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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 23:03

Algérie - Pratique de la roqia - Faux exorcistes et vrais charlatans

 

La roqia, ou exorcisme, est une pratique reconnue et codifiée par la religion musulmane. Mais ce ne sont pas tous les exorcistes, ou raqis, qui l’exercent suivant les enseignements de l’islam. Dans ce domaine précis, il n’est pas toujours facile de séparer le bon grain de l’ivraie. Ce qui fait que de nombreuses personnes tombent dans les filets des charlatans…
Les Algériens sont de plus en plus nombreux à croire à cette pratique, même s’ils préfèrent y avoir recours dans une totale discrétion. L’exorcisme est, donc, bien incrusté aujourd’hui dans les mœurs des Algériens et certains de ceux qui n’y croyaient pas emboîtent le pas à ceux qui sont déjà beaucoup plus imprégnés, et tentent leur chance en boudant carrément la médecine qui, pourtant, ne cesse de réaliser des avancées. La raison est simple.
D’abord, cela s’explique par l’attachement des Algériens à l’islam qui n’interdit nullement cette pratique. Le Prophète (QSSSL) lui-même pratiquait la roqia chaque nuit avant de dormir.
L’autre raison est due à la prolifération des maux sociaux surtout dans cette période d’après-terrorisme ainsi que par l’érosion du pouvoir d’achat. Il ne faut pas perdre de vue également que malgré l’évolution des mentalités et du mode de vie, il n’en demeure pas moins que la sorcellerie existe toujours dans notre société.
A croire ce que racontent les gens, tout le monde est soit coupable soit victime de la magie. Jadis, les familles algériennes ne se compliquaient pas trop l’existence, une séance ou deux chez le taleb du coin et tout rentrait dans l’ordre. Aujourd’hui, le déficit de confiance en soi et le manque de foi en Dieu fait que les gens recourent à n’importe quel charlatan en croyant ainsi régler leurs problèmes. C’est pourquoi, d’ailleurs, nombreux sont celles ou ceux qui se croient protégés, en portant un talisman, ou harz, bien que cela soit proscrit par notre religion. Ce qui ne manque pas de faire le bonheur des illuminés qui s’autoproclament guérisseurs et qui prétendent détenir des solutions miracles pour tous types de problèmes.
Mais heureusement, de nombreux citoyens commencent à comprendre que la pratique de la roqia n’est pas donnée à tout le monde. L’exorciste, ou le raqi, ne peut vraiment l’être qu’à condition d’avoir une moralité et un comportement exemplaires et conformes aux percepts du Saint Coran et à la sunna du Prophète (QSSSL). Le raqi véritable ne pratique la roqia : être utile à son prochain et mériter la grâce de

que pour un seul objectif Dieu. C’est pourquoi le raqi n’accepte, en aucun cas, d’être payé pour avoir traité un malade. Donc tout acte pour lequel se fera payer la personne qui pratique la roqia est illicite du point de vue religieux et ne peut donc être considéré comme étant une roqia conforme aux préceptes de l’islam. Par ailleurs, il faut signaler que cette pratique, qui demeure non réglementée, ne se fait plus que dans des lieux sacrés (les mosquées…), mais elle est pratiquée aujourd’hui dans n’importe quels endroits (magasins, lieux de travail, à la maison…).

Source Info Soir

Le Pèlerin
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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 08:29

G20: 1.000 milliards pour la crise, mesures sur les paradis fiscaux et les bonus

 

