Les poèmes et chansons sur Toulouse sont innombrables. En voici quelques-uns. Mais à tout seigneur tout honneur :
ô Toulouse...
Le cirque de Gavarnie
L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus
tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du
temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve
bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la
chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont
perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses
avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes
relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le
nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses
ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance
capitale en Algérie.
Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme
voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse
algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...
Cordialement,
Le
Pèlerin
Les poèmes et chansons sur Toulouse sont innombrables. En voici quelques-uns. Mais à tout seigneur tout honneur :
ô Toulouse...
Secteur économique porteur
Le tourisme toujours dans le creux de la vague
Pour atteindre les 2,5 millions de touristes annuellement, il reste beaucoup à faire. Il ne s’agit là ni de pessimisme ni de défaitisme. C’est le constat établi par le premier responsable du secteur, M. Cherif
Rahmani, qui ne vise d’ailleurs à atteindre cet objectif qu’en 2025. Depuis sa nomination à la tête du département du tourisme, il a annoncé une série de mesures à même de promouvoir la destination Algérie. Des assises régionales, nationales et internationales ont été organisées ; des accords de qualité et de performance touristiques ont été signés avec les compagnies aériennes, les agences de voyages, les hôtels et autres infrastructures touristiques, ainsi que des conventions de coopération avec les services des Douanes, de sécurité et l’Union des chauffeurs de taxi ; le plan national de formation en hôtellerie a été lancé. Mais toutes ces mesures ne semblent pas avoir porté leurs fruits, il y a une ombre au tableau dans un pays disposant de potentialités touristiques avérées. De l’avis des opérateurs, l’Algérie n’est toujours pas considérée comme un produit touristique à proposer. Certains représentants d’agences à Alger ont même déclaré : «Nous n’avons pas pour vocation de développer le tourisme local. Nous sommes des prestataires de services. Ce genre de destination coûte vraiment très cher. Les infrastructures d’accueil sont insuffisantes, inadaptées et onéreuses. Nos moyens de transport sont inappropriés, leurs propriétaires ne respectent pas leurs engagements et les prestations de services laissent à désirer. C’est toute une culture.» Il est vrai que le tourisme, c’est toute une culture. Comme ces propos sont de ceux-là mêmes qui sont censés présenter la meilleure image de l’Algérie, il est évident que le changement n’est pas pour demain. Les agences de voyages, qui sont le pilier du secteur du tourisme en Algérie, excepté l’organisation des séjours de omra, sont devenues des agences de commercialisation de billets de transport et de facilitation pour l’obtention de
visas ! L’Etat a donc beaucoup à faire. En plus de la refonte intégrale du secteur, il doit lutter contre les mentalités. Le défi n’est pas simple. L’Algérie est aujourd’hui la dernière destination touristique dans le Maghreb malgré le fait qu’elle soit la première région à grand potentiel touristique. Alors, en attendant qu’elle redevienne le nouvel eldorado, le vacancier algérien a trouvé d’autres combines pour ses vacances.
Source La Tribune
Le Pèlerin
Philippe Douste-Blazy et Pierre Cohen ont présenté hier le bilan d'étape du chantier. La première pierre du futur hôpital sera posée fin 2008
Transport. La mobilisation est grande chez les employés de Tisséo qui réclament une prime pour compenser la hausse du carburant. Demain matin, les bus risquent de rester aux dépôts.
« À plus dans le bus ! ». La formule devenue à la mode chez les jeunes ne pourra guère s'appliquer demain matin dans le Grand Toulouse. Car les bus risquent de ne guère être nombreux dans l'agglomération suite à un mouvement de grève de l'intersyndicale CGT, CFTC, CFDT, FO et Sud-Transport pour cette journée de lundi. Un conflit social motivé par la hausse du prix du carburant dont souffrent les employés de Tisséo (pour venir au travail) comme tout un chacun. Leurs syndicats, précédant l'annonce par le gouvernement de l'éventualité de la prise en charge par les employeurs d'une partie du surcoût du carburant, ont déposé un préavis de grève début juillet (lire ci-dessous). Estimant que la direction refusait de négocier la prime demandée, les syndicats ont décidé la grève pour ce lundi.
service minimum
La nouvelle réglementation du droit de grève dans le secteur des transports, qui impose aux salariés d'annoncer à l'avance leur intention afin que l' employeur puisse prévoir un service minimum, permet d'avoir une idée de la mobilisation des salariés et des perturbations à venir (lire ci-dessous).
