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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 23:00

Sur les côtes françaises
La Méditerranée se rétablit

La Méditerranée se porte mieux qu'il y a 25 ans sur les côtes provençales et corses là où des efforts d'assainissement et de protection ont été réalisés, affirme Nardo Vicente, spécialiste de la Grande Bleue au retour d'une campagne sur des lieux déjà explorés voilà un quart de siècle.

«La Méditerranée est malade à cause des hommes depuis très longtemps mais aujourd'hui dans certains secteurs elle se porte beaucoup mieux grâce aux efforts consentis par ces mêmes hommes», explique à l'AFP le Pr Vicente, universitaire de renom et directeur scientifique de l'Institut océanographique Paul Ricard dans le Var. «Il reste beaucoup à faire, surtout pour le traitement des eaux usées» sur tout le pourtour méditerranéen, tempère-t-il alors que le gouvernement prépare un Grenelle de l'environnement. Mais «si on fait des efforts en matière d'épuration et de protection de certaines espèces et leur habitat, la vie reprend toujours le dessus».
A 71 ans, ce savant qui a travaillé avec Alain Bombard ou Jacques-Yves Cousteau est parti cet été trois mois avec le cinéaste sous-marin Christian Pétron, 62 ans, à bord du Garlaban, trois-mâts de l'Institut Paul Ricard réarmé en navire scientifique. Une quinzaine de scientifiques ont participé à l'expédition «Biodiversité de la Méditerranée». Après 60 plongées et 35 heures de tournage, les images, montrées cette semaine à Marseille, reviennent sur les lieux de leur premier film en 1980, «Pollutions et nuisances sur le littoral méditerranéen», qui avait contribué à sensibiliser l'opinion.
Outre le bétonnage des côtes et l'aménagement des rivages qui ont ravagé les herbiers de posidonies (prairies sous-marine), «à l'époque tout allait à la mer sans aucune épuration», se souvient le Pr Vicente qui avait perdu une molaire après une infection attrapée en plongeant à la sortie des égouts de Toulon. «Aujourd'hui, c'est plus propre» à Toulon, après la mise en service d'une station d'épuration en 1997, ou à Marseille, équipé dix ans auparavant. Mais le Pr Vicente regrette les rejets en surface et préconise des rejets en profondeur ou mieux: le recyclage de l'eau dans la lutte anti-incendies ou l'arrosage comme à Sainte-Maxime (Var). «La destruction de milliers d'hectares de posidonies est irréversible à l'échelle humaine», déplore-t-il, et la prairie sous-marine reste menacée par le bétonnage, les ancres des plaisanciers et l'absence d'épuration comme à Saint-Jean-Cap-Ferrat ou dans la baie de Naples. Mais quand des efforts sont faits, souligne le scientifique, apparaissent des indices de récupération : «on voit se former une pelouse d'herbe sous-marine, la cymodocée» en rade de Marseille. La quinzaine de sites explorés prouvent que «dès que l'on protège, la vie reprend le dessus, quelques hectares suffisent». Dans les sanctuaires comme la réserve de Monaco, le parc national de Port-Cros ou la réserve de Scandola en Corse, «la vie est exubérante».
Agence

Source La Nouvelle République

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 08:30
Alors que le trou de la Sécurité sociale se creuse inexorablement, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d'une retraite à taux plein il sera nécessaire d'ici 2012 d’avoir cotisé pendant 41 ans.
 
 
 
« Le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre 12 milliards d'euros en 2007, selon les prévisions de la Commission des comptes de la sécurité sociale (CCSS). Ce déficit, plus important que celui prévu par la loi de financement de la sécurité sociale du 21 décembre 2006 - 8 milliards - concerne essentiellement les branches maladie et vieillesse » indiquait récemment le site Internet du Premier ministre. Et de préciser que « du fait du nombre accru de départs en retraite, la branche vieillesse voit son solde se dégrader de 2,8 milliards d'euros par rapport à 2006 ».

Dans ce contexte, le Premier ministre François Fillon a annoncé la semaine dernière devant les députés que l'allongement de la durée de cotisation prévue en 2003 n'était pas une option et qu'elle aurait lieu au terme de la procédure prévue par la loi.