Les dirigeants mondiaux réunis au sommet du G20 de Londres se sont mis d'accord jeudi pour octroyer mille milliards de dollars supplémentaires aux institutions financières internationales pour faire face à la crise et donner naissance à un "nouvel ordre mondial", a annoncé le Premier ministre britannique Gordon Brown à l'issue du sommet.
Une liste des paradis fiscaux va également être publiée immédiatement par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour décourager l'évasion fiscale, a-t-il ajouté.
Le communiqué final du sommet affirme que "l'ère du secret bancaire est terminée" et que "des sanctions" seront prises contre les centres fiscaux non-coopératifs.
Pour répondre rapidement à la crise, le FMI verra notamment ses moyens triplés avec 500 milliards de dollars supplémentaires, s'ajoutant aux 250 milliards de dollars de ressources existantes, a précisé M. Brown, hôte du sommet, lors d'une conférence de presse à l'issue de celui-ci.
Le président français Nicolas Sarkozy, le 2 avril 2009 à Londres à l'issue de la session plénière du G20 à Londres S'y ajouteront 250 milliards provenant d'une émission supplémentaire de Droits de Tirage Spéciaux (DTS), l'unité de compte du FMI, qui lui permettra d'augmenter ses ressources propres.
Le FMI pourra également vendre une certaine quantité d'or pour aider les pays les plus pauvres touchés par la crise. Si les revenus dégagés par cette opération de vente d'or ne peuvent être quantifiés avec précision, l'ensemble des ressources supplémentaires du FMI atteindront 1,1 milliard de dollars, selon le communiqué publié à l'issue de la réunion du G20.
Les dirigeants du FMI et de la Banque mondiale seront désormais nommés au mérite, mettant fin à l'accord implicite qui réservait le FMI aux européens et la Banque mondiale aux américains.
Le G20 a également indiqué que 250 milliards de dollars seront consacrés à aider le financement du commerce pour relancer les échanges mondiaux et que les banques multilatérales de développement, comme la Banque asiatique de développement et son homologue africaine, recevront 100 milliards de dollars de financement supplémentaires.
Par ailleurs, les pays du G20 se sont mis d'accord pour mettre en oeuvre de "nouvelles règles" sur les salaires et les bonus au niveau mondial, selon M. Brown et obliger les entreprises à faire preuve de "responsabilité sociale".
A l'issue de ce sommet, un "nouvel ordre mondial" va émerger de la crise économique, a estimé le Premier ministre britannique, alors que la chancelière allemande Angela Merkel a affirmé qu'il s'agissait "d'un compromis historique pour une crise exceptionnelle".
Le président français Nicolas Sarkozy s'est déclaré "heureux" que ce sommet soit allé "au-delà de ce que nous pouvions imaginer", lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion.
Les dirigeants du G20 ont également décidé de se réunir à nouveau d'ici la fin de l'année, a précisé M. Brown, sans préciser la date et le lieu de cette nouvelle rencontre.
M. Sarkozy a pour sa part indiqué que ce 3e G20 aurait lieu après la prochaine assemblée générale de l'ONU.

Source L’Internaute

Le Pèlerin
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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 08:25

