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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 04:54

Midi – Pyrénées - Le cèpe d'été refait surface dans les bois

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Cueillette

Indispensables pour la promenade aux champignons: le couteau pour couper le pied et un sac plastique, plus discret que le panier d'osier

D'avis de connaisseurs, le début de l'été et ses grosses chaleurs ne sont généralement pas propices aux fortes poussées de champignons. Mais les fortes précipitations qui ont lavé les sols en ce mois de juin pluvieux conjuguées à des pics de chaleur en Midi-Pyrénées ont changé la donne. Les amateurs de cèpes d'été (Boletus aestivalis) ont repris dare-dare le chemin des bois en quête de ce champignon qui peut se négocier à 25 euros le kilo. Cette semaine, le parking de la forêt de Bouconne - le massif forestier situé à une trentaine de km de Toulouse et qui empiète sur le Gers - n'a pas désempli. Dès potron-minet, les « fins limiers » s'y pointent, chacun ayant « son coin à cèpes » qu'on ne dévoile jamais. Dans ce domaine, la concurrence est rude.

Mais le cèpe d'été est bien là. « Variable », estiment les amateurs qui le trouveront tantôt « sans goût » ou davantage sucré. « Il y a une poussée, il y en a même tous les jours », témoigne Michel (son prénom est changé), la cinquantaine, qui assure avoir rempli des paniers ces derniers jours. Sur le haut de la forêt, j'ai trouvé des cèpes à des endroits où le soleil tape bien. Mais je n'en ai pas trouvé cette année-là où j'en trouve d'habitude. On en voit aussi dans les allées de la forêt bien éclairées, sous les fougères. Comme également beaucoup de russules, de lactaires et de bolets à pied rouge », poursuit ce passionné.

Au petit bonheur la chance

Certes, il faut marcher dans la forêt de Bouconne - entre deux et trois heures - et au petit bonheur la chance. Mais pas seulement. « Moi, je le sens, c'est une sensation étrange. Quand je vois d'autres espèces, je sais que le cèpe va sortir », ajoute Michel.

La Haute-Garonne n'est pas le seul département à attirer les cueilleurs. On ramasse aussi du cèpe dans le Tarn, en Ariège, dans le Gers et les Hautes-Pyrénées. Là aussi, « l'aspect compétition » règne en maître chez les dénicheurs de bons coins. « On va aux cèpes pour le plaisir bien sûr de les cuisiner ensuite, mais aussi pour dire à ses amis combien de cèpes on a trouvé », explique un expert en mycologie.

Et puis tous les chercheurs de champignons vous le diront : « Un coin à cèpes, ça doit rester secret. Quand on en connaît un, on se le garde ». Attention cependant, si vous comptez partir, panier au bras, à la chasse aux champignons. Car si les Cèpes, Girolles, Morilles et autres Coulemelles sont comestibles et savoureux, certaines variétés sont toxiques et potentiellement mortelles.

Précautions d'usage

Ne pas ramasser un champignon, ou le consommer si vous doutez de sa nature, cru, longtemps après la cueillette, en trop grosse quantité. Dans tous les cas, consultez un pharmacien ou une association de mycologie. En général, les experts conseillent de le cueillir entier avec la queue. Pour les amateurs de cèpes, un conseil utile : lorsque vous les avez ramassés, placez les dans un panier et surtout pas dans un sac en plastique. Il faut qu'ils respirent...

La phrase

« J'aime à chercher le cèpe obscur, dans le mystère/Des feuilles, sous la mousse et les brins de bois mort »

Fernand Gregh, poète (1873-1960)

Le chiffre : 2, 150 g

Cueillette à Anglès (81). Un heureux veinard a ramassé le mercredi 11 novembre 2009 en fin d'après-midi un bolet « Gigantus » de 2,150 kilos, plus un second 1,150 kg, un 3e de 800 g, soit 6 bolets pesant en tout 5,1 kg. Panier garni.

« Dimanche dernier, on en a récolté 20 kilos »

Dans le Tarn, la cueillette des champignons a aussi attiré les connaisseurs. À l'image de Claude Loupias, maire de Laparrouquial, un cueilleur de champignons passionné qui a fait une belle récolte la semaine dernière. « Cela fait 3 ans qu'il n'y a pas eu de grosse sortie de champignons. Toutefois j'ai pu remarquer que depuis l'ascension, des champignons apparaissent ici et là. Dimanche dernier à Saint Marcel Camp, une amie à moi a pu en récolter 20 kg, chose très rare. Souvent après des orages ou de la grêle, on remarque de grosses poussées, essentiellement le Bolet noir ou jaune espèce très repandue dans la région. Les aléas climatiques, le froid, la chaleur, la pluie et la sécheresse que nous traversons ne facilitent pas la sortie de champignons qui ont besoin essentiellement de terre chaude et d'humidité. On peut dire que ça a été une mauvaise année pour les champignons. Sur la commune de Laparrouquial, Chantal Marty est connue comme la grande cueilleuse de champignons ».

