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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 23:27

La Chine remet en cause la suprématie du dollar

La Chine a jeté un pavé dans la mare, en appelant par la voix du premier responsable de sa Banque centrale à l’adoption d’une nouvelle monnaie de réserve internationale pour remplacer le dollar. Une grande part de ces réserves de change chinoises évaluées à près de 2000 milliards de dollars est libellée en dollars.
La demande de la Chine n’est pas la première du genre, puisque des spécialistes ont déjà formulé le vœu de mettre en place une telle « monnaie de réserve internationale » depuis 1944, indique Camille Sari, spécialiste des questions monétiques et consultant international. La Russie avait déjà proposé que le sommet aborde la question de la création d’une monnaie de réserve supra-souveraine. M. Sari souligne que le débat a trait à la capacité des « Droits de tirage spéciaux » (DTS) de devenir « une monnaie de réserve internationale ». Pour rappel, ces DTS ont été créés en 1969 comme avoirs de réserve mondiale par le FMI, pour compléter les réserves de ses pays membres, alors que l’offre d’or et de dollars ne suffisait plus. Les DTS servent comme unité de compte au FMI et certains organismes internationaux. La Chine s’interroge sur la sécurité de ces placements dans un contexte dominé par la baisse de la valeur du dollar. Pour M. Sari, le même risque guette une partie des réserves de change de l’Algérie placée en bons du Trésor américain.
« Les avoirs de l’Algérie risquent de devenir une monnaie de singe », a-t-il averti hier, en estimant que « c’est un leurre que de continuer de laisser une partie des réserves de change en bons du Trésor américain ». Commentant la décision récente des Etats-Unis d’acheter des obligations du Trésor par la réserve fédérale américaine (FED), soit 300 milliards de dollars sur un montant global de 1000 milliards engagés dans les plans de relance de l’économie américaine, M. Sari signale que cette mesure augmente le « risque d’une hyper inflation et d’une perte de valeur du dollar », car, ajoute-t-il, « il existe toujours des produits toxiques sur le marché ». « Les Américains sont en train de monétiser la dette en faisant tourner la planche à billet qui va permettre de créer des dollars ex nihilo sans contrepartie », analyse-t-il, en soulignant que cela aura des « répercussions négatives » sur les prêteurs internationaux.
Notre interlocuteur indique que le pays de l’oncle Sam court le risque de se mettre dans une position inconfortable en payant ses prêteurs « avec de la monnaie de singe (sans valeur) » dans les années à venir. « C’est le cas de l’Algérie », prévient-il, en relevant que « tant que la crise financière est là, le risque est bien réel ». M. Sari préconise la création de « deux fonds souverains ». Le premier, argue-t-il, s’investira dans le placement de l’Algérie sur la scène mondiale, en rachetant « des entreprises bradées et secouées par la crise financière », et le second aura la tâche de « privilégier la production nationale à travers la mise en place d’un maillage solide de PME ».

Source El Watan

Le Pèlerin

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 23:20

Humour - Riez mesdames


Toutes les femmes comprendront et les hommes souriront (peut-être) !
Un jour, mon « homme-de-maison » de mari décide de laver son maillot de foot.

Quelques secondes après être entré dans la salle de lavage, il me crie :
-Quel cycle j'utilise pour la machine ?
-Çà dépend, je lui réponds, qu'est-ce qui est écrit sur ton maillot ?

-Il me crie :
-« PSG » !
Et ils diront qu'il n'y a que les blondes...
Une autre :
Un matin, je décide de mettre une lessive en route avant de partir travailler et je lui dis :

-Tu seras mignon de mettre le linge à sécher quand ce sera terminé ...
-En cours de matinée je me dis :
-Zut ! J'ai oublié de mettre mon lave-linge en marche...
Et quand je suis rentrée le soir.... mon linge était étendu, sec et sale !
Je ne pouvais plus m'arrêter de rire.
Consciencieusement il m'avait obéi, trouvant quand même que la machine essorait
bien, mais qu'elle ne lavait pas parfaitement.
Non, non il n'est pas blond non plus...
Encore une :

Un jour, un homme rentre du travail pour trouver le chaos qui règne à la Maison.
Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin.
Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas congelés
et des boîtes de jus de fruits par terre.
Quand il entre dans la maison, c'est encore pire :

La vaisselle sale est éparpillée dans toute la cuisine, le repas du chien est renversé sur le sol, la vitre est brisée et traine par terre sur une grande surface et il y a du sable par terre, sur la table de la cuisine et Les meubles.
Dans la salle de séjour, il trouve des jouets, des vêtements et une lampe renversée.
A ce moment, l'homme a très peur qu'un malheur ait touché sa femme.
Il se précipite au second étage et là, stupéfait, il trouve sa femme encore en pyjama, assise dans le lit en train de lire un livre.

