Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

8 août 2009 6 08 /08 /août /2009 06:01

El Manara de Miliana en visite à Cherchell

Balade amicale dans l’ex-Césarée

Plusieurs membres de l’association culturelle El Manara de Miliana, wilaya de Aïn Defla, étaient à Cherchell pour contempler l’ex-Césarée.
L’association El Manara, une structure qui active sous le slogan « Se souvenir et commémorer » était à Cherchell pour une excursion qui s’est convertie, en fin de compte, en une rencontre entre familles pour devenir enfin un motif de découverte de l’histoire du patrimoine culturel au niveau de cette région. L’initiative de ces femmes et hommes venus de Miliana était orchestrée par le président de l’association, Landjerit Mohamed, qui n’a ménagé aucun effort pour que la réussite soit totale. Le maestro, Landjerit Mohamed, avec son allure sportive, ce qui est normal pour un professeur d’éducation physique en retraite du lycée de Miliana et un musicien pluridisciplinaire avéré, toujours actif, arrive à diriger l’harmonie des mouvements de sa troupe et gérer les humeurs de ses éléments dans une ambiance agréable. Déjà à l’entrée de Cherchell, le jour de l’arrivée à Miliana, des petits bouquets de roses étaient offerts à chaque invité. C’était bien parti pour le reste du séjour malgré la hausse du mercure. La première halte de cette visite aura lieu au port de Cherchell pour une petite croisière dans les eaux de l’ex-Césarée. Korchi Mohamed, Hamza Mâamar et quelques anciens élèves du lycée Ferroukhi Mustapha de Miliana attendaient la délégation. Le chalutier qui devait transportait les Milianaise et les Milianais, était fin prêt. Les services des garde-côtes de la wilaya de Tipaza informés sur cette louable initiative, ont fait venir leurs éléments à bord d’une embarcation rapide du port de Bouharoun, pour servir d’escorte au chalutier. Les femmes et les hommes de l’association culturelle El Manara étaient ravis par l’accueil des éléments de la Marine nationale et leurs amis de Cherchell. Certains invités n’avaient jamais effectué de leur vie une balade à bord d’un chalutier. Une femme enveloppée dans son haïk était soutenue par un soldat de la Marine pour monter à bord du chalutier. Les officiers supérieurs de la Marine nationale, après avoir souhaité la bienvenue, observaient le « transbordement ». La balade n’aura duré finalement que 28 minutes, mais elle était somptueuse. La ville de Cherchell, vue à partir de la mer, dégageait beaucoup de nostalgies pour ces femmes et ces hommes. Le « conteur », Korchi Mohamed, président de l’Office local du tourisme (OLT) de Cherchell, s’est aussitôt reconverti en guide. Il invite les hôtes des familles cherchelloises à se rendre au marabout de Sidi Braham El Ghobrini. Quelques descendants du saint Sidi-Braham ont accueilli ces touristes particuliers. Quelle surprise pour ces invités venus de Miliana ! A l’intérieur de la zaouïa, il y avait la foule des grands jours. C’est la « waâda » de Sid-Braham. Recueillement puis des discussions sont entamées avec les vieux hommes vêtus de leurs habits traditionnels. Issus de la région de Djelida (Aïn Defla), ces habitués de la « waâda » sont venus la veille pour assister à la fête collective. Beaucoup d’anecdotes et de récits sur l’histoire du mausolée où sont enterrés, depuis des siècles, le saint homme et ses descendants. Chaque adhérent de l’association El Menara allume une bougie. Des tables sont installées à l’extérieur de la bâtisse sur une terrasse de fortune que les roseaux ont du mal à dissimuler. La mer et le port de la ville sur lequel est érigé la sentinelle des mers (le phare, ndlr), s’offrent aux regards des invités de Cherchell. Un menu traditionnel commence à être servi. Couscous en sauce blanche et aux légumes de saison à volonté, garni de viande ovine est au menu du déjeuner. L’assistance est rassasiée par l’abondance. Cela a été délicieux et spontané. Quelques éclats de rire retentissent des tables.