Dans la région, les curieux sont désormais mis en garde. « Avant il y avait beaucoup plus de monde dans les bois mais aujourd'hui, les panneaux limitent l'accès à la cueillette et rebutent souvent beaucoup de monde », explique un fervent chercheur.

Dans le Tarn-et-Garonne, les forêts du Quercy, de Lafrançaise ou Vaïssac - le village est connu pour organiser en octobre (la meilleure saison) un marché du cèpe - la cueillette demeure un passe-temps pour la plupart des gens. Ils aiment partager ce moment en famille et profiter d'un coin de nature, d'autant qu'en ce moment, il faut en profiter. La cueillette des champignons reste un hobby convivial et ludique qui se perd de plus en plus, à cause des interdictions que l'on retrouve un peu partout.

La période est, faut-il le rappeler, également propice aux truffes pour lesquelles les mois de mai-juin sont des mois très importants car c'est une période de naissance.

Mais pour les récolter, il faudra patienter jusqu'au début janvier. En Ariège, près de Foix, des poussées ont aussi déplacé les amateurs. « Il y a trois semaines, déjà, j'ai ramassé pas mal de girolles et de cèpes, explique un passionné. Mais il y avait surtout des girolles. » Recueilli par Sophie Hoornaert

Source la Dépêche du midi

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 23:51

Sud algérien - Exploitation de la mine d’or d’Amesmessa (Tamanrasset) : Sonatrach piégée par l’australien GMAmine-or-Algerie.jpg 

 

Huit années après l’attribution du marché de l’exploration et l’exploitation de la mine d’or d’Amesmessa (Tamanrasset) à la compagnie australienne Gold Mining of Algeria (GMA), les résultats escomptés ne sont toujours pas réalisés.

La compagnie australienne GMA, filiale du groupe GMA Ressources, ne cache plus ses difficultés financières et son intention de renflouer ses caisses par la cession de certaines de ses actions pour pouvoir mener à terme son plan d’investissement. L’opérateur australien a annoncé, à nouveau, la nécessité d’une collecte de fonds afin de mettre sur rails un plan d’investissement destiné à améliorer la production. L’objectif, cette fois-ci, étant de collecter une somme de 1,6 million de livres sterling, une transaction qui n’a pas été encore approuvée par les actionnaires de Entreprise nationale d’exploitation des mines d’or (ENOR), dont Sonatrach qui avait racheté en avril 2006 les actions de la Banque d’Algérie, de la SAA, de ENOF, de la SGP Somines, d’Agenor et d’ORGM. Le 30 juin dernier, GMA a annoncé avoir conclu des accords de souscription avec le Sahara Gold Limited, une filiale en propriété exclusive de SAE Ascom, une compagnie minière contrôlée par Citadel Capitals, une entreprise égyptienne de private equity.

La compagnie égyptienne s’est engagée à acquérir jusqu’à 120 000 000 actions ordinaires de 0,01 livre sterling chacune. Ainsi, cette transaction risque de s’avérer semblable à celle d’Orascom lorsqu’il a décidé de vendre ses cimenteries au français Lafarge, une affaire qui a fait couler beaucoup d’encre mais qui avait fait sortir surtout le gouvernement de ses gonds. Autre bizarrerie : Ken Crichton, intérimaire au sein de GMA et employé au sein de la compagnie égyptienne entend, lui, souscrire à 8 000 000 d’actions ordinaires. La valeur totale des souscriptions, soit 1,6 million de livres, sera utilisée « pour répondre aux besoins de la société en fonds de roulement pour les 12 prochains mois », lit-on dans le communiqué diffusé le 30 juin dernier par l’australien GMA Ressources. Une question s’impose : sur quelle base le ministère de l’Energie et des Mines avait choisi, en 2002, cette compagnie australienne GMA pour l’exploitation de la mine d’or d’Amesmessa ? Cette même compagnie n’a cessé de rendre publics ses difficultés financières et son intention de céder des actions aux entreprises égyptiennes. Dans un précédent communiqué diffusé en mai 2010, il est indiqué que les administrateurs de GMA sont en pourparlers avec des investisseurs potentiels, y compris les actionnaires existants, afin de garantir un fonds de roulement à l’entreprise. En novembre 2009, le groupe GMA Ressources a confirmé avoir cédé 9% de son capital, d’une valeur de 1,9 million de livres sterling, à l’entreprise égyptienne Asec Mining.

Cette prise de participation permettra à Gold Mining Algeria de renflouer ses caisses pour les besoins de financer un nouveau plan de développement. Quelques mois plus tard, la filiale du groupe australien fait face à la même crise financière et annonce à nouveau son besoin de collecter 1,6 million de livres. Et, bizarrement, c’est une entreprise égyptienne qui se déclare prête à souscrire aux actions. Cette transaction semble émaillée jusqu’ici de plusieurs irrégularités. La position de Sonatrach, qui s’érige en simple observateur jusqu’ici, donne matière à réflexion. L’entreprise publique des hydrocarbures détient 48% des actions de ENOR, alors que le partenaire australien GMA, lui, est détenteur de 52% des actions. Quoi qu’il en soit, les accords de souscription seront évoqués lors de l’assemblée générale extraordinaire de GMA qui se tiendra le 26 juillet 2010. Sonatrach est-elle en mesure de bloquer cette transaction et de rattraper les erreurs commises lors de l’attribution du marché ? La question s’impose.

