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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 23:36

Epouse – Qui l’eut cru ?

 

 Venise, dans un grand hôtel, le garçon d'étage frappe à la porte de la chambre d'un couple :

- Monsieur désire-t-il quelque chose ?

- Non, merci !

- Et pour votre épouse ?

- Ah ! Oui... Bonne idée... Apportez moi donc une carte postale !

De la part d’une Correspondante

Le Pèlerin

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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 23:10

Blida – Chréa - Le téléphérique fonctionnel au mois de novembre 2008

Votre Serviteur à Chréa

Le téléphérique
 

Les travaux de parachèvement de la ligne du téléphérique reliant Blida à Chréa entament ces jours-ci leur dernier virage, selon un responsable délégué par l’Entreprise Métro d’Alger (Ema), pour le suivi de l’état d’évolution des chantiers.

En gros, il s’agit de travaux de génie civil qui, selon notre interlocuteur, ont enregistré un retard relatif comparativement aux autres travaux de réhabilitation, notamment l’opération de substitution des systèmes mécaniques défaillants au niveau des trois stations qui, pour ainsi dire, touche à sa fin. Dans le détail des chiffres, la station avale de Blida est à 80% des opérations de montage mécanique réalisées et à 100% de réalisés en ce qui touche au volet électricité, mais les travaux de génie civil ne sont qu’approximativement à 50%. La station intermédiaire de Beni Ali affiche, dans les travaux de réhabilitation des systèmes mécaniques ainsi que dans la partie génie civile, des taux d’avancement évalués respectivement à 98% et 80%. Quant à la station amont de Chréa, celle-ci, toujours dans le même ordre des travaux, accuse des taux de 100% et de 90% dans les deux parties. L’ouverture au mois de novembre prochain, selon le même responsable, va permettre de relier Blida à Chréa, à raison de 900 personnes par heure, sur un tronçon d’environ 14 km et dans des conditions de confort plus améliorées que par rapport au transport routier.
Pour rappel, depuis plus de deux années l’Entreprise du Métro d’Alger, qui est le maître de l’ouvrage en partenariat de sous-traitance avec l’entreprise française Pomagalski, effectue des travaux de réhabilitation dont le montant global est de 146 milliards de centimes. L’exploitation du téléphérique, apprend-on de la même source, sera léguée à l’Entreprise des transports urbains de Blida (ETUB). La même source affirme par ailleurs qu’il a été fait appel aux anciens travailleurs du téléphérique qui ont exercé dans la période fin des années 1980 et début des années 1990. Toutefois, un ex-travailleur que nous avons rencontré, assure qu’il n’a toujours pas été rappelé à ce propos, tout en précisant qu’il n’est ni retraité ni résidant en dehors de la ville de Blida. A la question portant sur une idée globale des prix qui seraient éventuellement appliqués aux usagers, notre interlocuteur affirme que la structure des prix ne sera arrêtée qu’à partir d’une étude statistique de la typologie, surtout quantitative et à un moindre degré qualitative, des flux de visiteurs et touristes empruntant cet itinéraire. Chréa, la « dulcinée » des cimes de l’Atlas blidéen, souvent enveloppée de cumulonimbus, de flocons de neige papillonnant et embellie par ces cèdres endémiques de l’Atlas, serait-elle accessible aux humbles citoyens déjà aux prises d’un vécu qui se fait plus qu’hostile.

Source El Watan

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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 23:07
Toulouse - Le Jardin japonais un havre de paix

Le-Jardin-japonnais-lors-du-mariage-d-une-Amie--2-.JPG


C'est en plein centre de Toulouse, et pourtant dès qu'on y entre, une sensation de calme et de bien-être nous envahit. C'est ça l'effet du jardin japonais de Compans-Caffarelli. Et pour fêter ses cerisiers en fleurs, annonciateurs du printemps et de la naissance de l'être humain chez les Bouddhistes, l'association Jardin d'Eden organisait hier et aujourd'hui des visites guidées gratuites, pour la septième année. « Des Japonais, des Bouddhistes, des amoureux de la beauté des paysages viennent pour le jardin et toute la philosophie qu'il y autour », explique Jean Desangles, président de l'association, jardi­nier au jardin japonais et guide de ces visites. « Je viens pour les explications sur les plantes, la composition du jardin. C'est en centre-ville et c'est magnifique, on entend les oiseaux, qu'y a-t-il de plus beau ? Je veux aussi apprendre des choses sur la culture japonaise », commente Hélène Grand, une habituée des lieux venue assister à la visite. Jean a tout d'un conteur quand il vous narre l'évolution des jardin&au Japon, de la conception animiste 10.000 ans avant J.-C. à aujourd'hui, ainsi que la taille des arbres, le changement du jardin selon les saisons, symboles du cycle de la vie, de la naissance de l'être humain avec les cerisiers en fleurs à sa mort l'hiver et les sapins venus.

