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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 08:20

Le médicament aurait causé au moins 500 morts...

Mediator.jpg

 

Le Médiator c’est quoi?
Du chlorhydrate de benfluorex, un médicament autorisé depuis 1976. Initialement, il a été présenté comme un hypolipidémiant (un traitement chargé de faire baisser les lipides dans le sang). En 1987, les laboratoires Servier qui le commercialisent obtiennent que Mediator reçoive l’autorisation d’être employé comme adjuvant dans les régimes pour les patients qui ont trop de triglycérides. En 1990, une nouvelle indication est autorisée: le diabète de type 2. Il est cependant fréquemment présenté comme un médicament «coupe-faim».

Pourquoi est-il interdit?
Des cas de valvulopathies ont été rapportés. C’est pour cette raison que le médicament est interdit depuis novembre 2009. Un rapport de la Cnam rendu lundi à l’Afssaps estime que 500 personnes au moins sont mortes en 33 ans à cause du Mediator. Le benfluorex a une structure chimique apparentée à celle des dérivés del’Isoméride, coupe-faim des laboratoires Servier retiré de la vente en 1997 en raison de risque d’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP). La revue médicale Prescrire réclamait l’interdiction de son cousin Mediator depuis plusieurs années.

Que doivent faire les patients qui ont pris du Mediator?
L’Afssaps a recommandé à toute personne ayant suivi ce traitement pendant au moins 3 mois entre 2006 et 2009 de consulter son médecin. De son côté, le nouveau ministre de la Santé Xavier Bertrand a appelé tous le patients qui ont pris du Mediator à se rendre chez leur médecin.

>> Tout ce que vous devez savoir si vous avez pris du Mediator est par ici.

Depuis quand sait-on qu’il est dangereux?
Pour l’Afssaps, le premier cas de valvulopathie a été identifié en 2006, et le second fin 2008. Avant cela, trois cas avaient été rapportés sans qu’ils puissent être attribués au Mediator. Au total, 42 cas ont été étudiés, pour la plupart déclarés courant 2009. Depuis la suspension de commercialisation, l’Afssaps a eu connaissance de 19 autres cas. Irène Frachon, pneumologue à Brest, dénonce depuis 2006 ce qu’elle estime être un «désastre sanitaire». En juin dernier, les laboratoires Servier ont même assigné en référé l’éditeur de son ouvrage Mediator, combien de morts? Et ont obtenu le retrait de la mention «combien de morts?»

Source 20minutes.fr  Julien Ménielle

Le Pèlerin

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 14:45

Sante – Pruneaux - Des vertus prodigieuses

pruneaux1.jpg 

On connaît le pruneau pour ses propriétés laxatives. Mais il a bien d’autres vertus. Le pruneau facilite la perte de poids, évite les fringales, il est antiride, stimule le cerveau et combat  l'hypertension

Mais le pruneau a bien d’autres qualités, à savoir:

Les vertus contre la mémoire

- C’est également un excellent coupe-faim !

- Il a des vertus antivieillissement

- Qui de plus est, il est excellent pour le tonus

- Et il est bon pour tonifier vos os

Pour consulter l’intégralité de l’article, cliquez sur le lien ci-dessous

Source Medisite

Le Pèlerin

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 06:10

Santé - Pourquoi le cancer recule

Cigarette_cancer.jpg

L'Institut Curie, dédié à la recherche contre le cancer et le traitement du cancer, à Paris, le 10 octobre

 

La baisse de mortalité par cancer s'accélère depuis 20 ans, tout en restant la première cause de mortalité chez l'homme et la deuxième chez la femme. 71 % des décès par cancer visent les plus de 65 ans. C'est ce que révèle une étude de l'Institut national du cancer publiée hier.

ertes, la bataille contre le cancer est loin d'être gagnée, mais chaque jour confirme l'espoir de mieux combattre ce fléau qui tue chaque année 148 000 personnes. Le dernier rapport de l'Institut national du cancer « Dynamique d'évolution des taux de mortalité des principaux cancers en France », confirme un net recul de la maladie ces vingt dernières années, à une exception près, cependant : le cancer du poumon en hausse chez la femme jusqu'alors relativement épargnée par le phénomène tabagique.

