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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 23:48

Gendarmerie  - 100% de couverture sécuritaire en 2010



En marge de la conférence de presse portant sur le bilan du plan Delphine, le colonel Abdaoui, directeur des ressources humaines auprès du commandement de la gendarmerie nationale, a indiqué que dans le cadre du programme quinquennal relatif au développement de la gendarmerie nationale, la couverture sécuritaire par ce corps constitué atteindra les 100% à l’horizon 2010 et ce, à travers l’ensemble du territoire national. Les effectifs de la gendarmerie nationale atteindront ainsi, les 100.000 hommes. Actuellement 12.000 gendarmes sont formés annuellement. 

Source La Tribune

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 23:18

 

Tiaret - La Protection civile et les risques sismiques


 Zonage sismique

Le tremblement de terre, qui demeure instantané, est l'une des catastrophes naturelles parmi les plus redoutables; la protection civile organise des journées de sensibilisation à travers les quatre coins de la wilaya de Tiaret, selon le colonel Mahmoudi.
On peut, à défaut de prédire ce phénomène, limiter les dégâts humains et matériels. D’où l'importance d'agir, d'une part, sur le choix de l'implantation et la solidité des fondations, avec des normes para-sismiques et, d'autre part, en sensibilisant les populations habitant les régions à risques sur les aléas sismiques. Le coup d’envoi de la caravane  a été lancé par les frontières de Chlef,  précisément à Oued Lili, pour sensibiliser les habitants de cette région sur les risques sismiques qui est composé de conséquents moyens  humains et logistiques, devant couvrir les 42 communes que compte la wilaya. Par ailleurs, pour répondre à cette préoccupation, la caravane de la Protection civile de Tiaret, composée de comédiens locaux et de sapeurs-pompiers, va donner à l'intention de la population des spectacles sous forme théâtrale. Plusieurs collectivités et autres établissements scolaires seront touchés par cette opération de grande envergure . Le premier spectacle s’est tenu sur le nord de la région de Tiaret, connue par ses reliefs accidentés. Selon le directeur  de la protection civile de Tiaret, M. Mahmoudi, l'objectif de cette campagne de sensibilisation, qui s'étalera sur plusieurs semaines, est d'apprendre aux populations les conduites à tenir lors d'un tremblement de terre.
A ce sujet, le conférencier  précisera que «la panique parmi les locataires d'un immeuble, à elle seule, peut faire des victimes, sachant que le réflexe de chaque individu, devant une telle situation, est de sortir rapidement de sa maison». Cependant, poursuit  le directeur de la protection civile, la durée d'un séïsme étant trop courte, quelques secondes à peine, elle ne permet pas aux habitants d'évacuer leurs habitations. La région du Sersou, située au niveau zéro de la sismicité, aura connu entre 2007–2008 une dizaine de secousses mineures de 2,2 à 4,3 degrés sur l’échelle de Richter. Par ailleurs, au menu de cette campagne de sensibilisation et de vulgarisation,  des pièces théâtrales seront données  à travers l'ensemble des régions de la wilaya, des milliers de prospectus seront distribués, particulièrement en milieu scolaire, et la caravane ciblera les différents établissements scolaires, avec une émission spéciale de sensibilisation, annoncera l’officier Boukhari  chargé de la communication,  sur les ondes de la radio locale  ,mettant en exergue les conduites à tenir lors d'un tremblement de terre.

Source La Nouvelle République

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 23:00

Déclin et chute de l’Empire ottoman (1/2)