Le-Jardin-japonnais-lors-du-mariage-d-une-Amie--3-.JPG 


Du départ au pavillon de thé, reproduction de certains bâtiments du palais Katsura de Kyoto, à l'île Tortue, Jean vous fait découvrir les symboles du paysage. « La cascade de la porte du Dragon est inspirée d'une légende selon laquelle quand un esturgeon la franchit, il devient un dragon, et si c'est un homme, il devient Bouddha. Le lac a pour forme les côtes découpées du Japon. Le jar­din matérialise en fait tout le Japon, le Mont Fuji est représenté, le yin avec le frémissement de l'eau du lac s'oppose au yang dans le vallonnement des collines », raconte Jean d'un grand sourire.

Le-Jardin-japonnais-lors-du-mariage-d-une-Amie.jpg

Au final, on y cherche « de la sérénité, du calme, on est ailleurs quand on entre ici, on respecte la nature, c'est magique ! », selon Jean. Hier la trentaine de visiteurs silencieux de la première visite n'avait plus envie de partir. Aude Pons reflète le sentiment général : « c'est impressionnant, on est dans un véritable cocon, déconnectés de la ville, au calme, on a envie de chuchoter. »

 
Source La Dépêche du Midi
 
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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 23:00

  Résumé de La Peste d'Albert Camus
 


Albert Camus

La Peste est publié en 1947 et vaut à Albert Camus son premier grand succès de librairie : 161 000 exemplaires vendus dans les deux premières années. Ce roman s'est vendu, depuis, à plus de 5 millions d'exemplaires , toutes éditions françaises confondues. 
La Peste est bâti comme une tragédie en cinq actes. L'action se situe en avril 194. à Oran,  une ville "fermée" qui "tourne le dos à la mer". 

Première partie

Oran, un jour d'avril 194. , le docteur Rieux découvre le cadavre d'un rat sur son palier. Le concierge, monsieur Michel, pense que ce sont des mauvais plaisants qui s'amusent à déposer ces cadavres de rats dans son immeuble. A midi, Rieux accompagne à la gare son épouse qui, malade, part se soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse annonce que plus de six mille rats ont été ramassés le jour même. L'angoisse s'accroît . Quelques personnes commencent à émettre quelques récriminations contre la municipalité. Puis , soudainement, le nombre de cadavres diminue, le rues retrouvent leur propreté, la ville se croit sauvée.
Monsieur Michel, le concierge de l'immeuble de Rieux, tombe malade . Le docteur Rieux essaye de le soigner. Sa maladie s'aggrave rapidement. Rieux ne peut rien faire pour le sauver. Le concierge succombe à un mal violent et mystérieux.
Rieux est sollicité par Grand, un employé de la mairie. Il vient d'empêcher un certain Cottard de se suicider. Les morts se multiplient. Rieux consulte ses confrères. Le vieux Castel, l'un d'eux, confirme ses soupçons : il s'agit bien de la peste. Après bien des réticences et des tracasseries administratives, Rieux parvient à ce que les autorités prennent conscience de l'épidémie et se décident à "fermer" la ville.

Deuxième partie

La ville s'installe peu à peu dans l'isolement. L'enfermement et la peur modifient les comportements collectifs et individuels : " la peste fut notre affaire à tous" , note le narrateur.
Les habitants doivent composer avec l'isolement aussi bien à l'extérieur de la ville qu'à l'intérieur. Ils éprouvent des difficultés à communiquer avec leurs parents ou leurs amis qui sont à l'extérieur. Fin juin, Rambert, un journaliste parisien séparé de sa compagne , demande en vain l'appui de Rieux pour regagner Paris. Cottard, qui avait, en avril, pour des raisons inconnues tenté de se suicider , semble éprouver une malsaine satisfaction dans le malheur de ses concitoyens. Les habitants d'Oran tentent de compenser les difficultés de la séquestration , en s'abandonnant à des plaisirs matériels. Grand , employé de la mairie, se concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase. Le père Paneloux fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout esprit de charité.
Tarrou, fils d'un procureur et étranger à la ville, tient dans ses carnets sa propre chronique de l'épidémie . Lui ne croit qu'en l'homme . Il fait preuve d'un courage ordinaire et se met à disposition de Rieux pour organiser le service sanitaire. Rambert les rejoint.

Troisième partie

C'est l'été, la tension monte et l'épidémie redouble. Il y a tellement de victimes qu'il faut à la hâte les jeter dans la fosse commune , comme des animaux. La ville est obligée de réprimer des soulèvements et les pillages. Les habitants semblent résignés . Ils donnent l'impression d'avoir perdu leurs souvenirs et leur espoir . Ils n'ont plus d'illusion et se contentent d'attendre...

Quatrième partie


Cette partie se déroule de septembre à décembre. Rambert a eu l'opportunité de quitter la ville , mais il renonce à partir. Il est décidé à lutter jusqu'au bout aux côtés de Rieux et de Tarrou. L'agonie d'un jeune enfant, le fils du juge Othon et les souffrances qu'éprouvent ce jeune innocent ébranlent Rieux et troublent les certitudes de l'abbé Paneloux. L'abbé se retranche dans la solitude de sa foi, et meurt sans avoir sollicité de médecin, en serrant fiévreusement contre lui un crucifix. Tarrou et Rieux , connaissent un moment de communion amicale en prenant un bain d'automne dans la mer . A Noël, Grand tombe malade et on le croit perdu. Mais , il guérit sous l'effet d'un nouveau sérum. Des rats, réapparaissent à nouveau, vivants.

