Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 00:10

L’Algérie premier pays du monde arabe en termes de piratage informatique

undefined 

L’Algérie premier pays du monde arabe en termes de piratage informatique

Son taux est estimé à 84%

L’organisation Business Software Alliance a révélé que le taux de piratage des logiciels en Algérie est estimé à 84%. Cela fait de l’Algérie le premier pays dans le monde arabe à utiliser des logiciels piratés.

La Ligue arabe se réunira au mois d’octobre prochain pour étudier ce phénomène. Elle a décidé d’accélérer le rythme de son travail contre ce que ses responsables ont qualifié de fléau du vol de la propriété intellectuelle, le piratage et la contrefaçon, qui coûtent au monde arabe une perte estimée à plus de 50 milliards de dollars par an. La Ligue arabe tiendra du 19 au 21 octobre 2008, le premier forum arabe pour la protection du consommateur et des marques commerciales.

Selon les statistiques de la Ligue arabe, l’Algérie occupe la première place dans le monde arabe, pour ce qui est de moyenne de piratage de logiciels, avec un taux de 84%. La Tunisie vient en deuxième position avec 79%, puis le Liban, 73%. Le taux le plus faible de piratage de logiciels a été enregistré aux Emirats arabes unis, avec un taux de 35%.

L’Algérie enregistre depuis quelques années une augmentation du nombre de logiciels piratés via Internet. On doit noter que quelques compagnies ont déjà soulevé ce problème et que l’entreprise américaine Microsoft a déposé plainte contre l’utilisation des logiciels de piratage.


Source El Khabar

 

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 00:08

Analyse médicale -

 

Une dame répond au téléphone :

Oui?
- Mme Dupont, s.v.p.
- C'est moi.
- Ici le docteur Dupuis du laboratoire médical. Deux échantillons au nom de M. Dupont nous sont arrivés. Mais nous ne savons pas lequel est de votre mari. C'est franchement mauvais ou terrible.
- Que voulez-vous dire?
- Eh bien, le premier Dupont a testé positif à l'Alzheimer et l'autre au sida. Et nous ne savons pas lequel est votre mari.
- C'est terrible! Ne pouvons-nous pas refaire les tests?
- Normalement oui, mais l'assurance -maladie ne paie pas 2 fois pour les mêmes tests.
- Alors, je fais quoi maintenant?
- Les experts de l'assurance-maladie vous suggèrent de déposer votre mari au centre-ville. S'il retrouve son chemin vers la maison, ne couchez pas avec!

 

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 00:06

Constructions illicites
Les fraudeurs rattrapés par la loi

«Le malheur des uns fait le bonheur des autres », dit-on. Les années 1990 marquées par le terrorisme et l’insécurité ont été mises à profit par des auto-constructeurs qui se sont crus encouragés par l’état de déliquescence et de paralysie des institutions locales et des organismes de contrôle.
Ils ont érigé des constructions en violation de la loi de décembre 1990 qui fixe les règles de construction et en violation de la réglementation qui en découle. Mais on dit aussi que «force doit revenir à la loi». L’Assemblée populaire nationale (APN) votera prochainement une loi d’exception destinée à rattraper toute cette faune de fraudeurs et mettre un terme à l’injustice et l’impunité flagrantes dont ont bénéficié les fraudeurs et dont on souffert beaucoup de citoyens voisins de ces constructions illicites. L’Algérie a vécu une sorte de catastrophe urbanistique que tout un chacun peut constater et évaluer à l’?il nu.
Pour remédier à cette situation, le conseil des ministres a approuvé un avant-projet de loi d’une validité de cinq ans, relative aux règles de mise en conformité des constructions en vue de leur achèvement. M. Noureddine Moussa, ministre de l’Habitat, a expliqué le sens de ce texte dans un entretien accordé à la chaîne 3 de la radio nationale dont il était l’invité de la rédaction. Quand elle sera promulguée, cette loi obligera les constructeurs à achever  leur construction. Elle devrait permettre de sortir des situations de contentieux qui opposent les fraudeurs à l’Etat ou à des particuliers. Il faut noter que l’achèvement des constructions est soumise à l’obtention d’un permis qui comporte une série de mesures techniques, notamment la délivrance d’un certificat de viabilité. Un certificat de conformité, institué par la loi, fixera les conditions d’occupation et d’exploitation, notamment des commerces. Le certificat de conformité devient une pièce maîtresse, souligne le ministre de l’Habitat. Pas d’accès aux utilités publiques sans ce certificat, précise-t-il.
M. Moussa rappelle qu’aucune loi n’a d’effet rétroactif et que cette loi d’exception ne régularisera que ce qui est régularisable. Il n’est donc pas question qu’elle encourage l’anarchie et l’impunité, les fraudeurs qui voudraient se lancer dans une construction illicite durant les cinq prochaines années pour profiter de la régularisation par cette loi sont avertis, elle ne les concerne pas. Ils ne devraient pas crier victoire comme s’ils avaient gagné la partie, puisque la loi les exclut de son champ d’application comme elle exclut les constructeurs illégaux qui ont porté atteinte à un site à préserver ou qui ont construit en violation des règles urbanistiques ou sur un passage de servitudes ou dans un espace soumis au risques naturels et technologiques ou des domaines spécifiques, comme le ferroviaire et le maritime et, sans doute, même ceux qui ont porté atteinte aux droits de leurs voisins. La loi prévoit les instruments de son application.