Par ses résultats, l'Institut national du cancer permet largement d'espérer. L'amélioration de la prise en charge des malades, l'évolution des traitements, la dynamique des politiques publiques à travers notamment les deux plans Cancer, ont fait reculer la mortalité. Entre 1987 et 2007, le taux masculin de cancer a diminué de 22 %, passant de 208,7 à 162,6 décès pour 100 000 hommes, avec aussi une nette accélération de la baisse sur les dix dernières années. Quant au taux de cancer chez la femme, il a baissé de 14 %, passant de 92,8 à 79,9 décès pour 100 000 femmes. C'est justement la poussée des cancers du poumon qui vient relativiser la tendance. Jusqu'alors, les femmes avaient un taux de mortalité par cancer inférieur de moitié à celui des hommes car elles étaient justement moins exposées aux facteurs de risque comme l'alcool et le tabac. Alors, quels sont les types de maladie qui semblent le mieux combattus ? Il s'agit de deux localisations masculines justement liées au tabac et à l'alcool : le cancer de l'ensemble « lèvre, bouche, pharynx » et le cancer de l'œsophage dont les taux de mortalité ont carrément fléchi de moitié en vingt ans. Les baisses ont été remarquables également au cours de cette décennie pour ce qui concerne le cancer de la prostate et le cancer du côlon-rectum. Les cancers du sein chez la femme et le cancer du poumon chez l'homme marquent aussi légèrement le pas.

Mais à l'inverse de ces situations favorables, c'est bien l'évolution du cancer du poumon chez la femme qui reste la plus impressionnante. Près de 110 %. Un chiffre effrayant qui a d'ores et déjà alerté les pouvoirs publics.

Les femmes à leur tour victimes

Henri Roché, oncologue médical à l'Institut Claudius Régaud.

Pourquoi le cancer du poumon augmente-t-il autant chez la femme ?

On aurait pu prendre les mêmes statistiques il y a dix ans aux États-Unis où les habitudes de consommation du tabac chez les femmes ont été plus précoces. Mais les conséquences sont rigoureusement identiques en terme de maladie. Outre-Atlantique, on comptabilise maintenant autant de femmes qui décèdent d'un cancer du poumon que d'un cancer du sein. Ce dernier a pourtant été longtemps la première cause de mortalité chez les femmes.

Ce phénomène tabagique concerne des femmes de plus en plus jeunes ?

C'est le cas aux États-Unis, c'est aussi le cas en France, alors qu'on assiste chez les hommes à un phénomène inverse puisque la consommation de tabac semble reculer avec l'âge. Pour les personnes de sexe masculin, il y a incontestablement un mieux. Mais maintenant, les courbes du cancer chez les femmes ressemblent à ce qu'on voyait chez les hommes voilà 20 ou 30 ans. Nous ne sommes pas au bout de nos peines. Seul un changement d'habitude permettra d'espérer une inversion de la courbe dans quinze ou vingt ans.

Depuis quand les femmes fument-elles plus ?

Une consommation accrue s'est observée après 1968, lorsque l'autonomie de la femme, le monde du travail… s'est manifestée malheureusement aussi par la mauvaise habitude de fumer.

C e phénomène concerne-t-il le Grand Sud et Midi-Pyrénées en particulier ?

L'ensemble de l'Hexagone est concerné, avec cette particularité tout de même que l'espérance de vie en Midi-Pyrénées est une des plus fortes de France. On vit ici plus vieux qu'ailleurs et on y observe moins de cancers. Cette espérance de vie est peut-être liée à la qualité de notre environnement et à la présence d'un tissu médical plus dense. Cependant, à l'intérieur même de cette maladie, la proportion de tel ou tel cancer reste identique avec ce qu'on peut noter dans le reste de l'Hexagone.

