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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 08:39

Qu'est-il arrivé à l'avion présidentiel de Nicolas Sarkozy ?

Nicolas Sarkozy est accueilli à sa descente d'avion par le président nigérien Mamadou Tandja,
Après le problème mécanique qui a empêché l'appareil de Nicolas Sarkozy de décoller, la question de la qualité de la flotte présidentielle se pose...
Deux enquêtes, l’une civile l’autre militaire, ont été ouvertes, afin de déterminer les causes de l’incident mécanique qui a empêché le décollage de l’avion présidentiel, mercredi dernier. L’A319 de Nicolas Sarkozy, en route pour l’Afrique, a dû stopper sa course au moment de son décollage de la base de Villacoublay, des flammes s’échappant d’un de ses réacteurs.
«Nous avons entendu un gros bruit au moment de la poussée qui précède le décollage» puis «on a vu des flammes sortir d’un réacteur», raconte au Figaro le député Patrick Balkany, qui faisait partie de la délégation comme Brice Hortefeux, Christine Lagarde, Rama Yade et Alain Joyandet. Après un retard d’une heure, un changement d’avion, et une grosse colère du Président, la délégation a pu s’envoler pour l’Afrique.
Les causes de cet incident restent inconnues. Selon Gérard Feldzer, ancien pilote Air France et directeur du musée de l’Air et de l’espace, interrogé par 20minutes.fr, il pourrait s’agir d’un «pompage». «Cela peut être provoqué par un bug ordinateur, par l’absorption d’un oiseau, par l’oubli d’une clé à molette, il y a plein de raisons et ça arrive souvent. Ca impressionne, ça fait beaucoup de bruit, comme un coup de marteau, mais ce n’est pas dangereux. Si l’avion est en l’air, on finit le vol sur un moteur sans aucun problème.»

«La jauge n'était pas loin de zéro»

Selon un spécialiste interrogé par «Le Figaro», les flammes pourraient être dues à un excès de carburant, elles ne sont pas la preuve que le réacteur était en feu. L’A319 impliqué dans l’incident a 7 ans, quand un avion de ce genre est considéré comme «vieux» à partir de 15 ans.
Le journaliste Bruno Dive, auteur d’un ouvrage sur les voyages présidentiels, décrit un incident d’un autre type à «La Dépêche» : «Le commandant de bord a jugé qu’avec les vents favorables, il n’était pas nécessaire de faire une escale aux Açores comme à l’aller pour refaire le plein. A l’arrivée à Paris, la jauge n’était pas loin de zéro.»
L’obligation de faire une escale pour les longs trajets a d’ailleurs poussé Nicolas Sarkozy à demander l’aménagement d’un «Air force one» français. Un A330 d’occasion a été acheté à Air Caraïbes, et est actuellement en cours d’aménagement. Selon le site «Bakchich», à sa livraison en 2011, il sera équipé d’une salle médicalisée, d’une baignoire avec réserve d’eau et d’un tapissage en cuir de Cordoue, sur demande de la première dame, pour une facture de 28,5 millions d’euros soit environ le prix d’un avion neuf.

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 08:29

Faut-il avoir peur du grand méchant ver informatique Conficker?

Le vers Conficker utilise de nombreux vecteurs de propagations/Microsoft

INFORMATIQUE - Le 1er avril, il pourrait passer à la vitesse supérieure...
Mauvais poisson d’avril ou vraie menace? Tout le monde s’excite depuis que plusieurs sociétés d’antivirus ont indiqué que le ver Conficker pourrait passer à la vitesse supérieure mercredi, en donnant des nouvelles instructions aux machines (tournant sous Windows) infectées. La prime de 250.000 dollars promise par Microsoft à quiconque aidera à arrêter ses auteurs accentue le côté dramatique du scénario.
Ce week-end aux Etats-Unis, «60 minutes», la plutôt très sérieuse émission de CBS, a diffusé un sujet fort alarmiste. Mercredi 1er avril, c’est sûr, toutes les machines infectées, telles des cellules dormantes, vont se réveiller. Le soleil va devenir noir, la lune, rouge sang, et l’apocalypse débarquera non pas à cheval mais à dos de ver sur Internet. «Beaucoup de bruit pour rien», tempère à l’autre bout du spectre la société d’antivirus McAffee sur son blog. Le point sur la menace.