Source La Nouvelle république

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 00:38

Méfiez vous des femmes patron

 

Méfiez-vous si vous tentez de séduire votre patronne au travail. La marche est haute et les risques élevés.

Selon une enquête internationale, seulement neuf dixième de un pour cent des hommes font la cour à leur patronne dans le but précis de coucher avec.

Un peu moins du tiers y arrivent et, pour quelques minutes ou quel! ques heures de plaisir, dans 80% des cas, ils seront congédiés.

 

De la part d’une Correspondante

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 00:00

D’où vient la Laïcité à la française

 

index.jpg

Dix mois après son élection, Nicolas Sarkozy a fait l'éloge des religions qui seraient, selon lui, le socle de toute civilisation. Prolongement naturel de la sentence "France fille aînée de l'Eglise" ou remise en cause de la loi de 1905 de séparation de l'Eglise et de l'Etat ? L'Internaute fait le point sur la "laïcité à la française".

La France "fille aînée de l'Eglise"

 la fin des guerres de religion, la France devient un pays majoritairement catholique. Comment s'organise le rapport entre l'Etat, l'Eglise et la société ?

L’Etat catholique

Dans la société d'Ancien Régime, la religion est le fondement du système social. La monarchie française étant dite de "droit divin", le roi tient son pouvoir de Dieu, ce qui lui confère un rôle de pasteur vis-à-vis de ses sujets. A ce titre, le roi de France peut, depuis le Concordat de Bologne signé en 1516, choisir lui-même les prélats supérieurs. La religion catholique étant celle de l'Etat et de la Couronne, tous les rois doivent jurer, le jour de leur sacre, de défendre l'Eglise catholique et s'engagent aussi à lutter contre les hérésies.

La date du 18 octobre 1685 marque une rupture : 87 ans après la fin des guerres de religion, le roi Louis XIV signe, avec le chancelier Michel de Tellier, l'édit de Fontainebleau révoquant l'édit de Nantes en vigueur depuis 1598. Afin de redonner au royaume une unité religieuse, le traité interdit le protestantisme en France, provoquant l'exil de plusieurs milliers de protestants et surtout de violents troubles de Camisards dans les Cévennes. Légalement, les Français non catholiques n'existent plus, et sont alors considérés comme des "asociaux". Il faut attendre 1787 pour qu'un nouvel édit de tolérance rende leurs droits aux protestants.

 Les Français sont-ils "soumis" à la religion ?

Le catholicisme a profondément imprégné la société d'Ancien Régime. Depuis plusieurs années, les historiens contestent l'opinion selon laquelle le XVIIIe siècle, celui des Lumières, aurait été celui d'une déchristianisation conséquente du pays. Or, jusqu'à la Révolution, et même tout au long du XIXe, l'Eglise accompagne l'existence des Français de leur naissance (baptême) jusqu'à leur mort (extrême onction). Le prêtre est ainsi l'un des rouages essentiels de la vie sociale : il distribue non seulement les sacrements, mais fait aussi office de conseil dans les affaires privées. Sur le terrain, au niveau des paroisses, l'Eglise est très présente. Elle tient les registres de baptême (l'Etat Civil), instruit les enfants et fournit l'assistance publique aux malades dans les hôpitaux. Pour la société française d'avant 1789, les fêtes religieuses, notamment celles des saint-patrons locaux, représentent aussi un moment fort de la vie communale et collective.

