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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 13:07

Rions ensemble - Chacun son tour !

 

Oussama Ben Laden meurt d'une crise cardiaque. Bien entendu, il se retrouve en enfer où le Diable l'attend avec impatience.
"Je ne sais pas ce que je vais faire de toi. Tu es bien sur mes listes, mais je n'ai plus une place de libre. Mais, bien sûr, il est évident que ta place est ici !"

Il réfléchit cinq minutes :
"Je sais ce que je vais faire. J'ai ici quelques Américains qui ne sont pas aussi méchants que toi. Je vais en envoyer un au paradis, et tu prendras sa place. Je vais te faire une fleur : tu pourras décider toi-même qui tu vas remplacer".

Oussama pense que ça ne commence pas trop mal, alors il accepte. Le Diable ouvre une première porte. A l'intérieur de la pièce, il y a Richard Nixon dans une piscine qui nage sans arrêt. Dès qu'il s'approche du bord, le bord recule et il continue à nager, nager encore et encore.
"Non, dit Ben Laden. Je suis mauvais nageur et je ne pense pas que je pourrais faire ça à longueur de journée".

Le Diable l'emmène dans une seconde pièce. George BUSH est là avec une énorme masse, et il casse un tas immense de cailloux.
"Non, dit Ben Laden. J'ai d'énormes problèmes de dos et ça serait une agonie perpétuelle si je devais casser des cailloux à longueur de journée"…

Le Diable ouvre une troisième porte. A l'intérieur, Bill Clinton est allongé sur un lit. Ses mains et ses pieds sont attachés aux barreaux. Penchée au-dessus de lui, Monica Lewinski lui fait ce pourquoi on la connaît. Oussama regarde cette scène incroyable pendant un moment et dit :
"Je prends cette option-là.
- C'est bien".
Alors le diable dit :
"Monica, sortez ! Vous avez un remplaçant" !

 

 

 

Source Seniorplanet ; blaguounette relayée par :

 

 

 

Le Pèlerin

 

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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 07:45

Prime gouvernementale pour employés sud-coréens chastes

 

SEOUL - Le gouvernement sud-coréen innove cette année en offrant des cadeaux ou une prime pour les salariés qui s'engagent à boycotter les maisons de tolérance en cette période de fêtes.

 

"Si vous promettez de faire preuve de sagesse en cette fin d'année et si vous passez ce message à vos collègues, nous vous donnerons énormément de cadeaux", annonce le ministère de la Parité sur son site internet.

 

L'administration propose également une indemnité financière aux entreprises dont les salariés auront promis de ne pas recourir aux amours tarifés à l'issue de la traditionnelle soirée de fin d'année, généralement très arrosée.

 

Le ministère distribuera aussi des places de cinéma gratuites ainsi qu'une somme équivalent à 1.000 dollars à l'entreprise qui aura réussi à faire participer le plus grand nombre de ses employés à cette campagne.

 

"Chez nous, la culture d'entreprise encourage le personnel à se saouler (lors de ce genre de soirées) et rend acceptable pour le personnel masculin le fait de payer pour faire l'amour, sorte de rituel de passage créant des liens", explique ainsi au journal Korea Times un responsable du ministère de la Parité.

 

Source Reuters; information relayée par:

 

Le Pèlerin

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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 00:11

Après la Dynamite, le prix Nobel, dont le plus prestigieux, celui de la Paix

Tout le monde connaît les prix Nobel, malheureusement peu médiatisés. Ainsi, on ne connaît guère les valeureux récipiendaires de cette prestigieuse cérémonie. On connaît le nom, mais connaît-on l'homme derrière Alfred Nobel est l'instigateur de ces prix tant convoités. Ce nom notoire est aussi relié à une invention plus meurtrière : la dynamite. Voyant l'ignorance au sujet de monsieur Dynamite (sobriquet bucolique adopté par les auteurs au cours de cet ouvrage), une laconique biographie incluant ses recherches et l'impact de celles-ci dans notre phalanstère vous sera présentée dans ce texte. De ses accomplissements résulte un legs irrécusable qui se doit d'être mentionné. 

