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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 00:21

Ariège - Mobilisation contre le parc éolien - un projet pris entre le chaud et... le froid  

 

Le dossier des éoliennes à l'est du département revient de temps à autre, au gré du vent… On le sait, il existe une volonté, exprimée par la société 3 V Développement, d'installer un parc éolien à l'ouest de Mirepoix, quelque part là où le vent sera le plus favorable entre Coutens, Vivies et Tourtrol. Un mat de mesures a été installé à Coutens et selon Alain Delrieu, responsable de V développement, le résultat est « relativement correct, encourageant et nous incite à poursuivre. » L'association de défense des collines du Pic d'Estelle a réuni une quarantaine de personnes à Manses, pour faire le point sur le projet de zone de développement éolien (ZDE), procédure en cours instruite sous le contrôle de la préfecture et sur la base d'un dossier communiqué par la société Hydro-M de Toulouse. Une association qui ne milite pas en faveur de ce projet et critique un dossier « qui semble davantage avoir été fait pour entraîner l'adhésion des maires que pour justifier scientifiquement le projet » indiquent ses représentants. Les arguments opposables à cette ambition ont été repris lors de cette réunion au cours de laquelle sont intervenus deux conférenciers Jean-Luc Mathieu et Claude Cambus. Selon eux, ce projet ne bénéficierait pas du vent nécessaire, et représenterait un investissement trop lourd à cet égard, « plombant » EDF obligée de racheter l'électricité produite à un prix trop élevé. « On verse une rente à des investisseurs, payée par les clients d'EDF dont les tarifs augmentent en conséquence » expliquent les conférenciers.

Eoliennes, pour ou contre..

Dégradation des paysages, machines importées (la France est à la traîne dans la fabrication) qui mettent à mal notre balance des paiements, voila pour conclure les arguments mis en avant lors de cette conférence où les intervenants ont préféré plaider pour les économies d'énergie, le développement du solaire et de la filière bois « importante en Ariège ». Les participants (ceux qui sont contre, car il y avait quelques « pro-éoliens » à la réunion) ont pu signer une pétition qui sera expédiée au préfet.

 

Ce projet a reçu l'aval, en tout cas pour l'étude, des communes de Coutens, Viviès et Tourtrol. Les conseils municipaux ont délibéré sur la question, comme ont été appelés à le faire ceux des communes voisines. Certaines ont voté contre, d'autres ont émis un avis plus nuancé, comme Manses ou Mirepoix, mettant en avant un « dossier trop incomplet pour pouvoir trancher » ainsi que l'exprimait Simone Verdier, maire de Manses.

 

Cette affaire n'en est qu'à ses débuts. Le promoteur, Alain Durieu, est toutefois encouragé par l'aérologie, même si les éoliennes ne peuvent être installées dans ce cas que parallèlement à la direction du vent. Soit une machine tous les 500 mètres pour être conforme à la législation. Ce qui n'est pas la meilleure opportunité… Et pour l'heure il ignore quel sera le site idéal.

 

Source: La Dépêche du Midi; information relayée par:

 

Le Pèlerin

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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 00:00

Un projet pharaonique 

 

King Abdullah Economic City (KAEC)

 

 

 

 

Lancé en décembre 2005 par le roi Abdullah bin Abdul Aziz al Saud, ce projet pharaonique qui porte son  nom, était destiné dès l'origine à être entièrement financé par des investisseurs privés. C'est au sud de Rabigh, carrefour tant international que régional (à proximité de Médine, La Mecque, Djeddah et Yanbu), que sera construite la future ville.
Avec ses 168 millions de m², KAEC sera la plus grande cité économique du royaume et du Moyen-Orient et devrait créer 1 million d'emplois. Les premiers habitants devraient être accueillis en 2009.

Les acteurs du projet :


Le projet est géré par la SAGIA, société nationale d'investissement saoudien.
Le contrat de 26,6 milliards de dollars a été octroyé à la société immobilière dubaïote EMAAR Properties.

