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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 23:09

Le Maroc et l’UE présenteront un texte sur un "statut avancé" en octobre

Lors du prochain Conseil d’association qui aura lieu au Luxembourg le 13 octobre, le Maroc et l’Union européenne présenteront un texte sur le "statut avancé" demandé par le Royaume.
Les négociations entre le Maroc et l’UE sur ce statut avancé a fait "des avancées et des propositions concrètes et pragmatiques qui touchent l’ensemble des volets, notamment politique, économique et humain", selon Youssef Amrani, responsable au ministère marocain des Affaires étrangères.
Le statut avancé que demande le Maroc devrait se traduire par un raffermissement de la coopération à tous les niveaux. Rabat estime que le partenariat entre le Maroc et l’UE devra couvrir un large spectre d’activités, allant du militaire à la gestion civile des crises

Source 20Minutes.fr

Le Pèlerin

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 23:07

Un garagiste au paradis


Un type furieux se présente devant St Pierre :
- Mais bon sang, qu'est-ce que je fais là ! Hurle-t-il. Regardez-moi : j'ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel. C'est certainement une erreur !
- He bien ! ça n'est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier, répond St-Pierre, troublé. Comment vous appelez-vous ?
- Marcello. Marcello Intini.
- Oui... Et quel est votre métier ?
- Garagiste chez FIAT à Charleroi.
- Oui... Ah, voilà, j'ai votre fiche. Marcello, garagiste... He bien, Monsieur Intini, vous êtes mort de vieillesse, c'est tout..
- De vieillesse ? Mais enfin ce n'est pas possible, je n'ai que 35 ans
- Ah moi je ne sais pas, Mais on a fait le compte de toutes les heures de main d'oeuvre que vous avez facturées, et ça donnait 123 ans .

 

Source Seniorplanet

Le Pèlerin      

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 23:01

Au cœur de la plus grande commune de Aïn Defla



Elle s’appelait Affreville (du nom de l’archevêque de Paris Denis Auguste Affre, mort sur les barricades en 1848). Construite sur les décombre de Milliana, village romain, elle était le fleuron de la vallée du Chellif. La plus grande ville de la région attirait les visiteurs, particulièrement lors de son marché hebdomadaire, le jeudi, d’où, peut-être, sa nouvelle dénomination. Réputée pour ses fêtes (dont celle des fleurs), sa musique et ses clubs sportifs (football, basket-ball, pétanque), sa belle place publique et sa mairie, la ville a changé de physionomie. Très nostalgiques, les vétérans de Khemis Miliana ne parlent de leur ville qu’au passé. Une nostalgie qu’ils ont léguée à leur descendance. Il n’y a pas un magasin, ni un café, ni un salon de coiffure, ni même un kiosque multiservices qui n’affiche une photo grand format de la mairie, du jardin public ou de la placette de la ville dans ses moments de gloire.

La jeune fleur et la vieille peau

 

La raison des jeunes


Malheureusement, il n’y a pas que le commerce illégal qui fait fureur dans la ville. «Le vol de téléphones portables et le trafic de drogue font des ravages ici», témoigne un jeune homme adossé au fer forgé de la place publique. L’air désœuvré, le visage sombre et bosselé, le regard glauque et fuyant, le jeune homme «câblé ailleurs avec une clé cyber spatiotemporelle», en clair déconnecté du monde réel, avec des mots à peine intelligibles, tente d’expliquer, en utilisant une syntaxe particulière, le désarroi de la jeunesse : «Il n’y a pas de travail. Pas de sport. La salle de cinéma fait office de salle des fêtes quand elle n’est pas fermée. Que voulez-vous qu’on fasse à part s’évertuer à trouver des combines pour tuer le temps ?» Dans la ville d’El Khemis on a l’étrange impression d’être épié, toisé et jaugé. Les cafés sont pleins et les badauds alignés en nombre font penser à un comité d’accueil malsain. «Notre commune est devenue un carrefour pour les voyageurs. Ceux qui vont d’est en ouest ou du nord au sud passent par la ville. On recense plus de 200 000 personnes qui y transitent annuellement, sans compter les 87 000 habitants de la commune, dont près de 60% sont des jeunes. Tous les désœuvrés qui habitent les hameaux  avoisinants se donnent rendez-vous au centre-ville», explique un délégué communal.