Elle se retourne en souriant et elle lui demande :

-Chéri, comment était ta journée ?
-Mais que s'est-t-il passé ici aujourd'hui ?!? Elle, souriante :

-Tu sais, chaque jour en rentrant, tu me demandes ce que j'ai fait durant La
journée et quand je réponds que je me suis occupée de la maison et des enfants, alors tu me dis :

-C'est tout ?

-He bien, aujourd'hui, je n'ai rien fait

Le Pèlerin

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 23:07

Toulouse …..Nouveau….15 € pour déménager

Pour la première fois à Toulouse, une société loue des camions à des tarifs imbattables. Seule condition, déménager le soir, la nuit, ou tôt le matin...
Le déménagement à 15 euros devrait plaire aux étudiants ou aux jeunes travailleurs.
Un déménagement à 15 euros ? Voilà la solution anticrise que propose déménagerseul.com. L'offre novatrice creuse un écart important avec les prix habituels. Mais il faut déménager le soir, la nuit ou tôt le matin, et avoir des bras solides.
« Vous pouvez louer un camion de 12 m3 de 17 h 30 à 9 heures le lendemain pour 15 euros » explique Patrice Giacri, cogérant de l'agence de Toulouse. Cette offre innovante est dédiée aux personnes occupées la journée ou qui aménagent dans un studio ou un T2. Idéal dans la ville aux 100 000 étudiants. Ceux-ci déménagent beaucoup et correspondent aux critères. « L'offre est valable du lundi au jeudi. C'est une occasion de passer une bonne soirée entre amis, surtout avec les beaux jours » indique Patrice Giacri. Seules conditions : avoir plus de 21 ans et au moins deux ans de permis. Les clients disposent de 50 km inclus, d'une assurance et de la garantie « second conducteur ».

Conseils gratuits

« Nous avons déjà eu trois clients ; ils ont été très contents mais nous attendons le début de la saison, en avril, pour juger », explique Patrice Giacri. Jérôme, un prof de 37 ans, a déménagé début janvier : « C'est très pratique parce qu'en soirée, il n'y a pas d'embouteillages à Toulouse. Et puis, mes amis n'étaient pas libres la journée ». Le seul défaut, c'est que le camion reste la nuit dehors sous la responsabilité du client. On ne sait pas ce qui peut se passer » indique Jérôme. Déménagerseul.com va plus loin : pour un déménagement à 15 €, le pack deux bacs plastiques + deux couvertures + un chariot est un euro.
Déménagerseul.com propose des produits (cartons à 1 euro, diable…), des services et des conseils disponibles gratuitement sur le site internet. « On peut aider les clients pour la répartition de la charge ou pour le nettoyage de leur ancien logement » explique le cogérant. Pour ceux qui s'y prennent au dernier moment, des cahiers des charges et des courriers types sont téléchargeables sur le site web.
Contacts : 83 bis, avenue des Minimes, 31200 Toulouse. tél : 05 61 62 86 56.

www.demenagerseul.com
La région au top du déménagement


Le taux de déménagement annuel en Midi Pyrénées est un des plus importants de France avec le Languedoc et la région Paca : à Toulouse, il est de 82,3 pour 10000 habitants. Le nombre d'entrée en Midi Pyrénées est de 184, 9 pour 10000 habitants. La tranche d'âge qui aménage le plus dans la région est celle des 25-29 ans.

Source La Dépêche du Midi

Le Pèlerin

 

