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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 07:07

 Bouteflika conditionne une amnistie générale des terroristes à la tenue d’un référendum

Le candidat Abdelaziz Bouteflika a estimé, lundi 6 avril, qu'une amnistie des islamistes armés encore actifs passera par un référendum. « Il n'y aura pas d'amnistie générale sans référendum car c'est le peuple qui pardonne et nous ne ferons qu'appliquer, en toute souveraineté, sa décision », a déclaré M. Bouteflika durant son dernier meeting électoral à la Coupole d'Alger.
M. Bouteflika a précisé qu'une telle amnistie n'interviendrait qu'après "la reddition définitive et complète" des "derniers groupes terroristes qui sévissent encore". Mais il a averti que les forces de sécurité "viendront à bout de ces groupes terroristes qui ne saisiront pas l'opportunité qui leur est offerte de reprendre leur place dans la société". "Nous n'abdiquerons pas face à ceux qui continueront dans la voie de  la terreur et de la dévastation", a-t-il dit.

Source TSA


Le Pèlerin

 

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 06:51

La formule valable en été - 50% de réduction sur les lignes de l’ENTMV
 

 

La convention a été conclue hier entre ce transporteur maritime et le ministère de la Solidarité, qui annonce de nouvelles dispositions pour la saison estivale.Geste inédit de la part des responsables algériens qui font bien fort en allant jusqu’à accorder des gratuités et des réductions conséquentes sur les titres de transport pour motiver les enfants du pays à faire un tour du côté du “bled”. Pas moins de 50% de réduction sur les billets pour les voyageurs à bord des car-ferries de l’Entreprise nationale de transport maritime des voyageurs en plus d’une gratuité totale pour les enfants de 0 à 3 ans.
Il est évident que les véhicules ne sont pas concernés par ces nouvelles mesures qui s’adressent notamment aux retraités et aux jeunes — une cible très importante — touchés par la gratuité sinon une réduction très importante selon les cas et dont l’identification sera fournie à l’issue d’un travail minutieux qui sera accompli par les services des affaires étrangères. L’argument avancé par les autorités compétentes est de taille puisqu’il dit ne concerner que les familles à faibles revenus. “C’est une aide et non de l’assistanat”, dira Djamel Ould - Abbès, ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger. Invité sur le paquebot Tariq-Ibn-Zyad à l’occasion de sa remise à flots après un lifting accompli récemment, le ministre a déclaré au port d’Alger que de nouvelles dispositions viennent conforter les actions déployées l’année dernière lors de la saison estivale.

Le Pèlerin

“25 espaces d’accueil ont été mis sur pied en plus de 4 points frontaliers avec tout ce que cela suppose comme logistique, le psy y compris. Les services de sécurité et des douanes ont été également mis à contribution dans le but de faciliter aussi bien les arrivées que les départs de nos ressortissants qui viennent passer leurs vacances au pays”, explique M. Ould-Abbès et d’indiquer que son département prendra en charge, lors de la saison estivale prochaine qui débute le 15 juin, ces mêmes vacanciers au niveau des ports et aéroports à destination finale pour ceux qui continuent leur périple de la capitale en direction des villes de l’intérieur sans exclure leur hébergement. Le ministre ne soufflera mot sur la faisabilité de l’opération dont il assure la maîtrise totale. “Bien des équipes ont travaillé là-dessus”, dira-t-il, ajoutant qu’après concertation avec les responsables de l’ENTMV, pas moins de trois bateaux (trois traversées) seront consacrés aux enfants algériens résidant en France pour venir passer des séjours de vacances en Algérie.
Ces derniers seront pris en charge totalement par le ministère de la Solidarité pour reproduire, ainsi, l’expérience menée l’année dernière qui avait donné beaucoup de satisfactions. Des enfants algériens venus de Tunisie, du Maroc, de la Syrie, du Liban et d’Égypte sur invitation du ministère ont découvert pour la première fois leur pays.
“Ces nouvelles dispositions concerneront des centaines de milliers de familles dont un nombre important rencontré lors de mes déplacements m’ont transmis leurs préoccupations que l’État algérien a prises en compte”, insistera M. Ould-Abbès convaincu qu’il est grand temps de rapprocher notre communauté établie à l’étranger de nos représentations diplomatiques et lui donner la possibilité de devenir représentative, mais aussi de pouvoir être en contact permanent avec le pays et la famille. Le ministre a saisi l’occasion pour rendre hommage au travail mené par l’ENTMV qui vient de prendre la décision d’encourager les compétences algériennes en leur confiant une partie de la rénovation de ces paquebots. “C’est une grande fierté pour l’Algérie. L’Erenav est tout à fait en mesure d’assurer une partie de la rénovation et c’est ce qui se fera dorénavant”, affirmera M. Ahcène Grairia, P-DG de l’ENTV, dont l’entreprise fonctionne avec trois navires et plus de deux autres affrétés chaque saison estivale.
Source Liberté
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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 06:45

