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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 06:13

Algérie - Présidentielle 2009 - Le taux de participation définitif serait de 74.11 %

74,11%, tel est le taux de participation définitif à l’élection présidentielle de ce jeudi 9 avril 2009. Ce taux annoncé par le ministre de l’intérieur dépasse largement toutes les prévisions. Depuis 1995, à l’occasion de l’élection de Liamine Zeroual, les taux de participation aux élections ont rarement dépassé la barre des 60 %, mais cette fois, selon les chiffres officiels, c’est quasiment le raz de marée électoral. Que les chiffres soient justes ou gonflés, il n’en demeure pas moins que le pouvoir s’est offert ce qu’il voulait : une participation record. Abdelaziz Bouteflika qui, sans aucun doute, sortira vainqueur à la fin du dépouillement des bulletins de vote, obtient ainsi un véritable plébiscite. Bouteflika voulait être élu par le plus grand nombre d’algériens, de grès ou de force, pour qu’aux yeux du monde entier, il soit un président « très aimé » par son peuple.
Selon l’APS qui cite le ministre de l’intérieur, M Zerhouni, le taux de participation global à l’élection présidentielle, y compris celui de la communauté nationale à l’étranger, a atteint 74,11 %. Dans une déclaration à la presse depuis la salle des opérations au siège de son département ministériel, M. Zerhouni a précisé que le taux de participation au niveau du territoire national s’établit à 75,91%, alors que celui enregistré au niveau de l’émigration a atteint 36,48%.
Le ministre a ajouté que le taux le plus important a été enregistré dans la wilaya de Khenchela avec 97,42%, soit 197.668 votants parmi 202.893 inscrits, selon toujours l’APS, qui rapporte aussi que Bouteflika arrive en tête, après le dépouillement d’un certain nombre de bulletins de vote. L’APS indique que, le candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika arrive largement en tête du scrutin présidentiel de jeudi, selon les premières tendances enregistrées au niveau de plusieurs bureaux de vote sur le territoire national et à l’étranger et rapportées par la radio nationale.
Selon notre correspondant, A Tindouf, le candidat Abdelaziz Bouteflika s’est classé très loin en tête, comme l’indiquait déjà la tendance, en raflant 47 674 voix sur les 52 124 exprimées, soit 94,70%. Louisa Hanoune vient en 2ème position avec 866 voix (1,7%) alors que les quatre autres candidats n’ont pas dépassé la barre des 500 voix décrochées par Moussa Touati en 3ème position. Pour rappel le taux de participation a atteint 88,75%.
A la clôture des opérations de vote le taux de participation à Annaba a atteint 80.20 %, un chiffre qui est, selon notre correspondant, exagéré. Dans la wilaya voisine, El Taref la participation des citoyens à l’élection présidentielle à la fermeture des bureaux de vote, a atteint 86.82%.
A la fermeture des bureaux de vote dans la wilaya de Bejaia, le taux de participation officiel a atteint 29, 36 % soit 141 246 votants sur 481 052 inscrits.
Apres la fermeture des bureaux de vote, à 19 heures, le taux de participation à atteint 30, 75%, soit 196 937 votants sur les 640 412 inscrits, dans la wilaya de TizI Ouzou. Le taux le plus élevé a été enregistré dans la commune de Frikat, daïra de Draa El Mizan, avec 56, 96% alors que la région d’Illiltène, dans la daïra d’Iferhounène, occupe la derniere loge avec 20, 08%. Dans les autres communes de’ la wilaya de Tizi Ouzou, l’on note 28, 29% à Ain El Hammam, 25,67% à Bouzeguène, 24, 03% à Maâtkas, 25, 96% à Imsouhal et 27, 38 à Larbaâ Nath Irathen aisi que 28, 93% dans la commune d’Azazga. Rappelons, par ailleurs, que lors de l’élection présidentielle de 2004, l’on a enregistré 18, 84 % de participation dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Par ailleurs à Tiaret le taux définitif a atteint 84.89 % avec un pourcentage de 100 % dans la commune de Tidda. A Adrar le taux de participation à la fermeture des bureaux de vote est de 86,49 %. Notre correspondant à Mostaganem nous fait savoir que le taux de participation dans cette wilaya est de 81.13% à la clôture des opérations de vote.
