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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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22 juillet 2006 6 22 /07 /juillet /2006 00:17

 Actuellement en Algérie, je ne dispose pas de suffisament d'outils pour developper les articles que je voudrais diffuser.

 

Je vous en ai laissés quelques uns avant de partir.

Ils son programmés...

 

Quant à Raymond Devos ce Magicien des mots, je n'ai guère eu le temps d'écrire pour dire tout le bien que je pensais de lui.

 

Je vous joins un petit sketch de cet homme merveilleux

 

Fermez les yeux ...et imaginez qu'il vous conte ce sketch...Quel grand homme  !

 

 En hommage à Raymond Devos.

 

 Actuellement mon immeuble est sens dessus dessous.
Tous les locataires du dessous
voudraient habiter au-dessus !
Tout cela parce que le locataire
qui est au-dessus
est allé raconter par en dessous
que l'air que l'on respirait à l'étage au-dessus
était meilleur que celui que l'on respirait
à l'étage en dessous !
Alors le locataire qui est en dessous
a tendance à envier celui qui est au-dessus
et à mépriser celui qui est en dessous.
Moi je suis au-dessus de ça !
Si je méprise celui qui est en dessous,
ce n'est parce qu'il est en dessous,
c'est parce qu'il convoite l'appartement
qui est au-dessus, le mien !
Remarquez, moi je lui céderais bien
mon appartement à celui du dessous
à condition d'obtenir celui du dessus !
Mais je ne compte pas trop dessus.
D'abord parce que je n'ai pas de sous !
Ensuite, au-dessus de celui qui est au-dessus,
il n'y a plus d'appartement !
Alors le locataire du dessous
qui monterait au-dessus
obligerait celui du dessus
à redescendre en dessous.
Or je sais que celui de dessus n'y tient pas.
D'autant que, comme la femme du dessous
est tombée amoureuse de celui du dessus,
celui du dessus n'aucun intérêt à ce que
le mari de la femme du dessous
monte au-dessus !
Alors là-dessus ...
quelqu'un est-il allé raconter à celui du dessous
qu'il avait vu sa femme bras dessus
bras dessous avec celui du dessus ?
Toujours est-il que celui du dessus l'a su!
Et un jour que la femme du dessous
était allée rejoindre celui du dessus,
comme elle retirait ses dessous ...
et lui, ses dessus ...
soi-disant parce qu'il avait trop chaud en dessous ...
Je l'ai su parce que d'en dessous,
on entend tout ce qui se passe au-dessus ...
Bref ! Celui du dessous leur est tombé dessus !
Comme ils étaient tous les deux saouls,
ils se sont tapés dessus !
Finalement, c'est celui du dessous
qui a eu le dessus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Bonne journée

 

Le Pèlerin



 

 

 

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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 23:08

 

La Pensée du Jour

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20 juin 2006 2 20 /06 /juin /2006 23:27

 

  

  

RIONS ENSEMBLE - LECON DE FRANCAIS  

 

   

  Ce n'est quand même pas compliqué, le français! En voici un exemple flagrant: 

Un gars : c'est un jeune homme 

Une garce : c'est une pute  

 

Un courtisan: c'est un proche du roi 

Une courtisane : c'est une pute 

Un masseur: c'est un kiné 

Une masseuse : c'est une pute 

 

Un coureur : c'est un joggeur 

 

Une coureuse : c'est une pute  

 

Un rouleur : c'est un cycliste 

 

Une roulure : c'est une pute  

 

Un professionnel : c'est un sportif de haut niveau 

 

Une professionnelle : c'est une pute  

 

Un homme sans moralité : c'est un politicien  

 

Une femme sans moralité : c'est une pute  

 

Un entraîneur: c'est un homme qui entraîne une équipe sportive  

 

Une entraîneuse: c'est une pute 

 

Un homme à femmes : c'est un séducteur  

 

Une femme à hommes : c'est une pute  

 

Un homme public : c'est un homme connu 

 

Une femme publique: c'est une pute  

 

Un homme facile : c'est un homme agréable à vivre 

 

Une femme facile: c'est une pute  

 

Un homme qui fait le trottoir : c'est un paveur  

 

Une femme qui fait le trottoir : c'est une pute  

 

Non, le français, c'est pas compliqué 

Blagounette issue de chez Blaguesland   

Relayée par  

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

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14 juin 2006 3 14 /06 /juin /2006 16:42

 

 

 

 

 

Quelques Blagues pour reprendre

 

 

 

 

 

Quatre femmes sont assises à la terrasse d'un café : Une jalouse, une rêveuse, une romantique et une vierge.