Métro d’Alger - Grande Poste-Haï El Badr : En voiture, SVP !

La mise en service du métro d’Alger connaîtra un léger retard. « L’exploitation commerciale du métro interviendra durant la fin 2009 », a déclaré à ce propos Amar Tou, ministre des Transports hier en marge d’une visite d’inspection sur les chantiers du métro d’Alger. On se souvient que Daho Ould Kablia, ministre délégué chargé des Collectivités locales, avait avancé l’été 2009, comme date de mise en service. « Nous avons jusqu’au 31 décembre », a ajouté M. Tou.
Celui-ci a révélé que des travaux d’extension du métro d’Alger vers d’autres localités de l’est et de l’ouest d’Alger (Aïn Naâdja, Baraki, El Harrach) ont été déjà entamés. Le lancement des essais dynamiques d’une trame du métro d’Alger a été rehaussé par la présence de Amar Tou, ministre en charge du secteur, Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Chakib Khelil, ministres de l’Energie et des Mines, et Azzedine Mihoubi, secrétaire d’Etat chargé de la communication. La délégation officielle a étrenné une rame du métro entre la station Mer et Soleil, en passant par celle de Amirouche avant de chuter sur celle des Fusillés.
Avec la mise en place d’escaliers électriques et des distributeurs automatiques de tickets, les travaux d’équipement des stations de Haï El Badr et de Mer et Soleil sont presque achevés. Hier, le ministre affichait une mine triomphale. « Ce qui était un rêve de la part de beaucoup d’Algériens est devenu une réalité. Nous allons continuer les essais d’expérimentation technique, car ceux-ci ont un rapport avec la sécurité des futurs voyageurs. Nous mettons beaucoup d’efforts sur le maintien », a indiqué le ministre, en précisant qu’« il reste encore quelques retouches à apporter au niveau esthétique ». Interrogé, par ailleurs, sur les facilitations à mettre en place en faveur des handicapés, M. Tou a estimé qu’il y aura des solutions en faveur de cette frange de la société. Le ministre a rappelé, par ailleurs, qu’une seconde promotion de la police du métro, qui suit une formation, sortira bientôt pour assurer la sécurité des voyageurs au sein du métro d’Alger.

Source El Watan

Le Pèlerin

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 05:25

Abruzzes - Italie : ils ont vécu le séisme

Dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 avril, la terre a tremblé en Italie. Un séisme d'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter a frappé L'Aquila, une ville de 68 000 habitants dans la région montagneuse des Abruzzes sur la côte adriatique, à l'Est de la botte italienne.
Plus de 150 morts, 1.500 blessés et 50.000 sans-abri et des dégâts considérables...
Le centre de l'Italie a été frappé lundi par un violent tremblement de terre, le pire dans la Péninsule depuis plus de dix ans, qui a fait au moins 150 morts, 1.500 blessés, et 50.000 sans-abri, selon le dernier bilan provisoire.
Des sources hospitalières ont fait état de plus de 150 morts dont 98 identifiés lundi soir, selon les services de secours, cités par l'agence de presse Ansa.

