Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 23:50

Exploitation sexuelle des enfants Jeux interdits

Que ce soit dans les pays développés ou ceux en voie de développement, la prostitution infantile est un phénomène de portée internationale qui ne cesse de se répandre et de prendre de l'ampleur.
L'innocence de ces enfants et adolescents est mise à rude épreuve dans un univers où leur exploitation sexuelle est devenue monnaie courante.Des chiffres effarants sont présentés par des organismes comme l'ONU. Un million d'enfants prostitués sur le continent asiatique, 500 000 au Brésil, 25% des enfants exploités sexuellement à travers le monde sont américains.
La prostitution juvénile s'est développée aussi en Europe de l'Est, en Afrique. A Manille, à Bombay, les enfants sont kidnappés, loués, vendus aux maisons closes. Des filles entre 12 et 14 assurent des dizaines de «passes» par jour. Le tourisme sexuel en direction des enfants est devenu une industrie pour la mafia de la prostitution et des milliards de dollars sont brassés dans ce «commerce de la chair».
Un phénomène qui prend de l'ampleur
En Algérie, même si ce sujet est considéré comme tabou, il n'en demeure pas moins qu'il est présent et qu'il commence à prendre des proportions de plus en plus alarmantes. En Algérie, les enfants se prostituent aussi. Mme Messaouden, commissaire principal et chef de bureau de la protection de l'enfance, à la Direction de la police judiciaire, estime qu'on ne peut parler de réseaux, mais il arrive souvent que les services de police trouvent des mineurs sur les lieux de débauche. On enregistre aussi de plus en plus de mineurs au niveau des points de racolage.
Les données des services judiciaires ne sont pas spécifiques à la prostitution infantile mais englobent toutes les atteintes aux mœurs. Les dossiers traités par les services de l'ordre durant l'année 2008, sur l'ensemble du territoire national, font état de l'implication de 469 mineurs dans des affaires d'agressions sexuelles sur mineurs, parmi eux 456 garçons et 13 filles.
Rien ne laisse entrevoir une diminution de ce phénomène, la preuve en est les 283 nouveaux cas recensés durant seulement le premier semestre l'année en cours. Ils concernent 273 garçons et 10 filles. Ces délinquants seront, selon la gravité de l'acte, soit placés par le juge des mineurs au sein des centres de rééducation, soit dans les quartiers de mineurs des prisons.
En 2008, la police judiciaire a recensée 1637 mineurs victimes d'agressions sexuelles, sur le plan national, dont 736 garçons et 901 filles. De janvier à juin 2009, les victimes mineurs sont au nombre de 909 parmi lesquelles on compte 430 garçons et 479 filles.
La majorité des dossiers traités par la police concerne les grandes villes où se trouvent les principaux foyers, Alger en première position. Les chiffres avancés ne reflètent pas la véritable dimension de ce fléau.
Selon Mme Messaouden : «Les statistiques sont établies suite aux dépôts de plaintes ou sur indications des citoyens. Beaucoup d'autres enfants souffrent en silence, car leur famille étouffent l'affaire ou tout simplement c'est l'enfant lui-même, honteux, qui cache l'agression sexuelle dont il fut l’objet.» Un danger de plus guette cette victime, qui ne bénéficiant pas de prise en charge convenable, peut, elle aussi, plus tard agresser d'autres mineurs ou intégrer le monde de la prostitution.
Sur le plan juridique, l'exploitation sexuelle des enfants est punie par le code algérien. L'auteur du délit, en l'occurrence le client où le souteneur, risque une condamnation à une peine de prison assortie d'une amende. L'article 342 du code pénal stipule que les personnes incitant, favorisant ou facilitant la débauche ou la corruption des mineurs de moins de 19 ans, même occasionnellement des mineurs de moins de 16 ans, encourent 5 à 10 ans d'incarcération et sont assorties d’amendes variant entre 20.000 et 100.000 DA.
Source Le Temps S.O.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 23:32

Toulouse - 100 € la passe pour la mère maquerelle

 

Mœurs. Une femme de 34 ans engrangeait les gains d'une jeune prostituée espagnole. Elle a été condamnée pour proxénétisme
La prostitution n'est pas interdite mais elle peut dissimuler des formes de proxénétisme plus ou moins organisées.