Biographie 

Alfred Bernhard Nobel, de son vrai nom, a vu le jour le 21 octobre 1833 de notre ère à Stockholm, capitale de la Suède. Il est née d'un homme aux mille et un talents et d'une mère dont il fût impossible d'obtenir de l'information. Aîné d'une famille de garçons, il vécu une enfance sereine influencée par son père dont il était très proche et ce jusqu'à ce que la mort les eût séparés. En 1842, Alfred -père- obtint un travail comme ingénieur militaire pour le compte du gouvernement de Russie. Ce nouvel emploi l'emmena à déménager toute sa petite famille avec lui. Il y a ambiguïté au niveau scolaire : certains affirment qu'il reçut son bagage scientifique et littéraire par l'entremise de précepteurs russes et suédois qui se rendaient chez les Nobel pour instruire les chérubins. D'un autre côté, certains ouvrages biographiques infirment ces faits en proposant plutôt qu'il aurait étudié à Saint-Pétersbourg -en Russie-, en France, et bien sûr en Amérique. Cet imbroglio empêche donc de savoir avec précision si ce grand inventeur a fréquenté lui aussi les bancs d?école à l'intérieur de son adolescence. Néanmoins, des deux théories émerge un tronc commun attestant qu'Alfred était un érudit polyglotte. En effet, poussée par son géniteur, cette balance (de son signe astrologique) maîtrisa avec facilité un total de cinq (5) langues : suédois, français, anglais, russe et italien. En plus de la littérature, il se fait initier au merveilleux monde de la chimie et de la mécanique. À 20 ans, il a déjà deux (2) brevets à son actif ce qui, de façon très métaphorique, marquera l'exorde de l'engrenage. Le reliquat de son existence parsemé d'embûches fût allégrement rempli de rencontres de toutes sortes - l'éminent Victor Hugo faisait partie de son entourage- , d'inventions et d'une pléiade de brevets additionnels. La Grande Faucheuse vint lui ravir son âme à sa villa «Mio Nido» de San Remo en Italie, le 10 décembre 1896.

Ses Inventions 

Les deux (2) premiers brevets de monsieur Dynamite furent pour un compteur à eau et un compteur à gaz. En 1846, Ascanio Sobrero, chimiste italien, découvre la nitroglycérine (mélange huileux jaunâtre qui est plus puissant que tous les explosifs connus à cette époque). Malheureusement, cet explosif est très instable; dès qu'il est moindrement brassé, il explose immédiatement. Multitude d?explosions à travers le monde peuvent en témoigner: dans une usine en Allemagne, dans un bateau au large de Panama, à San Francisco, à New York et en Australie. Alfred ajoute un troisième brevet à sa collection en 1863 pour l'invention d'un détonateur au mercure qui facilitera le démarrage de la combustion. C'est avec leur esprit curieux et téméraire que l'aventure commence pour la famille Nobel : trouver un moyen de stabiliser la nitroglycérine pour en faire un usage industriel. Emil le plus jeune frère d'Alfred- est tué dans une explosion de nitroglycérine dans l'usine de Heleneborg le 3 septembre 1864 où quatre (4) autres hommes perdent la vie.

Le 19 septembre 1866 vient couronner les efforts de cette famille par la déposition du brevet de la dynamite (vient du grec dunamis et signifie « puissance ») - surnommée « poudre de sécurité Nobel » -. Celle-ci est formée par le contact de l'acide nitrique (HNO3) et de l'acide sulfurique (H2SO4) avec la glycérine (CH2OH-CHOH-CH2OH). Dans la dynamite, comme dans tout autre explosif, la molécule comprend des éléments combustibles et des éléments comburants : en d?autres termes, la dynamite est composée d?éléments qui brûlent et d?éléments qui font brûler. La notoriété de la dynamite est surtout due à l'époustouflante vitesse de propagation de sa détonation (7 km/s), ce qui est, de beaucoup, supérieur à celle des poudres explosives. Voici la formule chimique de la dynamite : (CH2-O-NO2) ? (CH-O-NO2) ? (CH2-O-NO2

Pour régler le problème de l'instabilité de la nitroglycérine, monsieur Nobel décida d'y ajouter un agent absorbant, le kieselguhr- qui est en fait une terre inerte. Ce produit immobilise 75 % de la masse totale de la dynamite, en évitant que le liquide ne s'écoule. Ce fut la base de ses recherches. Comme toutes choses, la dynamite est perfectible, avec le temps et les années, Nobel innovait à chaque fois en améliorant toujours ce qu'il venait de refaire. Il perfectionna la formule en remplaçant le matériau absorbant par tantôt de la farine de bois, tantôt du nitrate de sodium, du soufre ou du carbonate de calcium. Résultat : un amalgame d'explosifs plus puissants que les précédents. C'est pourquoi, en 1871, on retrouvait des usines Nobel dans presque tous les pays d?Europe et en Amérique. En 1875, il brevette un tout nouveau type de dynamites : les dynamites-gommes (ou dynamites gélatinisées). Ce qui rend spéciaux ces explosifs: le taux d'absorbance incroyablement élevé du produit utilisé pour fixer la nitroglycérine. Donc, en absorbant plus de liquide avec une moins grande quantité du produit, on peut ainsi augmenter le taux d'agent explosif. Ces véritables bombes sont, par conséquent, beaucoup plus puissantes qu'auparavant. Au total, Alfred Bernhard Nobel a breveté plus de 350 inventions, dont presque la totalité étaient liées à la dynamite et son perfectionnement, au cours de ses 63 ans d'existence.