Plus de cent personnes ont été sorties vivantes des décombres au cours de la journée, selon un nouveau bilan des pompiers.
Le nombre de sans-abri pourrait atteindre 70.000, selon une source gouvernementale.

L'Aquila, 60.000 habitants, capitale de la province montagneuse des Abruzzes (à environ 100 km au nord-est de Rome) a été dévastée ainsi que plusieurs bourgs environnants par la secousse qui a frappé la région à 03h30 (01h30 GMT) du matin.

"C'était l'apocalypse, vingt secondes d'enfer, c'était très long. Ma maison est détruite", a raconté une habitante, Maria Francesco.
Le chef du gouvernement Silvio Berlusconi, qui a décrété l'état d'urgence, s'est rendu sur place, promettant aux rescapés que "personne ne serait abandonné" et l'installation avant la nuit d'un village de tentes pouvant abriter de 16.000 à 20.000 personnes. Il a annoncé qu'il se rendrait de nouveau sur place mardi.
Lundi soir, un étrange silence planait sur L'Aquila qui avait l'allure d'une ville fantôme, a constaté une journaliste de l'AFP.

"Une partie des habitants sont partis de leur propre gré, et d'autres y ont été incités par les autorités car de nombreux édifices sont devenus dangereux (...) la majorité du centre historique est à présent vide de ses habitants", a expliqué à l'AFP un responsable de la sécurité civile.

Beaucoup d'habitants de cette cité médiévale du XIIIe siècle, bourgeoise et commerçante, avaient commencé à quitter les lieux dès le début de la matinée par peur des répliques. Une valise à la main, une couverture sur les épaules.
La protection civile décompte plus de dix mille maisons et édifices endommagés dans la région par cette secousse d'une magnitude du moment de 6,2 et dont l'hypocentre se situait sous la ville.
Dans le centre historique, pas une rue n'a été épargnée, des tas de pierres, de tuiles et de gravats jonchent le sol. Dans cette zone riche en monuments baroques, plusieurs églises et un château du XVe siècle ont été endommagés. Un hôpital a dû être en partie évacué car il menaçait de s'effondrer. Les blessés les plus graves ont été évacués vers les hôpitaux les plus proches.
Des équipes de sauveteurs avec des chiens et des engins lourds se sont aussitôt mis au travail pour tenter de retrouver des survivants, tandis qu'un orage s'est abattu dans la région en soirée, compliquant les opérations de secours.

Le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni, qui a annoncé l'arrivée de 1.700 hommes en renfort, dont 1.500 pompiers, a affirmé à la télévision que les recherches se "poursuivraient jour et nuit".
Les images en boucle des télévisions montrent des toits effondrés, des routes jonchées de pierres tombées de la montagne.
D
e nombreuses voitures sont écrasées par des moellons ou des corniches, un clocher s'est écroulé et la coupole d'une église s'est effondrée, laissant des fresques à l'air libre.