Le business du sexe sur Internet conduit à toute sorte de dérapages. Derrière la prostitution, on trouve aussi des clients jouant les amoureux transis et des mères maquerelles supervisant le travail des belles et encaissant les gains. C'est en tout cas ce qu'ont découvert les policiers de la brigade des mœurs en interpellant, mardi, dans un hôtel de la Cépière, un couple.

Ce jour-là, un Toulousain, agent de sécurité de 34 ans, surveille le ballet des clients sur le parking de l'hôtel. Dans la chambre, une mère maquerelle, âgée de 35 ans, accueille les clients. Elle est soupçonnée d'engranger les gains d'une prostituée espagnole qui « travaille » dans une pièce attenante. Le prix ? 100€ la passe qui, selon la chaperonne, alimente un « pot commun. »

Soupçonné de proxénétisme, le couple est placé en garde à vue au commissariat. Le Toulousain, père de famille, tombé récemment amoureux de cette femme après une rencontre sur Internet, joue les grands seigneurs : sortie au restaurant, achats de produit de beauté et transporte la prostituée espagnole dans les hôtels de la ville. Mais pour la justice ces petits services ont un nom : le proxénétisme.

Les premiers éléments d'enquête tendent à affirmer que ce père de famille « aide à la prostitution. » Tout comme sa nouvelle compagne accusée de « gérer le porte-monnaie » des jeunes filles qui vendent leur charme. Ce serait elle qui s'occupe de passer les annonces sur un journal de rencontres amoureuses. Dans la chambre d'hôtel, les policiers retrouvent d'ailleurs près de 400 € en liquide cachés dans un dictionnaire. Un pactole qui n'est que la face visible d'un butin sans doute beaucoup plus volumineux. La mère maquerelle aurait organisé pour la prostituée espagnole plus d'une dizaine de rendez-vous coquins par jour.

Vendredi, ce couple poursuivi pour proxénétisme était jugé par le tribunal correctionnel. Surpris de se retrouver dans le box des prévenus, l'agent de sécurité a plaidé sa bonne foi. Son avocat, Me Parra-Bruguière, insiste sur « l'absence d'élément moral » et obtient la relaxe de son client. Le tribunal a en effet considéré que l'intention de commettre l'infraction de proxénétisme n'était pas constituée. En revanche, son « amoureuse », a été reconnue coupable de proxénétisme et condamnée à deux mois de prison avec sursis.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 23:20

Algérie - Les véhicules vétustes à l'arrêt
Voitures à la casse
 

Les automobilistes devront prochainement se séparer de leurs véhicules vétustes. C'est la toute dernière mesure annoncée par le ministère des Transports qui prendra effet en 2010. Une façon d'assainir le parc automobile et tenter de faire face au fléau des accidents de la circulation.

Le sous-directeur de la circulation au ministère des Transports, Tahar Messaoud Nacer, a souligné, à cet effet, sur les ondes de la radio chaîne III, que ces véhicules représentent un " véritable danger sur les routes et sont impliqués dans plusieurs accidents ".

Comment sera menée l'opération ? D'abord, par la mise à l'arrêt de ce que Tahar Messaoud Nacer, qualifie " d'épaves", c'est-à-dire les voitures les plus âgées pour arriver progressivement à " rabaisser la moyenne d'âge des véhicules". Autre précision, tous les types de véhicules seront concernés par ladite mesure comme ceux des transports en commun, de marchandises et les taxis. Il s'agit, également, d'un retrait " définitif comme l'autorise la loi ", a déclaré le sous-directeur de la circulation au ministère des Transports.

La procédure de retrait sera " modulée et des échéanciers seront ainsi fixés et le projet sera présenté au premier ministre ", ajoute-il. Outre cette disposition, le ministère des Transports, planche sur la mise en place d'un permis à point. Une réunion a eu lieu, hier, au niveau du secrétariat général du gouvernement qui a regroupé des représentants des transports, de l'intérieur et des services de sécurité. Les premières informations révélées par Tahar Messaoud Nacer, ont trait au "barème à fixer et qui sera adapté au niveau des infractions commises notamment les plus récurrentes et les plus dangereuses ".

Avec l'instauration du permis à point, le conducteur se trouve face à trois principales sanctions, à savoir " le retrait de permis, les amendes et la défalcation de point ". Au ministère, on estime qu'il faut " aller rapidement à l'application du permis à point pour obliger les automobilistes à être plus prudents ".

