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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 23:52

Un ancien All Black Byron Kelleher passe au vert 

 

Sa terre est ovale et pourtant, Byron Kelleher s'engage à la préserver.
Le demi de mêlée néo-zélandais du Stade Toulousain a lancé hier sa fondation, Kelleher For Youth (« Kelleher pour la jeunesse »).
Cette structure, destinée à « favoriser l'éducation et l'épanouissement des jeunes », s'appuie sur deux piliers : le développement durable et le sport.
Cette fondation devrait financer, dès le mois de juin, la production et la diffusion de 10 000 DVD éducatifs dérivés du film Home, réalisé par Yann Arthus-Bertrand et produit par Luc Besson. Ce documentaire événement pose la question des dégâts environnementaux provoqués par l'homme et lance des pistes de réflexion pour y remédier. « L'objectif de notre association est totalement en phase avec la production d'un tel support pédagogique », souligne le rugbyman. Il s'engage par ailleurs à soutenir la carrière de jeunes sportifs amateurs qu'il jugera « exemplaires »
Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 23:10

Colère des paysannes de l'Atlas au sujet de l'huile d'argane

 

Cette production a été propulsée" sur le marché international vers 2004."Les grands laboratoires se sont mis à communiquer sur l'image de la femme berbère à qui ils donnaient du travail et de la dignité", ironise Mme Charouf.
En quelques années, tandis que les intermédiaires se multipliaient, des industriels marocains et européens ont installé à Casablanca et Marrakech de petites unités ou usines a fort potentiel, équipées en machines d'extraction capables de produire aux normes de l'exportation. Le marché du cosmétique est porteur en Europe, aux USA, au Canada et au Japon; l'huile d'argan y occupe les rayons beauté des supermarchés au sein d'une gamme de plus en plus large de produits vendus à grand renfort de marketing.
Toutefois, aucune machine ne brise correctement la noix d'argan. La plupart de ces industriels achètent donc pour une somme dérisoire des tonnes d'amandes à des grossistes. Ceux-ci s'approvisionnent auprès des paysannes isolées qui n'ont pas le pouvoir de négocier la valeur de ce qu'elles livrent, le fruit lui-même, sa récolte, son dépulpage et son concassage.
En coopérative, en revanche, une femme gagne au mois 4 euros par jour et bénéficie d'autres avantages (cours d'alphabétisation, crèche, éventuel partage des bénéfices), observe Mme Traabt Racmain, la président de l'Association nationale des coopératives d'argan (ANCA).Néanmoins ,elles ne parviennent pas à faire face à la guerre des prix que livrent les industriels: le coût de revient d'un litre d'huile en coopérative, rien qu'en matière première et en salaire, est, selon Mme Rachmain, d'au moins 18 euros. Or, des entreprises vendent le litre une vingtaine d'euros dans les supermarchés du Maroc (alors que le prix est entre huit et dix fois plus élevé en Europe).