Une ville en mal d’infrastructures


«Notre commune est marginalisée. Le chômage atteint des proportions inquiétantes. On manque d’infrastructures hôtelières, de santé et de marchés adéquats. Même le siège de la nouvelle mairie est inadapté», poursuit-il. Répartie à travers différents coins de la ville, l’administration de l’APC de Khemis Miliana est divisée en trois blocs séparés, «ce qui complique davantage le travail administratif». Une situation indigne de la plus grande commune de la wilaya de Aïn Defla. Pourtant, sur un terrain abandonné, au beau milieu de la ville, s’érige une pancarte sur laquelle est mentionné : projet de construction du siège de l’APC. Des piliers sont élevés et la base coulée de longue date, affirment les citoyens. Mais le chantier est à l’arrêt. Selon les élus locaux rencontrés dans l’une des annexes de la mairie, le président de l’APC étant absent,  après le début des travaux, il s’est avéré que le terrain appartient à un privé qui a bloqué le projet.
Un autre son de cloche est entendu chez les citoyens. Ceux-ci affirment que c’est faux puisque le terrain
appartient à la Sonelgaz. Où est la vérité ? Et qu’est-ce qui empêche la réalisation du projet ?
D’autres carences sont signalées par les responsables locaux en matière d’infrastructures. «Il est anormal que la commune ne compte qu’un petit centre de santé en préfabriqué et qui plus est manque de tout.»  D’une capacité d’accueil de 200 lits pour une population de près de 100 000 habitants, le centre de santé souffre de l’absence de certaines spécialités indispensables, comme la gynécologie, l’obstétrique et l’ostéopathie. «Pour les cas graves, les citoyens sont obligés de se déplacer vers Blida. C’est une perte de temps et d’argent, d’autant plus que par définition un cas grave ne supporte pas de retard.»
L’autre déficit signalé concerne les structures hôtelières. Malgré le nombre important de voyageurs y transitant, la ville ne dispose d’aucun hôtel digne de ce nom. Mis à part quelques bâtisses hautes de 3 ou 4 étages, respectant fidèlement l’idée que se font les néo-bâtisseurs d’une habitation individuelle (villas tout en
hauteur, défiant les lois de la gravité et sans tenir compte des paramètres de la longueur), qui n’ont rien d’un établissement d’accueil, El Khemis n’a pas d’hôtel. Par ailleurs, la vocation commerciale et de transit influe négativement sur le service de la poste du centre-ville. «Il n’y a jamais assez d’argent», s’alarme un des responsables. «Les gens qui viennent des autres villes pour faire leurs emplettes préfèrent retirer l’argent au bureau de poste du centre. Ce qui fait qu’à tout moment les guichets sont débordés», poursuit-il.
Les déboires de la poste d’El Khemis ne s’arrêtent pas là. Des quartiers entiers, comme celui de Souamaa (populaire), n’ont pas de facteurs.

APC/administration : le déphasage


En résumé, pas de siège pour l’APC, pas de marché de gros, pas d’hôtel, un bureau de poste débordé, pas de parking pour véhicules, déficit en transport urbain et gestion de l’eau potable inefficace (ce n’est que grâce à l’intervention des riverains que l’eau coule enfin des robinets du quartier Djaadane Abdelkader au centre-ville). Des carences justifiées, d’après les élus locaux, par l’immixtion de l’administration dans les affaires de la commune. «Ils ne connaissent pas la réalité du terrain», expliquent-ils.
Pour preuve, les responsables parlent de la construction de locaux commerciaux dont la première tranche distribuée (380 locaux) souffre du mauvais choix du terrain.
«Ils sont situés dans une forêt. Où est l’intérêt de posséder un local loin des centres d’habitation ?»
D’autres, comme aami Mohamed, ancien directeur d’établissement scolaire, correspondant de quotidiens nationaux et figure emblématique de la ville, dénoncent le laxisme de l’APC. «Ils [les responsables locaux] ne s’imposent pas assez face aux décisions de l’administration. Ils n’ont pas la force de faire aboutir leurs revendications et de transmettre les attentes des citoyens», explique-t-il. Au sujet des logements sociaux, le même interlocuteur fait état de tensions qui durent depuis six mois. «500 logements sociaux participatifs sont terminés depuis août 2007. Ils ne sont pas encore distribués et il en reste 158 en construction. La plupart des appartements distribués ont concerné, surtout, le recasement», poursuit-il en donnant le chiffre de 8 000 demandes. «Sans compter les dossiers qui sont déposés au niveau de la wilaya. A peu près 4 800», affirme notre interlocuteur. Quant aux élus locaux, ils assurent qu’il y aurait 240 logements sociaux pour 9 000 demandes. Des statistiques qui justifient la tension latente révélée par aami Mohamed
.