Son legs à la société 

Un an avant sa mort, Nobel rédigea son testament holographe en suédois dans sa villa parisienne. C'est de cette manière qu'il créa les prix Nobel. Avec le souci de l?humaniste, il stipule avec précision ses désirs posthumes : « le capital placé en valeurs mobilières sûres par mes exécuteurs testamentaires constituera un fond dont les revenus seront distribués chaque année à titre de récompense aux personnes qui, au cours de l?année écoulée, auront rendu à l'humanité les plus grands services. Ces revenus seront divisés en cinq (5) parties égales.» (Citation tirée du testament de monsieur Alfred Nobel sur le site http://membres.lycos.fr/xjarnot/Chimistes/Alfred_Nobel.html#Le%20testament%20d'Alfred%20Nobel) La première est pour la découverte ou l'invention la plus importante en physique, en chimie, en médecine ou physiologie, ouvrage littéraire d'inspiration idéaliste et pour les actes pacifistes. Tous les prix sont remis par les académies ou instituts suédois respectifs à chaque sujet. Nobel spécifie aussi «que les prix soient décernés sans aucune considération de nationalité, de sorte qu'ils soient attribués aux plus dignes, Scandinaves ou non». (Citation tirée du testament de monsieur Alfred Nobel sur le site http://membres.lycos.fr/xjarnot/Chimistes/Alfred_Nobel.html#Le%20testament%20d'Alfred%20Nobel.) Avec ce discours, on perçoit aisément sa générosité d'âme et son amour pour la paix qui étaient visiblement des valeurs essentielles et omniprésentes en lui. Bien entendu, l'exécution de son testament ne se fit pas sans quelques heurts. En léguant tout son argent à sa Fondation, il ne fait aucun héritier et beaucoup de déçus. Du côté légal, il y a aussi eu bisbille : étant donné qu'Alfred avait fait son testament seul, sans notaire, son document n'avait pas de reconnaissance juridique; qui plus est, ayant vécu dans plusieurs pays, les autorités respectives ne s'entendaient pas sur le lieu de l'homologation. Finalement, la Suède fut choisie pour trancher les décisions concernant le testament de Nobel. Avec les conflits juridiques, les paperasses et les lenteurs administratives, les premiers prix Nobel ne furent distribués qu'en 1901, soit 5 ans après sa mort. En 1968, le prix Nobel des Sciences économiques fut ajouté. 

L'impact de ses réalisations sur la société 

Le nos jours, la dynamite gélatinisée est encore utilisée pour des travaux de toutes sortes : allant de la recherche de gisements pétroliers aux travaux sous-marins (grâce à sa grande capacité à résister à l'humidité) en passant par l'exploitation minière. Encore en pleine évolution, elle se métamorphose toujours au gré des différentes technologies et utilisations requises. Bien que moins employée que dans la fin des années 1800 et le début des années 1900, cette grande découverte reste toujours d'actualité. 

Malheureusement, cet instrument destructeur est, comme on s'en doute, tombé entre de méchantes mains qui en ont fait un usage dévastateur. Nous n'avons qu'à penser aux nombreux actes terroristes qui ont sévi dans plusieurs pays à travers le monde. Et comme les événements du onze (11) septembre 2001 en témoignent, des attentats engendrent plus souvent qu'autrement de sanguinaires guerres. 

Conclusion 

Alfred Nobel, d'origine suédoise, possède à son actif une logorrhéique liste de brevets, 350 en fait, dont presque la totalité provient de l'amélioration de sa plus importante invention : la dynamite. Malgré son besoin de solitude, il a toujours cherché à aider les autres, à améliorer leur qualité de vie, à récompenser l'effort fourni par les méritants, ce qui prouve son grand altruisme. Grand artisan de la paix, travailleur acharné et dévoué, il ne s'est pas laissé prendre dans le cercle vicieux de la richesse et de la cupidité. Le travail de sa vie lui donna le moyen, aussi immodéré soit-il, de remercier les autres travailleurs passionnés avec les prix Nobel qui sont maintenant des prix d'excellence depuis un (1) siècle. Avons-nous, dans notre société de consommation, déjà vu quelqu'un qui, malgré la fortune qu'il a réalisée, a tout donné pour aider les autres et non pour son simple bénéfice.

Source l'Internaute, information relayée par: 

Le Pèlerin

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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 00:06

La Dépression saisonnière'' ou «Blues» de l'Hiver 

 

Avec la fin des beaux jours, le phénomène de changement des saisons se traduit chez de nombreuses personnes par le symptôme bien connu de la Dépression saisonnière'' ou dépression hivernale. 

Cette dépression peut aller de l'humeur maussade à la dépression sévère, du simple état de fatigue physique, à la maladie caractérisée. 

Cette dépression peut se manifester de deux façons. D'abord sous une forme atténuée, appelée plus couramment 'blues de l'hiver''. (Médicalement, cette forme légère de la dépression est dénommée le subsyndrome SAD). Ce "blues de l'hiver'', même à un stade léger, peut affecter assez sérieusement la qualité de vie, d'autant qu'il est appelé à durer plusieurs mois. 

Mais la dépression hivernale peut aussi se manifester de façon beaucoup plus sévère, et là nous serons en présence du SAD. 

Le SAD est une véritable dépression. Ses symptômes sont les mêmes que ceux d'une dépression majeure :
 un besoin excessif de sommeil,
 des états de fatigue chronique,
 un manque général de dynamisme d'intérêt et de motivation,
 une prise de poids,
 un manque de concentration ... 