 L’Empire ottoman en 1900 Au XVIIe siècle, l’âge d’or de l’Empire ottoman est déjà révolu, malgré la défaite navale de la flotte ottomane face à une ligue réunissant l’Espagne, Rome, Malte et Venise à Lépante en 1571, cette première défaite majeure n’eut pas des répercussions immédiates, mais elle marquait un tournant dans l’histoire de l’État ottoman et un regain de confiance dans la puissance de l’Europe chrétienne.
Le déclin de l’empire devient de plus en plus manifeste lorsque Osman II (1618-1622) fut assassiné par les janissaires qui protestaient ses tentatives de réforme, ce qui engendre une dégradation de l’autorité des sultans et du pouvoir central.
En effet, l’échec du second siège de Vienne (1683), le traité de Karlowitz, en 1699, (premier traité défavorable aux ottomans) et le traité de Kutchuk-Kaïnardji (1774), reflètent l’affaiblissement grandissant de l’empire et marquent le début d’une crise qui va durer jusqu’au XXe siècle.
 La campagne d’Égypte, expédition militaire entreprise par Napoléon Bonaparte (1798-1801), et l’invasion des troupes du gouverneur de l’Égypte, Mehmed Ali, de la Syrie, secouent brutalement les fondements de l’État ottoman et l’obligent à rechercher des solutions pour les crises qui éclatent au sein de l’empire, c’est l’époque des Tanzimat.
Palais de Topkapi
Le 29 mai 1807, le sultan Selim III a été déposé, sa nouvelle armée ( Nizam el-djedid) dissoute, et la première véritable tentative de réforme a été maté par le corps conservateur de l’empire : les janissaires. Cet événement va devenir une leçon pour le nouveau Sultan Mahmud II, qui va essayer tout au long de son règne (1808-1839) de sauver l’Empire ottoman de l’effondrement.
Une série de réformes fut réalisée, et l’institution des janissaires, qui a longtemps opposé la réforme militaire fut supprimée en 1826. malgré tous les changements qui ont été opéré par Mahmud II, ce n’est qu’avec son successeur, le sultan Abdul-Medjid I (1839-1861) que l’ère des Tanzimat va être officiellement déclenché par le rescrit impérial de Gulkhane.
Proclamé le 3 novembre 1839 à Gulkhane (place à côté du palais de Topkapi), l’Edit de réforme est un dans une série de textes et de mesures qui vont former le pilier essentiel des Tanzimat (réorganisation en arabe). L’édit annonce que les sujets du sultan sont désormais égaux, il abolit encore l’affermage de l’impôt et promets le développement de nouvelles méthodes pour assurer la mise en place d’un système juste pour la conscription et l’entraînement des soldats de l’armée. En effet, les Tanzimat visent à sauver l’État ottoman qui devient de plus en plus soumis à des pressions extérieurs, et qui confronte en même temps des difficultés intérieures croissantes d’ordre économique et politique. Pour cela, une panoplie de mesures va être entreprise pour remédier à cette situation déteriorée qui menace l’existence même de l’empire.
Bien que le sultan continuait à occuper une position importante dans l’édifice étatique, son rôle va être éclipsé par la Porte qui devient le centre d’impulsion des réformes. En effet, la scène politique ottomane va être dominée jusqu'à 1878 par quatre personnes qui ont occupé le poste du grand-vizir par alternance, et qui vont constituer le fer de lance des Tanzimat. c’est quatre personnes sont : Mustafa Rechid Pacha surnommé le «père des Tanzimat» , Mehmed Emin Ali Pacha, Mehmed Fuad Pacha et Midhat Pacha qui va porter les Tanzimat à leur paroxysme par la Constitution de 1876. Les hommes des Tanzimat vont jouer un rôle de premier plan dans la modernisation de l’empire et cela en imitant l’Europe (spécialement la France) dans ses institutions politiques et sa structure administrative, et en essayant d’occidentaliser la société ottomane pour qu’elle s’adapte aux diverses transformations qui ont eu lieu au cours des siècles. Les réformes touchent tous les aspects de la vie, mais c’est la réorganisation du pouvoir qui est la plus importante car elle va laisser des conséquences considérables sur le fonctionnement des institutions politiques au sein de l’État.
Les Tanzimat ont créé un gouvernement centralisé qui se compose d’une nouvelle classe dirigeante, les bureaucrates.
Afin de donner à l’État une meilleure efficacité, des ministères conçus sur le modèle européen sont établis. Ainsi un ministère de la justice voit le jour vers le milieu du règne de Abdulaziz (1861-1876), et en 1869 un ministère de l’Intérieur est établi. D’autres ministères sont créés (Agriculture, Commerce, Travaux publics) et leurs tâches se diversifient d’une façon considérable.
Étant le lien qui relie l’empire avec l’occident, le ministère des Affaires étrangères constitue la vitrine de la modernité ottomane. Chacun de ces ministères est mis sous la direction d’un «nazIR» ou ministre. Au-dessus de tous les départements de l’État, le grand-vizir (ou la Sublime Porte) supervise l’activité des divers organismes, et préside le conseil des ministres qui devient l’organe central de l’exécutif.
 Abdelaziz
Sur le plan législatif, le Conseil supérieur de justice, fondé en 1838, connaît un développement important dans ses fonctions. En effet, ce conseil élabore les textes législatifs et devient le principal fournisseurs des lois de l’empire. En outre, plusieurs codes sont rédigés, tels que le code pénal (1840) et le code commercial (1850) et spécialement le code civil (Medjelle) qui est une gigantesque compilation de coutumes et de lois. Claqués sur le modèle «laïc» européen, ces codes posent un véritable problème en ce qui concerne leur conformité au droit islamique.  Pour assurer leur application, de nouvelles juridictions (nizami) sont instaurées pour trancher les litiges qui n’entrent pas dans la compétence des autorités religieuses.