Vers la séparation

La religion "canalisée" par la Révolution

L'un des principaux idéaux des révolutionnaires consiste à déchristianiser la France. Dès août 1789, l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme reconnaît à ce titre la liberté des cultes à toutes les religions. Quelques mois plus tard, l'Assemblée Constituante décide, sur proposition de Talleyrand, de nationaliser les biens du clergé : une première pierre avant l'adoption, en juillet 1790, de la Constitution Civile du clergé. Le Vatican refuse et une période de lutte intense s'ouvre alors entre la Convention et le Saint-Siège. Autre pomme de discorde : la volonté des révolutionnaires de réformer l'organisation très hiérarchisée de l'Eglise et de l'organiser selon une structure plus démocratique (élection des évêques et des curés notamment). 45 % du personnel ecclésiastique, les prêtres "réfractaires" (par opposition aux prêtres "assermentés"), va refuser cette nouvelle donne et subir des violences pendant presque 10 ans. Cette nationalisation de l'Eglise de France va ensuite de pair avec une déchristianisation plus morale de l'Etat et de la société. A ce titre, la dissociation du mariage religieux et du mariage civil est l'une des réformes les plus symboliques de l'évolution des rapports entre les deux sphères du pouvoir politique et spirituel.

mariage-civil.jpg
Mariage civil sousla révolution
 

Le clergé, un service public ?           

L'arrivée au pouvoir de Napoléon stoppe la laïcisation brutale de l'Etat. En 1801, le Concordat signé avec le pape Pie VII retire au catholicisme le titre de religion d'Etat : elle est désormais celle de la "majorité des Français ". Toutefois, le volet le plus important de l'accord reste le nouveau statut donné aux ecclésiastiques, qui deviennent des fonctionnaires, payés par l'Etat. Napoléon s'accorde de plus le droit de nommer les évêques. Avec le Concordat les cultes sont organisés en service public : la confusion des pouvoirs dure tout au long du XIXe siècle.

 

La IIIe République : l'école devient laïque

En 1869, la rupture du Concordat, ou la Séparation de l'Eglise et de l'Etat, figure pour la première fois dans un programme politique, celui de Léon Gambetta. La IIIe République fondée en 1871 va ainsi voir un fort courant modernisateur se développer et les premières lois laïques voir le jour. Revenant sur la loi Falloux de 1850, les lois Jules Ferry de 1882 excluent les religieux de l'enseignement, avant de rendre l'enseignement obligatoire et… totalement laïque. En pratique, l'instruction religieuse est supprimée de tous les programmes scolaires, son apprentissage devant se faire hors des locaux de l'école et en dehors des heures de classe. Elle est également remplacée par des cours de morale civique et républicain

1905 : une explosion de laïcité ?

Une séparation nécessaire

La loi de séparation des Eglises et de l'Etat est le fruit de 25 ans "d'incubation laïque". La politique du Bloc des Gauches, qui forme un gouvernement en 1901, satisfait au fort courant anticlérical qui souffle depuis la fin des années 1880. La loi du 1er juillet 1901 sur les associations stipule par exemple que la création de nouvelles congrégations est autorisée par une loi mais peut être dissoute par un décret. En 1902, l'arrivée d'Emile Combes en tant que président du Conseil, élu pour mener une "politique énergique de laïcité", aboutit à la fermeture d'établissements scolaires dont l'enseignement est donné par des congrégations non déclarées. Le ton se durcit alors entre l'Etat et certains évêques français qui protestent contre cette mesure. Dans le même temps, la France rompt ses relations diplomatiques avec le Vatican. Cause de la rupture : la visite d'Emile Loubet, président de la République, au roi Victor-Emmanuel II d'Italie, que le Saint-Siège ne reconnaît pas. Les crispations deviennent prégnantes, la séparation inéluctable.

 

Des débats passionnés

C'est à Aristide Briand qu'est confié le soin d'aménager la loi. La difficulté est de trouver un compromis qui exclut du débat la gauche hyper-laïque et la droite ultra-conservatrice. Le projet de loi associe en fait, des deux côtés de l'échiquier politique, les partisans d'une laïcité modérée qui puisse garantir la liberté de conscience et qui ne soit pas considérée comme une agression contre la religion (Jaurès, Briand). De plus, la séparation de l'Eglise catholique et de l'Etat a pour le gouvernement une conséquence stratégique : mis définitivement en dehors des affaires de l'Eglise, il ne peut plus interférer, par exemple, dans le processus de nomination des clercs.