Le taux de participation à l’élection présidentielle, y compris celui de la communauté nationale à l’étranger, a atteint jeudi à 18h00 62,18 %, a rapporté l’APS, citant le ministre de l’Intérieur M.Zerhouni. Dans une déclaration depuis la salle des opérations au siège de son département ministériel, reprise par l’agence officielle, M. Zerhouni a précisé que le taux de participation national a atteint 63,45 % et celui de la communauté algérienne établie à l’étranger à 35,57 %.
A Annaba le taux a atteint 73.18 % à 18h. Dans la wilaya de Tipaza le taux à 18h a dépassé les 65 % (65.84%), alors qu’à Saida il est de 73.24 %. A Bejaia le taux de participation évolue timidement, pour atteindre à 18h 25.45 %. Par contre à Naama et Tissemsilt le taux de participation à 18 h a atteint respectivement 12.03 % et 59.69 %. A El Tarf, il a atteint les 72.72% tandis qu’à Oran le taux est de 54.91% à 18h.
Dans la wilaya de Blida, selon les dernières informations approuvées par les services de la DRAG et qui viennent d’être communiquées à 18h00, le taux de participation global de la wilaya était de 65,11% à 18h00. Le taux le plus élevé a été enregistré à Mouzaïa où on parle déjà de plusieurs dépassements concernant « l’amplification » de taux de participation. Dans la wilaya de Ghardaïa le taux a atteint 53 % à 18h tandis qu’à il a stagné autour de 49 %.
A Tiaret, après l’annonce de 56,37 % à 16 heures, le taux est monté à 70,23% à 18 heures soit 340.461 votants sur les 484.757 inscrits. Avec l’entrain qui caractérise les gens du Sersou, l’on s’attend dit-on à battre le record de l’élection de 2004 qui avoisinait 75% à la clôture. Fait majeur, Tiaret le chef lieu et Sougueur, deuxième grande commune de la wilaya les taux enregistrés restent des plus faibles.
A Tindouf, à 18 heures, le taux de participation a atteint 82,77%, avec un nombre de votants de 48 611 sur les 58 731 inscrits. Non loin de là, à Adrar le taux est de 64,16 % pour 18 heures. Selon les sondages recueillis à 18 h, le nombre de votants à Relizane a atteint les 277467, totalisant ainsi un taux de participation de 75,01%.
Selon le ministère de l’intérieur, le taux de participation à l’élection présidentielle, y compris celui de la communauté nationale à l’étranger, a atteint jeudi à 16h30 48,89.
A Bejaia le taux a atteint 21.30 % contre 13.34 à 12h. A Tipaza, il a dépassé les 50 % atteignant à 15h 54.44% contre 33.85% à midi. Le taux de participation dans la wilaya de Tizi Ouzou, a atteint, à 16 heures, 21, 45% soit 137351 votants. La même situation est vecu à Adrar ou le taux a atteint à 15h, 51,21 % contre 36.57 en milieu de journée. A l’extrême ouest du pays, la participation reste toujours timide, puisque selon notre correspondant le taux de 15h ne dépasse guère les 26,24%.
Le plus curieux est que dans certaines wilayas les taux de participation sont presque triplés en deux ou trois heures. C’est le cas par exemple à Annaba ou le taux de 15h donne 62.96 % de participation alors qu’à midi il n’était que de 26.06%. Dans la wilaya de Chlef le taux a atteint 44,44 % en milieu d’après midi. A Oran le taux a légèrement évolué atteignant 38.27 % à 16h contre 19.38 à midi, alors qu’à Tiaret il est de 56 %. Dans la wilaya de naama, le taux de participation à 15h a atteint 57.90 %, selon notre correspondant sur place, alors qu’à Saida ce taux est de 53.35 %. Plus de la moitié des inscrits ont également voté à El Tarf, ou le taux de participation en milieu d’après midi a atteint 55.34%. Selon notre correspondant à Mostaganem le taux de participation communiqué par la wilaya et qui est de 56.23 % est loin de refléter la réalité vécue dans les différents centre de vote de la wilaya.
Le taux de participation à l’élection présidentielle dans la wilaya de Mascara a connu une hausse « importante », à 16 h. Il a atteint 50,64 % soit 236 498 votants sur les 467 030 inscrits sur les listes électorales à travers les 47 communes que compte la wilaya.