Cinquième partie

C'est le mois de janvier et le fléau régresse. Il fait pourtant de dernières victimes : Othon, puis Tarrou qui meurt, serein au domicile de Rieux . Il confie ses carnets au docteur. Depuis que l'on a annoncé la régression du mal, l'attitude de Cottard a changé. Il est arrêté par la police après une crise de démence
Un télégramme arrive chez Rieux : sa femme est morte.
A l'aube d'une belle matinée de février, les portes de la ville s'ouvrent enfin . Les habitants, libérés savourent mais ils n'oublient pas cette épreuve "qui les a confrontés à l'absurdité de leur existence et à la précarité de la condition humaine."
On apprend l'identité du narrateur : C'est Rieux qui a voulu relater ces événements avec la plus grande objectivité possible. Il sait que le virus de la peste peut revenir un jour et appelle à la vigilance.

Source http://www.alalettre.com/camus-peste.htm

Le Pèlerin

 

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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 06:37

Algérie - Bouteflika l'a décidé hier : La prime de scolarité grimpe à 3.000 dinars

http://www.lequotidien-oran.com/files/spacer.gifLa prime de scolarité revue à la hausse. De 2.000 DA, elle sera relevée à 3.000 DA et devra bénéficier à 3 millions d'enfants scolarisés. C'est le président de la République qui a décidé, hier, lors de l'audition du ministre de l'Education, M. Benbouzid, de cette augmentation, intervenue à la veille de la rentrée scolaire.
Les enfants issues de familles démunies auront 1.000 DA de plus pour l'achat des fournitures scolaires. Cette décision entre en vigueur à compter de cette année scolaire 2008-2009.
Autre décision prise par le chef de l'Etat afin d'initier l'école aux nouvelles technologies, celle de la généralisation de l'enseignement de l'informatique et des nouvelles technologies. Il a instruit le gouvernement à veiller, dans le cadre du programme quinquennal 2009-2014, à doter l'éducation nationale des ressources et des moyens destinés à généraliser réellement l'enseignement de l'informatique et des nouvelles technologies de l'information, à tous les paliers de la scolarité, y compris au cycle primaire. «Nous devons gagner la bataille de la réhabilitation des filières scientifiques qui doivent prédominer dans le cycle secondaire si nous voulons réellement assécher la déperdition scolaire et le chômage des diplômés à tous les niveaux. L'Algérie, qui entend construire une véritable société de l'information et des nouvelles technologies pour rattraper ses retards en ce domaine, doit aussi pouvoir compter sur l'école pour gagner cette bataille», a indiqué le chef de l'Etat.
En présentant un état des lieux du secteur et la progression de la réforme de l'éducation nationale ainsi que les préparatifs de la rentrée scolaire 2008-2009, le ministre de l'Education a axé son exposé sur les progrès enregistrés dans ce domaine et qui se sont caractérisés par une révision de 185 programmes dont 134 qui viennent d'être allégés pour les trois cycles d'enseignement. Une réduction de volume horaire qui varie entre 3 heures par semaine dans le primaire, et une heure au niveau de certaines filières du cycle secondaire.
Il y a aussi la vacation unique généralisée dans le cycle primaire, accompagnée d'une réduction de la séance de cours à 45 minutes, et de la libération du jeudi pour les élèves, tout en consacrant cette journée à la formation des enseignants.
La réforme de l'éducation nationale se reflète également par le taux de scolarisation des enfants âgés de 6 ans qui a atteint 97 % en 2007, soit le seuil des pays avancés, alors qu'il n'était que de 43 % en 1966. Le taux de réussite au baccalauréat qui était de 34,4 % en 2001, puis de 51,1 % en 2006, a atteint 55,4 % cette année. Ce taux est en réalité désormais proche des résultats de certains pays avancés lorsque l'on tient compte du fait que le baccalauréat algérien est délivré sans rachat sur les notes et sans session de rattrapage. Pour les manuels scolaires, 151 titres ont été profondément révisés sous le contrôle de commissions spécialisées installées au niveau de l'Institut national de recherche en éducation. La distribution de ces manuels scolaires est désormais normalisée grâce à d'importants tirages régis par l'Etat (60 millions d'unités pour cette année et près de 220 millions depuis le lancement de la réforme), aux distributions organisées dans les établissements scolaires, ainsi qu'à la mise en vente des manuels à travers 465 librairies agréées, réparties sur le territoire national, a indiqué le ministre.
Evoquant la formation des enseignants, le premier responsable du secteur a fait savoir que depuis septembre 2003, il y a eu mise en place du nouveau modèle de formation des enseignants. Ainsi, ceux du primaire suivent un cycle de formation de 3 années après le baccalauréat, ceux du moyen un cycle de 4 années après le baccalauréat, et ceux du cycle secondaire suivent cinq années de cours après le baccalauréat.
Les efforts engagés durant les 4 premières années du plan quinquennal 2005-2009 ont permis la réalisation de 301 lycées, 861 CEM, 1.200 écoles primaires, 1.748 cantines, 833 demi-pensions et 112 internats.
Après cette présentation du secteur, le président de la République a relevé que «les pas déjà franchis sur la voie de la réforme de l'éducation nationale nous ont permis, au cours de cette décennie, de rattraper sensiblement les retards accumulés pendant les années de crise de la décennie écoulée, et d'améliorer aussi le niveau dans tous les domaines, qu'il s'agisse de la formation des enseignants, ou des programmes ou enfin des résultats aux examens pédagogiques».
«Il reste, a poursuivi le chef de l'Etat, que tous ces progrès en appellent nécessairement d'autres, car l'école demeure la pierre angulaire du développement et de l'avenir du pays». Trois défis à relever, selon le président. «L'éducation, le civisme et l'esprit de citoyenneté, trois missions dans lesquelles l'école doit s'investir encore davantage».

