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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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29 avril 2006 6 29 /04 /avril /2006 09:21

 

 

 

 

 

 Quelques blagues pour démarrer

 

  

 

 

 

Fracture

Donald arrive au travail avec le poignet dans le plâtre.
- Tu as eu un accident?
- Oui, j'ai voulu éviter un enfant...
- Comment ça?
- Oui, ben... hier soir, je me suis retiré tellement vite, pour éviter d'avoir un enfant, que je me suis brisé le poignet en tombant du lit.

 

 

 

 

 

 

 

 Le safari 


Un chasseur part pour un safari au Kenya avec sa femme et sa belle-mère.
Un soir, alors que tout le monde dort, l'épouse du chasseur est réveillée par un bruit et constate que sa mère a disparu. Elle secoue son mari pour le réveiller et insiste pour qu'ils se mettent tout de suite à sa recherche.
Le chasseur prend sa carabine et ils commencent à chercher.
Dans une clairière, ils ont une vision terrifiante : la belle-mère est acculée à un arbre et un lion énorme lui fait face. L'épouse demande à son mari :
- Oh mon Dieu ! Qu'est-ce qu'on va faire ?
Et le mari lui répond :
- Ben, rien. C'est le lion qui s'est mis lui-même dans cette situation. Il n'a qu'à se débrouiller tout seul !
  

 

   

 

 

 Ne dis rien !
A Marseille, un supporter de l'OM prévient sa femme :
- J'ai enregistré le match de foot : Marseille/Bordeaux. Surtout, si tu as entendu le résultat à la radio
ou à la télé, ne me le dis pas pour que la rencontre conserve tout son suspense.
- J'ai entendu quel a été le score final, répond sa femme, et je me suis bien gardée de te le répéter, en sachant combien ça t'aurait contrarié.
  

 

   

 

 
 
Histoire de DDE  

 

Une dame est à la fenêtre de sa maison et voit se garer devant chez elle un camion de la DDE.
 
Un premier gars en descend, prend une pelle et creuse un trou, puis va 2 mètres plus loin et creuse un deuxième trou. Et ainsi de suite..
 
Un deuxième gars sort alors du camion, prend une pelle et rebouche tous les trous que son collège continue à creuser.
 
Intriguée, la dame va les voir et les interroge sur leur travail. Et le premier agent lui répond :
 
"Je sais que ça peut paraître bizarre. D'habitude nous sommes trois dans l'équipe mais aujourd'hui le gars qui plante les arbres est en RTT
 

 

   

 

  Nicolas et l’Ane 

 

Le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne d'un vieux
fermier pour 100 euros. Le fermier doit livrer l'âne le lendemain mais
justement, le lendemain...
" Désolé fiston mais j'ai une mauvaise nouvelle, l'âne est mort.
- Bien alors, rendez-moi mon argent.
- Je ne peux pas faire ça. Je l'ai déjà tout dépensé.
- OK alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.
- Qu'est-ce que tu vas faire avec ?
- Je vais le faire gagner par un tirage au sort.
- Tu ne peux pas faire tirer un âne mort!
- Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est mort."
Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment
refuser. Il ramène donc l'âne au petit Nicolas.
Un mois plus tard, il revient voir le petit Nicolas :
" Qu'est devenu mon âne mort ?
- Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros
l'unité et j'ai fait un profit de 898 euros.
- Et personne ne s'est plaint ?
- Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros."  

 

   

 

  Sacrée Mamie  

 

Mamie, proche de la mort, est dans son lit. Papy est à ses côtés.

Mamie lui demande:
- "va dans le grenier, au fond à gauche, tu trouveras une boîte". 

Papy monte au grenier et y découvre, sous la paille, une petite boîte dans
laquelle il y a 3 œufs et 10 000 euros!

Il retourne auprès de Mamie sur son lit de mort et lui
demande:
- "c'est quoi ces 3 œufs ?"

Mamie lui répond :
- "chaque fois que je n'avais pas d'orgasme avec toi, pendant ces 50 ans
d'amour, je mettais un œuf dans cette boîte".
Papy, très fier de n'y trouver que 3 œufs en 50 ans d'amour, demande alors
:
- " Et les 10 000 euros? "

Mamie lui répond :
- " chaque fois que j'avais une douzaine œufs, j'allais les vendre au marché ... " 

 

Les vieux

Deux septuagénaires prennent un café.
- Gérard, j'ai réalisé que j'étais vieux, ce matin, dans le métro.
- Comment ça?
- Bien, assise devant moi, il y avait une très jolie femme, avec la jupe légèrement remontée qui découvrait ses jolies cuisses, rondes, et pleines de promesses.
- Et alors?
- Bien, au lieu d'évoquer des espoirs, ma tête était remplie de souvenirs.