Les réformes ne se limitent pas à ces domaines, elles touchent l’éducation qui devient de plus en plus séculaire, spécialement après la mise en place d’un nouveau système d’enseignement séparé des institutions religieuses traditionnelles. L’armée aussi se modernise selon le modèle européen, et en 1864 une nouvelle loi administrative divise l’Empire ottoman en 27 provinces (wilaya) et associe ces provinces, avec les autres subdivisions administratives, d’un organe mixte composé de personnes nommées par l’autorité centrale ou élus sur le plan local.
L’époque des tanzimat a connu encore des majeures transformations de la société ottomane. L’essor démographique, et l’extension des villes grâce au développement de la population urbaine et à l’exode rural, sont le trait qui caractérise la deuxième moitié du XIXe siècle (exemple : la population de Beyrouth passe de 40 000 habitants dans les années 1850 à quelque 80 000 dans les années 1880). L’économie à son tour va connaître une métamorphose vers le système capitaliste (fondation des banques et des entreprises privées, développement considérable de l’exportation et de l’importation, expansion de l’agriculture, chemins de fer).
Malgré toutes ces réformes, la situation est loin d’être positive. En effet, la guerre de Crimée (1853-1856) et les crises successives qui secouent les Balkans et le Liban, prouvent que les réformes sont insuffisantes. En 1856, le sultan Abdul-Medjid I proclame un nouveau réscrit impérial qui affirme que les chrétiens et les juifs possèdent dorénavant les mêmes droits que les sujets musulmans, et que la liberté de culte leur est reconnue. La conséquence la plus immédiate de cette mesure est la reconnaissance de communautés confessionnelles dotées de pouvoirs propres (les Millets).
Il subsiste des problèmes avec les minorités. La nécessité d’accélérer le rythme des Tanzimat pousse Midhat Pacha à déposer le sultan Abdulaziz qui oppose l’adoption d’une Constitution qui limite ses prérogatives. En 1876, le nouveau sultan Abdulhamid II promulgue une Constitution libérale qui instaure une monarchie parlementaire et qui respecte les libertés individuelles.
Après la guerre désastreuse contre la Russie (1875-1876) et le traité humiliant de San Stefano, Abdulhamid II sera convaincu que les anciens réformes sont inutiles et que de nouvelles méthodes doivent être adoptées pour sauver l’État. Le Sultan rouge suspend donc la Constitution en 1878 et dissout le Parlement. L’ère des Tanzimat est terminé, l’empire plonge dans un règne autoritaire qui dure 33 années.
Le règne d’Abdelhamid II
(1878-1908)
La personnalité du sultan Abdülhamid II est un facteur essentiel pour comprendre son attitude despotique. Tourmenté par les évènements qui ont secoué le début de son règne, et obsédé par la crainte d’être déposé ou même assassiné, Abdulhamid va opter pour une politique d’autoritarisme, et de centralisation dans l’étendue de l’Empire ottoman pour éliminer toutes velléités indépendantistes.
La première manifestation de cette politique se traduit par le déplacement du centre du pouvoir de la Sublime Porte au palais. En effet, le grand vizir n’est plus celui de l’époque des Tanzimat, il n’est qu’un simple agent responsable seulement, avec tous les autres ministres, devant le sultan. Dorénavant, ce dernier règne et gouverne en même temps.
Après l’échec de l’ottomanisme, qui a visé à créer une nation ottomane composée de sujets égaux sans aucune discrimination religieuse ou ethnique, et pour faire face aux ingérences des puissances étrangères, notamment la Grande-Bretagne qui a occupé l’Égypte en 1882 (soumise nominalement à la souveraineté ottomane), Abdulhamid se fit le promoteur de l'idéologie panislamiste, espérant mobiliser tant les musulmans vivant dans l'empire que les autres pays musulmans, et cela en profitant de son titre comme calife de l’ensemble de la communauté musulmane.
Cette stratégie, adoptée par le sultan, tend à consolider la cohésion interne de l’empire, et à renforcer la solidarité entre les musulmans, pour contrecarrer l’étoile montante de la notion de nationalisme, qui menace non seulement l’unité, mais encore la persistance même de l’État ottoman. À titre d’exemple, la dernière décennie du XIXe siècle fut marquée par le développement d’un esprit de nationalisme chez les Arméniens, ce qui a dégénéré aux massacres qui ont eu lieu entre 1894 et 1896 durant lesquels vont périr 200 000 personnes. En outre, la Crète est perdue en 1897, tandis que la Macédoine demeure sous la souveraineté ottomane jusqu'à la guerre des Balkans en 1912.
Sur un autre plan, les politiques de réformes ont pesé lourd sur le Trésor public ottoman, les dépenses accrues et les défaites militaires successives de l’armée ottomane au cours du XIXe siècle, ont augmenté le déficit budgétaire, ce qui a poussé l’État à s’endetter. En 1881, la Banque ottomane, en fait un établissement franco-anglais, accrut son influence par la création de la Dette publique: organisme mixte chargé de percevoir les revenus et de gérer la dette publique ottomane.