aristide-briand.jpg

 Aristide Briand

Une loi de compromis qui met le feu aux poudres

La loi du 9 décembre 1905 contient ainsi des dispositions très libérales : respect de la liberté de conscience, libre exercice de l'organisation interne des religions, mise à disposition gratuite des différents lieux de culte… En contrepartie, l'Eglise n'est plus financée par l'Etat, ce qui signifie que la religion devient un service d'ordre privé. Dans ce nouvel ordre des choses, l'Etat souhaite réaliser un inventaire des biens de l'Eglise, qui s'ouvre en 1906. Sur le terrain, certains catholiques le ressentent comme une profanation et organisent plusieurs manifestations de défiance à côté des églises. L'hostilité se transforme en crise quand, le 27 février et le 6 mars, des gendarmes chargés de défendre les fonctionnaires chargés d'ouvrir les tabernacles et des manifestants trouvent la mort, entraînant la chute du cabinet Rouvier.

L'exception alsacienne

L'Alsace, toujours sous Concordat

Lorsque la loi sur la Séparation des Eglises et de l'Etat est promulguée par le président de la République le 9 décembre 1905, l'Alsace et la Moselle appartiennent encore à l'Allemagne (depuis 1871). Quand elles deviennent françaises en 1918, elles conservent le statut concordataire, bien que le gouvernement Herriot tente de l'abolir en 1924. Les réactions sont si virulentes dans la région et les peurs d'attiser l'autonomisme si fortes que le successeur d'Herriot, Paul Painlevé, enterre le projet de réforme. Le régime concordataire sera supprimé une fois, en 1940, quand l'Alsace se trouve rattachée au Reich. Il sera rétabli en septembre 1944, alors même que la Constitution proclame de nouveau la laïcité de la République. Tout au long du XXe siècle, les volontés d'appliquer la loi de 1905 en Alsace et en Moselle se seront heurtées à l'attachement de la population locale au Concordat.

                Des prêtres payés par l'Etat

De ce fait, en 2008, la région Alsace-Moselle n'a toujours pas appliqué le principe de laïcité : les communes sont ainsi contraintes de subventionner la construction et l'entretien des lieux de culte. Près de 1500 agents de culte, qu'ils soient catholiques, protestants, ou israélites sont aujourd'hui rémunérés par l'Etat (à hauteur de 36 millions d'euros en 2003), même s'ils ne disposent pas du statut de fonctionnaire. A l'école primaire publique, ces agents sont autorisés à donner des cours de religion à l'école primaire publique, en théorie une à deux heures par semaine. Cette instruction n'est plus obligatoire depuis 2001, mais les parents doivent cependant préciser la religion de leurs enfants à leur entrée à l'école.

Quel pouvoir pour la religion en 2008 ?

L'Etat peut-il décider à la place de l'Eglise ?

Bien que la Séparation entre les Eglises et l'Etat soit vieille de plus d'un siècle, les ponts ne sont pas tout à fait coupés. L'Etat garde par exemple un rôle décisionnaire dans la constitution de l'épiscopat français. En 2008, le Saint-Siège nomme lui-même les évêques, mais doit en informer au préalable le gouvernement. Un avantage exclusif, puique la France est aujourd'hui le seul pays au monde à bénéficier de ce "droit d'objection". Par ailleurs, du fait du statut concordataire de l'Alsace, le président de la République peut encore nommer les évêques de Strasbourg et de Metz. Il ne signe cependant le décret de nomination qu'après accord du Vatican.

Quel dialogue entre les autorités religieuses et l'Etat ?

Dans le but de rendre plus transparents les rapports entre l'Eglise catholique et l'Etat français, une instance de consultation a été créée le 12 février 2002. Diverses commissions composées d'assistants ministériels et de personnalités ecclésiastiques ont été créées. La plupart des échanges concernent plus particulièrement l'Education Nationale et la Justice, mais des questions d'ordre moral sont aussi abordées. Depuis 2002, le clergé français a donc officiellement "voix au chapitre". Ainsi, si une partie de la loi sur la bioéthique autorisant la recherche sur embryon et les cellules embryonnaires a été durement critiqué par l'épiscopat français, un rapport ministériel d'août 2004 hostile à la non-dépénalisation de l'euthanasie a par contre été vivement approuvé par l'Eglise. A l'été 2004, Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence des évêques de France, déclarait ainsi que l'Eglise "ne pouvait que dire son accord" avec la proposition de loi formulée.

Nicolas Sarkozy, président " très chrétien" ?