Ainsi, il semblerait bien que la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d'une retraite à taux plein passera à 41 annuités à partir de 2012, à raison d'un trimestre supplémentaire de cotisation par an entre 2009 et 2012. .../...
 
Ensuite, à partir de 2013, des rendez-vous sont prévus tous les quatre ans afin d'ajuster les périodes de cotisation par rapport à l'augmentation de l'espérance de vie. Rappelons à ce sujet que selon les dernières projections de l'Insee, l'espérance de vie à 60 ans pourrait croitre de 1.1 an tous les dix ans. De fait, la durée de cotisation pourrait être de 166 trimestres à l'horizon 2020, soit 41,5 ans.

Par ailleurs, le Conseil d'Orientation des retraites (COR) remettra au gouvernement à l'automne prochain un rapport d'actualisation sur la situation des régimes de retraites.

« On ne peut de façon durable vivre à crédit, il faudra des mesures pour rééquilibrer les finances, les dépenses et recettes, c'est malheureusement évident », explique la présidente (CFE-CGC) de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav), Danièle Karniewicz. En revanche, Force Ouvrière se dit en total désaccord avec l'objectif de « 41 ans de travail pour la retraite en 2012 ».
 
 
Le Pèlerin
 
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 08:11

Alors que Temmar avait démenti une transaction de « gré a gré »

La compagnie « Ports de Dubaï » décroche la gestion du port d’Alger

Une source responsable a confié à « El Khabar » que les négociations entre le ministère du Transport et le ministère de l’Industrie et de la Promotion de l’Investissement d’une part, et la compagnie Emiratie « Ports de Dubaï » d’une autre, sont arrivées à un stade très avancé, après que la tutelle ait accepté la demande de la compagnie Emiratie pour obtenir le droit de gestion du port d’Alger, en plus de 50% du terminal des containeurs.
Cette décision intervient afin de démentir les déclarations consécutives du ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’Investissement, M. Abdelhamid Temmar qui affirmait à chaque fois que cette transaction ne sera pas effectuée de gré à gré. Il a également promis de lancer prochainement un appel d’offres international pour choisir le nouveau gestionnaire du port d’Alger, la privatisation était définitivement écartée.
Par ailleurs, la même source a affirmé qu’il est prévu qu’un accord soit signé par les deux ministères en charge de ce dossier, à savoir le ministère du Transport et le ministère de l’Industrie et de la Promotion de l’Investissement, concernant l’octroi du droit de gestion du port d’Alger à la compagnie « Ports de Dubaï », et ce avant la fin de l’année en cours. Il est à noter que « Ports de Dubaï » avait proposé un capital d’investissement équivalent à 70 millions de dollars.

Source  El Khabar

 

