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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 06:21

Algérie - Primes, droits d’image, règlement intérieur et objectifs - Problèmes aplanis, la sérénité revient parmi les Verts
algerie CAN 2010

Le stage de l’équipe nationale à Toulon (sud de la France) touche à sa fin. Force est de constater que les Verts n’ont pas effectué leur regroupement pré-CAN dans la sérénité voulue. Beaucoup de perturbations ont marqué la préparation des hommes de Rabah Saâdane. Le grand fossé communicationnel existant entre ces derniers et les médias a accentué les… malentendus. Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, a dû intervenir pour rétablir le calme dont a besoin l’EN. A son arrivée à Toulon, lundi dernier, le président de la FAF a réuni les joueurs et le staff technique à l’hôtel Grand Prix, le quartier général des Verts.
Plusieurs point ont été passés en revue, notamment les primes, le règlement intérieur et le droit d’image. Les joueurs sont tenus de respecter les engagements de la FAF avec ses partenaires. C’est dire que les internationaux n’auront pas le droit de négocier des contrats individuels avec des entreprises rivales avec celles ayant déjà signé avec la fédération. Le règlement intérieur obligera désormais nos internationaux à faire preuve de retenue en ne polémiquant pas sur des sujets ne relevant pas de leurs prérogatives. Pour ce qui est des primes, la FAF n’a pas communiqué de chiffres, mais elles seront motivantes pour les Ziani et consorts.« Tout a été tiré au clair », assure M. Raouraoua, avant de renchérir : « Tous les malentendus ont été levés à ce propos. L’ensemble du groupe adhère pleinement au règlement intérieur qui préserve l’intérêt du groupe sur tous les plans. » Le président de la FAF estime aussi que la préparation se déroule dans les meilleures conditions pour une participation positive à la Coupe d’Afrique qui débutera dimanche prochain. « L’ambiance est bonne, les joueurs travaillent dans des conditions parfaites, sous la direction du sélectionneur Rabah Saâdane. Celui-ci est animé d’une nette volonté de réaliser les objectifs assignés », positive encore M. Raouraoua.
Selon ce dernier, l’Algérie ne se contentera pas, en Angola, de jouer les figurants ; les objectifs assignés sont bien supérieurs. Il exprime ses ambitions : « Nous allons à cette CAN avec comme objectif d’aller le plus loin possible et, pourquoi pas, participer à la finale. » Surtout que, poursuit-il, « les joueurs et l’entraîneur adhèrent aux objectifs assignés ». Rabah Saâdane s’inscrit sur la même ligne : « Aller loin en Angola et arriver en finale serait une excellente performance. » On en saura plus, en tout cas, sur les aptitudes des coéquipiers de Ziani dès le premier match, lundi prochain, contre les Flammes du Malawi (groupe A). Un match qui ne se présente cependant pas sous de meilleurs auspices. Saâdane risque de se passer du pilier défensif, Antar Yahia. Souffrant d’une inflammation à un os, les chances du pensionnaire de Bochum d’affronter le Malawi sont minimes. Le doute persiste également sur la participation de Meghni et Saïfi à cette rencontre. Le staff médical, lui, s’efforce de les remettre sur pied. Quant à Fawzi Chaouchi pressenti au poste de titulaire ce lundi, il va désormais mieux. Contraint d’interrompre l’entraînement lundi dernier, après avoir contracté une entorse, le gardien sétifien s’est entraîné normalement hier. Un gage d’assurance pour Saâdane qui a affirmé, hier, être décidé à aller au bout de sa mission. « Ne m’a effleuré à aucun moment l’esprit l’idée de me retirer. D’autant qu’il n’y a pas d’embûches capables de m’empêcher de poursuivre ma mission », réagit le sélectionneur des Verts. « Je suis déterminé de mener à terme ma mission à la tête de l’équipe nationale », tranche-t-il. De quoi rassurer les supporters de l’EN. En attendant la dure réalité du terrain.
Source El Watan Kamel Yamine
Le Pèlerin