Source Le Quotidien d’Oran

Le Pèlerin

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:37

Boubekeur Benbouzid, ministre de l’éducation, à liberté

“Nous manquons d’enseignants de français”

-  “L’intégration par le passé des contractuels n’est pas un cas de jurisprudence.”
- “Lorsqu’on décide de fermer une école, c’est qu’il n’y a pas assez d’élèves pour la maintenir ouverte.”
Liberté : Par quoi se caractérise la rentrée scolaire 2008/2009 ?
M. Boubekeur Benbouzid : Je voudrais tout d’abord vous remercier ainsi que toute l’équipe de votre journal pour l’accueil que vous m’offrez dans vos colonnes à l’occasion de cette rentrée scolaire qui constitue l’événement le plus en vue de la rentrée sociale. Je me sens honoré par votre invitation, qui me permettra à travers mes réponses à vos questions de fournir à vos lecteurs des informations – peut-être des réponses à leurs attentes – sur ce secteur vital de la société qu’est celui de l’éducation. Le secteur de l’éducation intéresse tous les foyers car c’est à lui qu’ils confient ce qu’ils ont de plus cher, leurs enfants pour leur instruction, leur éducation, leur formation citoyenne, leur préparation à la vie sous toutes ses facettes. Je profite de l’hospitalité de votre quotidien pour saluer par son canal l’ensemble de la communauté éducative et, surtout, pour exhorter les parents d’élèves à continuer à montrer un vif intérêt à la scolarité et à l’éducation de leurs enfants, à stimuler, à suivre et à contrôler leur progression et leurs performances tout au long de leur cursus. Car une éducation réussie constitue assurément une vie personnelle, professionnelle et sociale réussie. Je m’adresse aussi aux élèves et aux enseignants, acteurs et partenaires indissociables du processus d’enseignement et d’apprentissage, pour leur souhaiter une bonne rentrée des classes et, surtout, pour leur demander, chacun dans son rôle, de la constance dans le travail et l’effort.  Pour revenir à votre question, je voudrais vous dire d’emblée que la présente rentrée scolaire se distingue de celle des années précédentes sous plusieurs aspects :
Premièrement, le secteur aura à faire face à quelques tensions en rapport avec les conditions d’accueil dans les collèges de la double cohorte d’élèves issus de la 6e année fondamentale (extinction de l’ancien régime) et de la 5e année primaire (nouveau régime). Des mesures palliatives opérationnelles ont été décidées dans le cadre du suivi des constructions scolaires et de la préparation de la rentrée ;
Deuxièmement, l’éducation préparatoire connaîtra, dans le cadre de sa généralisation progressive, un bond quantitatif et qualitatif sans précédent, en accueillant plus de 433 000 enfants de la tranche d’âge de 5 à 6 ans, qui seront encadrés par près de 17 000 enseignants préalablement recyclés aux spécificités de ce niveau d’éducation et à l’utilisation des moyens d’enseignement s’y rapportant (programmes, manuels, autres matériels didactiques) ;
Troisièmement, la bataille de la qualité sera renforcée à travers un train de mesures tendant à dynamiser la fonction d’évaluation dans ses différents champs d’action, à améliorer l’administration et la gestion du secteur à tous les niveaux, en s’appuyant sur des normes reconnues et des indicateurs qualitatifs, à institutionnaliser l’accompagnement, le soutien et la remédiation pédagogique à certains niveaux d’enseignement et selon des formes adaptées, à redorer le blason de la formation continue non seulement au niveau académique, mais aussi aux plans psychopédagogique, méthodologique et déantologique, à poursuivre la dotation des établissements scolaires en équipement informatique et à développer l’utilisation de TICE et, enfin, à réorienter les missions des différents corps d’inspection dans le sens d’une plus grande efficacité de leur action.
L’année dernière, des élèves de 3e année secondaire sont descendus dans la rue pour dénoncer la lourdeur des programmes. Vous aviez promis de prendre en charge le problème. Quelles sont les dispositions prises dans ce sens ?
En effet, j’ai promis de prendre en charge ce problème et j’ai tenu ma promesse. Mon premier engagement à propos de la présumée surcharge des programmes était de veiller à ce que les sujets du baccalauréat ne portent que sur des contenus d’enseignement effectivement étudiés en classe par la totalité des élèves concernés. À cet effet, les programmes de toutes les disciplines et dans toutes les filières sont passés au crible, des aménagements ont été opérés, des répartitions annuelles ont été établies, le collationnement a été effectué wilaya par wilaya et lycée par lycée sous l’égide des directeurs de l’éducation — formellement responsabilisés — avec le concours du corps inspectoral coordonné par l’inspection générale du ministère, enfin, le fruit des travaux a été validé et approuvé par la conférence nationale avant d’être diffusé à tous les établissements d’enseignement secondaire du territoire national.  Mon deuxième engagement visait à éviter, dans les sujets, toute question se rapportant directement, explicitement, à une spécificité de l’approche par les compétences (qui sous-tend l’ensemble des programmes et manuels scolaires de la réforme). Mon troisième engagement garantissait aux candidats au baccalauréat deux sujets au choix dans toutes les matières prévues à l’examen. Une rallonge horaire de 30 minutes pour chaque épreuve, pour compenser le temps consacré à la lecture des deux sujets et faire le choix, fut décidée et annoncée par tous les canaux de communication. En plus des mesures pédagogiques que je viens d’énoncer, j’ai également pris des mesures organisationnelles dans le souci d’améliorer le déroulement des différentes phases de l’examen. Cette année, le suivi des classes de terminale sera renforcé. Le système mis en œuvre l’année passée sera perfectionné et reconduit pour mieux préparer les candidats au bac.

