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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 00:40

Algérie - Oued El-Harrach - Sa dépollution est en bonne voie
El-harrach-vue-du-ciel

Plusieurs actions communes ont été entreprises par les secteurs des ressources en eau et ceux de l’environnement, pour redonner à l’oued El-Harrach son rôle écologique.
La pollution de l’oued El-Harrach provient de trois sources principales : agricole avec l'utilisation de produits pesticides chimiques, urbaine causée par les rejets d'eaux usées domestiques, et industrielle en raison du déversement des unités industrielles avoisinantes de déchets toxiques, a expliqué le directeur de l'assainissement et de la protection de l'environnement au ministère des Ressources en eau, Hacène Aït Amara.
Les eaux de cet oued, autrefois propre à la pêche et à la nage, dépasse actuellement 400 fois les normes établies par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), selon un chercheur japonais.
Il renferme des déchets nocifs comme le plomb, le chlore, le zinc, le chrome, l'arsenic et bien sûr le mercure, élément chimique très dangereux, dont le taux dépasse de 30 fois les normes acceptées mondialement. Oued El-Harrach, d'une longueur de 67 km, prend sa source près de Hammam Melouane, il traverse la plaine de la Mitidja, siège d'une forte activité agricole ainsi que différentes zones industrielles, aussi bien à Alger qu'à Blida. Le secteur a lancé en 1976 une étude générale sur l'assainissement du Grand-Alger, appelée «Schéma directeur du Grand Alger».
Parmi les actions qui ont découlé de ce schéma, il y a lieu de citer la réalisation de la station d'épuration de Baraki, censée permettre la collecte des eaux usées se déversant dans la mer et dans les oueds, principalement Oued El-Harrach et Oued Smar. Une fois traitées, ces eaux, seront refoulées vers le futur barrage de Douéra, en cours de réalisation, pour leur réutilisation dans l'agriculture.
Les travaux d'extension de la station d'épuration de Baraki «vont probablement démarrer en janvier 2010», a déclaré M. Aït Amara, soulignant que «plus de 200 km de collecteurs d'assainissement ont été réalisés pour éviter les rejets à Oued El-Harrach». «120 km de réseau d'assainissement, sont en cours de réalisation pour réaliser un double objectif: la dépollution de Oued El Harrach et la lutte contre les inondations dans la ville d'Alger», a-t-il ajouté.
Des collecteurs d'assainissement sont en cours de réalisation à travers plusieurs quartiers de la capitale pour parer aux risques d'inondations.
Sur les eaux usées industrielles, le responsable a indiqué qu'«actuellement, les rejets des entreprises industrielles se font directement dans l'oued sans sélection ni traitement», chose qui sera, selon lui, «désormais interdite sauf avec autorisation».
Pour ce faire, un dispositif réglementaire a été mis en place par le ministère des Ressources en eau, fixant les modalités d'octroi des autorisations de déversement des eaux usées autres que domestiques dans les réseaux d'assainissement ou dans les stations d'épuration.
S'agissant des odeurs, un projet pilote intitulé Yasmine, confié à la Seaal, a été initié. Il consiste en l'application d'un gel solide sur les ponts à forte circulation piétonne et en la brumisation d'un produit liquide sur le pont de l'autoroute menant à l'est d'Alger.
Source Info Soir R. L. / APS
Le Pèlerin

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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 00:36

Humour – Le gazole coute de plus en plus cher  Une astuce
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Deux copains discutent dans un bar !

"J'en ai marre, ca fait la deuxième fois qu'on me pompe ma cuve à mazout en deux ans. Pourtant la bouche de remplissage est cachée sous une vasque de fleurs" !

- "Moi j'ai résolu le problème, j'ai acheté un gros bouchon rouge avec mazout marqué dessus en blanc"

- "T'es fou, ils n'ont même plus à chercher"

- "Astuce..... ! Le tuyau n'est pas relié à ma cuve à mazout mais à ma fosse septique. Ca fait trois fois qu'on me la vide, gratos, en 2 ans" !!!