Les bonnes nouvelles existent !


Heureusement, Khemis Miliana n’a pas que des côtés sombres. Des projets importants sont entrepris et des lueurs d’espoir planent sur certains aspects de la ville. Rivalisant d’annonces, les élus locaux citent l’un après l’autre, se disputant même la parole, les différentes réalisations ou chantiers en cours. Les bonnes nouvelles sont rares et, quand il, y en a, il faut vite les annoncer : un projet de briqueterie offrant 200 postes
d’emploi, un hôtel sportif avec piscine et salle omnisports, le centre universitaire en construction, «il pourrait devenir le plus grand en Afrique», ambitionnent les élus, un centre d’accueil pour les sans domicile fixe, un centre de désintoxication, un autre de formation professionnelle….
Mais les projets les plus importants nous ont été signalés par aami Mohamed, qui est au courant de tout ce qui se passe dans la wilaya de Aïn Defla en général et à El Khemis en particulier.
Parmi ceux-là, les anciennes mines du Zakar (la chaîne de montagnes) seront attribuées à une quarantaine de jeunes pour l’exploitation des champignons. «A 600 DA le kilogramme et avec une double récolte annuelle, c’est plus qu’une bonne affaire», se réjouit aami Mohamed.
Une autre quarantaine de jeunes ont bénéficié d’aides pour entreprendre l’élevage d’abeilles (apiculture) en vue de produire du miel dans la localité d’Arib Bouhdoud.
Mais le projet phare reste celui entrepris au niveau du barrage de Ghris.
Le site qu’on veut promouvoir en centre touristique verra s’ériger un hôtel permettant le recrutement d’une soixantaine de jeunes de la région. Dans ce même projet, une cinquantaine d’autres jeunes pourront se consacrer à la pisciculture.

Emploi : la démotivation


Aami Mohamed déplore également la lenteur du système bancaire dans les projets soumis par les jeunes. «A Rouina, par exemple, 50 dossiers ANSEJ sur 60 ont été retenus. Mais les banques n’ont pas suivi.» L’affirmation est confirmée par Ali, un quadragénaire attablé à la terrasse d’un café. «J’ai déposé mon dossier CNAC [Caisse nationale d’assurance chômage dont une formule favorise la création d’activité par les chômeurs promoteurs âgés de 35 à 50 ans] pour bénéficier d’une aide à l’octroi d’un véhicule en vue de travailler comme chauffeur de taxi.
Cela m’a pris 2 ans pour fournir le dossier complet.
A chaque fois, un nouveau document est exigé. Et comme la direction se trouve à Chlef, le transport et certains documents administratifs ont fini par me coûter plus de 100 000 DA, alors que je suis chômeur et père de famille. 
Et l’accord final ne m’a pas encore été donné», s’impatiente-t-il.
Devant la porte fermée du bureau de recrutement, une jeune fille en hidjab, licenciée en droit, le dossier en main, attend. «Cela fait des mois que je postule.
Je viens ici seulement pour me donner bonne conscience. Car je sais qu’il n’y a pas de travail. Et quand un poste est disponible ce n’est pas à moi ou à mes semblables qu’il est destiné.» Selon aami Mohamed, près de la moitié des jeunes issus des 36 communes de la wilaya travaillent dans l’agriculture comme saisonniers. Signe de la précarité de l’emploi et d’un avenir incertain.
Pour ce qui est de l’avenir de Khemis Miliana, les élus locaux et les citoyens n’ont qu’une revendication : «El Khemis wilaya. M. Ouyahia nous l’avait promis.»