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 00:34

Humour – Les petits vieux se laissent aller...à la confidence… !!!
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Trois vieux discutent tranquillement en buvant le café en se demandant quel est l'âge le plus difficile.
"60 ans, c'est l'âge vraiment dur" dit celui qui a 60 ans.
"Tu as toujours l'impression d'avoir envie de pisser et la plupart du temps y a rien qui sort"
"Oh c'est rien ça" dit celui qui a 70 ans. " A 70 ans, tes boyaux sont foutus. Tu prends des laxatifs, tu manges des fibres, tu restes assis aux toilettes pendant des heures et rien ne vient !"
"Alors en fait" dit le papy de 80 ans, "80 est vraiment le pire de tous les âges"
"Tu as des problèmes pour faire pipi ?" demande le papy de 60 ans
"Non, non je pisse tous les matins à 6h00 pile poil. Aucun problème"
"Alors tu as des problèmes de digestion ?"
"Non je fais tous les matins à 6h30"
"Ben alors, pipi à 6h00, caca à 6h30, qu'est-ce qui est si terrible alors à 80 ans ?"
"Ben c'est que je me réveille qu'à 7h00".
Le Pèlerin

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 00:31

Trucs et Astuces -  L'ail : remède maison contre la chute de cheveux
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Pour lutter contre la chute de cheveux, le plus naturel possible est de masser le cuir chevelu avec de l’ail écrasé… Voici une recette à base d'ail qui présente une antichute très puissante et un traitement maison à appliquer sur le cuir chevelu pour favoriser la repousse :
Ingrédients - 8 ou 9 gousses d’ail
- 1 petit verre d’huile d'olive Méthode d’utilisation
Préparation et traitement
- Pelez et écrasez les gousses d’ail pour avoir une purée et mettez-la dans un bol.
- Chauffez l’huile dans une casserole, puis versez-la sur la purée d’ail en incorporant l’ensemble jusqu’ à l’obtention d’un mélange homogène.
- Versez le mélange dans une bouteille en verre et laissez reposer 2 ou 3 jours.
- Commencez à appliquer la recette maison sur le cuir chevelu en massant bien 2 fois par semaine.
- Laissez le masque 1 heure environ sur les cheveux, puis rincez-les avec l’eau tiède. N’hésitez pas à utiliser ce remède miracle. Les femmes qui l’ont essayé ont remarqué que leurs cheveux ont pris du volume.
Il suffit de pouvoir supporter l'odeur de l'ail.
Source Le Soir d’Algérie
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 07:46

Le titre du film qui sera diffusé ce mercredi sur France 2 ne peut pas être plus court, il s’intitule simplement Camus.
etranger le plus lu de jeunes

Parmi les scènes mémorables que revivront avec intensité les téléspectateurs algériens et aussi les Français d’Algérie qui ont connu cette fameuse journée de 1956. Jour où, la proposition d’Albert Camus d’une trêve civile fut vilipendée par des manifestants remontés à bloc contre l’écrivain. Cet événement mis en scène dans cette fiction réalisée par Laurent Jaoui sera l’un des temps-clé du film tourné au début de l’année 2009 à Tarascon dans les Bouches-du-Rhône (lire notre édition du 16 mars 2009). Les contestataires huèrent avec une rare violence cette tentative et défilèrent dans les rues d’Alger aux cris de : « A mort Camus ! », joignant dans le même sac le président du conseil, Pierre Mendès-France.
C’était le 22 janvier 1956. Du côté algérien, si certains du FLN étaient présents au cercle du progrès pour écouter avec attention, voire avec curiosité, cette tentative inédite, beaucoup refusaient d’emblée tout ce qui aurait pu s’assimiler à une démobilisation, l’indépendance étant la seule proposition négociable possible. Camus, après ce jour difficile pour lui, ne parla plus d’Algérie, refusant tout paraphe de quelque pétition que ce soit, jusqu’à sa mort, le 4 janvier 1960, il y a exactement cinquante ans ce lundi 4 janvier 2010. Le film, une première, entend retracer les dix dernières années du prix Nobel obtenu par l’auteur de L’Etranger, en décembre 1957. Cette vie d’écriture, de soucis quotidiens et de tourments face à l’histoire est interprétée par Stéphane Freiss, Anouk Grinberg dans la peau de Mme Francine Camus.
* 20h 35, mercredi 6 janvier, France 2, durée 105 minutes
Source El Watan Walid Mebarek
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 07:07