 

 

De la part d’une Correspondante 

Relayées par 

Le Pèlerin

 

 

 

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26 avril 2006 3 26 /04 /avril /2006 23:15

 

  

Ah les Suisses… ! 

   

 

Ça se passe pendant la révolution française. Trois prisonniers un français, un
belge, et un suisse ont été jugés coupables de crimes abominables. Ce qui leur vaut à tous les trois la peine de mort.
Le jour de l'exécution ils s'avancent chacun leur tour devant le gibet où ils
seront décapités. Le français est le premier à s'avancer...
- Rien à déclarer?...demande le bourreau
- Non...Répond le français de toute sa hauteur...Dieu fera un miracle pour me sauver car il sait que je suis innocent.
Le Bourreau, qui en a entendu d'autres, lui passe la tête dans la guillotine...abaisse le levier et Oh!! miracle le couperet s'arrête à deux centimètres du cou du condamné. Étant donné qu'il s'agit d'un événement
extraordinaire...ce dernier est gracié.
Vient le tour du belge...
Même question du bourreau:
- Rien à déclarer?
- Non...répond celui-ci...car je sais que pour moi aussi Dieu fera un miracle.
Le bourreau, qui commence sérieusement à douter de son choix de carrière lui glisse la tête dans la guillotine....abaisse le levier...et le même scénario se
produit...le couperet stoppe net à deux centimètres du cou du condamné...et a l'exemple du précédent, celui-ci est aussi gracié.
S'avance enfin le suisse...
 Rien à déclarer? lui demande le bourreau qui trouvait que sa journée allait vraiment mal.
- Et bien oui...répond le suisse...Je voulais juste vous dire qu'il y a un gros nœud dans la corde qui retient votre gros couperet...


 

 

 

 

De la part d’une Correspondante 

Blagounette relayée par

 Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 avril 2006 6 22 /04 /avril /2006 23:36

 

   

  Pour une vie professionnelle réussie méditez ces 3 leçons. 

Communication - Procédures – Hiérarchie  

 

    

1)    Communication :  

 

Un homme entre dans la douche au moment précis où sa femme en sort, lorsque la sonnerie retentit à la porte de leur maison. La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée : c'est Laurent, le voisin. Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui lance : "Je te donne 800 euros immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre". Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette. Il l'admire à loisir, puis lui tend 800 euros. Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d’œil, elle remonte dans la salle de bains. Son mari, encore sous la douche, lui demande : " C'était qui ? " " C'était Laurent " - " Ah, super, j'espère qu'il a apporté les 800 euros qu'il me devait ?"  

 

Morale n°1 :  

 

Si vous travaillez en équipe, partagez rapidement les informations concernant les dossiers communs, vous éviterez ainsi bien des malentendus désagréables."  

 

2)    Procédures  

 

Au volant de la 2 CV, un prêtre raccompagne une nonne au couvent. Le prêtre ne peut s'empêcher de regarder ses superbes jambes croisées. Il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne. Elle le regarde et lui dit : " Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ? " Penaud, le prêtre retire sa main et se confond en excuses. Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d'un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui demande : " Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?" Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant une excuse. Les voilà arrivés au couvent. La nonne descend de la voiture sans dire un mot. Le prêtre pris de remords pour son geste déplacé se précipite sur la Bible, à la recherche du Psaume 129.  

 

Psaume 129 : " Allez de l'avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire" 

Morale n°2 :  

 

"Au travail, une bonne connaissance des procédures est recommandée pour atteindre les objectifs ..."  

 

3)    Hiérarchie

 

Un commercial, une employée de bureau et un Directeur du Personnel sortent du bureau à midi et marchent vers le petit restaurant du coin, lorsqu'ils trouvent, sur un banc, une vieille lampe à huile. Ils la frottent et un génie s'en échappe. "D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun". L'employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant : " A moi, à moi! Je veux être sur une plage immaculée des Bahamas, en vacances, sans aucun souci qui pourrait m'empêcher de profiter de la vie" Et pouf, l'employée de bureau disparaît. Le commercial s'avance à son tour "A moi, à moi ! Je veux siroter une pina colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !" Et pouf, le représentant disparaît. " C'est à toi " dit le génie en regardant le Directeur du Personnel. "Je veux que ces deux là soient de retour au bureau après la pause déjeuner."

Morale n°3 :  

 

"En règle générale, laissez toujours les chefs s'exprimer en premier... et méfiez vous du DRH..." 