Les différentes zones de KAEC :


- Le port : capacité de 10 millions de conteneurs par an ; transit attendu de 500 000 pèlerins par an
- La zone industrielle : agroalimentaire, matériaux de construction, santé, pétrochimie...
- La zone touristique : hôtels, club équestre, terrain de golf, sports nautiques...
- Le quartier d'affaires : centre financier de 14 hectares, avec 2 tours de 60 à 100 étages
- La zone d'éducation : universités, campus, écoles, centres de recherches et de développement
- La zone résidentielle : centre-ville, port de plaisance et île artificielle 

Source l4Internaute; information relayée par:

 

 

Le Pèlerin

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 10:25

Un test sanguin pour prévenir une attaque cardiaque  

 

Un simple test sanguin pourrait prévoir avec une forte probabilité le risque de crise cardiaque, d'attaque cérébrale et de décès chez les patients souffrant de maladie cardiovasculaire.

Cette recherche conduite sur 987 hommes et femmes ayant une maladie coronarienne stabilisée révèle que plus le niveau sanguin de la protéine NT-proBNP est élevé plus les risques de décès, d'attaque cardiaque ou cérébrale sont grands.

«Après avoir pris en compte tous les autres facteurs de risque, il est clair que ce marqueur sanguin détecte quelque chose que nous ne pouvons pas voir avec d'autres méthodes telles l'échocardiographie», indique le docteur Mary Whooley, la directrice du projet qui est basée au San Francisco Medical Center, en Californie.

La protéine NT-proBNP est un marqueur sanguin de l'hormone BNP, dont la concentration augmente lors d'une attaque cardiaque ou de stress. Quand les parois cardiaques se gonflent excessivement en raison d'un trop grand volume de sang ou sont endommagées par un flux sanguin insuffisant, l'hormone BNP augmente et avec elle la protéine NT-proBNP.»

Les résultats étaient publiés hier dans le Journal of the American Medical Association.

Le test est surtout efficace pour prédire des changements chez les gens déjà malades.

 

 

 

 

 

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 08:24

Midem 2007: les maisons de disques annoncent une contre-attaque anti-P2P

 

 

 

L'industrie musicale a fait part de son intention d'attaquer les « opérateurs techniques du P2P » tout en maintenant la pression sur les internautes pirates.

 

 

Les producteurs en parlaient déjà dix jours avant le Midem, le Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) l'a confirmé lors d'une conférence de presse lundi matin sur place, à Cannes : oui, les actions contre les pirates de musique vont continuer. Contre les particuliers, mais surtout contre les « opérateurs techniques », c'est-à-dire les fournisseurs de solutions, logiciels de peer to peer en tête, permettant de mettre en circulation illégalement des fichiers musicaux protégés par le droit d'auteur. Sur les cibles et les moyens d'action, le Snep reste flou. Il ne dit pas, par exemple, comment il va s'y prendre pour épingler les auteurs de logiciels de P2P, bien souvent organisés en communautés sur Internet et non pas en sociétés commerciales.

 

Le Snep s'appuie sur la loi droit d'auteur et droits voisins votée et entrée en vigueur a l'été 2006. « Les internautes ne peuvent pas et ne doivent pas être les seuls » à être en ligne de mire, a estimé Christophe Lameignère, président du Snep et de Sony BMG France. Car la filière du disque en France doit toujours faire avec un contexte difficile où le peer to peer continue de grever les chiffres de ventes, selon le bilan de l'année 2006 présenté par le syndicat. Le nombre d'albums vendus en magasins a baissé de 16 % entre 2005 et 2006, les ventes de singles de 30 % et, en valeur, le marché est passé de 1 459 à 1 287 millions d'euros, soit 11,8 % de moins en un an.

 

Dans le même temps, les ventes dématérialisées sur Internet se sont accrues. Le chiffre d'affaires a en effet augmenté de 44,6 % et le nombre d'albums téléchargés sur les boutiques en ligne a fait un bond de 57 % (hors téléphonie mobile). Et cela ne représente que 1,1 million d'albums. Bien trop peu pour compenser les pertes sur le marché du CD.

 

Le Gouvernement interpellé sur la TVA et sur les DRM

 

Le Snep a tenu aussi à faire passer quelques messages aux pouvoirs publics. Il demande d'abord un moratoire sur l'application de la TVA à 19,6 % sur les ventes de fichiers musicaux, pour aider le marché à décoller. L'idée étant qu'à terme cette TVA soit définitivement ramenée à 5,5 %. C'est-à-dire ce que la filière n'arrive toujours pas à obtenir pour le CD. Son autre réclamation concerne l'Autorité de régulation des mesures techniques de protection (les DRM), que crée la loi sur le droit d'auteur et les droits voisins pour arbitrer de futurs litiges concernant ces systèmes placés sur les fichiers et sur les CD pour limiter leur copie.