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 07:20

DOCUMENT : la lettre de Saïd Sadi à Abdelaziz Bouteflika

Les média publics que vous avez confisqués ont daigné parler du RCD le 3 avril après l'avoir ignoré des années durant, relançant les anathèmes des nostalgiques de l'époque des silences glacés et des assassinats étouffés.
Nous ne répondrons ni à l'ENTV, ni à la commission chargée d'organiser la fraude ni à ceux qui ont assumé devant la justice leurs détournements ni encore moins à ceux qui offrent des pensions à un nombre de moudjahidine plus de 20 fois supérieur à celui que comptait l'ALN en 1962.
Ces castes n'existent que par le détournement de l'argent du contribuable, c'est-à-dire grâce à votre complaisance.
Notre réponse s'adressera à vous et, accessoirement, à votre premier ministre.
Commençons par affirmer un accord. C'est suffisamment rare pour être signalé. Le pays est victime de trahison. Il faudra bien en connaître les auteurs, les méthodes et en apprécier les coûts sur la cohésion de la nation, son développement national et son crédit international.
Nous voici donc projetés une trentaine d'année en arrière dans une campagne électorale surréaliste.
« Ceux qui appellent au boycott sont des traîtres » crie un premier ministre jetable et les citoyens qui vous dénient le droit de manipuler les martyrs de la guerre de libération dans une campagne électorale particulièrement indigne « sont des anti-nationaux » selon les partis qui vous soutiennent, vous le candidat « indépendant »
Nous avons affronté le régime qui vous a produit, nous vous avons même donné une chance quand, revenu aux affaires, vous aviez déclaré avoir tiré les leçons des abus du passé.
C'est dire que nous vous connaissons, nous qui avons si souvent éprouvé vos méthodes et qu'il nous en faut beaucoup avant d'être surpris par des débordements d'un système qui sévit depuis plus d'un demi siècle.
Mais malgré cette banalisation de l'arbitraire, vous avez, M. le chef de l'Etat, créé une situation inédite dans cette campagne. Nous verrons qu'en vérité les agressions et l'humiliation que nous subissons aujourd'hui étaient inscrites dans vos intentions premières.
Vous avez grevé le budget de l'Etat dans une campagne hystérique qui relève du viol de la cité algérienne, vous confisquez les média, vous avez transformé toutes les institutions en comité de soutien. Tout cela, à votre décharge, faisait partie des traditions politiques algériennes depuis l'indépendance, notamment en période électorale. Il est vrai que vous en avez, comme vous le faîtes en tout du reste, souvent exagéré l'outrance, l'excès étant chez vous une seconde nature.
En l'occurrence la nouveauté est ailleurs.
Vous ne cherchez plus à séduire ni même à faire peur. Cette volonté d'humilier et de soumettre, y compris en attentant à ce que la nation a de plus sacré, plonge l'Algérie dans une atmosphère de deuil national. Ce n'est pas nous qui avons crée ce climat ; nous  avons invité nos concitoyens à en  prendre acte et le combattre pour ne pas ne pas laisser aux générations futures un fardeau dont il serait difficile de se délester : le fardeau de la honte.
Quand vous ou vos associés accusez de trahison les Algériens qui s'opposent à vous et qui ont sauvé la patrie du naufrage au moment où vous-même désertiez le terrain pendant vingt ans, vous commettez un sacrilège.
Boumediene qui vous avait fait a amorcé sa chute le jour où il s'est cru autorisé à dire que «  ceux qui ne sont pas d'accord avec lui n'avaient qu'à quitter le pays. » Il est vrai que l'on ne vous avait pas entendu protester contre une telle infamie.
Fallait-il que vous soyez à ce point paniqué pour abuser des martyrs de l'indépendance que vous réduisez à des gadgets décorant le fond de vos affiches pour vous mettre en valeur ?
Non content d'attenter à l'honneur du citoyen, vous asservissez les héros qui ont libéré le pays.
Avez-vous besoin de priver le peuple algérien de sa volonté de respect, de reconnaissance et d'admiration pour les Belouizdad et les Krim Belkacem et de tant d'autres dont vous manipulez sans vergogne  nom et sacrifice dans un marketing douteux qui laisse entendre que leurs enfants, et donc les dépositaires de leur mémoire, sont acquis à votre candidature ?
Vous qui étiez un des principaux dirigeants du pays à l'époque de l'assassinat du signataire des accords d'Evian, ne pouviez-vous pas avoir un minimum de remord et de retenue?
Cela s'appelle au mieux du cynisme au pire une forfaiture.
Oui M. le chef de l'Etat, la trahison a meurtri notre belle Algérie.
Souillant ce que tout peuple a de plus cher, ce genre de marchandage est dévastateur. Au lieu de servir de liant à la collectivité nationale, la mémoire commune, est mise au service d'un chantage obscène au plus haut niveau avant d'être déclinée par des caïds locaux pour plaire à leurs tuteurs ou plus prosaïquement en retirer quelques dividendes.
La dernière débaptisation d'un établissement public à Guelma contre une famille qui a le malheur de compter dans ses rangs- et c'est tout à son honneur- un commis de l'Etat qui refuse d'abdiquer devant vous est une illustration locale de vos dérives.