Source El Watan Ali Titouche

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 23:42

Le secteur est en amélioration continue selon Oxford Business Group bus-algerie.jpg

L’Algérie poursuit son objectif d’amélioration de l’infrastructure des transports. Pour ce faire, elle a tracé un programme d’investissements de plusieurs milliards d’euros, qui fait partie d’un vaste plan visant à élargir la base de l’économie et à réduire sa dépendance vis-à-vis des hydrocarbures.

Au cœur du nouveau programme de développement à long terme de l’ensemble de l’économie du gouvernement se trouvent une amélioration continue de l’infrastructure de transport existante et la réalisation d’une série de nouveaux projets dans le même domaine. Ainsi, un montant total de 30,6 milliards d’euros sera consacré à différents segments du secteur. La plus grande part sera investie dans les chemins de fer que le gouvernement considère comme étant essentiels pour l’élargissement de la base de son économie et l’établissement d’une liaison entre ses centres de production industrielle et ses centres de transports terrestre et maritime en croissance, note le bureau d’expertise londonien Oxford Business Group (OBG) dans son dernier rapport consacré à l’Algérie.

Ainsi, il est prévu, dans le cadre du programme de développement, de construire 6 500 km de nouvelles voies ferrées et d’améliorer 500 km du réseau existant. Le transport urbain sera également grandement amélioré dans la mesure où l’on va construire des systèmes de métro léger ou de tram dans 14 villes.

Même avant que le programme d’investissements ne soit dévoilé, le ministère des Transports avait accordé un contrat conjoint à l’entreprise espagnole Fomento de Construcciones y Contratas (FCC) et à l’algérienne ETRHB Haddad pour la construction de chemins de fer de 185 km de longueur reliant Alger à Relizane et Tiaret à Tissemsilt dans le nord-ouest. Les travaux, d’une valeur d’un milliard d’euros, consistent en la construction d’une voie unique de haute performance, qui permet une vitesse maximale de 160 km/h, rappelle OBG.
Le contrat de la FCC n’est que le plus récent d’une série de contrats accordés ces derniers mois. En effet, l’entreprise d’ingénierie canadienne Dessau a remporté un appel d’offres d’une valeur de 30,6 millions d’euros pour la conception d’un projet de rails électrifiés qui relieront Alger à Constantine dans le nord-est du pays. Il s’agit de la conception préliminaire et finale d’une voie double de 170 km de long qui sera utilisée à la fois par les trains transportant des passagers et ceux transportant des marchandises. Le contrat de Dessau ne constitue qu’une petite partie du projet d’une valeur de 1,8 milliard d’euros qui sera réalisé par le biais de la coopération de la China Civil Engineering Construction Corporation et de la Ozgun Construction de Turquie.

«Le président Bouteflika a déclaré que le gouvernement évaluerait la situation financière du pays à la fin de chaque année afin de déterminer la viabilité des projets prévus. Il a insisté sur le fait que l’Algérie n’emprunterait pas de fonds outre mer pour mener à bien le programme», tient à rappeler OBG. «Etant donné que les prix de l’énergie montent doucement et qu’on lui prévoit une croissance économique solide, l’Algérie ne devrait pas avoir de mal à trouver des fonds pour son plan d’investissements dans les transports», estime OBG.

A la fin d’avril, le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la hausse ses prévisions pour l’économie algérienne. En effet, les 3,9 % de croissance du produit intérieur brut (PIB) prévus pour cette année et 2011 ont été augmentés respectivement à 4,6 et 4,1 %. Le FMI a également prévu que le pays jouirait d’excédents commerciaux de 2,5 % du PIB en 2010 et de 3,4 % du PIB en 2011.

«La consolidation du réseau de transport de base est essentielle pour l’Algérie qui cherche à attirer davantage d’investissements dans son économie et à renforcer les secteurs de l’agriculture, des industries manufacturières et du tourisme. En effet, le fait de se concentrer sur les projets existants et d’accélérer la réalisation des projets de construction de nouvelles voies ferroviaires favorisera une forte croissance économique du pays au cours des dix prochaines années», estime le bureau londonien.

Il convient de rappeler que le plan d’investissements pour la période 2010-2014, approuvé par le Conseil des ministres le 24 mai dernier, est doté d’une enveloppe financière de 230,8 milliards d’euros, dont 104,9 milliards seront utilisés pour terminer les projets déjà en cours, entamés durant le quinquennat 2005-2009.

Source Le Jeune indépendant T. Gacem

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 23:42

Les Algériens tous d’accord, sur le fait que l’ossature de l’équipe est, certes bonne, mais doit juste être renforcée.