Le chiffre : 146 800

cancers en 2010. Les projections permettent d'estimer le nombre de décès par cancer cette année à environ 146 800, dont 84 800 chez l'homme et 62 000 chez la femme.

Tabac : quelle stratégie pour lutter contre le fléau ?

Sur cent gros fumeurs, vingt risquent de développer un cancer du poumon. Les « 20 paquets année » (un paquet par jour pendant 20 ans ou deux paquets par jour pendant 10 ans) sont responsables de 85 % des cancers bronchiques et de 60 à 87 % des cancers des voies aéro-digestives supérieurs (langue larynx, pharynx…). C'est ce que rappelle dans son dernier ouvrage Henri Joyeux, chirurgien cancérologue.

Comment conjurer les terribles conséquences du tabac ? Henri Joyeux commence par édicter des règles simples opposables à tous dans la vie et au quotidien : ne pas dépasser deux cigarettes par jour, refuser le tabagisme passif en voiture, au travail ; choisir si possible de vivre hors des zones et villes polluées, s'astreindre à une gymnastique respiratoire matin et soir, tousser pour expectorer, éviter les excès médicamenteux…

Les hausses successives du prix du tabac ont-elles une incidence sur la consommation ? « Certes, ça joue un peu mais on n'empêche pas quelqu'un qui a envie. Le prix, ce n'est pas une contrainte, c'est une obligation. Il y a des moyens détournés de s'en procurer quand on connaît le trafic avec l'Espagne et l'Andorre », rappelait, hier encore, l'oncologue Henri Roché.

« Guérir enfin du cancer » (1) paru aux éditions du Rocher.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 00:16

Santé - Grippe : Comment l’éviter ?

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En cette période de froid, notre organisme est fragilisé le rendant plus vulnérable au virus. Nous avons tendance à rester confiné à l’intérieur, plus proche les uns des autres, avec les fenêtres fermées, ce qui facilite la propagation du virus. Voici les bons réflexes à avoir pour passer entre les mailles du filet.

Si la vaccination constitue aujourd’hui le meilleur moyen de prévention contre la grippe, avec un taux de d’efficacité variant de 55 à 90%, elle doit être faite mois de novembre avant l’hiver pour une protection optimale car elle met deux semaines à être efficace. Quelques astuces pour passer entre les mailles du filet de la grippe :

Respectez les règles d’hygiène de base

Lavez-vous les mains plusieurs fois par jour pendant 30 secondes au moins. Le virus se propage en effet par les mains, alors dès que vous touchez interrupteurs, poignets de portes, etc. se sont de véritables nids à microbes. Il est donc recommandé de se laver les mains avant et après chaque repas, après chaque sortie en retournant à son domicile, après être allé aux toilettes. Si vous ne pouvez pas vous laver les mains en journée, pensez aux gels antibactériens disponibles en pharmacie.

Conservez une bonne hygiène de vie afin de préserver votre immunité : manger équilibré, faire du sport, dormir suffisamment, limiter le stress sont autant de règles de base qui permettent d’être plus résistants face aux infections.

Ne partagez pas vos effets personnels avec votre famille : verre, brosse à dents, serviettes de toilette, etc. La bise est à proscrire avec les personnes malades, éviter de serrer la main également.

Evitez les endroits surchauffés afin de ne pas prendre un coup de froid lorsque vous sortez dehors. Egalement les pièces où l’air est à circuit fermé, et recyclé sont à proscrire. Les lieux publics, de rassemblement (transports en commun, centres commerciaux…) très fréquentés sont aussi des vecteurs de transmission. Enfin, certains médicaments antiviraux peuvent être administrés pour prévenir et / ou limiter les effets de la grippe, mais ils sont prescrits pour des cas particuliers. A voir avec votre médecin généraliste dès l’apparition des premiers symptômes.