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 08:02

Algérie - Réforme de la protection sociale

La fraude à la “Sécu” passible de prison

Du nouveau en matière de contentieux dans le domaine de la Sécurité sociale. C’est en effet un texte de loi élaboré par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale, et discuté le 16 septembre dernier en Conseil des ministres
, qui vient apporter des changements dans le traitement des litiges inhérents au domaine de la Sécurité sociale. Cet avant-projet de loi déposé sur le bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN) dimanche dernier se propose, à travers les aménagements apportés au dispositif actuellement en vigueur, d'améliorer le système de gestion des contentieux de la Sécurité sociale et d'assurer un meilleur recouvrement des cotisations. C’est ainsi qu’au titre des nouvelles dispositions introduites par le projet de loi, il est question de lever les obstacles et les difficultés qui entravent l'examen rapide des recours introduits. La simplification des procédures et la garantie de  l'exercice effectif de leurs droits par tous les partenaires du système de la Sécurité sociale constituent également une nouveauté en la matière.
Une amélioration des procédures de recouvrement des cotisations est également prévue dans ce texte de loi. Aussi, et dans l’objectif de mettre en application ces nouvelles dispositions et de les rendre visibles auprès des citoyens, une multitude de dispositions spécifiques ont été également introduites. Il s’agit à ce propos de l’institution des commissions de recours préalables nationales et locales au sein des organismes auteurs des décisions contestées, l’octroi d’une habilitation à ces commissions pour se prononcer sur les affaires concernant les majorations et les pénalités de retard dans le paiement des cotisations, la réduction des délais de recours, la détermination du champ d'application de l'expertise médicale, la détermination des litiges relevant du contentieux technique à caractère médical, l’affirmation du caractère non suspensif des recours des assujettis en matière d'opposition et de contraintes relatives aux recouvrements. Aussi, ce texte de loi qui sera débattu et adopté à l’occasion de l’actuelle session d’automne de l’APN n’a pas éludé le chapitre lié aux sanctions.
Des dispositions pénales ont, en effet, été introduites “dans le but de lutter contre les abus et les fraudes préjudiciables à la Sécurité sociale qui ont eu tendance à se multiplier ces dernières années”, est-il expliqué dans l’exposé des motifs de l’avant-projet de loi en question. C’est ainsi qu’il est puni d’un emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 10 000 DA à 300 000 DA “toute personne ayant offert, accepté ou prêté des services pour obtenir pour lui-même ou faire obtenir à des tiers indûment des prestations”. C’est, en effet, ce que prévoit l’article 82 de l’avant-projet de loi en question. Aussi, et en cas de fausse déclaration dans le but d’obtenir ou de faire obtenir à des tiers indûment des prestations ou des remboursements de l’organisme de la Sécurité sociale, la sanction pénale correspondante est de six mois à trois ans d’emprisonnement assortie d’une amende de 100 000 DA à
200 000 DA. Des sanctions ont été également envisagées à l’adresse des médecins, pharmaciens, chirurgiens dentistes ou sages-femmes se rendant coupables de fraudes. C’est ainsi qu’une peine d’emprisonnement allant d’une année à cinq ans et une amende de 200 000 DA à
500 000 DA sont prévues à l’endroit de ce personnel médical en cas de volontaire fausse description de l’état de santé du bénéficiaire de la Sécurité sociale. C’est en tout  cas ce qu’énonce l’article 84 de ce texte de loi imaginé par le département de Tayeb Louh. Dans le même ordre d’idées, ce document législatif n’a pas manqué de cibler les personnes témoins d’un accident de travail tentées de dissimuler ou dénaturer la vérité. C’est ainsi à ce propos que des sanctions de l’ordre de l’emprisonnement d’une année à trois ans et d’une amende de 200 000 à 500 000 DA sont prévues contre ces personnes qui se rendront coupables de faux témoignages s’agissant de l’accident de travail. 

Source Liberté

Le Pèlerin
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:57

Djezzy
Appel gratuit après la 5e minute

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Pour y accéder, il suffit d’appeler le 720 et de choisir le profil du mois.

Source La Nouvelle République

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:55
Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnel à Tipasa
El Hadi Khaldi ouvre la rentrée scolaire 2007/2008
C’est au CFPA  du chef lieu de Tipasa que M. El-Hadi Khaldi ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnel accompagné de M. Mohamed Ouchene, wali de Tipasa ainsi que des cadres du secteur de la formation.

L’ouverture s’est déroulé dans l’un des atelier du centre par une lecture du message que le premier responsable du secteur de la formation professionnelle a voulu transmettre à l’ensemble des cadres et les stagiaires des 48 wilayas  du pays. Dans son allocution, le ministre a exhorté l’ensemble du personnel et des différents partenaires à donner un peu plus d’importance aux métiers de l’artisanat qui ont tendance à disparaître de nos traditions  pourtant ancestrales.
 A ce titre, le ministre a évoqué un ensemble de mesures susceptibles de vulgariser les métiers traditionnels qui ont fait les beaux jours de l’Algérie durant la période faste. Ces petits métiers très longtemps mis aux oubliettes sont tout un pan de notre patrimoine culturel et artisanal qu’il faut à tout prix protéger et les faire vivifier pour permettre aux générations futures de s’imbiber de cet art si noble et recherché. En ce qui concerne la visite de travail et d’inspection le ministre s’est enquit sur place sur les chantiers des deux nouveaux CFPA d’une capacité de 300 places pédagogiques l’un à Hadjout l’autre dans la commune de Meurad. Le ministre s’est par la suite dirigé à Attaba où il procédé à l’ouverture d’une annexe ainsi que le contrôle du nouveaux CFPA de Douaouda Ville
 A noter que le nombre de stagiaires admis dans les CFPA de Tipasa s’élève cette année a 8 148 élèves où ils sont dans différentes filières. Pour cette année 4 nouvelles spécialités ont été retenues : Gouvernante d’hôtel (CFPA Tipasa), informatique/administration et bases de données, environnement et propreté, traitement des eaux les trois filières se feront à L’INSFP de Hadjout.
 