Parmi ces industriels, l'entrepreneur français Benoit Robinne occupe l'une des premières places."Nous faisons travailler à façon 2000 à 3 000 femmes dans des douars, à qui nous livrons des sacs de fruits, les rémunérant 5,30 euros par kilo[donc par jour ]pour leur travail de concassage" assure-t-il. M.Robinne n'en a pas moins été filmé par les journalistes de l'émission télévisé "Envoyé Spécial" au souk , en compagnie d'un collaborateur portant une valise remplie de billets pour négocier de grosses quantités d'amandes. Sa société Absim, produit entre 8 000 et 12 000 litres par mois, selon la directrice de l'usine à Casablanca. En comparaison, une coopérative ne peut produire plus de 15 litres sur la même période.
Du coup, sous la pression de la demande, cette forêt qui s'étend sur 820 000 hectares est de plus en plus menacée, bien qu'elle ait été reconnues" réserve  de la biosphère" par l'UNESCO.
"Tous les fruits des arganiers sont ramassés a forêt ne se régénère plus naturellement. On voit même des gens gauler les fruits, ce qui nuit à la prochaine floraison, se plaint M. Azenfar. Pour ne rien arranger, les arganiers n'ont presque rien donné durant l'été 2008, du fait de la sécheresse devenue structurelle.
La matière première se raréfiant, son prix a alors triplé en deux mois. s spéculateurs ont déjà constitué des stocks de fruits pour le revendre à prix fort aux industriels obligés d'honorer leur commande. Des coopératives se sont arrêtées de produire faute de fonds pour s'approvisionner en fruits", s'alarme Mme ROCHMAIN .Si la récolte 2009 devrait être meilleur, la situation ne peut qu'empirer à long terme: les programmes de plantation de cet arbre qui donne des fruits seulement au bout de dix ans n'arrivent pas a compenser la perte d'environ 600 hectares de forêts par an.
Ainsi, la jeune coopérative Okhawa à Tadourant n'a reçu ni machines ni soutien financier .Malika, une jeune femme dont la ferme a été noyée par l'un des barrages d'Aoulouz, ne peut compter que sur la motivation et la solidarité d'une trentaine d'associées."Nous en avions marre de travailler pour les grandes fermes "expliquent la plus part d'entre elles. Les femmes du syndicat des paysans pauvres d'Aoulouz aimeraient aussi monter une coopérative. Mais ces deux groupes manquent de moyens. "Que faire d'autre ?"s'interrogent-elles.
L’élevage de chèvres, l'avancée du désert pousse les nomades du sud, avec leurs troupeaux, dans la forêt d'arganier-qui souffle déjà de surpâturage. Agriculture familiale, argan et élevage constituaient les trois ressources traditionnelles des paysannes berbères du Souss Massa Draa. Ces activités maintenaient une petite économie rurale assurant la sécurité alimentaire, assez des modes d'exploitation qui ne demandaient qu'à évoluer. C'est aussi la culture amazighe qui disparait.
Kabira exprime son inquiétude en un geste : elle mime le vol d'un avion en direction de l'Europe et elle lance :"ici walou ".