En attendant la fête du Mawlid ennabaoui

Une virée à Aïn K’Siba (Casbah locale, ndlr) ponctuée de youyous inattendus et en pleine rue des femmes milianaises, en ce début d’après-midi, ont suscité la curiosité des nombreuses familles qui résident dans ce quartier de Cherchell, qui date de la période ottomane. Compte tenu de l’âge avancé de certaines touristes, le déplacement s’est effectué par bus pour atteindre l’autre point de visite inscrit à l’ordre du jour. L’intrusion organisée du groupe de l’association El Manara à la mosquée aux 100 colonnes (Djamaâ El Kebir) construit par les Andalous en 1574, aura permis à certains membres de l’association de faire la prière. C’est finalement à l’intérieur de la maison au style mauresque habitée par la famille du défunt Hadj Nour Eddine Souilamas que s’est achevée cette virée. Des gâteaux traditionnels fait à base de semoule (makroute) et mielleux assorti d’un jus d’orange auront suffi pour rassembler les hôtes avec une poignée de personnes de la ville de Cherchell. Ces ultimes moments ont permis à chacun d’évoquer les souvenirs et les traditions de sa ville lors des manifestations culturelles dans une ambiance conviviale. Cette rencontre citoyenne s’est déroulée sans aucun protocole officiel. Elle n’a rien coûté, en dépit de ses richesses culturelles qui relatent le passé de deux régions qui sont liées par la chaîne montagneuse du Dahra. Prochaine étape pour l’association de Miliana, la fête du Mawlid Ennabaoui qui aura lieu à Alger et qu’elle souhaite marquer de son empreinte.
Source El Watan  M’hamed H
.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 23:45

Le Massif de Néouvielle, ses sommets, sa nature ses lacs
Ci dessus les Lacs
Ci dessous la Carte d'accès

Ci dessous la Carte des lieux

Les Vestiges des Cirques Glaciaires
Emeraude précieuse scintillant dans un écrin de granité, turquoise paisible protégée par une sombre forêt... les lacs de Néouvielle présentent des visages variés. Du haut du col d'Aubert ou du plateau d'Aumar, la vue sur ces lacs étages, ceints de pelouses rases ou de forêts de pins, est riche de surprises.
Au sommet du pic de Néouvielle, les névés, ersatz de glacier, rappellent le passé glaciaire de ces hauts sommets, qui fut à l'origine de la création des lacs. Une immense calotte recouvrait ces montagnes, fleuve de glace vive descendant lentement vers la plaine, et rabotant le granité sous sa masse. Cimes fracturées, roches moutonnées et vestiges de moraines rappellent sans cesse l'important travail d'érosion qu'a subi ici la roche. Chaque creux laissé par les glaciers est aujourd'hui occupé par un lac.
Des eaux changeantes...
Le massif compte plus de 70 lacs, de toutes tailles et généralement peu profonds. À ces réserves d'eau naturelles se sont ajoutées des retenues artificielles, comme les lacs d'Orédon et de Cap-de-Long. Les variations de luminosité, la couleur du ciel, mais aussi l'abondance des algues - on en a recensé ici quelque 550 espèces - jouent sur la couleur de leurs eaux. Le col d'Aubert (2 498 m) offre une vue splendide sur les lacs d'Aumar et d'Aubert, sur les Laquettes situés au pied du pic du Néouvielle.
... bordées de pins à crochets
C'est à cette altitude que s'épanouit le pin à crochets (entre 2 500 et 2 800 m). Ces arbres pluriséculaires (certains d'entre eux ont plus de 1 000 ans), très résistants, se reconnaissent à leur tronc noueux, souvent courbé sous le poids des fortes neiges d'hiver. Les pignons de leurs pommes se terminent par un crochet, d'où leur nom. Sous ces forêts prolifèrent le grand tétras des Pyrénées et le coq de bruyère.