Et pour éviter de contaminer vos proches ?

Evitez de tousser dans vos mains, préférez le coude, car c’est en touchant les objets après que vous allez propager le virus.

Préférer les mouchoirs à usage unique plutôt que celui que vous allez réutiliser maintes et maintes fois ce qui augmente la diffusion du virus dès que vous touchez quelque chose.

Ne laissez pas vos mouchoirs traîner partout dans la maison et aussi videz régulièrement la corbeille.

Nettoyez sur votre passage les poignets de portes, interrupteurs, etc. pour éviter de tout contaminer. Aérez régulièrement les pièces de la maison.

Source Horizons

Le Pèlerin

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 04:14

Les épices - Des vertus santé fabuleuses

ginseng.jpg

 

Du curcuma contre le cancer, du piment pour la digestion, du poivre contre la douleur, du safran pour le cerveau… De plus en plus d’études démontrent les vertus santé des épices.

Voici ce dont vous pourrez bénéficier en parfumant votre cuisine ou en infusion avec les épices des plus connues.

Le curcuma, anticancer

L’OMS reconnaît l’efficacité du curcuma (erq lasfar) pour traiter des troubles digestifs comme les maux et les brûlures d’estomac, la perte d’appétit. Des études sur des animaux ont montré aussi des effets protecteurs sur la muqueuse gastrique. Le curcuma inhiberait la bactérie helicobacter pylori, responsable des ulcères gastriques.

D’où viennent les vertus du curcuma ? L’étude a identifié la substance responsable : la curcumine. En plus d’agir sur les troubles digestifs, elle présente un fort potentiel antioxydant pour la prévention contre les cancers.

Consommation : 3 à 4 pincées par jour. C’est l’épice qui est à la base du curry. Seul hic : la curcumine semble mal absorbée par l’organisme. La solution : toujours la cuisiner avec un peu d’huile.

Du poivre contre la douleur

Selon une étude allemande, la capsaïcine (substance présente dans le poivre de Cayenne) réduirait la douleur. La Food and Drug Administration américaine a approuvé l’usage de crèmes à base de capsaïcine pour soulager la douleur due à l’arthrite rhumatoïde, l’arthrose…

D’où viennent les vertus du poivre ? La capsaïcine stimule localement la production de la substance P, un neurotransmetteur qui déclenche la douleur lorsque l’organisme subit une blessure. Résultat : le corps en a moins en réserve.

Voir en pharmacie des gels à base de capsaïcine.

A éviter si vous êtes allergique au piment.

Le piment pour la digestion

Le piment de Cayenne améliore la digestion. En 2002, une étude italienne a montré qu’il agit sur les lourdeurs. L’extrait en poudre était plus efficace (à raison de 2,5 g/jour sur 5 semaines) que le placebo sur ce symptôme.

D’où viennent les vertus du piment de Cayenne ? La capsaïcine, composé actif contenu dans le piment, a la capacité de stimuler les sécrétions gastriques et d’améliorer la digestion.

Consommation : 1 à 2 pincées/jour dans vos plats en cas de mauvaise digestion.

Attention : à éviter si vous êtes allergique au piment ou souffrez du syndrome de l’intestin irritable.

Cannelle : elle ferait baisser la glycémie

Selon une étude pakistanaise (2003), la cannelle pourrait contribuer à la prévention et au traitement du diabète. Chez les personnes atteintes de diabète de type 2, la prise d’un extrait de 1,3 ou 6 g par jour pendant 40 jours ferait baisser la glycémie de 18 à 29 %, les taux de triglycérides de 23 à 30 %, et le «mauvais cholestérol» (LDL) de 7 à 27 %. Une étude allemande (2006) sur a donné les mêmes résultats à raison de 3 g de cannelle durant 4 mois.

D’où viennent les vertus de la cannelle ? «La cannelle réduit l’augmentation postprandiale de la glycémie et pourrait aider les pré-diabétiques à mieux tolérer les repas», expliquent les nutritionnistes.