  Source une Correspondante   

Blagounette relayée par   

Le Pèlerin

 

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22 avril 2006 6 22 /04 /avril /2006 23:09

Une semaine sans ma femme !



LUNDI

Seul à la maison. Ma femme est partie pour la semaine. Génial !
Je sens qu'on va vivre des instants inoubliables, le chien et moi.
Je me suis concocté un emploi du temps réglé comme du papier à musique.

Je sais exactement à quelle heure je vais me lever et le temps que je passerai dans la salle de bains ou dans la cuisine, à préparer le déjeuner.
J'ai également compté les heures qu'il me faudra pour liquider la vaisselle, le ménage, les promenades du chien, les courses et la cuisine.
Et là, surprise : il me restera plein de temps libre !
Pourquoi les femmes se font-elles une montagne de toutes ces tâches alors qu'elles peuvent être expédiées si rapidement ?
Tout est une question d'organisation. Pour le souper, le chien et moi avons un steak chacun.
J'ai disposé une jolie nappe, une bougie et un bouquet de roses pour faire plus intime.
Le chien a mangé de la mousse de canard en hors-d’œuvre et aussi en plat principal, mais accompagnée d'une farandole de petits légumes. Et, comme dessert, des biscuits.
Moi, je me suis octroyé du vin et un cigare.
Cela faisait des lustres que je ne m'étais pas senti aussi bien.

MARDI

Je dois revoir mon emploi du temps : apparemment, quelques aménagements s'imposent.
J'ai expliqué au chien que, bien entendu, ce n'est pas tous les jours fête; il ne doit donc pas s'attendre à des hors-d’œuvre et à un service dans trois bols différents, vu que le préposé à la vaisselle, c'est moi !
En prenant mon déjeuner, j'ai noté les inconvénients du jus d'orange pressé : ça vous oblige à nettoyer chaque fois le presse-agrumes.
A moins d'en prévoir suffisamment pour deux jours, et dans ce cas, vous avez moitié moins de vaisselle.
Ma femme a insisté pour que je passe l'aspirateur tous les jours. Pas question ! Une fois tous les deux jours suffira amplement.
Il n'y a qu'a enfiler des pantoufles et à nettoyer les pattes du chien...
A part ça, je suis en pleine forme.

MERCREDI

J'ai le sentiment que le ménage prend plus de temps que prévu.
Il va falloir affiner ma stratégie. D'abord, acheter des repas tout préparés.
Cela me fera gagner quelques minutes en cuisine.
La préparation du souper ne devrait jamais être plus longue que sa consommation.
En revanche, la chambre reste un problème. Il faut s'extraire des couvertures, aérer et enfin faire le lit. Trop compliqué !
D'ailleurs, je ne vois pas l'intérêt de faire le lit tous les jours dans la mesure ou on se recouche le soir même. Pour le chien, fini les préparations culinaires élaborées. Au menu : pâtée en boite. Il boude, mais tant pis. Si je peux me contenter de plats cuisinés, pourquoi pas lui ?

JEUDI

Plus de jus d'orange ! Comment un fruit d'aspect si anodin peut-il provoquer une telle pagaille ?
Désormais, j'achèterai du jus en bouteille.

Découverte no 1 : j'ai réussi à m'extirper du lit en défaisant à peine les couvertures.
Comme ça, il n'y a plus qu'a les retaper un peu.
Bien sûr, cela nécessite un certain entraînement et on a intérêt à ne pas trop gigoter pendant la nuit.
J'ai un peu mal au dos, mais une bonne douche chaude et il n'y paraîtra plus.
J'ai cessé de me raser tous les jours. Je gagne ainsi de précieuses minutes.

Découverte no 2 : changer d'assiette à chaque repas est une hérésie.
Les vaisselles à répétition commencent à m'énerver. Le chien, lui aussi, peut manger dans le même bol.
Ce n'est qu'un animal après tout !

Note: je suis parvenu à la conclusion que le passage de l'aspirateur ne s'imposait qu'une fois par semaine... maximum.
Saucisses au dîner et au souper.

VENDREDI

Terminé le jus de fruit en bouteille ! Trop lourd à porter.
J'ai observé un curieux phénomène : les saucisses sont excellentes le matin, un peu moins bonnes le midi et carrément infectes le soir.
Si un homme en mange plus de deux jours de suite, elles risquent même de lui occasionner de légères nausées.
Le chien a eu des croquettes. C'est tout aussi nutritif et le bol reste propre.
J'ai découvert qu'on pouvait boire la soupe directement à la casserole. Elle a exactement le même goût.
Plus de bol, plus de louche ! Désormais j'ai moins l'impression d'être réincarné en lave-vaisselle.
J'ai cessé de passer le balai dans la cuisine. Cela me tapait autant sur les nerfs que de faire le lit.
Note : laisser tomber les conserves. Ca salit l'ouvre-boites.