La nouvelle mesure sur laquelle est également, revenu le représentant du ministère des Transports, est la "réglementation du temps de conduite et de repos des chauffeurs professionnels ". Son application se fera grâce à un "mouchard qui sera installé permettant d'enregistrer les temps de conduite et pourquoi pas aller jusqu'à mentionner le temps nécessaire sur les autorisations que délivre le ministère ", a précisé Tahar Messaoud Nacer, ajoutant que le dossier sera ficelé prochainement.

Source Le maghreb dz

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 23:05

Humour – Une  bonne conduite

Un routier s'arrête dans un resto pour prendre un petit déjeuner. La serveuse lui apporte un sandwich, un café et un morceau de tarte .   A ce moment là trois motards en blouson de cuir font irruption dans le resto. Le premier lui prend son sandwich, le deuxième boit son café et le troisième avale sa tarte. Sans dire un mot, le routier paie et s'en va. Un des motards s'exclame :

« C'est même pas un homme !"La serveuse s'exclame à son tour : " C'est même pas un bon conducteur non plus... "Regardez, il est en train d'écraser trois motos avec son camion ».

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 06:25

Ariège – Pyrénées - Internet à haut débit : coup de pouce pour l'emploi

 

Économie. La mise en place du réseau haut débit ariégeois a été officiellement inauguré hier, mais ses effets se sentent déjà.
L'inauguration officielle. Dans le hall de l'Estive, des techniciens détaillent pour les curieux les mystères de la fibre optique. Un peu plus tard, ce sont les ondes du Wimax qui ont déchaîné les foudres des opposants. Photo DDM, Marianne Pradère.
La mise en place progressive du haut débit génère des effets bénéfiques en terme d'emplois: c'est le constat fait hier, en marge de l'inauguration officielle des travaux engagés en mai 2007, sous l'impulsion du conseil général de l'Ariège (lire également ci-dessous). Prudent, Eric Fourcaud, en charge des nouvelles technologies pour Ariège Expansion, prévient: «Le haut-débit, ce n'est pas la poule aux œufs d'or. En réalité, c'est comme une autoroute. A nous d'y mettre du contenu, de faire venir des entreprises. Mais, force est de constater que des entreprises peuvent choisir de s'installer en Ariège pour cela. Comme il a pu nous arriver de perdre des entreprises lorsque le département n'était pas équipé: on a gommé des handicaps». Sociétés aéronautiques, informatiques, spécialisées dans le design, l'enseignement à distance, le télé-travail: toutes sont friandes du haut-débit. Désormais, les ingénieurs qui s'échangeaient péniblement leurs travaux en gravant leurs fichiers du des CD les partagent en temps réel avec leurs partenaires amériains ou australiens. Cependant, pour l'instant, aucune donnée chiffrée permettant d'avoir une idée de l'ampleur de ce phénomène n'est encore disponible, en ce qui concerne l'industrie et les services, même si on constate, du côté de Delta Sud et de Cap Delta l'arrivée d'entreprises qui misent sur le haut-débit.
Par contre, l'Observatoire du e-commerce, fondé en 2006, a enregistré des résutats concrets, et très encourageants, relate encore Eric Fourcaud: «Dès l'arrivée du haut-débit, des entreprises ariégeoises se sont tournées vers le e-commerce, remarque-t-il. Aujourd'hui, ce secteur rassemble 35 entreprises, 150 emplois et génère 6M€ de chiffre d'affaires. Le haut débit représente clairement une source de développement économique et d'emploi : les entreprises recrutent alors dans des métiers spécifiques liés au Net».
Les chiffres clefs
L'investissement se monte à 26,4M€ (HT), répartis entre quatre partenaires: l'Europe, pour 8M€ (30,4%), la région Midi-Pyrénées, pour 6,76M€ (25,7%), le conseil général, pour 6,76M€ (25,7%) et Ariège Telecom (filiale de SFR, délégataire), pour 4,82M€ (18,2%). Les travaux supplémentaires pour la couverture totale du département sont estimés à environ 3M€ supplémentaires. Des discussions sont en cours sur cet avenant au contrat initial.
Les « Non au Wi » manifestent leur opposition
Les opposants au Wimax et au Wifi ont manifesté hier soir leur opposition à ces deux techniques, chahutant les orateurs qui se sont succédés à la tribune de l'inauguration officielle, dans la grande salle de l'Estive, hier soir. Déployant affichettes et banderolles, ils ont lancé des slogans et des protestations: expliquant que «la population n'a pas été consultée», que c'est l' «argent» qui a dicté tous ces choix et qu'on cache les effets, néfastes, pour la santé, des ondes .
Le président du conseil général, Augustin Bonrepaux, expliquant qu'il n'hésitait pas «à faire la sieste sous les lignes à THT», a invité les opposants à «partir en Lozère à mi-temps», parlant d' «habitants dont on ne sait pas s'ils travaillent et qui ne sont pas recensés». A une militante écologiste qui criait «No pasaran», l'élu rétorquait: «Trop tard! Nous sommes passés»!
Toutes les prises de parole ont été également chahutées, puis le débat s'est poursivi dans les allées de la grande salle, avant de se terminer dans les couloirs de l'Estive avec quelques coups de gueule virils. Un regret, quand même: les questions posées par ces opposants aurait mérité, sans doute, un débat d'une autre forme, sur un autre ton et, sans doute, dans un autre lieu. Sans oublier que le haut débit a été accueilli avec bonheur, en Ariège, par une majorité.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 06:15