Source La Nouvelle République
Le Pèlerin
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:51

Télécommunication : Haïchour à Tipasa
“l’Algérie vit une révolution technologique»

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a qualifié la couverture en télécommunications et en services postaux dont bénéficie la wilaya de Tipasa de très appréciable.
Au cours de sa visite effectuée hier à travers les importantes infrastructures locales relevant de son secteur, M. Haïchour s’est déclaré, en effet, très satisfait de la densité postale locale, au-dessus de la moyenne nationale, avec 8.644 habitants par bureau de poste.
Contrairement donc au reste des grandes villes du littoral, Tipasa n’est pas en déficit, ses 68 bureaux, dont 59 informatisés, couvrent parfaitement son territoire, excepté pour la région de Hadjout qui nécessite l’ouverture d’un nouveau bureau de poste.
 Avec 12 caisses automatiques entre GAB et DAB installées à ce jour, la wilaya attend, cependant, l’arrivée de la monétique puisqu’elle fait partie des bénéficiaires du premier lot des cartes à puce. La distribution de son premier quota de 120.000 cartes magnétiques débutera à partir du mois de décembre, annonce-t-on. En matière de transmission, la région est également bien desservie avec un réseau de 370 km de fibre optique et 18 liaisons par faisceaux hertziens. Algérie Télécom compte dans la wilaya 62.998 équipements téléphoniques abonnés entre filaire et WLL, dont le taux de saturation ne dépasse pas les 81,57%, soit 51.393 abonnés raccordés.
Le réseau ADSL, dont le premier client à la toute nouvelle offre haut débit «ANIS» a été enregistré hier, est assis sur 5.376 équipements (Fawri, Easy, Djaweb et EEPAD) desservant actuellement 3.202 clients.
Par ailleurs la couverture en télécommunications à Tipasa compte 784 kiosques multiservices avec 3.751 lignes téléphoniques, plus de 500 publiphones et 35 cybercafés.
Du côté de la téléphonie mobile également de gros investissements ont été consentis par l’opérateur historique Mobilis qui y compte 70 stations de base, 02 agences commerciales pour une densité téléphonique de 21,94% couvrant 141.000 clients «arrachés» à la concurrence.

