater après cela car cette opération a tendance à assécher la peau. Attention, le tannage ne peut être effectué que sur une peau vierge de toute plaie.

Source l'Internaute Santé:

 

Le Pèlerin

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13 février 2007 2 13 /02 /février /2007 07:57

Multimédias - vers une OPA de Noos-Numericable sur Free?

 

 

 

C’est une telle panique actuellement chez  Noos-Numericable, que je crains le pire pour les Freenautes. Je vous livre l’article paru ce jour dans le «Journal du Net»

 

Le fonds d'investissement Cinven, propriétaire du câblo-opérateur s'apprêterait à lancer une OPA amicale sur Free le valorisant 5 milliards d'euros. Reste à savoir si le fondateur du FAI, toujours majoritaire, sera sensible à l'offre.  

 

 

 

L'information est parue dans la Lettre de l'Expansion. Le fonds d'investissement britannique Cinven serait prêt à lancer une OPA amicale sur Iliad valorisant ainsi la maison mère de Free 5 milliards d'euros. Selon l'hebdomadaire, le fonds déjà actionnaire majoritaire de Noos-Numericable aurait ainsi mandaté BNP Paribas, Rothschild et Cie et Morgan Stanley sur ce projet. L'opération pourrait intervenir fin février sur une base de 92,50 euros par action, soit 15 euros de mieux que la valeur du titre avant la publication de cette rumeur. Pour le moment, Free se refuse à commenter l'information.

En consolidant le marché des câblo-opérateurs en France par les achats successifs de NC Numéricable, France Telecom Câble, Altice et UPC-Noos, Cinven, par l'intermédiaire de Noos-Numericable, compte aujourd'hui 4,5 millions d'abonnés en France, dont le plupart exclusivement à la télévision uniquement. En effet, seuls 700.000 abonnés paient un abonnement Internet et 300.000 ont opté pour la téléphonie fixe.

 

Pour racheter Free, Cinven devra néanmoins convaincre Xavier Niel, qui possède près des deux tiers du capital d'Iliad (et des droits de vote doubles) de participer à l'opération. Si ce dernier s'avérait ouvert à l'idée de perdre le contrôle du numéro deux de l'Internet en France, il n'est pas dit que les arguments de Cinven suffisent à le convaincre. Ainsi, un analyste cité par Reuters, juge l'offre valorisant un abonné à près de 2.000 euros insuffisante et considère le fondateur d'Iliad susceptible de vendre à partir d'une somme supérieure d'au moins 50 %.

Surtout, Xavier Niel ne devrait céder ses titres que dans le cadre d'un projet industriel faisant sens pour le développement de Free. Un rapprochement avec Noos-Numéricable pourrait ainsi permette à Free d'accélérer son développement dans le très haut débit en profitant du réseau du câblo-opérateur desservant déjà 40 % de la population. Qui plus est ce rapprochement pourrait permettre aux deux groupes de se déployer dans l'UMTS, puisque Iliad comme Noos-Numericable sont candidats à la quatrième et dernière licence restant à attribuer.

 

Car si Free dit dégager suffisamment de ressources pour financer son plan de déploiement de fibre optique, le FAI doit trouver des fonds pour financer la 3G, payer une licence à 619 millions d'euros et un réseau mobile nouvelle génération. C'est-à-dire faire face à une dépense estimée par les opérateurs à 2 milliards d'euros. Et même si Iliad se dit en mesure d'abaisser ce montant, il lui faudra tout de même s'endetter ou faire appel à des partenaires financiers, du profil de Cinven, pour y faire face.

 

 

 

Source Journal du Net

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

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12 janvier 2007 5 12 /01 /janvier /2007 00:00

25 août 2005

Retour sur le Continent  

Le 25 août, le coeur un peu gros nous prenions un navire à grande vitesse (NGV) aux environs de 11h00. Nous avons embarqué vers 10h30 et à 11h00 notre navire quittais le quai.

 

 

Navette à grande Vitesse       Au revoir Calvi

  

 

 

 

Encore le Port et la Citadelle vus de la mer...

 

Et le train qui nous mène à Toulouse

 

 

 

 

 Nous jetâmes un dernier coup d'oeil au port, à la baie de Calvi, à la citadelle que nous avons aperçu pendant longtemps , aux montagnes environnantes.. et puis le navire pris de la vitesse.. Le temps était magnifique et moins de 3h00 plus tard nous étions à Nice.

Deux heures plus tard, nous nous sommes affalés dans le TGV qui nous menait à Toulouse et ce n'est que tard dans la soirée que nous arrivâmes à Toulouse.

Nous nous sommes séparés en nous promettant de nous revoir...

Et voilà une magnifique page était tournée.. D'autres aventures nous étaient réservées.

Je conseille à tous les Randonneurs, en bonne forme, d'effectuer ce séjour... Ils en conserveronT des souvenirs inoubliables

Le Pèlerin

 

 

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