Palmarès des départements les plus « écolos » : la région bien notée

Environnement. L'hebdomadaire «La Vie» publie le palmarès des départements les plus « écolos. » La région est plutôt bien notée.

Le troisième palmarès réalisé par l'hebdomadaire « La Vie » qui récompense « la volonté écologique » des 95 départements, montre une incontestable avancée des réalisations environnementales en France métropolitaine. Alors que 67 départements obtenaient la moyenne en 2008, ils sont 73 à l'obtenir cette année.
Le Sud truste largement les premières places de ce palmarès. Et si c'est un département du Sud-Est de la France, l'Ardèche, qui arrive 1er au classement général, l'Aveyron est deuxième. Dans la région, le Gers parvient de son côté à se hisser à la première place pour la qualité de son air et l'Aude pour promotion des énergies renouvelables, grâce à ses multiples installations d'éoliennes. L'Ariège également occupe souvent les premières marches du podium, dans de nombreux domaines.
Par ailleurs, des départements mal classés au général, tel que les Hautes Pyrénées (64e ex-æquo), figurent parmi les leaders sur la qualité de l'air. Mais il demeure de nombreux points noirs. sans surprise, dans le Gers, département très agricole, les eaux sont d'une qualité médiocre. Et l'Aude est toujours empêtrée dans des problèmes de gestion de ses déchets.
Toutefois, dans son dossier de 20 pages, « La Vie » note que pour la plupart des départements, « Cette priorité désormais donnée à l'écologie, à deux mois du Sommet mondial de Copenhague, est plutôt une bonne nouvelle. »
Le palmarès dans la région
Recyclage des déchets. Ariège : 28e, Aude : 84e ; Aveyron : 12e ; Haute-Garonne : 12e, Gers 12e, Lot 12e, Lot-et-Garonne 49e, Hautes-Pyrénées 69e, Tarn 5e, Tarn-et-Garonne 69e. 1er : le Rhône.
Mobilisation politique (vote écolo).
Ariège 24e, Aude 59e ; Aveyron 24e ; Haute-Garonne 9e, Gers 59e, Lot 9e, Lot-et-Garonne 24e, Hautes-Pyrénées 59e, Tarn 24e, Tarn-et-Garonne 24e. 1er : le Haut-Rhin.
Qualité de l'air. Ariège : 1er, Aude : 19e ; Aveyron : 1er ; Haute-Garonne : 55e, Gers 1er, Lot 1er, Lot-et-Garonne 19e, Hautes-Pyrénées 13e, Tarn 19e, Tarn-et-Garonne 19e.
Agriculture bio. Ariège : 1er, Aude : 17e ; Aveyron : 17e ; Haute-Garonne : 41e, Gers 23e, Lot 41e, Lot-et-Garonne 17e, Hautes-Pyrénées 77e, Tarn 41e, Tarn-et-Garonne 30e. 1er : l'Ariège et 11 départements du Sud-Est.
Énergies renouvelables.
Ariège : 77e, Aude : 1er ; Aveyron : 1er ; Haute-Garonne : 37e, Gers 77e, Lot 77e, Lot-et-Garonne 77e, Hautes-Pyrénées 77e, Tarn 15e, Tarn-et-Garonne 63e. 1er ex aequo : l'Aude, l'Aveyron.
Qualité de l'eau. Ariège : 10e, Aude : 19e ; Aveyron : 10e ; Haute-Garonne : 34e, Gers 87e, Lot 34e, Lot-et-Garonne 34e, Hautes-Pyrénées 10e, Tarn 34e, Tarn-et-Garonne 78e. 1er : le Jura.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 06:07