Algérie - L'UGTA en perdition
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Il y a un mois, les cadres syndicaux UGTA de la zone industrielle de Rouïba ont organisé un rassemblement devant le siège de l'union locale pour dénoncer les décisions annoncées à l'issue de la tripartite de début décembre 2009 et ont du même coup fait savoir qu'ils désapprouvent la position de leur centrale qui a consisté à entériner ces décisions. La fronde contre ces mêmes décisions et la centrale UGTA s'est à nouveau exprimée dans cette zone sensible, avec pour acteurs les cinq mille travailleurs du complexe véhicules de la SNVI. Ils ont déclenché, dimanche, une grève spontanée qui a paralysé l'immense complexe.
Leurs revendications se résument à deux points: rejet catégorique des accords passés entre l'UGTA et le gouvernement lors de la dernière réunion tripartite et exigence du maintien de l'actuel système de départ à la retraite.
Ce pourquoi leur mouvement n'est pas banal en ce temps où la contestation sociale fuse un peu partout, c'est qu'il s'est produit dans une entreprise censée être syndicalement dans l'orbe de l'UGTA, et en dehors du canal sur place de celle-ci. C'est là le signe que l'organisation que préside Sidi Saïd est en train de perdre pied dans une zone où elle a régné sans partage syndicalement et dont elle puisait une bonne part de sa légitimité en termes de représentation du monde du travail.
Parce que venu de Rouïba et spécialement du complexe SNVI qui est en effectifs de travailleurs le plus important pourvoyeur local d'affiliés à l'UGTA, le coup de semonce est rude pour la centrale de la place du 1er Mai. Il est en effet la démonstration que la désaffection dont elle fait l'objet de la part des salariés s'exprime et se manifeste même dans ses fiefs traditionnels réputés pour lui être inconditionnellement fidèles.
La fronde anti-UGTA qui s'exprime à Rouïba n'est pas à prendre à la légère par Sidi Saïd, d'autant que sa centrale vient de sortir d'une cuisante déconvenue que lui ont infligée ses affiliés syndicaux dans le secteur de l'Education nationale, en prenant fait et cause pour la grève générale organisée récemment par les syndicats autonomes et dont elle s'était démarquée.
La nouveauté à la base syndicale de l'UGTA est que ses adhérents font fi de sa discipline organique et passent outre ses orientations et instructions. Preuve s'il en est qu'ils ne se reconnaissent plus dans une organisation qu'ils accusent ouvertement «de livrer les travailleurs à l'injustice et à l'exploitation en cédant sur leurs droits».
A Rouïba, dans ce qui est censé être toujours une citadelle syndicale de l'UGTA, Sidi Saïd réussira-t-il à enrayer le mouvement de désagrégation qui affecte son organisation ? Rien n'est moins sûr, car le ras-le-bol qui agite cette zone industrielle a pour cause des raisons dont la centrale et son secrétaire général sont en partie responsables pour avoir opté pour le soutien inconditionnel à la politique économique et sociale gouvernementale.
Or la «protesta», dont les travailleurs du complexe SNVI ne sont que les premiers protagonistes, est adossée sur une radicalité des revendications qui ne permet aucun faux-fuyant au patron de la centrale UGTA. Il pourrait à la limite la calmer momentanément en promettant de faire valoir celles-ci auprès de «qui de droit». Mais la supercherie de l'échappatoire fera vite long feu, car «qui de droit» n'est pas disposé à revenir sur les décisions arrêtées pour sauver la mise à l'UGTA.
Source Le Quotidien d’Oran Kharroubi Habib
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 06:57