Pour reconnaître la dépression saisonnière, le diagnostic met en avant un point essentiel c'est son rythme récurrent. C'est à dire qu'elle apparaît régulièrement aux environs du mois d'octobre, puis que ses manifestations diminuent pour disparaître aux environs des mois de mars ou avril. De plus, et c'est le second critère, ce cycle dépressif, se répétera l'année suivante aux mêmes périodes. 

Qui est concerné par la Dépression saisonnière 

celui de 10% pour la population canadienne. Un grand nombre de personnes se plaignent durant les mois d'automne hiver de différents troubles relevant du SAD, mais dans des manifestations légères. 

On estime en général, qu'environ 10% à 20% de la population de notre pays serait concernée par le SAD, dans forme "légère''. C'est un phénomène de santé important. Selon une étude du National Health Institute, il concernerait 18.8 millions de personnes aux Etats-Unis. 

Le SAD est beaucoup plus préoccupant, quand il atteint le stade de la dépression sévère. Les statistiques, qu'il faut citer avec de grandes précautions, font ressortir généralement que cette forme du SAD concernerait environ 2% de notre population. On évoque assez régulièrement le chiffre de 3 % à 6 % de la population nordique, ou 

Les femmes 

Le SAD affecte très majoritairement les femmes. Les femmes sont trois à quatre fois plus nombreuses que les hommes à être affectées par le SAD. 

Pour la plupart des femmes, le SAD se manifeste immédiatement après l'âge de 20 ans et s'étend jusqu'à la quarantaine ou la cinquantaine. 

Les hommes 

Chez les hommes le phénomène se produit souvent un peu plus tard, c'est à dire juste avant ou juste après la trentaine. Le SAD semble également atteindre plus fréquemment les hommes que les femmes, au delà de 50 et 60 ans. 

Les personnes d'age mur 

Beaucoup de personnes n'ayant jamais été atteintes du SAD, en font souvent l'expérience à l'age mur. Une des raisons de cette survenance du SAD tient au fait que nos horloges biologiques tendent à se dérégler avec l'âge. Ceux qui sont atteints par le SAD dans leur âge mur constatent que leur horloge biologique s'accélère, les amenant à se sentir plus fatigués tôt dans l'après-midi, ou en début de soirée, à se réveiller souvent trop tôt etc.. 

Les enfants 

Le SAD affecterait les enfants, pratiquement dans la même proportion que les adultes. Toutefois, chez l'enfant, l'état dépressif est plus difficilement décelé. Si par exemple les résultats scolaires ont baissé, que l'enfant présente des difficultés de concentration ou à soutenir les rythmes scolaires, ses parents pourront penser que leur enfant devient paresseux, qu'il se ''laisse vivre', alors qu'il s'agit en fait d'une véritable maladie. 

Les personnes dépressives 

Le SAD atteint de façon encore plus importante ce que l'on pourrait appeler les dépressifs non saisonniers, c'est-à-dire les personnes victimes d'une dépression ordinaire. 

Les personnes atteintes de troubles dépressifs durant l'année seraient atteintes par le SAD, à l'arrivée de la période automne -hiver, trois à quatre fois plus que le reste de la population. Ceci aboutit dans leur cas à un enchevêtrement de symptômes dépressifs. 

source zestress.com, information relayée par 

Le Pèlerin

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25 décembre 2006 1 25 /12 /décembre /2006 00:59

De quoi sourire un peu :

 

 

 

Mise en situation

 

Le matin dans la salle de bains.
- Lui : Pourquoi tu mets un soutif? T'as rien!
- Elle : Tu mets bien des caleçons, non ?

 

 

 

La voyant dans sa tenue d'Eve.
- Lui : On tire un coup, vite fait?
- Elle : Quelle différence cela ferait par rapport aux autres
fois?

 

 

 

Ca continue dans la voiture sur le trajet du boulot.
- Lui : On essaye une position différente ce soir?
- Elle : Ouais, bonne idée! Tu te mets derrière la table à
repasser et je m'assieds sur le canapé devant la télé.

 

 

 

Il s'inquiète de l'attitude de sa femme.
- Lui : Pourquoi tu me dis jamais quand tu jouis ?
- Elle : Je le ferais bien mais tu ne veux pas que je
t'appelle au boulot...

 

Il s'inquiète de plus en plus.
- Lui : Moi tu sais, cinq centimètres de plus et je serais un roi.
- Elle : Oui et deux centimètres de moins tu serais une reine. 

 

 

 

Il décide de trancher net :
- Lui : Pourquoi tu restes avec moi
- Elle : Pour avoir un sujet de conversation au bureau

 

 

 

De la part d’une Correspondante, blaguounette relayée par

 

 

 

Le Pèlerin

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25 décembre 2006 1 25 /12 /décembre /2006 00:58

 

La France et l’Algérie entre repentance, excuses et oubli   

Mohammed Harbi, Benjamin Stora et Pascal Bruckner en débattent sur le dossier de la Guerre d’Algérie 

jeudi 23 novembre 2006, par notre partenaire Le Quotidien d’Oran  

Même quand elle n’est pas au cœur de l’actualité immédiate, la page ensanglantée des relations franco-algérienne s’y taille quelque espace. Quotidiennement, on en a l’illustration à la lecture des médias. Le week-end dernier, deux historiens, Mohammed Harbi et Benjamin Stora, et un philosophe, Pascal Bruckner, se sont livrés, par colonnes interposées, à un débat croisé et utile. 