La mobilisation est forte, selon les syndicats. « Près de 80 % des conducteurs ont signé leur intention de grève dès vendredi » annonce Frank Delperier, du syndicat Sud-Transport, alors qu'ils avaient vendredi et samedi pour le faire.
Autre son de cloche du côté de la dire ction de Tisséo : « Compte tenu du fait que tous les syndicats appellent à la grève (sauf la CGC), on s'attendait à une plus forte proportion d'intentions de grève, cela tourne autour de 50 % de grévistes chez les conducteurs ».
Reste que « de fortes perturbations sont à prévoir sur les bus, le matin jusqu'à 10 heures et le soir après 20 heures », selon la direction de Tisséo, qui annonce que plusieurs lignes seront sans service ou avec un service limité. Le métro, les transports scolaires et la navette du centre seront épargnés.
Le blocage d'un ou des deux dépôts de bus (Atlanta et Langlade) est aussi possible, ce qui perturberait durablement le service du matin.
« Pas la peine de songer aller au boulot en bus le matin » résumait vendredi un syndicaliste.
«Carburant trop cher»
C'est sans doute le premier conflit social, dans la région, lié à la hausse du prix du carburant. Pour les syndicats de l'intersyndicale, cette fois-ci tous réunis (exceptée la CGC), la pression sur les prix de l'essence et du diesel à la pompe (+ de 20% depuis le début de l'année) est devenue insupportable. La prime qu'ils réclament, d'un montant de 50 € par mois, serait, selon eux, censée compenser le coût du carburant utilisé pour leurs trajets domicile-travail.
«Devant le refus de la direction de simplement négocier le principe d'une telle prime», expliquent les représentants de l'intersyndicale, «nous avons demandé, jeudi dernier, la réouverture de la négociation salariale ( l'accord signé prévoit une hausse des salaires calqué sur l'inflation pour 2008-NDLR). On ne nous a proposé qu'une avance sur ce qu'on nous doit . Ça ne nous intéresse pas».
Le gouvernement a annoncé une prise en charge d'une partie de la hausse du carburant pour leurs salariés et une rencontre entre syndicats patronaux et de salariés doit avoir lieu à ce sujet le 15 septembre pour définir les modalités de la prime transport. Mais l'intersyndicale de Tisséo avait déjà déposé son préavis de grève dès le début de cet été.
Premier conflit pour Stéphane Coppey
C'est sans doute le premier conflit social, dans la région, lié à la hausse du prix du carburant. Pour les syndicats de l'intersyndicale, cette fois-ci tous réunis (exceptée la CGC), la pression sur les prix de l'essence et du diesel à la pompe (+ de 20% depuis le début de l'année) est devenue insupportable. La prime qu'ils réclament, d'un montant de 50 € par mois, serait, selon eux, censée compenser le coût du carburant utilisé pour leurs trajets domicile-travail.
«Devant le refus de la direction de simplement négocier le principe d'une telle prime», expliquent les représentants de l'intersyndicale, «nous avons demandé, jeudi dernier, la réouverture de la négociation salariale ( l'accord signé prévoit une hausse des salaires calqué sur l'inflation pour 2008-NDLR). On ne nous a proposé qu'une avance sur ce qu'on nous doit . Ça ne nous intéresse pas».
Le gouvernement a annoncé une prise en charge d'une partie de la hausse du carburant pour leurs salariés et une rencontre entre syndicats patronaux et de salariés doit avoir lieu à ce sujet le 15 septembre pour définir les modalités de la prime transport. Mais l'intersyndicale de Tisséo avait déjà déposé son préavis de grève dès le début de cet été.
Le nouveau président de la régie publique des transports, le Vert Stéphane Coppey affrontera demain son premier vrai conflit social.
Face à l'appel à la grève de l'intersyndicale CGT, CFTC, CFDT, FO et Sud-Transport (seuls les cadres de la CGC n'ont pas suivi), le président de Tisséo explique: «La question du coût du transport domicile travail fait actuellement l'objet de discussions au niveau national : ces discussions doivent se conclure au 15 septembre. Si des dispositions concernent les salariés de Tisséo (qui bénéficient de la gratuité des transports en commun), elles seront bien sûr appliquées.