Source Actu-Dz.com Cécile Raimbeau

 

Le Pèlerin

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 23:07

Humour – Aux grands maux les grands remèdes

C’est une femme qui, au bout de plusieurs années de mariage, en avait soudain plus qu'assez que son mari exige qu'ils fassent toujours l'amour dans le noir. Espérant libérer son mari de ses inhibitions en agissant sans prévenir, elle profite d'une séance de ça-va-ça-vient torride pour allumer la lumière... et découvrir en son sexe non pas un pénis turgescent mais un concombre tout à fait naturel.
- Tu ne vas pas me dire que tu as utilisé ça pendant les cinq années qui viennent de s'écouler ?
- Chérie... Laisse-moi t'expliquer !
- Espèce de salaud. Tu n'es qu'un... qu'un... qu'un impuissant !
- Impuissant peut-être, mais en parlant de salaud, peut-être voudrais tu m'expliquer comment sont nés nos trois enfants ?

Le Pèlerin

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 05:52

Algérie - Conséquence de la chute des prix du pétrole : Les revenus du pays baissent de moitié

La crise économique mondiale jette une ombre sur l’Algérie. Et les premiers effets se font déjà ressentir. La valeur de la recette des exportations algériennes a atteint 10,74 milliards de dollars au 1er trimestre 2009, soit une baisse de 42,07% par rapport à la même période en 2008, selon les chiffres du Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS) des Douanes, cité, hier, par l’APS. Unique source de revenus pour l’Algérie qui représentent 97,27% de la valeur globale des recettes, les exportations en hydrocarbures ont plongé, passant de 18,01 milliards de dollars durant le 1er trimestre 2008 à près de 10,45 milliards de dollars durant la même période en 2009, soit une baisse significative de 42%, selon la même source.
Cette baisse inquiétante des recettes pétrolières trouve son origine dans la dégringolade des prix du pétrole. Culminant à 110 dollars au cours de la même période de 2008, le baril de pétrole est cédé à 52 dollars le baril au cours du premier trimestre 2009. Les exportations hors hydrocarbures déjà dérisoires atteignant à peine 2,73% du volume global des exportations, ont enregistré une baisse de 44%, avec une valeur de 293 millions de dollars. Parmi les produits hors hydrocarbures exportés, citons le groupe « demi-produits » avec une valeur de 198 millions de dollars, soit 1,84% du total des exportations, suivi du groupe « produits bruts » avec une valeur de 40 millions de dollars, du groupe « biens alimentaires » avec 32 millions de dollars et des « biens d’équipements industriels » avec 12 millions de dollars, précise le CNIS.
A voir de plus près cette « moisson » trimestrielle, force est de reconnaître que la maigre cagnotte enregistrée suffit, à elle seule, pour apporter la nette contradiction aux propos rassurants des responsables algériens, pérorant à chaque fois qu’une tribune leur est offerte, sur une Algérie à l’abri des répercussions néfastes de la crise économique mondiale. De nombreux économistes, à contre-courant du discours officiel, soutiennent que l’Algérie n’est pas à l’abri. D’autant plus que l’économie rentière est sujette aux caprices du marché pétrolier, relèvent-ils. « Ce prix bas pourrait se traduire par une chute considérable des recettes d’exportation du pays, une réduction de la capacité d’épargne budgétaire, un amenuisement des réserves de change, un tarissement du fonds de régulation des recettes et un assèchement de l’épargne accumulée », analysait Farid Yaïci, professeur en économie à l’université de Béjaïa (voir El Watan du 19 avril). Ces sombres perspectives ont été confirmées par les prévisions peu optimistes du Fonds monétaire international (FMI) qui met en garde contre une « longue et intense récession » de l’économie mondiale.

Hausse des importations

Même l’Opep a baissé, à nouveau, dans son rapport du mois dernier, sa prévision de demande de pétrole brut pour 2009 en raison du recul de la consommation entraîné par la récession mondiale et craint une baisse des prix avec pour éventuelle conséquence une diminution des quotas de production. A l’aune de ces prévisions de plus en plus pessimistes, les recettes pétrolières de l’Algérie se réduiront comme peau de chagrin. Cette situation est aggravée par la hausse vertigineuse de la facture des importations algériennes qui risquent de grever le budget de l’Etat. Elle a atteint 9,42 milliards de dollars au cours du 1er trimestre 2009, soit une hausse de 10,07% par rapport à la même période en 2008, selon la même source. La répartition par groupe de produits fait ressortir une hausse de tous les groupes de produits, excepté celui des biens alimentaires avec une valeur de 1,65 milliard de dollars contre 1,98 milliard au 1er trimestre 2008, soit une baisse de 16,37%, ajoute le CNIS.
Toutefois, la valeur des importations destinées aux équipements, représentant près de 45% du total des importations, a augmenté de 3,46 milliards de dollars à 4,24 milliards de dollars, soit une hausse de 22,25%, rappelle le Cnis. Idem pour les biens destinés à l’outil de production qui ont connu un renchérissement de 13,11% (2,55 milliards dollars) et les biens de consommation non alimentaires avec une hausse de 13,90%, soit 975 millions de dollars. La balance commerciale a enregistré un très faible excédent de 1,32 milliard de dollars au 1er trimestre 2009 contre 9,99 milliards de dollars durant la même période 2008 et un taux de couverture des importations par les exportations de 114%, selon les chiffes du CNIS.

Source El Watan Hocine Lamriben


Le Pèlerin

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 05:27

Coup d’envoi de la 9e édition du Marathon des Dunes
Trente-cinq étrangers participent à l’événement