 

Les décrets d'application ne sont toujours pas parus depuis la publication de la loi au Journal officiel en août 2006. Ce qui, de fait, empêche cette autorité non seulement de fonctionner mais également d'exister, tout simplement. Et le sujet devient pressant puisque, cela n'a échappé à personne cette année, les DRM font l'objet de vifs débats et d'une nette remise en question. La voix de ceux qui appellent à leur suppression se faisant de plus en plus entendre.

 

« Aucune piste n'est à négliger, a commenté Christophe Lameignère, mais celle-ci est extrêmement dangereuse et glissante. Il n'est pas question aujourd'hui d'y revenir, il est trop tôt. » Les producteurs veulent d'abord voir quel impact sur les ventes auront les initiatives récentes de VirginMega et de Fnac music, consistant à proposer respectivement 200 000 et 150 000 fichiers en MP3 et sans DRM issus des catalogues de labels indépendants.

 

« S'il n'y a plus de DRM, il faut trouver autre chose pour protéger les fichiers, a précisé Jean-François Cecillon, PDG d'EMI Music France. Car dans ce débat, il y a deux choses différentes : la protection des fichiers et l'interopérabilité. » C'est cette dernière qui poserait surtout problème. Sauf que, de fait, techniquement, les deux choses sont bien souvent liées.

 

 

 

Source 01.Net; information relayée par:

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 00:56

La construction de l’Etat de droit
L’Algérie des réformes avance à grands pas 

 

L’Algérie d’aujourd’hui est bien celle des réformes.
Institutionnelles, politiques, économiques et financières, sociales aussi. Elles permettent à la société algérienne de se placer dans la trajectoire d’une ouverture qui s’avère présentement seule créatrice de richesse.

 

L’économie en transition bénéficie d’une politique de remise en ordre, puis de perspectives en faveur du développement qui scellent l’orientation nouvelle en faveur du marché. Sur les recommandations du gouvernement, planificateurs et prévisionnistes, décideurs, ont mis en place une politique de développement qui cherche à exploiter ressources naturelles et ressources humaines, promouvoir une politique de partenariat pour un partage équitable des bénéfices ainsi engrangés.
Le projet de stratégie industrielle actuellement en cours de discussion à haut niveau s’inspire fortement de ces préalables. Le gouvernement est bien conscient que pareille stratégie ne peut avoir de chance de réussir que si par ailleurs le système financier et bancaire, fiscal aussi, suit. C’est là le sens de la réforme actuellement en cours qui concerne une tranche de l’activité économique essentielle et primordiale à la fois et qui paradoxalement est restée à la traîne des décennies durant.
Sous l’impulsion du Président de la République s’adressant directement aux banquiers, cette réforme a subi ces derniers mois une accélération certaine. Le système financier et bancaire est sorti d’un ghetto dans lequel ont voulu l’enfermer une bureaucratie brouillonne et tentaculaire, ainsi que des intérêts occultes. C’est en toute transparence que sont donc menées les réformes dans le secteur, avec la volonté d’en finir avec les anachronismes du passé. Sur le plan politique et institutionnel, les avancées sont tout aussi notoires ces cinq dernières années où l’Algérie a gagné sur le terrain démocratique, celui des libertés publiques, celui aussi d’une société plus ouverte, plurielle, avec pour ligne de mire le débat contradictoire. Le pays a enfin compris après des décennies, que là se trouvait le salut national. Faire en sorte que l’ensemble de la société, de la communauté citoyenne soit impliqué dans la discussion autour des grandes questions nationales, ce credo a été longuement défendu par le Chef de l’Etat, et s’impose aujourd’hui à tous. La société algérienne ne s’en porte que mieux.
Après avoir traversé les dures années que l’on sait où la violence politique et terroriste tenait lieu de seul levier, et seul langage, le pays, revenu à la stabilité et à la paix, a misé sur le rassemblement à travers la réconciliation nationale et la concorde.
En la matière, le Chef de l’Etat a été de toutes les luttes, menant, à certaines périodes, le combat en solitaire, convaincu que c’était là la seule porte de sortie de crise pour le pays. L’avenir lui a donné raison.
Cela permet à la nation de revenir à des ambitions qui ont été brutalement freinées, misant toutes sur la promotion économique, sociale, culturelle aussi, le débat politique qui cultive la différence.
L’Algérie est en train de réussir son pari, réussite attestée par nos partenaires politiques et économiques, pour une population qui adhère à une communauté de destin fondant son itinéraire sur la solidarité. Sur une telle problématique, le Chef de l’Etat est d’une grande intransigeance. Parfaire le modèle politico-social actuellement en chantier devrait épargner au pays de nouvelles épreuves bien sûr et de nouvelles tragédies mais surtout faire en sorte que les générations qui viennent puissent tirer bénéfice d’un effort exceptionnel qui aura été fait par leurs aînés pour leur livrer une Algérie dotée de toutes ses ressources et de toutes ses richesses. Telle est la conviction profonde du Chef de l’Etat.