Source El Watan

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 23:53

Plus de 10 milliards d’euros d’échanges bilatéraux

Les échanges bilatéraux entre l’Algérie et la France ont dépassé les 10 milliards d’euros en 2008 contre 7,3 milliards d’euros en 2007, soit un accroissement de 41%, a indiqué la mission économique de l’ambassade de France en Algérie dans une note informative.
Les importations de la France en provenance d’Algérie ont atteint le seuil de 4,8 milliards d’euros en 2008 contre 3,1 milliards d’euros en 2007, ajoute la même source, en précisant que les importations d’hydrocarbures (pétrole et gaz naturel) en provenance d’Algérie ont représenté 5,7% des importations de combustibles et carburants de la France, plaçant l’Algérie au quatrième rang des fournisseurs de ces produits derrière la Russie, la Belgique et la Norvège. Les exportations de la France vers l’Algérie, de l’ordre de 5,5 milliards d’euros en 2008 (+32%), sont reparties à la hausse après un redémarrage modeste en 2007 (+2,8%) et une baisse en 2006 (-14%), indique encore la mission économique dans sa note, soulignant que l’Algérie a été ainsi, en 2008, le quatrième marché pour les exportations françaises hors pays de l’OCDE après la Chine, la Russie et la Turquie.
Ladite note précise que les exportations françaises vers l’Algérie ont représenté, en 2008, environ 37% de celles expédiées vers l’ensemble du Maghreb et de l’Egypte. La mission économique de l’ambassade de France en Algérie rappelle également que les exportations de la France vers l’Algérie sont restées supérieures à celles vers l’Autriche, la Suède, la Grèce, la Finlande, le Portugal, l’Irlande, le Canada, l’Inde, le Brésil, la Corée, le Mexique, l’Australie, Singapour, Hong Kong ou Taiwan. S’agissant des produits exportés vers l’Algérie, les biens d’équipements se taillent la part du lion avec 1,45 milliard d’euros (+26%).
Selon la même note, il s’agit essentiellement d’équipements mécaniques, électriques et électroniques. Viennent ensuite les produits agricoles et de l’industrie agroalimentaire avec 1,2 milliard d’euros. Les exportations en céréales sont de l’ordre de 886 millions d’euros, alors que les biens intermédiaires se chiffrent à près d’un milliard d’euros (+22%). Enfin, les produits de l’industrie automobile sont évalués à 825 millions d’euros (+23%) au moment où les produits pharmaceutiques et cosmétiques ont enregistré un chiffre de 707 millions d’euros (+23%). Le bulletin de la mission économique de l’ambassade de France souligne que plus de 9000 entreprises françaises ont exporté vers l’Algérie. Un pays qui reste pour la France le premier marché en Afrique et le quatrième hors OCDE, rappelle ladite note.
Par ailleurs, celle-ci prédit une année 2009 plus difficile pour les exportations françaises. « La baisse des revenus de l’Algérie, du fait de la chute du prix du pétrole, a conduit les autorités à vouloir mieux réguler le commerce extérieur et maîtriser en particulier les importations (instructions de décembre 2008 du Premier ministre). Les perspectives pour 2009 sont donc a priori moins brillantes, même si, pour le moment, les programmes d’investissement dans les infrastructures ne sont pas révisés », lit-on sur le bulletin de mission économique de l’ambassade de France en Algérie.