La petite et paisible localité de Kerzaz (340 km au sud de Béchar) s’est réveillée samedi à l’occasion du déroulement d’une compétition marathonienne des dunes, L’organisateur de cette 9e édition a expliqué en présence des autorités locales qui ont donné le coup d’envoi de ce marathon que « le but recherché à travers cet événement sportif reste la découverte, aussi bien par les nationaux que par les étrangers, de la beauté des sites de la région, de l’environnement et de l’hospitalité naturel !e des populations locales ». 150 participants, dont 35 étrangers venus de Belgique, de Corée du Sud, de France, de Suisse et d’Ukraine, ont pris part à ce marathon des dunes. 30 éléments de la direction des sports militaires de la 3e région et 50 agents de la sûreté nationale ont participé également à cette course de 42 km qui s’effectua en 3 étapes de 14 km chacune entre les localités de Kerzaz et de Timoudi. Dans le premier groupe des dix premiers arrivants de la première étape (14 km), la première place a été arrachée, ce samedi, par Bouchuit El Hassan, 27 ans, et la dixième place gagnée par Boutarek Omar, 26 ans.
Les participants à cette course marathonienne sont âgés entre 18 et 76 ans. Dans le programme élaboré, il est prévu aussi des excursions touristiques et culturelles dans les oasis de Beni Abbès et de Taghit, où les visiteurs devront planter à chaque halte des arbres de différentes espèces. La couverture médiatique de l’événement est assurée en exclusivité par France 24 présente sur les lieux ainsi que par les médias nationaux. Notons qu’en marge de l’événement, Kamal Bouchama, ancien ministre invité, a donné dans la soirée de vendredi au lycée de Kerzaz une conférence ayant pour thème « Le sport et l’Islam ». Dans son intervention à laquelle nous avons assistée, le conférencier est parti en guerre contre ce qu’il a appelé « les tenants du dogme rigoriste », qui veulent à tout prix interdire à la femme algérienne la pratique du sport. Usant de préceptes religieux à l’appui, incitant et encourageant la discipline sportive pour le musulman sans discrimination de sexe, l’ancien ministre de la Jeunesse et des Sports dira que « malheureusement des esprits illuminés et tordus essaient d’interpréter de façon restrictive les préceptes de notre noble religion pour exclure la femme de la pratique du sport », émaillant son intervention d’anecdotes vécues personnellement dans ce sens et qui ont suscité également la désapprobation de l’auditoire.
Pour plus d'informations, cliquez sur le lien ci-dessous :
http://www.marathondunes.com/regl.php
Source El Watan
M. Nadjah
Le Pèlerin

 

 

 

Des excursions touristiques et culturelles dans les oasis de Beni Abbès et de Taghit, où les visiteurs devront planter à chaque halte des arbres de différentes espèces.
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 05:23

Pétrole - Les prix pourraient chuter jusqu’à 40 dollars

Les prix du pétrole chutaient hier à l’ouverture à New York dans le sillage des marchés boursiers, plombés aussi par le niveau très élevé des stocks de brut aux États-Unis. Vers 13h10 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de Light Sweet Crude pour livraison en mai s’échangeait à 46,77 dollars, en baisse de 3,56 dollars par rapport à son cours de clôture de vendredi. Les cours suivaient le chemin tracé par les marchés boursiers, qui évoluaient en forte baisse en Europe tandis que Wall Street a ouvert dans le rouge, a observé l’analyste indépendant Ellis Eckland. “Le baril pourrait chuter rapidement à 40 dollars si les Bourses continuent de baisser”, a jugé Ellis Eckland.

Source Liberté

 

Le Pèlerin

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 05:11

 Le projet a été confié en 2006 à l’espagnol OHL : la deuxième rocade d'Alger retardée de plusieurs mois

Les retards s'accumulent dans les projets autoroutiers. Prévue initialement pour la fin 2008, puis reportée à juillet 2009, la livraison de la deuxième rocade d'Alger n'aura pas lieu avant la fin de l'année en cours, a appris tsa-algerie.com auprès de source proche du projet.