Consommation : 1 c. à café/jour dans vos plats.

Du gingembre contre les nausées

Deux études en 2005, l’une allemande, l’autre américaine, ont montré que le gingembre (skandjbir) a un effet antiémétique. En clair, il s’avère efficace pour prévenir ou stopper les nausées et les vomissements.

D’où viennent les vertus du gingembre ? Les gingérols, shoagols et zingérones du gingembre réduiraient les mouvements de l’estomac qui provoquent les nausées.

Consommation : l’équivalent d’un tiers de cuillère à café/jour en poudre ou une tranche de gingembre frais en cas de nausées. Vous pouvez le consommer cru, en infusion, haché frais ou en poudre dans les plats. Veillez à choisir des racines fermes et à le conserver dans un endroit frais et sec.

Le safran contre la dépression

Deux études iraniennes sur des personnes souffrant de dépression clinique légère à modérée ont montré que le safran est plus efficace que le placebo contre les symptômes de la dépression. Dans l’une des études, les chercheurs sont allés jusqu’à comparer les effets du safran à ceux de la fluoxétine (Prozac). Résultat : le safran s’est avéré aussi efficace que le médicament.

D’où viennent les vertus du safran ? On ignore à ce jour le mécanisme par lequel le safran exercerait une action antidépressive. En médecine traditionnelle persane, la dépression est traitée avec cette épice.

Consommation : ajouter régulièrement à votre cuisine si possible.

Le fenugrec pour l’appétit

Le fenugrec (halba) est une épice très utilisée en Inde, notamment dans le curry. En 1990, la Commission E (chargée en Allemagne, par le gouvernement, d’évaluer les effets des plantes) approuvait déjà l’usage médicinal des graines de fenugrec pour stimuler l’appétit et les fonctions digestives.

D’où viennent les vertus du fenugrec ? Les résultats d’une étude française sur les rats en 1995 indiquent que ce sont les saponines du fenugrec qui stimulent l’appétit.

Consommation : faire macérer 500 mg de graines écrasées en poudre dans 1 verre d’eau froide 2 à 3 h; filtrer et boire. Préparer et boire 3 à 4 verres/jour jusqu’à ce que l’appétit revienne.

Déconseillé : aux femmes enceintes, le fenugrec provoque des contractions utérines.

Source L’Expression M.B.

Le Pèlerin

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 23:41

Santé - Gastro: pas de coca, pas de carotte !

fruits-legumes-fibres.jpg 

La gastro-entérite est la première cause de mortalité, hors accidents, chez les moins de 5 ans. Mais ce n'est pas la diarrhée elle-même qui menace les plus petits, c'est la déshydratation !

Si les grands peuvent facilement compenser les pertes hydriques et en sels minéraux en buvant beaucoup (eau, bouillons, etc.), c'est un réel problème pour les tout-petits. Chez les nourrissons, il est donc primordial de prévenir précocement cette complication qu'est la déshydratation, à l'aide de solutions de réhydratation orale. Leur efficacité est largement démontrée. Hélas, elles restent sous-utilisées. Ces solutés sont disponibles sans ordonnance en pharmacie. Avant l'épidémie, il est donc conseillé aux parents de nourrissons de compléter préventivement leur armoire à pharmacie avec ce produit. Mais aussi, il faut éviter de donner du coca ! Ce réflexe très répandu, voire systématique, doit être abandonné. Les gastro-entérologues pédiatres sont aujourd'hui très clairs : la prise de coca en cas de gastro peut se révéler dangereuse en aggravant les diarrhées. De plus, la teneur en sodium de cette boisson est trop faible pour compenser les pertes hydriques. Ces spécialistes conseillent également d'oublier les médicaments et la carotte, et de ne pas changer de lait.

Peut-on prévenir la gastro ?