 

Source La Tribune

Le Pèlerin

Tipaza«El Khemis n’est plus ce qu’elle était», déplore un septuagénaire assis à la terrasse d’un café, ouvrant du bras notre champ de vision sur un centre-ville terne et maussade. «Regardez la photo de la ville dans les années 1970 et constatez par vous-mêmes», poursuit-il. Rien à dire. Telle une vieille femme qui a passé sa jeunesse à se pomponner avec des produits esthétiques improbables, le passage du temps lui a été impitoyable. Avant et après. La jeune fleur et la vieille peau.
Le siège de la mairie, attraction de la ville, endommagé par une explosion terroriste perpétrée en 1995, n’a jamais repris sa superbe. Il sert aujourd’hui de dortoir pour les agents de l’ordre.  La place publique qui accueillait les festivités de la ville est devenue le lieu de rassemblement des malades mentaux et autres toxicomanes. L’artère principale d’El Khemis n’a rien d’attrayant. Le boulevard Bougara est une succession de magasins alignés, de trottoirs encombrés et de bâtisses cubiques rafistolées.
Seule l’activité commerciale, qui fit jadis de Khemis Miliana un carrefour d’échange, a persisté. La seule différence est que, avant, on vendait ce que l’on produisait, alors qu’aujourd’hui le commerce se limite pratiquement aux produits contrefaits ou importés de contrées lointaines, toutes contentes de trouver
preneur à leurs marchandises douteuses.
«C’est pratiquement la seule activité qui fait travailler nos jeunes. Les usines n’embauchent plus et l’agriculture se détériore. Le seul palliatif pour eux reste la vente de cigarettes et de téléphones portables», constate un élu local.
Un tour dans le marché du centre-ville confirme les explications de l’intervenant. Les fruits et légumes côtoient les lunettes de soleil, les téléphones portables, les vêtements et autres objets fétiches dans une anarchie absolue.  «La région, réputée pour sa vocation agricole, s’est transformée en zone commerciale», poursuit l’élu.  «La commune a besoin d’un grand marché de gros pour les fruits et légumes», soutient-il, comme si c’était une préoccupation majeure.
D’autre part, il est nécessaire d’effectuer un véritable suivi pour lutter contre l’anarchie dans le commerce. «On a mené des campagnes pour éradiquer le phénomène. On a sanctionné plusieurs commerçants. Ces derniers payent une amende dérisoire et reprennent immédiatement leurs activités en commettant les mêmes délits. C’est pour cela qu’il faut revoir les amendes et les réactualiser», prône-t-il.
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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:44

Une blague sur les avocats

La Nasa passe en revue 3 personnes ayant réussi les tests physiques pour séjourner dans l'espace(Mars).
Ces trois personnes ont des métiers différents.
Le premier est Ingénieur, on lui demande combien il veut être paye pour partir sur Mars, il répond 5 millions de francs....
Le second est Médecin, on lui pose la même question, il répond 10 millions de francs...
Le troisième est Avocat, même question, il se penche a l'oreille de son interviewer et lui souffle:"15 millions de francs"
Pourquoi autant? Vous en demandez beaucoup plus que les deux autres, répond l'interviewer...
L'Avocat répond: «Si vous me donnez 15 millions, je vous donne 5 millions, je garde 5 millions et on envoi..."l'Ingénieur"

De la part d’une Correspondante

Le Pèlerin

 