La négociation sur les salaires qui s'est tenue en 2008 a abouti à un accord très favorable pour les salariés, signé par l'ensemble des organisations syndicales, avec une revalorisation de la valeur du point égale à 1% au 1er janvier, 1,2% au 1er juillet, et une dernière augmentation du point se calera sur l'augmentation moyenne annuelle de l'indice des prix INSEE».
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin
Les couples officialisent de moins en moins devant l’administration
Le boom des mariages par la “Fatiha”
Selon des estimations officieuses, le phénomène du mariage par la Fatiha est en train d’affoler tous les compteurs. Si en période estivale, le temps est aux cortèges nuptiaux, le reste de l’année les liaisons s’“officialisent” à l’abri de l’intimité familiale. Loin des cachets ronds de l’administration civile, des couples s’unissent par la seule volonté de la Fatiha, en présence d’un taleb et de deux témoins.
Peu de monde requis donc et un minimum de préparation demandée pour sceller un mariage “à l’ancienne” de plus en plus prisé, et pour différentes raisons. Licite aux yeux de la religion, cette union semble faire l’affaire de beaucoup de couples qui n’hésitent plus à franchir le pas. Un premier temps, marginalisé dans l’esprit et regardé d’un œil suspicieux, puisque frappé du sceau du secret et de l’intimité, le mariage par la Fatiha est entré dans les mœurs et, signe des temps, il est de plus en plus recherché même chez les filles de “bonnes” familles. L’essentiel est de ne pas rester en rade sur l’autoroute des “célibataires malgré eux”. Kenza, 40 ans, enseignante dans un lycée de la périphérie d’Oran est catégorique à ce sujet. “Je suis preneuse”, résumera-t-elle la situation. Mignonne, élancée, Kenza n’a pourtant pas le profil d’une femme à marier. Son physique plutôt agréable et son ouverture d’esprit lui ont, à plusieurs fois, joué de mauvais tours. Agacée par son manque d’initiative et son désespoir à rencontrer le prince charmant, Kenza se dit prête à convoler en justes noces même si c’est à travers un mariage par la Fatiha. “Et alors, où est le mal ? Si c’est permis par l’Islam, je ne vois pas trop où ça peut coincer”, dira-t-elle. Consciente des difficultés de trouver un mari “idéal”, elle se veut un brin philosophe. “À mon âge, je ne vais sûrement pas épouser quelqu’un pour sa beauté ni pour son esprit. Je veux me caser et presque tous les hommes intéressants sont déjà pris”. Le mariage par la Fatiha est une porte de secours pour nombre de femmes qui se retrouvent seules, trahies par le cours de la vie. Selon B. Sadek, sociologue, cette option, même si elle présente des aspects négatifs ou plutôt débouche sur des conséquences parfois dramatiques, s’inscrit dans la logique du moment. “On ne peut pas reprocher à deux personnes de s’unir quelle que soit la nature de cette union, d’autant plus qu’elle est licite”, s’étonne-t-il d’une levée de boucliers contre cette pratique. “Pourquoi ce phénomène, s’interroge-t-il, ce mariage a de tout temps existé, chez nous et ailleurs, alors pourquoi cherche-t-on à le stigmatiser ?” Pour notre interlocuteur, le mariage par la Fatiha a permis de dégoupiller pas mal de drames familiaux et de résoudre des cas extrêmes qui se seraient facilement réglés dans le sang. Même s’il estime que c’est une solution qui ne peut durer dans le temps, notre sociologue affiche, en revanche, une farouche opposition à ses détracteurs. “Même avec des conséquences fâcheuses, cela vaut mieux que la débauche ou le concubinage”, affirme-t-il. B. Sadek cherche pourtant à relativiser l’ampleur du phénomène en l’absence de toutes statistiques vérifiables. Souad, Soussou, pour le milieu, avoue s’être rangée après sa rencontre avec Ahmed, un client quinquagénaire.
Des vies et des chiffres
“C’était ce que les filles appellent un régulier, ils venaient me voir une ou deux fois par semaine et avec le temps on a sympathisé. Il m’a prise en pitié ou je ne sais quoi, et il m’a proposé le mariage par la Fatiha”.