Source El Watan

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 23:49

Algérie - Le Raï, danse étrange entre Dieu et diable

De la dernière affaire Mami aux démissionnaires du raï qui se convertissent aux chants religieux comme Cheb Djelloul ou Chebba Zehouania, c’est tout un mouvement oscillatoire, entre noceurs et puritains, ivresse et hadj, scandale et hidjab. La musique algérienne la plus connue dans le monde navigue entre religion et hédonisme mais sa mort, annoncée chaque année, est repoussée. Sacré raï. Le raï, l’un des rares produits d’exportation du pays avec les hydrocarbures et les dattes, n’est plus actuellement sous les feux des projecteurs mais plutôt sous les néons des commissariats.
Le raï déraille, à l’image de Mami, l’un des plus connus mondialement, qui risque dix ans de prison pour une longue suite de délits dont le best of est la tentative d’avortement forcé, la séquestration et l’ingestion forcée de substances paralysantes, comme un vulgaire agent de la CIA à Alger. Le raï est sur la paille ? Ce n’est pas entièrement vrai puisque le raï et ses adeptes ont toujours traîné avec eux un parfum de scandale, lié à la personnalité et aux frasques de ses chebs et cheikhs, chabbates et cheikhates, toujours à la limite de la légalité et de la morale. Il y a dix ou vingt ans, l’affaire Cheb Mami n’aurait étonné personne. Pour Hadj Miliani, auteur et spécialiste du raï « L’affaire Mami est sortie de son cadre personnel et d’affaire justiciable pour prendre une dimension politico-judiciaire avouée ou non. » Les adversaires du raï ont bien sûr saisi cette occasion pour rappeler tout le mal qu’ils pensent de cette musique du diable, liée au soufre, élément naturel, à l’image du dernier tube de Abdou Skikdi « aâliha ndir scandale ». Khaled est en procès avec le fisc français à qui il doit près d’un million d’euros. Il y a quelques temps, Réda Taliani était encore interdit d’antenne pour avoir clamé la marocanité du Sahara occidental, succédant au Cheb Hindi qui déchirait son passeport algérien dans une chanson en forme de tube pré-harraga ouvrant les voies de la mer, ou encore Cheb Azzedine qui a fait de la prison pour avoir critiqué le wali de Chlef, bien avant les émeutes de 2008. C’est peut-être pour cette raison et face à la pression conservatrice que Cheb Djelloul, fer de lance du nouveau mouvement, a abandonné les cabarets pour se consacrer à Dieu mais sans abandonner la chanson. Comme il le dit lui-même, « je veux inventer un nouveau genre, le raï islamique. » Sortant des cabarets obscurs pour investir les boîtes branchées, (« Le raï c’est chic », comme le dit le tube de Mami), le genre s’est rapidement propagé à l’intérieur et à l’extérieur des frontières dès la sortie de l’ère du Cheikh Boumediene et à l’arrivée du Cheb Chadli avec ce vent de libéralisme qui a soufflé sur le pays. Le mouvement a commencé à s’inverser dans les années 90.

Combat musical entre le bien et le mal

Avec Cheb Hasni assassiné, c’est toute la jeunesse anticonformiste des années 80 qui reçoit une balle dans le dos et fait une marche arrière. A l’image de cette vieille chanson de Boutaïba Seghir, « Sidi Rabi Ghferli », les repentis sont légion depuis. Après avoir fait un tube l’année dernière « chkoun kan igoul » (qui l’aurait dit ?), Cheb Djelloul a jeté ses instruments de musique et sa vie pour passer de l’autre côté du miroir, en sortant des K7 d’anachids islamiya. Il prêche même avec des imams pour convaincre les autres chanteurs et chanteuses de raï d’abandonner le genre pour retrouver la voie de Dieu. Qui l’aurait dit  ? « Je demande tous ceux qui ont une K7 de mes chansons sayi’iets (mauvaises), de la brûler », déclaret- il. Le mounchid Djelloul, comme il s’appelle aujourd’hui, lance le raï islamique et une campagne avec un imam pour le retour des raïmens et raïwomens vers « sirat el moustaqim  » (le droit chemin). On annonce déjà Houari Dauphin, Reda Taliani, et Hasni Sghir, Cheb Redouane et Cheb Abbas dans le rang des repentis et El Mounchid Djelloul, ex-cheb Djelloul, explique attendre une fetwa de du Cheikh Qaradawi (si si, c’est un Cheikh), pour pouvoir chanter avec Chebba Kheira des anachids islamiques (c’est quand même une femme). En attendant, Djelloul prépare un duo avec un autre mounchid, syrien, Ihab Akram. Car c’est bien d’Orient que la vague est arrivée, avec cette mode des mounchids qui chantent Dieu sans complexe, pour la rédemption de tous, et la leur. Tout n’est pourtant pas fini dans le raï, Chebba Kheira est en colère, « ce que je fais, ne regarde que moi », passant des cabarets au hidjab puis tout récemment, du hidjab pour un retour remarqué au raï, où elle a été aperçue il y a quelques jours à Aïn Turk, sur la corniche oranaise, chantant dans un festival... de soutien à l’élection de Bouteflika. Tout comme Cheb Abdou, annoncé dans les prochains jours pour un festival du même genre, toujours pour Bouteflika. Qui est le diable ? C’est le même président Bouteflika, homme de l’Ouest, qui, il y a 2 ans, conviait en public Chebba Zehouania, la reine du raï, à « laver ses os » (rouhi eghessli aâdamek) et à aller au Hadj sur son invitation (et notre argent). Ce qu’elle fit, et de retour, mit le hidjab et sortit un album d’anachids « Sidi Mohamed rassoul allah ». Cheb Bilal fait la prière et ne boit plus depuis longtemps, Cheikha Rimitti est allée au Hadj des années avant de mourir en 2008 et Khaled a récemment déclaré être « prêt à prendre les armes pour défendre Ghaza ». A partir du Luxembourg où il s’est réfugié ? Non, à partir d’une nouvelle tendance morale du raï, qui se veut propre et irréprochable. L’un des derniers bastions de la contreculture dans une terre où le conservatisme a réussi à intimider toutes les expressions artistiques, est-il en train de tomber ? Oui et non, le raï oscille encore entre Dieu et diable, même si le deuxième reste en minuscule. Le raï chante encore tout haut ce que l’on fredonne tout bas et les contradictions de cette musique, genres authentiquement algériens (le raï et les contradictions), restent entières. Les chebs et chebbates vont-ils tous et toutes abandonner le raï ? Beaucoup n’y croient pas et en rient même. Lorsqu’elle est partie au Hadj, sur l’invitation du président Bouteflika, on raconte à Oran que durant la séance de lapidation du diable, pendant qu’elle lançait des pierres, le diable l’aurait regardée, déçu et désappointé, en lui disant : « hata nti benti » (même toi ma fille..).