Confiée en 2006 au groupe espagnol OHL pour 450 millions d'euros, la construction de ce périphérique de 65 kilomètres s'est heurtée à de nombreux obstacles techniques. Parmi eux : la déviation des réseaux électriques, téléphoniques et de conduites d'eau ainsi que l'expropriation des propriétaires des terres sur lesquelles la rocade passe.
« Déplacer une ligne électrique, une conduite d'eau ou un poteau téléphonique peut prendre plusieurs mois. Les sociétés comme Sonelgaz, l'Algérienne des eaux et Algérie Télécom envoient des équipes pour ces travaux seulement quand elles le souhaitent. On fait des demandes et on attend des mois durant lesquels les travaux sont bloqués. Ces sociétés ne coopèrent pas », explique la même source.
Outre la mauvaise coopération de ces entreprises publiques, la réalisation de cette rocade a été aussi retardée par les choix du groupe espagnol OHL. Ce dernier a préféré recruter sur place des artisans et des entreprises privées pour réaliser une partie des travaux. « Les Espagnols ont ramené uniquement la filiale qui s'occupe des terrassements. Le reste des travaux est confié à des entreprises locales qui manquent d'expérience et savoir-faire. Certains artisans qui ne savent pas lire correctement un plan se sont retrouvés en charge de réaliser une autoroute moderne », explique une autre source. « L'Algérie manque d'entreprises spécialisées dans certains travaux », poursuit-il. Un autre détail qui n'a pas été pris en compte par les Espagnols lorsqu'ils ont décroché l'appel d'offres. Mais cette situation a une explication : elle permet d'augmenter fortement la marge du groupe OHL qui profite ainsi du manque de contrôle et du laxisme des autorités.
Pourtant le ministre des travaux publics Amar Ghoul s'était montré optimiste sur la cadence des travaux à chacune de ses nombreuses visites de chantier. En 2008, il avait annoncé un taux d'avancement de 70% et la livraison de la section ouest avant la fin de l'été. « On ne sait pas d'où le ministre a eu ce chiffre de 70%. A l'époque, le taux d'avancement réel était de seulement 28% », souligne notre.

Source TSA Ali Idir

Le Pèlerin

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 23:46

Règles d'or pour un sommeil de plomb

1. Dormir dans un environnement calme et si besoin investir dans des fenêtres à double vitrage.
2. Dormir dans l'obscurité la plus complète possible. Penser notamment à éteindre les lumières de veille des appareils électriques (portable, télévision).
3. Régler la température de la chambre, entre 18 et 20 degrés maximum.
4. Changer de literie si elle n'est plus toute jeune (plus de 10 ans).
5. Oui à l'activité physique mais à des horaires adaptés : entre 4 et 8 heures avant l'heure habituelle de coucher. Le Centre du sommeil de l'Hôtel-Dieu à Paris conseille de pratiquer "une activité physique modérée (marche, vélo, footing léger), non compétitive, et suivie de techniques de relaxation (stretching, relaxation profonde, massage)".
6. Réduire très fortement les excitants en particulier l'après-midi
7. Manger léger au dîner et limiter les apports en protéines le soir à une petite portion de poisson ou un uf car elles peuvent stimuler la vigilance.
8. Le bain bien chaud avant d'aller au lit pour se détendre après une journée stressante, ce n'est pas une bonne idée à vrai dire. La température du corps augmente, ce qui ne favorise pas l'endormissement.
9. Respecter son rituel du soir (lire quelques pages d'un livre par exemple) même s'il est déjà tard.
10.  Si, passé 20 minutes, vous n'êtes toujours pas endormie, levez-vous, lisez, regardez la télévision le temps que le sommeil vous gagne.
11. Respecter des horaires fixes de coucher et de lever et ne pas se laisser piéger par la télévision qui peut vous maintenir éveillée jusqu'à une heure tardive. Un dormeur moyen qui a besoin de huit heures de sommeil par nuit doit ainsi s'obliger à éteindre la télé au plus tard à 22h30 pour se lever à 7 heures.
Et si malgré tous ces réajustements, vos nuits vous tourmentent toujours, prenez rendez-vous avec votre médecin qui vous orientera si besoin vers un Centre du sommeil où des spécialistes disposent de plusieurs outils pour diagnostiquer d'éventuels troubles du sommeil (syndrome d'apnées du sommeil, syndrome des jambes sans repos, insomnie).
Source :  Institut national du sommeil et de la vigilance (www.institut-sommeil-vigilance.org)
Le Pèlerin