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:34

La réunion du congrès mondial amazigh en Algérie


On a voulu le détourner vers le Maroc - La Kabylie réaffirme la réunion du Congrès mondial amazigh en Algérie 
C’est un véritable cri d’honneur qui a été poussé ce week-end par les associations culturelles et sociales de Kabylie, appuyées par celles des Aurès et de nombreuses personnalités du monde de la culture, jalouses de la cause amazighe mais aussi de leur Algérie. En effet, alors que des manœuvres obscures ont tenté de dévier le prochain CMA vers le Maroc, sur fond d’une campagne de dénigrement à propos de la «situation sécuritaire catastrophique» qui prévaudrait dans notre pays, le tissu militant amazigh d’Algérie a eu ce sursaut nationaliste qu’on pouvait espérer dans un monde où les organisations non gouvernementales sont trop souvent récupérées par des Etats qui voudraient les actionner à leur guise. Retour sur une réunion de ramadan plutôt décisive.
La rumeur, s’appliquant à semer la confusion et la discorde, circulait depuis plusieurs jours déjà sur la toile mondiale du web : la cinquième édition du CMA devrait se tenir au Maroc, à Mekhnès, en raison de «sa non-faisabilité en Algérie minée par l’insécurité, une Kabylie dans un climat d’anarchie et incapable de recevoir 500 congressistes, faute de structures d’accueil, en plus d’une absence d’autorisation des pouvoirs publics pour cet événement», tandis que le «Maroc présenterait un contexte plus démocratique». Un réquisitoire dressé par des milieux identifiés comme proches du Makhzen qui veulent tout faire pour accaparer ce CMA qui lui cause beaucoup de désagréments tant ses positions contrarient la politique nationale marocaine en matière de droits de l’homme en général et de promotion de la langue amazighe en particulier. Néanmoins, parce que le Maroc tente toujours de se distinguer de l’Algérie en matière de difficultés politiques, prétendant ne pas connaître les troubles que notre pays surmonte, à l’instar de celui de la violence terroriste, le Makhzen voudrait gérer la problématique de la revendication amazighe en noyautant les activistes au détriment de notre pays. Des complots qui n’échappent pas aux militants sincères et respectivement nationalistes des deux côtés de la frontière et qui ne veulent pas que leur ONG fasse l’objet de manipulations aussi grotesques et s’inscrivant à contre-courant des grands idéaux de fraternité entre des peuples partageant les mêmes racines afro-amazighes, en plus de leur destin commun face aux métissages de l’histoire. C’est donc au cours d’une réunion qui s’est tenue à Tizi Ouzou ce jeudi, au siège de l’association Amusnaw, à la Médiathèque de la ville des Genêts, que la riposte contre cet intolérable tissu de mensonges ciblant notre pays et la région de Kabylie a été donnée. Une salle de réunion débordée tant l’assistance a été nombreuse pour venir réagir dans un communiqué des plus explicites après un large débat sur la genèse du complot. «…conformément aux recommandations du 6 août 2005 lors du dernier CMA qui s’est déroulé à Nador et aux décisions de Mekhnès en février 2008, le 5e CMA se tiendra en Algérie dans la région de Kabylie… Nous nous engageons par conséquent à recevoir tous nos participants dans les meilleures conditions», déclarent en substance lesdites associations affiliées aux CMA. Il faut préciser que c’est l’association Amusnaw qui a pris cette initiative de réunir le tissu associatif pour déjouer cette cabale contre l’entité algérienne du CMA et donc contre l’unité du CMA. D’ailleurs, des membres marocains, très influents au sein du CMA, sont venus constater la faisabilité du CMA en Algérie avec cet aveu immédiat qu’ils étaient choqués par les propos exagérés des détracteurs tant la situation dans le pays leur apparaissait plutôt normale et pas plus dangereuse que chez eux. Parmi ces invités marocains on aura reconnu Rachid Raha, ex-président du CMA, anthropologue de formation et éditeur journaliste, Ahmed Adghirni, secrétaire général du Parti démocrate amazigh marocain (PDAM), un brillant juriste, fondateur lui aussi du CMA, accompagnés d’autres défenseurs de la culture et de l’identité amazighes au sein de différentes associations au Maroc. Des frères marocains opposés à la récupération du CMA par le pouvoir en leur pays et rassurés par la disponibilité des citoyens algériens pour accueillir ce rendez-vous historique. Il convient de noter qu’un riche programme attend cette délégation du CMA qui restera en Algérie jusqu’à mardi, après une visite en Kabylie prévoyant un recueillement sur la tombe de Mouloud Mammeri, une rencontre avec les responsables du HCA et du Centre national d’aménagement linguistique, en plus d’une conférence de presse qui se tiendra ce lundi 22 septembre à Tizi Ouzou, à la médiathèque toujours. Enfin, il serait ingrat de notre part de ne pas rendre compte de ce moment d’émotion suscité lorsqu’un des participants a rappelé que la Fondation Matoub Lounès s’est proposée de mettre la maison du chantre disparu à la disposition du CMA pour cette 5e édition, comme l’a déclaré il y a quelques semaines Malika Matoub, la sœur et pas moins militante du poète assassiné.
La Kabylie a montré encore une fois son attachement à la revendication identitaire, sans offense à son pays, l’Algérie.