Source El Watan

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 23:26

Mesdames, ne dites jamais ceci lorsque vous êtes devant la CHOSE

- Comme elle est petite!
- J'ai fumé des joints plus gros que ça.
- Tiens, mon dernier chum était gros comme ça.
- Pourtant, tes pieds sont si grands..!
- Tiens, elle est comme celle de mon petit frère qui est âgé de 9 ans.
- Ben oui, je comprends pourquoi tu as une Porsche.
- Même si elle est petite, elle fonctionne quand même?
- As-tu pensé à prendre des vitamines?
- Est-elle cachée?
- Mon Dieu, je peux enfiler mes bagues!
- C'est bon d'avoir d'autres talents!
- Je sais maintenant pourquoi il faut juger les gens sur leur personnalité.

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 23:06

Le cancer du Sein

Le Planning Familial nous demande de diffuser le plus largement possible cette 
Information :
Le chlorhydrate d'aluminium serait la cause de très nombreux cancers du sein.
Il s'agit de l'explication d'une des origines du cancer du sein.
C'est une spécialiste en biologie cellulaire qui l'a écrit, Mme Gabriela Casanova Larrosa de l'université d'Uruguay.
Ça ne fait pas longtemps que j'ai assisté à un séminaire sur le cancer du sein.
Pendant la période de questions - réponses, j’ai demandé :
Pourquoi l'aisselle est la place la plus commune pour développer le cancer du sein?
Ma question n'a pas eu de réponse alors, mais je viens de recevoir un courrier ou j'ai trouve la réponse à ma question, que je veux partager avec vous tous et toutes.
La cause principale pour le cancer du sein est l'utilisation D'anti-Transpirants
La plupart des produits sur le marché sont une combinaison d'anti-transpirants et déodorants.
Regardez, la composition de vos produits à la maison.
S'il y en a qui contiennent Le Chlorhydrate d'aluminium (même sous le nom de déodorants) Il faut les jeter à la poubelle et essayer des autres marques qui n'ont pas de 
composants sur base d'aluminium. Il y en a sur le marché...

La raison est simple.

Le corps humain a seulement quelques zones susceptibles d'éliminer des toxines : Derrière  les genoux, derrière les oreilles, l'entre jambes et les aisselles.
Les toxines sont éliminées sous forme de transpiration. Les anti-transpirants empêchent cette transpiration, donc Evitent la mission corporelle d'élimination de toxines au travers des aisselles. Ces toxines ne disparaissent pas. Elles sont stockées dans les Glandes lymphatiques qui se trouvent en dessous des bras. La plupart des cancers de sein sont origines dans cette 
 région supérieure du sein.
Les hommes sont moins susceptibles de développer ce type de maladie car même 
s'ils utilisent les anti-transpirants, ceux-ci restent sur les poils des aisselles et ne s'appliquent pas directement sur la peau.
Les femmes qui s'appliquent ce produit tout de suite après le rasage sont en train d'accroître le risque car les petites blessures causées par le rasage font que les produits chimiques pénètrent plus facilement dans le corps.
S.v.p., informez toutes les femmes et tous les hommes que vous connaissez.
Le cancer de sein prend aujourd'hui des proportions vraiment alarmantes.
Si avec cette notice nous pouvons en éviter quelques-uns, ça ne sera jamais du temps perdu.