(A suivre dès demain)

Source La NouvelleRépublique

Le Pèlerin  

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 23:00

Toto et la Poésie

 

Lors d'une leçon sur les rimes, la maîtresse demande
à Toto de donner un exemple.


Toto dit alors :
"Dimanche, je suis allé à la chasse aux grenouilles,
et dans le ruisseau j'avais de l'eau
jusqu'aux genoux
."

"Mais Toto, ça ne rime pas du tout."


"C'est pas ma faute, y avait pas assez d'eau
jusqu'à mes ... !"

 

De la part d’une Correspondante

 

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 09:18

Joyeux Anniversaire Leny
Sept ans déjà

Je vous présente le dernier garçon de la famille... On l’appelle:

« Le Titi »

Mais il s’appelle en fait:

Leny

Leny est le plus jeune garçon, parmi les six petits enfants de la famille et il a sept ans aujourd’hui….

Je lui souhaite donc un très joyeux anniversaire….

Cet enfant a un caractère très jovial; il rit pour un oui pour un nom, toujours prêt à vous faire une farce ou vous dire le mot qui touche…un peu à la britannique…toujours poli et plein d’égard pour son interlocuteur….
Dernièrement toutefois il s’est ému devant une fille ….et tout naturelleent, il est venu aux devant de sa maman pour lui dire qu’il était amoureux et qu’il voulait faire un cadeau à sa dulcinée…Sept ans …Je sais que les enfants sont de plus en plus précoces…mais enfin…
Sa maman lui a précisé qu’il était un peu tôt pour faire des cadeaux à une fille…Il a donc cherché dans ses affaires; il a récupéré ses tubes de peinture et a décoré un magnifique coquillage qu’il a offert à l’élue de son cœur.....
Votre serviteur a trouvé fort judicieuse, cette volonté de faire un cadeau à une compagne car comme mon père me le disait:

« Mon fils, apprends très tôt à faire un cadeau aux demoiselles et plus tard aux dames; de cette manière tu ne te rendras pas compte que tu deviens vieux »

Certes Leny a encore le temps de sourire à la vie avant de pleurer sur le délicat problème de la vie avec nos compagnes...!!!