Conficker, kezako?

Conficker (ou Downadup ou Kido, selon les appellations) est un vers informatique (un code malicieux et autonome qui se propage sur des réseaux comme Internet) apparu en octobre 2008. Environ 10 millions d’ordinateurs auraient été infectés, principalement sur des réseaux d’entreprise –et même du département américain de la Défense ou de la Marine nationale en France. Selon le «Virus Docteur» Marc Blanchard, Conficker «embarque une mine de technologies de dernières générations» rendant son étude par les experts en sécurité informatique compliquée. Si Microsoft a patché en urgence la faille béante de son service RPC (procédure d’appel à distance), de nombreuses entreprises (et particuliers) n’utilisent pas la mise à jour automatique de Windows et sont restés vulnérables. Sans compter les contaminations par clés USB, via l’autorun –pour désactiver l’option, lire la procédure ici.


Que se passera-t-il mercredi 1er avril?

La question à 1.000$. Selon Trend Micro, la dernière version du ver (worm.downad.kk) montre des signes indiquant que les machines infectées se connecteront automatiquement à des noms de domaines pour recevoir une version mise à jour et éventuellement des instructions sur de futures actions. Une nouvelle fonctionnalité de Peer-to-Peer permettrait ensuite de mettre à jour directement d’autres réseaux infectés.

Mais pour quoi faire?

Une autre inconnue. Infecter un grand nombre de machines permet de constituer des «botnets», des réseaux de plusieurs millions d’ordinateurs dit «zombies». Le ou les auteurs derrière (souvent en Russie, même si les derniers éléments pointent vers la Chine pour Conficker) ont un accès total à ces machines esclaves. Ils peuvent ensuite monnayer cette puissance au plus offrant (souvent des organisations criminelles) pour des campagnes de spams ou bien des attaques ciblées contre des sites commerciaux, des serveurs gouvernementaux ou encore dérober des données (mot de passe, informations bancaires etc). De quoi rapporter plusieurs millions de dollars. Pour l’instant personne ne sait vraiment si/quand Conficker passera à l’offensive, explique à 20minutes.fr Trend Micro.

Que faire?

S'assurer ici que les mises à jour automatiques de Windows sont activées ou télécharger manuellement le patch là (puis l’exécuter)
Mettre à jour votre antivirus/anti-spyware
Si vous pensez être infecté (principal symptôme: il vous est impossible d’accéder à Microsoft Update ou à des sites de fabricants d’antivirus), suivre la procédure décrite ici.
Les membres de l’organisation à but non lucratif Honeynet Project ont trouvé une faille facilitant apparemment la détection. Fichiers à télécharger là
Aux Etats-Unis, le département de la Sécurité intérieure propose aux entreprises un outil de détection
Les mauvaises langues diront «passer à Linux ou Mac OS X» (ce dernier et ses applications ne sont pas immunisés (hello Safari) contre les attaques, ils sont surtout moins exploités)
Etes-vous bien protégés ou comptez-vous sur le bon copain informaticien pour vous sortir de la panade quand votre machine est trop polluée?

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 08:20

La «riposte graduée» américaine a du plomb dans l’aile
Opération de téléchargement/20 Minutes

TELECHARGEMENT - Alors que les débats sur la loi Hadopi reprennent ce lundi à l'Assemblée nationale, zoom sur le dispositif américain...
En matière de lutte contre le téléchargement, il y a des modes passagères. Dans la première moitié des années 2000, les maisons de disques ont privilégié les procès contre les internautes. Mais depuis quelques années, la tendance mondiale est la «riposte graduée» qui permet d'envoyer des mails aux internautes fautifs avant de leur couper éventuellement la connexion Internet.
Alors que deux pays, la Nouvelle-Zélande et la Grande-Bretagne, viennent de renoncer à leurs projets de «riposte graduée», les Etats-Unis essaient toujours de s’y mettre. Mais contrairement à la France, où une loi est en cours d'examen à l'Assemblée nationale, l'initiative ne vient pas des politiques, mais des ayants droit eux-mêmes.
Fin 2008, la puissante RIAA (Association Américaine de l'Industrie du Disque) avait annoncé qu'elle arrêtait de traîner les internautes devant la justice mais qu'en contrepartie, elle négociait le principe d'une réponse graduée avec les fournisseurs d'accès (FAI).