La Police Française mise en cause dans un rapport d'Amnesty

http://l.yimg.com/i/i/fr/ne/z/lemon5...CtGxi_5 bmQ--
David Diaz-Jogeix, directeur adjoint du département
Europe d'Amnesty International, a supervisé le rapport de l'ONG publié jeudi 2 avril et intitulé 'France : Des policiers au-dessus des lois'. Il explique que les forces de l'ordre se livrent de plus en plus à des 'représailles' contre certaines victimes ou témoins de mauvais traitements qui leur sont imputés, notamment à travers des plaintes pour 'outrage' ou 'rébellion'. Lire la suite l'article
En 2005, le dernier rapport d'Amnesty sur le sujet dénonçait de graves violences policières, sous couvert d'un 'climat d'impunité'. Comment la situation a-t-elle évolué en quatre ans ?
La situation s'est détériorée depuis. Aucune des recommandations faites par Amnesty international lors du précédent rapport n'a été prise en compte par le gouvernement. Et ce manque d'action de sa part nous inquiète. En 2005, nous dénoncions certaines méthodes employées par la police qui pouvaient faire courir de graves dangers, jusqu'à l'homicide. En 2006, la Cour européenne des droits de l'homme a rendu un arrêt dans lequel elle a condamné la France et demandé qu'elle donne à ses fonctionnaires de police des instructions précises sur l'utilisation des méthodes de contrôle. Or début 2008, à Grasse, Abdelhakim Ajimi est mort après avoir été maîtrisé par des policiers lors de son arrestation : nous attendons toujours des précisions du ministère de l'intérieur sur ce drame. Dans ce rapport, nous recensons une quinzaine de cas, qui témoignent d'un problème structurel de violence policière, sous forme d'homicides, notamment mais aussi de coups, de mauvais traitement et d'injures à caractère raciste ou xénophobe.
Un phénomène retient votre attention, que vous qualifiez d''inquiétant' : les personnes qui dénoncent des mauvais traitements de la part de la police peuvent se retrouver en position d'accusées.
Nous constatons une augmentation des poursuites sur la base de l'outrage ou de la rébellion à l'encontre des personnes qui protestent contre les mauvais traitements de la part des policiers, ou qui tentent d'intervenir après en avoir été témoins. Ces mesures de représailles sont une tendance qui nous préoccupe. De même, des personnes qui se sont plaintes de mauvais traitements auprès de la CNDS [commission nationale de déontologie de la sécurité] ont été poursuivies par les agents concernés pour dénonciation calomnieuse. Cela met une pression sur les victimes afin qu'elles ne portent pas plainte. Si nous connaissons les chiffres du ministère de l'intérieur sur les infractions d'outrage et de rébellion, nous ne savons pas combien de plaintes sont déposées pour mauvais traitement et quelles suites leur sont données, qu'il s'agisse d'une procédure disciplinaire ou pénale, avec éventuellement, au bout, une condamnation.
Lorsqu'une plainte est déposée contre un agent de la force publique, les mécanismes d'enquête vous apparaissent non conformes aux obligations internationales de la France. Quelles sont, selon vous, les lacunes et comment y remédier ?
La première lacune concerne le manque d'indépendance et d'impartialité. Certes, il n'y a pas de lien structurel entre le juge ou le procureur vis-à-vis de la police. Il n'en demeure pas moins que le juge d'intruction ou le procureur font appel à la police judiciaire pour des auditions de témoins, de suspects ou pour recueillir des éléments de preuve. Ce qui conduit à un manque d'indépendance de fait. De même, en cas de plainte contre les agents de la force publique, c'est la police qui mène l'enquête. Parfois, ce sont les agents du même service que ceux contre qui une plainte a été déposée qui enquêtent, au risque, là encore, d'un manque d'impartialité. La tendance que nous constatons est que les recherches menées par la police sur des policiers ne sont pas exhaustives : tous les témoignages ne sont pas nécessairement pris en compte et il n'y a pas forcément de recherche active d'autres éléments de preuve, comme des bandes vidéo ou des certificats médicaux. Ce qui fait que quand le dossier est présenté au procureur au terme de l'enquête préliminaire, ou au juge d'instruction, il n'y a pas suffisamment d'éléments pour poursuivre et on aboutit à un classement sans suite. Il s'agit là aussi d'une tendance claire. A tel point que bien souvent, les avocats l'anticipent et déconseillent au plaignant de poursuivre en justice. D'autant plus, qu'en cas de plainte contre des forces de police pour mauvais traitement, la procédure pénale est très lente.

Source
LeMonde.fr

Le Pèlerin

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 07:51

L'Etat subventionnera le billet d'avion aux immigrés algériens à faible revenu

 