Monsieur le chef de l'Etat,

Vous savez parfaitement que, compte tenu de la nature des candidats virtuels qui ont accepté de se commettre avec vous, vous n'aurez aucune difficulté à rester au pouvoir. Pourquoi, dès lors, avoir ordonné à tous les opérateurs économiques publics et privés de menacer de licenciement leurs employés s'ils ne se rendaient pas à vos meetings ?
Savez-vous que malgré ces abus, et en dépit des affres du chômage, des pères de familles n'ont pas cédé à ces injonctions, considérant, sans doute, qu'il était possible d'expliquer à leurs enfants un manque d'emploi mais pas un manquement aux principes de dignité ?
Oui M. Bouteflika, il y a de l'honneur dans cette belle terre d'Algérie. On aurait aimé que certains dirigeants en ramassent quelques miettes.
Pourquoi, vos comités de campagne électorale sont-ils constitués, dans leur écrasante majorité de la lie de la société, agressant et humiliant les populations locales ?
Quatre jours après que vous eussiez décrété la normalisation de la Kabylie, votre premier ministre annule tous ses meetings dans la région « par ce que le terrorisme pouvait frapper », oubliant qu'il avait annoncé qu'il n'était plus nécessaire de mettre en place des dispositifs spéciaux pour la campagne.
Il nous arrive de rencontrer des observateurs et des partenaires étrangers de notre pays. Ce qu'ils relèvent le plus souvent chez vous, en l'appréciant ou en le déplorant selon la nature des relations qu'ils conçoivent avec l'Algérie, c'est votre propension à brader la souveraineté politique et économique du pays dès lors qu'ils ferment les yeux sur vos turpitudes à l'intérieur.
Oui M. le chef de l'Etat, il y a de la compromission avec l'étranger qui coûte cher à cette belle terre d'Algérie.
Pourquoi avoir tribalisé l'Etat en offrant tous les postes de souveraineté et de plus en plus les fonctions subalternes à des personnes issues d'une même tribu ?
Le résultat est là : la pomme de terre est à 80 DA, la jeunesse se jette à la mer et le jour où on fera le point sur les chantiers du métro d'Alger ou de l'autoroute est-ouest on verra que l'affaire Khalifa n'était ni un accident ni un cas isolé.
Oui M. le chef de l'Etat, il y a une irresponsabilité criminelle dans la gestion des instituions algériennes.
Pourquoi avoir humilié le Parlement algérien en lui faisant violer la constitution le 12 novembre alors qu'il n'avait pas vocation à porter des amendements engageant la nature et l'équilibre des pouvoirs ?
L'autocrate Chavez qui, lui aussi, refuse de quitter le pouvoir a tenu à organiser un référendum, admis une surveillance internationale massive et qualifiée ; amenant l'opposition à reconnaître la régularité des élections. Pourquoi, outre la dimension folklorique, n'avez-vous pas emprunté aussi au personnage, sa volonté à veiller à répartir de façon plus ou moins équitable la richesse nationale ?

Monsieur le chef de l'Etat,

Vous êtes à l'automne de votre vie.
Après 1962 et 1965, vous en êtes à votre troisième coup d'Etat. Est-il vraiment impossible de vous amener à admettre qu'il y a des manières plus saines de mener une existence ?
Et si vous considériez enfin qu'il y  a autre chose que la ruse et le stupre dans une vie et que ce cirque dans lequel vous vous complaisez est à la fois ridicule, inefficace, fatigant et dangereux ?
Et si au lieu d'imposer aux entrepreneurs de faire encore venir leur personnel à votre dernier meeting à Alger pour hurler -de préférence à trois reprises- que vous défendrez le drapeau national contre les traîtres, vous essayiez d'être lucide en déclarant que vous vous retirez de cette supercherie par ce que vous avez enfin compris que le peuple algérien n'a plus peur, qu'il a le droit de choisir librement ses représentants et que c'est précisément pour cela que sont tombés les meilleurs de ses enfants.
Vous partiriez responsable et digne en rentrant chez vous tranquillement, reposé et pour une fois, soyez en sur, respecté.
Vous auriez enfin fait le bien. Pour vous et le pays.
Pour l'instant vous voulez enterrer l'Algérie ; nous sommes déterminés à la faire vivre. Dans la liberté, la dignité et la fraternité.

Alger, le 04 avril 2009
Le RCD

Source TSA

Le Pèlerin

 

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 07:15

Conclusions du rapport du FMI sur la situation économique et sociale du pays dans le cadre de l’article IV

L’Algérie va devoir se serrer la ceinture

Les pouvoirs publics sont en train de préparer des plans de réduction des dépenses publiques dans un scénario de maintien des prix de pétrole bas pendant plusieurs années.