Le Pèlerin
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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 00:04

Free améliore son assistance en trois points
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Illiad a annoncé devenir sociétaire de l'association Médiation Communications Electroniques (AMCE) afin de régler avec un médiateur les dossiers sensibles. Par là même, la société mère de Free rejoint France Télécom, Bouygues Télécom et SFR.
Au service du Client
Un client Free pourra désormais traiter un litige via un médiateur. Dès que tous les recours internes seront épuisés, le FAI pourra transmettre le dossier au médiateur. Après un maximum de trois mois, ce dernier remettra ses conclusions. Les deux parties auront alors le choix de suivre ou non l'avis rendu par le médiateur. Si l'affaire est portée en justice, le FAI et le client doivent se mettre d'accord pour savoir si le rapport du médiateur est versé ou non au dossier.
D'autre part, Free annonce également développer son service d'assistance de proximité. Ainsi, 250 villes supplémentaires pourront profiter d'un technicien à domicile si le problème ne peut être résolu par téléphone. Enfin, le FAI français recrute de nouveaux conseillers pour ses antennes de service client situées en France.
Source Tom’s Guide
Le Pèlerin

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 06:30

Environnement - Les chaos humanitaires à genèse climatique
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Desertification en marche dans le sahel algérien

Le réchauffement climatique, sujet d'actualité que la conférence de Copenhague remet au goût du jour, n'est pas que d'ordre géophysique comme nous semblons nous en accommoder, mais bien plus que ça.
Nous rapportons volontiers aux grands de ce monde, dont certains continuent à ne pas tenir compte des recommandations de la Conférence de la Terre tenue à Rio en juin 1992, encore moins à consentir à ratifier le Protocole de Kyoto de 1997. Il est d'autant plus vrai que ces gouvernements n'ont aucune prise réelle sur les grands trusts industriels qui polluent, sans état d'âme, la biosphère. Si la vieille Europe est responsable de l'émission de 13 % de gaz à effet de serre (GES), la Chine et les USA seraient responsables à eux seuls, de 50 % de toutes les émissions de la planète. L'échéance 2012 est là et le processus semble s'emballer depuis bientôt cinq ans, pour prendre l'allure de cataclysmes naturels qui se suivent, mais qui ne se ressemblent. Leurs victimes premières ont été les populations du Sud du globe. Et, si à chaque chose malheur est bon, l'ouragan katrina, dévastateur de la Louisiane, est venu rappeler au pays de l'Oncle Sam qu'il n'était pas à l'abri de ces phénomènes météorologiques. Cette catastrophe a démontré au monde entier, qu'en dépit des moyens colossaux de cette nation, les populations touchées sont rendues vulnérables par le chaos humanitaire. Les transferts de population vers d'autres Etats voisins a changé, dit-on, la configuration ethnique de cet Etat du sud, connu pour être le berceau de la race afro-américaine. Le bouleversement des profils démographiques des nations est probablement l'un des déchirements humanitaires de ce millénaire résultant des soubresauts climatologiques de la planète et dont l'homme en est l'unique responsable. La submersion de grands territoires du Bengladesh, l'un des pays les plus peuplés et les plus pauvres, fait subir aux populations les pires exactions socio-économiques exercées sur l'homme.