Elles commandent toutes un café et toutes vont y mettre du lait, mais quelle quantité de lait vont-elles ajouter ?



La jalouse: Un soupçon.
La rêveuse: Un nuage.
La romantique: Une larme.
Et la vierge: Un doigt, bien eNTENDU

 

____________________________________________________

 

 

 

Harvard, Ena...
Une mère juive appelle son grand fils :
- Daviiiid, mon fils ! Écoute ta mère qui te parle ! Voilà : tu as voulu faire Harvard, je t'ai payé Harvard. Tu as voulu faire polytechnique et l'ENA, je t'ai payé polytechnique et l'ENA. Tu as voulu faire Oxford, je t'ai payé Oxford... Maintenant, il faut choisir : confection pour homme ou confection pour dame ?

 

___________________________________________________

 

Le jus d'orange !
C'est une prostituée qui est toujours parvenue à ce que sa grand-mère n'en sache rien. Un jour, la police fait une descente anti-racolage, et la fille aboutit au poste.
Les policiers font aligner toutes les filles dans l'attente d'un relevé de leur identité, lorsque la grand-mère fait irruption dans le commissariat. La grand-mère voit sa petite-fille qui fait la queue en compagnie des autres, et elle lui demande:
- Alors ma petite-fille, qu'est-ce que tu fais ici? Pourquoi fais-tu la queue?
Pour garder le secret, la fille lui répond:

 

 

 

- C'est parce qu'on nous distribue des oranges gratuitement mamie!
Alors la grand-mère se dit qu'elle aussi va faire la queue pour avoir des oranges gratuites. Finalement, lorsque toutes les filles ont donné leur identité et sont passées devant le policier, vient le tour de la grand-mère. Le policier lui demande:

 

Ben dites-donc grand-mère, vous êtes rudement vieille pour ça, comment vous faîtes?
Et mémé répond:
- Oh c'est facile. J'enlève mon dentier et je les suce à fond !

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

 

> Le médecin qui suivait une vieille dame de quatre-vingt ans prend sa
> retraite. Son nouveau médecin lui demande de lui apporter la  liste de
> ses prescriptions à sa prochaine visite. Alors que le jeune médecin
> parcourait la liste de ses médicaments, il écarquilla les yeux en
> voyant qu'elle avait une prescription pour la pilule contraceptive.
>
> -"Madame Dubois, est-ce que vous vous rendez compte que c'est LA
> PILULE ?"
>
> -"Bien  sûr, répondit-elle, ça m'aide à dormir."
>
> -  "Madame Dubois, je vous assure qu'il n'y a RIEN là-dedans pour
> faire  dormir, ce sont des pilules contraceptives. Vous n'en avez plus
> besoin."
>

 

-"Oui,  mon cher, je sais tout cela. Mais, chaque matin j'en écrase
> une et je la  mélange au jus d'orange de ma petite fille de seize ans.
> Et croyez-moi, ça  m'aide à dormir tranquilLE

 

_________________________________________________

 

Un avion de ligne tombe dans l'eau en plein Pacifique Sud.

 

 

 

Trois Survivants seulement : le pilote, un steward et une hôtesse. Ils s'accrochent aux débris qui flottent.

 

 

 

Après avoir dérivé pendant une semaine, ils arrivent sur une ile totalement déserte.
Au bout de quelques jours, ils commencent à comprendre qu'ils ne seront jamais secourus. La vie s'organise. Ils se construisent une

 

cabane. La nature généreuse leur fournit viande, fruits, eau fraîche. Ils sont beaux, jeunes...