Une convention a été signée jeudi à Alger, entre le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger et la compagnie nationale Air Algérie, pour réduire les tarifs des billets d'avion aux ressortissants algériens à faible revenu et faciliter leur déplacement vers leur pays d'origine.
Cette convention de partenariat a pour objectif de répondre aux préoccupations des familles à revenu modeste établi à l'étranger, notamment en France, où la communauté algérienne est la plus importante. Elle devra ainsi leur faciliter, particulièrement en période estivale, leur déplacement vers l'Algérie, a-t-on appris auprès du ministère.
Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Djamel Ould Abbès, a précisé qu'une enveloppe de 50 milliards de centimes a été consacrée à cet effet, dont une première tranche de 30 milliards de centimes est débloquée dès la signature de cet accord avec Air Algérie.
Cette enveloppe permettra également la prise an charge des ressortissants après leur arrivée en Algérie pour leur transport vers leurs wilayas d'origine, a-t-il indiqué.
"Dès leur arrivée en Algérie, c'est le ministère qui les prend en charge pour rejoindre leurs wilayas d'origine par les différents moyens de transport, terrestre et aérien, ainsi que pour la réservation d'hôtel", a affirmé M. Ould Abbès.
Saluant le "très bon geste" d'Air Algérie, le ministre a encouragé les autres compagnies, telle qu'Aigle Azur, ou les autres sociétés de transport à faire la même chose, afin d'aider ces ressortissants à renforcer les liens avec leur pays d'origine.
Dans le cadre de la convention en question et afin de faciliter l'acheminement des familles concernées, Air Algérie accordera notamment, à titre exceptionnel, un droit d'accès au "stock siège" réservé aux tarifs spécifiques et ce dans la limite des places disponibles.
La compagnie nationale offrira également, à l'occasion de la saison estivale, en faveur de chaque membre de la famille à revenu modeste établie en France, des tarifs réduits fixés selon la catégories d'âge.
Pour les parents, la réduction est de 30% à 38%. Pour les enfants âgés de 2 à 12 ans, elle va de 56% à 59%, et pour les jeunes âgés de 12 à 26 ans, elle est de 45% à 49%.
En outre, à titre exceptionnel, Air Algérie offrira la possibilité pour la catégorie 3ème âge à revenu modeste de voyager sur le vol AH1007 à destination d'Alger au tarif BSENIOR représentant 53% de réduction.
Par ailleurs, les deux parties se sont engagées à se concerter régulièrement sur les questions liées à la mise en oeuvre de cette convention, et à se tenir informées de la progression des actions qu'elle prévoit et à diffuser les informations relatives à ces actions.
Source APS


Le Pèlerin
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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 07:12

Liste des paradis fiscaux dans la ligne de mire du G20

Arenal - Costa Rica

Voici la liste que s'apprête à publier l'OCDE, à la demande du G20, «des paradis fiscaux qui ne sont pas en conformité avec les règles mondiales d'échange d'informations fiscales».
1.Liste blanche :
Etats ou territoires qui ont mis en œuvre des standards internationaux en signant au moins 12 accords conformes à ces standards)
Argentine, Australie, Barbades, Canada, Chine(*), Chypre, République tchèque, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Guernesey, Hongrie, Islande, Irlande ile de mans Italie, Japon, Jersey, Corée, Malte, ile Maurice, Mexique, Hollande, Nouvelle Zélande, Norvège, Pologne Portugal, Russie, les Seychelles, la Slovaquie, Afrique du sud, l'Espagne, la Suède, la Turquie, les Emirats arabes unis, royaume uni, Etats-Unis, les iles Vierge
2.Liste grise :
Etats ou territoires qui se sont engagés à respecter les standards internationaux mais ont à ce jour signés moins de douze accords
3. Liste gris foncée (paradis fiscaux déjà identifiés en 2000 par l'Ocde) :
Andorre, Anguilla Antigua, Barabade, Aruba, Bahamas, Bahrein, Belize, les Bermudes, les iles vierges anglaises, les iles Cayman, les iles Cook, la Dominique, Gibraltar, Grenade, Liberia, le Liechtenstein, les Iles marshall, Monaco, Montserrat, Nauru, les Antilles néérlandaises, Niue, Panama, St Kitts and Nevis, Sainte Lucie, Saint Vincent et Grenadine, Samoa, San Marin, les iles Turks and Caicos, Vanuatu
4. Liste gris clair
(autres centres financiers) : Autriche, Belgique, Brunei, Chili, Guatemala, Luxembourg, Singapour, Suisse
3. Liste noire
(Etats ou territoires qui ne se sont pas engagés à respecter les standards internationaux) : Costa Rica, Malaisie (Labuan), Philippines, Uruguay
Source Midi Libre

Le Pèlerin

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 23:58

Le temps de l’énergie verteBMW à hydrogène ( démonstration)

Le président Barack Obama n’a pas tardé. Moins d’une semaine après son investiture, il a ainsi annoncé son intention d’imposer aux fabricants automobiles de son pays des normes antipollution strictes avec une réduction de 20% du niveau de consommation moyen d’un véhicule (6,7 litres par kilomètre contre 8,5 actuellement).