AT&T dit non

Mais les déclarations de principe se sont heurtées à la réalité. Si les FAI Comcast, Cox, Verizon Communications et AT&T sont d'accord pour envoyer des messages d'avertissement à leurs abonnés pris en flagrant délit de téléchargement, la partie répressive de la «riposte graduée» ne passe pas. Cox a commencé très timidement à couper quelques connexions, tandis que Verizon Communications et Comcast s'y refusent.
Reste AT&T. Le site high-tech «CNET» avait cru comprendre que l'opérateur était prêt à couper Internet. En fait, il n'en est rien. La semaine dernière, l'opérateur s'est montré très clair: oui, il teste le système d'envoi de messages d'avertissement dans certaines zones géographiques mais estime qu'il ne pratique pas la réponse graduée puisque son mécanisme ne prévoit pas de sanctions.

Une solution «disproportionnée» pour Google

Le coup est rude pour la RIAA dont la «riposte graduée» a maintenant sérieusement du plomb dans l'aile. D'autant que les fournisseurs d'accès peu motivés par les sanctions ont trouvé un allié de poids: Google. Le géant du web a estimé à la mi-mars que la réponse graduée était une solution «disproportionnée».
Si les députés français, suivant la recommandation du Parlement européen, revenaient sur la suspension de la connexion Internet, la «riposte graduée» tomberait définitivement en désuétude. Avant peut-être une nouvelle mode dans la lutte contre le téléchargement.

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 23:51

  14 août 2005 - 6 ème étape  

Vizzavone (A Foce) - Onda
 

Lever 5h10 - Départ 8h00 

L'étape du jour s'annonçait facile aussi ne partions nous que vers 8h00.

Pourtant j'en baverai….En fait je n'arriverai qu'à 16h30 à Onda.


J'ai mis 5h pur franchir le premier col (Bocca Palmente) qui n'en finissait pas de monter.

Mais la descente fut une des plus difficiles que j'ai eu à affronter lors de ce GR. Pourtant elle ne semblait pas difficile, mais les genoux n'en pouvaient plus.

Mes collègues ont franchi l'étape en deux temps et trois mouvements puisqu'à 12h00 ils étaient à Onda. Moi je suis arrivé à 16h30; Le genou droit me faisait particulièrement mal et je n'avançais plus.

Je rencontrais en cours de descente un groupe de 3 marcheurs arrêtés prés d'une source; l'un s'exclama en me voyant descendre avec difficulté:

" Alors vous aussi, vous passez votre permis de mulet ?"...Et oui....

J'ai fait le minimum en arrivant au refuge et me suis endormi jusqu'à 19h45.

Les collègues m'avaient préparé de la soupe et des lentilles, une attention que j'appréciais particulièrement.

Je devais être vraiment fatigué car j'avais ronflé violemment pendant la sieste et je ronflerai toute la nuit... après m'être mis au lit vers 22h30....ces ronflements me valurent quelques gentils commentaires... Mais qu'y pouvais-je ?

 

Le Pèlerin

 

 

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 23:49

LIDL vendra des voitures à prix discount

Lidl, la célèbre chaine de supermarchés allemande - implantée dans toute l'Europe - s'apprête à vendre sur son site internet des automobiles.
L'ère de la voiture discount prend donc un nouveau virage - ou plutôt continue en ligne droite, tant le processus semblait inévitable. Pour l'heure, Lidl se contrera sur la vente via internet et sur des modèles précis : l'Opel Corsa, pour moins de 11.000 euros, et la Cross Polo de Volkswagen, pour 14.000 euros. C'est environ 25 % de moins que le prix de vente conseillé.
Et oui, qui dit supermarchés, dit prix discount. Leur secret : acheter des stocks très importants pour tirer le prix unitaire vers le bas, principe de base du hard-discount. Du côté des constructeurs, il s'agit sans doute là d'une solution aux effrayants surplus de production que les constructeurs européens doivent impérativement écouler…. Vu les stocks que les constructeurs français ont accumulés ces derniers mois, on imagine très bien voir arriver ce genre de pratiques prochainement en France...

Source Midi Libre

Le Pèlerin

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 23:32

Humour – Femme en colère

 

Un matin, pendant qu'il faisait le déjeuner un homme alla voir sa femme, et lui pinça une fesse en lui disant:
Si tu raffermissais ça un peu, on pourrait se débarrasser de tes bas culottes de soutien.