Une nouvelle photo de Carla Bruni nue mise en vente

Carla Bruni-Sarkozy lors d'une visite à l'Institut française de Madrid, le 28 avril 2009
Elle sera vendue aux enchères le 20 novembre à l'Hôtel Drouot à Paris...
Et une nouvelle photo de Carla Bruni nue, une !
Ce cliché, datant de 1993, et signée par le photographe de mode Michel Comte, sera vendu aux enchères le 20 novembre à l'Hôtel Drouot à Paris, a annoncé la maison Piasa, organisatrice de la vente.
Une photographie identique avait été adjugée pour 91.000 dollars (frais compris) en avril 2008 lors d'une vente chez Christie's à New York. Ex-mannequin, Carla Bruni avait épousé deux mois plus tôt le chef de l'Etat Nicolas Sarkozy et la vente de cette photo avait suscité un vif intérêt de la part des médias et des collectionneurs.
«Cela ne se reproduira pas»
La somme était considérable au regard de la cote de Michel Comte, photographe de mode né en 1954, certes reconnu mais dont les autres photos n'atteignent pas ces prix, a indiqué vendredi à l'AFP Yves Di Maria, expert pour Piasa.
«Cela ne se reproduira pas», pronostique Yves Di Maria. La photo mise en vente par Piasa est estimée entre 6.000 et 9.000 euros.
«Un nu très sage»
Il s'agit d'une épreuve gélatino-argentique, portant le cachet de Michel Comte (celle vendue à New York ne portait pas le cachet du photographe). Elle provient d'un collectionneur allemand.
La photo en noir et blanc, prise alors que Carla Bruni était mannequin, est «un nu très sage», relève Yves Di Maria. La jeune femme est photographiée, les mains jointes dissimulant son intimité, dans une pose qui semble faire référence au tableau Les Poseuses de Georges Seurat.
Source 20minutes.fr
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 05:33

Des foyers de tension se déclarent chaque jour : Le gouvernement face à la poudrière sociale

 