La marmotte, quant à elle, préfère les prairies dont les horizons dégagés lui permettent de guetter l'arrivée de ses prédateurs
Sur la route des Lacs
Coupés du monde agité des vallées, les refuges sont l'occasion de haltes paisibles au cœur des montagnes pyrénéennes. Ces habitations sommaires, qui n'étaient autrefois que de simples abris d'altitude destinés aux alpinistes, accueillent désormais, durant les mois d'été, de nombreux randonneurs. La découverte des lacs du Néouvielle, qui peut être effectuée en quelques heures, ne rend pas nécessaire cette halte rus tique ; un itinéraire mène du lac de Cap-de-Long, situé à 1850 m d'altitude, aux lacs d'Aumar et d'Aubert, 300 m plus haut.
Les Lacs Du Néouvielle Un havre de paix
À une vingtaine de kilomètres au sud de Lourdes, au cœur du parc national des Pyrénées, le massif de Néouvielle surplombe la vallée d'Aure. Au creux de ces flancs résolument sauvages, que dominent plusieurs pics acérés, dont celui de Néouvielle (3 091 mètres), se niche une centaine de lacs. Cette réserve d'eau claire est protégée depuis 1935 par la réserve naturelle du Néouvielle.
Source Office de Tourisme de Saint Lary
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 23:38

Morsure de vipère, conduite à tenir…

Elle laisse deux plaies punctiformes distantes de quelques mm.
Dans 50% des cas, il n'y a pas d'injection de venin ;  sinon en quelques minutes apparaît une ecchymose (un bleu) avec douleur et gonflement local
Ce n'est qu'en cas d'envenimation sévère (surtout chez l'enfant) que vont apparaître d'autres signes 4 à 5 heures plus tard : œdème s'étendant au membre mordu et au-delà, éventuellement essoufflement, perte de conscience, état de choc (chute grave de la tension artérielle), hémorragies diffuses.
Ce qu’il ne faut pas faire !
Je pas sucer la plaie, ni la brûler, ne pas inciser, ne pas poser de garrot parce que cela ne sert à rien et c'est dangereux ; de plus, en aspirant vous risquez de vous contaminer (hépatites, SIDA, etc...), en brûlant vous faites inutilement mal car le venin est trop profond. En incisant, vous aggravez la situation (inflammation, plaie et douleur supplémentaire), quant au garrot il est dangereux pour le membre atteint et peut donner un état de choc lors de sa levée.
Les aspirations avec Aspi venin ne peuvent pas aspirer le venin dans le derme.
Ce qu’il  faut  faire :
Appeler dans tous les cas le 112, ou le 18.
Allonger le sujet et le rassurer. Limiter au maximum les mouvements du blessé.
Enlever bagues, bracelets ou chaussures avant l'apparition d'un œdème.
Désinfecter la plaie avec Bétadine ou Dakin.
Application de glace autour de la plaie.
Ne pas transporter la victime par ses propres moyens avec un véhicule privé
Le meilleur des remèdes : la Prévention :
Porter des chaussures fermées et des pantalons longs ou des bottes.
Ne pas mettre les mains n'importe où sans protection : Tas de feuilles ou de paille, pierre, rocher, refuges préférés des vipères.
En cas de rencontre avec un serpent, passer votre chemin en évitant de l'effrayer ou de le faire fuir.
La vipère est sourde et myope, mais sensible aux vibrations : la nuit se déplacer avec une lampe de poche en frappant le sol avec un bâton.
En camping, jeter un coup d'œil avant de mettre un vêtement, de rentrer dans un duvet.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 23:19