 

 

 

Source El Moudjahid; information relayée par:

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

 

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 00:02

Rions ensemble - c' est scientifique

Genèse:

 

 

Le nouveau papa entre dans la chambre de la jeune maman qui vient d'accoucher :  

L'enfant dans le berceau est tout... Noir.  

Devant la mine interloquée de son mari, la maman s'explique :  

- Mon amour, Je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant est noir. Tu sais que quand j'étais petite, mon père travaillait en Côte-d'Ivoire comme coopérant à Grand-Bassam, et ma mère avait choisi une nourrice noire Lili. Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir. 

- Ah bon ? C'est pour ça ?  

-   Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l'enfant à sa propre maman.  

-  Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu'il te ressemble ?  

-   Je suis l'homme le plus heureux de la terre, mais bon, il est juste heu... Hum, bon à vrai dire, il est noir... Mais j'ai l'explication...  

-   Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d'Ivoire comme coopérant, et sa mère son sang et voilà pourquoi notre enfant est noir. 

-  Ah oui, je comprends. C'est comme pour toi quand tu étais bébé, je t'ai nourri au lait de vache, les gènes ont du passer dans ton sang et c'est pour ça que tu as des cornes !.

Gros con !

-  De la part d’une Correspondante, blaguounette relayée par :   

 

Le Pèlerin

 

 

 

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 00:00

Les métiers qui vont recruter en 2015 

 

Bonjour, la division du travail s'internationalise de plus en plus, ce qui fait qu'il ne restera plus que les services dans les pays de l'OCDE ou tout au moins les services publiques.  
Selon une étude du Centre d’analyse stratégique et de la Dares, qui paraît mercredi 3 janvier, une quinzaine de métiers concentreront la moitié des emplois à pourvoir d’ici 2015, essentiellement dans le domaine des services. 

La France poursuit sa tertiarisation, ce qui ne garantit pas néanmoins que le chômage baissera à long terme
Quels secteurs vont recruter le plus en 2015 ? Selon une étude du Centre d’analyse stratégique (ex-commissariat au Plan) et de la Dares (ministère de l’Emploi), qui paraît mercredi 3 janvier, une quinzaine de métiers concentreront la moitié des emplois à pourvoir d’ici 2015, essentiellement dans le domaine des services. Les deux organismes, poursuivant des travaux entrepris en 2005 sur la configuration du marché du travail en 2015, ont examiné en détail une vingtaine d’entre eux (des métiers de l’agriculture à ceux des services aux particuliers) sous l’angle de la demande de travail (combien de personnes vont partir en retraite dans ces métiers? comment va évoluer l’emploi dans les secteurs concernés?), mais aussi de l’offre (quel est le profil des personnes qui sont actuellement dans ces métiers?). 