Pour le moment nous allons fêter cela dans la joie et dans les rires…

Ne dit-on pas que le rire est le propre de l’homme...!!!!..?

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 07:27

Le gouvernement et le Président «doivent être les gardiens de la laïcité»

Nicolas Sarkozy accueille le pape Benoît XVI le 12 septembre 2008 à l'Elysée.

Les propos du chef de l'Etat sur la «laïcité positive» lors d'un discours à l'Elysée, où il a accueilli le Pape Benoît XVI ce vendredi, ont aussitôt fait réagir l'opposition et les fervents défenseurs de la séparation de l'Eglise et de l'Etat.
«La laïcité implique que la religion est une affaire individuelle, dans un Etat respectueux de la liberté des cultes», a souligné Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste, dans un communiqué. «Ceux qui ont la responsabilité de gouverner la République, et le président en premier lieu, doivent être les gardiens de ces principes», a-t-il continué.

«Nouvelle polémique» inutile

Selon Julien Dray, la «priorité immédiate (du gouvernement) doit être de rassembler les Français: la France a déjà assez de problèmes pour ne pas ouvrir de nouvelles polémiques».
Le sénateur PS Jean-Luc Mélenchon a quant à lui accusé le pape et le président Nicolas Sarkozy d'avoir «une politique commune», visant à remettre en cause «la laïcité de notre République». «Il s'agit de promouvoir en France le concept de “laïcité positive” qui s'oppose à la loi de 1905 en prévoyant le retour des Eglises comme actrices de la vie institutionnelle et publique», poursuit le sénateur de l'Essonne.

Appel à la «mobilisation de tous les laïques»

«Pour la première fois dans l'histoire de la France républicaine, un Pape et un président de la République affichent une politique commune. En ce sens, déjà, la laïcité de notre République est en danger», conclut-il.
Le Conseil national des associations familiales laïques a lui aussi dénoncé «l'intrusion permanente dans le champ politique» de la religion depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, «qui porte atteinte à la séparation de l'Eglise et de l'Etat». Le Cnafal appelle à la «mobilisation de tous les laïques».

Source 20Minutes.fr

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 07:10

NA Hussein Dey - Ces jeunes en or


Les Hussein-déens ont réussi jeudi un véritable exploit en allant damer le pion à cette coriace formation chélifienne difficile à manier at home. Cela fait plusieurs saisons déjà que le NAHD
n’a pu imposer sa loi à l’ASO dans la mesure où il revenait toujours bredouille de sa virée à Chlef. Jeudi dernier, la bande à Benzekri, qui a vaincu le signe indien, est en train de passer du rôle de simple outsider à celui d’un prétendant à une place sur le podium. Si l’on règlait nos montres et on remonte le temps juste deux mois, personne n’aurait parié sur un tel début des Sang et Or. Situation financière inquiétante, préparation perturbée par l’affaire de l’AGE et supporters inquiets... personne ne donnait en effet cher de la peau des Nahdistes, surtout après le départ de certains cadres. Finalement, le NAHD ne s’est pas débrouillé si mal que ça en renouant avec le succès à l’extérieur tout en gagnant ses derbys en cette entame du championnat. En plus, l’équipe se retrouve à la première place au classement en compagnie de la JSMB. Trois victoires, un nul et une défaite en dehors de ses bases, des résultats impressionnants comme certains l’avaient prédit. Pour une jeune équipe partiellement relookée, le Nasria semble sur le bon chemin. Lorsque le président du NAHD avait déclaré au lendemain de son élection à la tête du club qu’il compte redorer le blason de l’école husseindéenne, on le prenait pour un charlatan, alors que d’autres avaient pensé qu’il allait se casser les dents au bout de quelques journées. En attendant la confirmation, l’équipe continue son bonhomme de chemin sans faire trop de bruit…
Venu principalement pour revenir avec un bon résultat, le NAHD a eu plus qu’il en voulait jeudi en battant l’ASO contre toute attente. Une victoire qui s’est dessinée en seconde période grâce surtout à l’entraîneur Nour Benzekri. Ce dernier a réussi parfaitement sa mi-temps dans la mesure où il a su démontrer son savoir-faire. De retour des vestiaires, les consignes du staff technique ont été bien appliquées puisque les joueurs husseindéens ont pris d’assaut le camp adverse, et avec un peu plus d’audace en attaque, l’addition aurait pu être plus salée. Les coéquipiers du talentueux Derrardja ont manqué d’inspiration à l’approche des buts. C’est là que Benzekri décide d’apporter quelques changements afin de booster sa formation et lui donner ainsi un nouveau souffle. En effet, il procéda aux changements en incorporant les deux attaquants Ibrahima Camara et Rabah Hafid. Ces derniers étaient un véritable poison pour la défense chélifienne et ont fait suer Zaoui et consorts. D’ailleurs, Camara ne tarda pas à trouver la faille suite à une erreur du capitaine de l’ASO qui a glissé au moment où il interceptait le ballon. Quelques minutes plus tard, bien précisément six, l’international guinéen revient à la charge et aggrave la marque. L’arbitre a même privé Hafid d’un troisième but très valable pour une position de hors-jeu, vue uniquement par le premier assistant. En somme, le succès ramené de Chlef contre l’un des ténors de l’élite est dû au bon coaching de l’entraîneur du NAHD. D’ailleurs, le public de l’ASO s’en est pris violemment à l’entraîneur Hadj Mansour qui, en plus d’avoir perdu la bataille tactique, est sorti sous les projectiles et les insultes…