Le principal mode de contamination par les virus est représenté par les mains. Il faut donc respecter une hygiène rigoureuse très simple : se laver les mains soigneusement et régulièrement à l'eau et au savon, et particulièrement avant de cuisiner, en sortant des toilettes, après les transports en commun, et aussi systématiquement avant de s'occuper de bébé !

Source Le Soir d’Algérie

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 08:02

Santé - Premières consultations médicales par Internet début 2011

teleconsultation.jpg

 

Dès janvier 2011, il sera possible de se faire diagnostiquer une maladie à distance par webcam, visioconférence, ou via un simple coup de fil, selon la ministre de la Santé Roselyne Bachelot. C’est la téléconsultation

Madame Bachelot précise que « seuls les médecins autorisés à exercer en France pourront réaliser des consultations dans des conditions définies par le décret qui en garantissent le sérieux ». Les ordonnances établies lors de ces "téléconsultations" seront « envoyées par mail ou par voie postale au patient ou à son pharmacien ». Les remboursements seront autorisés si les ordonnances « répondent à un besoin des patients », précise la ministre de la Santé.

Pour les malades qui ne peuvent se déplacer

La téléconsultation vise à faciliter l'accès aux soins des personnes isolées, ne pouvant se déplacer. A Belle-Ile-en-Mer, où le projet est déjà en expérimentation, des enfants pourront se faire soigner psychiatriquement par visioconférence. Jusqu'ici, ils devaient prendre le bateau et la route toutes les semaines pour une consultation. Les personnes âgées en seront également les grandes bénéficiaires. A l'hôpital européen Georges Pompidou, le projet baptisé « Telegeria » est en expérimentation depuis 4 ans.

La téléconsultation représente aussi un bon moyen pour résoudre le problème des déserts médicaux, selon la ministre.

L’Ordre national des médecins est inquiet

Malgré ces arguments, l'ordre national des médecins s'y oppose. Le code de déontologie n'est pas inscrit dans le décret. Des médecins pourraient donc utiliser la téléconsultation à des fins commerciales, sans garantir une véritable expertise médicale, souligne le syndicat de radiologie hospitalière.

Il faudra certainement attendre quelques années avant d'imiter totalement le système helvétique. En effet, en Suisse ce dispositif existe. Il s’appelle Medgate. Medgate reçoit 4.000 appels par jour et 50% des cas sont diagnostiqués avec prescription, directement par téléphone.

Source RMC.fr

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 23:44

Les 5 clés d’une mémoire d’éléphant

abdos

Une bonne mémoire, ça se bichonne ! Découvrez les 5 clés pour l’entretenir à tout âge.

Bougez , Dormez !, Amusez-vous !,Nourrissez votre cerveau !, Evitez l’alcool.

Bougez !

La clé numéro Un de la mémoire est l’exercice physique. C’est prouvé : des chercheurs ont observé que l’entrainement physique, chez la souris, augmentait la naissance de nouveaux neurones, et améliorait l’apprentissage. Et comme l’activité physique n’a que des avantages sur les autres fonctions de l’organisme, n’hésitez plus. Pas besoin de devenir une sportive émérite si vous n’en avez pas le goût ni l’habitude : une demi-heure de marche par jour, à vive allure, suffit.

Dormez !

La consolidation de la mémoire à long terme s’effectue en partie durant le sommeil. Le sommeil paradoxal ou sommeil des rêves correspond à une activité cérébrale intense au cours de laquelle a lieu le traitement des données acquises durant la journée.

C’est aussi durant le sommeil que se produisent les remodelages synaptiques, synonymes de consolidation de la mémoire. Pour bien dormir, misez sur les moyens naturels : literie de qualité, exercice dans la journée, lait chaud ou tisane avant de dormir, et pas de somnifères ! Ceux-ci perturbent l’architecture du sommeil, notamment le cycle des rêves.

Amusez-vous !