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On avait cité plusieurs entraîneurs étrangers pour une éventuelle prise en main des Verts et on a même eu l’audace de citer des coachs encore en place, ce qui dénote la «division» des Algériens à propos de cette histoire de coaching des Verts. Si Saâdane a eu, certes, le privilège de qualifier doublement la sélection nationale à la Coupe d’Afrique et au Mondial 2010, d’aucuns lui reprochent ses différentes options et plans tactiques, basés sur l’esprit plutôt défensif, négligeant par là même l’adage disant que «la meilleure défense, c’est l’attaque.»
D’ailleurs, le dernier en date était le célèbre coach français d’Arsenal, Arsène Wenger qui a fait cette réflexion à l’issue du parcours des Verts dans ce Mondial: «L’entraîneur algérien freine l’équipe nationale algérienne dans son évolution.»
En d’autres termes, cela veut dire que la tactique ou pour être plus proche du réalisme, le système préconisé par Saâdane et son plan d’approche des matchs a été très défensif, pénalisant par là même toute option offensive.
Or, il fallait une option alliant les deux fonctions. Et c’est le football moderne basé sur l’assurance de ses arrières avec une option bien offensive, surtout lorsqu’on maîtrise bien la possession de la balle dans le match. Ce qui était bel et bien le cas des Verts dans les trois matchs de ce Mondial sud-africain. De plus, tous les techniciens commentant et analysant les matchs, sont unanimes à reconnaître que le système prôné par Saâdane est bien défensif, empêchant toute possibilité d’attaque et donc de concrétisation des occasions réalisées. Or, s’il y a bien un reproche à faire à Saâdane, c’est justement cet «entêtement» à poursuivre dans la même vision et planification défensive, se contentant de remarquer que «pour assurer une bonne évolution offensive, il faut plus de temps». Oui, il faut certes, un peu plus de temps, mais pas deux années, soit, la période d’une CAN! Le second reproche fait à Saâdane par les Algériens à chaque coin de rue est le fait qu’il ne «maîtrise» pas ses joueurs. C’est-à-dire qu’il y a bel et bien un problème de «gestion» au sein de l’Equipe nationale. Et à ces deux reproches, si l’on ne reste que sur ces deux reproches, d’aucuns pensent qu’un coach étranger est à même de les régler. Penser renforcer le staff technique par un entraîneur «étranger» ne constitue nullement une erreur, mais cette option doit être bien réfléchie. Et là, les probabilités d’un staff algéro-«étranger» sont multiples. Certains pensent à un coach étranger avec des adjoints locaux pour s’en imprégner et apprendre ce qu’il y a à apprendre pour les deux cas.
Les Algériens pour assimiler les options manquantes aux Verts, et pour l’étranger, afin de mieux gérer cet aspect sociologique de la mentalité spécifique à l’Algérien. D’autres pensent plutôt à un staff entièrement local, mais renforcé avec Saâdane comme DTN ou DEN. Et pourquoi pas un entraîneur étranger avec adjoints locaux et en plus un Saâdane en DEN. Et tout le monde sera content!
Raouraoua ne pipe mot, pour l’instant et Saâdane de même. Et les spéculations vont toujours bon train sur ce cas du futur patron des Verts. Côté effectif des Verts, l’opération future est très simple, il faudrait écarter les anciens joueurs ne donnant plus ce «plus» attendu et renforcer cette équipe par une ligne d’attaque capable de frapper de grands coups. Là, les Algériens sont unanimes.

Source L’Expression Said Mekki

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 23:15

Humour - La  sagesse de la vieillesse

 

Un  vieux fermier possédait une grande ferme depuis plusieurs années.Il avait un grand étang en arrière et il l'avait bien  arrangé: des tables de pique-nique, des terrains de jeux,  etc.  
L'étang était propre et sain pour la  baignade.
Un soir, le vieux fermier décide d'aller à l'étang  puisqu'il n'y avait pas été depuis longtemps.
Comme il  approche, il entend des voix crier et rire.
Il s'approche un  peu plus et voit un groupe de jeunes femmes nues se baignant dans  l'étang.
Il fait alors connaître sa présence et les femmes se  dépêchent d'aller dans la partie profonde de l'étang.
Une des  femmes lui crie :
"On ne sortira pas tant que vous ne serez pas  parti."
Le vieil homme réplique :
"Je ne suis pas venu ici  pour regarder de jeunes femmes sortir nues de l'étang.
Je suis seulement  ici pour nourrir l'alligator."
Et c'est ainsi que le vieux a  pu voir toutes les jeunes femmes sortir très rapidement sans passer pour  un voyeur.
La  morale de cette histoire :
En  vieillissant, il faut trouver des trucs pour ne pas passer pour un vieux cochon.
Hein!
Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 23:06

Algérie - Parcimonieusement livrée, mais sans équipements de soutien : Déroutante autoroute Est-Ouest !

autoroute-est-ouest-inachevee.jpg

 

Avertissement ! Un peu comme lorsqu’on s’introduit dans une zone dangereuse, à proximité d’une forêt où l’on doit avertir les riverains de la présence menaçante de bêtes sauvages, ou encore tout simplement d’un risque de chute de pierres, sans doute faut-il aussi alerter les automobilistes quant aux risques potentiels auxquels ils s’exposent dès lors qu’ils se lancent dans le long périple de la nouvelle autoroute qui mène vers l’est du pays. Car ainsi, un conseil peut paraître vital : prenez toutes vos dispositions ! Et pour cause ! Pour ceux qui ne l’ont pas encore découvert à leurs frais, rouler sur ce tronçon, qui court de Lakhdaria à Chelghoum Laïd, sur un parcours long de 285 km, paraît une véritable croisière autoroutière. Une fois que l’on a embarqué, l’on se croirait dans un paquebot perdu au milieu d’un océan, à des journées de navigation de la terre ferme. En tout cas, avant de se décider à rallier Constantine ou Annaba en voiture, mieux vaut se préparer à toutes les éventualités.