 Des clans entiers d'agriculteurs ont dû quitter leurs terres submergées, pour aller s'implanter ailleurs. Pour beaucoup d'entre eux, l'opération s'est répétée jusqu'à vingt fois, fuyant à chaque fois la furie des eaux.          L'image de cet exode est reflétée par l'homme bengali, portant sont toit en zinc à bout de bras. Pour contenir le flux migratoire climatique, l'Inde la grande puissance économique voisine a érigé une barrière de barbelés. Les « check-point » qui filtrent les transfuges ne laissent passer que les jeunes filles de 13 à 18 ans qui seront destinées à assouvir les instincts sexuels des militaires, pour être ensuite versées dans des circuits de prostitution. Humiliation suprême pour une population ancestralement islamisée, déchue par le dénuement et la faim. Le gigantesque bidonville qui longe la voie ferrée de Dacca, la capitale, vomit ces relents pestilentiels pour livrer à une mort lente des milliers d'enfants malnutris et livrés à l'infection morbide de toutes sortes de maladies induites par la promiscuité et l'absence d'hygiène. Selon un expert autochtone, toute la population réunie de son pays produirait moins de G.E.S que la ville de New York. Et pour imager son propos, il demande en compensation du préjudice subi, le transfert d'une trentaine de villages en France et cinq ou six en Suisse. C'est dire toute la problématique des pays qui subissent les contrecoups d'un phénomène, dont ils n'en sont pas responsables. La Chine doit certainement constituer un cas d'école dans son statut de pollueur mondial et victime de la désertification. Elle paye actuellement un lourd tribut à la déforestation énergétique de l'ère révolutionnaire. Les dunes de sable, à quelques kilomètres de Pékin, font subir à sa population jusqu'à quatre tempêtes par an. Le phénomène de désertification est accentué, dit-on, par les pacages des troupeaux de la Mongolie orientale. Ce phénomène climatique, peut-être à l'origine de confrontations interethniques sanglantes. Qu'adviendra-il des habitants de ces îles du Pacifique ou de l'Océanie et dont les territoires sont ou vont être immergées ? Voudront-ils un jour consentir à changer de nationalité à l'instar de cette île à qui il est proposé la fixation en terre australienne ? Il y va de l'effacement de tout un patrimoine identitaire et héréditaire amassé depuis des millénaires.

Le continent africain et sur lequel nous vivons n'est pas exempt des ressacs climatiques. La déforestation est sa plus suintante plaie. La République démocratique du Congo avec ses 1.450.000 km² carrés de forêt tropicale constitue le 2è poumon de la planète après l'Amazonie. Véritable piège à carbone, elle stocke, à elle seule, trois années d'émission du carbone mondial. Cette miraculeuse machine à recycler l'air que nous respirons, est, selon l'avis d'experts, le moyen le moins coûteux et le plus efficace pour un développement durable sans à coups. Il suffirait à la RDC et à l'Indonésie de s'inscrire, à l'instar du Brésil, dans un processus de reforestation pour que les effets d'irréversibilité soient inhibés. Le projet financé par la BIRD en RDC pour la plantation de manioc, a trois objectifs : fournir de l'aliment aux hommes et aux bêtes, produire du bois et capturer 2.000.000 de tonnes de carbone. Voici un modèle de projet intégré de développement durable. Les drames que ne cesse de vivre notre continent relèvent en partie de la main de l'homme, armée souvent d'une simple hache. Le lac Tchad, que se partagent quatre pays africains, est probablement l'illustration la plus tragique de la déchéance de la nature et par conséquent de sa fulgurante réplique à son agresseur. Cette immense mer intérieure d'eau douce couvrait dans les années soixante, près de 25.000 km² ; elle subvenait aux besoins alimentaires de près de 20.000.000 d'âmes. Son plan d'eau qui ne couvre plus que le 10è de cette superficie arrive à peine à fournir l'eau de boisson qui n'est plus potable du fait des déjections humaines et animales. La production piscicole, de 263.000 tonnes en 1977, est tombée à 56.000 tonnes à l'orée des années 1990. La faim et les maladies hydriques emporteront une bonne partie de la population infantile notamment ; pour les survivants, le binôme mortel les obligera à la migration forcée dans un fol espoir de terre promise. Les organisations non gouvernementales, présentent en force à Copenhague, interpellent par le pressing, les gouvernants à plus d'engagements solennels. Ils exigent dans une envolée solidaire, que certains appellent déjà : justice climatique, de faire payer les riches pour les préjudices faits aux pauvres. Les communautés scientifique et altermondialiste fixent le plafond du réchauffement climatique à moins deux degrés centigrades (-2°). Les chefs d'Etat attendus dans la capitale danoise sauront-ils faire de ce vendredi 11 décembre 2009, le jour béni, où l'humanité se sera rendue humblement compte, des torts causés à la nature pour faire amende honorable. Il faudrait aussi que l'on se rendre compte, qu'il n'existe à travers l'univers aucune autre planète de rechange. Il demeure, néanmoins, une seule question à poser à nos concitoyens et qui est la suivante : à combien de kilomètres d'Alger, trouve-t-on les premiers cordons dunaires ? Les dunes qu'on croyait avoir fixé sont inexorablement livrées aux avides pelleteuses du milieu du foncier immobilier. Y aura-t-il un jour, un Copenhague national ?
Source Le Quotidien d’Oran Farouk Zahi
Le Pèlerin