Après un mois, l'hôtesse se décide à parler aux deux autres : "Ecoutez, nous sommes seuls... peut-être pour toujours. Nous nous sommes toujours respectés, nous avons notre intimité, tout est très chouette... Mais je sens que nous souffrons d'un certain manque. Je sais que vous n'ose pas en parler, alors je le dis moi-même : je suis d'accord. Il suffit de s'arranger, par exemple, toi les jours pairs et toi les jours impairs. S'il y a le moindre problème, on en parle."

Enchantés d'avoir pu en parler et de s'être organisés, ils passent des semaines fabuleuses. Chacun à son tour, dans un respect mutuel et une attente exemplaire, l'un les jours pairs, l'autre les jours impairs.

Malheureusement, après deux mois, la fille attrape un virus foudroyant et meurt...

Les deux autres sont terriblement tristes, mais la vie se réorganise...

Au bout d'un mois, l'un des deux s'adresse à l'autre :
"Ecoute vieux, le temps passe, c'est dur pour toi comme pour moi. Alors autant en parler. Je suis jeune, je suis en manque, ça ne peut pas durer comme ça. Qu'est-ce que tu en penses ?"

 

L'autre le remercie d'avoir osé en parler et tout de suite le rassure en lui disant que c'est la même chose pour lui.
"Tu penses comme moi alors ?"
"Oui, je suis d'accord, et si ça ne va pas on en parle."
"D'accord, comment on fait ? Toi les jours pairs et moi les jours impairs ?"
"D'accord, on essaie."

Ils passent des semaines formidables, mais un soir, l'un des deux dit à l'autre :
"Ecoute, on a dit que si ça n'allait pas on en parlait. Eh bien je trouve que ça ne va plus. On est seuls, on est jeunes d'accord, mais ce qu'on fait me gène, c'est contre nature."
"Tu me rassures dit l'autre, j'allais aussi t'en parler.
J'aimerais qu'on arrête. De toutes façons les sensations ne sont pas les mêmes qu'avant..."
"Tu es d'accord alors ?"
"Oui... et toi ?"
"Oui. "
"Bon... alors... on l'enterre."
_____________________________________________

>Un couple est invité à un bal masqué. Juste au moment de partir, la femme est prise d'une violente migraine.
Elle dit à son mari d'aller à la fête sans elle.
Le mari enfile alors son déguisement et s'en va, tandis que la femme va se coucher.
Après avoir dormi un peu, la femme se réveille en pleine forme.
Elle décide d'aller rejoindre son mari à la fête. Comme elle est un peu soupçonneuse, elle se dit qu'elle va le surprendre en se déguisant
avec un autre costume que celui qu'elle avait prévu...
Arrivée à la fête, elle repère son mari: il est en train de danser avec une fille, puis encore une autre, puis une autre encore.
Elle veut en savoir plus, et voir jusqu'où il est capable d'aller.
Elle l'aborde et l'invite à danser.
Sans la reconnaître, il lui susurre à l'oreille qu'ils pourraient s'isoler un petit peu, ce qu'ils font en allant directement faire l'amour dans une des
pièces de la maison...
L'affaire faite, la femme s'en va précipitamment et rentre chez elle.
Le mari rentre un peu plus tard.
Lorsqu'il se couche, sa femme lui demande, en masquant son émotion:
"Alors comment était la fête ?"
Il répond: "Ce n'était pas drôle sans toi chérie".
Elle dit: "Je ne te crois pas, je suis certaine que tu as bien rigolé !"
Il répond: "Non je t'assure. Quand je suis arrivé, il n'y avait pas d'ambiance, alors avec quelques gars qui étaient là et moi, on a décidé d'aller jouer au poker dans la cuisine... Mais par contre, j'ai passé mon costume à
un mec qui n'en avait pas, et lui m'a dit qu'il était tombé sur une sacrée salope et qu'il s'était régalé."