 

Source Liberté

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 07:07

Baisse des prix du pétrole

Le seuil psychologique des 80 dollars le baril


Les cours du brut sont descendus jeudi sous la barre des 100 dollars. Jusqu’où ira la chute ?
Les prix du pétrole sont descendus jeudi sous la barre des 100 dollars. Ils ont atteint sur le marché de Londres près de 97 dollars, soit le cours le plus bas depuis mars dernier, en conséquence du raffermissement du dollar, indique l’AFP. Selon les analystes, cette baisse continue des prix est alimentée par l’appréciation du dollar qui est passé jeudi sous le seuil de 1,39 dollar pour un euro pour la première fois depuis plus d’un an. Le raffermissement du dollar rend moins attractives les matières premières libellées en dollars pour les investisseurs munis d’autres devises. Autre facteur qui pousse à la déprime des prix, le ralentissement de la croissance dans les pays grands consommateurs (Europe et Etats-Unis), induisant une baisse de la demande sur le brut. La décision de l’Opep de baisser son niveau d’extraction de 520 000 barils/jour n’a pas pesé sur les cours, car il s’agit de retirer du marché un surplus de production qui est en deçà de l’excédent de brut sur le marché estimé à 2 millions de barils/jour. À noter que l’Arabie Saoudite a augmenté de manière unilatérale sa production de 500 000 barils/jour, dépassant son quota de 8,94 millions de barils/jour, répondant ainsi aux pressions américaines. Les radicaux Iran, Venezuela, rejoints par l’Algérie et la Libye sont favorables à une baisse de la production pour soutenir les cours. C’est pour préserver l’unité de l’organisation que l’Arabie Saoudite a dû accepter cette surprenante décision. Le marché s’attendait à un statu quo, soutiennent des analystes. Mais la croyance que ce pays va intervenir sur le marché pour stabiliser les cours semble freiner l’envolée des prix. Hier, les prix du pétrole sont remontés au niveau de 101 dollars, sous l’effet de la crainte que l’ouragan Ike ne paralyse une partie de la production des raffineries du golfe du Mexique. Bonne nouvelle, les stocks américains d’essence sont au plus bas depuis novembre, ce qui induira une plus forte demande de brut. En tout état de cause, l’automne correspond à une période de reconstitution des stocks avant l’hiver. Et donc à une demande plus forte. La question est de savoir si l’Opep continuera à réguler le marché. Des membres de l’organisation jugent un prix de 100 dollars raisonnable à l’Arabie Saoudite, elle est favorable à un prix entre 90 et 95 dollars. Il faut voir là la nouvelle ligne de défense pour l’Opep. Car des prix au-dessous des 90 dollars n’arrange pas les producteurs. Les multinationales estiment à 80 dollars le prix seuil, correspondant au coût de revient de l’exploitation des champs difficiles au-dessous duquel ils ne sont pas enclins à investir, au risque de provoquer une pénurie de pétrole à l’échelle de la planète. Des pays de l’Opep, face à la croissance de leurs dépenses budgétaires, craignent que les prix ne tombent au-dessous des 80 dollars.