Dans une conjoncture où les grands constructeurs de Détroit

Capitale américaine de l’automobile- sont à la recherche désespérée de capitaux, la nouvelle administration démocrate ne voit aucune raison de tergiverser et de ne pas monnayer son aide financière. A titre indicatif, et pour prendre la mesure des difficultés du secteur, il faut savoir que 900 concessionnaires automobile ont fait faillite en 2008 et que près de 2.500 devraient subir le même sort en 2009.
Après avoir longtemps mené un lobbying intense pour empêcher l’application de toute réglementation contraignante, l’automobile américaine va donc devoir se plier à des normes plus sévères. L’administration Bush n’est plus là pour la protéger ou pour faire obstruction aux législations favorables à l’environnement que de nombreux Etats, dont la Californie, ont adopté, au cours des dernières années. Des réglementations parfois plus sévères que ce qui existe en Europe et que Bush et les républicains ont toujours neutralisées par le biais de l’Agence fédérale de protection de l’environnement. Une agence que l’administration Obama entend, désormais, remettre au pas en la «nettoyant» des fonctionnaires placés par l’équipe précédente.

Temps difficiles pour le «carbone»

Une diminution de la consommation des automobiles américaines n’aurait pas que des conséquences (positives) sur l’environnement aux Etats-Unis. Cela représentera aussi une tendance que les pays de l’Opep seraient bien inconscients de ne pas prendre en compte. Il s’agirait, en effet, de l’un de ces événements annonciateurs d’un changement majeur, en l’occurrence celui de la fin progressive du «tout carbone» en matière d’énergie. Certes, ce n’est pas demain la veille que pétrole, gaz et charbon seront abandonnés mais, petit à petit, se mettent en place les mécanismes qui façonneront la consommation énergétique de la seconde partie du XXI° siècle. C’est dans cette optique qu’il faut relever la naissance, cette semaine à Bonn, de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena). Durant des années, la création de cet organisme destiné à promouvoir les énergies éolienne et solaire ainsi que les biocarburants, la biomasse et la géothermie, a été contrecarrée par les grandes puissances industrielles (attentives aux intérêts du secteur automobile et des majors pétrolières) mais aussi par les pays membres de l’Opep. Mais la donne a changé. Les Etats-Unis sont plus ouverts et plusieurs pays européens, à leur tête l’Allemagne, sont décidés à faire de l’énergie verte le grand défi des prochaines années. Une réalité que les exportateurs d’hydrocarbures, Algérie comprise, ne peuvent plus ignorer, à charge pour eux de s’y préparer en investissant, eux aussi, dans les énergies renouvelables.

Source Le Quotidien d’Oran

Le Pèlerin

Les partisans de l’esprit chevaleresque auront beau dire mais lorsqu’un adversaire est à terre, il serait stupide, voire même impardonnable, de ne pas en profiter.
L’application de cette règle est illustrée, aujourd’hui, par les tentatives de mise au pas du secteur automobile notamment aux Etats-Unis. On connaît le fameux adage selon lequel: «ce qui est bon pour General Motors est bon pour l’Amérique». Et bien, depuis quelques jours, c’est plutôt dans un ordre inversé que cette vérité s’applique: «ce qui est bon pour l’Amérique doit être imposé à General Motors.»

Une occasion en or pour mater l’industrie automobile

 

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 23:31

Love story un peu scato…

Un ingénieur se retrouve assis à côté d'une petite fille lors d'un vol intercontinental.

L'ingénieur dit à la petite fille : si on parlait un peu ensemble...il paraît que les voyages se passent beaucoup plus vite si on parle avec quelqu'un.

La petite fille le regarde et dit d' accord, de quoi voulez vous que l'on parle.

L'homme dit : si on parlait de physique nucléaire.

La petite fille lui répond : voyez-vous, un chevreuil, une vache, un cheval mangent tous la même chose, de l'herbe ?
Pourtant le chevreuil fait des petites crottes, la vache fait des bouses plates et le cheval de gros boulets verts, comment expliquez-vous cela ???

L'ingénieur réfléchit et répond : ma foi je ne saurais l'expliquer.

Alors la petite fille lui dit : comment voulez vous parler de physique nucléaire alors que vous ne maîtrisez pas un problème de merde.