Des précautions valables pour vous, vos enfants ou encore votre voiture. Ce qui n’est qu’un trajet, plus ou moins long, un voyage ou voire une excursion, peut vite se transformer en véritable aventure. Et la raison est simple : si la voie est carrossable, elle a été livrée « nue », sans équipements ou infrastructures aucunes. Nous sommes hélas loin de ce chantier du siècle, promis, doté de toutes les technologies les plus avancées, fibres optiques et tout le toutim, tandis que l’on se rend compte que le b.a.-ba des commodités est inexistant.

Après les gorges étroites de Palestro, un boulevard !

Cette aventure commence, tout comme l’autoroute, à la sortie de Lakhdaria, et de ses gorges aussi escarpées qu’inextricables. Et quelle délivrance que de sortir de l’enfer de Palestro, où l’on reste bloqué dans d’interminables bouchons. Les voitures, bus et autres poids lourds cheminent lentement, pare-chocs contre pare-chocs, dans des nuages de poussière. Mis à mal, les nerfs doivent composer avec le brouhaha des moteurs et les cris des dizaines de vendeurs installés sur le bas-côté de l’étroite route et ce, en sus des nombreux barrages et check points installés tout au long du passage. Et d’un coup, une large voie s’ouvre aux automobilistes ; toutefois, la vitesse est limitée à 80 kilomètres heures. Et pour cause : s’ensuit le long tunnel de Bouira et un pont, à la sortie duquel un rétrécissement de la chaussée est signalé. Un barrage de gendarmerie filtre les voitures, immobilisant, preuves du radar à l’appui, tous ceux qui n’auraient pas respecté la signalisation routière. Mais la peur des retraits de permis n’est pas l’unique motivation pour ralentir. Ou ne devrait du moins pas l’être, tant les cahots se font ressentir et peuvent provoquer des dégâts lorsqu’un véhicule est lancé à plein régime. La route qui gondole, des affaissements, des crevasses et des fissures parcourent, durant plusieurs kilomètres, le tapis pourtant récemment livré. Même les freins de jonction entre les différents tronçons secouent dangereusement les voitures et leurs passagers.

Puis, à mesure que les kilomètres défilent, que les vallées verdoyantes laissent la place à des plaines dorées, la sensation de vide se fait de plus en plus ressentir. Livré à lui-même, le voyageur ne peut que se sentir coupé du monde, comme s’il était en pleine mer. Même l’éclairage fait défaut, dans ces contrées désertiques et inhospitalières. Il est toutefois vrai que des balises phosphorescentes sont encastrées dans les glissières en béton, et encore, puisque ces même signaux lumineux sont inexistants sur plusieurs kilomètres. « Raison pour laquelle il est fortement déconseillé de circuler de nuit sur cet axe. En premier lieu parce que l’on n’y voit pas grand-chose, et qu’un accident est vite arrivé. Mais aussi et surtout de peur des agressions et autres traquenards », prévient un routier, habitué à crapahuter sur cette route. Une autoroute « minimaliste » Les minutes passent et les paysages se font plus arides. Des monts rocailleux se dressent de part et d’autre. L’autoroute chemine et parcoure les vallons, dans une succession de virages et de côtes.

Des étendues tantôt brunes, tantôt couleurs paille parsemées de vert s’offrent à perte de vue, tranchant avec le gris du bitume, hâlé par le soleil dardant. Pas âme qui vive, en dehors de rares hameaux au loin. Et d’ailleurs, la nature n’est pas la seule à offrir un tableau minimaliste. L’infrastructure aussi. Sur des kilomètres, un interminable désert d’asphalte, et nul moyen d’y échapper, même la bande d’arrêt d’urgence est tout ce qu’il y a de plus minimaliste, tant elle ne mesure que quelques centimètres par endroits. La ligne jaune rase parfois carrément les glissières. Sur 50 kilomètres, c’est le grand vide. Rien, si ce n’est l’autoroute. Pas une bretelle ou une aire de repos, encore moins de station-service ou autres station relais. L’on n’aura surtout pas intérêt à oublier de faire le plein avant d’entamer ce long parcours, qui revêt assurément des allures d’expédition. Sur l’autoroute, un embranchement bifurque et mène vers Béjaïa.