Source
le jeune indépendant

Le Pèle
rin

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:24

Programme de logements à Sidi Amar

Le wali de Tipasa insiste sur l'acquittement de l'apport initial


Dans la wilaya de Tipasa, tout bénéficiaire d'un logement sous la formule LSP doit obligatoirement s'acquitter intégralement de la somme représentant son apport initial prévu dans le montage financier d'acquisition, sous peine de voir sa candidature écartée au profit d'un éventuel autre postulant.
Du moins c'est ce qu'à laissé clairement entendre M. Mohamed Ouchen, le wali de Tipasa, lors de sa récente visite d'inspection à la daïra de Sidi Amar où un programme de 96 logements sociaux participatifs est en cours de construction.
En effet, le chef de l'exécutif de la wilaya a intimé aux responsables locaux de cette circonscription ainsi qu'aux maîtres d'œuvre en charge des projets de mettre en demeure tout candidat à l'acquisition d'un logement sous la formule citée qui pour une raison ou une autre n'a pas encore honoré son engagement comme le stipule la réglementation. Dans le cas où le bénéficiaire ne se conforme pas à cette injonction, il sera par voie de conséquence automatiquement remplacé. Cela dit, il faut dire que le cumul de ces retards de versement se répercutent sur la bonne marche des chantiers et par extension allongent les délais de livraison des logements préalablement fixés. Aussi pour accélérer la cadence des travaux dans les chantiers qui accusent un retard, et pour assurer des constructions répondant aux normes en usage, le wali a donné, au cours de la même visite, des instructions dans le sens où les entreprises réalisatrices du programme doivent absolument se conformer aux cahiers des charges. Egalement concernés, les bureaux d'études chargés du suivi ont été quant à eux instruits pour la levée des réserves.
Outre les projets de construction déjà réceptionnés, la daïra de Sidi Amar bénéficie d'un autre programme de logements, tous segments confondus, actuellement en phase d'achèvement. Ainsi, en plus des 93 LSP, d'autres chantiers ont été engagés dans des sites implantés un peu partout dans ses communes. Dans ce registre on peut signaler les projets de construction de 350 logements sociaux locatifs ainsi que ceux des 96 logements ruraux.
En parallèle, la direction de l'urbanisme procède présentement au recensement de tous les sites, au nombre de 93, répartis dans la daïra, où sont érigés les logements ruraux.
Cette opération vise notamment à identifier les types de VRD qui y seront réalisés. A savoir primaires, secondaires ou tertiaires, selon les cas de figures sériés.

Source L’Expression

Le Pèlerin

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:02

Brad Pitt et Beyoncé, des stars nocives pour les disques durs


L'acteur américain Brad Pitt sur le tournage du film mexicain de Alejandro Gonzalez Inarritu "Babel"
Et si les people servaient de béliers pour s’incruster dans les ordinateurs? Selon McAfee, une société spécialisée dans les anti-virus, on a 18% de chances de tomber sur un virus ou un spyware en cherchant des fonds d’écran ou des photos de Brad Pitt sur le Net.
«Brad Pitt et Justin Timberlake sont les hommes les plus dangereux à chercher sur le Net, pendant que Beyoncé et Heidi Montag figurent dans la top liste des femmes, peut-on lire ici. Paris Hilton, arrivée première au classement 2007 des personnalités les plus dangereuses, est absente de la liste de cette année». Autre absence remarquée: celle de Britney Spears, pourtant 4eme de la liste 2007.
En voulant télécharger ou consulter des photos de ces stars, les internautes mal avisés se retrouvent sur un site falsifié, aux apparences d’un site de fan, mais qui implantera des programmes dans le disque dur.
Décidément, le people n’en finit plus d’être récupéré. A des fins politiques et pour servir les spams.

Source 20Minutes.fr

Le Pèlerin

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:00
Afrique du Nord : une décennie de progrès pour les droits de la femme


 

Hayet Laouni est sénatrice tunisienne et propriétaire de sa propre entreprise maritime. Elle attribue son succès à la conception libérale des droits de la femme qu’a adoptée le gouvernement depuis l’indépendance, ainsi qu’aux investissements effectués dans l’éducation. «Je suis très reconnaissante envers mon pays, déclare-t-elle. Je suis née et j’ai grandi dans une région du monde où la vie est censée être difficile pour la plupart des gens, et encore plus pour les femmes.» Sa situation n’a rien d’unique. Bien que beaucoup de gens étrangers à la région considèrent l’Afrique du Nord musulmane comme rigidement hostile aux droits de la femme, ces pays ont, en fait, connu une décennie de réformes substantielles et certaines améliorations du statut des femmes.