Une dizaine de casernes, stades ou gymnases ont été aménagés en centres d'accueil pour les habitants alors que la température chutait à 4° dans la soirée.
Trente millions d'euros ont été débloqués d'urgence, a annoncé M. Berlusconi à l'issue d'un conseil des ministres extraordinaire. Selon une première estimation du ministre des Infrastructures Altero Matteoli, des fonds d'1,3 milliard d'euros seront nécessaires pour la reconstruction des bâtiments et des maisons privées.
M. Berlusconi a précisé que "35 pays au total" avaient offert leur aide à l'Italie mais que "dans l'immédiat", celle-ci n'était "pas nécessaire".
Le pape Benoît XVI prie "pour les victimes, en particulier pour les enfants" décédés, a indiqué le Vatican.
Alors que le bilan ne cesse de s'alourdir après le séisme qui a frappé le centre de l'Italie, des habitants, encore sous le choc, témoignent.
« J'étais au lit et je me suis retrouvée par terre »
Angela, qui vit à Capistrello dans les Abruzzes, à moins d'une heure de L'Aquila, a ressenti le tremblement de terre : « j'étais au lit, seule ; la première secousse a eu lieu à 3h30 et je me suis retrouvée par terre, tout bougeait dans ma chambre. J'entendais des gens en bas mais moi je ne suis pas descendue et j'ai bien fait car avec la deuxième secousse, je risquais de tomber dans les escaliers. J'ai une voisine qui travaille à L'Aquila et qui y est allée ce matin... Elle m'a dit que c'est catastrophique là-bas ; il y a déjà plus de 30 morts ; une belle église du 17ème siècle s'est écroulée... Même dans mon village, quelques vieilles maisons sont tombées. Heureusement, il n'y a pas eu de mort à Capistrello mais la peur est là... »
« Je suis bloquée, je ne peux pas rentrer chez moi »
Natalia-Maria Coppa, consule française qui habite les Abruzzes, est en ce moment à Rome, qui est à environ 80 kilomètres de l'épicentre : « on ne peut pas traverser l'Autostrada et moi je suis bloquée, je ne peux pas rentrer chez moi. Je suis les nouvelles à la télévision et je parle régulièrement avec quelqu'un là-bas qui me dit "on est en train de travailler beaucoup pour voir s'il y a des gens encore sous les bâtiments qui sont tombés", comme l'église principale de L'Aquila et une partie de la préfecture. »
« Des séismes réguliers dans cette région »
Christiane Nicoli, analyste sismologue auprès du Réseau national de surveillance sismique, rappelle que « l'Italie est une région sismique, et en particulier la région montagneuse des Abruzzes où la chaîne des Apennins travaille. Il y a régulièrement des séismes dans cette région, ajoute-t-elle, mais celui-ci est relativement élevé avec plus de 6 de magnitude ; cela fait donc partie de ce qu'on appelle les séismes destructeurs. Depuis cet événement, il y a plein de répliques, plus faibles mais qui se font sentir. Les plus grosses secousses ayant l'air d'avoir eu lieu, on peut penser que ça va se calmer dans les heures à venir. »

Source RMC.fr/MSN

Le Pèlerin

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 23:56

Délicieuse ..Non...!!!!




Allez donc comprendre...!!!!

le Pèlerin

 

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 23:24

Algérie - Une société française réalisera le téléphérique entre Bab El Oued et Zghara, à Alger

Le nouveau téléphérique qui reliera les quartiers Bab El Oued à Zghara, à Alger, sera réalisé par l'entreprise française Pomaglaski. Le contrat a été attribué par l'Entreprise du métro d'Alger (EMA), qui gère les projets de transports urbains dans le pays. Montant : 10 millions d'euros.  Il concerne l'étude et la réalisation d'une télécabine entre ces deux quartiers populaires de la capitale. Le délai de réalisation est fixé à 12 mois.
Outre les téléphériques, le gouvernement a décidé de réaliser notamment un funiculaire sous terrain pour relier la place Tafourah (centre d'Alger) à El Biar, un tramway et des extensions du métro d'Alger pour doter la capitale de transport modernes afin de réduire les embouteillages qui rendent la circulation difficile à Alger.