Tout est une question de présentation

Un homme marche tout seule dans le désert, son chameau s'est enfuit avec l'eau et la nourriture.
Au bout d'un moment il voit un marchand. Il s'approche de lui et dit:
- De l'eau, s'il vous plait de l'eau !
Le marchand:
- Désolé, moi je n'ai pas d'eau, je ne vends que des cravates !
Alors l'homme reprend sa route, il est de plus en plus fatigué et le soleil brille haut dans le ciel.
Quelques heures plus tard l'homme voit un deuxième marchand. Mort de soif il s'avance vers lui à genoux. Et il lui dit:
- De l'eau... s'il...Vous...plait !
Le deuxième marchand:
- Ah non, désolé, moi je ne vends que des cravates !
Alors l'homme reprend sa route. Une demi-heure plus tard il tombe sur un troisième marchand. L'homme s'avance avec difficulté et dit à bout de souffle:
- De l'eau... je...vous...en supplie...de l'eau !
Le troisième marchand:
- Ah désolé mon bon monsieur, je ne vends que des cravates moi. Mais un peu plus loin, dans cette direction, il y a un bar.
L'homme:
- Merci... Merci beaucoup !!!
Alors l'homme va en direction du bar, cinq minutes plus tard il le voit enfin. Il commence à courir. Il arrive enfin à l'entrée du bar et demande:
- De l'eau s'il vous plait de l'eau!
Le serveur:
- Ah désolé monsieur mais ici on ne sert que ceux qui ont des cravates !
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 23:11

Pouvoir d'achat: Un budget familial de plus de 25 000 dinars à l'étude

Le patron de la Centrale syndicale a instruit un groupe d'experts de plancher sur une étude relative au budget familial, qui sera dévoilée lors de la prochaine tripartite prévue à la prochaine rentrée sociale. C'est ce que nous avons appris auprès du chargé de la communication, Abdelkader Malki, «l'étude qui concerne une famille moyenne, composée de six personnes, a été commandée par Sidi Said. Elle est en cours de finalisation». Selon les premières informations, «il faut s'attendre à ce que l'étude prévoit un budget qui dépasse les 25.000 DA».
 «Cependant, poursuit notre interlocuteur, elle reste aléatoire et tributaire de l'inflation. L'Etat doit faire un effort pour réguler le marché et contrôler les prix si on veut éviter l'instabilité».
 Concernant les directives du président Bouteflika concernant la revalorisation du SNMG, le responsable syndical nous a déclaré que «des contacts sont entrepris avec nos partenaires du patronat et du gouvernement d'abord, pour organiser une bipartite avec le gouvernement afin de finaliser les rapports sur les statuts particuliers de la fonction publique. Jusqu'à présent, il n'y a que 29 dossiers qui ont été finalisés, il reste encore une trentaine à étudier». «Quant à la tripartite, ajoute notre source, qui doit mettre sur le tapis le dossier du SNMG, rien n'a été encore finalisé. On attend de terminer l'étude sur le budget familial tout en poursuivant les discussions avec le patronat».
A ce sujet, les patrons ont lié la revalorisation du SMIG à la question de la productivité, des impôts et de l'accès au financement de l'investissement. Des préalables qui seront certainement mis sur la table des négociations durant la tripartite annoncée pour l'automne prochain. Pour rappel, la volonté de revoir le SNMG a été au coeur de la campagne présidentielle de Bouteflika, et reste l'une des grandes promesses faites aux travailleurs avec celle de promulguer le reste des statuts particuliers avec leur régime indemnitaires, sous le coude depuis des années, et à l'origine de mécontentements au sein du monde du travail.
La volonté du président a été réitérée à l'occasion du Conseil des ministres tenu mardi dernier. Le chef de l'Etat a insisté sur l'apport des travailleurs qui « doivent se mobiliser davantage, pour produire, sauvegarder la viabilité de leur entreprise et contribuer à créer plus de valeur ajoutée dont ils auront, alors, leur juste part en amélioration de leurs salaires».
A cet effet, «le président a instruit le gouvernement de tirer profit de la prochaine réunion de la tripartite prévue à l'automne prochain et qui, outre le relèvement annoncé du salaire minimum garanti sur lequel elle se penchera, devra contribuer à mobiliser davantage les représentants des travailleurs et les organisations patronales nationales autour de cet effort d'intensification du développement de l'outil productif, conformément au Pacte national économique et social conclu voilà trois années».
Le SNMG a toujours été au coeur des préoccupations sociales vu que le pouvoir d'achat n'a cessé de dégringoler. Il faut rappeler que c'est durant les années 1990 que la question du SNMG a été soulevée.
A l'époque, le prix du baril du pétrole avait considérablement chuté. Les petites bourses étaient les premières à être affectées. Commencèrent alors, sous la pression d'une grogne sociale et de mal-vie, les rounds de négociations dans le cadre des bipartites entre le gouvernement et l'UGTA. Le SMIG a connu plusieurs étapes.
En plusieurs années, il est passé de 4.000 DA à 6.000 DA (sur plusieurs tranches) ensuite à 8.000 DA, à 10 000 DA et enfin à 12 000 DA, toujours après d'âpres tractations. Actuellement, les «rumeurs» parlent de 15 000 DA, voire 18.000 DA. Ceci dit, quelle que soit la hausse, elle ne peut avoir un réel effet sur le pouvoir d'achat si elle n'est pas accompagnée d'une politique des prix efficiente et tant que le marché reste régi par la spéculation. Par ailleurs, l'UGTA a commémoré hier, à la maison du Peuple, le 50ème anniversaire du décès de Aïssat Idir, l'un des fondateurs de l'UGTA et son premier secrétaire général.
Source Le Quotidien d’Oran M.R.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 06:08