Enfin, même si le centenaire de la loi de Séparation entre les Eglises et l'Etat a été fêté en 2005, cela n'a pas empêché le président de la République d'avoir été ordonné chanoine honoraire de Saint-Jean de Latran en décembre 2007. Cette tradition, qui remonte au roi Henri IV, permet au chef de l'Etat de prétendre à une stalle (un siège en bois qui se trouve dans le chœur d'une église) dans la basilique. Cette distinction n'est pourtant pas l'apanage de Nicolas Sarkozy, car avant lui, seuls deux autres présidents, Georges Pompidou et François Mitterrand ne s'étaient pas rendus à Rome pour recevoir le titre. Ce "cumul des fonctions" est aujourd'hui partagé par d'autres personnalités moins éminentes de l'Etat. Christine Boutin, ministre de la Ville, occupe depuis 1995 à titre personnel le poste de consulteur du Conseil pontifical pour la famille au Vatican, un organisme chargé d'orienter les familles catholiques dans le domaine de l'éducation, qu'il s'agisse de l'avortement, de l'éducation sexuelle ou de la préparation au mariage.

Source l’Internaute

 

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 00:24
Comment prendre sa douche comme un homme :


1. Retirez tous vos vêtements en vous asseyant sur le bord du lit. Mettez vos vêtements en tas.

2. Allez jusqu'à la salle de bain, tout nu. Si vous croisez votre femme ou votre petite-amie en chemin, n'oubliez pas d'agiter votre bassin de façon suggestive devant elle, pour lui montrer que vous êtes fier de votre engin.

3. Regardez votre superbe physique masculin dans le miroir et rentrez votre ventre pour voir si vous avez des abdos (réponse non). Admirez la taille de votre pénis, grattez vous les testicules et prenez une dernière bouffée d'odeurs mâles en vous humant les doigts.

4. Passez sous la douche.

5. Ne cherchez pas de gants de toilettes (vous n'en utilisez pas).

6. Lavez-vous le visage.

7. Lavez-vous les aisselles.

8. Pétez bruyamment et étonnez-vous des capacités de résonance formidables de la cabine de douche.

9. Lavez-vous les parties et la zone alentours.

10. Lavez-vous le derrière, en laissant bien entendu des poils de cul collés au savon.

11. Prenez un shampooing (n'importe lequel) et lavez-vous les cheveux.

12. Ouvrez le rideau de douche et regardez-vous dans le miroir avec toute cette mousse sur les cheveux. Refermez ensuite le rideau.

13. N'oubliez pas de faire votre pipi.

14. Rincez-vous.

15. Sortez de la douche. Ne remarquez pas toute l'eau qui s'est répandue sur le sol parce que vous aviez mal placé le rideau de douche.

16. Séchez-vous partiellement. Bien sûr vous aurez laissé le rideau de douche s'égoutter sur le sol et non pas dans la douche.

17. Regardez-vous dans le miroir. Bandez vos muscles, rentrez votre ventre, admirez la taille monstrueuse de votre pénis, etc.

18. Ne rincez pas le bac de douche.

19. Laissez le chauffage de la salle de bain et la lumière allumés.

20. Retournez près de votre pile de vêtements dans la chambre, simplement vêtu d'une serviette autour de la taille. Si vous croisez votre femme ou votre petite-amie, ouvrez votre serviette et exhibez votre copain le pénis avec un beau déhanchement du bassin couplé à un petit cri du genre : "Waow t'as vu la bête !?!"

21. Jetez la serviette humide sur le lit. Habillez-vous avec vos vêtements "sales" en deux minutes
 
 
Source Senior Planet
 
Le Pèlerin
 
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 00:22

L’avenir des relations Nord-Sud
Dialogue ou choc des civilisations?

Chaque culture, chaque civilisation a eu son génie propre, mais aucune ne peut se trouver sans dettes envers les autres.

Malgré toutes les déclarations de bonnes intentions et de projet d’Alliance des civilisations, la thèse du choc domine. La responsabilité interne est évidente. Les pays arabes sont responsables de leur situation. Les élites sont marginalisées, les peuples méprisés, le Liban n’arrive pas à élire un président, les Palestiniens s’entre-déchirent, le Soudan est livré à la guerre civile, la plupart des régimes arabes sont paralysés et usés, la Somalie est dans l’abîme. Parler de ´´choc de civilisation´´, est une marque d’irréflexion, il n y a plus de civilisation. C’est une même «propagande» mondiale qui domine, qui, pour asseoir son hégémonie, nous déclare mensongèrement semblables et laisse chacun pour-compte. Elle prétend, enfin, tromper la mort par le refus de l’invisible et du mystère; par le fantasme ou par la dénégation. La thèse du choc des civilisations est un condensé des préjugés et des anathèmes dressés contre les droits des peuples et le droit à la différence. Reste à se réformer pour ne pas prêter le flanc.