 

 

 

 

 

Un enfant demande à son père:

 

- Dit papa pourquoi on ne mange pas de singe?

 

- Le père un peu troublé par la question lui répond:

 

- Heu! C'est parce que nous descendons du singe, et que en manger voudrait dire en quelque sorte que nous mangerions nos ancêtres? 

 

Le petit garçon croit avoir compris et demanda:

 

- Et c'est pour ça que les arabes ne mangent pas de porc?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux chiantes de Ste-Foy prennent un café.
- Ma bonne est d'une honnêteté remarquable.
- Ah oui.
- Elle est d'une honnêteté presque maladive.
- Ah oui?
- C'et bien simple... Depuis qu'elle travaille chez moi, rien n'a disparu. Pas même un grain de poussière.

 

 

 

 

 

De la part d’une Correspondante

 

Relayée par

 

Le Pèlerin

 

 

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10 juin 2006 6 10 /06 /juin /2006 18:19

 

Examens

  Dans une université, une belle jeune fille avec d'énormes seins entre dans la salle d'examen, roulant des hanches, lançant des oillades, en décolleté et en mini jupe, mais une vraie mini jupe !
  Le professeur, plutôt beau mec, commence à l'interroger, mais il a du mal.
  La fille continue de le regarder en coin.
  N'y tenant plus, le professeur lui demande :
  Vous... préférez que je vous interroge... ou que... je vous donne un rendez-vous ?
  La fille rougit un peu, et lui répond les yeux un peu baissés :
  - Euh... Je préfère un rendez-vous...
  Et le professeur lui répond :
  - Ok, à l'année prochaine
!

Le Pèlerin

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9 juin 2006 5 09 /06 /juin /2006 22:01

 

Cherchez l’erreur

 

 

 

Trois hommes vont dans un motel.
Le réceptionniste annonce la chambre à 30EUR.
Donc chacun donne 10   EUR.
Un peu plus tard, le réceptionniste réalise que la chambre est en fait à 25   EUR.
Il appelle le groom et l'envoie avec les 5   EUR chez les gars qui ont loué la chambre.
En route, le groom se demande comment il va partager les 5 EUR en 3.
Il décide de donner à chaque gars 1 EUR et garde 2  EUR pour lui.
Donc chacun des 3 gars a payé 9   EUR pour la chambre ; cela fait donc un total de 27 EUR.
Ajoutons à ces 27 EUR les 2   EUR gardés par le groom ; cela fait 29   EUR.
Où est l'autre euro
?

Le Pèlerin

 

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8 mai 2006 1 08 /05 /mai /2006 23:22

 

   

 

 

 

 

Deux autres blagues pour Mardi

 

 

 

 

 

 

Un condamné à mort s'évade d'un pénitencier où il était reclus depuis 15 ans.
Dans sa fuite, il arrive près d'une maison.
Il y pénètre à la recherche d'argent et d'armes.
Il trouve un couple au lit.
Il vire le gars du lit et l'attache sur une chaise.
Puis, pendant qu'il attache la fille aux montants du lit, il en profite pour l'embrasser dans le cou.
Il se rend ensuite dans la salle de bains.
Pendant son absence, le fiancé s'adresse à la fille:
- Écoute, ce gars est un prisonnier en cavale, tu as vu ses fringues... Si ça se trouve, il n'a pas vu de fille depuis des années. Il t'a déjà embrassée dans le cou... S'il veut aller plus loin, n'essaie pas de résister, ni de te plaindre, fais juste ce qu'il te demande, donne-lui satisfaction. Ce gars est sûrement dangereux, si on lui ésiste, il est capable de nous tuer. Sois forte mon amour, je t'aime.
La fille répond:
- Il ne m'a pas embrassée. Il m'a dit à l'oreille qu'il était gay et te trouvait hyper sexy. Puis, il m'a demandé s'il y avait de la vaseline dans la salle de bain.
Sois fort mon amour, je t'aime aussi.