Heurts entre Algériens et Chinois à Alger

Des affrontements se sont produits entre des Algériens et quelques dizaines de ressortissants chinois hier après-midi à Bab Ezzouar, ont indiqué aujourd'hui à l'AFP des habitants de ce quartier excentré d'Alger.

Les échaufourrées ont opposé habitants et Chinois, dont certains armés de couteaux et de barres de fer, selon les locaux.

La raison exacte de la rixe restait floue mais aurait commencé après une altercation entre un commerçant algérien et un Chinois, selon un habitant du quartier situé à une quinzaine de kilomètres de l'aéroport international d'Alger

Source AP

Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 06:00

Google Android bientôt dans votre salon
Google commence à rendre public le code source de son portage d'Android, le système Le système d'Android de Google pourrait se retrouver intégré à des téléviseurs nouvelle génération/Montage/DR

HIGH-TECH - Le système d'exploitation mobile de Google fait son chemin vers les téléviseurs...

Google à la conquête du canapé? Pas directement. Mais le fabricant de puces électronique MIPS d'exploitation de Google initialement conçu pour les smartphones comme le G1. De quoi ouvrir la porte à l'arrivée d'Android dans des magnétoscopes numériques et des téléviseurs nouvelle génération.

Maison digitale

Basé sur un noyau linux, Android a démarré comme système pour téléphones mobiles uniquement. Mais rapidement, des bidouilleurs ont réussi à le porter sur un netbook (un mini ordinateur portable). Le système est en effet open-source, et chacun est libre d'accéder au code et de le modifier selon ses besoinsLes téléviseurs «intelligents» étaient l'une des tendances du CES 2009 de Las Vegas. Yahoo a notamment signé un accord avec Intel pour intégrer à la télé ses widgets, des petits modules graphiques type météo, cours de bourse ou fil d'actualité. Mais avec Android, MIPS –et d'autres– ne visent pas seulement la télévision. Boîtes multimédia, cadres photo numérique, VoIP... Ils pourraient faire d'Android le cœur ouvert d'une maison digitale communicante.