Vu que c'était au seuil de l'intolérable, elle ne disait mot.
Le lendemain matin, il la réveilla en lui pinçant chaque sein, et il dit:

Tu sais que si tu raffermissais ça, on pourrait se débarrasser de ton soutien-gorge.

C'était au delà de toute réponse.
Alors elle se retourna, et l'agrippa par son zizi et lui dit....
'Tu sais que si tu raffermissais ça un peu, on pourrait se débarrasser :
Du jardinier
Du facteur,
Du laveur de piscine, ….

Et de ton frère....

Le Pèlerin

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 23:10

Bien choisir sa Climatisation
La climatisation fixe ...Il y a du boulot

Grâce à la climatisation, vous pourrez contrôler la température chez vous. Variété de modèles et palette de prix très large : à chacun son climatiseur. Tout ce que vous devez savoir pour choisir une climatisation adaptée à vos besoins.

Petit budget : les climatiseurs mobiles

Comment ça marche ? Le modèle le plus fréquent est de type "monobloc".
Très fonctionnel, cet appareil tout en un est souvent muni de roulettes. Il souffle de l’air froid par l’avant et évacue l’air chaud par un tuyau à faire sortir par l’entrebâillement d’une fenêtre ou d’une porte. Il ne demande pas de travaux d’installation.
Il existe aussi des climatiseurs mobiles de type "split", avec une
partie intérieure et l’autre à disposer à l’extérieur. Une tuyauterie de petit diamètre permet une installation plus discrète : à travers un trou dans le mur ou une fenêtre entrebâillée. Pour plus de maniabilité, vérifiez que les branchements peuvent être déconnectés.
Les plus : Comme leur nom l’indique, ces climatiseurs sont mobiles et donc très pratiques. Ils vous suivent là où vous en avez besoin. Ils sont parfaits pour rafraîchir une pièce allant jusqu’à 30 m² : au-delà, ils perdent en efficacité.
Les moins : Les climatiseurs mobiles sont conçus pour n’être utilisés qu’occasionnellement et pour une seule pièce. Ils sont aussi plus bruyants qu’un climatiseur fixe.
Le prix : Pour un monobloc, la fourchette de prix est très large : de 160 à 1 200 euros.
Pour un climatiseur "split" mobile, il faut compter entre 600 et 1400 euros.

Climatiseurs fixes : pour une utilisation intensive

Comment ça marche ? Les climatiseurs fixes sont généralement des climatiseurs "split". Ils sont composés de deux parties, une installée à l’intérieur (qui souffle l’air froid) et l’autre à l’extérieur (qui rejette l’air chaud).
Les plus : Plus puissant, le climatiseur fixe convient à des pièces de 50 m² et même plus, selon le modèle. On peut également climatiser plusieurs pièces grâce à plusieurs blocs intérieurs reliés par tuyauterie. Autre atout non négligeable : il est très silencieux.
Les moins : Certains modèles sont à fixer soi-même mais d’autres nécessitent l’installation par un professionnel. C’est le gros inconvénient : des travaux importants sont parfois nécessaires.
Le prix : Pour un "split" fixe à poser soi-même, les prix varient entre 500 et 1 300 euros.
Pour un climatiseur "split" à faire installer, il faut compter entre 200 et 4 000 euros.

Les climatiseurs réversibles ou pompes à chaleur

Comment ça marche ? Ce sont des modèles "split" (en deux parties) qui diffusent de l’air froid en été ou de l’air chaud en hiver.
Les plus : Ce type de climatiseurs permet une durée d’utilisation prolongée. Il permet des économies d’énergie quand il remplace une installation de convecteurs électriques. C’est le modèle le plus écologique.
Les moins : Attention, le mode chaud n’a pas toujours un très bon rendement. L’efficacité du climatiseur dépend de la température extérieure. A partir de - 5 °C, le climatiseur réversible "split" perd déjà 25 % de puissance, et à partir de - 10 °C, il ne fonctionne plus ! C’est pourquoi son achat est déconseillé dans les régions les plus au nord. Préférez donc ce type d’installation si vous habitez dans des régions méridionales.
Le prix : Leurs prix sont de plus en plus compétitifs, un réversible n’est pas plus cher qu’un climatiseur classique "split", entre 200 et 4 000 euros

Quelle consommation électrique ?