Quelles sont les mesures prises par votre département au sujet des élèves de terminale, issus de l’ancien système, qui ont échoué l’année dernière à leur baccalauréat ?
Permettez-moi tout d’abord de vous rappeler ainsi qu’aux lecteurs, que les ajournés de l’ancien système à la session de juin 2008 ont déjà été ajournés à la session de juin 2007, c’est-à-dire que pour la session de juin 2009, ils passeraient le bac pour la troisième fois. Ce que ni l’ancien système ni le nouveau auraient permis. Par conséquent, ils constituent des sortants du secteur qui ne sont plus scolarisés. Cependant, nous continuerons à organiser le baccalauréat de l’ancien système pendant un certain nombre de sessions (qui ne saurait excéder cinq) et ils pourront s’y présenter en qualité de candidats libres. S’agissant des candidats ajournés à la session de juin 2008, relevant du nouveau système, ils sont tous autorisés à redoubler la 3e année secondaire. Une directive ministérielle a été adressée, dans ce sens, aux directeurs de l’éducation.
Les syndicalistes autonomes menacent par une rentrée houleuse si le gouvernement refuse de tenir ses engagements, notamment la révision de la grille des salaires et la rapidité dans l’élaboration du statut particulier...
À ce propos, je dois apporter la précision suivante : le statut particulier a été élaboré par une commission ad hoc qui a appelé en consultation les syndicats agréés du secteur et qui a tenu compte de l’ensemble des propositions avancées par ces derniers. Donc, en dernier ressort, ce statut est le leur, car il a été élaboré par eux-mêmes. De plus, par définition, tout statut particulier contient non seulement les dispositions relatives aux droits et aux obligations, les définitions des tâches des différents corps, les modes d’accès, les règles régissant les promotions et le déroulement de la carrière, mais aussi les éléments qui permettent de déterminer la rémunération. Le projet élaboré par la commission ad hoc a été transmis, pour finalisation, à la direction générale de la Fonction publique en temps opportun. L’approbation par le conseil du gouvernement est imminente.
À plusieurs reprises, vous avez déclaré que le secteur de l’Éducation souffre d’un déficit d’encadrement, notamment d’enseignants en langue française. Pensez-vous que le concours lancé en juillet dernier réglera ce manque ?
En effet, le secteur de l’éducation manque d’enseignants de français, surtout pour le primaire et particulièrement dans les régions enclavées. Pour le moment, les concours de recrutement ne font qu’atténuer le déficit, car l’offre est supérieure à la demande. Les raisons remontent jusqu’à l’orientation des nouveaux bacheliers vers les filières de l’enseignement supérieur : jusqu’à un passé récent, peu d’universités possédaient des départements de langue française et, par-dessus le marché, ces rares départements de langue française ne faisaient pas le plein. Pour combler quelque peu le déficit en enseignants de français, le secteur a recouru à des sortants de l’université possédant un diplôme en interprétariat, ou ayant fait leurs études en français, ou à des retraités de la spécialité. À moyen terme, le problème se résorbera progressivement grâce à l’ouverture de départements de français et au renforcement de leur encadrement dans la totalité des facultés des lettres existantes ; l’attribution de logements de fonction, particulièrement dans le Sud, pourrait être une mesure incitative de premier ordre.
Le problème des enseignants contractuels, qui a été au cœur de l’actualité nationale cet été, reste toujours posé, dans la mesure où certains professeurs non détenteurs de diplômes d’enseignement sont exclus de facto. Quel est leur avenir, sachant qu’ils ont travaillé depuis des années dans le secteur ?