Avec Android, Google a grandement élargi son horizon. Sans parler de l'annonce de Chrome OS, un système d'exploitation light qui veut faire d'Internet son centre nerveux. Plus que jamais, Microsoft et Apple ont un sérieux concurrent. Google

Dans une interview au «New York Times», Art Swift, de MIPS, ne tarit pas d'éloges sur Android: «C'est vraiment une belle pièce d'architecture système, facilement personnalisable et polyvalente. En 25 ans dans ce secteur, je n'ai jamais vu une technologie décoller aussi rapidement», se félicite-t-il.

Un enthousiasme pas forcément dénué d'arrière-pensées: Ars Technica rappelle que MIPS est en perte de vitesse face à son concurrent

Google dans votre samon, pourquoi pas ou trop envahissant?

Philippe Berry, à Los Angeles

Source 20minutes. fr

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 23:55

Algérie - Cadre de vie
Nombreux, les candidats au départ

Qu’est-ce qui peut attirer aujourd’hui les émigrés algériens vers leur pays ? Avant de répondre à cette question, il faudrait d’abord savoir pourquoi ils sont partis et pour quelles raisons ils hésitent à rentrer définitivement au pays.
Le rideau est tombé sur la première université d’été de la communauté nationale établie à l’étranger. Quel bilan peut-on tirer de cette manifestation et avec quel état d’esprit repartiront les émigrés algériens ? La question se pose avec acuité surtout lorsqu’on sait que l’un des objectifs principaux de cette rencontre, qui est appelée à se renouveler, est d’écouter les émigrés et capter, si possible, la matière grise algérienne installée un peu partout dans le monde.
Qu’est-ce qui peut attirer aujourd’hui les émigrés algériens vers leur pays ? Avant de répondre à cette question, il faudrait d’abord savoir pourquoi ils sont partis et pour quelles raisons ils hésitent à rentrer définitivement au pays. C’est là toute la problématique qui préoccupe notre communauté à l’étranger et les difficultés rencontrées par les autorités pour attirer plus d’Algériens installés à l’étranger à venir participer activement au développement économique et social du pays.
Dans les faits, les cadres algériens peuvent apporter beaucoup au pays tout en demeurant à l’étranger. Mais il faut bien admettre que même si la situation financière a évolué et que d’importants projets de construction d’infrastructures ont été engagés, le cadre de vie s’est sérieusement dégradé. L’absence de l’administration dans la gestion de la cité et la prolifération de métiers informels tels que les parkings sauvages, qui poussent même sur les grands boulevards de la capitale, et la disparition de l’échelle des valeurs sociales sont pour beaucoup dans la fuite des cerveaux.
La tenue de la première université d’été aura permis de cerner l’ensemble des préoccupations et les responsables n’ont pas hésité à appeler les émigrés à rentrer au pays en leur assurant que tous les moyens seront mis à leur disposition.
Le discours est, certes, le même depuis des années, mais concrètement, qu’a-t-on fait pour susciter l’adhésion des quelque 7 millions d’Algériens résidant à l’étranger aux efforts de développement consentis pour faire de l’Algérie un pays émergent ?
Source Liberté Salim Tamani
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 23:32

Drague...Un été très chaud!