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 06:14

Alger est encadrée par des failles sismiques en perpétuelle activité.
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Une simulation d’un séisme d’une forte magnitude à Alger a été opérée hier par la Protection civile. Le choix de la capitale comme théâtre de cet exercice n’est pas fortuit.
La zone côtière en particulier et la zone algéroise en général sont des régions hautement sismiques. Les 4 sites concernés par cet exercice à savoir, la briqueterie d’El Harrach, Sidi M’hamed, Bâtiment 152 à la rue Hassiba-Ben Bouali et Moham-madia, comprennent en somme des vieilles bâtisses vulnérables.L’exercice en question fait partie d’un  programme de formation globale initié depuis 2008 entre la Protection civile algérienne en collaboration avec la Sécurité civile française. Ce programme qui s’achèvera en 2010 est financé par le Fonds de solidarité prioritaire (FSP) doté de 2,3 millions d’euros.
Le problème crucial se pose lors d’un tremblement de terre, ou tout autre risque majeur qui a beaucoup de chance de se produire dans la capitale, a trait au blocage ou à la rupture générale des voies de communication, apprend-on auprès des professionnels. Aussi, l’objectif assigné à ces manœuvres et formations est la mise à niveau des capacités d’intervention. Le groupe de formateurs des stagiaires sera mis à l’épreuve de simulation durant trois jours. «La Protection civile algérienne compte 32.000 agents dont 21.000 opérationnels», selon le commandant de l’Unité nationale d’intervention et d’instruction, le colonel Hellaoui.
«7000 agents peuvent être mobilisés à n’importe quel moment», a affirmé notre interlocuteur. Dans ce contexte, le lieutenant-colonel Marc Dumas a souligné: «En matière de capacité de mobilisation, la Protection civile algérienne, en raison de son organisation centralisée, est mieux lotie que les sapeurs-pompiers français qui opèrent beaucoup plus au niveau départemental». La France compte 230.000 agents dont 38.000 professionnels et le reste sont des volontaires, ajoute-t-il. Cet exercice algéro-français sur le sauvetage et déblaiement sera axé sur l’évaluation par les chefs de colonne en titre des 12 stagiaires dont 6 Algériens et 6 Français.
Ces stagiaires ayant effectué une formation pédagogique devront être testés sur leur capacité de commandement et orientation des équipes de sauvetage et d’intervention lors d’un séisme touchant la capitale dont les dégâts dépasseront les capacités de réponse locales. Durant cet exercice de mise au point, tous les sites concernés seront sécurisés par les forces de l’ordre, indique-t-on.
«300 agents algériens prennent part à cette manœuvre dont 66 opérationnels, contre 78 agents français dont 6 officiers stagiaires et 4 évaluateurs», a indiqué le colonel Marc Dumas. Les 4 sections (2 françaises et 2 algériennes) prenant part à cet exercice seront affectées sur les secteurs et chantiers situés dans la zone touchée par le séisme.
Que faire en cas de séisme dans le métro d’Alger?

Le métro d’Alger, dont la mise en service est prévue pour 2010, peut être touché de plein fouet par un tremblement de terre. Selon le commandant de l’Unité nationale d’intervention et d’instruction, le colonel Hellaoui, la Protection civile s’y prépare déjà puisque la formation de sections spéciales dans le sauvetage dans les tunnels et métro est déjà enclenchée. «Une équipe spécialisée pour ce genre d’interventions très délicates est en cours de formation», a indiqué notre interlocuteur. Selon le lieutenant-colonel, Marc Dumas, «la problématique pour ce genre d’infrastructures souterraines comme le métro est la même qui se pose au niveau des tunnels»
Source L’Expression Mohamed Boufatah