Le problème des enseignants contractuels doit être appréhendé sous l’angle réglementaire, loin du domaine affectif ou émotionnel. La réglementation dispose que pour
être recruté en qualité d’enseignant stagiaire, il faut, soit avoir complété une formation dans une institution de formation d’enseignants : institut de formation et de perfectionnement des  maîtres (pour le primaire) ou École normale supérieure (pour le moyen et le secondaire), soit posséder un diplôme d’enseignement supérieur ouvrant droit à participer au concours de recrutement des professeurs certifiés de l’enseignement fondamental (pour enseigner au primaire et au moyen), ou au concours de recrutement des professeurs d’enseignement secondaire et être admis au dit concours.  Ceux qui ne satisfont pas aux dispositions que je viens d’énoncer ne peuvent aspirer, dans le domaine de l’enseignement, qu’à des emplois contractuels temporaires, c’est-à-dire à durée limitée, donc révocables. Il est vrai qu’à deux reprises dans le passé, une mesure d’intégration a été décrétée dans le gouvernement au profit des enseignants contractuels, à titre exceptionnel, car il existait un déficit en encadrement. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. En outre, cela ne peut, en aucun cas, constituer un précédent judiciaire pour être invoqué comme cas de jurisprudence.
Vous avez déclaré que le préscolaire sera obligatoire à partir de la rentrée 2009. Quelles sont les mesures prises dans cette perspective ?
 Je ne me souviens pas avoir déclaré que le préscolaire allait être obligatoire à partir de la rentrée 2009. Par contre, je suis certain d’avoir annoncé que la généralisation de l’éducation préparatoire au profit des enfants âgés de cinq ans allait connaître une forte accélération à partir de 2008-2009. Je vous renvoie à ma réponse à votre première question pour mesurer l’importance de l’effort consenti, ce qui n’est, d’ailleurs, que le reflet des dispositions stipulées par la loi d’orientation sur l’éducation nationale promulguée en janvier 2008.
Dans la wilaya de Tizi Ouzou, pas moins de 39 écoles primaires ont été fermées. Quelle est l’évolution de ce phénomène qui s’est manifesté depuis quelques années et comment l’expliquez-vous ?
Il y a, en effet, plusieurs écoles fermées dans la wilaya de Tizi Ouzou, mais pas uniquement à Tizi Ouzou. D'ailleurs, le phénomène n’est pas nouveau, il a été observé en plusieurs endroits du territoire dans les années 1970, 1980 et 1990. Lorsqu’on décide de fermer une école, c’est qu’il n’y a pas d’élèves ou qu’il n’y a pas assez d’élèves pour la maintenir ouverte. Ceci est une règle appliquée dans la plupart des pays.  S’il n’y a pas assez d’élèves ou pas du tout d’élèves, c’est que la localité d’implantation de ladite école s’est fortement dépeuplée pour diverses raisons ; inopportunité de l’implantation de l’école faite pour des raisons subjectives, exode rural vers le chef-lieu de la commune, de la daïra, de la wilaya, ou tout autre agglomération possédant de meilleures commodités de vie (commerces, transports, administrations...), regroupement de populations pour raisons sécuritaires, risques majeurs ou catastrophes naturelles, etc.
Cette année, le problème des écoles privées ne s’est pas posé. Faut-il conclure que votre département a trouvé une solution radicale ?
C’est vrai, cette année, on n’a pratiquement pas enregistré de cas de non-respect de la loi dans la gestion et le fonctionnement des écoles privées. Cela ne relève pas d’une solution miracle, mais il semblerait que la décantation des règles édictées par la législation et la réglementation en la matière se soit faite et que les gestionnaires les aient assimilées. Mais nous ne baissons pas la garde, l’inspection et le contrôle continuent, vigilance oblige.