Source Liberté

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 07:00

Investissements national et étranger

Ouyahia rassure le patronat


Les chefs d’entreprise ont émis le souhait d’être consultés avant toute prise de décision concernant la sphère économique.
“Le Chef du gouvernement, M. Ahmed Ouyahia, a réitéré aux entrepreneurs nationaux l’importance que le gouvernement leur accorde et les espoirs que l’Algérie fonde en eux pour la construction d’une économie solide et diversifiée”, a indiqué jeudi un communiqué des services du Chef du gouvernement. M. Ouyahia a rappelé, lors d’une audience qu’il a accordée à une délégation de représentants du Forum des chefs d’entreprise (FCE), conduite par M. Rédha Hamiani, le rôle des entrepreneurs nationaux dans “la construction d’une économie solide et diversifiée dans le cadre de la libéralisation de l’initiative et de l’ouverture sur l’économie mondiale que notre pays a choisie”, lit-on dans le document.  La rencontre, qui a duré trois heures environ, a permis à la délégation du Forum des chefs d’entreprise de s’informer davantage sur le sens et la portée des différentes mesures décidées par le Conseil des ministres en matière d’investissements, qu’il soit national ou étranger. Du côté du Forum des chefs d’entreprise, on qualifie la rencontre “d’extrêmement positive”. Le Chef du gouvernement aurait rappelé à la délégation du Forum des chefs d’entreprise la volonté des autorités de favoriser des partenariats entre des entreprises algériennes (publiques et privées) et étrangères, en décidant de réserver aux partenaires locaux la majorité du capital dans les projets lancés avec des étrangers.
Lors du discours, tenu le 26 juillet, le président Bouteflika a formulé de vives critiques contre les investisseurs étrangers et le régime régissant les investissements. La montée au créneau du chef de l’État résulte d’une déception devant l’impact limité des investissements étrangers sur l’économie algérienne, en dépit des avantages qui leur ont été accordés. Les transferts de dividendes des sociétés étrangères représentent en 2007 près de 5 fois le montant des flux d’investissement entrant. Il faut reconnaître que l’apport des investissements directs étrangers s’est avéré très limité en matière de développement. L’ouverture du marché aux étrangers a été opérée sans encadrement, et c’est une bonne chose que le gouvernement décide aujourd’hui de resserrer les boulons, de faire un constat sur les IDE pour tirer les conclusions et, pour mieux en tirer profit, favoriser les investissements productifs au détriment du commerce. La question de la création de 13 champions industriels nationaux a été abordée lors de cette rencontre. L’idée est de créer plusieurs groupes industriels dans chaque segment industriel, afin de rendre l’Algérie plus compétitive à l’échelle internationale. M. Ouyahia rassure le Forum des chefs d’entreprise que ces nouveaux fleurons de l’industrie seront composés d’entreprises publiques et de sociétés privées, notamment dans le secteur agroalimentaire. Pour rappel, quatre cabinets de consultants étrangers, dont KPMG et Deloitte France, définissent actuellement la stratégie à suivre pour faire de ces 13 champions industriels une réalité algérienne. Le gouvernement, après lui avoir fait la part belle dans la stratégie industrielle, a compris que l’IDE vient dans un pays non pas pour aider celui-ci à conquérir des débouchés extérieurs, mais pour conquérir la plus grande part possible du marché local et régional de ce pays. C’est la logique implacable des multinationales aujourd’hui. Aucun pays n’a été développé par des étrangers. Il faut peut-être regarder les expériences des pays qui étaient auparavant des pays émergents comment ils sont devenus aujourd’hui des puissances économiques.
Ces pays ont d’abord compté sur leurs propres entreprises, ils en ont fait des champions économiques, car seuls des champions économiques nationaux peuvent défendre sur le plan international l’économie de la nation. L’émergence d’un certain patriotisme économique en Algérie semble satisfaire le Forum des chefs d’entreprise. Les patrons ont été, aussi, rassurés sur la question du foncier. Pour rappel, l’ordonnance fixant les conditions et modalités de concession des terrains relevant du domaine privé de l’État, destinés à la réalisation de projets d’investissement, instaure l’exclusivité du régime de la concession pour l’accès au foncier à l’exception des terres agricoles, des terrains situés à l’intérieur des périmètres miniers ou ceux des périmètres de recherche et d’exploitation des hydrocarbures, de sites archéologiques, ainsi que des terrains destinés à la promotion immobilière et foncière bénéficiant de l’aide de l’État. La concession est reconnue comme hypothèque par les banques. Le Chef du gouvernement a indiqué que les textes d’application seront promulgués cette semaine.  Au niveau de l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière, les opérations de cession de terrain ont été suspendues, affirme notre source, en attendant la publication des nouveaux textes fixant les conditions et modalités de concession des terrains relevant du domaine privé de l’État destinés à la réalisation de projets d’investissements.  Le Forum des chefs d’entreprise parle de “la disponibilité du Chef du gouvernement”, mais pour autant les patrons souhaitent être consultés avant les prises de décision pour que les patrons puissent donner leur avis, pour éviter certaines mesures incohérentes comme les nouveaux taux de l’IBS qui découragent l’investissement ou le décret exécutif régissant les honoraires des notaires. Notre source évoque la nécessité “d’un cadre de concertation institutionnalisé”.