Essor du tertiaire

Le rapport fait en particulier un zoom sur les métiers de l’aide et des soins aux personnes fragiles, et explique les enjeux économiques et sociaux du développement et de la professionnalisation de ces emplois. Il ressort que l’économie française va poursuivre sa tertiarisation et les emplois de service vont se développer, particulièrement dans cinq domaines : les services aux particuliers (400 000 créations d’emplois prévues), la santé et l'action sociale (308 000), les transports et la logistique (225 000), les métiers administratifs (197 000), le commerce et la vente (194 000).
Cet essor du secteur tertiaire va s’accompagner d’une demande accrue de cadres et d’emplois peu qualifiés dans les services (employés de maison, agents d’entretien). Les assistants maternels et les aides à domicile seront les plus demandés avec 211 000 postes à pourvoir d’ici 2015, pour répondre à des besoins grandissants comme l'aide aux personnes dépendantes ou insuffisamment satisfaits comme la garde d'enfants.
La France aura également besoin de davantage d'aides-soignants (149 000) et d'infirmières (78 000) dans les établissements d'hébergement mais aussi à domicile. Parallèlement, pour satisfaire notamment les besoins croissants d'expertises, études de marchés, audits ou conseils juridiques, les recrutements d'informaticiens vont augmenter (149 000), de cadres administratifs (131 000) ou encore de cadres commerciaux (97 000). Avec la multiplication des échanges de marchandises due à la mondialisation, les postes à pourvoir seront aussi plus nombreux dans le transport et la logistique (conducteurs de véhicule, ouvriers qualifiés de la manutention).

Déclin de l'agriculture et du petit commerce

En revanche, certains métiers devraient continuer à décliner d'ici 2015, dans l'industrie mécanique notamment, mais aussi dans l'agriculture, le petit commerce et l'artisanat. Dans dix ans, la France comptera moins de secrétaires (-84 000), moins d'ouvriers non qualifiés de la mécanique, du textile et du cuir (-41 000), moins d'agriculteurs (-47 000), moins de maraîchers et de jardiniers (-56 000), moins de patrons de café, d'hôtel ou de restaurant (-25 000) mais aussi moins de bouchers, de charcutiers et de boulangers (-14 000).
Enfin, conclut l’étude, les départs massifs à la retraite des "papy-boomers" ne feront pas baisser mécaniquement le chômage français à moyen ou long terme si rien n'est fait pour amener les entreprises à changer leurs habitudes de recrutement. Le risque demeure de voir coexister un chômage de masse, notamment parmi les hommes peu diplômés, et des difficultés de recrutement dans certains métiers, comme l'aide à domicile, ou certains bassins d'emploi

Source l’Express, 3 janvier 2006,information relayée par 

 

Le Pèlerin
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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 00:39

Gigantesque découverte d’or à Tamanrasset  

 

Je ne vous avais pas dit la raison réelle pour laquelle je me rends à Tamanrasset….Il y a de l’or là-bas… !!!!  

 

Selon les estimations d’un opérateur australien, le gisement d’Amesmessa pourrait produire entre 200 000 et 300 000 onces d’or par an dans les 3 à 5 années à venir.