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 23:35

Ariège – Pyrénées - Sports  de  Pleine  Nature

Le Pays d'Auzat et du Vicdessos vit à l'heure des sports d'aventure
 
Aux confins de L'Andorre et au pied du Montcalm, ce pays pyrénéen se consacre aux sports de pleine nature

Aux frontières de l'Ariège, de L'Espagne et de l'Andorre, La vallée du Vicdessos, torrent de montagne poissonneux que Longe la route d'accès jusqu'à Auzat, accueille chaque année les amateurs de sports de pleine nature. Au pied du Montcalm, "toit de l'Ariège" qui culmine à 3077 m, Les vacanciers peuvent pratiquer escalade, parapente, spéléologie, canyonning, équitation, VTT, ski, raquettes à neige, et bien sûr randonnée pédestre sur les 360 km de sentiers balisés, tous niveaux, aménagés dans la vallée qui comporte pas moins de trois refuges de montagne gardés (celui de Bassiès, du Pinet et du Fourcat, le plus haut de l'Ariège).

La beauté des paysages invite à La découverte de la haute montagne et de ses lacs, de la tranquillité des petits villages pittoresques accrochés à flanc de montagne, excellents belvédères sur la vallée. Leurs noms chantent comme L'eau vive du Vicdessos : Saleix, joli village aux ruelles fleuries, Orus et sa belle petite église, Gestiès et Lercoul avec les oratoires de Sainte-Tanoque et Saint-Nicolas, aux pieds des anciennes mines de fer du Rancié, Suc-et-Sentenac avec

sa chapelle du début du siècle et l'ancien presbytère où fut enfermée, en 1807, la "folle des Pyrénées", Goulier, village entretenu avec soin par ses habitants, Capoulet-Junac et son musée Paul Voivenel dédié au rugby, Marc et son égli­se Saint-Antoine du Montcalm qui,montre le chemin du Montcalm... Vicdessos et Auzat sont les deux villages étape d'où le touriste peut rayonner alentours. Par la route, la vallée com­munique avec celle de Massât, par le port de Suc, appelé port de Lers côté Couserans.

Les nombreux étangs nichés haut dans la mon­tagne sont autant de buts de randonnée: grands lacs de Soulcem, Izourt, Gnioure et du Fourcat, étangs Blaou, Majou, d'Arbu, des Bassiès, du Picot, de Peyregrand... L'énergie de ces eaux alimente des centrales électriques et a permis aux usines d'aluminium Péchiney de s'implanter dans la vallée. Une usine d'embouteillage com­mercialise l'eau du Montcalm. Entre torrents et montagnes, la vallée d'Auzat Vicdessos entre­tien des liens privilégiés avec la vallée andorrane d'Ordino.

Le château de Montréal-de-Sos est niché sur un belvédère qui domine les villages et la montagne de la Haute Vallée du Vicdessos. Cet éperon rocheux possédait d'importantes fortifications. Les vestiges en cours d'exploration, aujourd'hui visibles, sont ceux d'un grand château des comtes de Foix, uti­lisé aux XIIIème et XIVème siècles. Ce sommet abritait aussi un village disparu, niché sous la forteresse comtale. Lorsque au cours du XIVème siècle, les comtes abandonnèrent le château, les habitants se déplacèrent et créèrent le villa­ge actuel d'Olbier, au pied du précédent. Des fouilles archéologiques ont pu retrouver aussi des traces gallo-romaines, voire encore plus anciennes, qui tendent à prouver qu'avant le château des comtes de Foix, cette montagne servait d'op­pidum aux populations de la Haute-Vallée du Vicdessos.