Les secteurs de l’enseignement, de la santé et des chemins de fer traversent une période de turbulences.
Des menaces sur la continuité du service public proviennent des syndicats des travailleurs qui veulent opérer des débrayages dans les domaines de la santé et des transports ferroviaires. En effet, la section santé du Syndicat national des personnels de l’administration publique perd patience après l’échec de ses multiples demandes d’audience auprès du ministre de la Santé, Saïd Barkat.
La mi-novembre prochain est désignée comme date probable du début du mouvement de protestation des fonctionnaires. Il appartient au conseil national qui se tiendra le 26 octobre de se prononcer définitivement sur cette action. Manque de concertation avec la tutelle et non-publication du statut particulier des travailleurs du secteur sont les principaux points qui ont suscité le mécontentement du syndicat.
Les cheminots, de leur côté, n’écartent pas l’éventualité de cesser le travail dans quelques jours si leurs revendications ne sont pas satisfaites.
Les travailleurs veulent une application immédiate de la nouvelle grille des salaires et une nouvelle étude du régime des indemnités. Le syndicat affilié à l’Ugta a déjà saisi la Centrale sur ces questions afin de tenter de faire bouger les choses. Un conflit syndical devrait aussi être réglé puisque les travailleurs accusent le secrétaire général de la Fédération de ne pas se soucier de leurs problèmes. Les réunions sont suspendues depuis trois ans. Un mouvement de protestation a même été organisé pour dénoncer cette situation. Les travailleurs acceptent de patienter pendant deux semaines supplémentaires avant d’engager un mouvement de grève qui est loin d’être le premier dans les annales de la Sntf.
Si les perturbations des secteurs de la santé et des transports ne sont pas d’effet immédiat, les lycéens, par contre, n’ont pas vécu une semaine normale. Ce ne sont pas les enseignants qui ont décidé de rendre le tablier mais plutôt les élèves. Ces derniers ne sont pas du tout contents de l’application du nouveau week-end qui a généré un nouveau mode d’enseignement, notamment en ce qui concerne la programmation. Les lycéens trouvent que les programmes sont trop chargés et ils l’ont fait savoir en boycottant l’école dans plusieurs villes du pays. Il y a deux ans, les lycées étaient également bloqués suite à une grève de ces mêmes structures après l’appel lancé par le CLA. Aussi, chaque jour que Dieu fait, des foyers de tension sont signalés à travers le pays plaçant ainsi le gouvernement face à ce qu’il convient d’appeler «la poudrière sociale».
On constate que les mêmes secteurs affichent régulièrement leur mécontentement depuis plusieurs années. Les mêmes revendications sont aussi exprimées. Elles sont souvent d’ordre pécuniaire, même si les conditions de travail sont régulièrement évoquées parmi les raisons de cette levée de boucliers. De grève générale, point donc. Cette dispersion affaiblit considérablement le mouvement ouvrier. Comme si cela ne suffisait pas, il y avait également le Pacte économique et social qui a poussé l’Ugta à renoncer pendant trois ans à tout mouvement de protestation. Après les rémunérations et les conditions de travail, viennent les difficiles relations avec la tutelle. Les mêmes ministres sont confrontés pendant des années à des mouvements de protestation et à des vagues de revendications sans pouvoir stabiliser des secteurs entiers d’activité. Si les syndicats ne ratent aucune opportunité pour tenter d’arracher des acquis supplémentaires, l’administration se trouve quelquefois en panne d’imagination, l’empêchant de proposer des pistes pour parvenir à calmer le front social.
Il reste tout de même le rituel de la tripartite qui va tenter encore une fois et ce, avant la fin de cette année, de mettre sur la table des négociations entre l’UGTA, le patronat et le gouvernement certains dossiers relatifs au front social, dont le Snmg. La grève étant un moyen de pression pour faire admettre les revendications à ce sujet.
Toutefois, le fait que les syndicats des travailleurs et des patrons ne soient pas associés à des discussions préalables sur les dossiers autres que celui des salaires, démontre que le gouvernement se prive de tout moyen de prévenir les conflits sociaux. Pourtant, des échéances importantes se profilent à l’horizon comme le Code du travail.
Source l’Expression Ahmed Mesbah
Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 05:09

Algérie - Création d’un centre national des permis de conduire
Les accidents de plus en plus nombreux

15% des accidents de la route sont imputés aux bus et aux poids lourds
«15% des accidents de la route sont imputés aux transports en commun et aux poids lourds.» Cette estimation est sortie de la bouche du ministre des Transports, Amar Tou, alors qu’il inaugurait hier le Centre national des permis de conduire (Cenapec), dont le siège se trouve à l’Institut supérieur de la formation ferroviaire (Isff) de Rouiba. Au-delà de la cérémonie protocolaire, se dessine l’essence même de la mission de ce centre dont le «rôle pédagogique est primordial», selon M.Tou. Dans le souci d’assurer une politique nationale commune de l’enseignement de la conduite automobile, les pouvoirs publics ont conçu dès l’an dernier cet «outil nouveau», aujourd’hui opérationnel, «qui vient s’ajouter aux différents instruments déjà mis en place», a indiqué le ministre afin, indique-t-on, de sortir le pays du cycle infernal et endémique des accidents de la route.
Le ministre a, en outre, regretté que ces accidents sont attribués à 90% au facteur humain. Il a déploré que malgré l’état de fatigue, les conducteurs de bus et de poids lourds continuent à travailler avec les risques encourus. Il précisa que la frange des «chauffards» forme «16% parmi les moins de 20 ans, et 30% parmi ceux âgés de 30 à 39 ans». M.Tou s’est dit confiant en la construction de nouvelles autoroutes et voies express qui, selon lui, contribueront à la diminution des accidents, et apporteront plus de sécurité aux populations. Aussi, le Cenapec, dirigé par Mme Benidder-Yazid Dalila, aura pour mission première de former des moniteurs d’écoles de conduite (auto-écoles) et d’examinateurs. Un mouvement dans leurs pôles d’exercice est impératif, car, a indiqué M.Tou, «beaucoup de requêtes au sujet de leur comportement négatif et beaucoup de ces remarques sont fondées», a-t-il relevé, précisant que «des examinateurs ont été sanctionnés selon la gravité de leurs fautes».
Les examinateurs, rappelle-t-il, ont besoin de sessions de «recyclage régulières en collaboration avec le ministère de la Formation professionnelle.» Pour les moniteurs, une formation technique et pédagogique bloquée de six mois est programmée. Le centre a, par ailleurs, pour activité l’enseignement de la conduite automobile par la mise en place d’une politique nationale basée sur l’introduction des moyens techniques et pédagogiques nouveaux en vue d’une meilleure qualité de formation et de perfectionnement des examinateurs et des moniteurs.
Doté d’un budget d’équipement de 405 millions de dinars, le Cenapec a pour principales missions la formation des examinateurs et des moniteurs, l’organisation des examens du permis de conduire, le suivi et (surtout) le recyclage des examinateurs et des moniteurs d’auto-écoles et enfin l’aménagement des circuits d’examens. Evoquant la réorganisation de la gestion des permis de conduire, le ministre des Transports a indiqué que la loi sur le permis à points sera bientôt appliquée. Cet avant-projet de loi est actuellement au stade d’examen au sein du ministère avant d’être soumis «rapidement» au gouvernement.
Parlant de la réorganisation du permis de conduire, il a indiqué que la prochaine étape consiste en «la création de trois fichiers nationaux relatifs aux permis de conduire, aux infractions au Code de la route et aux cartes grises».
Parlant de la formation des moniteurs et examinateurs, il a précisé que «chaque palier d’enseignement aura son action spécifique de sensibilisation et de pédagogie». Il sera instauré d’abord un permis probatoire de deux ans avant le permis à points, a indiqué le ministre. Il a annoncé que la prochaine étape dans cette organisation sera la fixation d’un nombre précis d’heures de conduite pour l’obtention du permis des poids lourds.
Ce centre, créé en 2001 dans le cadre de l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière, devra «assurer un niveau supérieur de qualité dans le domaine de la formation à la conduite automobile sous tous ses aspects et jouer aussi un rôle d’évaluation de toutes nos actions», a d’autre part, souligné le ministre des Transports.