Si, par malheur ou par mégarde, un voyageur loupe cette bretelle, il est dans l’obligation de poursuivre son chemin durant plus de 40 kilomètres afin de faire demi-tour, d’autant plus que la signalisation n’est pas des plus omniprésentes. Déroutant. Alors, lorsque l’on débarque d’Alger, ou autres, mieux vaut ne pas s’y aventurer sans vraiment connaître la cartographie de la région, surtout si le pire arrive : la panne. Et, en ces journées caniculaires, la surchauffe du moteur guette. Ainsi, il n’est pas rare de croiser, immobilisés sur le bas côté de la voie, des voitures, capots grand relevés. Devant, de pauvres quidams, pendus à leur téléphone, s’improvisent, impuissants, mécaniciens. Et contrairement aux alentours des grandes agglomérations, où les dépanneuses sillonnent à longueur de journées les voies rapides, nulles traces de remorqueuses ou de garages, tout juste un jeune homme, qui, ayant senti le filon juteux, a installé un étal, juste derrière le béton de la barrière, à l’ombre d’un parasol. Sur le présentoir, différents bidons d’huiles pour moteur et autres flacons de produits mécaniques. Peut-être que les infortunés trouveront leur salut en quelque autre voyageur qui viendrait leur prêter main forte ? Rien n’est moins sûr. « Imaginez que c’est un guet-apens, comme il en arrive souvent ? », se défend un automobiliste.

Pas l’ombre d’un gendarme

Pour ce qui est de la sécurisation de l’espace, le contraste est saisissant. L’on s’est habitué à la présence massive, parfois même « visuellement agressive », des forces de l’ordre dans nos villes, mais leur absence se fait cruellement ressentir là où ils sont indispensables. Alors que ailleurs sont installés des barrages tous les deux mètres, sur 285 kilomètres, pas un poste, pas une voiture, pas une brigade. « Normalement, des voitures de gendarmerie sillonnent l’autoroute », explique un de leurs éléments, en poste à Oued Athmania, bourgade située à quelques kilomètres après Chelghoum Laïd, où prend fin cette voie à grande vitesse. Tout en affirmant qu’à sa connaissance, jamais personne n’était venu se plaindre d’un incident advenu sur cette distance, le gendarme reconnaît toutefois « l’anormalité » de la situation. « La chaussée a été livrée sans rien autour, avec tous les risques que cela comprend. Et c’est surtout dans ce contexte qu’un renforcement continu de la sécurité est essentiel », admet-il. Puis, il ajoute à brûle-pourpoint, « mais encore faut-il dire que des unités mobiles tentent d’y veiller.

Seulement, elles sont obligées, faute de plus de bretelles et de sorties, d’en faire tout le tour. Nos éléments vont jusqu’à Sétif pour faire demi-tour, et parcourir l’autoroute en voie inverse », justifie-t-il. Ceux-ci ne sont pas les seuls à faire les frais de cet « autisme » de la voie express. Deux jeunes hommes sont assis sur la glissière, l’un les bras ballants et l’autre se tenant la tête dans les mains. Ils regardent piteusement une voiture à l’arrêt, capot soulevé. Venu d’El Eulma, le conducteur doit se rendre à Annaba, tandis que son ami a été appelé à la rescousse. « Mais elle est en panne et a besoin d’être remorquée », lance l’un d’eux, sans trop pouvoir situer l’origine de la défaillance mécanique. La solution ? Son compagnon raconte qu’il pensait la détenir, avant de déchanter en prenant conscience du lieu de l’incident. « Ma voiture est garée juste-là », dit-il en avisant un hameau situé juste derrière eux. « Le problème est que je suis obligé de rouler 25 kilomètres jusqu’à Sétif afin de le dépanner », s’énerve-t-il, avant de se lever et d’assener : « Ils ont vraiment fait n’importe quoi ! ».

Source El Watan Ghania Lassal

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 08:54

Football – Mondial 2010 - La Manschaft humilie l’Argentine (4 à 0) : Le nouvel ordre allemand

maradona-deception.jpg la déception de Maradona

La jeune équipe d’Allemagne a décroché son billet pour les demi-finales, hier, à la faveur de sa victoire face à l’Argentine sur le score fleuve de 4 à 0, dont un doublé de Klose qui se place parmi les meilleurs buteurs de la compétition. Tout comme son compatriote Thomas Müller avec quatre réalisations. Une véritable machine, la Mannschaft a inscrit treize buts en cinq matches et se place désormais comme un sérieux candidat pour le sacre final.

 

La jeune pieuvre allemande a encore fait des victimes, hier, en dévorant l’Argentine, un des favoris du Mondial 2010, et se hisse en demi-finales. La Mannschaft s’est imposée par 4 à 0, un peu mieux que le tarif infligé à l’Angleterre au tour précédent, confirmant son rôle de candidat éternel pour le sacre final. Son compteur est déjà à 13 réalisations en 5 matches ; son buteur Klose, auteur d’un doublé hier, rejoint son compatriote Gerd Muller qui a inscrit 14 buts en deux éditions, et se place à une longueur du record détenu par le Brésilien Ronaldo (15 buts).