Le Pèlerin

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 06:06

«Raouraoua ne remettra plus les pieds en Egypte»
samir zaher

Le président de la fédération égyptienne de football a décidé de ne plus assister aux réunions de l'Union arabe (UAFA) à cause de la présence de Mohamed Raouraoua dans cette instance où il occupe le poste de vice-président et la commission des compétitions.
«Je n'assisterai plus aux réunions de l'UAFA tant que Raouraoua en est membre», a annoncé, dimanche soir sur une chaîne de télévision égyptienne, le président de l'EFA qui s'est déjà retiré de l'Union nord-africaine de football (UNAF) que préside son homologue algérien.
Zaher est allé encore plus loin en révélant que Raouraoua sera interdit de séjour en Egypte. «Les hautes autorités de notre pays vont prendre la décision d'interdire tout séjour de Raouraoua en terre égyptienne. Il ne remettra plus les pieds en Egypte. C'est lui l'instigateur des incidents survenus à Khartoum», dira Zaher.
Le président de la FAF est, rappelle-t-on, membre du comité exécutif de la CAF dont le siège est situé au Caire. Les Egyptiens s'acharnent encore sur lui pour avoir refusé toute médiation pour l'amélioration des relations entre les deux fédérations. «Il n'y aura aucune réconciliation tant que Samir Zaher ne présente pas des excuses officielles sur les incidents du Caire où le bus de notre délégation a été caillassé», tonne Raouraoua dont le poids dans les instances internationales dérange énormément les Egyptiens qui n'ont pas également digéré son refus de serrer la main à Zaher à Khartoum, lors de la conférence de presse qu'ils avaient animée conjointement avant le match barrage entre les Verts et les Pharaons. Raouraoua accuse ouvertement son homologue égyptien d'être à l'origine des violences subies par l'EN à son arrivée au Caire et réclame des excuses de sa part pour tourner la page.
Source Le Temps L.B.
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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 06:00

Algérie  - Sénatoriales à Tipasa – La bataille fait rage
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A l’approche de la date fatidique des sénatoriales, la bataille fait rage pour postuler au poste de sénateur entre différents acteurs dans une scène politique où le travail de coulisses est le plus influent.
Au FLN, on croit savoir qu’il a été procédé à des élections internes pour désigner un membre postulant au poste de sénateur. Selon des sources sûres, un seul candidat s’est engagé dans la bataille pour des sénatoriales qui s’annoncent rudes vu la complexité des enjeux et le travail de coulisses de certains élus de ce parti.
Selon des sources proches de la formation de Belkhadem, M. Abdelkader Sahali, président de l’APW de Tipasa, secrétaire général de l’Organisation nationale des enfants de chouhada et responsable du FLN au niveau de la wilaya, est favori dans la course aux sénatoriales.
Certains élus du FLN nous ont affirmé que leur candidat est déjà connu, en l’occurrence M. Sahali, compte tenu de ses connaissances dans le monde des affaires et le circuit politiques, et vu qu’il occupe plusieurs postes de responsabilité grâce à ses compétences avérées. Autant d’atouts pour décrocher le poste tant convoité.
Si les élus du FLN ont tranché en faveur de l’un de leurs pairs, la situation au sein du RND demeure cependant confuse en raison du black-out total au sein de la formation d’Ahmed Ouyahia.
Selon des informations recueillies auprès de certaines sources, on croit savoir que les caciques ont multiplié le travail de coulisses pour un retour sur la scène politique. On estime que les rivalités tribales sont au cœur de la bataille pour la prise de décision au sein du RND. D’autres indiscrétions ajoutent que la bataille s’annonce difficile au sein du RND après les instructions fermes données au sujet des critères établis pour les prochaines sénatoriales.
On parle avec insistance de la candidature de M. Bellila, actuel directeur de la Munatec de Tipasa, ainsi que de deux autres candidats indépendants, le P/APC de Gouraya élu sur la liste RND et qui aurait vu sa candidature rejetée par le RND, et le P/APC de Bourkika, élu sur la liste du FNA et dont le parti n’a pas pu participer à cette course.
La bataille entre le FLN et RND, pour les sénatoriales de la fin du mois, s’annonce difficile. Cependant, la formation de Belkhadem semble devancer ses rivaux politiques.
Rappelons que les deux sièges qui échoient à la wilaya de Tipasa sont occupés actuellement par un élu du FLN et un autre du RND.