Source TSA

Le Pèlerin

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 23:23

Santé - 4 stratégies anti-poches sous les yeux

Le thé...
Riche en tanins, il "attire" l'eau qui stagne dans les tissus. Le geste le plus rapide ? Appliquez des sachets de thé préalablement tiédis et refroidis sur vos paupières closes.
Le lait...
Est-ce l'acide lactique, le glucose ou le calcium ? Le lait froid utilisé en compresses glacées pendant dix minutes fait des miracles sur les paupières gonflées. Apaisement assuré !
Le bleuet...
Ce n'est pas un hasard si, au XVII e siècle, on surnommait cette fleur bisannuelle " casse-lunettes ". Après l'avoir pilée avec de la rosée ou de l'eau de pluie, les apothicaires l'utilisaient pour calmer les yeux fragiles et irrités. Elle est aussi astringente (elle resserre les tissus), donc antipoches.
Le sésame...
Placez un sachet de graines de sésame sur les paupières pendant une quinzaine de minutes. Le poids des graines exerce un effet relaxant et drainant sur cette zone du visage.
Et le traitement chirurgical ?Lorsque les paupières inférieure et supérieure se relâchent, la graisse située autour du globe oculaire pour le protéger a tendance à s'y accumuler, formant ces fameuses "poches" qui attristent le regard à partir de 40/50 ans . Les yeux ovales "slaves", type Marina Vladi, étant généralement plus vulnérables que les yeux creux, type Greta Garbo. Il arrive également que les poches aient un caractère familial, et affectent hommes et femmes dès l'âge de 25/30 ans. Dans les deux cas, le traitement définitif proposé par les ophtalmologues et les chirurgiens esthétiques est chirurgical. Il consiste à éliminer l'excès de graisse située dans les paupières inférieure et supérieure, et à retendre cette dernière. La cicatrice est invisible. L'intervention s'effectue sous anesthésie locale assistée, ou générale.

Source Topsante.com

Le Pèlerin

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 07:58

Tipasa: Que devient la zone d'activité de Hattatba ?

 

Située à 1 500 mètres de l'intersection menant vers la ville de Hattatba, via la route nationale, cette zone d'activité de 10 hectares avait été identifiée en 2004 par le CALPI, en vue de promouvoir des activités de production, de l'artisanat et de PME/PMI pour toute la wilaya de Tipaza. Cependant, la situation de cette immense parcelle de 10 hectares est devenue complexe du fait qu'à l'origine, elle constituait une zone d'extraction de tuf destiné à l'élargissement de la route nationale N°11.
Toujours dans le cadre de l'historique de cette zone d'activité de Hattatba, sa gestion fut confiée à l'EPLF, qui n'avait ni finalisé ni géré le projet, cela avait permis à un investisseur de s'installer et de travailler sur un projet de production sur une grande superficie de la zone d'activité. Devant cette situation, en août 2007, il a été procédé à l'annulation de la mission de l'EPLF sur le site sachant que son rôle n'est pas de gérer une zone d'activité, mais la gestion et la promotion des logements.
Ce fut l'agence foncière de Tipaza qui s'est substituée au rôle de l'EPLF sur le site. L'agence foncière a donc repris tout le dossier et l'a traité conformément à la réglementation. Ce transfert de gestion et de prérogatives avait permis de régulariser la situation de la zone d'activité. A ce titre, des priorités furent arrêtées, notamment pour la réalisation des VRD, du raccordement de la zone d'activité au réseau primaire et secondaire.
La Sonelgaz fut mise à contribution pour procéder à l'alimentation de la zone d'activité en gaz de ville et son raccordement au réseau électrique, tout en veillant à lutter contre les constructions illicites qui furent érigées dans le périmètre de cette zone.
Cette zone d'activité, longtemps squattée par des indus occupants qui habitaient illicitement au vu et au su de tous, connaîtra-t-elle le même sort que celle de Sidi Amar ?