Au menu de la discussion, des thèmes aussi brûlants que la repentance et l’inventaire des facettes tragiques du passé. Vif et polémique par endroits, l’échange entre trois figures très visibles dans l’espace intellectuel hexagonal, Mohammed Harbi, Benjamin Stora et Pascal Bruckner n’est pas dénué d’enseignements historiens. Il atteste, à l’évidence, que la page algérienne est appelée, jusqu’à nouvel ordre, à se conjuguer avec des lectures contrastées. Et s’inscrire dans d’éternelles remises en perspective. 

Stora et Bruckner croisent le verbe 

Le premier échange, au demeurant vigoureux, s’est affiché dans les colonnes du «Figaro». Pascal Bruckner, signataire de fraîche date de «la tyrannie de la pénitence» (1), et Benjamin Stora ont croisé le verbe sur l’oubli, la mémoire et l’histoire. Trois aspects sans cesse convoqués, au gré des refoulements périodiques du passé de la France: Vichy, la période coloniale et, son corollaire le plus sanglant, la guerre d’Algérie. Présenté comme un des moments forts de la dernière rentrée éditoriale, le livre de Pascal Bruckner est venu relancer le débat qui, autour de la loi du 23 février 2005, a tenu en haleine des pans entiers de la classe politique et de la communauté historienne. Le philosophe et essayiste s’émeut que la France, en creusant constamment sa mémoire, s’adonne à un «dolorisme d’enfant gâté». «Curieusement», s’irrite l’auteur au seuil de son essai, l’Europe en général et la France en particulier sont les théâtres d’une «situation de repentir à sens unique». La repentance, déplore-t-il, «n’est exigée que d’un seul camp, le nôtre, et jamais des autres cultures, des autres régimes qui se drapent dans leur pureté supposée pour mieux nous accuser». Dans les propos tenus par Bruckner au «Figaro, tout se passe comme si la France, au travers des successives lois mémorielles, « s’est faite le dépositaire de la vérité historique» et a soldé ses comptes avec le passé. D’où le plaidoyer de l’essayiste qui appelle l’Etat français à se départir du «syndrome soviétique» et cesser de regarder dans le rétroviseur du passé pour se braquer sur le présent et l’avenir. 

Benjamin Stora ne partage pas du tout ce point de vue. A ses yeux, le rapport de la France officielle au passé ne se décline pas de la même manière, selon qu’il s’agit de Vichy, de l’Algérie ou du génocide arménien, dernier chapitre en date à avoir cristallisé l’intérêt du législateur hexagonal. «Je ne crois pas, réplique le biographe de Messali Hadj, que l’Etat français ait effectivement reconnu sa responsabilité sur tous les grands thèmes historiques, et notamment son rôle dans la guerre d’Algérie». Une manière de réfuter cette idée de repentance tous azimuts développée par Bruckner. La France, soutient Stora, ne peut se détourner de cette séquence, au motif que relève Bruckner la « vérité d’Etat commande» toutes ces lois mémorielles. «Nous ne pouvons pas faire l’économie de comprendre ce moment», estime Stora. Cet exercice s’impose d’autant que le champ législatif français comprend «pas moins» de quatre lois d’amnistie en rapport direct avec la guerre d’Algérie. «L’oubli, organisé par l’Etat, est de plus en plus mal supporté par les jeunes générations». Entre Bruckner, dont le livre a bénéficié d’une large exposition médiatique, et Stora, les différences de perception du passé ne s’arrêtent pas là. Ainsi en est-il de l’organisation de la mémoire collective française dans les cas précis de la collaboration «vichyste» et du fait colonial en Algérie. Pour le philosophe, il n’y a pas matière à comparaison entre ces deux séquences. «Ce sont deux cas très différents» argue-t-il. 

Les Français plutôt "réticents" vis-à-vis du colonialisme ? 

Empruntant, dit-il, à l’historien Charles-Robert Ageron, lui-même repris, plus tard, par Raoul Girardet, Pascal Bruckner soutient : « le colonialisme a été le fait non pas d’une majorité de la population mais d’un « parti colonial » apparu après 1870 pour laver l’affront de la défaite contre l’Allemagne et permettre à la France de tenir son rôle de grande puissance ». Et l’essayiste d’ajouter, en guise d’arguments, que les Français étaient « plutôt réticents vis-à-vis du colonialisme », une idée « plutôt de gauche que de droite ». A preuve, les accords d’Evian signés, ils « ont fait relativement vite le deuil de l’Empire ». 