Source Le Jeune Indépendant Mohamed Lalaoui

Le Pèlerin

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 00:43

Humour – Ces enfants…On ne les tient plus
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Si c'est trop horrible arrêtez là !!

A l'école, la maîtresse demande aux élèves de raconter un événement inhabituel qui leur est arrivé récemment

Plus tard elle demande à quelques élèves de lire leur texte

Arthur se lève et commence :

« La semaine dernière, papa est tombé dans le puits au fond du jardin »

« Doux Jésus, s'exclame la maîtresse, il va bien au moins ? »

« Je suppose, répond Arthur. Il a arrêté d'appeler à l'aide hier »

Le Pèlerin

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 00:04

Algérie - Les Années de plomb sous Bouteflika : Un jour, il fera vraiment nuit
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Il ne faut pas parler de « libertés civiles » aux Algériens. L'expression traîne une sorte d'effet de mode démocrate, genre intellectualisations urbaines, opposants trop savants et syndicalisme d'analyse. Ce qu'il faut faire, c'est parler clairement et dire les choses en binaires. Dans quelque temps, et c'est déjà le temps depuis des années, vous ne pouvez pas vous attrouper sauf pour les mariages et les enterrements. Vous ne pouvez pas marcher dans la rue sans autorisation de wilaya et seulement en allant chez le coiffeur. Depuis un temps, déjà, vous ne pouvez pas créer un journal sans parrainage politique et « sécuritaire » directe, un cahier des charges et un engagement signé à servir d'ENTV écrite. Vous ne pouvez pas créer un syndicat sans le label de l'UGTA sur votre front et en en-tête de votre section. Vous ne pouvez pas aller protester à Alger sans vous faire tabasser par les policiers. Ni organiser un meeting en dehors de la campagne électorale, et même dans ce cas là, vous ne pouvez le faire que si vous êtes pour le vote et pas quand vous êtes contre la participation. Vous ne pouvez pas éditer un livre sans passer par le filtre de la lecture corrective et un numéro de cellule, et même là, vous pouvez être censuré après publication, arrêté, dépossédé de votre ordinateur et perquisitionné. On peut même aller plus loin et convoquer les libraires qui vous ont distribué, l'imprimeur qui vous a imprimé et les lecteurs qui vous ont acheté. Vous ne pouvez pas penser à une rencontre sur le nucléaire, la peine de mort, le syndicalisme dans le Maghreb ou le pluralisme sans le faire sous le portrait de « son patronage » et entamer votre action par une lecture de motion de soutien et de gloire éternelle pour quelqu'un qui ne l'est pas. Vous ne pouvez même pas dénoncer la guerre contre Gaza si ce n'est pas El-Qardaoui qui vous sert de parapluie. Vous ne pouvez même pas vous rassembler pour réclamer la fermeture d'une carrière sans que la police vous charge et vous ramasse, alors que vous n'avez même fait partie de la manif et que vous n'étiez là que pour ramener votre cousine qui habite seule dans la commune en siège. Votre seule chance est de le faire en Kabylie peut-être, car, là-bas, le verdict sera moins lourd et le soutien plus important. Lorsque vous irez dans un cybercafé, vous devriez vous signaler et déposer votre CIN.