Les problèmes sont politiques
Le monde arabe joue le rôle de l’épouvantail indispensable au ´´ Nouvel ordre mondial´´ qui, dans tous les domaines, cherche à imposer sa vision unilatérale par la confrontation, par la domination, par la guerre, en un mot, par la loi du plus fort. Cette hypothèse inique est la suivante: ´´ Le fait que la culture, les identités culturelles qui, à un niveau grossier, sont des identités de civilisation, déterminent les structures de cohésion, de désintégration et de conflit dans le monde, après la guerre froide. ´´ Les conflits à venir seront provoqués par des facteurs culturels, plutôt qu’économiques ou idéologiques. Les conflits culturels les plus dangereux sont ceux qui ont lieu aux lignes de partage entre les civilisations. ´´ Et encore: ´´ Les communautés culturelles remplacent les blocs de la guerre froide et les frontières entre civilisations sont désormais les principaux points de conflit à l’échelle mondiale...Les chocs dangereux à l’avenir risquent de venir de l’interaction de l’arrogance occidentale, de l’intolérance islamique et de l’affirmation de soi chinoise. ´´Ce point est fondamentalement faux. Même si la dimension culturelle revêt de plus en plus d’importance aux yeux des peuples, ni leurs soucis fondamentaux, ni les causes profondes et essentielles des conflits ne sont à chercher, aujourd’hui moins encore qu’hier, dans la culture, ni dans la religion, ni dans la théologie. Même si les autres aspects majeurs de la vie commune, comme l’économique et le culturel, sont concernés, les problèmes de fond résident, avant tout, dans l’ordre politique.
Deuxième hypothèse erronée: les auteurs de l’idée du choc cherchent à tout ramener aux différences irréductibles entre les cultures et les civilisations, pour justifier l’état de guerre, réel ou supposé, qui, dans les différentes régions du monde et à travers les âges, oppose les peuples. Aucune civilisation, aucune culture n’a émergé de manière autosuffisante, n’a puisé en elle seule les ressources de son progrès, n’a réalisé des avancées décisives sans dialogue, sans échanges, sans contacts. Historiquement et scientifiquement, cela est impossible. Chaque culture, chaque civilisation a eu son génie propre, mais aucune ne peut se trouver sans dettes envers les autres.
Troisième affirmation erronée: l’Occident, selon lui, est unique. Huntington, le théoricien de ce mensonge, s’enferme dans l’idée de supériorité: ´´ Il est évident que l’Occident diffère de toutes les civilisations ayant existé par l’influence essentielle qu’il a eue sur toutes les autres civilisations depuis 1500. ´´ Comme si les autres cultures et civilisations, notamment l’Islam, n’avaient jamais participé à l’émergence d’un Occident moderne qui, durant près de mille ans, fut judéo-islamo-chrétien. Sans l’apport des savants arabes, de Khawarizmi à Jabir, d’Ibn Sina à El-Barûni, il n’y aurait eu ni sciences modernes ni renaissance européenne. Huntington considère que le caractère unique et la supériorité de l’Occident reposent sur la combinaison de huit institutions ou valeurs spécifiques (20): l’héritage classique; le christianisme; la pluralité des langues européennes; la séparation des pouvoirs temporel et spirituel; l’État de droit; le pluralisme social; les corps intermédiaires; l’individualisme. Cependant, l’Islam a dialogué au plus haut point avec l’héritage classique grec, romain, byzantin, perse; partage avec le christianisme le tronc commun monothéiste, c’est-à-dire l’essentiel; dispose, lui aussi, de langues plurielles: arabe, turc, ourdou, persan, bengali, berbère, swahili; alors que la séparation des pouvoirs temporel et spirituel est, en Occident, récente, l’Islam, en dépit des apparences, est, comme on le verra, séculier dès les origines; nonobstant les déviations d’hier et les impasses d’aujourd’hui, les pouvoirs n’ont pas été majoritairement despotiques et contraires à l’État de droit. Huntington considère que l’Occident est seulement judéo-chrétien et gréco-romain, cela en contradiction avec la vérité historique décrite par des savants de toutes cultures, autrement plus objectifs. Il suffit, pour s’en convaincre, de lire les chercheurs occidentaux qui ont étudié la question du dialogue entre les civilisations, pour vérifier que, dans l’interaction, l’apport du premier à la seconde fut majeur et durable. Le savoir est l’arme suprême. Quatrième hypothèse erronée, aussi faible au regard de l’objectivité, quand Huntington déclare: «Au xxe siècle, les relations entre civilisations sont passées d’une période dominée par l’influence unidirectionnelle d’une civilisation en particulier sur les autres, à une phase d’intenses interactions multidirectionnelles entre toutes les civilisations.» Double contrevérité. Premièrement, il n’y a plus de civilisations depuis plus d’un siècle au moins. L’ère industrielle n’a pas créé de civilisation, au sens d’une culture élaborée, d’un mode de vie universel et multimodal qui réponde aux besoins multiformes de l’être humain. Il n’y a plus de civilisation, aujourd’hui, ni d’Est, ni d’Ouest, ni d’Orient, ni d’Occident. Il est étrange de fonder toute sa thèse sur le choc des civilisations quand il n’y a plus de civilisations vivantes et opérantes. Ce qui, aujourd’hui, domine, gouverne et décide, c’est le mondial, c’est le marché, c’est une raison instrumentale sans aucun rapport ni avec les valeurs anciennes ni avec le sens spirituel de la vie. Le flux à sens unique de la mondialisation uniformise sans répondre aux besoins sociaux ni matériels, encore moins aux aspirations morales, spirituelles, naturelles. Tous les peuples, toutes les cultures, toutes les religions sont concernés par ces bouleversements, par ces remises en cause, par ces déséquilibres. Le choc des civilisations n’est qu’une diversion.
Cette fausse hypothèse d’une guerre des civilisations est un leurre destiné à détourner l’attention des vrais problèmes qui, même si le culturel, le religieux, le civilisationnel sont évidemment concernés par les antagonismes et les contradictions, sont d’abord d’ordre politique et économique.
Cinquième affirmation erronée: Huntington prétend: «L’âge de la domination occidentale est fini. Dans l’intervalle, l’effacement de l’Occident et la montée en puissance d’autres centres ont favorisé un processus global d’indigénisation et la résurgence des cultures non occidentales.» Et encore: «Le monde devient plus moderne et moins occidental.». Le contraire est de plus en plus vrai. L’Occident se mondialise. Sur l’ensemble de la planète, et surtout dans les pays du Sud pauvres et dépourvus d’outillage, les sociétés et les individus décident de moins en moins de leur avenir, de leur devenir. Des centres de décision et d’influence liés aux puissances financières, aux complexes industriels et militaires, aux institutions internationales, organisent avec une autorité croissante les conditions de vie des populations. Affirmer que le civilisationnel, le culturel, le religieux dominent aujourd’hui le cours du monde est un contresens.
Une nouvelle fois, l’auteur occulte les racines et les causes du désespoir, des révoltes, de la violence aveugle et irrationnelle: elles sont d’ordre politique et économique, même si, sans justification aucune, on exploite à leur sujet des références religieuses. De plus, Huntington ne fait aucune distinction entre la légitime résistance à la répression coloniale et aux agressions extérieures, d’une part, et la violence qui tue des innocents, d’autre part. Il ajoute: ´´ C’est la seule civilisation qui a mis en danger l’existence même de l’Occident.´´ Les dirigeants occidentaux considèrent que les musulmans engagés dans cette quasi-guerre sont une petite minorité et que l’usage qu’ils font de la violence est rejeté par la grande majorité des musulmans modernistes. C’est peut-être vrai, mais on manque de preuves´´. En manque d’arguments, l’auteur cherche à semer le doute. Nous sommes là au centre des contrevérités, mais aussi au coeur des enjeux.