 




 

 

 

 

 

Une blonde est avec son copain dans une voiture.
Ils s'embrassent tendrement quand le garçon propose à la blonde:
- Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ?
La blonde fait la moue, et refuse l'invitation. Le garçon, courtois, ne brusque pas les choses.
Au bout de quelques temps, le garçon réitère sa proposition:
- Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ?
La blonde ne semble décidément pas d'accord. Le garçon reste dubitatif, car tout se passe bien et il ne comprend pas les motifs de son refus.
Il lui demande:
- Mais pourquoi ne veux tu pas aller sur la banquette arrière ?
La blonde lui répond:
- Parce que je préfère rester avec toi !!

 

 

 

 

Le Pèlerin
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7 mai 2006 7 07 /05 /mai /2006 23:07

 

 

 

 Quelques blagues pour démarrer d’un bon pied 

 

Ce Lundi   

 

   

 

  

 

J'ai entendu que tu t'es remarié.
- Oui, c'est la quatrième fois
- Et les précédentes ?
- Toutes mortes, toutes.
- Mon Dieu ! Et comment ?
- La première a mangé des champignons vénéneux.
- Pour l'amour du ciel! Et la deuxième ?
- Aussi.
- Et la troisième a mangé aussi des champignons vénéneux.
- Non, non, elle s'est cassé le cou.
- Un accident?
- Non, elle n'a pas voulu manger les champignons.


 

 

 

 

 

 

 

 

 Ça se passe au temps de Mitterrand.
Le roi des belges, excédé par les blagues françaises sur ses sujets, va voir le président français pour lui demander une faveur:
Baudouin : Salut Mitterrand, dis vous pourriez pas une fois faire une grosse connerie qu'on puisse se moquer de vous mon fieu ?
Mitterrand : Bon d'accord !
Et il décide de construire un superbe pont dans le désert.
Sur ce, les belges se marrent comme des fous de la connerie française.
Au bout d'un an, le roi revient voir Mitterrand et lui dit :
Baudouin : Bon allez fieu, on a assez rit, tu peux le détruire ton pont.
Mitterrand : C'est pas possible.
Baudouin : Ah bon, pourquoi mon fieu ?
Mitterrand : Faut attendre que les pêcheurs belges en descendent !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'équipe de football Belge part jouer en Afrique.
Dans l'avion , le commandant de bord n'arrête pas de sentir l'avion bouger dans tous les sens, il appelle l'hôtesse :
Qu'est-ce qu'il se passe derrière ?
- Oh rien, c'est l'équipe qui s'entraîne.
- Faites ce que vous voulez , il faut que ça s'arrête.
L'hôtesse s'en va, au bout de cinq minutes de calme, le commandant rappelle l'hôtesse et lui demande :
- Que leur avez-vous dit pour obtenir le calme si rapidement ?
- Je leur ai dit d'aller jouer dehors.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Georgette est au travail ; elle est en pleurs. Son Patron

 

 

vient la voir : - Mais que se passe t-il ma petite Georgette ?
Georgette explique: - Ce matin, juste avant de partir travailler, j'ai reçu un coup de fil qui m'annonçait la mort de ma mère.
Le patron propose immédiatement: - Vous devriez rentrer chez vous et vous reposer ma petite Georgette.
La blonde répond: - Non, j'ai besoin de me changer les idées et c'est en travaillant que j'y parviendrai le mieux... Quelques heures plus tard, le patron vient revoir son employée. Il la retrouve effondrée sur son bureau, pleurant toutes les larmes de son corps.
Il demande : - Ca ne va pas mieux ma petite Georgette ?
La blonde répond : - C'est horrible... Je viens de recevoir un coup de fil de ma sœur, sa mère est morte elle aussi.