A s’en tenir au raisonnement de Bruckner, il est pour le moins anormal de charger la France entière du péché de la guerre coloniale quand celle-ci a été le fait du « parti colonial ». Pour l’auteur de « La tyrannie de la pénitence », la repentance ne peut prendre tout son sens que dans la séquence de Vichy. « La véritable mémoire douloureuse de la France repose sur les deux guerres mondiales. Il n’y a pas une famille française dont l’un des membres n’ait été impliqué dans ces conflits, que ce soit par le biais de la résistance, de la collaboration ou de l’occupation, redoutable corruption morale pour tout un pays dont il est très difficile de se relever ». Pour une majorité de Français, poursuit Pascal Bruckner, l’Algérie « était une terre et une préoccupation bien lointaines. C’est devenu un épisode latéral de notre histoire ». 

La France doit-elle s’excuser auprès de l’Algérie? 

Il n’en fallait pas plus pour susciter une réaction pour le moins scandalisée de Stora. L’historien s’étonne que son discutant qualifie de «latérale» une page jalonnée de crises politiques, de tragédies et de souffrances humaines: exil d’un million de pieds-noirs, levée d’un million et demi de soldats, chute d’une République, drame des harkis, etc. Stora cite, lui aussi, Raoul Girardet mais pour un propos différent. «Il professait aussi que la défaite française en 1962 avait ouvert une blessure considérable dans le nationalisme français. Que le parti colonial soit minoritaire dans la société n’obère pas que le nationalisme français se soit construit sur la notion d’empire, tout comme l’armée, d’ailleurs. C’est pourquoi la perte de l’Algérie, considérée comme le joyau de l’Empire, en 1962, a laissé des traces aussi profondes (...) Avons-nous réellement réussi à surmonter cette blessure narcissique du nationalisme? Je n’en suis pas sûr». 

La France doit-elle s’excuser auprès de l’Algérie? «Pourquoi pas si cela permet de signer un traité d’amitié et d’enterrer les vieilles querelles. Il faut apurer les comptes une fois pour toutes», répond Bruckner. «A condition toutefois, nuance-t-il, qu’il ne s’agisse pas d’un repentir à sens unique et que le gouvernement algérien balaye ensuite devant sa porte et reconnaisse les pages noires de la lutte pour l’indépendance, la bagarre FLN / MNA par exemple, le massacre des harkis puis l’emprise de l’Etat FLN sur la nation après 1962, les émeutes de 1988 et enfin la guerre civile». 

A un jet de pierre du Figaro, Julia Ficatier, chargée du Maghreb et du monde arabe à «La Croix», soumet Mohammed Harbi à une question dans le même ton. La France doit-elle faire repentance pour l’Algérie ? Réponse d’abord d’ordre sémantique de l’historien algérien. «La repentance n’est pas dans l’ordre de mes idées et ne fait pas partie de mon vocabulaire. C’est une notion de morale religieuse qui n’a rien à voir avec l’histoire proprement dite. Bon nombre d’Algériens partagent ce point de vue». Pour autant, l’auteur du «FLN, mirage et réalité» estime qu’il est temps que la France «reconnaisse enfin que la colonisation en Algérie était faite pour dominer et non pour civiliser». Aux yeux du plus fécond des historiens algériens, cela suppose une démarche à deux niveaux. La première consiste à effacer, dans la société et le champ intellectuel, «les traces» de l’idée véhiculée par la loi du 23 février 2005 selon laquelle la colonisation a apporté des «bienfaits aux Algériens». La deuxième, plus solennelle, suppose de l’Etat français qu’il reconnaisse «la responsabilité dans les drames, les terribles humiliations, les souffrances engendrées par le système colonial». 

Distinguer la responsabilité historique et la culpabilité 

Dans une claire allusion à un énoncé qui revient, souvent, dans les propos des hommes politiques français de tous bords, Mohammed Harbi se fait l’écho d’une singulière curiosité algérienne. «Les Algériens ne comprennent toujours pas que l’on mette sur le même plan leurs souffrances de colonisés et celles consécutives à l’exode des Français d’Algérie». En homme soucieux des précautions chères à la discipline, l’historien insiste, dans ce chapitre, sur l’impératif d’un regard débarrassé d’états d’âmes. 

"Ce qui est indispensable, c’est de délester le passé de sa charge affective et du ressentiment », plaide le chercheur. Qui, pour la bonne avancée du travail de vérité, émet une autre exigence. « Il faut bien distinguer la responsabilité historique et la culpabilité». Autrement dit, explique Harbi avec son souci de la pédagogie, «on ne peut pas culpabiliser des générations entières pour ce qu’elles n’ont pas fait». Plaidant pour l’accomplissement d’un «travail de vérité» sur cette page sanglante de l’histoire contemporaine, Mohammed Harbi déplore le «deux poids, deux mesures» qui caractérise le regard officiel français sur le passé. «Comment se fait-il, s’interroge-t-il, que le président Chirac dénonce la répression coloniale de 1947 à Madagascar, donne de la voix pour la reconnaissance du génocide arménien «et ne fasse rien pour l’Algérie?». 