Source Liberté

Le Pèlerin

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 06:43

Algérie - Bientôt Alger-Oran en 3 heures par train


 

Un vaste programme visant le développement et la modernisation du secteur du transport ferroviaire en Algérie a été tracé ces dernières années par la SNTF (Société nationale du transport ferroviaire). Programme touchant l’ensemble des aspects liés au rail, s’étendant aux horizons 2025. C’est ce qu’a expliqué le directeur du département infrastructure de la SNTF, Abdelouaheb Aktouche, lors de son passage hier au forum hebdomadaire de la radio El Bahdja. Extension du réseau ferré, acquisition du matériel, formation de cadres, entretien et maintenance de l’équipement sont, entre autres, les volets inclus dans le programme envisagé par l’Entreprise. Le réseau actuel des chemins de fer s’étend, fera savoir d’emblée le Directeur Aktouche, sur 4 300 km dont 3200 en voie normale et 1028 en voie étroite. Sans pour autant préciser la distance du nouveau réseau prévu à moyen terme (2010-2015), l’orateur indique qu’un plan d’action ayant pour objectif l’extension du réseau actuel est, d’ores et déjà, inscrit dans le vade-mecum de la société. «Une enveloppe de 221 milliards de dinars sera consacrée à l’extension du réseau ferré national à l’année 2015», note-t-il citant au passage que l’ensemble du plan - à long terme - de développement du rail sera de l’ordre de 1600 milliards de dinars, soit 16 milliards de dollars d’ici 2025. Dans le futur proche, la SNTF compte acquérir 17 nouvelles automotrices en 2010, d’un montant de 102 millions d’euros, fera savoir encore le directeur. L’acquisition des autorails se fera par des spécialistes en la matière en vue de répondre aux attentes des passagers : «Ces nouveaux autorails seront d’une vitesse de 160 km/h. Ceux qui sont actuellement opérationnels ne dépassent pas les 140 km/h. Je vous cite par exemple que la ligne rapide Alger-Oran se fera en trois heures au lieu de quatre aujourd’hui. Notre objectif est d’assurer un confort et être à la hauteur des attentes de la clientèle». Mieux, l’invité de la radio El Bahdja soutient que les locomotives «diesels» ne seront destinées qu’au transport des marchandises. La SNTF semble également prendre au sérieux le phénomène de vol des câbles au niveau des stations. En ce sens, M. Aktouche qui cite la directive de la chefferie de gouvernement datant du mois de novembre 2007, relative à la protection du patrimoine des chemins de fer, note que les actes de sabotage en la matière sont en constante régression. «Il y a des efforts qui se consentent pour la sauvegarde des installations et les cas de vols de câbles ont diminué ces derniers mois», souligne le représentant de la SNTF.

 

Source radio El Bahdja

 

Le Pèlerin

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