Souad ne se fera pas prier et, depuis, elle se sent moins rejetée par les siens. “Cela a changé pour moi. Ce n’est pas la belle vie, mais ça m’a permis de sortir du milieu. J’en connais beaucoup comme moi qui se sont mariées avec des mecs plus âgés, rien que pour fuir leur situation.” Ce que Souad n’ose pas avouer, par contre, c’est l’envers du décor, le côté cour de ces unions. “Ce n’est pas toujours rose”, confesse Zakia. La trentaine, le teint blafard et la bouche fatiguée, elle tire nerveusement sur sa énième cigarette. “Tu sais, au début on se dit qu’on a décroché le gros lot, mais au bout de quelques mois de vie commune on s’aperçoit qu’on a mis notre destin entre les mains d’un monstre”. Pour elle, le mariage par la Fatiha a tourné au cauchemar lorsqu’elle quittera le toit conjugal, une nuit d’hiver, le visage tuméfié et quelques côtes fêlées. “Qu’est-ce que tu veux que je te raconte de plus ? Pour lui, le fait de ne pas avoir un livret lui conférait tous les droits. Il était déjà marié et père de trois enfants et moi j’étais son jouet sexuel et son défouloir. À chaque fois que j’abordais le sujet de la maternité avec lui, ce sont des coups de poing que je recevais en guise de réponse. À la fin, j’en ai eu marre de sa violence et j’ai fui laissant tout derrière moi. Je ne sais même pas si je suis toujours considérée comme sa légitime, mais maintenant c’est la rue qui est mon toit”.
Autre cas de figure, et loin des marginaux de la vie, ceux qui se trouvent obligés de passer par là en attendant mieux. Pour Mourad et Fatiha, deux jeunes qui s’aiment depuis les bancs du lycée, le mariage par la Fatiha était l’unique solution pour ne pas se séparer. “Ma condition sociale ne me permet pas pour le moment d’épouser traditionnellement ma bien-aimée, mais on a trouvé cette solution comme assurance aux yeux des deux familles”, expliquera Mourad. “Un aârboun si tu veux pour qu’elle soit mienne, mais il n’est pas question de consommer quoi que ce soit parce que pour nos familles, il est hors de question de s’unir en dehors d’un vrai mariage”. Si le mariage par la Fatiha continue de diviser, il reste qu’on le veuille ou non partie prenante de nos traditions, même si les tribunaux administratifs traitent de plus en plus de cas liés à cette pratique.
Ainsi, à Oran, 451 affaires liées à la famille ont été tranchées sur les 2 339 dossiers traités au cours du 1er semestre de 2008. Le service de l'état civil de la commune d'Oran, qui accueille chaque semaine des dizaines de victimes dans ce cas, a enregistré près de 200 demandes de reconnaissance de mariage au cours du 1er semestre 2008, tandis que les tribunaux relevant de la cour d'Oran continuent d'enrôler des affaires liées à la reconnaissance de mariages par la Fatiha. Malgré une instruction du ministère des Affaires religieuses, faisant obligation aux imams de ne prononcer la Fatiha que pour les unions déjà officialisées par un acte administratif dûment établi et présenté par les deux époux lors de la cérémonie, le phénomène persiste.
Source Liberté
Le Pèlerin
Voici une demande de dispense du service militaire
Nom et prénom
Adresse
Date à.....le ../../..
A Monsieur.....
Objet demande de dispense
Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit et de solliciter de votre haute bienveillance ma dispense du service Militaire.
Je suis sursitaire, âgé de 28 ans et je me suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille de 25 ans que mon père a épousée. De ce fait, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille. Donc ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père. Ma femme et moi avons eu en janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père et en conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle. La femme de mon père a eu un garçon qui est à la fois mon frère puisqu'il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme. Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d'une personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
De ce fait, Monsieur, ayez l'obligeance de bien vouloir me dispenser du service militaire, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.
Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs et mon profond respect
De la part d’une Correspondante
Le Pèlerin
Cancéropôle de Toulouse : les premiers bâtiments livrés début 2009
Vue aérienne du site. Photo Cancéropôle.
Les premiers bâtiments du futur Cancéropôle de Toulouse, ceux dédiés à la recherche, seront livrés au printemps 2009 tandis que la première pierre du futur hôpital édifié sur le même site sera posée dès la fin de cette année, se sont réjouis vendredi les promoteurs du projet.
Le président de l'Association du Cancéropôle, Philippe Douste-Blazy, à l'origine du projet en 2004 lorsqu'il était maire de Toulouse (UMP) et ministre de la Santé, et Pierre Cohen nouveau maire (PS) de la ville, ont salué en choeur l'avancement des travaux réalisés sur le site de l'ancienne usine AZF.