C’est cette démarche, estime l’historien, qui est « à l’origine de la crispation » des rapports bilatéraux et «non pas ce qu’on nomme, côté français, ‘’l’arrogance algérienne’’». Et l’ancien directeur du cabinet civil de Krim Belkacem au MAE du GPRA d’ajouter: «si Jacques Chirac, au nom de l’Etat français, s’excusait pour l’Algérie, cela permettrait la vraie réconciliation». 

S. Raouf, correspondant à Paris du Quotidien d’Oran, information relayée par 

Le Pèlerin

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25 décembre 2006 1 25 /12 /décembre /2006 00:00

C'est aussi Noël en Algérie

 

 

Le 25 Décembre, les chrétiens fêtent Noël. Ils se rappellent ce jour-là la naissance de Jésus. Un tout petit événement, mais qui est au cœur de leur foi : C’est Dieu qui vient partager la condition humaine. Elle est devenue en occident une fête de la famille, et ces dernières années une vraie fête de la consommation, avec la multitude des cadeaux qui en fait oublier le sens. Ceux qui la vivent dans la discrétion, au milieu des musulmans, entourés d’amis attentifs, se sentent en accord profond avec ceux qui ont vécu cela il y a deux mille ans.

 

 

 

Aujourd’hui c’est Noël. Mais, qu’est-ce que ça change ? En réalité dans la rue tout reste égal. Les gens vont à leur travail, les marchés sont pleins de monde qui achète des légumes, des fruits et un peu de viande pour préparer le repas. Une foule qui ne sait pas qu’aujourd’hui dans un petit coin du monde un petit enfant est né et sa mère le regarde pleine d’admiration, d’étonnement, pleine d’amour. Dans un petit coin du monde, Jésus est né.

 

 

 

Aujourd’hui c’est Noël en Algérie. Ici, comme à Bethléem il y a deux mille ans, très peu de monde a reçu la bonne nouvelle de la venue de Jésus.  En Palestine uniquement quelques bergers ont entendu l’annonce de l’ange au milieu de la nuit. Seulement un petit groupe est allé contempler Dieu fait homme dans un étable. Il faut regarder avec les yeux de la foi pour découvrir le Dieu tout-puissant dans un petit enfant. Il nous faut les yeux de la foi pour découvrir et reconnaître le Dieu de la vie, celui qui continue à opter pour l’homme, pour tous les hommes, ceux qui vivent en Algérie comme tous les autres.

 

 

 

Aujourd’hui c’est Noël, et nous, une poignée de chrétiens, nous nous rassemblerons pour célébrer la venue de Jésus. Tandis que la plupart de la population est indifférente à cet événement. Mais le Dieu de la vie n’est pas indifférent. Il est né aujourd’hui, en ce pays. Nous pouvons le découvrir dans un petit enfant, dans une multitude de petits signes. Nous pouvons le reconnaître lorsqu’un père est capable de surmonter les difficultés de la maladie pour rendre heureux ses enfants, lorsqu’un voisin musulman nous souhaite fraternellement un joyeux Noël, lorsque nos ami(e)s nous offrent beaucoup de signes d’amitié. Dieu est présent dans les petites choses. Dieu vient à chaque geste de bonne volonté, à chaque geste de bonté, de générosité, à chaque geste d’amour gratuit.

 

 

Aujourd’hui c’est Noël, même si en apparence rien n’a changé. Aujourd’hui c’est Noël parce que Dieu continue à opter pour les hommes, et dans notre terre il y a beaucoup d’hommes qui optent pour Dieu et ils le font présent avec des petits signes d’amour et de fraternité.

 

 

 

Source : http://www.ada.asso.dz/Zooms/Zoom008.htm -, relayé par

 

 

 

Le Pèlerin

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24 décembre 2006 7 24 /12 /décembre /2006 00:51

Algérie: des béliers de combat à 4.500 euros pièce

Des béliers, aux belles et solides cornes, s'arrachent actuellement 4.500 euros pièce à Alger par des organisateurs de joutes et des parieurs férus de combats de béliers, à deux semaines de la fête du mouton.

Des combats de béliers se déroulent régulièrement, notamment pendant les congés de fin de semaine, dans divers quartiers d'Alger, a rapporté le quotidien algérien Le Jour. "Les paris commencent à 1.000 dinars (10 EUR) et peuvent atteindre 300.000 DA (3.000 EUR), les parieurs misant (même) leur voiture" sur leur bélier préféré, précise le quotidien.

Les combats se déroulent en présence de très nombreux curieux et des parieurs, selon un calendrier diffusé de bouche à oreille.

"Les gens ont de l'argent, ces paris génèrent un argent fou pour les parieurs, qui achètent (les béliers) chers, mais gagnent beaucoup", a expliqué au journal un jeune vendeur de béliers.

Les moutons sont sacrifiés le jour de l'Aïd en souvenir du geste du patriarche Ibrahim, qui, selon le Coran, était sur le point d'égorger son fils Ismaïl, sur ordre de Dieu, lorsque ce dernier lui a envoyé un mouton de substitution pour épargner son fils.