Réformes des codes de la famille


Les réformes ont surtout porté sur les codes de la famille qui régissent le mariage, le divorce et les droits de garde des enfants. Ces lois sont «absolument essentielles et fondamentales dans la société musulmane», explique Mounira Charrad, professeur d’université née en Tunisie qui étudie la situation des femmes en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Ces lois «traitent de questions qui sont au cœur de la vie sociale». Leur libéralisation permet donc d’améliorer les droits de la femme… Lorsque le gouvernement tunisien actuellement au pouvoir a accordé aux femmes le droit de transmettre leur nationalité à leurs enfants, cela a créé un séisme culturel dans la société… «En permettant de transmettre la citoyenneté également par la mère, cette loi a remis en question le concept même de patrilinéarité de la famille», juge-t-elle. Ces progrès sont en grande partie dus au dynamisme des mouvements de femmes qui sont apparus en Afrique du Nord au cours des années 1980 et 1990, explique
Mme Moghadam, responsable de la section Égalité des sexes et développement  de l’Unesco.

Entre loi et pratique


Mais les progrès sont irréguliers et inégaux. En 2005, l’Égypte a accordé davantage de droits aux femmes en matière de divorce. Mais le gouvernement a renoncé à permettre aux femmes de voyager sans la permission de leur mari ou de leur père, craignant que cette volonté de réforme soit trop radicale pour aboutir. Mme Moghadam indique que, dans les pays d’Afrique du Nord, certaines pratiques sociales sont non seulement discriminatoires contre les femmes et incompatibles avec les traités internationaux, mais également contraires à leurs propres lois. «La Constitution égyptienne garantit l’égalité de tous les citoyens, observe-t-elle. Mais le droit de la famille égyptien ne respecte pas cette égalité.» Elle ajoute qu’un grand nombre de lois d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, censées être l’émanation directe de principes islamiques, puisent en fait leur origine dans des pratiques
tribales ou préislamiques.
Mme Rhiwi, aujourd’hui coordinatrice des droits des femmes au Maroc, en Algérie et en Tunisie pour le Fonds de développement des Nations unies pour la femme (Unifem), a constaté différents degrés de
progrès au Maroc par rapport à l’Algérie, et dans les pays du Maghreb par rapport à l’Égypte.
Mme Charrad est du même avis. «L’évolution des lois a conduit à des changements dans des pays comme la Tunisie, où les réformes ont eu lieu dans les années 1950 […] Les femmes peuvent demander le divorce plus facilement et obtenir plus aisément la garde des enfants, mais, explique-t-elle à Afrique Renouveau, sur le plan social, le divorce reste très difficile. Elles [les divorcées] souffrent sur le plan économique et sont souvent mises au ban de la société.»
«Nous ne pouvons plus dire qu’il est difficile de faire évoluer les droits de la femme dans le monde arabe, commente-t-elle. Les femmes ont obtenu des droits très importants en Tunisie et au Maroc. Il faut dépasser les
généralisations portant sur cette partie du monde et adopter une vision plus nuancée.»