Vous aurez compris que tout cela ne va pas arriver dans quelque temps, mais arrive déjà depuis des années. Cela veut dire que ce qui va suivre sera pire, ou meilleur, selon l'angle et l'emploi. Dans quelque temps, on vous demandera ce que vous faites à Alger parce que votre CIN porte l'adresse d'El-Bayadh ou de Relizane. On pourra aussi vous demander la liste des gens qui viennent passer la nuit chez vous alors qu'il s'agit de vos invités. Vous imposer de signaler les étrangers à votre quartier, vous faire signer de fausses déclarations contre votre patron, frère syndicaliste, voisin opposant ou militante active. On vous expliquera que si vous « n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous », car on ne peut s'asseoir au milieu entre le Régime et la Liberté et leur tendre les deux joues. Un jour, vous serez seul, les mains derrière le dos, une supplique entre les dents, isolé de toute part, assis sur un banc en bois dans un lieu sombre, affolé par la possibilité de l'arbitraire, dépendant d'un coup de fil ou d'un PV déjà rédigé sans vous, sans possibilité de vous expliquer sur vos actes, terrorisé par l'idée qu'on ait interprété votre demande de recours comme un manifeste de parti politique. Un jour, vous vivrez cela et là vous comprendrez ce que signifie cette expression ramollie par les démocrates et les intellectuels : « libertés civiles » et vous saurez que vous êtes coupable de ce qui vous arrive car, cela vous est arrivé à l'époque où vous ne vous sentiez pas coupable. Et si ce n'est pas vous, ce sera votre fils, ou votre petit-fils.

Source Le Quotidien d’Oran Kamel Daoud

Le Pèlerin

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 13:23

L’Algérie souhaiterait l’interdiction de véhicules diesel pour des considérations écologiques et économiques.
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«Nous souhaiterions interdire les véhicules diesel pour voir la croissance de la consommation de gasoil baisser. Aujourd’hui nous avons atteint des taux d’augmentation exorbitants de 9,2 % sur ces 10 dernières années. Ce qui représente environ deux fois la croissance du PIB ce qui est difficilement supportable», a expliqué, ce matin, Noredine Cherouati, président de l’autorité de régulation des hydrocarbures, sur les ondes de la chaîne III.
«Notre premier souci est de faire face à une demande qui est en constante croissance, nous vendons 7,5 millions de tonnes de gasoil par an, nous avons une capacité de raffinage de 21 millions de tonnes, la capacité nationale de raffinage aujourd’hui, pour produire le gasoil, est à ses limites», a-t-il ajouté. A chaque ralentissement de la production, à chaque arrêt de maintenance technique d’une raffinerie, l’Algérie est tenue d’importer du gasoil pour faire face à la demande des automobilistes.
A une question sur la possibilité de réguler les prix à la pompe puisque le gasoil reste le moins cher par rapport aux autres carburants au lieu d’interdire les véhicules diesel, M. Cherouati a expliqué qu’il est possible de faire les deux choses en même temps, c'est-à-dire réguler par les prix et réguler en amont.
Sur un autre plan, ce responsable a indiqué que le prix du gasoil connaîtra certainement une hausse, expliquant qu’«il j’ignore quand cela arrivera tout autant que le taux de cette augmentation». Selon lui, le dossier de cette augmentation est ficelé et sera bientôt soumis aux pouvoirs publics. Il a indiqué que l’autorité de régulation des hydrocarbures n’a pas compétence pour réguler les prix, vu que sa compétence c’est la régulation des marges de chaque intervenant. «Nous sommes préoccupés de savoir si l’activité de raffinage travaille et gagne de l’argent», a expliqué M. Cherouati.
Selon lui, il y a un deuxième élément qui régule les prix, à savoir, le prix du brut à l’entrée à la raffinerie, organisé par l’article 9 de la loi 05-07 qui prévoit que le prix du brut destiné au marché national devrait atteindre en 10 ans la moyenne des prix à l’exportation du pétrole brut tel que réalisé par l’Algérie.
En d’autre termes le prix du gasoil sera de 15 DA/litre. «Cette augmentation devrait tenir compte des besoins de l’industrie de raffinage, c'est-à-dire faire en sorte que la raffinerie continue de gagner de l’argent», a précisé M. Cherouati.
Selon lui cette augmentation du prix du gasoil est due à la faiblesse de nos capacités de raffinage qui restent aujourd’hui insuffisantes (25 millions de tonnes).

Source Info Soir Madjid Dahoumane
Le Pèlerin

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