Algérie - Saâdane DTN ou consultant TV après le Mondial
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Rabah Saâdane quittera l'équipe nationale après le Mondial 2010. Il a confirmé son retrait de la barre technique de l'EN à son retour d'Afrique du Sud dans un entretien accordé à la chaîne arabe Al Jazeera. Prendre le poste de directeur technique national ou devenir consultant TV figurent parmi ses projets d'avenir. «Le poste de sélectionneur est très fatigant.
C'est une lourde responsabilité. Je veux me reposer. Après le Mondial, je vais me retirer de l'EN. Je suis disposé à continuer à servir encore le football national dans une autre fonction, peut-être celle de directeur technique.
Je pourrais aussi devenir consultant dans une chaîne de télévision», a avoué Saâdane qui avait déjà occupé à deux reprises le poste de DTN sous l'ère du défunt Mohamed Diabi et lors du premier passage de Mohamed Raouraoua aux commandes de la FAF.
Il a été forcé alors à prendre les destinées de l'EN. Il avait qualifié les Verts à la CAN 2000 en compagnie de Boualem Charef et Rachid Aït Mohamed avant de se retirer pour partir au Yémen, ensuite il les a dirigés lors de la CAN 2004 avec l'aide de Rachid Cheradi et Charef avant de céder également son poste, malgré l'insistance de Raouraoua.
Al Jazeera le sollicite officiellement
Il est à noter que le poste de DTN est toujours vacant à la FAF. Raouraoua avait lancé un appel à candidatures en avril 2009, mais il n'était pas satisfait des candidats qui ont postulé à cette fonction.
La FAF fonctionne actuellement avec deux directions chargées de la formation, la direction de la formation des jeunes talents qu'occupe Fodil Tikanouine et celle de la formation des entraîneurs confiée à Boualem Laroum.
Sauf revirement, Raouraoua devra accéder au vœu de Saâdane en lui confiant à nouveau le poste de DTN. Dans le cas contraire, le driver actuel de l'EN deviendra consultant de la chaîne arabe Al Jazeera qui l'a officiellement sollicité par l'intermédiaire de son journaliste algérien et responsable du bureau de Madrid, Lakhdar Berriche en l'occurrence.
Source Le Temps L.B.
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 06:50

Tipasa - Pour le parachèvement de tous les travaux, il a été demandé une réévaluation d’un montant de 100 millions de dinars.
Tipaza projets

Rien que dans le secteur de la culture, 20 projets, notamment de réalisation de nouveaux équipements et infrastructures sont actuellement en cours d’achèvement à travers la wilaya de Tipasa.
C’est ce qu’a fait savoir, Hocine Hambes, le directeur de la culture de la wilaya. Ces projets, dont une partie est inscrite dans des programmes centraux, tandis que le reste est de type local, totalisent un coût de réalisation global de l’ordre de 400 milliards de centimes. Parmi ces futures réalisations, on peut citer entre autres, le centre national de photographie d’art à Koléa.
«Cet édifice culturel qui s’étend sur une superficie de 5,6 hectares est réalisé sur une assiette de terrain de 3,3 ha en R+1.
Il a nécessité une autorisation de programme de 143 millions de dinars, en plus d’une enveloppe de 120 millions injectée pour sa dotation en équipements», indiquera à ce sujet Mohamed Badjou, le chargé de communication de la wilaya. Et d’ajouter : «pour le parachèvement de tous les travaux, il a été demandé une réévaluation d’un montant de 100 millions de dinars».
Ce futur centre national qui une fois opérationnel aura une capacité de 400 places pédagogiques, abritera une bibliothèque, deux amphithéâtres, un studio laboratoire, cinq salles d’expositions et deux blocs d’archives.
Toujours à Koléa, il est préconisé l’ouverture à court terme d’une maison de culture qui sera un véritable joyau architectural. Inscrit, selon Mohamed Badjou, en 2001, le projet en question après avoir accusé un retard dans sa réalisation, a été relancé en avril 2007. Actuellement son taux d’achèvement dépasse les 70%. «La maison de la culture de Koléa qui a bénéficié pour les travaux de sa réalisation d’une enveloppe budgétaire de 28,6 milliards de centimes sera livrée avant début mars prochain.
Cette date a été fixée après que le wali eut donné des instructions au maître d’ouvrage du projet lors de sa dernière visite effectuée dans le site du chantier», déclare le chargé de communication de la wilaya.
Outre à Koléa, d’autres projets d’envergure sont implantés dans les autres agglomérations de la wilaya, particulièrement à Cherchell ou au chef-lieu de la wilaya où on s’attend à l’ouverture du futur palais de la culture de Tipasa à Chenoua, dont les travaux sont quasiment terminés.
Source Horizons Amirouche Lebbal.
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 06:35