La politique conduite à l’heure actuelle par l’Algérie devrait être viable si les prix pétroliers reprenaient progressivement pour atteindre 78 dollars le baril en 2013. C’est du moins ce que souligne le rapport du Fonds monétaire international (FMI) publié jeudi. Le rapport indique que le cap de la politique budgétaire pourrait être maintenu, car les réserves du Fonds de régulation des recettes (FRR) (37% du PIB de 2008) couvriraient les déficits sur la période 2009-13.
Dans cette hypothèse, la croissance annuelle moyenne du produit intérieur brut hors hydrocarbures serait d’environ 5,5%, selon les projections du FMI, et l’inflation resterait inférieure à 4%.
Le solde extérieur courant ne serait que légèrement négatif, et les réserves officielles resteraient proches de l’équivalent de deux ans d’importations. Le déficit budgétaire global serait réduit, parallèlement à la hausse projetée des prix pétroliers, pour retomber aux alentours de 5% du produit intérieur brut d’ici 2013. “Les risques qui pèsent sur ces perspectives sont essentiellement l’ampleur de la récession en Europe et la chute des recettes pétrolières, qui, si elle devait se prolonger, pèserait sur la croissance”, relève le FMI. La production d’hydrocarbures pourrait fléchir davantage que prévu si la récession en Europe se révèle plus profonde qu’on ne le projette à l’heure actuelle, et la croissance hors hydrocarbures sera plus lente si les prix pétroliers restent durablement bas. “Dans un scénario où les prix pétroliers se maintiendraient à 40 dollars le baril jusqu’à 2013, la politique actuelle ne pourrait pas être poursuivie très longtemps car le déficit budgétaire global entraînerait un épuisement des réserves du FRR d’ici 2011”, avertit le FMI. Le rééquilibrage requis des finances publiques imposerait des coupes dans le programme d’investissement public, “ce qui pourrait se traduire par un ralentissement de la croissance hors hydrocarbures et une montée probable du chômage”. Évoquant la crise financière mondiale, le FMI affirme que “les canaux de contagion purement financiers sont limités”. Les choix politiques opérés ces dernières années ont isolé efficacement le système économique et financier des turbulences financières mondiales.
Les autorités ont évité de recourir aux emprunts extérieurs et utilisé au contraire les abondantes liquidités intérieures pour financer les grands investissements. Les principales banques étant des établissements publics, un resserrement du crédit apparaît peu probable. Enfin, les avoirs en devises du pays et la gestion des risques qui s’y attachent sont concentrés à la Banque centrale via le système de rétrocession des recettes d’exportation des hydrocarbures et l’obligation faite aux banques de déposer en fin de journée leurs soldes en devises à la Banque centrale. Cependant, estime le rapport, “les canaux économiques de contagion, à savoir la baisse des prix pétroliers et la récession en Europe, sur la demande et la production intérieures, pourraient prendre de l’importance”.
Le FMI explique que la demande intérieure dépend très largement des dépenses d’équipement de l’État et de la Sonatrach. “Tous deux ont accumulé une épargne considérable (60 et 17 milliards de dollars, respectivement), qui pourrait aider à amortir l’impact d’une baisse des recettes d’exportation des hydrocarbures sur leurs investissements”, lit-on dans le document. Le FMI affirme que “les autorités sont en train de mettre au point des plans de réduction des dépenses publiques à moyen terme, dans l’hypothèse où les prix pétroliers resteraient bas”.
Le FMI suggère aux autorités le gel des salaires et des subventions
Les services du FMI approuvent l’orientation donnée à la politique budgétaire par les autorités, qui consiste à maintenir un niveau élevé de dépenses publiques à court terme, car cela aidera à soutenir la croissance hors hydrocarbures et à amortir l’impact de la contraction de l’économie mondiale. Cependant, les services du FMI “prennent note de la forte augmentation des dépenses courantes depuis quelque temps et exhortent les autorités à limiter toute nouvelle hausse, notamment des salaires et subventions, pour préserver la compétitivité de l’économie et la viabilité à long terme des finances publiques”. Par ailleurs, le FMI indique que “les taux de change effectifs nominal et réel se sont légèrement dépréciés en moyenne (de 0,1% et 1,2%, respectivement) entre janvier et septembre 2008. Sur une base mensuelle, tous deux ont affiché une volatilité qui reflète celle de la parité dollar/euro”. Dans un encadré consacré à l’évaluation du taux de change et compétitivité, le FMI note que le taux de change reste dans l’ensemble compatible avec les fondamentaux.
Le FMI explique que l’évaluation utilise les approches du taux de change effectif réel d’équilibre (TCERE) et du solde macroéconomique (SM) prônées par le groupe de coordination pour les questions relatives au taux de change. Le TCERE indique une légère sous-évaluation, le SM une légère surévaluation.