Source l’Expression Abdelkrim Amarni

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 04:52

Algérie - Kef Eddir, un nouveau barrage en construction à Tipaza
 Le lac de Sidi Amar / Zurich à proximité

Le barrage de Kef Eddir est un exemple d'intégration et d'intercommunalité dans le sens où il contribuera à effacer les limites géographiques de trois (03) wilayas limitrophes, une fois achevé. Ce projet structurant, le deuxième du genre dans la wilaya de Tipasa après le barrage de Boukerdane situé dans la daïra de Sidi Amar qui a une capacité totale de 125 millions de m3 avec une superficie du bassin versant de 490 km2 a fait l'objet d'une visite d' inspection de Mr Mohamed Ouchen, wali de Tipasa qui s'est enquis de 1'Etat d'avancement des travaux de réalisation.
Situé géographiquement sur l' Oued Damous à 8 km en amont de la ville, le barrage de Kef Eddir est destiné à satisfaire en eau potable et en eau d'irrigation les besoins de toute la région ouest composée de 3 wilayas. Ace titre, dans la wilaya de Tipasa, les localités de Damous, Larhat et Béni Milleuk seront desservies avec un volume de 2,68 Millions m3 /an. La wilaya de Chlef se taille la part du lion. avec un volume de 35,36m3/an pour les quatre (04) localités que sort Zeboudja, El Karimia, Béni Haoua et oued El Fodha tandis que les trois localités de la wilaya de Aïn Defla à savoir Tachta, El Abadia et Ain Bouyahia seront alimentées par rut volume de 5,77 millions m3 /an.
Par ailleurs le périmètre d'irrigation du moyen chelif sera renforcé par un volume de 13,59 millions m3 /an. En supervisant ce projet, le chef de 1'executif s'est longuement entretenu avec le responsable de L’ANB, maître d'ouvrage et le groupement d'entreprises Italiennes Pizzarotti/Todini, maître d'oeuvre qui a décroché le marché pour un montant de 7.516.857.611DA et dont le délai d'exécution est fixe à 49 mois. A cet effet, le maître d'oeuvre s'est engagé à achever ce barrage à la fin de 1'annee 2010 étant donné que les travaux d'excavation sont terminés, les forages et injection sont à un taux de 65%, les bétons pour les structures à 63% et les remblais sort évalués à 11,74%.
Source
Le Maghreb
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0