Source Le Quotidien d’Oran

Le Pèlerin

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 07:48

L’Algérie et la Blessure Kabyle

Faut croire que l’approche de l’élection présidentielle d’avance gagnée par qui vous savez aide à délier les langues. Automatismes, jeu des mécanismes de l’inconscient triomphant, abandon de la prudence de langage à l’orée de la victoire ? Le fait est que les aveux pleuvent.
Evidemment, comme il se doit, l’intérêt de ces aveux est que, sans être des scoops, ils valident la reconnaissance formelle de faits connus de tous.
Que ce soit dit par ceux qui jusque-là se sont tus ou ont carrément nié, c’est ça de pris. Le premier aveu est de Mohamed Teguia, président de la Commission nationale de surveillance (soulignez ce mot, il est capital) de l’élection présidentielle. Courageux ministre de la Justice en son temps, cet homme est connu pour son indépendance. Théoriquement, il est tenu de veiller à la loyauté de la campagne et, pour les candidats, à l’équité dans l’accès aux moyens publics. Il devrait même sévir s’il constatait des irrégularités ou des inégalités de traitement. Dans la réalité, il n’en est malheureusement pas ainsi. Mohamed Teguia concède l’incapacité de la commission qu’il préside à stopper «les dérives de l’administration ». Il l’admet du bout des lèvres mais ça reste assez audible pour être entendu. L’administration, qu’il n’arrive pas à endiguer, en principe vouée à la neutralité, s’est mise au service du seul Abdelaziz Bouteflika. Nul ne l’ignore, personne ne le dit. L’autre aveu est plus crucial. Le président de la Commission qui tient entre ses mains la justice et l’impartialité du scrutin avoue implicitement qu’il joue luimême non seulement pour le candidat Bouteflika, ce qu’on avait subodoré, mais contre les autres candidats ! Mohamed Teguia est-il choqué que le candidat «indépendant» utilise l’avion présidentiel pour ses déplacements de campagne ? Non ! Parce que le candidat est encore président au moment où je vous parle et, en tant que tel, il reste «le garant des intérêts de l’Etat». «Son temps est précieux » et il ne va pas s’amuser à «prendre le bus ou la route». Il est candidat comme vous, madame et messieurs. Presque comme vous. Car il continue à être président. Ce n’est plus, de ce fait, un candidat comme un autre. Le pire est que le président de la commission de l’impartialité demande aux autres candidats d’être compréhensifs de cette partialité. Il les inviterait à la complicité. Mais oui, il leur demande de faire la distinction entre le président et le candidat dans l’acte du candidat à voyager comme président ! Il nous prévient : «Je ne vais pas lui interdire de prendre l’avion !» Le président de la commission rappelle que le président est président jusqu’au 10 avril et que, jusqu’alors, «il a des obligations» proportionnelles à son statut. A ce titre, il a le droit d’utiliser la logistique de l’Etat. L’impartial condescend à comprendre «ces agitations », c’est-à-dire la dénonciation par les autres candidats de l’inégalité dans l’accès aux moyens publics, après le 10 avril. Que la campagne électorale finisse le 9 avril, il est le mieux placé pour le savoir. Le mieux placé aussi pour veiller à ce qu’aucun candidat ne soit privilégié sur un autre. D’après lui, s’il faut se rebiffer, c’est après le match. Dur d’encaisser que des positions aussi basiquement partiales soient le fait de l’arbitre lui-même. Déception que ça vienne d’un homme dont le parcours témoigne de la résistance à l’esprit et aux agissements du système. Dans un autre monde, de la place où il se trouve, à la tête d’une commission censée donner de la respectabilité et de l’honorabilité au scrutin, on aurait attendu de Mohamed Teguia un discours autre. Ne le tient-il pas, en creux, ce discours ? On l’entend, entre les lignes. L’aveu est trop gros pour n’avoir pas de deuxième degré. L’arbitre se disqualifie en avouant qu’il est tout à la fois impuissant à mener le match et rangé aux côtés d’un joueur. L’autre aveu vient d’Abdelaziz Bouteflika luimême. Ce dernier jurait en 1999 : «Moi président, jamais tamazight ne sera langue nationale.» Quand on profère des mots d’airain comme ceux-là, il est difficile que s’ensuivent des relations sereines avec la Kabylie, comme il sied à un chef d’Etat algérien d’en avoir. Pas simple de recouvrer un dialogue responsable avec une région rétive à l’autoritarisme structurel quand on a dit à des citoyens : «De loin, je vous voyais des lions, vous êtes des nains.» Et puis, il s’est passé ce qui s’est passé. Les événements de 2001 nous ont fait découvrir que, dans cet Etat dont les hérauts chantent la démocratie incantatoire, on pouvait tirer sur des gosses sans plus d’effets. Mieux. On peut, en tant que magistrat suprême, commanditer une enquête, comme ce fut le cas avec la Commission Issaâd, et rejeter bruyamment ses conclusions. Parce qu’elles étaient accablantes pour les forces de sécurité ? Lesté de ce passif, Abdelaziz Bouteflika retourne en Kabylie. Outre les évidences électoralistes selon lesquelles une Kabylie sans l’Algérie est autant inenvisageable que l’inverse, il fait une déclaration qui devrait être suivie des conséquences pratiques : «Je ne sais pas jusqu’à l’instant, du poste où je suis, comment et ce qui a provoqué cette tragédie nationale qui s’est décuplée.» Il parle du Printemps noir dont les plaies ne sont pas encore cicatrisées. Pour amoindrir le taux d’abstentionnisme prévu massif en Kabylie, il se dédouane en plaidant l’ignorance. Cependant, on peut ignorer beaucoup de choses, sauf celles qui sautent aux yeux : 125 jeunes ont été tués. Ce sont des gendarmes qui les ont tués. Du laxisme à l’égard des assassins ou de l’ignorance de ce qui s’est passé, qu'est-ce qui est le plus grave ? De fait, et c’est sans doute ce qui garde sous la cendre le feu vivace, on voit bien dans l’attitude du président de la République, dans ce qu’il dit, qu’il singularise la Kabylie. Après ça, on veut qu’elle ne se singularise pas elle-même. Après une déclaration comme celle-là, on devrait mettre en place des instruments d’enquête indépendants pour déterminer les responsabilités, à tout le moins rouvrir le rapport Issaâd. Une autre phrase de Bouteflika est passée inaperçue alors qu’elle est chargée de sens explosif. «Vous avez dit que l’Algérie est amazigh de façon brutale. En face, des opposants ont réagi de façon brutale.» Mais ils avaient des armes, ces opposants ! Et ils s’en sont servis ! Des mots, pour passer le gué. Rien d’autre. N’empêche que la blessure kabyle reste ouverte. Quoi que fassent ou disent le candidat «indépendant» et ses relais locaux !