SAMEDI

A quoi bon se déshabiller le soir pour se rhabiller le lendemain matin ?
Je préfère occuper ce temps à me reposer un peu. Pas la peine non plus d'utiliser les couvertures :
comme ça, le lit reste impeccable.
Le chien a laissé des miettes partout. Il s'est fait gronder. Je ne suis pas sa bonne !
Etrange : c'est exactement la réflexion que ma femme me fait parfois.
Aujourd'hui, rasage. Mais je n'en ai vraiment pas envie. Je suis à bout de nerfs.
Pour le déjeuner, proscrire ce qui doit être déballé, ouvert, coupé en tranches, étalé, cuit ou passé au mélangeur.
Toutes ces corvées m'exaspèrent. Pour le dîner, manger à même l'emballage. Sans assiette, ni couverts, ni nappe, ni rien de toutes ces choses superflues.
Mes gencives sont un peu sensibles. Peut-être parce que je ne mange pas de fruits :
ils sont trop lourds à transporter. C'est sans doute un début de scorbut.
Ma femme a appelé dans l'après-midi pour savoir si j'avais fait les vitres et la lessive.
Je suis parti d'un éclat de rire hystérique. Comme si j'avais le temps !
Malaise dans la baignoire : le siphon est bouché par des spaghettis.
Ce n'est pas si grave, puisque, de toute façon, je ne me douche plus.

Note : Le chien et moi mangeons ensemble, directement au frigo.
Il faut faire vite pour ne pas laisser la porte ouverte trop longtemps.

DIMANCHE

Le chien et moi sommes restés au lit, à regarder la télévision.
Nous avons salivé tous deux en voyant des gens faire des agapes.
Nous sommes épuises et grognons autant l'un que l'autre.
Ce matin, j'ai mangé quelque chose dans son bol. Aucun de nous deux n'a aimé.
Je devrais vraiment me laver. Me raser. Me peigner. Lui préparer sa pâtée. Le sortir. Faire la vaisselle. Ranger. Penser aux courses. Et tout le reste... Mais, je n'en ai vraiment pas la force.
J'ai l'impression d'avoir des problèmes d'équilibre et de vision. Le chien ne remue même plus la queue.
Seul l'instinct de conservation nous à permis de nous traîner jusqu'au restaurant, où nous avons passé plus d'une heure à manger des tas de bonnes choses dans de multiples assiettes... avant d'aller à l'hôtel.
La chambre est propre, bien rangée et douillette. J'ai trouvé la solution idéale..
Je me demande si ma femme y a jamais pensé.

Un conseil si vous devez vous absenter, Mesdames...

réservez deux places au chenil...

Auteur inconnu

Le Pèlerin

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 avril 2006 5 21 /04 /avril /2006 23:03

 

 

 

 

 

Deux blagounettes pour rire un peu

 

 

 

 

 

 

 

Un  mari et la femme ont une chicane terrible le jour de leur quarantième anniversaire de mariage.

- Quand tu vas mourir, ma vieille, je vais faire écrire sur ta pierre tombale: Ici gît ma femme froide comme la pierre

- Bien moi, je vais faire écrire: Ici gît mon mari, enfin raide

 

 

 

Une femme aidait son mari pour l'installation de son nouvel ordinateur et à un certain moment, durant la mise à jour des programmes, il a eu un message demandant de créer un mot de passe. 

 

L'homme étant dans un état de tendresse et se sentant amoureux, opta, pour épater son épouse, le mot de passe suivant:  PENIS.

 

 

 

Sa femme est presque tombée de sa chaise en riant de toute ses forces en voyant la réponse de l'ordinateur ?

 

 

 

Mot de passe rejeté, pas assez long...

 

 

 

Blagounettes relayées par

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

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18 avril 2006 2 18 /04 /avril /2006 23:09

 

La Belle Mère aux enchères...

Internet est magnifique. Je n'arrête pas de le dire. On y trouve de tout, on peut tout y vendre, même ce qu'on pensait ne pouvoir refiler à personne tant son intérêt est limité.  

 

Même une belle-mère. Si si. c'est en tout cas ce qu'aura tenté un Britannique de 42 ans.  

 

"Elle vient des États-Unis, elle ne se porte pas mal pour son âge, et cuisine plutôt bien." 