L’injuste mondialisation
La propagande du choc des cultures, toute pareille à celle des autres idéologues de l’Administration de la superpuissance, semble, certes, porter ses fruits amers; il ne peut pas en être autrement puisqu’elle ne se soucie pas de contradicteurs crédibles. Opposer les deux mondes, telle est l’obsession permanente. Nul ne peut ignorer que l’injustice est politique: elle a pour cause la colonisation et le déni du droit d’exister des peuples. Huntington réduit le problème à un simple enjeu culturel, alors que le problème est celui de l’injuste mondialisation. Il a fallu attendre le xixe siècle pour que se constitue la mondialisation économique, et le xxe siècle pour qu’elle accentue son rythme. Paradoxalement, cette accélération correspond aussi à la division du monde entre pays développés du Nord et les autres pays. À ce jour, loin de s’être atténué, l’écart entre ces deux catégories ne cesse de s’aggraver; il provoque des tensions au sein du système capitaliste, qui s’est constitué en système mondial.
Du fait de l’apparition de secteurs de pauvreté au sein du monde développé, de déséquilibres et de contradictions au centre même du système libéral, notamment dans sa version néolibérale, une remise en cause du désordre économique mondial se développe par des voies diverses, souvent inattendues. Même si, par exemple, le monde arabe est faible et hétérogène dans ses catégories et dans ses institutions, même s’il lui est difficile de s’organiser et de proposer des alternatives crédibles, il reste néanmoins un partenaire pour la recherche d’une altermondialisation, d’un autre rapport au monde et un autre vivre-ensemble.