 

 

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

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4 mai 2006 4 04 /05 /mai /2006 23:04

 

   

 

 

 Rions ensemble - Un Elève vraiment doué

 

 

 

  Le petit Thomas demande à la maîtresse s'il peut lui parler après le cours.
Elle accepte
- Alors, que veux tu me dire Thomas ?
- Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m'embête !
Je voudrais passer directement au Lycée.
Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s'il veut bien passer des tests, Thomas accepte sans hésiter.
Le directeur, décidé à faire fort pour clore l'entretien rapidement, commence le test.
- Voyons voir Thomas : 36 x 49 ?
- 1764 !...
- Et 363 x 363 ?
- 131769, M. le directeur...
- Capitale du Liechtenstein ?
- Vaduz !
Le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur.
A la fin du test, le directeur est satisfait mais la prof demande si
elle peut à son tour lui poser des questions.

Tous les deux acceptent, la prof commence.

- Bon, ... Thomas, ... la vache elle en a 4 et moi j'en ai 2, qu'est ce que c'est ?
- Les jambes, Madame !
- Correct. Qu'est-ce qu'on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
Le directeur s'étonne de la question...
- Des poches, Madame !

-          Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond :
- En Afrique, Madame !
- Qu'est-ce qui est mou mais qui, avec les mains d'une femme, devient dur ?
Le directeur ouvre grands les yeux, mais avant qu'il ait eu le temps de parler Thomas répond :

- Le vernis à ongles, Madame !
- Qu'est-ce que les hommes et nous avons au milieu des jambes ?
- Les genoux, Madame !
- Bien, et qu'est-ce qu'une femme mariée a de plus large qu'une femme célibataire ?
le directeur n'en croit pas ses oreilles .
- Le lit, Madame !
- Qu'elle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ?
- Votre langue, Madame !
- Quel mot commençant par la lettre C... désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
- Le ciel, affirme Thomas.
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d'arrêter le test et s'exclame:
- Ce n'est pas au lycée que je vais t'envoyer mais directement à l'Université ! Même moi j'aurais tout raté à ce test...
Morale de l'histoire : c'est avec l'âge que l'on devient pervers...


 

 

 

 

 

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 11:10

 

 

 

 

 

Deux petites blagues pour re-démarrer en Mai

 

 

 

 

 

Un riche banquier marie son fils.
La veille des noces, il invite son fils dans le boudoir.
 Simon, mon fils, le temps passe vite, et je réalise que je ne t'ai jamais expliqué les choses de la vie. Demain, tu commences une nouvelle vie. Avec une femme. Dans l'espoir de fonder une famille. Tu dois savoir certaines choses. Tiens, tu connais les doigts de la main?
- Mais bien sur, papa! Il y a l'index, le majeur, le...
- Non, non! L'interrompt le banquier. Ce n'est pas ça. Il y a le doigt du voyage, celui de la direction, celui de la jouissance, celui du mariage et enfin celui de la distinction.
- Ah bon ?
- Voilà, le doigt du voyage, c'est le pouce, parce qu'il te permet de faire du stop.
- D'accord papa.
- Le doigt de la direction, c'est l'index, parce que c'est celui
que tu tends quand tu veux montrer quelque chose.
- Ok
- Le doigt du mariage, c'est l'annulaire, parce que c'est la que tu vas passer ton alliance. Tu me suis..?
- Oui papa.
- Et le doigt de la distinction, c'est l'auriculaire, parce qu'il
faut le lever quand on boit une tasse de thé avec des gens ennuyants.
- Compris. Mais papa tu as oublié le doigt de la jouissance!
- Je gardais le meilleur pour la fin...
- Le doigt de la jouissance, c'est le majeur. Le plus beau, le plus long. Pour la jouissance, ce doigt, tu le mouilles dans ta bouche, et...
... tu comptes ton argent, mon fils!


H/F - La boucle d'oreille
Un cadre remarque soudainement que son collègue porte une boucle d'oreille.
Le sachant très conservateur, il trouve ce changement surprenant et l'interroge :
-Je ne savais pas que tu aimais les boucles d'oreilles !
- Ça va, n'en fais pas tout un plat, c'est juste une boucle d'oreille,
lui répond l'homme, manifestement gêné.
- Ah tiens! Et depuis quand tu la portes ?

 

- Depuis que ma femme l'a trouvé dans notre lit


 

 

 

Le Pèlerin



 

 

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