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 20:41

Algérie: participation de 63,45% à 19h00
Le taux de participation à l'élection présidentielle en Algérie était de 63,45 % à 19 heures (18 heures, heure locale), selon le ministre de l'Intérieur Yazid Zerhouni, qui a fait d'état d'incidents à Bouira et Bejaia en Kabylie.
La participation est d'ores et déjà largement supérieure à celle enregistrée à l'élection de 2004 (58,07%).
M. Zerhouni a fait état de perturbations dans un bureau de vote à Tazmalt, près de Bejaia, à 250 km à l'est d'Alger, sans donner de détails.
Dans cette commune de Kabylie, un groupe de jeunes a fait irruption dans un bureau de vote réservé aux femmes et saccagé les urnes, selon des habitants joints par l'AFP.
De violents affrontements ont suivi entre des centaines jeunes et des forces antiémeutes dépêchées sur les lieux et le vote a été perturbé.

Source http://www.lefigaro.

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 06:11

Unanime, la presse française décrit une Algérie souffrante et fermée

 

« Un scrutin sur fond de frustrations et d'attentes sociales » (RFI), « Les Algériens votent dans un climat de désenchantement » (Le Monde), « Les enfants perdus de Zéralda » (Le Journal du dimanche) « Algérie : l’opposition étouffée avant les élections » (Le Monde Diplomatique), « Algérie : la jeunesse n'entrevoit aucun avenir » (Le Progrès), « Les Algériens boudent l'élection présidentielle » (RTL)…Depuis le début de la semaine en France, l’Algérie occupe une bonne place dans les médias locaux. Plusieurs grands journaux ont dépêché des envoyés spéciaux à Alger pour suivre les derniers jours de la campagne électorale et le déroulement du scrutin du jeudi 9 avril. Les autres suivent à distance mais avec beaucoup d’intérêt le déroulement d’une élection présidentielle inédite dont l’issue est quasi-certaine.
Mais en Algérie, les journalistes français ne se sont pas contentés de suivre les cortèges électoraux des candidats. Ils se sont intéressés à la vie des Algériens et au bilan du président sortant. Et, pour la première fois, le constat est unanime : les envoyés spéciaux, à travers leurs reportages, décrivent une Algérie souffrante, avec un taux de chômage élevé, des émeutes à répétition, une jeunesse désœuvrée dont l’unique but est de quitter le pays, une explosion des fléaux sociaux comme la corruption et la prostitution…Ils mettent en évidence ce qui est désormais appelé le « paradoxe algérien » : un pays riche avec un peuple pauvre et souffrant. Une situation difficile à comprendre.
Sur le plan politique, la presse française ne se fait guère d’illusion sur l’issue du scrutin du 9 avril.  Elle évoque une élection jouée d’avance, avec un candidat – Bouteflika- bénéficiant de tous les moyens de l’Etat et cinq concurrents inconnus en Algérie et à l’étranger qui ont accepté de jouer les figurants. Beaucoup de journaux évoquent un recul de la démocratie et des libertés en Algérie, et parlent d’un pays « fermé ». Un constat conforté par l’interdiction cette semaine en Algérie de trois publications françaises : L’Express, Marianne et Le Journal du Dimanche.

Source TSA

Le Pèlerin

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 06:02

Algérie - Les étrangers font du lobbying, Alger ne cède pas

 