Pour savoir ce que votre climatiseur va vous coûter en électricité, consultez l’étiquette énergie. L’échelle va de A à G, A étant le plus économe. Une donnée non négligeable pour ne pas avoir de surprises en recevant sa facture d’électricité après l’installation... Selon le Syndicat national des entreprises du froid, la SNEFCCA, "sur la durée de vie de son climatiseur [10 ans], on économise 55 % d’électricité en choisissant un appareil de classe A plutôt que G, soit 550 euros".

Quelle puissance frigorifique choisir ?

La puissance frigorifique, c’est la puissance à rafraîchir une pièce. Source d’économies si elle est adaptée, la puissance frigorifique est exprimée en watts par m². Il faut compter environ 100 watts par m2 pour que la puissance soit adaptée à la morphologie de la pièce. Ensuite, selon le nombre de personnes vivant dans la maison, l’éclairage, l’exposition de la pièce et le nombre d’appareils qui fonctionnent, il faut ajouter un certain nombre de watts.

Attention au taux de déshumidification !


Exprimé en litre par jour, plus il est élevé, mieux l’appareil créera un climat confortable. Cette fonction permet de mieux respirer dans la pièce, et contribue à faire disparaître toute sensation de chaleur étouffante.

Esthétisme et fonctionnalité

Il n’y a pas que la pollution sonore qui peut déranger, mais aussi la pollution visuelle ! Il est donc important de tenir compte de la taille du climatiseur et de sa couleur.
Thermostat, télécommande, options pour moduler les vitesses de ventilation, ou encore un programmateur pour arriver dans sa maison avec une température idéale : toutes ces fonctionnalités ont leur importance pour optimiser votre confort.

Le Bruit

Certains climatiseurs peuvent vous gêner et gêner vos voisins. Préférez des climatiseurs de moins de 45 db à l’extérieur et moins de 35 db à l’intérieur

Bien entretenir son climatiseur

En nettoyant bien votre climatiseur, vous allongez la durée de vie de votre installation, vous limitez les risques de panne et vous optimisez la sécurité pour un confort constant. Mais surtout, un matériel non entretenu consomme de 25 à 30 % d’énergie en plus !
Vérifiez que le climatiseur que vous désirez acheter comporte le logo CE, c’est-à-dire qu’il est conforme à la norme européenne
.

Bien utiliser son climatiseur

Bien positionner son climatiseur, c’est optimiser le bien-être procuré. Il est préférable de ne pas diriger directement l’air froid sur les personnes. Dans une chambre par exemple, on préfèrera orienter le climatiseur parallèlement au lit ou alors au niveau des pieds.

La différence de température entre l’intérieur et l’extérieur ne doit pas dépasser 7 °C. Au-delà, vous pourriez avoir un choc thermique, ou simplement attraper un rhume.

Pour éviter les apports en chaleur, pensez aussi à bien isoler votre demeure.

Quelques conseils pour optimiser les performances de votre climatiseur : il ne faut pas le mettre au soleil et il faut garder les portes et les fenêtres fermées. Il est aussi préférable de protéger les vitres exposées au soleil.