Pour les Français, les vacances favorisent le passage à l'acte.
Il y a du flirt dans l'air. Avec ses rayons qui nous déshabillent et nous dorent la peau, l'été est une saison propice à l'amour. Soit parce qu'elle nous incite à faire de nouvelles rencontres, soit parce qu'elle permet aux couples de se rapprocher et de se retrouver. La preuve : 46 % des Français déclarent faire plus souvent l'amour quand ils sont en vacances.
Aurélien, un Toulousain de 29 ans, confirme. « L'été, je passe plus de temps avec ma moitié… On sort plus souvent, on va se balader dans la région, et… oui, c'est vrai qu'on passe plus de temps au lit. » Il rit, avachi sur son scooter, et ajoute : « Pendant les vacances, je suis moins stressé et je pense être meilleur… enfin tu vois quoi ! » Traduction : l'été, le jeune homme ferait « mieux » l'amour que pendant le reste de l'année. Même son de cloche pour Julie et Anna, deux lycéennes de 16 ans. « Les examens sont loin, c'est plus facile de se détendre… On est plus libérées, sourient-elles, en sirotant leurs « monaco » à la terrasse d'un bar toulousain. Elles poursuivent, l'air malicieux : « Il y a quelques jours, on se baladait place Saint-Pierre, lorsqu'un groupe de garçons nous a demandé une cigarette. Peu après, on les a retrouvés dans un bar, et une de nos copines sort maintenant avec l'un d'entre-deux ! »
Tendance Ecolo
Chaque saison a ses codes, ses modes. Cet été, la tendance, c'est l'amour écolo. Mais trouver un partenaire végétarien, anti-OGM, protecteur de la nature, ou porté sur le massage zen n'est pas chose facile ! Sauf sur la Toile, où le site Amours Bio (www.amours-bio.com) permet de mettre en relations ces célibataires verts. En outre, Internet regorge déjà de sites de vente de préservatifs ou de lubrifiants équitables (préservatifs NamNam ou lubrifiant naturel au kiwi sur www.neomansland.fr). Autre fait caractéristique : avec la crise, les couples qui ne partent pas ressentiraient le besoin de pimenter leur sexualité. C'est en tout cas ce qu'affirme Serge Louski, le patron du « Sexy Center », supérette très spécialisée de Quint Fonsegrives, près de Toulouse. Dans son magasin : de la lingerie fine, des vidéos ou les dernières créations en matière de jouets érotiques. Le patron l'affirme, la fréquentation ne cesse de croître, « avec environ un millier de personnes chaque jour. »
D'après une étude TNS Sofres parue au mois d'avril, et qui classe les Français en différents « sexotypes », 38 % d'entre eux sont des types « affranchi » et « décomplexé tranquille » en matière de relations sexuelles. A n'en point douter, si vous vous reconnaissez dans l'une de ces catégories, l'été s'annonce radieux !
Objets tendance de l'été
Quelles sont les tendances cette année ? Petit détour dans les allées du « sexy center » de Quint Fonsegrives. La grande surface du couple, selon Serge Louski, son patron. Et pour lui, pas de doute, l'huile de massage comestible est la grande réussite de l'été. « Presque tous » ses clients repartent avec l'un de ces petits flacons colorés que l'on étale sur le corps de l'être aimé, avant de déguster… Et pour accompagner les enfants dans leurs devoirs de vacances, on trouve au rayon librairie des « cahiers de vacances érotiques. » Attention, ceux-là sont à conserver hors de portée des bambins, et renferment toutes sortes de quiz, coquins ou plus sérieux, sur la sexualité.
Le canard de bain vibrant, lui, ne se présente plus…
Les Français et l'amour
59 % des Français interrogés par la TNS Sofres déclarent ne pas concevoir l'amour sans une sexualité épanouie.
67 % des personnes interrogées sont amoureuses, et contrairement aux idées reçues, les hommes semblent plus mordus que les femmes.
81 % : une majorité écrasante de personnes, donc, connaissent ou ont connu le grand amour, et certains même plusieurs fois.
39 % : Ce sont deux Français sur cinq qui se disent prêts à tout laisser tomber pour suivre leur cœur même s'il s'agit de changer de pays par amour.
64 % refuseraient de quitter leur conjoint et 72 % de se brouiller avec la famille et amis si l'amour les appelait.