Source Liberté

Le Pèlerin

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:36

Après le refus de la création d’un fonds souverain



L’Algérie perdra des milliards de dollars

L’intérêt des fonds souverains est de fructifier une partie des réserves en devises, faisant gagner plus d’argent à l’État par des placements au rendement élevé, au profit des générations futures.  Cet instrument pourrait servir également de levier au transfert technologique.


Fonds souverain. Ce sujet parce qu’il touche à l’avenir des enfants des Algériens invite à un débat sérieux avant de tirer les conclusions sur la nécessité de créer cet instrument au profit des générations futures ou non.
L’État veut faire l’économie de ce débat. Il n’est pas question de créer ce fonds, a affirmé le président de la République lors de l’audition du ministre des Finances. L’Algérie a besoin d’investir, a-t-il ajouté.
Pourtant, ce point sensible soulève la question de la gestion des réserves de devises du pays. Autrement dit, comment préserver dans le temps le pouvoir d’achat des réserves de change ? Cette question renvoie à deux problématiques, relève un expert international. La première porte sur la gestion des réserves de change, la seconde sur la nécessité d’une réflexion sur la création ou non d’un fonds souverain. La Banque d’Algérie gère ces réserves en devises, note-t-il de manière prudente.
Mais comment sont placées les réserves de change de l’Algérie ? La Banque centrale utilise deux manières prudentes pour placer les réserves, ajoute le même expert. Premièrement, elle place 70% de cet argent en titre souverain, c'est-à-dire en bons de Trésor américains, japonais, britanniques et européens qui sont pour la plupart cotés AAA (placements très sûrs) avec des durées qui sont plus ou moins longues.
Le second placement s’effectue via les dépôts de la Banque centrale sur le marché bancaire et interbancaire. L’argent est déposé par la Banque centrale auprès de banques internationales qui disposent de références très élevées. Ce matelas de devises serait composé à 45% en dollars américains, à 45% en euros, à 10% en yens et 10% en livres sterlings. La Banque d’Algérie a bien géré au cours des quatre à cinq dernières années la remontée de l’euro par rapport au dollar. Elle a acheté des euros au moment où leur cours était bas.
Ce qui explique aujourd’hui la part plus importante de l’euro dans la composition des réserves de change.
En un mot, ce matelas de devises, qui a atteint à fin juin 133 milliards de dollars est placé en bonne partie, en bons de Trésor américains.

La gestion prudente de la Banque d’Algérie a un coût
“Cet argent rapporte 2% seulement. Si l’on utilisait une partie de ces réserves de change dans la création d’un fonds souverain, le rendement pourrait être de 15% à 30%, voire au minimum de 7%”, a relevé Mustapha Mekidèche, vice-président du Cnes et expert pétrolier.
Cette prudence a un coût. Un simple calcul montre que dans cette affaire, l’Algérie perd des milliards de dollars par an, eu égard au volume important des réserves en devises actuellement.
En termes simples, il s’agit de puiser une partie des réserves en devises, disons 20% selon un économiste, pour créer un fonds souverain. L’argent sera placé, à titre d’illustration, dans l’achat d’actions ou autres actifs à fort rendement, dans des prises de participations ou des rachats de sociétés qui pourraient opérer un transfert technologique vers l’Algérie.
Ces questions renvoient à un autre véritable débat qui touche aussi les générations futures, celui de l’après-pétrole et de l’après-gaz. Avons-nous intérêt à produire aujourd’hui autant de pétrole et de gaz quand on sait que les prix du pétrole vont atteindre à moyen ou long terme 200 à 300 dollars, voire plus ? Pourquoi ne pas préserver ces réserves pour les générations futures, et ne pas produire juste ce dont on a besoin ?
Deuxième question : comment utiliser les réserves de change, comment les intégrer dans la construction d’une économie plus diversifiée, beaucoup moins dépendante des fluctuations des prix du pétrole, comment sortir de l’économie de rente ?
La question de la création d’un fonds souverain devra être appréhendée sous cet angle.
Pour un autre expert international, il y a une relation entre le risque et le rendement. Le rendement est élevé lorsqu’il y a plus de risque. Le rendement est bas lorsque le risque est bas. Plus simplement, on obtient par le fonds souverain des rendements élevés mais avec plus de risque.
À travers le monde, les fonds spécialisés dans la gestion de ces risques se multiplient. Le fonds souverain de la Norvège, destiné aux générations futures et qui a atteint plus de 200 milliards d’euros, connaît annuellement une croissance significative.
L’expert ajoute que la création d’un fonds souverain viendrait en complément d’une meilleure organisation interne : un système financier performant, la mise en place d’un marché des capitaux et des ressources humaines capables de contrôler ce fonds.
Par ailleurs, le fonds souverain pose pour le premier spécialiste le problème de son organisation, de son contrôle, de sa transparence et d’une coordination étroite entre institutions de l’État. Au Koweït, le fonds est géré par les ministères de l’Économie, des Finances et la Banque centrale.
Question annexe : que fait-on des 40 milliards d’euros accumulés dans le fonds de régulation ? Ils sont considérés comme des réserves dormantes. Le bons sens commande de les placer, voire de les affecter à l’investissement privé productif, comme le suggère le second spécialiste.
Enfin, dans un contexte où la pauvreté et le chômage en Algérie restent préoccupants, se
prononcer sur ces questions, sans véritable débat, laisser la  population ignorante des enjeux de l’utilisation de l’argent de pétrole, ne semble pas relever de pratiques propres à un État de droit.

Source Horizons

Le Pèlerin

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:28

Humour – Trop fatiguant

 

C'est un jeune Français qui est envoyé en stage en Angleterre chez de riches Anglais.
Quand il arrive, le lord lui fait faire le tour du propriétaire : ils passent devant un terrain de golf. Le Français lui dit : Vous jouez au golf ???
Le lord lui répond : Non j'ai essayé une fois et c'est trop fatiguant
Ils passent devant une piscine privée. Le Français lui dit : Vous nagez ???
Le lord lui répond : Non j'ai essayé une fois et c'est trop fatiguant.
Ils passent devant une écurie. Le Français lui dit : Vous montez ???
 Et le lord lui répond : Non j'ai essayé une fois et c'est trop fatiguant
Ils passent devant un terrain de tennis. Le français lui dit : Vous jouez au tennis ??? Et le lord lui répond : Non j'ai essayé une fois et c'est trop fatiguant.
A ce moment là, le fils arrive.
Le lord lui dit : Voici mon jeune fils William !
Et le Français se tourne vers le fils et lui dit : Fils unique je présume ???