Source Liberté

Le Pèlerin

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 07:05

Saïd Sadi à El Khabar
« Ceux qui accusent aujourd’hui le RCD se tourneront demain contre Bouteflika »

Le président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie RCD, M. Saïd Sadi, n’a pas été surpris par les réactions des partis politiques à la montée des drapeaux noirs dans tous les sièges de son parti. M. Sadi a considéré dans cette interview qu’il a accordée à El Khabar que le but recherché par le RCD suite à cette initiative a été atteint. Il a également abordé la période poste 9 Avril et considéré que les prochaines élections présidentielles affaibliront l’Algérie plus qu’elles ne la renforceraient.
El Khabar : votre action de faire du 9 Avril prochain une journée de deuil pour la démocratie, en levant un drapeau noir dans tous les sièges de votre parti, n’a pas plu à plusieurs partis politiques, notamment les supporters du président candidat, M. Abdelaziz Bouteflika, qu’en pensez-vous ?
Saïd Sadi : C’était notre objectif recherché par cette décision. Nous voulons également rappeler que le boycott des élections est une nécessité urgente que nous appliquons sur le terrain par cette action symbolique et forte. Nous voulons également par cette action, dire à ceux qui ont falsifié le processus de l’Algérie de Novembre et de la Soummam que nos martyrs se sont sacrifiés pour que nous vivons dans une Algérie de justice, de liberté et de développement et afin que nous puissions voter en toute liberté et désigner les responsables que nous estimons convenables.
Après plus d’un demi-siècle d’indépendance, le régime colonial a été remplacé par un clan qui a trahi le message du mouvement national. Suite à la corruption et la fraude électorale, nos enfants se suicident actuellement en mer et cela enfonce le pays de plus en plus dans le sous développement.
Ne vous inquiétez pas, ces organisations qui qualifient le RCD par tous les noms, vont entièrement se renverser dès le changement du pouvoir en place et seront les premiers à soutenir le régime qui lui succédera. Ils se tourneront contre Bouteflika en cas d’échec de son pouvoir ou de sa disparition. Ces opportunistes représentent le drame de l’Algérie depuis 1962.
Nous nous rapprochons de la fin de la campagne électorale et tout le monde connaît le prochain président de l’Algérie. Cependant, l’administration de campagne de Bouteflika a mobilisé des moyens énormes pour cette campagne. A votre avis, pourquoi ?
Ce que nous constatons aujourd’hui, est une reconnaissance de faiblesse de la part du régime en place et c’est ce qui explique l’implication de l’administration dans l’affichage des posters du président et dans l’organisation de sa campagne électorale ainsi que dans la paralysie des entreprises de l’Etat depuis le 12 Février dernier, date da l’annonce de sa candidature.
On peut expliquer cette féroce campagne visant à imposer Bouteflika par deux points : Le bilan catastrophique réalisé lors de ses deux précédents mandats, puisque vous savez qu’il a reconnu son échec lorsqu’il a déclaré : « du coté économique, nous avons échoué ».
Dans l’absence d’un bilan honorable et d’un projet ambitieux, il est nécessaire de réagir afin d’éviter l’humiliation du taux élevé des boycotteurs, tels que ça s’est passé lors du référendum de 2005 où il y a eu une participation de moins de 17% dans les élections. Ce qui l’a poussé à mobiliser tous ses ministres ainsi que le trésor public et médias en plus des brigands pour tenter d’impressionner les citoyens.
Comment vous voyez l’après 9 Avril, en particulier l’avenir des partis politiques ?
Le soleil se lèvera une nouvelle fois sur l’Algérie sous l’impact d’une crédibilité disparue près de la société internationale et sous l’impact d’une fragilité sociale et chamboulement politique à l’intérieur. La jeunesse algérienne ne supporte plus la situation actuelle et nous devons l’aider à construire son avenir et à faire de l’Algérie un pays grand et beau comme il l’aurait été si on avait de responsables dignes de respect et qui ne l’auraient jamais trahit.
Il annonce trois marches à Alger : Saïd Sadi demande à Bouteflika de rentrer chez lui
Le RCD durcit le ton à l'égard du président Bouteflika et de ses partisans. Samedi matin, au cours d'une conférence de presse à Alger, Saïd Sadi a utilisé des mots particulièrement durs pour fustiger les méthodes de « voyous» et « d'escroc » utilisées, selon lui, par le président sortant pour se maintenir au pouvoir. Dans la ligne de mire des critiques du président du RCD : la révision de la Constitution, la gestion des ressources financières du pays, l'utilisation des symboles de la révolution dans la campagne électorale de Bouteflika...
Saïd Sadi a refusé de répondre aux critiques après la décision du parti de remplacer l'emblème national par un drapeau noir sur le bâtiment de son siège pour faire du 9 avril une journée de « deuil ». Plusieurs partis politiques, dont ceux de l'Alliance présidentielle, des associations proches du pouvoir, l'UGTA et même la Commission nationale de surveillance de l'élection présidentielle ont vivement réagi ce weekend à cette initiative du RCD. Mais, pour M. Sadi, les partisans du président Bouteflika utilisent les symboles et les héros de la révolution algérienne dans la campagne électorale. « Fallait-il que vous soyez à ce point paniqué pour abuser des martyrs de l'indépendance que vous réduisez à des gadgets décorant le fond de vos affiches pour vous mettre en valeur? » , a-t-il dit. Saïd Sadi portait un brassard noir autour du bras, en signe de deuil.
Au cours de sa conférence de presse, Saïd Sadi a vivement critiqué la gestion du président Bouteflika, évoquant des méthodes de « voyous» et « d'escroc » et une opacité dans la gestion des ressources financières du pays. Il a demandé au président Bouteflika de « rentrer chez lui ». « Si vous essayiez d'être lucide en déclarant que vous vous retirez de cette supercherie parce que vous avez compris que le peuple algérien n'a plus peur, qu'il a le droit de choisir librement ses représentants (...) », selon le texte d'une lettre adressée par M. Sadi au président Bouteflika dont le contenu a été lu au cours de la conférence de presse. Le Docteur Sadi a également qualifié Ahmed Ouyahia de « Premier ministre jetable ».
Dans ce contexte, le président du RCD a annoncé l'organisation par son parti de trois marches populaires à Alger pour appeler à les Algériens à boycotter la présidentielle du 9 avril. La première est prévue aujourd'hui à 15H30 à El Biar, sur les hauteurs de la capitale. Les deux autres devraient voir lieu le dimanche à la rue Didouche Mourad à Alger et lundi à Bab El Oued, ancien fief du FIS. Aucune de ces trois manifestations n'a obtenu une autorisation officielle. Leur annonce marque un début d'un bras de fer entre le RCD et le pouvoir.