Algérie - Mesures drastiques à l’encontre des contrevenants
la rigueur du code qui prévoit des amendes et des sanctions sévères
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Adopté par le parlement en septembre dernier, le nouveau code de la route entrera incessamment en vigueur. Contrairement à l’ancienne législation, le nouveau code prévoit des mesures drastiques en matière d’infraction et des amendes passant de 2000 à 6000 DA et des peines d’emprisonnement de 5 à 10 ans.
Intervenant hier sur les ondes de la radio nationale, le directeur de la circulation routière au ministère des Transports, Tahar Messaoud Nacer, a souligné que les dispositions ont été durcies de manière à agir sur le levier de la coercition. Mais sans pour autant négliger les autres segments de la question de la prévention et de la sécurité routières, impliquant davantage les services de la gendarmerie et de la police et pour la première fois un groupe de travail du ministère de la Justice.
Les dispositions incluses dans le nouveau code sont coercitives à la mesure du bilan macabre qui fait état annuellement de quelque 4000 morts et plusieurs milliers de blessés. Un chiffre record a été enregistré entre les mois de janvier et de novembre derniers. Les dernières statistiques font état de 4282 tués soit une hausse de 3,16% par rapport à l’année dernière.
Ce qui explique d’ailleurs, la rigueur du code qui prévoit des amendes et des sanctions sévères allant jusqu’à l’emprisonnement. Les paliers d’amendes ont été revus à la hausse. On passe de 300 DA à 2000  DA et  6000 DA. Au chapitre des graves délits, le nouveau code énonce d’autres amendes plus élevées. Selon M. Messaoud Tahar, et pour être en harmonie avec le code de procédure pénale, le conducteur doit respecter la sanction qui lui est infligée en fonction de son délit. L’amende peut s’élever  jusqu’à un million de dinars pour les homicides commis par les conducteurs professionnels, en référence aux conducteurs des poids lourds et les transports en commun.
L’intervenant précise que lorsque cette catégorie est à l’origine d’un accident ayant engendré des morts, elle est tenue de s’acquitter de l’amende qui variera, selon les nouveaux textes, de 500.000 DA à un million DA.
Le contrevenant est appelé à s’acquitter de l’amende dans les 48 heures. Dans le cas échéant, cette amende risque d’être revue à la hausse. Dans la nouvelle loi, la sanction est plus sévère, en cas d’identification de facteurs aggravants telle la prise d’alcool, de stupéfiants,  pour les conducteurs de poids lourds ou d’un transport en commun. Selon le représentant du ministère, un traitement particulier est réservé, en cas d’acte délibéré, pour les poids lourds et pour les transports en commun et pour l’homicide involontaire. Par ailleurs, les conducteurs autres que ceux des poids lourds et de transport en commun risquent des sanctions graves. Le nouveau code prévoit une peine d’emprisonnement allant de 2 à 5 ans, des amendes de 100.000 à 300.000 DA pour tous ceux qui sont à l’origine d’un homicide involontaire mais caractérisée par la prise d’alcool de stupéfiants.
« Le législateur a voulu mettre l’accent sur le côté quasiment délibéré du délit », a souligné M. Messaoud Tahar. Il a tenu à rappeler que tout automobiliste doit savoir que lorsqu’il commet - dès l’entrée en vigueur du nouveau code - une infraction ou un délit, il fera systématiquement l’objet d’une rétention du permis de conduire. Selon l’invité de la rédaction, le recours à la rétention du permis est prévu pour inciter le contrevenant à payer son amende.
D’autres propositions sont à l’étude telle l’annulation du permis de conduire en cas de délits graves ou de récidive. A propos du payement des amendes, une étude menée par les responsables du ministère avec l’administration fiscale a démontré que le taux d’acquittement n’a jamais dépassé les 5%.
Source Horizons Safia D.
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 06:24

Agglomération toulousaine - Où va passer le tramway pour l'aéroport?
tram toulouse ligne E aeroport
tram traces petit