De la part d’une Correspondante

Le Pèlerin

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:21

Mick MACCOTTA - Artiste Pied-noir - Auteur-compositeur-interprète


Souvent, je pense à mon enfance, mon ado au quartier des HBM du RUISSEAU à ALGER, là, où je suis né - les maisons blanches, les marchés, la mer, ma famille, mes copains et copines des différentes communautés, mon quartier, mon école et collège, les plages comme Sidi Ferruch - Je me rappelle aussi des «Couleurs et Parfums».....
C'est le Titre que j'ai donné à ma chanson, extraite de mon dernier album du même nom et pour laquelle, j'ai décidé de tourner un clip que je vous transmets par le lien ci-dessous.
Si cette chanson, ce clip, vous plait, faites le suivre en cliquant sur « transférer », à votre famille, vos amis vos relations en leur demandant d'en faire autant pour que des milliers de personnes le voient -
Nous étions plus d'un MILLION, de toutes confessions à rejoindre la Métropole en 1962 - En tant qu'artiste Pied Noir, Chanteur-Auteur-Compositeur, j'ai voulu le rappeler 46 ans après...... et, je le « dis » comme « je le chante » en refrain dans ma chanson .....Mon voyage est toujours le même..... des vagues de sable.... Un seau de mer.......
Quand je pense à cette terre lointaine....c'est l'air d'la mer qui me revient
Ayant écrit la musique, j'ai fait appel à mon ami Yves Chardon, également enfant du Ruisseau, pour co-écrire ensemble le texte de « Couleurs et Parfums ».
L'album « couleurs et parfums », est disponible sur le site, si vous souhaitez vous le procurer.
Amitiés musicales, et en espérant que cette chanson qui est, quelque part également la vôtre et qui fait partie de notre histoire rencontre le meilleur accueil. Mick MACCOTTA

Cliquez sur le lien ci-dessous - montez le son....

Voici le clip de la chanson « COULEURS ET PARFUMS »

 

Contact :

 

www.mickmaccotta.com

 

 

http://fr.youtube.com/watch?v=oS5Zsd4anmw


 

Le Pèlerin

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 08:30

Alger suffoque - Baisse de température à partir de vendredi


Une chaleur suffocante s’est installée dans la journée d’hier rendant les déplacements difficiles. Une situation qui risque de se prolonger jusqu’à demain. 

Les prévisions de la météorologie l’attestent et le confirment.
«L’Algérie est actuellement sous l’influence de vents du sud-ouest qui ont entraîné une masse saharienne qui s’est traduite par un réchauffement sensible de la température.
Ce réchauffement se maintiendra jusqu’à jeudi et concernera essentiellement les régions du centre et de l’est qui verront une température atteignant localement un pic de 36 degrés sur les hautes pleines de l’intérieur». C’est ce qu’a indiqué hier
M. Anbar, responsable de la communication auprès de l’Office national de la météorologie (ONM).
Selon ce dernier, les vents du sud-ouest sont générés par la présence d’une zone dépressionnaire qui est actuellement de passage sur l’Europe occidentale. L’évolution de cette dépression se dirigera vers la Méditerranée et va générer des vents d’ouest et nord-ouest engendrant un net rafraîchissement et une baisse de la température à partir de vendredi.
Selon les prévisions météorologiques, ce rafraîchissement va persister et se maintiendra jusqu’au début de la semaine prochaine. La température va ainsi baisser de 10 degrés entraînant des pluies passagères et quelques orages sur les régions de l’intérieur du pays.
«Cette chaleur n’est pas exceptionnelle dans la mesure où des pics de 36 degrés ont été enregistrés dans nos régions entre le 15 et le 17 septembre 2007», a rappelé M. Anbar. Et d’ajouter : «Bien que d’importantes pluies aient caractérisé le mois de septembre dernier, celles-ci n’ont pas épargné les pics de chaleur intensive ».
Selon toujours M. Anbar, ce climat est propre aux régions méditerranéennes qui se caractérisent par une grande variabilité climatique inter-saisonnière et interannuelle. Cela veut dire qu’une seule saison peut être soumise à des variations climatiques d’une année à une autre du fait que nos régions se situent dans des zones tempérées et restent influencées par les perturbations polaires et les perturbations extratropicales des régions Sud.
Pour sa part, le réseau de surveillance de la qualité de l’air indique que pour la journée d’hier (mardi), l’indice relevé au niveau de la zone d’El Hamma fait cas d’un air légèrement pollué par la poussière. Un taux très faible d’oxyde d’azote (NO2) et de monoxyde de carbone a été relevé.
Au niveau de Bab El Oued, l’indice est, cependant, assez bon, même si l’air est légèrement poussiéreux. Il en est de même à Ben Aknoun et au niveau de la place du 1er-Mai où l’indice est bon vu la faiblesse du monoxyde de carbone et l’absence du dioxyde de souffre (SO2) dans l’air.

Source Horizons

Le Pèlerin

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