Klose a inscrit depuis le début du Mondial 4 buts tout comme son compatriote, le jeune Thomas Muller. Avec ces deux fers de lance et un jeu collectif séduisant, résolument tourné vers l’offensive, tout le monde se demande qui arrêtera l’Allemagne. Arrivée en Afrique du Sud avec des ambitions modérées après le rajeunissement de l’effectif par l’entraîneur Löw, l’Allemagne a réussi à déjouer tous les pronostics s’appuyant sur « le réalisme », pas sur la prédiction du célèbre poulpe allemand, devenu pourtant célèbre par la justesse de ses présages sur l’issue des matchs de l’Allemagne durant le Mondial. L’Allemagne n’est pas près de lâcher prise, après avoir écarté deux grosses cylindrées.

Source El Watan S.M.

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 08:46

Toulouse Blagnac - Le chantier du tramway

ligne-Garonne.jpg

 

Ligne Garonne : tout ce qui va changer

L'arrivée prochaine du tramway, le 27 novembre 2010, à Purpan, avenue de Grande-Bretagne et aux Arènes se traduit déjà par de profonds changements sur ces axes et autour du Zénith, en attendant la construction du quartier de La Cartoucherie. Le tramway arrivera à Déodat et avenue de Muret fin 2013, où la ligne Garonne va réduire le trafic automobile de 30 % selon les estimations des spécialistes de la circulation. La même échéance va aussi bouleverser le visage de la rive droite, entre palais de justice et Grand-Rond, et autour. Ainsi, le passage à deux fois une voie de circulation auto (au lieu de 2x2) va diviser le trafic auto par deux sur ce qui est jusqu'ici un axe très passager.

Stationnement Payant

Lors de la dernière réunion de concertation publique sur la future ligne Garonne, au Muséum, Jean-Marc Barès, adjoint au maire et élu du quartier, a annoncé : « Le stationnement résidant payant sera mis en place dès 2011 sur les quartiers Saint-Michel et Montplaisir, avant même que soit lancé le chantier du tramway (deux ans de travaux) ». « Ce type de stationnement privilégiant les riverains équipés d'un badge a été expérimenté avec succès aux Chalets et ailleurs », note Joël Carreiras, président de la Smat (société de la mobilité de l'agglomération toulousaine). Les allées Paul-Feuga, Jules-Guesde et Paul-Sabatier passeront en payant moyenne durée (afin de permettre l'accès au centre ville d'automobilistes de passage), la Grande Rue Saint-Michel en stationnement payant limité à deux heures avec premier quart d'heure gratuit (stationnement minute pour les courses). Ce type de stationnement est à l'étude pour l'avenue de Muret, sur la rive gauche.

Rive droite, sur les allées, le nombre de places de parking, 560 actuellement (gratuites) va passer à 160 (payantes) « alors qu'il en faudrait environ 200 pour satisfaire pleinement les riverains », relève M. Hersant, spécialiste circulation-stationnement.

Le plan de circulation du secteur sera revu pour l'arrivée de la ligne Garonne, fin 2013. On accédera au quartier Saint-Michel par la rue Duméril qui changera de sens (du sud-est au nord-est) et on en sortira par la rue des 36-Ponts et les rues Saint-Joseph et Notre-Dame. Des bornes laisseront passer riverains, livraison et urgences le long des allées côté Muséum sur la vaste esplanade piétons aménagée. Bien des habitudes vont devoir changer.

Fils et poteaux dans les arbres

Les poteaux devraient être moins nombreux sur les allées, site historique classé, qu'avenue de Grande-Bretagne. Ils porteront aussi l'éclairage public. Fils et caténaires devraient être cachés par les arbres : 245 seront conservés, 6 abattus et 58 plantés.« Nous serons particulièrement attentifs à l'esthétique dans ce site historique», assure Joël Carreiras, président de la Smat.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 08:39

Et de plus «Villa est toujours bien placé»

afrique du sud 2010

 

David Villa (à g.) inscrit l'unique but de la partie pour offrir à l'Espagne une place en demi-finale.(REUT)

Depuis quand l'Espagne n'a-t-elle pas joué une demi-finale d'un Mondial ? (de Raja23)
L'Espagne a enfin brisé la malédiction des quarts de finale. Pour la première fois de son histoire, la Seleccion a rejoint le dernier carré d'une Coupe du monde. Elle avait échoué à quatre reprises lors des quarts. En 1934 face à l'Italie (0-1), en 1986 par la Belgique (1-1, 4-5 tab), en 1994 de nouveau par l'Italie (1-2) et en 2002 par la Corée du Sud (0-0, 3-5 tab). Les hommes de Vicente del Bosque affronteront l'Allemagne mercredi à Durban pour une place en finale.

L'Espagne a longtemps tourné en rond avant de percer le verrou des Guarani fermé à double tour. En phase de repli, les Paraguayens étaient neuf à défendre becs et ongles.

Comment les Espagnols s'y sont pris pour percer la défense du Paraguay ? (de pepitooo)

Comme c'était prévisible, l'Espagne a longtemps tourné en rond avant de percer le verrou des Guarani fermé à double tour. En phase de repli, les Paraguayens étaient neuf à défendre becs et ongles. Il était alors extrêmement compliqué dans ce cas de trouver des espaces pour Villa et Torres, pas à la fête. La charnière centrale a parfaitement mis sous l'éteignoir le duo hispanique. Que ce fut dur pour que l'Espagne parvienne à ses fins. Il a fallu de la patience, beaucoup d'abnégation et surtout essayer de développer au maximum le jeu sur les côtés. La sortie de Torres, remplacé par Fabregas à la 55e, a libéré des espaces. Comme les Espagnols ont le ballon la majorité du temps et qu'ils savent s'en servir, cela finit généralement par passer. Mais il faut une dizaine d'occasions franches pour un but. Contre l'Allemagne, ce manque de réalisme risque de ne pas pardonner.