La ligne «Envol» doit desservir l'aéroport de Blagnac, avec jonction sur la ligne E, fin 2013. Deux tracés sont en opposition.
On nous a dit pendant des années que la desserte de l'aéroport de Toulouse-Blagnac n'était pas faisable, au nom de la rentabilité. La nouvelle majorité de la communauté urbaine du Grand Toulouse a décidé de prouver le contraire et de la réaliser pour fin 2013.
Pour cela, il faudra réaliser 2 à 2,5 km de tramway, avec trois stations, pour un investissement estimé à 48 millions d'€.
Quinze mille emplois desservis
La ligne Envol, c'est son nom, branchée sur la ligne E qui reliera Beauzelle, Blagnac et Toulouse-Arènes fin 2010, permettra de desservir près de 15 000 emplois sur l'aéroport (qui compte à lui seul 3800 emplois) et la zone aéroportuaire sud. La desserte reliera en moins de vingt minutes le quatrième aéroport de France par le trafic (6,3 millions de passagers en 2008; 8,5 estimés en 2015 d'ici 2015) au réseau métro toulousain, à la station des Arènes.
La concertation publique doit en principe commencer en 2010 (lire encadré), avec les études de conception. L'enquête publique aura lieu au premier trimestre 2011, le chantier devrait être lancé un an plus tard pour une mise en service fin 2013.
Trois rames de métro (déjà prévues en commande auprès d'Alstom) seront utilisées pour relier l'aéroport depuis la ligne E avec un trafic estimé de 9500 voyageurs/jour pour le tracé le plus avantageux (au sud).
Avantage au tracé sud
Car il existe deux possibilités de tracés : l'un par le nord et l'autre par le sud de Blagnac. Le corridor nord (qui verrait la ligne Envol se greffer sur la ligne E entre les stations Patinoire et Marronniers) présente l'avantage de proposer des tracés plus courts (1,2 à 1,6 km) donc moins chers, mais il dessert moins d'emplois (6900) et d'habitants que le corridor sud (13 300 emplois), plus long (2 à 2,6 km) mais plus rentable, avec 9 500 voyageurs/jour espérés contre seulement 5800 par le nord.
Le tracé sud partirait, lui, de la ligne E entre les stations Servanty et Ancely, au niveau de la rocade dont il suit globalement le tracé jusqu'à l'aérogare. Le nord dessert France Telecom (1120 emplois), le pôle aéroport (1000 emplois) et le bâtiment Cibavision, Derichbourg et Atis aéronautique (plus de 700 emplois).
Les tracés sud desservent plusieurs entreprises de renommée mondiale : Airbus (le site Campus 2 et ses 3400 emplois), ATR (540 emplois), CIMPA (450), Rockwell et Collins (650), EADS (450), Aéroconseil (370) et le pôle aéroportuaire (1000).
Au niveau du temps de parcours, le tracé sud a, là aussi, l'avantage. Il permettrait de relier les Arènes à l'aéroport en 18' contre 25 à 29' par le nord. Pour gagner la station de métro Palais de Justice (fin 2010) depuis l'aéroport, il faudrait compter 27'30'' par le sud, 34 à 38' par le nord.
Pour rejoindre Matabiau (par Arènes avec utilisation de la ligne A du métro), il faudrait compter 28'30'' par le sud contre 35 à 39' par le nord.
Fréquence améliorée
La desserte aéroport bus actuelle propose une navette toutes les 20 mn pour un trajet de 20 à 45' selon les conditions de circulation.
La ligne Envol offrira une liaison Aéroport-Grand Rond à une fréquence de 15 mn toute la journée, de 5 heures à 0 h15.
Par ailleurs, le réseau de bus va être restructuré sur le secteur : la navette aéroport sera maintenue, la ligne 66 (terminus à Saint-Cyprien) sera prolongée jusqu'à l'aéroport , une ligne de bus sera maintenue entre Blagnac centre et Toulouse Rive droite, des lignes de rabattement sur le tramway seront mises en place en heure de pointe depuis Mondonville, Aussonne, Cornebarrieu et Beauzelle; une ligne express sera créée entre Lespinasse, Gagnac, Seilh, la zone Aéroconstellation et l'aéroport.
Un projet bloqué par le Sicoval
Le Sicoval, qui regroupe les élus du sud-est toulousain, a voté contre l'approbation du programme de desserte de l'aéroport lors du dernier conseil syndical de Tisséo de décembre.
Même si la majorité du conseil a voté la délibération, qui déclenche la procédure de concertation publique, le refus du Sicoval, soutenu par le SITPRT (syndicat de communes du sud-ouest et nord-est toulousain, lui aussi membre de Tisséo), empêche en principe l'adoption du programme. Selon les statuts de Tisséo, en effet, il faut une majorité de 2 des 3 composantes du conseil syndical pour adopter les mesures engageant un investissement. Le Sicoval met en balance le prolongement du métro (ligne B) jusqu'à Labège.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 00:30