 

C'est par ces mots qu'un chômeur Britannique de 42 ans commence son annonce sur eBay. L'annonce en question concerne sa belle-mère, qu'il met en vente sur eBay après avoir, selon ses dires, trop supporté ses remarques. Mise à prix pour 1 livre sterling (environ 1,4 euro), cette annonce rejoint la longue liste des bizarreries que l'on peut trouver sur eBay, aux côtés d'un porte-avions, d'un bombardier, d'une petite fille et autres. Les règles d'eBay interdisent la vente de produits alcooliques, de cartes de crédit, ce nourriture, de feux d'artifices et d'armes, l'accès aux produits pornographiques et la circulation d'objets nazis, mais visiblement pas la vente d'une personne humaine. Reste à revoir ces règles, messieurs de la baie

Le Pèlerin

 

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18 avril 2006 2 18 /04 /avril /2006 00:00

 

 

 

 

Le Fermier et la Machine à traire

 

 

 

  

 

 

 

Un Fermier commande une trayeuse automatique à vache très high-tech.


Comme sa femme est partie faire des courses il décide, après un mélange de fantasme et d'hésitation, de l'essayer sur ... lui-même.


Il insère donc son  XXXX dans la trayeuse et la met en marche…... et il ne met pas longtemps à réaliser que cet équipement lui procure un plaisir intense !!!!!

Une fois "soulagé", il essaye d' enlever le boyau de succion ... sans résultats !

Il lit donc hâtivement le manuel d'instruction, mais n'y trouve rien d'utile...

Il tripote tous les boutons de la machine ... sans plus de succès...

Finalement, il se précipite sur son portable et appelle le service après-vente.

- Allo!!...je viens de me procurer votre nouvelle trayeuse. Elle fonctionne très bien, mais comment je fais pour l'enlever de la vache ? ? ?

 

 

 

 

   Le Pèlerin
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13 avril 2006 4 13 /04 /avril /2006 23:10

Blagounete ralayée par

Le Pèlerin

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12 avril 2006 3 12 /04 /avril /2006 23:30

 

                                                   Histoire Véridique




Cher Monsieur,


J'ai l'honneur d'accuser réception de votre lettre du 12 avril dernier par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement de l'argent que je vous dois.

Sachez tout d'abord que je ne conteste nullement ma dette et que j'ai l'intention de vous rembourser aussitôt que possible.

Mais d'autre part, je vous signale que j'ai encore beaucoup d'autres créanciers, tous aussi honorables que vous, et que je souhaite rembourser aussi.

C'est pourquoi, chaque mois, je mets tous les noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je m'empresse de rembourser immédiatement.

J'ose espérer que votre nom sortira bientôt.

Entre-temps, je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de mes sentiments distingués.



Signature  

 


P.S. : Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j'ai le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain tirage...

Une blagounette relayée par

 

Le Pèlerin

 

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10 avril 2006 1 10 /04 /avril /2006 00:00

 

 

 

 

 

 Ah ! Ces Américains… 

 

 

 

 

  

 

Un touriste américain visitant l'Espagne s'arrête à un restaurant de  Pampelune.
Tout en sirotant sa sangria, son attention se porte sur une alléchante  assiette servie à la table voisine. Non seulement cela semble savoureux,  mais aussi ça dégage un arôme qui tient du divin ...

Il s'informe donc au garçon: "Mais quelle est cette merveille que vous  venez de servir ? " le garçon de répondre: "Ah Senör, vous avez du goût! Ce sont les  testicules du taureau du combat  de cet après-midi. Un plat d'une délicatesse que l'on nomme le Délice Espagnol! "

 

 


 L'américain un peu médusé, lui dit: "Après tout, je suis en vacances,  servez-moi donc ce régal ! "
Mais le garçon de reprendre, "Je regrette Senör. On ne peut servir ce plat  qu'une fois par jour, car il n'y  a qu'un seul combat par après-midi. Si  vous revenez plus tôt demain et que vous êtes le premier à commander .... alors, nous pourrons vous réserver ce grand délice.

 Le lendemain, l'Américain revient, réserve son menu, et, un peu plus tard,  il se fait servir ce seul et unique délice du jour.  Après avoir humé son  assiette, examiné la présentation et s'être délecté de quelques petites  bouchées, il rappelle le garçon et lui dit :  "Elles sont délicieuses, mais elles sont beaucoup, beaucoup plus petites  que celles que je vous ai vu servir hier .."
Le garçon hausse les épaules et dit... "Si Senör. Mais il arrive parfois  que c'est le taureau qui gagne !
 

Blague relayée par

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

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