(*) Professeur des Universités

www.mustapha-cherif.com

 

Le Pèlerin

 

Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 00:07

Le Bikini le plus cher du monde..

petitbikini.jpg

 

Il vaut env. 30 millions de dollars et est constitué de 150 diamants
de la meilleure qualité, plus du platine, + des métaux plus fins...
C'est l'actrice Molly Sims qui fut élue pour présenter le + petit
maillot de bain du monde, pour la revue ... Entre autres il contient
un diamant de 51 carats en forme de poire, un des
+ rares du monde ainsi qu'une émeraude.
Le créateur de ce bijou est la couturière Susan Rosen

 

De la part d’une Correspondante

 

Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 00:05

Infarctus: la France est le pays le moins touché en Europe

 

 

Selon une étude publiée mercredi par la revue European Heart Journal, le taux de décès dû à un infarctus a baissé de 50% en France, entre 1995 et 2005.
L’enquête fait état de fortes disparités en Europe. Les résultats d’une étude montrent que la mortalité par attaque cardiaque est plus élevée dans les pays d’Europe centrale et de l’Est, alors que la France, suivie du Portugal, de l’Italie et de l’Espagne présente les taux les plus bas.


Disparités nationales

La mortalité par attaque cérébrale est réduite dans le centre de l’Europe de l’Ouest. Les taux les plus bas se retrouvent en Suisse, France, Norvège et Espagne.
Les taux les plus élevés sont relevés dans les pays d’Europe centrale et de l’Est, mais aussi dans des pays méditerranéens, incluant la Grèce et le Portugal ainsi que certaines régions d’Espagne et d’Italie.

Ces disparités nationales sont dues à un certain nombre de facteurs de risque comme le stress, l’obésité, le tabagisme et le mode d’alimentation des habitants. Les facteurs environnementaux ou médicaux ont également un rôle dans des inégalités régionales.

 

Source 20minutes.fr

 

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 00:04

Quelle logique...!!!

 
 
Deux Canadiens stupides (qualifiés de Newfies) , Jules et Ned, ne vont nulle part dans la vie et décident
donc de s'inscrire à des cours pour améliorer leurs connaissances.
 
Jules y va en premier et le professeur lui suggère de s'inscrire à des
cours de math, d'histoire et de logique.
 
- "C'est quoi la logique?" demande Jules.
 
Le professeur répond : " Laisse-moi te donner un exemple. As-tu une
souffleuse à neige ? "
 
   - "Certainement!" répond Jules.
 
   - "Donc je présume, en utilisant la logique, que tu as une entrée" dit
le  professeur.
 
   - "Ça c'est fort!" répond le Newfie.
 
   Le professeur continue :
 
   "Il est aussi logique de croire que si tu as une entrée, tu as une
maison."
 
   - "Wow!" dit Jules tout impressionné.
 
   "Et si tu as une maison et qu'une maison c'est difficile à entretenir
seul, la logique me porte à croire que tu as une femme."
 
   - "Merde, ça c'est incroyable!" dit Jules.
 
   - "Finalement, si tu as une femme, la logique me dit que tu es
hétérosexuel et non homosexuel." dit le professeur.
 
 
   "Bout'viarge!, c'est tout à fait juste, c'est fantastique!!! Là j'ai
vraiment hâte de prendre ce cours de logique!"
 
   Jules, très fier de ce nouveau monde qui s'ouvre, sort dans le couloir où
son frère Ned attend son tour.
 
    - "Alors, dis-moi, Jules, quels cours prends-tu?" demande Ned.
 
   "Math, histoire et logique." répond Jules.
 
    - "C'est quoi ça la logique?" demande Ned.
 
    - "Laisse-moi te donner un exemple. As-tu une souffleuse à neige?"
 
    - "Non" répond Ned. 

"Hou la tapette !!!!!"
 
De la part d’une Correspondante
 
Le Pèlerin
 
Partager cet article
Repost0