Des contacts de haut niveau en cours pour convaincre la partie algérienne d’assouplir les conditions d’investissements étrangers. Des sociétés d'importation étrangères, implantées en Algérie, risquent de se retirer du pays et «pourraient décider de réexporter en Algérie à partir d'un autre territoire»
Le durcissement des conditions d'investissement étranger en Algérie, suite à l’instruction du premier ministre, Ahmed Ouyahia, du 23 décembre 2008, fixant de nouvelles dispositions en matière d'installation d'investisseurs étrangers, préoccupe le patronat français.
Les nouvelles règles, entrées en vigueur au début de cette année, interdisent, notamment, aux groupes étrangers de détenir plus de 49% du capital dans tout projet en Algérie et les obligent à s'associer avec des investisseurs nationaux. Entre mariage forcé avec un partenaire algérien ou plier bagages pour retourner en Europe où la récession économique à bon dos, la marge de manœuvre des investisseurs étrangers est réduite.
Les Français, premiers investisseurs étrangers en Algérie, sont les plus affectés par le durcissement des conditions d’investissement. Comme rapporté sur ces mêmes colonnes, le Medef (Mouvement des entreprises de France) a regretté, dans une réunion du 26 mars dernier à Paris, un enfoncement du climat des affaires en Algérie dans le rouge.
«La communauté d'affaires en Algérie est vraiment inquiète», a confié un participant à cette rencontre, cité par une publication spécialisée française, la lettre électronique hebdomadaire «MOCI news». Des sociétés d'importation françaises, implantées en Algérie, risquent de se retirer du pays et «pourraient décider de réexporter en Algérie à partir d'un autre territoire», précise cette source.
Parmi les mesures décriées par les investisseurs français: la décision de l'Algérie de garder la majorité du capital dans tous projets d'investissement impliquant des étrangers, mais surtout l'instruction du gouvernement obligeant les sociétés exportatrices étrangères (plus de 1.700 entreprises concernées) à accueillir, à hauteur de 30%, des partenaires algériens.
Ces mesures ont déjà fait réagir le président de la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie (CFCIA), Michel de Cafarelli. Le 11 mars, il a adressé une lettre au Premier ministre Ahmed Ouyahia. Cette initiative de protestation française a été menée conjointement avec la Chambre américaine de commerce en Algérie, selon des sources françaises, rapporte le site d’information «TSA». Le 26 mars à Paris, certains participants, présents à la réunion du Medef, avaient évoqué un possible retrait de «la mesure des 30%» après les élections présidentielles du 9 avril. Mais d'autres présents, plus prudents, ont estimé un tel changement peu probable.
Pour les experts, la solidité de la position de l’Algérie grâce aux réserves de changes et la grave récession économique qui bat son plein en Europe et en Amérique ne laisse aucun choix pour les investisseurs étrangers. L’Algérie est considérée, à ce jour, comme un marché porteur encore épargnée par la crise économique et financière internationale.

Resserrement du crédit à la consommation

Le durcissement des conditions d’investissements étrangers en Algérie a également touché les banques étrangères et, en particulier françaises, surtout après les pressions des autorités algériennes pour diversifier leurs portefeuilles d’affaires. L’étau semble se resserrer sur ces banques après la décision du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) de la Banque d’Algérie prise fin décembre 2008 pour l’accroissement du capital social de 2,5 milliards de dinars à 10 milliards de dinars (environ 100 millions d’euros).
Touchées de plein fouet par la crise financière internationale, ces banques étaient en train de réduire la voilure de leurs engagements, notamment dans le crédit à la consommation, lorsqu’est tombée la directive du CMC qui les oblige à redéployer leur portefeuille d’affaires. Les signes d’un resserrement du crédit à la consommation se sont multipliés depuis la fin de l’année 2008 dans les agences des enseignes françaises.
Un directeur de PME, client d’une des ces banques à Alger-centre, témoigne que son directeur d’agence s’est excusé, courant février, de ne plus pouvoir accorder de crédit personnel de «bien-être», une «quasi-facilité de caisse» plafonnée à 500.000 dinars, puis ramenée à 300.000 dinars, avant d’être stoppée «dans tout le réseau».
Face à cette situation difficile, des informations circulent dans les milieux d’affaires étrangers sur le lancement d’une initiative de grande envergure visant la création d’un lobby pour faire pression sur le gouvernement algérien. Des contacts de haut niveau sont en cours pour convaincre la partie algérienne d’assouplir les conditions d’investissements étrangers, mais vu les nouvelles orientations du gouvernement algérien, cette initiative a peu de chance d’aboutir.