Le Pèlerin

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 23:03

Algérie : La pomme de terre au pinacle
à 70 ou 75 dinars aujourd'hui

70 ou 75 dinars, c’est le prix affiché pour la pomme de terre par tous les revendeurs des étals en Algérie. Les marchands de fruits et légumes sont unanimes à déclarer qu’au niveau du marché du gros, le prix de la pomme de terre est de 68 dinars.
« C’est la loi de l’offre et de la demande. Au niveau du marché de gros, les quantités proposées sont minimes », observe sèchement un marchand. Et pour cause, « la pomme de terre proposée actuellement est celle qui est stockée et les spéculateurs ne veulent en aucun cas vendre de grandes quantités », ajoute le même marchand.
Pour ne pas rebuter les clients, cet autre marchand a trouvé une astuce. Le cageot de pomme de terre est trié. Le petit calibre est cédé à 50 dinars, le gros à 75 dinars. Mais hier, les ménagères et les pères de famille ont boudé ce légume, naguère considéré comme celui du pauvre.
Du côté de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA), Kamel Bousmid, chargé de l’organique, pointe du doigt les intermédiaires « nombreux à parasiter le marché des fruits et légumes ». « Un chargement peut passer par plusieurs spéculateurs avant d’atterrir chez le consommateur », affirme-t-il. Les agriculteurs de Ain Defla cèdent, selon lui, la pomme de terre à 33 dinars.
« Etant donné que l’agriculteur ne paye ni impôt ni TVA, en principe il doit vendre avec la facture et prendre sa réelle marge », précise-t-il. Ce responsable propose une réorganisation du marché des fruits et légumes et une lutte contre les intermédiaires qui gagnent en deux temps trois mouvements de l’argent sur le dos des citoyens.
Mais chez M. Seraoui, président de la filière de la pomme de terre, c’est une autre explication qui est donnée à cette soudaine flambée du prix de la pomme de terre. « Il s’agit, dit-il, de produit de l’arrière saison », observe-t-il. En d’autres termes, les prix pratiqués actuellement sont récurrents et interviennent à la même période de chaque année.
Toutefois, il tient à rejeter la responsabilité sur les ministères des Finances et du Commerce « qui ont la charge de réguler le marché du point de vue des prix et des quantités de pomme de terre à écouler quotidiennement ». En outre, il relève que la récolte de saison n’a pas encore débuté. « D’ici quinze jours, le marché connaîtra un flux important de ce légume, ce qui aidera à la stabilisation du marché », assure-t-il.
Pour la prochaine récolte, il indique que plus de 120.000 tonnes de semences ont été plantées dans plus de 35 mille hectares rien que dans la wilaya de Ain Defla.

Source
Horizons

Le Pèlerin

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 12:38

Football - Le Toulousain André-Pierre Gignac - Dédé en plein rêve

68e minute de ce France-Lituanie, un rêve de gosse se réalise enfin pour André-Pierre Gignac. Un rêve en forme de récompense pour le meilleur buteur de Ligue 1 qui aura vécu, avec sa première sélection, une dizaine de jours fous, fous, fous.

 

 