Source Le Soir d’Algérie

Le Pèlerin

 

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 23:55

Énergies renouvelables : “Une nouvelle stratégie se prépare”

 L’objectif des pouvoirs publics est de porter à 30% la part des énergies renouvelables dans le bilan énergétique du pays à l’horizon 2050.

En ce contexte de crise financière mondiale, accélérer le développement des énergies renouvelables en Algérie devient une urgence. Car il s’agit de préparer dès aujourd’hui l’après-pétrole, l’avenir des générations futures, les ressources fossiles, principalement pétrole et gaz, sont limitées, épuisables et non renouvelables. C’est ce qui ressort, entre autres points importants de la conférence-débat sur les énergies renouvelables organisée, hier, par Care, le cercle algérien de réflexion autour de l’entreprise à l’école supérieure algérienne des affaires. En guise d’introduction au débat, le P-DG de Neal, Derradji Badis, a exposé une présentation sur les énergies renouvelables en Algérie. Parmi les points saillants développés : le potentiel important de l’Algérie en énergies renouvelables, surtout dans le solaire : un territoire très vaste d’une superficie avoisinant les 2,4 millions de kilomètres carrés dont le Sahara représente 80% du territoire, une durée d’ensoleillement jusqu’à 3 500 heures… En ce sens, le premier responsable de Neal, l’entité constituée entre Sonatrach et Sonelgaz, a indiqué que les pouvoirs publics préparent un programme de développement de ces sources alternatives visant à porter à 30% la part des énergies renouvelables dans le bilan énergétique national à l’horizon 2050. Une stratégie plus ambitieuse se prépare donc accordant une place plus importante aux énergies renouvelables. Il s’agit de développer une capacité de production de 17 000 MW pour le marché local et 6 000 MW pour l’exportation. Le co-animateur de la conférence-débat a ajouté qu’un plan intermédiaire 2008-2017 est mis en œuvre et ayant pour objectif de porter la part des énergies renouvelables à 5% à la fin 2017. Il s’agit de développer une capacité de production d’électricité de 700 MW via les énergies renouvelables : réalisation notamment de deux centrales hybrides solaires-thermiques de 70 MW chacune, plus de 100 MW en cogénération, 5 MW en solaire photovoltaïque.