 

Source Office de Tourisme d’Ax les Thermes

 

Le Pèlerin

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 23:31

Paris et Pékin mettent fin à leur brouille commerciale

La poignée de mains entre les présidents Nicolas Sarkozy et Hu Jintao, lors du G20 de Londres, le 1er avril dernier, a mis fin à une mésentente franco-chinoise qui durait depuis près d'un an.
Après la réconciliation politique entre Nicolas Sarkozy et Hu Jintao au G20 de Londres, les entreprises françaises sont de nouveau les bienvenues dans l'empire du Milieu.
Le gouvernement n'a pas perdu de temps pour mettre à profit la poignée de main entre les présidents Nicolas Sarkozy et Hu Jintao, lors du G20 de Londres, le 1er avril dernier. La veille, la France avait reconnu, dans un communiqué, qu'elle récusait «tout soutien à l'indépendance du Tibet sous quelque forme que ce soit». Le geste mettait fin à une brouille franco-chinoise qui durait depuis près d'un an et le passage de la flamme des Jeux olympiques 2008 à Paris. L'Elysée annonce lundi que Nicolas Sarkozy a officiellement invité son homologue chinois à une visite en France «avant la fin de l'année».
La France a par ailleurs dépêché sa secrétaire d'État au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, en Chine. Le Forum de Boao n'est qu'un prétexte. Mais le premier ministre Wen Jiabao y participe. Et la tournée du ministre est soigneusement ciblée : Shenzhen pour le nucléaire et le réacteur EPR, Tianjin pour l'aéronautique et l'Airbus A 320 assemblé en Chine, Pékin pour le nucléaire encore et la conférence interministérielle de l'AIEA (Agence internationale pour l'énergie atomique).
Les grands chantiers du plan de relance
En Chine les «guangxi», les relations, sont la clé des affaires. Et si le vice-maire de Shenzhen, une ville de 12 millions d'habitants construite en trente ans, semble plus porté sur les chiffres que sur la politique, il ne laisse pas passer cinq minutes avant de dire à la ministre française qu'il se «félicite de cette première visite depuis la rencontre du G20 qui représente un symbole significatif». Beaucoup plus direct, Wang Yang, secrétaire du Parti de la province du Guangdong, lancera de son côté : «Les relations commerciales entre la France et la Chine sont bien rétablies !»

Nicolas Legrand, directeur de Sanofi Pasteur à Shenzhen, où le groupe a un projet d'usine de production d'insuline de 1 milliard d'euros et prépare une grande étude sur le diabète, véritable fléau en Chine, assure, comme la quasi-totalité des Français, qu'il a continué à travailler normalement pendant la crise entre Paris et Pékin. Mais au plus fort du boycott de Carrefour , un diplomate se rappelle que des menaces physiques ont été envoyées par Internet. Et les entreprises avouent qu'il était souvent difficile d'obtenir un rendez-vous avec les fonctionnaires dont elles avaient besoin.
Tout pourrait donc changer. «Les voyants sont au vert», se réjouit un conseiller de la ministre française. Zhang Xiao Qiang, vice-président de la Commission nationale de la réforme et du développement, a promis à Anne-Marie Idrac, en marge du Forum de Boao, que la France était la bienvenue pour participer aux grands chantiers du plan de relance chinois de 460 milliards de dollars annoncé en novembre 2008. «C'est un nouveau départ», lui a-t-il dit.
Mais Paris ne devra pas nourrir d'illusions, Pékin ne lui fera pas de cadeau. Ainsi, le secrétaire du Parti du Guang­dong, qui pilote un vaste programme ferroviaire dans le delta de la rivière des Perles, souligne-t-il que «la France est techniquement très avancée, mais un peu plus chère que les autres ». Avant d'ajouter : «Nous voulons aussi des transferts de technologie pour créer des emplois.»
Fin juin, la Chine procédera à la «prise de béton» de la
centrale EPR de Taishan, près de Shenzhen. La secrétaire d'État y est invitée. Elle-même a convié Wang Yang à voir le chantier de Flamanville. «Aucun de mes interlocuteurs n'a regardé en arrière. Tous se sont montrés positifs», affirme-t-elle.
Le ministère du Commerce va prochainement envoyer une mission d'acheteurs chinois en France, comme il l'avait fait en février en Europe. Les diplomates n'ont qu'une peur : qu'elle ne rapporte pas autant que les 6 milliards de dollars que l'Allemagne avait récoltés.
Source Le Figaro
Le Pèlerin

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