Les loisirs et la socialisation sont des amis de la mémoire. Plus vous verrez d’amis, participerez à des activités de clubs, multiplierez vos sources de lectures, plus vous entretiendrez votre mémoire ! Cet entraînement est d’autant plus profitable s’il démarre avant l’âge de 40 ans. L’essentiel est de privilégier ce qui vous fait plaisir : jardinage, voyages, lecture, jeux de cartes, échecs, informatique, apprentissage d’une langue étrangère… tout est bon !

Nourrissez votre cerveau !

Le cerveau est très dépendant des aliments qui sont indispensables à son fonctionnement. Il a besoin en priorité de protéines et d’acides aminés, de lipides, d’acides gras et de vitamines. Attention aux régimes hypocaloriques qui réduisent drastiquement la part de sucres (ceux que contiennent les céréales et les féculents) : celui-ci est nécessaire au fonctionnement cérébral (manquer de sucre, c’est s’exposer à voir ralentir ses reflexes cérébraux).

Important aussi : manger tous les jours viande, poisson et/ou œuf, pour assurer au cerveau sa ration de protéines. Privilégiez les cuissons à la vapeur (qui préservent mieux les vitamines), les aliments bio, et les crudités si vous les digérez bien : et ajoutez à chaque fois une matière grasse riche en acides gras polyinsaturés Omega 3 et oméga 6 (soja, colza)

Evitez l’alcool

C’est un puissant toxique pour le cerveau. Parmi les alcools, seul le vin a bonne presse, s’il est consommé très modérément (1 verre par jour pour une femme, 2 pour un homme). A petite dose, certains composants antioxydants du vin, les polyphénols, protègent le cerveau contre le déclin cognitif. Certaines études ont conclu à une diminution du risque de 20%… quand les personnes ont par ailleurs une alimentation riche en fruits et légumes, eux aussi riches en anti-oxydants.

Source Algerie360.com

Le Pèlerin

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 23:30

Algérie - Médicaments - Marché cherche politique

repas diabétique

 

Pouvoirs publics et opérateurs sont pour une fois d’accord : il n’existe pas de politique du médicament claire. Les acteurs dénoncent et le ministre promet de déclarer la guerre à la pénurie et de clarifier la politique du secteur.

Les pénuries récurrentes de médicaments essentiels sont la face émergente de l’iceberg. Le marché du médicament est déstructuré, de l’avis même des principaux intervenants et du ministre du secteur. En réunissant hier les acteurs du marché, Djamel Ould-Abbès a pu s’apercevoir de la somme des doléances et des reproches formulées par les producteurs, les pharmaciens et leurs représentants. Tour à tour, ils ont fait un diagnostic sans concession du marché du médicament. Sans détour, le représentant de l’Association nationale des producteurs pharmaceutiques a expliqué qu’il n’existait pas de véritable politique du médicament élaborée autour d’objectifs à long, moyen ou court terme. Aucune industrie pharmaceutique ne peut se développer, dit-il, dans un cadre économique qui change régulièrement, créant une totale absence de visibilité. Le représentant du Snapo est également du même avis : il a appelé à mettre un terme à l’anarchie qui règne et de mettre en place la charte de bonnes pratiques commerciales que tous les opérateurs doivent respecter. Pour l’Unop, l’urgence réside dans le renforcement de la direction de la pharmacie afin de réduire les délais d’enregistrement des médicaments. Même l’opérateur public Saidal s’est plaint des pratiques déloyales qui le pénalisent. Unanimes, l’ensemble des acteurs réclamant la clarification des objectifs et exigent que les moyens soient mis en œuvre pour les atteindre. Pour Ould-Abbès, l’objectif est tout tracé : atteindre 70 % de production nationale. Pour y arriver, dit-il, les moyens financiers existent. Il promet une réduction des délais d’enregistrement des médicaments, une plus grande coopération avec les acteurs du secteur. Le ministre a réaffirmé qu’il restait ouvert à toutes les propositions qui vont dans le sens du renforcement de la production nationale.