Il y a d'abord eu l'euphorie, dès l'annonce du groupe des 23 par Domenech, puis le doute avec cette satanée douleur à la cuisse apparue contre le PSG, qui l'aura empêché d'effectuer ses débuts sous le maillot bleu à Kaunas, et enfin l'attente, jusqu'à quelques heures du coup d'envoi, hier.
Luyindula titulaire en pointe avec Henry, Hoarau relégué dans les tribunes, Gignac est sur le banc avec Benzema et le N.9 dans le dos. Le Toulousain allait-il passer une nouvelle fois à côté de débuts tant espérés. Les circonstances ont voulu que Domenech révise ses plans, en deuxième mi-temps, Benzema remplaçant d'abord Gourcuff à la 57e. Gignac, qui avait été envoyé à l'échauffement dès la 21e, devait attendre quelques minutes de plus. Jusqu'à la sortie d'un Peggy Luyindula bien mal inspiré jusque-là. Et le changement attendu est tout de suite palpable. La faim de jouer et l'envie de bien faire du « Violet » apporte un incontestable plus à ces bleus bien décevants.
Lui au moins ne se pose pas de questions. Il bouge et offre des solutions, comme à la 70e où il frappe juste à côté du cadre.
Quatre minutes plus tard, il tire dans le petit filet sur un service de Ribéry, mais le meilleur est à venir. Et ne se fait pas trop attendre.
75e, Benzema, dans l'axe, alerte Henry, à gauche, qui renverse pour Gignac dont le centre de volée est repris victorieusement par Ribéry. Le verrou lituanien a enfin sauté et Gignac, que l'on n'attendait pas tellement dans le rôle du passeur décisif jubile. Son copain du « Tef », Carasso, rayonne lui aussi dans les tribunes.
Et la jolie démonstration va continuer. Jusqu'au bout. Un centre au cordeau (79e) pour Henry, qui rate sa reprise. Un tir malheureusement dans les nuages à la 85e, sur un centre de l'admirable Sagna, puis un véritable festival sur le flanc droit, face à trois Lituaniens. L'avant-centre du TFC a su prendre sa chance, dans le peu de temps qu'il aura joué. Décisif, il l'aura été pour ses débuts et c'est bien là l'essentiel…

Source La Déêche du Midi

Le Pèlerin
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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 12:25

Bouteflika, hier matin à Médéa

''La bureaucratie, le marché noir et la drogue alimentent le terrorisme''

Pour le 14e jour de la campagne électorale, Abdelaziz Bouteflika, candidat à sa propre succession s’est rendu dans la wilaya de Médéa.
Après les traditionnels, bain de foule et l’accueil populaire sur l’artère principale du chef-lieu de la wilaya de Médéa, le candidat Bouteflika a animé un meeting dans un chapiteau, installé pour l’occasion, où il évoquera plusieurs sujets liés essentiellement, cette fois-ci, au terrorisme, à la drogue à la bureaucratie et au marché noir.
Ces trois derniers sujets de campagne, abordés pour la première fois par le chef de l’Etat sortant, donnent, le moins que l’on puisse dire, une nouvelle tournure aux sujets traités jusque-là par Bouteflika.
Ainsi, le candidat Bouteflika a estimé que les fléaux de la drogue, du marché noir, de la bureaucratie, du piston, des passe-droits, gangrenant notre société, "constituent, non seulement une menace sérieuse pour nos enfants, mais ils alimentent le terrorisme".
Bouteflika devant une assistance qui l’acclamait, a cependant souligné que : "cette mission est tellement difficile que je sollicite votre aide " et d’ajouter que : "je ne suis pas un faiseur de miracles".
Dans le même sillage, il a appelé à "une mobilisation nationale contre ces fléaux qui constituent la sève nourricière du terrorisme", avant d’indiquer que ces fléaux sont un danger mortel pour notre jeunesse qui reste la proie à ces calamités.
Sur un autre sujet, Bouteflika a indiqué qu’ "il n’a aucun nouveau programme à faire valoir pour cette élection", et d’enchaîner par : "Mon programme est derrière moi, vous le connaissez toutes et tous".à propos de la prochaine présidentielle, Bouteflika a réitéré son appel à un vote massif le jour du scrutin, sans toutefois indiquer pour quel candidat voter.
"Votez pour qui vous voulez, l’essentiel est de se rendre massivement aux urnes le 9 avril", a-t-il clamé.
Outre ces déclarations, Bouteflika est longuement revenu sur la situation socio-économique de la région de Médéa, connu pour être un fief du terrorisme durant la décennie noire. Sur ce sujet, il a indiqué que les efforts de reconstruction seront poursuivis.
Evoquant, les différents secteurs, tels la santé, l’éducation, le gaz, l’eau…, Bouteflika promet que ces secteurs seront, davantage soutenus avec plus d’efforts et d’efficacité, avant de rendre un vibrant hommage.
"à tous les partis, les associations, et autres comités de soutien qui ont soutenu ma candidature".
Pour aujourd’hui, Abdelaziz Bouteflika se rendra à Constantine et à Skikda, toujours dans le cadre de la campagne électorale.

Source La Dépêche de Kabylie

Le Pèlerin

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