"Nous bâtissons un lieu d'espoir là où nous avons été blessés" a indiqué M. Douste-Blazy lors d'une conférence de presse, en évoquant l'explosion de l'usine chimique qui avait fait 30 morts et des milliers de blessés le 21 septembre 2001.
Les premiers bâtiments achevés sont destinés aux laboratoires privés Pierre Fabre et Sanofi-Aventis. Le nouvel Institut des technologies avancées des sciences du vivant (Itav) sera aussi livré au printemps 2009 et accueillera ses premières équipes dans un an, a indiqué M. Cohen.
Les travaux du pôle de recherche publique (CNRS, INSERM et plusieurs universités et écoles) débuteront au printemps 2009.
Le dernier pilier du Cancéropôle, qui associera plusieurs milliers de chercheurs publics et privés à un pôle clinique universitaire, sera un hôpital de 312 lits. Sa première pierre sera posée dès la fin 2008 en vue d'une mise en service début 2012, a assuré M. Douste-Blazy.
Un ensemble hôtelier et des services communs devraient compléter l'ensemble qui représente un investissement d'environ 1,2 milliard d'euros.
M. Douste-Blazy, par ailleurs président de la fondation créée pour aider les chercheurs du monde entier à s'implanter sur ce site "unique en Europe", a annoncé une "levée de fonds qui doublerait en 2009 les capacités de la fondation" actuellement d'environ 22 millions d'euros.
L'ancien et le nouveau maire de Toulouse ont souligné avec chaleur leur volonté de "continuer à travailler ensemble par-delà les clivages politiques". M. Cohen devrait prochainement prendre la présidence de l'Association et M. Douste-Blazy devenir son premier-vice-président.
Source LaDepeche.fr
Le Pèlerin
L'événement. 2013… Toulouse sort le grand jeu ce soir.
C’est quand le bonheur ?…. Mais c'est aujourd'hui partout dans la ville. Toulouse, en ce premier samedi de septembre, va montrer au monde entier combien elle mérite le titre de capitale européenne de la culture 2013. Dans une Festa Tolosa d'enfer. Avec dès 15 heures, un festival de tous les arts : concerts, danse, défilé de diables artificiers et autres dragons de feu, spectacle pyrotechnique sur la Garonne et Cali en live et en plein air ! Cali qui a déjà fait deux fois danser le Zénith (9 000 fans en février 2006, 6 000 en avril dernier) et qui revient nous voir. Plus Toulousain aujourd'hui que Perpignanais et c'est bien normal car Cali adore Toulouse ! Avant le Zénith, il avait chanté deux fois au Bijou et une fois Salle Nougaro. Quand il était étudiant, se souvient-il, « J'habitais rue Caraman, près de la Halle aux Grains. Et je me promenais tous les soirs avec cette impression de traverser les quartiers comme si je traversais des villages. Et puis il y a aussi toute l'action des Motivé(e) s et de Zebda qu'on ne peut que remercier pour l'exemple qu'ils ont donné… Grâce à eux, je sais que jusqu'à Perpignan il y a des gens qui ont senti leur âme révolutionnaire prendre leur essor à ce moment-là ». Et puis Toulouse, c'est aussi la Capitale du rugby. C'est dans ce monde-là aussi que l'artiste a découvert le goût du contact physique, la générosité, le sacrifice, le sens du partage, l'envie de tout donner. Tout comme nos Stadistes. Alors Cali, ce soir sera le roi de tous les Toulousains ! Et partout sur les quais de Garonne, tout comme dans la rue la fête sera belle.
Des Abattoirs à la Daurade
Spectacle de danse et de théâtre à 15 heures dans la cour du musée des Abattoirs. 21 heures, quai de la Daurade : soirée opéra urbain et pyrotechnique au-dessus de l'eau - « Le Chant des sirènes » du groupe F et Mécanique Vivante. À 22 heures, concert gratuit de Cali.
Les autres rendez-vous
15 h 15 et 16 heures à l'Écluse Saint-Pierre avec « chemin de la science », performances visuelles, à 15 h 45 et 16 h 45 place de la Daurade, « chemin du patrimoine » : arts de la scène pour jouer les pierres. De 19 heures à une heure du matin Le Barathon : 26 concerts dans 13 cafés de la ville. A 20 heures, depuis la place du Capitole « Le parcours des diables » ; défilé d'artificiers, musiciens, dragons de feu avec Les Diables de Barcelone, en direction du quai de la Daurade. Spectacles et concerts gratuits.