« L'été est l'occasion de partager une audace »
Le docteur André Corman est le président des médecins sexologues de France. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier s'intitule « Fantasmes. Ce dont rêvent les femmes » (éditions Balland). Il nous donne des conseils pour booster notre sexualité en été.
LA DEPECHE DU DIMANCHE : En quoi, les vacances sont-elles favorables à une sexualité épanouie ?
André CORMAN : D'après Epicure, le plaisir est le pansement de l'âme. Les vacances estivales sont un moments privilégié pour renouer avec une sexualité épanouie. C'est l'occasion de remettre le sexe au premier plan. Surtout si ça n'était pendant l'année qu'une routine, un simple besoin naturel, relégué à 23 h 30, faute de mieux. Toute relation se base sur le désir, l'excitation et l'orgasme.
DDD : Quels conseils donneriez-vous pour booster sa sexualité ?
A. C. : D'abord parler de sexe. Souvent, les couples que je reçois ont du mal à évoquer ouvertement leurs relations sexuelles. C'est pourtant fondamental. Il ne faut pas avoir peur d'en parler. Je préconise la création d'un temps de l'intime. Sans aucun tabou, pour évacuer les gênes propres à chacun.
DDD : Le désir se stimule… Comment s'y prendre ?
A. C. : En fouettant son imaginaire. Il faut penser au sexe pour éveiller ses désirs, et renouer avec une certaine excitation. En d'autres termes, il faut construire ses fantasmes. Et pour ce faire, la littérature érotique peut aider. Je conseille de choisir ces ouvrages en fonction de ses attentes, tout en faisant preuve d'audace : il ne faut pas hésiter à jouer avec la pudeur. Une excellente librairie érotique surwww.lamusardine.com
DDD : Comment éviter la routine ?
A.C. : En faisant des jeux. La surprise constitue un important facteur de désir. Un seul mot d'ordre : bousculer ses petites habitudes, brouiller les cartes et créer de l'incertitude pour créer ou relancer l'intérêt sexuel. On peut, par exemple, songer à abandonner son rôle intime habituel (celui qui ne prenait pas d'initiatives en prend, etc.). On peut aussi songer à se dénuder pour éveiller l'imagination de l'autre. Le jeu permet de briser les tabous d'un couple, tout en le rassurant, car la règle protège.
DDD : C'est aussi le moment d'être attentif aux désirs de l'autre….
.C. : Il faut insister sur les sensations. On l'oublie trop souvent, mais on fait l'amour avec ses cinq sens. Pourquoi ne pas profiter de l'été pour affiner ses sens ? Pour relancer son odorat, on peut utiliser des crèmes ou du monoï. Les caresses et autres massages peuvent aussi déclencher le plaisir. Tout comme les paroles : pourquoi ne pas se redraguer? Jouer du SMS ? L'essentiel est de se laisser aller, de redécouvrir ces sensations. On peut très bien avoir des rapports, sans pour autant aller jusqu'au bout.
DDD : Que faire quand on est déjà en couple ?
A.C. : Passer des moments complices pour relancer le plaisir. Certains s'essayeront à la randonnée, d'autres passeront une journée sur les bords d'un lac de montagne. Le couple qui ne sortait plus se retrouvera un soir sur une piste de danse. L'été est l'occasion, en quelque sorte, de partager une audace.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 23:22

Ah...Les Femmes....!!!

Pourquoi la femme était-elle nue ?
C’est un mari qui rentre chez lui à l’improviste. Il entre dans la chambre et s’étonne de trouver sa femme entièrement nue…
- Ben ma chérie… Pourquoi tu es toute nue ?
- C’est parce que tu m’achètes plus de vêtements, alors forcément, j’ai plus rien à me mettre !
- Tu te fous de moi ? Il ouvre la penderie et compte les robes sur les cintres :
- Une robe… deux robes… trois robes… pardon monsieur… quatre robes…

Pizza au quatre fromages
ne blonde téléphone pour avoir une pizza
- Allo, je voudrais une pizza aux 4 fromages.
- Parfait madame, vous voulez que je vous la découpe en 6 ou en 12 pointes?
- Oulala..! Douze pointes c'est beaucoup trop pour moi. Je ne suis pas une goinfre. Six pointes ça ira.
Le Pèlerin


Partager cet article
Repost0