Source Le Financier

Le Pèlerin

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 23:56

Algérie - Des délinquants attaquent une base d’ouvriers chinois

Algéro chinois en Algérie

Ils observent une journée de protestation contre l’insécurité à Constantine
Plus de 200 travailleurs chinois ont observé, hier, un débrayage sur le chantier de construction des 400 logements relevant du programme AADL dans la nouvelle ville Ali-Mendjeli de Constantine.
Le mouvement a été décidé en signe de protestation contre les violentes agressions qui les ont ciblés, ainsi que leurs biens, la veille, soit vendredi soir.
Une dizaine d’entre eux ont, en effet, été blessés et évacués aux urgences médicales, suite à de violents affrontements qui les ont opposés à une bande de jeunes délinquants des quartiers de la nouvelle ville. Ces derniers se sont attaqués à la base de vie où ne résident pas moins de 200 travailleurs chinois.
Munis de blocs de pierre et autres armes de fortune, une vingtaine de jeunes habitant Ali-Mendjeli, un quartier aussi grand qu’une wilaya de l’intérieur du pays avec plus de 80 000 habitants, ont fait irruption dans le site où ils s’en sont pris aux véhicules de service avant de faire une incursion musclée dans les dortoirs. Une fois à l’intérieur, ils détruiront tout ce qu’ils trouveront sur leur passage. Il a fallu l’intervention énergique des services de sécurité, dépêchés en grands renforts depuis les unités présentes dans la mégacité, pour ramener le calme, évitant le pire à des employés immigrés et loin de leur pays et des leurs. Selon une source sûre, les forces de sécurité ont interpellé cinq jeunes délinquants qui auraient, en attendant l’enquête en cours, pris part activement à la razzia. À l’origine de ces émeutes, une tentative d’agression pour vol dont a fait l’objet un des travailleurs chinois qui revenait du chantier des 400 logements, situé à proximité des tours AADL. Il était 19 heures, lorsqu’une bande de jeunes a pris à partie le ressortissant chinois et a tenté de lui voler son téléphone portable. Une bagarre alors éclate entre les agresseurs et d’autres travailleurs chinois venus au secours de leur collègue, avant que ces derniers n’arrivent à clore l’incident, sans gros dommages.
Cela n’a pas été du goût des jeunes qui ont rameuté la cavalerie et se sont attaqués à la base de vie des travailleurs chinois. En plus des dégâts matériels enregistrés, on déplore une dizaine de blessés parmi les ressortissants qui se sont refusés à tout commentaire à la presse, préférant ainsi laisser l’affaire entre les mains de la justice en laquelle ils disent placer toute leur confiance.
Une réunion d’urgence a réuni, dans la journée d’hier, les travailleurs chinois avec les responsables de projets AADL, afin de décider de la ligne de conduite à tenir face à la vague de violence à laquelle ils font face depuis quelque temps, avons-nous appris de sources locales.
Ce n’est pas la première fois que les travailleurs chinois font l’objet d’agressions en Algérie. Exerçant en majorité dans le bâtiment, ces ressortissants activent dans les chantiers de l’AADL. Grâce à leur force de travail et à leur discipline, ils ont pu livrer les premiers chantiers dans les délais. Les Algériens, qui deviennent visiblement de plus en plus racistes, gagneraient à suivre l’exemple des peuples qui font du travail une des sources de richesses et de développement.

Source Liberté

Le Pèlerin

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 23:17

Humour - Voiture islamique

Un Saoudien rentre chez un concessionnaire Mercedes de Riyadh.
Il avise une superbe berline rutilante, qu'une pub désigne comme "la première voiture 100% islamique".
Le concessionnaire lui explique :
- C'est le dernier cri de la technologie, une boîte automatique à commandes vocales.. Pour démarrer vous dites "Bismillah", pour accélérer vous dites "Hamdulillah", pour freiner vous dites "Subhanallah".
- Génial, dit le client. Je peux l'essayer ?
- Mais je vous en prie !
Alors le mec se met au volant. "Bismillah" : c'est parti... "Hamdulillah" : la voiture accélère... Le voilà sur la route. Le moteur est silencieux, le confort impeccable, l'air conditionné, il monte à 140...
Soudain en haut d'une côte il voit que devant lui la route est coupée par un précipice, car un pont s'est effondré. Horreur ! Freiner, vite !!!
"Euh... Allahu akbar ! Non c'est pas ça ! Mashallah, Mashallah !!! Non c'est pas ça ! Meeerde !!! C'était quoi ??? Ah oui : Subhanallah ! Subhanallah !!!" A la dernière seconde, la voiture freine et s'arrête pile sur le bord du précipice...
Alors le mec essuie la sueur de son front en soupirant :
- "Ouf ! Hamdulillah !"
Son enterrement a eu lieu le lendemain.

Le Pèlerin

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