Et aussi…
Au bord de la Garonne, l'association Animés fait chanter la cité de Madrid aux Sept Deniers à partir de 15 heures, et à 21 heures, soirée Music'Hall avec Magyd Cherfi, les Grandes Bouches et François Dorembus Quintet.
À Arnaud Bernard : festival Tôt'tart, spectacles jeune public et soirée musicale avec Clan d'Instinct, The Lost Communists et Sonic Boom Six. t.
À Bellefontaine soirée Méditerranée avec les Plasticiens Volants un spectacle déambulatoire et populaire : la fabuleuse Babilonia., à 21 h 30.
À la Mounède, Fiesta Rumba Gitane catalane, à la Maison des Racines du Monde. Gratuit.
Bientôt à Ramonville
à ne pas oublier non plus, dans le cadre de Festa Europa, le Festival de Rue de Ramonville, un grand rendez-vous de création contemporaine dans l'espace public, du 10 au 14 septembre. Le thème choisi cette année : « Nouvelle ère », avec pas moins de 100 spectacles présentés par quelque 27 compagnies.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin
CAN-CM 2010 : L’Algérie bat le Sénégal 3 à 2
Sommaire
L'équipe nationale Algérienne a battu vendredi soir à Blida son homologue du Sénégal par 3/2 en match comptant pour la cinquième journée des qualifications au 2ème tour de la Coup d'Afrique des nations /Coupe du monde 2010.Les buts algériens ont été inscrits par Bezaz, Saifi et Yahia. Grâce à cette victoire, les Verts prennent la tête de leur groupe avec 9 points, devant le Sénégal 8 points.
Il reste encore une journée à jouer le 12 octobre prochain. L'Algérie affrontera le Liberia à Monrovia et Le Sénégal accueillera la Gambie
Plus d’informations
L’équipe nationale algérienne de football a repris espoir en battant son homologue sénégalaise sur le score de 3 à 2 (mi-temps:0-0) vendredi au stade Mustapha Tchaker (Blida), en match comptant pour la 5è journée (gr.6), des qualifications jumelées de la Coupe d’Afrique des nations et la Coupe du monde (2010) de football.
Cette victoire tant espérée, ouvre toutes les grandes portes de la qualification pour le second tour de cette compétition, pour peu que l’EN algérienne franchisse avec succès, l’obstacle du Libéria, le 12 octobre prochain à Monrovia. Dés l’entame du match, les "Verts" ont eu du mal à rentrer dans le match, laissant les Sénégalais prendre l’initiative dés le coup d’envoi obtenant rapidement le 1er corner du match (2’), ce qui a pour effet de donner une meilleure assurance aux camarades de Hadji Diouf. Opérant par un jeu collectif fait de passes courtes, la formation visiteuse a multiplié les incursions dans le camp algérien, où les Bougherra, Antar Yahia, et Belhadj ont eu du mal à éloigner le ballon. Ainsi, un débordement de Hadji Diouf (5), un contre de Issiar (15), et surtout un tir du même Diouf consécutif à un mauvais renvoi de la défense algérienne (17) ont été les principales actions des visiteurs. Il a fallu attendre la 20e minute pour que les hommes de Rabah Saadane retrouvent leurs repères, grâce à l’excellent Karim Ziani qui a multiplié les exploits.
D’ailleurs, les meilleures occasions de but se sont offertes aux "Verts", notamment à la 25e minute, lorsque Saifi démarqué, met dehors une belle passe de Ziani. Ensuite, une erreur du défenseur Diakhaté qui a failli, de la tête, tromper son propre gardien (31’), enfin un exploit personnel de Ziani qui, suite à une série de dribbles, envoie un boulet mal cadré qui aurait pu faire mouche. C’est sur ce score de parité (0-0) que prend fin cette première mi-temps au grand dam du public présent en force. En seconde mi-temps, le match prit une autre tournure, où les deux équipes sont revenues sur le terrain avec l’intention d’en finir. Ce sont les Sénégalais qui étaient les premiers à ouvrir les hostilités, en inscrivant le premier but dans un silence glacial. Un centre anodin de Ousmane N’Daye a trouvé Diar Issiar au milieu d’une défense figée pour tromper le gardien Gaouiaoui (53).