“Durant toute ma carrière, je n’ai jamais vu un gisement aussi prometteur que celui d’Amesmessa. C’est une chance que l’on a qu’une seule fois dans la vie.” C’est ainsi que Doug Perkins, P-DG de Gold Mines of Algeria (GMA), le consortium australien associé de Sonatrach dans l’exploration aurifère au sud du pays, a qualifié les premiers résultats des recherches effectuées par les deux entreprises dans la région d’Amesmessa, située à 460 km à l’ouest de Tamanrasset.
L’ampleur de la découverte semble avoir surpris les services chargés de l’exploration de ce périmètre, comme le démontrent les propos du patron de la compagnie.
En effet, dans un entretien accordé à l’agence Reuters, le premier responsable de GMA a estimé que les efforts d’exploration effectués au cours de ces dernières années dans ce gisement d’or ont donné des résultats “très prometteurs pour l’Algérie”.
L’opérateur australien est détenteur avec Sonatrach de la joint-venture Enor, d’une licence d’exploration et de développement du bloc en question. Doug Perkins, qui n’a pas été avare de détails sur ce projet où son entreprise détient 52% du capital, a affirmé qu’il s’agit là “probablement du plus grand gisement d’or en Afrique en dehors du Congo”. Selon les estimations de l’opérateur australien, le gisement pourrait produire entre 200 000 et 300 000 onces d’or par an dans les 3 à 5 années à venir. La production attendue du gisement est estimée à environ 8 000 onces par mois, ce qui permettra d’atteindre un total de production de 100 000 onces par an, toujours d’après les prévisions de l’associé de Sonatrach.
D’autres travaux exploratoires en cours sur les périmètres aurifères les plus prometteurs, devraient permettre de doubler ou même de tripler la production dans les quelques années à venir. Au prix actuel de l’or sur les bourses mondiales, qui cumulent autour de 600 dollars l’once, le développement d’autres gisements dans la région est nettement envisageable à court terme, estime le patron de GMA. Les premiers lingots d’or du gisement d’Amesmessa seront produits au cours du 2e trimestre de l’année en cours.
Pour rappel, en plus du gisement d’Amessmessa, GMA et Sonatrach ont acquis des licences pour l’exploration d’or sur les périmètres de Tirek et Zita, dans la même zone. La région de l’Ahaggar recèle d’importants gisements d’or notamment, mais jusqu’ici, les travaux d’extraction ont tardé à commencer en raison des difficultés liées aux coûts induits par l’exploitation et le traitement du produit minier.
Les principaux gisements sont, bien évidemment, Amessmessa, où les réserves géologiques sont de l’ordre de 3,38 millions de tonnes avec une teneur moyenne de 18 g/t, Tirek, situé à 400 km de Tamanrasset, avec des réserves géologiques de l’ordre de 730 000 tonnes avec une teneur moyenne de 18 g/t, Tiririne, situé à 450 km à l’est de Tamanrasset qui dispose de réserves de l’ordre de 481 100 tonnes avec une teneur moyenne de 17 g/t et, enfin, In Abegui où les réserves sont évaluées à 2 807 000 tonnes avec une teneur de 3,59 g/t. D’autres opérateurs étrangers, à limage des Chinois, s’intéressent de près à ces gisements. Certains d’entre eux ont été d’ailleurs sélectionnés pour engager les travaux d’exploration dans les périmètres choisis.
La société chinoise Travaux hydrauliques Shaolin s’est vu confier les travaux d’exploration et de mise en valeur des périmètres aurifères d’Isselfène Sud 1, Seldar et Iderksi situés dans l’Ahaggar, suite au résultat de l’appel d’offres lancé en juillet 2006. Cette dernière, qui détient une part de 53%, est associée avec Sonatrach (35%) et l’ORGM (14%).
Les estimations officielles indiquent que les réserves mises en évidence sont de l’ordre de 100 tonnes, alors que le potentiel global est évalué à plus de 200 tonnes. Selon le président-directeur général de l’Entreprise nationale de traitement et extraction de l’or (Enor), la production aurifère de l’Algérie devrait croître en 2007 pour atteindre 3,2 tonnes.
Les perspectives prometteuses du secteur aurifère algérien avaient, pour rappel, incité GMA à débourser 14 millions de dollars américains pour l’acquisition de 52% des parts de l'entreprise publique dont le reste du capital demeure en possession de la Sonatrach et l’ORGM.

 

Source Liberté; information relayée par:

 

Le Pèlerin

 

 

 

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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 00:06

 En Chine, l'environnement est aussi un business                       

 

 

Deux des cinq premières fortunes chinoises se sont construites dans les industries vertes. Pour améliorer l'état écologique du pays, le gouvernement prévoit 192 milliards de dollars de dépenses d'ici à 2010.

En passe de devenir le premier pollueur de la planète, la Chine a compris la nécessité de placer l'environnement au rang de ses priorités. Au-delà des gouvernants, les entrepreneurs ont aussi compris le potentiel de croissance que recelait le secteur et certains commencent à bâtir leur empire sur cette industrie verte. Sur les cinq premières fortunes de Chine, classées chaque année par le rapport Hurun, deux d'entre elles sont issues de secteurs liés à l'environnement. Celle de Zhang Yin, la femme la plus riche de Chine avec 3,4 milliards de dollars... et reine du papier recyclé. Son entreprise Nine Dragons a été introduite en Bourse cette année, levant 350 millions de dollars sur la place de Hongkong. Avec ses 15,5 milliards de yuans, Shi Zhengrong arrive, de son côté, en cinquième position, grâce à son entreprise d'équipements solaires, Suntech, cotée à New York en 2005. M. Shi fait partie de ces exilés revenus au pays qui ont bénéficié de l'aide du gouvernement pour démarrer leur entreprise. En 2001, fraîchement débarqué d'Australie, il bénéficie du soutien financier du gouvernement local de Wuxi, à deux heures de route de Shanghaï, pour créer son entreprise.