Source
El Khabar et Actu-dz.com

Le Pèlerin

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 07:01

Algérie : Présidentielle sous contrôle

Voir la vidéo ici : http://plus7.arte.tv/fr/detailPage/1...d=2510810.html
Le 9 avril prochain, les Algériens sont appelés aux urnes pour élire leur président de la République.
Après avoir fait modifier la Constitution pour qu’il puisse briguer un troisième mandat, Abdelaziz Bouteflika se présente face à cinq autres candidats. Ces derniers ne feront que de la figuration, tant la campagne ne tourne qu’autour du Président sortant.
L’Algérie est pavoisée de ses portraits géants, tous les moyens de l’Etat sont mis à son service. Mais, pour réaliser un reportage sur la société algérienne plutôt que sur une campagne sans enjeu, le journaliste étranger doit faire face à tout un appareil de surveillance policière mis en place par le régime.
Vladimir Vasak et Thierry Weil souhaitaient voyager depuis Alger vers la Tunisie en longeant le « chantier du siècle », la construction de l’autoroute Est-Ouest. Autant il est possible de filmer les inaugurations du Ministre des Travaux Publics, autant il est difficile de poser des questions à la jeunesse de Constantine…
Pire, la police qui les escortait leur a interdit de poursuivre leur reportage jusqu’à la ville d’Annaba sur la côte, l’endroit d’où partent les « harragas », ces jeunes garçons qui tentent la traversée de la Méditerranée vers l’Europe au péril de leur vie.
En Algérie aujourd’hui, certains sujets sont tabous…

Source El Watan

Le Pèlerin

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 06:39

Hadopi: l'Assemblée vote un amendement «Johnny»
  Johnny Hallyday aux Victoires de la musique 2009

L’amendement prévoit qu'il n'y aura pas de sanction en cas de téléchargement d'œuvres d'artistes résidant dans un paradis fiscal…
Dans la nuit de mercredi à jeudi, à l’Assemblée nationale, cela a été la fête de Johnny Hallyday. Le chanteur, domicilié en Suisse et qui n’a pas pris la parole à propos de la loi Création et Internet, a été cité à plusieurs reprises comme «fraudeur» et symbole de «l’évasion fiscale». Ce qui a entraîné le vote d’un amendement — le numéro 211 de l'article 2, dit amendement «Johnny» — stipulant qu’aucune sanction ne pourra être prise à l'encontre d'internautes qui auront téléchargé illégalement des œuvres dont tous les ayants droit résident dans un paradis fiscal.
«Si vous avez une œuvre où tous les ayants droit ont choisi de quitter les pays où l'on paye des impôts pour aller vers des paradis fiscaux, il n'est pas légitime de dépenser de l'argent public à mettre en place un dispositif pour protéger leurs droits», a déclaré le président UMP de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, Jean-Luc Warsmann, auteur de l'amendement.