Ce but assassin aura l’effet contraire en galvanisant les camarades de Saifi qui, sans attendre, allaient assiéger le camp sénagalais et inquiéter le gardien Tony Silva. Ce dernier sera battu par son propre défenseur qui détournera dans ses filets un centre de Bezzaz, auteur d’un travail personnel réussi à la limite de sortie. Complètement libérés et follement encouragés par le public, les Algériens assommèrent les "Lions de Terengua" en deux minutes, d’abord à la 70e sur un centre de Belhadj repris de la tête par Ghilas qui remet à Saifi lequel de la tête, trompe Tony Silva, enfin par Antar Yahia qui reprit victorieusement un corner bien botté par Ziani, l’homme du match. On jouait, le temps additionnel, lorsque Mamadou Sougou réduisit le score pour son équipe sans remettre en cause la victoire algérienne, enfin réconcilié avec son public après une longue traversée du désert, tout en infligeant au Sénégal sa 1ère défaite dans le groupe 6.
Source APS
Le Pèlerin
Condoleezza Rice aujourd’hui à Alger
Des relations au beau fixe
La secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice, arrive aujourd’hui à Alger qui sera une halte dans sa tournée maghrébine entamée hier en Libye.
Le contexte de cette courte visite n’est pas anodin. Les relations entre l’Algérie et les Etats-Unis sont au beau fixe. Le nouvel ambassadeur américain David Pearce vient de le réaffirmer.
A sa sortie mardi de la cérémonie de remise de ses créances au président Bouteflika, il avait rappelé que «l’Algérie est le deuxième partenaire des Etats-Unis dans le monde arabe avec un volume d’échanges d’un montant de 20 milliards de dollars».
«La stabilité et la prospérité de l’Algérie sont très importantes pour toute la région», avait ajouté le diplomate américain. La coopération ne se cantonne pas au domaine pétrolier ou gazier où les compagnies américaines sont présentes depuis des décennies. L’Algérie est le sixième fournisseur d’hydrocarbures aux USA.
Ces derniers ont désormais comme souci d’assurer leurs sources d’approvisionnement. Les échanges en matière d’enseignement, de coopération judiciaire et sécuritaire se sont accrus.
Plus de 250 magistrats ont bénéficié de formations spécialisées à travers des sessions organisées depuis l'an 2002 en coopération avec les États-Unis. 68 magistrats ont été formés dans le domaine de la propriété intellectuelle, 17 autres dans les entreprises commerciales et les contrats du commerce international. 170 magistrats ont bénéficié de plusieurs sessions de formation, de rencontres et de séminaires animés par des experts américains, notamment dans la cybercriminalité. Les dirigeants américains ont, par ailleurs, toujours souligné la solidité des liens entre les deux pays dans le combat contre le terrorisme.
En juillet, le chef du mouvement terroriste Al-Qaïda au Maghreb islamique a affirmé dans une interview au New York Times que son mouvement «n'hésitera pas à frapper les Etats-Unis quand nous le pouvons et où nous le pouvons, où que ce soit dans le monde». L’Algérie reste certes intraitable sur sa souveraineté, repoussant l’implantation de bases US dans le Sud. «Cela n’est pas nécessaire vu la solidité et la qualité des échanges d’informations entre les gouvernements», avait indiqué en avril 2007 Mme Rice.
L’Algérie a, par ailleurs, refusé d’accueillir le commandement des forces Africom destinées à surveiller le continent noir «géré» à partir de l’Europe.
L’Economie et la Sécurité
La secrétaire d’Etat devrait tout à la fois évoquer les relations bilatérales, notamment économiques et le dossier sécuritaire à l’heure où des groupes islamistes se manifestent par des tueries au nord et des mouvements dans la bande frontalière du Sahel.
Ils vont à nouveau réaffirmer leur soutien à l’Algérie qui a connu ces dernières semaines de sanglants attentats fermement condamnés dans le monde. Les Américains, qui lorgnent sur les parts de marché détenues par d’autres pays, souhaitent donner une nouvelle impulsion aux relations algéro-américaines et ce, de l’avis même du nouvel ambassadeur US. Les USA croient en ce partenariat, affirmant que «ceci se traduit par la nomination d’un attaché commercial par le ministère américain du Commerce à l’ambassade américaine à Alger».
La visite survient certes à quelques mois du départ de l’actuel locataire de la Maison-Blanche. Mais pragmatiques qu’ils sont, les Américains savent toujours placer les intérêts du pays au-dessus de toutes les considérations.
Source Horizons
Le Pèlerin