Source Seniorplanet

Le Pèlerin

 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 21:12

Obama lance un dernier avertissement avant faillite à General Motors et Chrysler

Le président américain Barack Obama a recalé lundi les plans de restructuration élaborés par General Motors (GM) et Chrysler et sommé les deux constructeurs automobiles de présenter des solutions "viables", laissant ouvertement planer la menace d'une faillite.
"Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas et nous ne laisserons pas disparaître notre industrie automobile", a promis M. Obama en présentant à la Maison Blanche son plan de sauvetage du secteur.
Le chef de l'Etat a estimé que les plans "ne vont pas suffisamment loin pour justifier les nouveaux investissements substantiels que réclament ces entreprises" auprès des contribuables.
Au bord de la faillite, GM et Chrysler ont été secourus fin décembre par l'Etat fédéral, qui leur a alloué 17,4 milliards de dollars sous forme de prêts. Dans leurs plans de restructuration présentés mi-février, GM a demandé une rallonge de 16,6 milliards de dollars et Chrysler de 5 milliards.
M. Obama a donné un ultimatum de 60 jours au premier constructeur américain pour présenter une stratégie "viable". Son concurrent Chrysler a lui 30 jours pour conclure un accord définitif avec l'italien Fiat, qui doit lui apporter la technologie et les modèles dont il a cruellement besoin.
Contrairement a ce qu'il avait déclaré durant la campagne présidentielle, M. Obama a suggéré que les constructeurs déposent leur bilan, comme le permet le chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites, "pour les aider à se restructurer et à sortir plus forts" de la crise en se débarrassant "rapidement de leurs vieilles dettes".
Pour rassurer les clients des deux groupes, qui récusent cette solution, l'Etat donnerait sa garantie aux véhicules sortis de leurs usines.
M. Obama a rendu hommage aux efforts de modernisation des constructeurs, aux prises avec une crise qui a déjà coûté 400.000 emplois aux Etats-Unis depuis un an. Mais ces efforts "ne vont pas assez vite", a-t-il estimé.
S'adressant aux ouvriers du secteur, il a souligné qu'il y avait "des emplois qui ne pourront être sauvés et des usines qui ne rouvriront pas" et que "des choix difficiles" devraient être faits.
Afin de soutenir les ventes en chute dans le secteur automobile aux Etats-Unis, le président a promis la mise en place de mesures fiscales favorisant l'achat de voitures "propres".
Avant l'intervention présidentielle, le groupe de travail consacré au secteur avait remis son rapport à M. Obama, promettant de fournir aux deux entreprises un "fonds de roulement" leur permettant de tenir jusqu'à la date butoir qu'il leur a été fixée.
GM et Chrysler sont dans des situations différentes, a remarqué M. Obama, qui a estimé que le premier "peut se redresser pourvu qu'il subisse une restructuration fondamentale".
M. Obama a obtenu la tête du patron de GM, Rick Wagoner, estimant que le groupe a besoin "d'une nouvelle vision et d'une nouvelle direction" sous la férule du nouveau PDG, Fritz Henderson.
Pour Chrysler, "la situation est plus difficile", a estimé le président, qui a promis d'investir jusqu'à 6 milliards de dollars si l'alliance avec Fiat se concrétise.
Le troisième constructeur américain, Ford, n'a pas demandé de fonds à l'Etat, estimant être en mesure de s'en sortir seul.
Les plans de l'administration ont entraîné une forte baisse de Wall Street qui s'inquiétait des risques de faillite de GM ou Chrysler. Le titre GM a ouvert en baisse de 30%.

Source MSN Actualités

Le Pèlerin

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 09:48

Nous sommes tous des Amazighs... Amazighicus…

Finalement, l’homo-algérianicus serait avant tout, après tout et par-dessus tout un Amazigh. Donc, «nous sommes tous des Amazighs». L’auteur de cette affirmation solennelle est le président de la République lui-même. Après l’identification collective, Abdelaziz Bouteflika s’est récemment présenté, intuitu personae, comme un «authentique Amazigh». Ecume de vagues électorales ? Sachant que l’affirmation a été exprimée et réitérée dans deux villes de la Kabylie, terre fertile d’une amazighité lourde de symboles, des esprits malveillants pourraient le penser. Ce serait, le cas échéant, faire injure au chef de l’Etat que de l’imaginer. Et persister dans le procès d’intention en se demandant si telle assertion aurait été formulée ailleurs. Mais seuls comptent finalement les propos dont l’auteur sera inéluctablement comptable devant l’opinion publique et l’Histoire. Abdelaziz Bouteflika a donc pour lui le bénéfice du doute et de la sincérité. D’ailleurs, pour mieux suggérer que les racines berbères, ces fameux Izuran, remontent au moins au paléolithique moyen, il a livré les composantes de l’identité algérienne dans un ordre inhabituel. Le triptyque officiel qui en est le socle et l’humus ne serait plus, dans l’ordre classique, l’arabité, l’islamité et l’amazighité. L’ordre ainsi inversé des éléments constitutifs du «Nous» algérien, serait désormais l’amazighité, l’islamité et l’arabité. Juste retour des choses, la berbérité ayant historiquement précédé l’arabité et l’islamité qui sont à la fois concomitantes et consubstantielles. Quid alors de l’affirmation d’Abdelhamid Ben Badis, reprise à son compte par le régime, selon laquelle «nous sommes des Berbères arabisés par l’Islam» ? Ainsi, ne sommes-nous plus des Arabes de souche ou de fait mais plutôt des Berbères intégraux ou des Berbères arabisés. Nous sommes alors plus conformes à la typologie khaldounienne des «barabira» et des «barabira moustâaraba». L’affirmation du président de la République a, in fine, l’air d’une profession de foi qui, souhaitons-le, serait l’amorce d’une décrispation nationale sur la question de l’identité amazighe. Le début d’une ère apaisée où la question des langues tamazight et arabe ne serait plus l’otage et l’apanage des culturalistes berbères intégristes et des intégristes panarabistes de l’idiome de Djahiz. Les uns et les autres se sont érigés en adeptes religieux de langues sacralisées. Face à eux, le régime, lui, a imposé le déni identitaire berbère et l’arabisation autoritaire comme politique de fuite en avant. Ceci dit, l’affirmation d’Abdelaziz Bouteflika serait historique si elle était suivie d’actes politiques majeurs. Comme la création d’une académie de tamazight et d’un conseil national de l’amazighité ; en même temps que la généralisation de l’enseignement de la langue berbère et de sa proclamation comme langue officielle aux côtés de l’arabe. En principe, la question ne devrait pas poser problème, car «nous sommes tous des Amazighs». Et c’est le président de la République, qui a lu «Ce que parler veut dire» de Pierre Bourdieu, qui le dit.