La centrale hybride de Hassi-R’mel sera mise en service en 2010

La centrale hybride de Hassi-R’mel, d’une capacité de 150 MW en partenariat entre l’AEC et la société espagnole Abener, d’un coût de 315 millions d’euros, sera mise en service en août 2010, a-t-il ajouté. Grâce à un tel potentiel et sa position géostratégique en Méditerrannée, l’Algérie pourrait exporter de l’électricité vers l’Europe produite par des centrales hybrides au sud, transportée jusqu’à la côte, puis exportée à travers des interconnexions électriques vers l’Espagne et l’Italie. Une telle ambition fait face à beaucoup d’obstacles, a observé Badis Derradji. Car, sur le plan politique, il faudra obtenir le feu vert des autorités de ces pays pour accéder au marché européen. Il faudra aussi s’entendre sur le prix du KW/heure cédé. En un mot, le coût de ces énergies renouvelables reste assez élevé. Le P-DG de Neal a conclu qu’une politique de soutien fort de l’état est nécessaire pour accélérer le développement des énergies renouvelables. Akli Brihi, directeur général de BP Algérie, co-animateur de la conférence- débat, quant à lui, a souligné que le monde continuera à dépendre des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) pendant 50 ans. Pendant cette période, les énergies renouvelables grignoteront les parts des énergies fossiles sans toutefois gommer cette situation d’hyper dépendance. Il a indiqué que le groupe pétrolier BP va investir entre 8 et 10 milliards de dollars dans le développement des énergies renouvelables dans les 5 à 10 ans à venir, soit autant engagé dans l’amont par ce groupe au cours d’une période caractérisée par des prix du pétrole bas. La compagnie britannique travaille surtout dans le développement du solaire et de l’éolien. Elle effectue néanmoins des recherches sur l’hydrogène et la pile à combustible. “Nous travaillons sur l’après-pétrole”, a-t-il résumé. Il faudrait un baril de pétrole à 100 dollars pour que soit encouragé le développement des énergies renouvelables, a relevé le DG de BP.
Le développement du solaire est devenu cependant rentable pour la compagnie britannique. Quant aux ambitions de BP en Algérie en matière de développement des énergies renouvelables, elles restent limitées à des actions sociales consistant à installer des panneaux solaires dans des villages du sud. Mais BP s’intéresse au marché algérien. Le groupe britannique attend que se précise cette nouvelle stratégie de développement des énergies renouvelables pour décider de son implication en Algérie dans ce domaine. BP est très présent sur le marché photovoltaïque dans le monde. Il aurait été intéressé par le photovoltaïque. Mais l’Algérie a opté principalement pour la technologie solaire-thermique, a-t-il expliqué.
Au cours du débat, à une question sur la transition technologie, c'est-à-dire plus simplement le moment où le pétrole perdrait sa place de principal combustible en raison de la circulation d’un nombre beaucoup plus important de voitures électriques, à hydrogène ou solaire dans le monde, Akli Brihi a répondu qu’il est difficile de prédire à quelle période se produira ce bond. “Cela dépendra du choix des consommateurs et des politiques des états industrialisés pour soutenir ces filières et encourager l’acquisition de ces véhicules qui restent très chers”, a ajouté en substance le DG de BP. Quant à El-Kadi Ihsane, rédacteur en chef de la publication Les Afriques, partenaire de Care dans l’organisation de la conférence-débat, il n’a relevé que ce plan de développement des énergies renouvelables en Algérie, à l’horizon 2050, reste timide.

Source Liberté

Le Pèlerin

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