Distribution des médicaments par les producteurs - Pas de marche arrière

Le ministre de la Santé n’a pas l’intention de soutenir les producteurs de médicaments qui contestent la circulaire d’Ouyahia les obligeant à procéder à la distribution directe des médicaments. Ould-Abbès ne compte cependant pas exiger d’eux de s’y conformer tout de suite. «Il n’est pas question de revenir sur cette décision mais nous allons accompagner les opérateurs. Nous ne ferons pas peser sur eux la menace. Nous leur donnerons le temps de s’organiser.» Ould-Abbès reconnaît que distribuer des médicaments est un métier que ne maîtrise pas forcément le fabricant, ce qui explique qu’il leur suggéra lors d’une prochaine réunion de se constituer en groupement d’ici juin 2011.

L’Agence du médicament installée avant la fin de l’année

Djamel Ould-Abbès a rassuré hier les différents acteurs du médicament : l’Agence nationale du médicament devrait enfin être installée d’ici la fin de l’année. Le ministre a affirmé que le décret portant sa création est à l’étude au niveau des différents départements ministériels. Le texte, déjà prêt depuis plusieurs années, a connu quelques modifications. Le ministre de la santé a affirmé qu’en plus des représentants des différents ministères, l’agence sera ouverte aux divers acteurs, à savoir les représentants des producteurs et ceux des officines. L’agence aura, entre autres, pour mission de mieux contrôler le marché et de mettre en place des mécanismes adéquats.

La nouvelle liste des médicaments interdits à l’importation bientôt connue

La liste des 239 DCI interdits actuellement à l’importation sera revue. Le ministère de la Santé a annoncé une révision de cette dernière en rappelant que les producteurs locaux qui s’engagent à satisfaire les besoins nationaux doivent honorer leurs engagements pour éviter les situations de pénurie.

Source Le Soir d’Algérie - Nawal Imès

Le Pèlerin

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 05:28

Santé - Infections nosocomiales : Le téléphone portable doit être désinfecté

telephone portable

L’une des causes principales : le téléphone portable. Celui-ci est un véritable vecteur  de germes comme les saprophytes commensaux (germes de la peau) ou mêmes pathogènes. C’est ce qui a été révélé à la faveur de prélèvements effectués au niveau de plusieurs services de l’EPH de Birtraria sur le personnel soignant ainsi que des patients sur une période de 05 mois. En plus des germes commensaux qui vivent sur la peau, il a été découvert sur les portables la présence de salmonella. C’est l’un des microorganismes pathogènes pouvant provoquer des septicémies. « Le résultat de ces prélèvements a mis à nu la mauvaise hygiène des mains », souligne le Dr. Oussadou.
 Pour déclarer la guerre à ces bactéries les participants à la deuxième journée des infections nosocomiales et d’hygiène hospitalière, ont proposé hier, la désinfection du téléphone portable.
De son côté le Pr Moussa Achir, chef de service de pédiatrie à Birtraria et président du Conseil Médical, a souligné le nombre important des maladies nosocomiales sur le plan des statistiques. « Bien qu’il n’existe aucun chiffre précis sur les maladies nosocomiales, le nombre de patients qui contractent ces maladies pose un problème de santé publique », a t-il expliqué. « D’où la nécessité de prendre des mesures d’asepsie, d’hygiène collective, et de mettre en place un matériel adapté et un système clos dans les hôpitaux », a-t-il expliqué. Toutefois, a-t-il ajouté, les maladies nosocomiales ne sont pas évitables dans la mesure où les germes sont présents partout et non seulement, ils augmentent mais résistent de plus en plus aux antibiotiques.
A cet effet, le Pr Achir recommande une utilisation adéquate et rationnelle des antibiotiques pour mieux lutter contre les maladies nosocomiales et empêcher ces bactéries de développer des souches plus résistantes.

Source Horizons Rabéa F.

Le Pèlerin

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