Chaque petite ville industrielle de province veut aujourd'hui faire bonne figure pour attirer toujours davantage d'investisseurs. Les classements de villes propres ou écologiques fleurissent et Pékin a mis en place un système de surveillance des performances environnementales des grandes agglomérations. Le gouvernement central distribue ensuite ses bons points en incitant les investisseurs à élire domicile dans les endroits les plus propres. Sur les 342 villes régulièrement auditées, un peu plus d'un tiers seulement remplissent les normes requises de qualité d'air pour les zones résidentielles. Du coup, les entreprises « vertes » ont le vent en poupe. Li Xinmin, directeur adjoint du département de contrôle de la pollution de l'Agence d'État pour la protection de l'environnement (SEPA), a même promis début décembre « des exonérations d'impôts et des prêts préférentiels pour motiver les entreprises respectueuses de l'environnement ».

Le gouvernement investit aussi directement pour soutenir la création d'entreprises propres. Pékin a prévu un budget de 162 milliards de dollars pour la protection de l'environnement entre 2006 et 2010. 20 milliards seront investis dans le traitement et la distribution des eaux. Selon la Commission d'État pour le développement et la réforme (NDRC), 192 milliards de dollars doivent aller d'ici à 2020 au développement des énergies renouvelables, via la construction de barrages hydroélectriques, de champs d'éoliennes ou encore d'usines au bio-carburant. Les objectifs du gouvernement sont clairs : 16 % des besoins énergétiques doivent être assurés par les énergies renouvelables en 2020, contre 7,5 % aujourd'hui. De son côté, la Banque mondiale et la Banque asiatique de développement viennent d'accorder des prêts de 750 millions de dollars destinés à des projets environnementaux.

Portées par cette conjoncture, les entreprises fleurissent dans le secteur de l'environnement. Selon un rapport publié par Shenyin & Waiguo Securities à Pékin, la Chine en compte 20 000, dont l'activité progresse de 15 % chaque année. Yan Renbao, vice-président de Huangying, s'est lancé dans le secteur l'an dernier. Venu du monde de la production de téléviseurs et d'équipements de cuisine, il s'intéresse aujourd'hui aux chauffe-eau à énergie solaire. Il ne cache pas son optimisme. Après avoir produit 30 000 pièces en 2005, la compagnie en a fabriqué environ 50 000 à la fin 2006. « À partir de cette année, le gouvernement va équiper les bureaux administratifs, les sociétés d'État, les écoles et les hôpitaux de chauffe-eau solaires, ce qui va aider nos ventes. (...) Nous comptons ensuite nous diversifier dans les piles solaires », explique M. Yan.

Les investisseurs se bousculent

les investisseurs étrangers s'intéressent aussi à ce secteur. Le China Venture Capital Research Institute, basé à Shenzhen, a sondé, en avril 2006, 126 fonds de capital-développement en Chine : un tiers d'entre eux estiment que le secteur des énergies renouvelables sera le plus prometteur dans les deux ans à venir, devant les biotechnologies et l'Internet. « Tous les investisseurs spécialisés dans le capital-développement en Chine parlent des énergies renouvelables, mais les entreprises qui valent le coup sont encore difficiles à trouver », expliquait ainsi Michael Kang, analyste, dans un entretien à la China Business Review. Ce que ne contrediront pas Goldman Sachs et Natexis Private Equity, qui ont doublé leur investissement de départ lorsque Suntech s'est introduit en Bourse à New York en 2005.

Source: Le Figaro , information relayée par :

 

 

 

 

 

Le Pèlerin

 

 

 

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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 00:00

Rions ensemble - Sexe, gorilles et migraine 

 

C'est un couple qui va au zoo.

Arrivés au niveau de la fosse aux gorilles, ils s'amusent de voir le gorille dominant exhiber une jolie érection.
Le gars : "Lucette, attends, on va se marrer... Relève un peu ta jupe !"
Lucette : "Rhoo mais non... Bon allez !"

La Lucette relève un poil sa jupe, le singe montre son intérêt.
Le gars : "Plus haut ! Vas-y qu'on rigole !"

Lucette monte sa jupe jusqu'aux cuisses, le gorille est franchement chaud !
Le gars: "Montre lui ton string !"

Lucette s'exécute, le gorille est fou furieux, les yeux injectés de sang. Là le gars attrape Lucette, la jette dans la fosse et crie :
"Maintenant, explique lui que t'as la migraine !"

 

 

 

 

 

Source Blagsland, blaguounette relayée par:

 

 

 

 

 

Le Pèlerin

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