Comment se fait-il que David Villa soit celui qui marque toujours ? (de titou75)

Auteur de quatre buts en quatre matches avant cette rencontre, David Villa s'est habitué à être le sauveur d'une équipe espagnole en manque de réalisme. Il a pour lui la qualité d'être toujours très bien placé. «The right man at the right place». A l'image de son équipe, l'ancien Valencian a toutefois connu un début de match difficile. La nouvelle étoile du Barça a joué à l'envers. Il a fait pas mal de mauvais choix, eu du déchet technique, et est venu s'empaler sur les deux défenseurs qui lui barraient constamment la route. Il a eu une seule occasion à se mettre sous la dent lors de la première période, un tir non cadré (36e). Souvent mis à rude épreuve et à terre assez régulièrement, El Guaje ne s'est jamais découragé. Pas le style du bonhomme. Replacé dans l'axe à la sortie de Torres, il a provoqué un penalty à l'heure de jeu avant de délivrer les siens à sept minutes de la fin. Villa, c'est le roi.

Force est de constater que Fernando Torres n'a pas recouvré toutes ses sensations.

Pourquoi Del Bosque s'entête-t-il à faire débuter Fernando Torres ? (de jbay)

Parce que Fernando Torres reste quoi qu'on en dise Fernando Torres. C'est-à-dire un attaquant hors pair, assurément un des meilleurs du monde. Mais El Nino n'est pas arrivé en Afrique du Sud dans la forme de sa vie, loin de là. Opéré du genou droit ce printemps, il a entrepris une guérison express pour être prêt à temps pour le Mondial. Mais force est de constater qu'il n'a pas recouvré toutes ses sensations. Ça crève les yeux. Seul en pointe, il a le plus souvent joué dos au but. Ce rôle ingrat est une souffrance. Remplacé à la 55e minute par Fabregas.

Comment avez-vous trouvé l'attaquant paraguayen Nelson Valdez, pisté par le PSG ? (de kopboulogne)

Joli bébé d'1,78m pour 71 kg, Nelson Valdez est un attaquant puissant et véloce. Il fait de suite penser à l'Argentin Carlos Tevez, dans son allure, mais aussi dans sa conduite de balle et dans sa capacité à harceler les défenseurs adverses. Puyol peut rédiger une thèse sur le sujet. Le joueur du Borussia Dortmund a pesé en début de match et a même marqué un but à la 40e minute, finalement refusé pour hors-jeu de son compère Oscar Cardozo. Beaucoup moins en vue en seconde période, ce qui lui a valu d'être remplacé par Roque Santa Cruz à vingt minutes de la fin et de recevoir les félicitations de son sélectionneur « Tata » Martino à sa sortie. Le PSG peut creuser le dossier, Valdez c'est solide.

Source La Dépêche du Midi David Michel

Le Pèlerin

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 06:47

Algérie – Football - Le montant du transfert serait de 7 millions d’Euros : Belhadj à la Lazio “à 90%”

nadir-belhadj

Le départ de Nadir Belhadj à la Lazio de Rome se précise d’avantage. En effet, selon le quotidien sportif italien

La Gazetta Dello le club romain et Portsmouth,  seraient tout proche d’un accord pour le transfert du joueur algérien pour la somme de 7 millions. « Avec le transfert de Kolarov, les contacts ont plus de chances d’aboutir et je peux vous dire qu’à 90%, je suis à la Lazio. J’ai clairement informé Portsmouth que j’avais décidé d’aller jouer ailleurs, je leur ai bien dit que je m’en irai. Maintenant, les négociations se sont accélérées entre la Lazio et Portsmouth. Les dirigeants des deux clubs  se sont rencontrés plusieurs fois et je crois qu’ils sont tout près d’un accord », a même affirmé le latéral gauche des Fennecs.
Il faut tout de même rappeler que le club anglais de Portsmouth, relégué en seconde division et actuellement en liquidation judiciaire avait dans un premier temps repoussé une offre de la Lazio de 3 millions d’Euros. Ce qui a contraint les Biancoceleste à revoir leur demande à la hausse.
Belhadj n’est pas le seul joueur de Portsmouth qui intéresse  le club de la ville éternelle, puisque le milieu ghanéen Kevin-Prince Boateng  (23 ans), entre également dans les plans du président romain Claudio Lotito, en prévision de la saison prochaine.
Auteur d’une belle prestation avec la sélection algérienne lors du Mondial sud africain, avait fait l’objet de nombreuses convoitises notamment de la part du vainqueur de la Ligue des Champions d’Europe, l’Inter de Milan.

Source Horizons Medhi F.

Le Pèlerin

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