Enraciner les nouveaux droits


Dans l’ensemble, les femmes d’Afrique du Nord ont réalisé d’importants progrès en ce qui concerne les droits reproductifs -bien plus qu’en Afrique subsaharienne et au Moyen-Orient. Le droit tunisien confère aux femmes la possibilité de pratiquer le contrôle des naissances et de recourir à l’avortement. D’après les estimations de l’OMS, le taux d’utilisation de la contraception en Tunisie est passé de 24% en 1980 à 63% en 2007. Presque toutes les Tunisiennes ont accès à un centre de planification familiale à moins de cinq kilomètres. Elles attendent en moyenne l’âge de 27 ans pour se marier, contre environ 16 ans en Afrique subsaharienne et au Moyen-Orient. En Égypte, 96% des femmes vivent près d’un centre de planification familiale et environ 60% ont recours à ces services. En Algérie, le gouvernement a mis en place une politique novatrice de planification familiale,
qui rembourse l’achat de contraceptifs.
A la suite des pressions des associations de femmes, certains gouvernements ont modifié leurs institutions pour garantir un meilleur accès des femmes à la justice. L’Égypte a mis en place un nouveau système de pensions
 alimentaires et a regroupé les affaires de divorce et d’héritage sous l’autorité d’un seul organe judiciaire.
Enraciner ces droits exige une plus forte participation des femmes à la vie politique, mais les progrès ont été lents dans ce domaine. Au Maroc, ce n’est qu’en 2002 que les partis politiques ont convenu de réserver aux femmes 30 des 325 sièges du Parlement. En 2004, les Algériennes représentaient près de 20% des membres de la chambre haute du Parlement de ce pays, tandis qu’en Égypte la proportion de femmes n’était que de 8% dans les deux organes législatifs et était très faible au sein du gouvernement. Cette faible représentation reste un obstacle majeur, reconnaît Mme Rhiwi. «Nous espérons pérenniser cette situation par le biais des lois. Nous devons également veiller à ce que ces changements soient réels et institutionnalisés.» 

Source La Tribune

Le Pèlerin

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 10:11

La «Place du GPRA» à Hussein Dey
 

La place principale de la commune de Hussein Dey à Alger, a été baptisée jeudi après-midi «Place du Gouvernement provisoire de la République algérienne», à l’occasion de la célébration du 50e anniversaire de la création du GPRA le 19 septembre 1958.
La place du GPRA, qui borde l’artère principale de la commune, à savoir la rue Tripoli, a été décorée par un grand tableau en bronze représentant une scène de bataille de la Révolution nationale et rehaussée d’une plaque en marbre vert où est inscrit, en lettres d’or, son nouveau nom, «Place du Gouvernement provisoire de la République algérienne».

Si vous désirez en savoir plus, lire l'Exression  ce ce jour disponible sur internet


Le Pèlerin

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 09:54

Consulat général de France à Alger

Une nouvelle organisation pour l’obtention du visa




A compter du 1er octobre 2008, les demandes de visas à destination de la France devront être déposées en personne, par chaque demandeur, sur rendez-vous, auprès du Centre VisasFrance, situé 9, rue Manaâ Lakhdar - Ben Aknoun, Alger.
Les rendez-vous peuvent être obtenus dès maintenant par Internet, 24 h/24, sur le site: www.dz.visasfrance.org par téléphone, du dimanche au jeudi de 8h30 à 15h30, au 021 79.88. 00.
Comme l’a récemment annoncé le Consul général de France à Alger, Francis Heude, cette échéance, préparée dans le cadre de la facilitation de la circulation des personnes et de la mise en oeuvre progressive de la biométrie, améliorera les conditions d’accueil des demandeurs et réduira les délais de traitement des dossiers.
Le Consulat général reste toujours seul compétent pour instruire les demandes, prendre la décision d’octroi ou de refus, et délivrer le visa. Cette nouvelle organisation entraîne les modifications suivantes pour les demandeurs:
-Prise de rendez-vous par Internet ou par téléphone (numéro non surtaxé), avec une aide en ligne disponible 24h/24 sur le site de VisasFrance: www.dz.visasfrance.org
-Dépôt du dossier par le demandeur en personne, dans les locaux de «VisasFrance»
-Paiement uniquement en espèces des frais de dossiers visas et de la prestation de «VisasFrance» (les chèques de banque ne seront plus acceptés)
-Le passeport sera retiré chez «VisasFrance» par le demandeur ou une tierce personne préalablement désignée. Il pourra également être retourné à son titulaire par courrier rapide.

Cette procédure permettra:

-Un accueil personnalisé et un dépôt des dossiers plus simple et plus facile pour les demandeurs (délais de rendez-vous sous 72 heures dans la mesure du possible)
-Un délai de traitement des demandes beaucoup plus court
-Un suivi de l’état d’avancement de son dossier par une consultation sur le site Internet de VisasFrance: www.dz.visasfrance.org

-Un allongement de la durée des visas de circulation
-Une information en temps réel du demandeur, par e-mail ou par SMS, de la remise à disposition de son passeport chez «VisasFrance».

Source L’Expression

Le Pèlerin

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