Source El Moudjahid

Le Pèlerin

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:45

Le premier ministre français l’a annoncé hier

Une fondation pour les harkis
La « fondation pour la mémoire de la Guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie » sera créée en 2008, a annoncé hier le Premier ministre, François Fillon, lors de la cérémonie nationale d’hommage aux harkis.
 « Nous avons besoin d’une réconciliation sincère des mémoires, d’un apaisement véritable des esprits et des cœurs », a déclaré M. Fillon lors de la cérémonie dans la cour d’honneur des Invalides. Le Premier ministre a souhaité un « juste hommage » de la France aux harkis, « qui doit rejaillir sur leurs enfants et leurs petits-enfants ». « Trop longtemps la France a baissé les bras devant l’obligation contractée à l’égard des harkis. De son impuissance, elle a fait un abandon », a-t-il dit. La création de cette fondation était prévue par l’article 3 de loi du 23 février 2005 portant « reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés ». Tout comme l’article 4 de la loi du 23 février 2005, l’article 3 de la même loi est le résultat d’un lobbying très actif des nostalgiques de l’Algérie française. Les historiens auxquels se sont joints des associations comme la ligue des droits de l’homme, le MRAP, Harkis et Droits de l’homme, l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS (l’Anpromevo) qui regroupe les familles et les amis des civils et des militaires, français et algériens, assassinés par cette organisation, et d’autres associations n’ont eu de cesse de mettre en garde contre le dévoiement, la sélection et l’instrumentalisation des mémoires. « Cette institution échappera aux historiens pour être placée sous l’influence de lobbies mémoriels et d’associations nostalgiques de l’Algérie française, mesure contre laquelle de nombreux chercheurs et citoyens se sont pourtant déjà mobilisés. La loi étant votée, il suffira d’un simple décret au nouveau président de la République pour que cette institution existe », écrivait l’historien Claude Liauzu, un des plus grands spécialistes de la colonisation, (disparu le 23 mai 2007) dans un article publié à titre posthume par Le Monde diplomatique en juillet 2007. Feu Claude Liauzu ne croyait pas si bien dire, le Premier ministre vient d’annoncer l’ouverture de cette fondation pour 2008. Le même historien écrivait dans les colonnes d’El Watan quelques jours avant sa mort dans un article « L’histoire de la colonisation otage des présidentielles : et ensuite ? » qu’« il est temps d’en finir avec les manichéismes affrontés ! » Dans une lettre adressée le 16 avril 2007 au président du Comité de liaison des associations nationales de rapatriés, le futur chef de l’Etat français souhaitait que « les victimes françaises innocentes de cette guerre, jusqu’à l’indépendance, et tout particulièrement les victimes du 26 mars 1962, se voient reconnaître la qualité de ‘’morts pour la France’’ et que leurs noms figurent sur une stèle officielle afin que personne n’oublie ces épisodes douloureux ». Qu’en est-il des victimes de l’OAS, comme les instituteurs des centres sociaux Max Marchand, Mouloud Feraoun, Ould Aoudia et leurs compagnons, assassinés le 15 mars 1962 ? Pourquoi ce tri des mémoires ? Y a-t-il pour le pouvoir politique français de bonnes et de mauvaises victimes ? « Déclarer ‘’morts pour la France’’ les participants à une manifestation interdite par les autorités civiles et militaires - celle du 26 mars 1962, rue d’Isly, à Alger -, manifestation insurrectionnelle à l’appel de l’OAS, reviendrait à justifier cette organisation terroriste qui a tenté d’abattre la République, et contribué par son action criminelle au départ de la majorité des pieds-noirs », estimait la ligue des droits de l’homme, en réaction aux propos du candidat Sarkozy. « Il est arrogant de passer sous silence les autres victimes, qu’elles soient françaises ou algériennes, et notamment les 2400 victimes civiles et militaires attribuées à l’OAS » ; « revenir à la vision unilatérale et partiale de la Guerre d’Algérie… est une façon de réécrire l’histoire de notre pays, pour complaire à une poignée de nostalgiques et d’affirmer un réel mépris à l’égard de toutes les autres mémoires ». Dans le sillage de la « fondation pour la mémoire de la Guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie », trois projets de musées, consacrés à la réhabilitation de l’entreprise coloniale en Algérie, ont été lancés dans le Sud par des élus et des associations pieds-noires d’extrême droite dont le Cercle algérianiste. A Perpignan, ce sera un Centre de la France en Algérie. A Montpellier, un Musée de l’histoire de la France en Algérie. Et à Marseille, un Mémorial national de la France d’outre-mer. Le 25 novembre prochain, à l’occasion du congrès annuel des Cercles algérianistes qui se tiendra à Perpignan, la municipalité inaugurera un « Mur des disparus ». La fondation pour la mémoire telle qu’elle est envisagée par le pouvoir politique ne plaide pas pour l’apaisement, l’équité et la réconciliation des mémoires françaises, encore moins entre les mémoires française et algérienne, du fait que la démarche retenue par le gouvernement de François Fillon, suivant en cela les orientations du président Sarkozy formulées pendant la campagne électorale, est plus dictée par un parti pris politique que par un souci de vérité historique. Ce dernier travail est du reste du ressort des historiens dont c’est le métier et non du pouvoir politique ou d’un quelconque lobby.
 