Source Seniorplanet, information relayée par:

Le Pèlerin

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24 décembre 2006 7 24 /12 /décembre /2006 00:37

Ne pas prendre de poids pendant les fêtes

 

 

 

Les repas des fêtes de fin d'année sont souvent synonymes d'excès et de prise de poids. Pour prévenir cela et attaquer la nouvelle année en forme, suivez les conseils d’une diététicienne

 


Conseillez-vous un régime express avant les fêtes ou une simple diète ?

 

10 jours avant les fêtes, l'important est de prévenir une éventuelle prise de poids. Pour cela, je conseille davantage une petite diète qu'un véritable régime. Il faut simplement modifier votre alimentation habituelle et vos menus. Les maîtres mots : alléger en calories et enrichir en vitamines. Vous devez donc privilégier les viandes maigres, les poissons, les légumes et les fruits frais de saison, tels que l'ananas, la mangue ou encore le kiwi. Cela est valable pour chaque repas. Pour ce qui est du petit déjeuner, il n'y a rien à changer, tant que celui-ci reste équilibré, à savoir un thé ou un café pas trop sucré, quelques tranches de pains ou des biscottes (pour les sucres lents et les fibres), un yaourt ou du fromage blanc allégé, à déguster seul ou pour accompagner votre tartine de pain aux céréales. Cela évite de succomber aux excès de sucres rapides, présents dans la confiture et la pâte à tartiner. Par contre, pour le repas du soir, veillez à ce qu'il soit léger et pensez à consommer des potages. Ces derniers sont intéressants en période de "restriction" car ils amènent du volume dans l'estomac, des fibres, des minéraux et offrent un effet de satiété. Misez davantage sur les soupes pas trop mixées comme le minestrone par exemple. Ensuite, à la veille du réveillon, il s'agit là de mettre votre estomac "en veilleuse". Usez voire abusez du potage, des laitages et des fruits frais, en jouant sur la diversité et la couleur. Cette étape est nécessaire pour préparer le système digestif à des repas plus caloriques.

 

Comment manger intelligemment tout en se faisant plaisir durant les fêtes ?

 

L'idéal reste d'allier équilibre et plaisir, en allégeant au moins l'un des deux repas de la journée ou bien de proportionner l'apport calorique lors des repas. Par exemple, optez pour les fruits de mer (crustacés, huîtres pochées, noix de Saint Jacques) à la place du foie gras. Cela évite de consommer trop de pain et permet donc de limiter votre consommation de féculents. Et si vous ne pouvez échapper à la traditionnelle dinde, préférez les légumes et oubliez les marrons ! Quant au dessert, si vous avez fait quelques excès sur les plats précédents, remplacez la bûche à la crème par une mousse de fruits ou un sorbet, plus légers. Autre phase incontournable des repas festifs : l'apéritif. Oubliez les toasts et pensez davantage aux légumes avec, par exemple, des tomates cerises farcies de fromage frais, des morceaux de carottes trempées dans une sauce au fromage blanc ou encore des filets de magret de canard dégraissés. Côté alcool, contentez-vous d'un verre par repas. Enfin, inutile de dire adieu au chocolat. Si vous êtes adepte des truffes, marrons glacés et autres friandises, le mieux reste de ne consommer qu'une petite gâterie par jour, de préférence à la fin du repas.

 

Quelles sont vos astuces pour limiter les tentations ?

 

Il faut apprendre à manger avant d'avoir trop faim. Donc, avant le fameux repas du réveillon, calez vous l'estomac avec une collation vers 18 heures, composé d'un fromage blanc et d'un fruit par exemple. Cela évite les grosses fringales et de se jeter sur l'apéritif. Les fêtes de fin d'année peuvent aussi être l'occasion d'augmenter vos dépenses énergétiques en vous remettant au sport, comme la marche à pied, le footing ou le vélo.
Enfin, une fois les fêtes passées, il s'agira d'éliminer les toxines, pour retrouver un équilibre du système digestif. Pour cela, buvez beaucoup d'eau, de tisane et optez toujours pour les légumes et les fruits, en profusion. Gardez tout de même une moindre place pour les féculents (riz, pommes de terre vapeur, pâtes, pain, légumes secs) avec 3 à 4 cuillères à soupe par repas. Bannissez les sucreries de toutes sortes et les grignotages intempestifs. En un mot, la diète d'après fêtes demande davantage de vigilance pour préserver votre ligne, mais toujours en douceur. Cela évitera l'effet rebond, une fois l'alimentation habituelle reprise.

 

Source l’Internaute; information relayée par

 

 

 

Le Pèlerin

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24 décembre 2006 7 24 /12 /décembre /2006 00:30

Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage

 

 

 

Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,

 

Et la mer est amère, et l'amour est amer,

 

L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,

 

Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

 

 

 

Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,

 

Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,

 

Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,

 

Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

 

 

 

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,

 

Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,

 

Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

 

 

 

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,

 

Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,

 

Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

 

 

 

Pierre de Marbeuf, Poésies. 1628

 

Poème relayé par :

 

 

 

Le Pèlerin

 

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