La violence contre les femmes n’est pas un dogme de l’islam
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Glendale Heights (Illinois) – J’écoutais la radio, l’autre jour, quand j’entendis, effarée, le rapport du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’homme sur l’omniprésence du viol en Afghanistan. En tant que musulmane, je sais qu’au cœur de ma religion sont enracinés
La justice et le pardon. Je me suis donc interrogée : comment les auteurs de ces actes ont-ils pu s’égarer si loin de la foi musulmane et des principes d’humanité la plus élémentaire ?
La notion selon laquelle le pardon, la compassion et la justice sont les fondements de l’islam et que ce principe inclut la façon dont les femmes doivent être traitées a trop souvent été oubliée ici. Plus triste encore, des versets du Coran ont été dévoyés pour valider la domination, ou pire encore, la violence sur la femme.
Le Coran précise bien la façon dont hommes et femmes doivent se comporter les uns envers les autres : «Les croyants et les croyantes sont alliés les uns des autres». (Coran 9:71). Pourtant, certains versets sont toujours détournés pour justifier le traitement inégal de la femme, comme : «Vos femmes sont votre champ de labour ; cultivez-le comme [et quand] vous le voulez.» (Coran 2: 223). A tort, on veut trouver dans ce texte le droit pour l’homme d’user du corps de la femme à sa guise.
Pour comprendre ce qu’il y a vraiment au cœur de ce texte, j’ai consulté Maher Hathout, conseiller principal au Muslim Public Affairs Council américain et expert reconnu de l’islam. «Il est malhonnête et éhonté de détourner ce texte pour lui faire dire le contraire de ce qu’il dit. Ce verset signifie que les relations intimes avec une épouse doivent être consensuelles et déboucher sur de bonnes choses, que ce soit une progéniture ou une intimité affective», a-t-il indiqué.
Alors pourquoi ces versets et tant d’autres donnent-ils lieu à tant de polémiques ?
M. Hathout explique : «La traduction tenait compte de facteurs sociaux. Ce qui est en jeu, c’est le choix du sens qu’on veut donner à un mot qui peut recouvrir de nombreuses nuances. Dans les sociétés où il était acceptable de traiter les femmes indignement, on adoptait la version qui arrangeait tout le monde, même si d’autres interprétations auraient été possibles. [Mais aujourd’hui,] nous devons chercher un autre sens dans ces textes et les interpréter différemment.»
Lorsque nous nous trouvons devant des textes qui ont souvent été l’objet de fausses interprétations à l’égard de la façon de traiter les femmes, “nous devons comprendre le Coran dans le contexte des actes du Prophète (QSSSL) et nous devons nous rappeler qu’il n’a jamais levé la main sur quiconque, à plus forte raison sur ses femmes”, dit M. Hathout.
Les cas de violence contre les femmes dans les sociétés musulmanes sont le fait d’une mauvaise connaissance de la foi ou d’un mépris pour les enseignements fondamentaux de l’islam — respect et compassion, justice et pardon. Ce que nous devons faire, c’est donc de revenir à ces dogmes fondamentaux et admettre que ces principes s’appliquent tout autant aux femmes qu’aux hommes.
Chaque jour, le musulman ordinaire se débat contre les clichés et les fausses lectures de l’islam, surtout ceux que propage une infime minorité d’extrémistes qui ont déformé certains aspects de la foi à leurs propres fins.
Et pourtant, pour bouleverser les mentalités, il suffit parfois d’une seule voix forte. Si la voix est locale, encore mieux. L’organisation afghane de femmes Revolutionary Association of the Women of Afghanistan (RAWA) en est un exemple. Ses dirigeantes risquent la mort chaque jour pour aider les Afghanes à s’élever contre les violences domestiques.
Plus nombreux ils seront, ces musulmans et ces musulmanes ordinaires, à refuser les violences contre les femmes et à rappeler aux gens que l’islam et le Coran prêchent la justice et le pardon, plus nous serons à même de corriger les interprétations erronées de notre Livre saint.
Le monde change à un rythme foudroyant jusqu’à présent. L’ère de l’information assure que des crimes épouvantables ne peuvent plus rester cachés et offre à ceux qui osent s’exprimer une tribune plus vaste pour être entendus. La bataille n’est pas gagnée, mais il est permis d’espérer.
* Naazish YarKhan est écrivaine, éditrice, conférencière et présentatrice à la (NPR) National Public Radio. Cet article est écrit pour le service de presse de Common Ground (CGNews).
Source Le Jeune Indépendant Naazish YarKhan
Le Pèlerin

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