Source El Watan 
Le Pèlerin
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:43

Toulouse – 90 km/h toute l’année sur la rocade

 
La limitation à 90 km/h pour les véhicules et à 80 km/h pour les poids lourds sur la rocade va être maintenue. Introduit une première fois au cours de l'été 2006 et reconduit cet été à titre expérimental, le dispositif de réduction de la vitesse devait se terminer le 4 octobre pour repasser à 110 km/h. Réuni hier matin, le comité de pilotage du plan de protection de l'atmosphère a voté la pérennité de la mesure à l'unanimité des voix. « C'est un premier pas pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et les maladies respiratoires. Tout doit maintenant être mis en oeuvre pour favoriser le développement des transports en commun », a expliqué Rose Frayssinet, vice-présidente des Amis de la Terre de Midi-Pyrénées, association membre du comité du pilotage. « C'est intéressant de voir ce qui va se passer cet hiver car la limitation a toujours été appliquée en été, où les conditions atmosphériques sont favorables et la circulation moindre », rajoute son président, Alain Ciekanski.
Durant les mois de juillet et août 2007, une diminution de 10 % d'émission de gaz à effet de serre, soit 4 500 tonnes de CO2 non rejetées, a été observée par le service comptage trafic de la DDE. « Au-delà de l'aspect environnemental, cette mesure permet de faire baisser le nombre d'accidents », précise Jean-François Carenco, le préfet de Haute-Garonne. Aux mois de juillet et août, 14 accidents corporels ont été constatés sur la rocade, contre 19 en 2006. Les accidents matériels ont, eux, baissé de 21 % entre 2005 et 2007. 
Source 20minutes.fr
 
Le Pèlerin
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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 23:50
Dans le bain avec les échangistes
 
Misant sur la pénombre pour voiler nos derniers vestiges de pudeur, nous voici dans le grand jacuzzi des Bains de Saint-Aubin. «'Soir, m'sieurs dames… » L'eau est bonne et bouillonne dru.
Massés par les remous, couples et célibataires disséminés tout autour du bassin donnent corps à l'affirmation de Serge Spica, le discret et charmant patron des lieux : « Le grand jacuzzi, c'est le lieu de rencontres des Bains. » Voir et être vu. Mater et s'exhiber sont ici les mamelles de la jouissance.
Objet de toutes les mâles attentions, ma camarade de trempette oscille entre amusement et frisson inquiet : « Je me sens comme un petit poisson dans une mare aux crocodiles… »
« Un Homme s'approche : Elle est Libre votre amie ? »
Anthony, un commercial de 47 ans, tente sa chance : « Elle est libre, votre amie ? » Je crains que non, Anthony. « Ah ! Dommage… » Les clubs échangistes, Anthony dit y avoir laissé la peau de son couple : « Quand j'ai dit à ma femme que je fréquentais ce genre d'endroits - elle ne le savait pas - elle n'a pas supporté. » Il a bien tenté de se désintoxiquer, Anthony, mais que voulez-vous… « Je suis sex-addict, confesse-t-il. C'est comme le tabac : on arrête mais c'est difficile d'éviter les rechutes ».
Retour au premier étage après une petite exploration de ces lieux baignés de langueur orientale. Personne dans la « black-room » qui, comme son nom l'indique, ne dispose d'aucune source de lumière. Pas plus que dans la petite cellule pour qui trouve que se faire mal fait du bien dans laquelle une paire de menottes rivées au mur de pierre attend preneur. Ni même dans cette salle à la curieuse cloison à trous permettant une parfaite observation des coïts, voire d'y glisser un sexe masculin.
En peignoir, comme il se doit dans ce temple de la luxure plutôt raffiné où Serge veille à la bonne tenue autant qu'à l'hygiène des convives, c'est donc dans le moelleux des sofas du coin salon-buffet que les libertins s'affalent après l'effort. Sandrine, assistante maternelle de 33 ans, et Patrick, conseiller principal d'éducation de 38 ans, fréquentent les Bains assidûment. Ce couple de Tournefeuille dit y trouver « respect et liberté ». Sandrine apprécie peu les « soirées couples » : « À peine le temps de s'asseoir qu'on a déjà pris une main aux fesses. » En revanche, elle assouvit aux Bains son fantasme favori : observer son homme faire l'amour avec d'autres qu'elle. « Il est libre de choisir qui il veut. Moi ? Je ne vais jamais jusqu'à la pénétration, ça ne m'apporte rien. Sauf si je l'ai vraiment décidé… » Eh oui ! Dans les clubs échangistes, la clé de la réussite se situe dans la culotte des femmes. « Tout tourne autour d'elles, confirme Serge Spica. Quand les femmes sont satisfaites elles reviennent ». Dans le cas contraire, c'est Anthony qui va faire la gueule…
 
Source La Dépêche du Midi
 
Le Pèlerin
 
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