 

Source La Tribune

Le Pèlerin

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 09:31

Algérie - Pourquoi les électeurs algériens de France sont courtisés

Les moyens colossaux déployés pour s'assurer d'un taux de participation honorable à l'élection présidentielle du 9 avril ne font pas reculer le spectre d'une abstention historique.  Aussi ne dédaigne-t-on aucune poche électorale, si peu importante soit-elle. En tout cas, l'électorat algérien résidant en France fait l'objet d'une attention particulière de la part du staff de campagne du président candidat.
L'élection en France se déroulant quelques jours avant la tenue du scrutin en Algérie et bénéficiant en général d'une bonne couverture médiatique, les stratèges de campagne pensent qu'un vote massif de la population émigrée pourrait influer sur l'électorat au pays ou, tout au moins, permettre de faire passer la pilule d'un taux de participation gonflé artificiellement. Pour étayer leur thèse, ils évoquent volontiers l'élection présidentielle de 1995.
A l'époque, la communauté algérienne installée à l'étranger s'est fortement mobilisée et l'impact psychologique au pays a été certain, de sorte que le taux de participation a été l'un des plus élevés jamais enregistré en Algérie, malgré les menaces du GIA et l'appel au boycott de plusieurs partis et personnalités politiques. Là où ces stratèges font une grossière erreur, c'est que les enjeux sont différents, ainsi que le contexte.
En 1995, il s'agissait de sauver le pays en le dotant d'institutions légales et en faisant barrage à l'intégrisme armé qui avait juré sa perte. Les Algériens n'étaient pas dupes. Ils savaient qu'en sauvant le pays, ils sauvaient concomitamment le régime. Mais ne fallait-il pas parer au plus pressé ?
En 2009, il s'agit de conforter le régime dans son omnipotence et, accessoirement, de remettre en selle ceux-là mêmes contre qui les Algériens se sont mobilisés en 1995. Les deux parties ne dédaignent d'ailleurs pas une certaine forme de collaboration si l'on se fie au zèle de certains « repentis » au profit de la candidature du président à sa propre succession.
En 1995, l'Etat algérien était encore menacé de disparition sous les coups criminels de l'internationale intégriste et des pays qui la finançaient et l'encourageaient ; en 2009, cette menace est écartée, on fait ami ami avec ces pays, et l'Algérie est en proie à un pourrissement de l'intérieur, où la corruption et le népotisme le disputent à l'enrichissement illicite et au goût du lucre ostentatoirement et vulgairement exposés.
Demander, quatorze ans après, à un peuple de se remobiliser pour des objectifs aux antipodes de ses vœux, si ce n'est pas le mépriser, c'est du moins se méprendre sur sa capacité de discernement. A plus forte raison quand il s'agit d'Algériens vivant en Europe, où le verbe n'est pas bâillonné et où les moyens de pression du régime sont limités.

Source TSA

Le Pèlerin

 

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