Tous les ayants droit

Franck Riester, rapporteur UMP de la loi, explique à 20minutes.fr, que cet amendement devrait inciter les maisons de disques à «ne pas poursuivre les internautes qui téléchargent illégalement ces artistes».
Notons, comme le font remarquer les internautes, l'importance de la formulation. Il est écrit «tous les ayants droit». Autrement dit, Johnny, s'il ne paie pas d'impôt en France, ne pourra pas se plaindre d'avoir été piraté auprès de l’instance chargée de faire appliquer des sanctions, l’Hadopi; mais sa maison de disque et son producteur, eux, pourront le faire. En réalité, très rares seront les cas où tous les ayants droit de films ou musiques piratés seront domiciliés dans des paradis fiscaux.

Incertitude juridique

Cet amendement introduit une situation juridique étrange, où les ayants droit évadés fiscaux n'auraient qu'une seule solution pour poursuivre les téléchargeurs illégaux présumés: le recours au pénal, prévu par la loi Davdsi (toujours en vigueur), qui prévoit trois ans d'emprisonnement et 300.000 euros d’amende. Ce qui est encore plus rude que la riposte graduée. Reste que cet amendement pourrait sauter lors de l'examen du projet de loi par la commission mixte paritaire, après l'Assemblée.
Interrogés dans les couloirs de l'Assemblée nationale, les députés qui ont voté cet amendement semblaient hésiter à le défendre complètement. «Je reconnais qu'il est peut-être un peu limite juridiquement», reconnaît le socialiste Christian Paul. Mais la lutte contre les évadés fiscaux contentent le député qui espère que ce genre de dispositions «survivront au G20». Une référence aux efforts des dirigeants des 20 pays les plus riches pour encadrer les paradis fiscaux.

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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4 avril 2009 6 04 /04 /avril /2009 23:14

Algérie - Le port d'Arzew voit grandNon le cap Carbon tout proche restera protégé

Améliorer le trafic maritime est au centre des préoccupations de l'Entreprise portuaire d'Arzew (EPA). Un projet de réalisation d'une nouvelle infrastructure est initié, a-t-on appris hier, de sources portuaires. Il s'agit d'un nouveau bassin qui sera créé dans la partie sud-est du port d'Arzew. Cette réalisation, qui s'inscrit dans le cadre du projet d'extension de l'enceinte portuaire, va permettre, selon les mêmes sources, d'augmenter la capacité d'accostage des navires en créant de nouveaux postes de quai et de nouveaux postes d'hydrocarbures. En accordant une importance particulière à ce projet, les mêmes sources affirment que les nombreux projets prévus dans le pôle industriel d'Arzew incitent davantage à cette extension avec la création de cette nouvelle aire. «Ceci permettra en plus d'une augmentation sensible du trafic, une facilité et une fluidité de l'accostage de grands navires», souligne-t-on. En mettant l'accent sur les objectifs assignés de ce plan de développement de l'entreprise portuaire en matière de récupération d'espaces et de réalisation d'infrastructures, nos sources indiquent que les prévisions sont importantes si l'on tient compte du programme des unités industrielles devant être réalisées dans les prochaines années. Il y a lieu de citer à ce titre, la construction d'un complexe d'ammoniac et d'urée au niveau de la zone industrielle d'Arzew. Un complexe dont le démarrage est prévu pour l'année 2011 et produira 4.400 tonnes/jour d'ammoniac et 3.450 tonnes/jour d'urée destinées uniquement à l'exportation. A cela vient s'ajouter le projet initié dans le cadre du partenariat Sonatrach-Total, le complexe de vapocraquage d'éthane et le projet de méga train de GNL d'Arzew. Autant de projets qui traduisent la création de cette nouvelle infrastructure, ajoute-t-on.

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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4 avril 2009 6 04 /04 /avril /2009 23:00

Voyage en avion…Hier et Aujourd’hui

Année 1977 : Tu voyages dans un avion d'Air France, on te donne à manger et t'invite à boire ce que tu veux, le tout servi par de belles hôtesses de l'air et ton siège est tellement large qu'on peut s'assoir à deux.
Aujourd'hui: Tu entres dans l'avion en continuant de rattacher le
ceinturon qu'à la douane ils t'ont fait retirer pour passer le control,
tu t'assois sur ton siège que si tu respires un peu trop fort tu mets un
coup de coude à ton voisin, si tu as soif le steward t'apporte la carte
et les prix sont ahurissant, et tu ne protestes pas pour si jamais quand
l'avion atterrit on t'emmène à la douane et qu'on te met un doigt dans
le cul pour savoir si tu n'as pas cacher de la drogue.

Le Pèlerin

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